26102 - Condillac
Condillac | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Drôme |
Métropole | |
Canton | 26-03 Dieulefit
26-15 Marsanne (Ancien canton) |
Code INSEE | 26102 |
Code postal | 26740 |
Population | 135 habitants (2020) |
Nom des habitants | Condillacois, Condillacoises |
Superficie | 957 hectares |
Densité | 14.11 hab./km² |
Altitude | Mini: 150 m |
Point culminant | 576 m |
Coordonnées géographiques |
44.638333° / 4.813333° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Extrait du 'Dictionnaire topographique de la Drôme'
CONDILLAC , Commune du Canton de Marsanne
- 1360 : Castrum de Condilaco; Castrum et territorium de Condilhaco, Valentinensis diocesis, (Cartulaire de Montélimar, 157)
- 1397 : Condiliaco, (Columbi: De reb. épisc. Valent, 137)
- 1548 : Condilhat, (Terrier de l'évêque de Valence)
- 1549 : Condilhacum., (ibid.)
- 1595 : Condilhas, Condilhac, (Rôle de tailles).
Avant 1790, Condillac était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence, formant une paroisse du diocèse de Valence — Capella de Condilhano, XIVe siècle (Pouillé de Valence) dont l'église, rebâtie en 1686, était dédiée à saint Pierre — Ecclesia Sancti Petri Condilhacii, 1509 (Visites épiscopales). La cure était de la collation de l'évêque diocésain, et les dîmes appartenaient au prieur des Tourrettes.
Au point de vue féodal, Condillac était une terre qui, premièrement possédée par les abbés de Cruas (Ardèche), ensuite par les Adhémar, fut acquise de ces derniers, en 1360, par les évêques de Valence, qui l'inféodèrent en 1451 aux Plovier. Ceux-ci la vendirent en 1453 aux Prion ou Priam, qui s'éteignirent en 1592 chez les Forez, lesquels s'éteignirent eux-mêmes au commencement du XVIIe siècle chez les Armand, derniers seigneurs de Condillac.
Comprise en 1790 dans le canton de Sauzet, cette commune a été attribuée à celui de Marsanne dans la réorganisation de l'an VIII.
La population de Condillac était de 150 âmes, formant 39 familles, en 1773.
Source : Bibliothèque_nationale_de_France
Héraldique
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Drôme
- Arrondissement - 1801-1926 : Montélimar --> 1926-2024 : Valence
- Canton - 1801-2015 : Marsanne --> 2015-2024 : Dieulefit
- Commune - 1801-2024 : Condillac
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
L'histoire des eaux minérales de Condillac
Racontée par M. Jean Durand.
Du temps où le village de la Coucourde s'appelait Lachamp, à une lieue de la vallée du Rhône, vers l'est, les pèlerins venus de toute la région se rendaient à l'église assister à la consécration par Monseigneur l'évêque de Valence, d'une chapelle dédiée à Saint-Régis. C'était très exactement le 16 juin 1845.
Patrimoine bâti
Le Château - visite guidée par A. LACROIX
Placé à mi-coteau sur le versant méridional d'une colline assez fertile le manoir des Priam et des Blacons domine un val silencieux, débouchant à l'est dans la vallée du Roubion et dans celle du Rhône à l'ouest. Le ruisseau de Lène, dont le nom signifie rivière, baigne le pied des deux collines élevées et presque parallèles qui lui servent de rives et va se jeter dans le Rhône, presque en face de Cruas, célèbre par son antique abbaye bénédictine, non loin de la station de Lachamp-Condillac sur la voie ferrée de Paris à Marseille. C'est dans le lit même du ruisseau desséché que fut découverte par hasard en 1845, l'eau minérale gazeuse si connue aujourd'hui sous le nom de Reine des eaux de table.
Sans le mont Givode qui renferme des blocs d albâtre de trés belle qualité et appartient géologiquement au néocomien inférieur de Savasse et de Mirmande, le château de Condillac, à l'exemple de celui de Marsane, son voisin pourrait contempler la belle et fertile Valdaine, au lieu d'une montagne boisée rétrécissant son horizon; mais les eaux de la mer, à l époque des dernières révolutions du globe n'ayant pu entraîner que le terrain friable de la colline septentrionale, ont transversalement creusé l'étroite vallée de Condillac et celle de Lène à Sauzet, sans entamer les dépôts néocomiens de Givode et de Savasse.
Qu'importe, d'ailleurs l'aspect un peu sévère du paysage, lorsque pour l'animer, la poésie et l histoire fournissent à l'envi des noms et des souvenirs intéressants ? La guerre de Troie y revit encore, en effet dans les noms légendaires d'Hélène, donné au ruisseau de la vallée, dans celui des Priam, maîtres du château aux XVe et XVIe siècles et dans celui d'Ilion que rappelle Condillac (Condo iliacum). Quant à l'histoire, elle nous y redit les anciennes guerres de la Réforme et de la Ligue, avec Hector de Forez et Alexandre, son fils, et les exploits des d'Armand et des Blacons, à l'origine et à l'abolition du pouvoir féodal.
Avant d'évoquer tant d'ombres glorieuses visitons le château de Condillac restauré avec tant de goût par Mme la comtesse d'Andigné, et où l'hospitalité la plus exquise attend l'archéologue.
Bâti à l'extrémité nord du village à 7,900 mètres Ouest de Marsane, à 14,700 mètres Nord Est de Montélimar, à 37,650 mètres Sud Est de Valence et à 3,940 mètres de la station de Lachamp-Condillac le vieux manoir pouvait, au moyen âge, facilement se défendre avec ses fossés, son pont levis et sa herse, dont il reste encore des traces; mais on ignore s'il fut réduit à ces extrémités. Sa partie nord présente une architecture du XIIe siècle, sauf une tour de construction récente; celle du midi accuse nettement le XVesiècle avec ses fenêtres à meneaux.
De la cour, entourée de murs, des degrés en pierre conduisent à une terrasse dallée et à la grande porte de la salle des fresques, au premier étage; un salon spacieux, au deuxième étage, renferme des portraits de famille et permet à la vue d embrasser les montagnes pittoresques du canton de Dieulefit et le mont Ventoux lui même, à l'arrière plan.
La première salle des fresques, plus longue que large, est voûtée et un peu basse; ses murailles sont couvertes de peintures à la détrempe exécutées sans doute sous Henri IV, à en juger surtout par les costumes des guerriers, des moines, des gentilshommes, des artisans, des châtelaines et des bergères qui soutiennent ou accompagnent les divers médaillons.
A la vérité, M. le chevalier Ruspi, l'habile artiste qui a retouché ces anciennes peintures, les reporte au XVIe siècle. Mais le fait seul de la présence des armes des Mirabel au milieu des sujets représentés, ne permet pas d'en reculer l'exécution à une époque antérieure à Hector de Forez, puisque Françoise de Mirabel, sa première femme, ne lui légua ces armes qu'en 1576 et que le château de Condillac ne lui appartenait pas avant son mariage avec Louise de Priam, en 1592. C'est donc entre cette dernière date et celle de la mort du vaillant capitaine, en 1596, qu eut lieu au plus tôt la représentation des malheurs de Troie en souvenir des ancêtres de Louise, la dernière descendante des Priam. Il serait tout aussi naturel d'attribuer cette œuvre d'art à Alexandre de Forez Mirabel et de la rajeunir de quelques années: mais à quoi serviraient nos conjectures? Donnons de préférence une place honorable à la description des fresques.
Sur les pilastres de la porte deux soldats, de grandeur naturelle, armés de hallebardes, semblent garder l'entrée de la salle; à l'ouest, en face des fenêtres, les noces de Pelée et de Thétis réunissent à table les principaux dieux de l'Olympe grec; Jupiter et Junon aux places d'honneur, Cybèle, Pallas, Mercure, Bacchus, Pan, Apollon, etc. A voir Junon hésitante recueillir la pomme fatale jetée au milieu du festin par la Discorde non invitée, on devine la guerre de Troie et les malheurs de Priam, Junon ne pardonnant pas au fils du prince troyen le jugement qu il a rendu contre si beauté en faveur de Vénus.
Au midi, Calchas annonce aux Grecs la durée de leur expédition guerrière; Ulysse paraît méditer quelque stratagème, auprès d'Ajax et d'Achille, et le sacrifice d'Iphigénie s'apprête.
Sur le mur septentrional, la revendication des armes d'Achille par Ulysse, la mort d'Ajax et l'incendie de Troie présentent le dénouement du drame lugubre.
Près des fenêtres, à l'est, la révolte des géants contre Jupiter, qui les foudroie, semble se rattacher de fort loin à l idée principale, à moins que l artiste n ait ainsi voulu prouver que la révolte contre les Dieux est la cause première de tous les maux de l humanité : la guerre l'incendie la mort ou l'exil. Le jugement de Pâris décernant le prix de la beauté à Vénus se voit au milieu de la voûte, les amours de Diane pour Endymion, non loin des noces de Pelée et de Thétis, et le repas nuptial de Pirithoüs et Déidamie ou Hippodamie troublé par les Centaures et les Lapithes, au dessus de la porte d'entrée.
Tous ces sujets à-demi effacés par le temps ont été rendus à leur splendeur première, sous la direction de M. Denis Destorre, architecte, par le chevalier Hercule Ruspi, peintre romain, en 1863. Une inscription eu fait foi.
A gauche de la porte qui fait communiquer la salle avec l escalier à colimaçon desservant l'intérieur du château, le peintre n'a pas osé par scrupule, toucher à un écusson où se trouvaient peintes les armes des mai tres du fief.
Nous rappellerons ici notamment les armes parlantes des Mirabel de la vallée de la Drôme : trois miroirs avec un chapeau de triumphe dans une ovalle, d'après le testament de Francoise; - les armes des Priam : de gueules au lion d'or, selon l'Armorial du Dauphiné ou de gueules à la bande d argent, au témoignage d un manuscrit cité par M. de Coston, et les armes des Forez-Cope pallé : d'argent et de gueules de 6 pièces au chef d'or. Quant à celles des Blacons, auxquels les Forez succédèrent, les auteurs ne les donnent pas. Cependant il est vraisemblable qu elles forment l écusson de Condillac avec celles des Mirabel, des Priam et des Forez.
Si, contraint par les exigences de son rôle, M. Ruspi en suivant les dessins et les couleurs du premier artiste, sauf à gazer quelques nudités mythologiques, n'a pu dans la première salle donner quelque essor, à son talent on reconnaît à chacun des sujets traités par lui dans la seconde le dessinateur et le peintre habile.
- 1. - Le premier tableau qui s offre à la vue en entrant, sur le mur à gauche, représente la célèbre bataille de Las Navas de Tolosa, livrée le 16 juillet 1211 contre les Maures d'Espagne sous Mahomet II. Le roi de Navarre sur un cheval blanc et Blacons sur un cheval noir s'apprêtent à s'élancer dans la mêlée, si un nouvel effort est nécessaire; mais déjà la cavalerie espagnole refoule les défenseurs du Coran et la victoire est assurée aux chrétiens.
- 2. - A droite, on aperçoit Hector de Forez de Blacons, sur son cheval blanc, à la tête de la cavalerie, qui arrête l'effusion du sang dans Montélimar, repris aux catholiques en 1591.
- 3. - Près de là, Pierre d Armand, témoin de la mort prématurée de Gaston de Foix, dit le Foudre de l'Italie, comprime sa douleur pour consoler le jeune héros expirant au milieu de son triomphe, tandis que devant Ravenne combattent encore quelques uns de ses soldats (1512).
- 4 et 5. - Sur la muraille faisant face à la porte sont peintes les armes des derniers Blacons et des d Andigné et la reddition de Chomérac par le seigneur de Pampelonne à Alexandre de Forez Mirabel, le 14 octobre 1621.
- 6. - Enfin du côté de la porte d'entrée, le marquis de Blacons, organe de la députation de la noblesse dauphinoise, à la séance du 22 juin 1789, dans l'église St Louis de Versailles, déclare se réunir au Tiers-Etat pour la vérification des pouvoirs. Après la bataille de Las Navas de Tolosa, cette composition est l'œuvre capitale de M Ruspi et mérite l'attention des connaisseurs autant par la ressemblance des personnages que par l'heureuse entente du sujet.
Ajoutons, en terminant, que les portraits de Mme la comtesse d Andigné et de ses trois fils, sous la ligure de jeunes enfants dont l'un, par allusion au comte Paul Eugène, mort adolescent, est endormi, complètent l'œuvre du chevalier Ruspi, œuvre fort remarquable et généralement conforme aux récits de l'histoire.
Repères géographiques
Carte sur ViaMichelin de : Condillac
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 175 | 183 | 189 | 218 | 195 | 216 | 191 | 173 | 182 | 195 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 185 | 180 | 187 | 195 | 214 | 172 | 158 | 148 | 141 | 136 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 130 | 114 | 103 | 101 | 96 | 97 | 106 | 98 | 93 | 86 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 88 | 124 | 133 | 145 | 142 | 141 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
Château de CONDILLAC
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Alexandre ESTINSON | < An II - An XIII | Décédé le 14 février 1809 à Condillac, à l'âge d'environ 65 ans |
- | - | - |
François ACHARD | < 1813 - 1831 | - |
Charles CHAVE | 1832 - 1837 | M. Chave, maire ; M. Habran, adj. [1] |
Jean Antoine GAUTIER | 1837 - 1840 | - |
Abraham THOMAS | 1841 - 1851 | Thomas Abraham, maire; Arnoux Jean-Baptiste, adjoint. [2] |
Antoine BARNIER | 1852- 1870 | - |
Auguste Adrien THOMAS | 1871 - 1887 | - |
Auguste LAPLACE | 1888 - 1892 | - |
Jean Pierre REY | 1892 - 1898 | Décédé le 2 avril 1898, à l'âge de 74 ans |
Auguste FAURE | 1898 - 1920 | Est nommé maire: M. A. Faure, en remplacement de M. REY décédé [3] |
Jean PIERRE | 1920 - 1932 > | - |
- | - | - |
Raymond BUREL | 2001 - 2020 | Réélu en 2008 - 2014 |
Jacky GOUTIN | 2020 - (2026) | - |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Étude non identifiée
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jacques GIRAUD | - | Minutes de 1611 à 1628 |
François PAIYS | - | Minutes de 1623 à 1640 |
Imbert PERRIN | - | Minutes de 1640 à 1665 |
Étude n° 1
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean GIRAUD | - 1682 | Décédé avant 1682 - Notaire actif jusque 1682. |
Jean MARCELLIN | 1682 - 1716 | Décédé le 12 septembre 1716 à Rémuzat - Notaire actif entre 1682 et 1716 - Successeur de : GIRAUD Jean |
Jean Balthazar MARCELLIN | 1747 - | Baptisé le 6 août 1717 à Rémuzat - Décédé le 20 octobre 1787 à Rémuzat - Notaire actif à partir de 1747 - Successeur de : MARCELLIN Jean |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
François CHAVANET | - 1909 | M. l'abbé Chavanet, François, curé de Lachamp-Condillac, est nommé curé de Mirmande. [4] |
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- | - | |
Éric REBOUL | 2018 - 2020 | Nommé curé modérateur de la paroisse Ste Anne de Bonlieu et recteur du sanctuaire Notre-Dame de Fresneau (Marsanne). |
Paroisse Sainte-Anne-de-Bonlieu : Elle regroupe 38 communes, dont Condillac.
Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Louis RIBAGNAC | 18 mars 1878 | Marié le 25 avril 1908 à Savasse, avec Louise Joséphine LERAT Cote ; 19800035/826/94084 - Dossier non communicable |
Monument aux morts
Morts aux guerres
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monuments aux Morts ...
Émigration
Émigration en Algérie
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Recensements (1911-1911)
- Mariages (1793-1932)
Documents numérisés
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | - | - | 9h - 11h30 | - | - |
Après-midi | 14h - 16h30 | - | - | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : - 26740 CONDILLAC
Tél : 04 75 90 07 00 - Fax : 04 75 50 32 16 Courriel : Site internet : GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Dépouillements des registres paroissiaux
Le Cercle Généalogique de la Drôme Provençale ( C.G.D.P. )
Sa vocation : Réunir, principalement dans le cadre de la Drôme Provençale, les généalogistes amateurs afin de les aider dans leurs recherches et de mettre à disposition, de façon centralisée, des documents aisément consultables
Archives notariales
Patronymes
Remarques
- Etienne de Condillac (Etienne Bonnot) : Philosophe français, né à Grenoble le 30 septembre 1715 et décédé le 30 août 1780 au domaine de Flux.
- Le philosophe tient son nom, Condillac, d'une terre située près de Romans que son père, Gabriel Bonnot, a acquise en 1720.
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Source: Lectura Plus : Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche 1834/11/30 - Edité en 1834
- ↑ Source: Lectura Plus : Le Courrier de la Drôme et de l'Ardèche 1848/10/04 - Edité en 1848
- ↑ Source: Lectura Plus - La Croix de la Drôme 1898/06/26 - Edité en 1898
- ↑ Source: Lectura Plus - La Croix de la Drôme 1909/08/15 - Edité en 1909