22135 - Louargat

De Geneawiki
Aller à la navigation Aller à la recherche

Retour

Louargat
Informations
Pays    France
Département Blasons des Côtes d'Armor    Côtes-d'Armor
Métropole -
Canton   22-03   Callac

  22-02   Belle-Isle-en-Terre (Ancien canton)

Code INSEE 22135
Code postal 22540
Population 2 338 habitants (2021)
Nom des habitants Louargatais, Louargataises
Superficie 5 723 hectares
Densité 40.85 hab./km²
Altitude Mini : 100 m
Point culminant 301 m
Coordonnées
géographiques
48.565555° / -3.338888° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Les mottes féodales

  • "Coat ar Bescond : X=182,425. Y=115,350.Z= 145 m"
  • "Le Largez (Le Largé) : X=181.300. Y=114.225. Z=147 m"
  • "Pen Ar Stang (An Dossen) : X=183.75. Y=109.325. Z= 200 m"[1]

Elles sont visibles sur le cadastre de 1848 :

  • coordonnées Lambert sur carte topographique IGN au 1/25000 suivi de l'altitude (NGF)

Les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem (dits Chevaliers de Malte)

  • "Le commandeur du Palacret* jouissait en l'église Notre-Dame de Louargat, dont il était seigneur, de droits analogues à ceux "qu'il avait en celle de Saint-Laurent. Ces privilèges étaient même plus considérables, car "à cause du patronnage de ladite ""église" dont il représentait le recteur, ce commandeur recevait chaque année dudit recteur, d'abord "20 deniers monnoye pour cause de son presbytère" puis le premier dimanche d'août, fête du pardon paroissial, "10 sols monnoye pris sur les offrandes"; "enfin une rente de 18 livres, "poyable en deux termes à Noêl et à Pasques" (déclaration de 1697)."
  • "Mais ce n'était pas tout : ce pauvre recteur de Louargat devait encore une rente annuelle au commandeur du Palacret, toujours "en reconnaissance de patronnage", à la fête de Saint-Michel, 20 deniers monnaie, "et à défault dudit poyement, le commandeur ou "ses receveurs (en son absence) peuvent clore le livre ouvert avant de commancer la grande messe (déclaration de 1697)". D'après "le procès-verbal de la visite de 1617, la rente de Pâques devait se payer de la même façon au commencement de la messe: "le "recteur de Louargat doit 5 livres monnoye le lour de Pasques, qu'il doibt poyer avant entrer en évangile de la messe dudit "jour".
  • "La grande verrière de l'église de Louargat renfermait en supériorité les armoiries de l'ordre de Malte. Ce sanctuaire "-reconstruit de nos jours (en 1869, bénédiction en 1870) - possédait aussi en 1720" un grand autel fort beau et une "belle et magnifique croix d'argent pour porter en procession". À côté on voyait en 1727, un poteau aux armes du commandeur de "Tambonneau, avec cep et collier pour la punition des malfaiteurs (Archives de la Vienne, 3 H,464).

Site

  • "Outre l'église de Louargat, les chapelles de Saint-Eloy, Saint-Michel et Saint-Jean, situées dans cette paroisse, appartenaient "aussi à l'ordre de Malte."[2]
  • La commanderie du Palacret dépendait de celle de La Feuillée près du Huelgoat. Cette dernière dépendait elle-même de la maison mère d'Angers[3]
  • À noter qu'il existait, en bordure de l'ancienne N. 12 à proximité de l'église, un manoir ou ferme fortifiée qui brûla à la fin de la guerre 1939-1945 et dont les ruines furent rasées dans les années 1960. La légende prétendait qu'un souterrain en partait vers le manoir de Guermorvan (d'où provenait le fameux abreuvoir aux chevaux monolithe qui trône actuellement à Lanvollon).
  • "Ce manoir était, avant la Révolution, la plus importante seigneurie de Louargat habitée par la famille de Gaesbriand dont Louis-Vincent, chevalier des ordres du roi, lieutenant général des armées. Il fut l'un des quatre gentilhommes admis à porter le dais, lors du sacre de Louis XV en 1722. Il mourut à Guermorvan, le 4 mai 1744, à l'âge de 84 ans et fut inhumé le lendemain dans l'église de Louargat ". Ce manoir aurait servi de relais aux chevaux sous l'Empire.

Cf. : Communication de Emile Raoult, conseiller général, le 12 mai 2012 à [1] lors d'une visite du pays de Louargat par l'ARSSAT.

Les Guerres de la Ligue

  • "Cette "dictature urbaine" impose sa loi aux paroisses rurales. Sous le contrôle des zélés catholiques morlaisiens ... Dans toute la zone d'influence de Guingamp, le même processus s'opère, avec plus de mauvaise volonté, semble-t-il. La garnison ligueuse commandée par le sieur de Kergouanton doit ramener Louargat, La Roche-Derrien et Pontrieux à la raison de façon violente en brûlant et saccageant ces bourgades."[4]

La Révolution

Le 30 août 1799, une colonne mobile de 112 hommes de Pontrieux rencontre les Chouans estimés de 160 à 200, commandés par de Bar au bourg de Louargat. En une heure de combat, les Républicains s'emparent du bourg à la baïonnette, mais les Chouans se réfugient sur un rocher dominant le bourg. Ils en sont encore délogés, puis se replient dans une maison avant de s'échapper dans les bois.
Rapport du général Gency : « La colonne, après une marche de douze heures, atteignit la bande, sur le midi, au bourg de Louargat. L’avant-garde fut obligée de se replier à cause de la position et du nombre des brigands. Alors le commandant Comminet, capitaine de carabiniers, fit battre la charge et, après une heure de combat, le bourg fut emporté à la baïonnette. Nous eûmes deux carabiniers tués, un blessé un mort, un autre légèrement. Les brigands se rabattirent sur un rocher qui domine le bourg et tirèrent longtemps. De là, ils se replièrent sur une maison isolée, dont il fallut encore les débusquer à la baïonnette… Ils se débandèrent enfin et se réfugièrent dans les bois, où l’on ne put les atteindre. Les troupes étaient d’ailleurs, sur les dents, exténuées de fatigue et de faim. 17 brigands, dont un chef, sont restés morts sur le champ de bataille ; ils avaient beaucoup de blessés, qu’ils ont eu grand soin d’emporter avec eux… On a remarqué que presque tous les morts étaient des déserteurs de la marine, du 2e régiment de chasseurs à cheval et de divers corps de la division.

— Claude Ursule Gency

Cf. : Combat de Louargat sur Wikipedia

« À droite de la route qui conduit de Guingamp à Belle-Isle-en-terre, s’élève un cône isolé, de 900 pieds d’altitude, qu’on appelle le Mené-Bré. Du sommet de ce monticule, on découvre un immense horizon de landes, de plaines et de grèves. L’endroit était fréquenté autrefois comme lieu de pèlerinage ; il y a là une chapelle dédiée à saint Hervé, lequel, au sixième siècle, prenant pour chaire cette colline, y prononça solennellement, en présence de trente évêques, l’excommunication de Comorre le maudit, fameux, dans la légende, sous le nom de Barbe-bleue. Le Mené-Bré est un admirable point d’observation : de cette hauteur, où jaillit une fontaine réputée miraculeuse, le regard suit, comme sur une carte déployée, toutes les routes de la région et fouille plus de trente villes ou villages. Le Guindy et le Jaudy, les deux rivières qui coulent vers Tréguier, ont leurs sources au pied du mont. Est-ce là que Taupin s’était réfugié en attendant la prise d’armes générale dont le signal devait venir du Morbihan ? Il était, assurément, embusqué tout près de là, aux premiers jours de février 1800. Le 9, une patrouille de bleus traversait, sans rencontrer un seul brigand, le village de Tréglamus, situé à l’écart de la route, dans un bas-fond, au sud-est du Mené-Bré. Le lendemain, 10 février, un détachement de soixante conscrits, du cantonnement de Belle-Isle-en-terre, s’y hasardait de nouveau et se heurtait à une troupe de chouans... C’était la bande à Taupin.

La fusillade s’engagea. Le combat fut acharné et se prolongea durant trois heures; les royalistes, au nombre d’une centaine, repoussèrent hors du bourg la colonne républicaine et la poursuivirent jusqu’à mi-chemin de Louargat. Taupin, qui les commandait, dirigeait l’action, posté au pied d’un gros chêne qu’on voyait au nord du village. Couché en joue par un bleu, il arma son fusil et ajusta lui-même cet homme qui, dit-on, s’appelait Nicolas Le Guen. Les deux coups de feu éclatèrent en même temps : les deux tireurs tombèrent, – morts. Les chouans de Taupin portèrent à Tréglamus le corps de leur chef et le déposèrent à l’église où il resta toute la nuit : il fut, le lendemain, inhumé dans le cimetière du village, avec dix autres soldats des deux partis, en une large fosse creusée au pied de l’aile nord de l’église. L’endroit est connu : pendant bien des années, la procession du jour des morts se détournait pour y passer. Aujourd’hui encore, à qui s’informe du lieu où repose Taupin, on désigne, entre le transept et les tombes, un espace sablé où il n’y a ni fleurs ni croix. C’est là. »

in ...pb informatique perte de la référence du texte, peut-être La révolution dans le Trégor, les Blancs, les Bleus et les autres, 1988 ? date du DC de Taupin 10 février 1800 (in Jean Guerniou, La Révolution dans le Trégor, Le Trégor et les guerres de la Révolution, p 301, 1988)

Cf. : Site Biblisem

Sports

"Petit" Louis TORQUEAU, secrétaire de mairie (recruté par Y. NICOL, maire) créa la première équipe de football moderne. Le terrain de football porte son nom.

Toponymie

Différentes hypothèses :

  • Eleemosinae de Louergat (aumônerie de Louargat), en 1160, selon Marteville et Varin.
  • « On croit que cette commune doit son nom à saint Ergat ou Pergat, ermite qui a vécu, dit-on, au village de ce nom » selon J. Rigaud (1890).
  • « On retrouve la forme Loeargat dans une copie de 1304 d'une charte de 1170... ; Loargat, 1330 ... » selon Régis de Saint Jouan.
  • « Louergat en 1160 ; Loeargal (= Loeargat) en 1170 ; Loargart vers 1330 ; Louargat, fin XIVe siècle, 1461 », selon Bernard Tanguy.
  • « de l'ancien breton loer ou loar, lune, et cat, combat ; ou de loc ar goat, lieu du bois ; ou encore loar goat, lune du bois, en raison de la situation de la commune au milieu de la forêt de Coat-an-Hay. Une tradition locale, par ailleurs, rattache Louargat à saint Ergat » selon les Éditions Flohic (1998).
  • « Louergat en 1160 ; peut-être de lou pour loc'h + Ergat, ou plutôt éponyme employé seul » selon Hervé Abalain (2000).

Cf. : Marikavel (Jean-Claude Even)

Héraldique

Histoire administrative

  • Département - 1801-1990 : Côtes-du-Nord, 1990-2025 : Côtes-d'Armor
  • Arrondissement - 1801-2025 : Guingamp
  • Canton - 1801-2015 : (Belle-Ile-en-Terre) Belle-Isle-en-Terre --> 2015-2025 : Callac
  • Commune - 1801-2025 : (Lonargat) Louargat

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Église Notre-Dame

Église Notre-Dame (dite Notre-Dame des Neiges, supposé erroné) de 1869, édifiée par l'architecte Alphonse GUÉPIN, avec une tour du XVIe siècle.

Autres patrimoines

  • Chapelle du Christ du XVIIIe siècle.
  • Chapelle Saint-Hervé
  • Chapelle Saint-Jean-et-Saint-Fiacre du XVIe siècle.
  • Chapelle Saint-Paul du XVIIIe siècle.
  • Chapelle Saint-Sylvestre dite de Catic, de 1762.
  • Château de Cleuziou (manoir) des XVIIe et XVIIIe siècles, avec chapelle Sainte Marguerite du XVIe siècle.
  • Église Saint-Eloi de 1897, construite par l'architecte Ernest Le GUERRANIC.
  • Moulin de Kerborn, moulin à eau.

Repères géographiques


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 4 031 3 529 4 419 5 005 5 004 3 833 4 042 4 249 4 428 4 277
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 4 328 4 357 4 580 4 612 4 311 4 416 4 375 4 346 4 071 3 970
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 3 779 3 466 3 517 3 104 3 067 2 762 2 570 2 428 2 340 2 179
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 2 224 2 128 2 126 2 208 2 309 2 355 2 338 - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2021.

En photos

Cartes postales

Photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
François LOHENNET 1792 - 1802  
Yves Vincent SCOLAN 1802 - 1813  
Joseph LE CALVEZ 1813 - 1831  
Jean-Marie MAHÉ 1831 - 1846  
Yves STEPHAN 1846 - 1870  
Jean Marie SCOLAN 1870 - 1906 Décédé en 1906 à l'âge de 80 ans.  
Félix Marie BELLEIN 1906 - 1912  
Yves Marie MARZIN 1912 - 1919  
François Jean Marie RAOUL 1919 - 1928 Décédé en 1928.  
François Marie Louis YVON 1928 - 1931 Démissionnaire.  
Yves Marie NICOL 1931 - 1935 Boucher, né le 15/03/1876, décédé le 15/05/1952, 7 ans sous les drapeaux soit 3 ans de service militaire et 4 ans de guerre 1914-1918.  
Georges RAOUL 1935 - 1939 A été administrateur du chemin de fer des Côtes-d'Armor en 1940.  
Jean-Marie MADIGOU 1939 - 1940  
Georges RAOUL 1940 - 1944 Nommé maire par les autorités de Vichy.  
Louis LALES 1944 - 1947  
Yves Marie NICOL 1947 - 1952 Né le 15/03/1876, décédé le 15/05/1952. Boucher, 7 ans sous les drapeaux soit 3 ans de service militaire et 4 ans de guerre 1914-1918.  
Robert COZANET 1952 - 1966  
Henri LE MOIL 1966 - 1995  
Michel GUILLOU 1995 - 2008  
Gilbert LE BLÉVENNEC 2008 - 2014  
Brigitte LE GUESCLOU-GODFROY 2014 - 2020 Née le 16/03/1955.  
Hervé L'HÉVÉDER 05/2020 - (2026) Né le 19/12/1970.  
- -  

Autres maires de Louargat : MM : COATANTIEC, BRIGNONEN, DIOURIS, LOHENET, J. SCOLAN, V. SCOLAN, J. LE CALVEZ, MAHE, Y-M STEPHAN.

Cf. : MairesGenWeb, Site personnel Marikavel de Jean-Claude EVEN, Site Cerp22.free.fr & Télégramme

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Yves JOUAN 1789 - 1790 Chapelain à Saint-Eloi.  
Louis-René LACHIVER de KERGOC 1784 - 1791 Vicaire, décédé en décembre 1791 à Guingamp.  
Pierre RAOUL 1789 - 1790 Vicaire.  
Pierre COTTY 1790  
DE LA GREVE 1790 Recteur, décédé à Guingamp le 05/05/1792.  
Joseph-François GOURIOU juin 1791 Né le 22/11/1759 à Trézény, curé constitutionnel, incarcéré à Guingamp le 27/04/1794, recteur le 25 nivôse an XII, malade ne peut prendre ses fonctions, décédé le 26/01/1794.  
Marc BRIGNONEN 1791 Né le 19/01/1755, décédé le 3e jour complémentaire an X, vicaire constitutionnel.  
Pierre-Francis CLECH 1791 - 1794 Né le 20/10/1764, vicaire constitutionnel.  
Francis-Marie DERRIEN nivôse an XII Né le 19/09/1752.  
QUERE - Né le 31/12/1759, recteur, réfractaire, déporté à l'île de Ré.  
- -  
- -  
X ca 1950 Faisait ses sermons en breton du Morbihan que personne ne comprenait, mais personne n'osa lui dire. Son vicaire organisa une équipe de foot. Aurait financé la construction du presbytère sur ses deniers.  
- -  

Cf. : Site du diocèse catholique de Saint-Brieuc et Tréguier

Monument aux morts

Le monument aux morts de Louargat
Le monument aux morts de Saint-Éloi

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

Article détaillé : Consulter la liste du monument aux morts de Louargat ...
Article détaillé : Consulter la liste du monument aux morts de Saint-Éloi ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h 9 h - 12 h * -
Après-midi 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h 14 h - 17 h - -

Mairie
Adresse : 1, place Roger Madigou - 22540 LOUARGAT

Tél : 02 96 43 12 35 - Fax : 02 96 43 50 03

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire : * Permanence le samedi matin pour l'état civil.

Source : L'annuaire Service Public (Septembre 2021)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

    • La Révolution dans le Trégor, les Bleus, les Blancs et les autres, destin d'une famille noble dans la révolution, pp 307-394, Jean Guerniou - 1990 (on y trouve chapitre sur l'origine et le destin de la famille du Largez)

    Voir aussi (sur Geneawiki)

    Liens utiles (externes)

    Notes et références

    1. Les mottes médiévales des Côtes d'Armor, pp 43-44, Stephan Hinguant, Institut Culturel de Bretagne, Centre Régional d'Archéologie d'Alet, Ed : Imprimerie de l'Université Rennes I, 1994.
    2. Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en Bretagne, pp 33-34, Guillotin de Corson, Nantes 1902 (bibliothèque municipale de Brest, cote X.B.C.497 et Laffite Reprints.
    3. Les Templiers et les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en Bretagne, pp 33-34, Guillotin de Corson, Nantes 1902 (bibliothèque municipale Brest-cote X.F.B.C.497) réédition : en 1982 Laffitte Reprints, Marseille.
    4. La Ligue en Bretagne 1588-1598, p 106, Henri Le Goff, Ed : Presses Universitaires de Rennes, 2011.


    Cet article a été mis en avant pour sa qualité dans la rubrique "Article de la semaine" sur l’encyclopédie Geneawiki.