21464 - Nuits-Saint-Georges

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Nuits-Saint-Georges
Blason de Nuits-Saint-Georges
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 21 - Blason - Côte-d'Or.png    Côte-d'Or
Métropole
Canton 21464 - Blason - Nuits-Saint-Georges.png   21-20   Nuits-Saint-Georges

21464 - Blason - Nuits-Saint-Georges.png   21-24   Nuits-Saint-Georges (Ancien canton)

Code INSEE 21464
Code postal 21700
Population 5 421 habitants (2018)
Nom des habitants Nuitons, Nuitonnes
Superficie 2 050 hectares
Densité 264.44 hab./km²
Altitude Mini : 224 m
Point culminant 516 m
Coordonnées
géographiques
47.1375° / 4.9503° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
21464 - Nuits-Saint-Georges carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • Le territoire est occupé dès la préhistoire. Puis une cité commence à se développer au début de la conquête romaine, avec temple et thermes, au lieu-dit "Les Bolards", site archéologique classé aux Monuments historiques depuis 1970[1]. Les vestiges découverts couvrent la période du Ier au IVe siècle après J.C. et sont exposés au musée de la ville. La culture de la vigne est déjà productive à cette époque, puisqu'un commerce de vin se met en place au moyen de vases antiques.
  • À partir du VIe siècle, l'habitat se répartit en deux lieux distincts, cités par écrit au XIe siècle sous les formes Nuis-Amont et Nuis-Aval. En 1212 est mentionné l'affranchissement de Nuis par le duc de Bourgogne Eudes III (1166-1218)[2]. Une cinquantaine d'années plus tard a lieu l'installation d'échevins, communs aux deux bourgades.
  • Au XIVe siècle, Nuis-Aval commence à élever des fortifications, comprenant six tours, trois portes et une poterne. La Porte Beaunoise, au sud, tient lieu de salle de réunion pour les échevins. La Porte Dijonnaise, au nord, abrite l'horloge de la ville et une cloche d'alarme. Ces deux éléments ont traversé les âges et se retrouvent sur le beffroi actuel, alors qu'il ne reste rien des remparts.
  • En 1396, les deux bourgades se regroupent et le bailliage de Nuis est créé, sous la coupe des seigneurs de Vergy. Se construisent alors le siège du bailliage, de nouvelles halles et un palais de justice. L'activité commerçante commence à se développer.
  • Un hospice est construit en 1633 le long de la rivière Le Meuzin. De même que le beffroi, sur l'actuelle place de la République. À partir du XVIIIe siècle, la viticulture domine les autres activités. Les caves se multiplient, les négociants prospèrent de plus en plus.
  • En 1892, Nuis, devenu entre-temps la ville de Nuits, ajoute à son nom « celui de son cru le plus coté, le saint-georges »[3] et devient Nuits-Saint-Georges, puis se hisse au rang de capitale de la Côte de Nuits.
  • Le 16 novembre 1934 est créé le "Caveau Nuiton", siège de la confrérie des Chevaliers du Tastevin, mère de toutes les confréries viticoles de France. Des chapitres (réunions couronnées de somptueux dîners) ont lieu chaque année au château du Clos Vougeot.

Héraldique

21464 - Nuits-Saint-Georges Blason Beffroi.JPG
  • Blason de Nuits-Saint-Georges : D'azur aux trois bandes d'or, au chef de gueules chargé de trois quintefeuilles aussi d'or et soutenu d'une trangle d'argent. [4]
Pictos recherche.png Article détaillé : Voir la page du blason de Nuits-Saint-Georges ...
21188 - Blason - Concœur-et-Corboin.png
  • Blason de Concœur-et-Corboin : Échiqueté d’azur et d’or. [5]
Pictos recherche.png Article détaillé : Voir la page du blason de Concœur-et-Corboin ...


Toponymie

  • Anciens noms : Nuÿs (Cassini), Nuits (bulletins des lois : 1801) puis Nuits-sous-Beaume jusqu'en 1892.
  • Nuits-Saint-Georges absorbe, le 01/05/1970, l'ancienne commune Concoeur-et-Corboin.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2023 : Côte-d'Or
  • Arrondissement - 1801-2023 : Beaune
  • Canton - 1801-1892 : (Nuits) Nuits-sous-Beaune, 1892-2023 : Nuits-Saint-Georges
  • Commune - 1801-1892 : (Nuits) Nuits-sous-Beaune, 1892-2023 : Nuits-Saint-Georges

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint-Symphorien

Façade latérale Photo Didiertaldu
Chevet Photo Didiertaldu
  • La construction de cette église s'est étalée du XIe au XIIIe siècle. L'édifice, de grande taille et entouré du cimetière, adopte alors un plan en croix latine et un style roman de transition dont l'auteur est inconnu.
Le chevet plat est éclairé par trois baies à colonnettes, surmontées d'une rosace de belle taille. Le clocher, trapu, est élevé au-dessus de la croisée du transept. S'y ajoute une tour polygonale du côté nord. Les toitures en pavillon ou à deux versants sont couvertes de tuiles plates. l'entrée se fait par un porche fermé, éclairé par des baies en plein cintre.
L'église est classée aux Monuments historiques depuis 1913[6].
  • La nef de trois travées, le transept (de deux) et le chœur (de deux aussi) abritent de beaux éléments de mobilier, la plupart classés ou inscrits au titre d'objets historiques, mais aussi plusieurs fresques ou peintures de grand intérêt.
- L'orgue de tribune, en chêne et étain, a été réalisé en 1714 pour la partie instrumentale par le facteur d'orgues Étienne TOURNEUR, et transformé en 1787 par Bénigne BOILLOT et MARET. Il est classe depuis 1910[7].
- « Une rare cage d'escalier tournant »[8], en bois ajouré, date de la fin du XVIe siècle et est également classée au titre d'objet historique[9].
- Deux plaques commémoratives de fondation de messe, en calcaire gravées, de 1435 et 1484, sont aussi classées[10].
- Est également classée au titre d'objet historique la poutre de gloire[11], en chêne sculpté, de la fin du XVe ou début du XVIe siècle.
- Quant au maître-autel et son retable en bois taillé, du XVIIe siècle, d'abord simplement inscrit, il a été classé en 1997[12].
- Se remarquent également des statues en bois taillé, du XVIIIe siècle, comme la Vierge à l'Enfant ou un ensemble de cinq anges.


Pictos recherche.png Article détaillé : Pour découvrir d'autres photos de l'église et de nombreuses pierres tombales...


Église Saint-Denis

Chevet tourné vers le Quai Fleury
  • À l'origine, il existait à cet endroit une ancienne collégiale dépendant du chapitre de Saint-Denis de Vergy. L'édifice est transformé en temple de la raison lors de la période révolutionnaire.
L'église menaçant ruine, et les paroissiens ne souhaitant pas toujours se rendre à l'église Saint-Symphorien, trop excentrée, un projet de reconstruction s'élabore dans les années 1860. Ce sont les plans de l'architecte Saint-Père qui sont retenus, et l'église est terminée en 1880. À l'époque, les tuiles sont en pierres plates. Elles sont remplacées en 1985 par des tuiles vernissées et colorées à la façon bourguignonne (dont l'exemple le plus marquant est celui de l'Hôtel-Dieu de Beaune).
  • Parmi les concepteurs du mobilier, se remarquent Pierre BOSSAN, architecte de Notre-Dame de Fourvière, ou d'autres artisans lyonnais ou dijonnais. C'est le maître-verrier Édouard DIDRON qui réalise les vitraux. Des fresques sont peintes dans la nef et le chœur en 1886.
  • L'histoire de l'orgue est peu commune. C'est d'abord un petit instrument qui est acheté avant la construction de l'église, mais il se révèle trop petit et est vendu. Le curé de cette époque souhaite un orgue plus grand et fait part de ses désidératas au facteur d'orgues Aristide CAVAILLÉ-COLL (1811-1899). Ce sera le seul instrument de cet artiste à être installé en Côte-d'Or. Mais la tribune est trop petite pour l'instrument. Qu'à cela ne tienne, il sera posé dans le chœur, derrière le maître-autel. L'orgue est inauguré en 1878. Par la suite, l'autel est déplacé sur le bas-côté de la nef.



Beffroi

Vu depuis la Place de la république

Le beffroi est élevé en 1619 pour servir d'hôtel de ville. Le sommet est coiffé d'un clocheton dans lequel est transférée la cloche de l'ancienne Porte Dijonnaise. L'horloge de cette ancienne porte est également récupérée et mise en place.

Sur la façade ouest, la porte d'entrée en pierres de taille avec filets est typique de l'architecture bourguignonne. Un bel escalier tournant dessert les deux étages, dont le premier servait de salle du Conseil.

En 1833, un nouvel hôtel de ville est construit Place d'Argentine. Le beffroi est cependant conservé et devient un des symboles de la cité nuitonne.

Sur un de ses murs, une fontaine est surmontée du buste de Paul CABET (Voir "Personnalités liées à la commune").

Le carillon du beffroi est restauré en 1989. Sa sonnerie est originale : toutes les demi-heures, elle égrène les notes d'une chanson folklorique bourguignonne.

Ancien hospice Saint-Laurent

Façade d'entrée ornée d'une pietà
Façade sur le Meuzin, avec vitraux de la chapelle et sacristie sur pilotis

L'emplacement pour construire cet hospice, le long de la rivière, est choisi dès 1633 par le procureur Guillaume LABYE. La première salle, dédiée à saint Laurent, est construite en 1692, à l'initiative du prêtre Antide MIDAN.

En 1740, une salle pour femmes est rajoutée à droite de la première, sous le vocable de Sainte-Madeleine.

Un siècle plus tard, grâce à un généreux don, est rajoutée la salle saint-Étienne, sur le côté gauche. En même temps, une chapelle est construite au centre des bâtiments. Sa sacristie est élevée sur pilotis au-dessus de la rivière.

En 1878 a lieu la construction de la salle Saint-Joseph.

Le pavillon Laënnec est ouvert en 1934 pour les maladies des voies respiratoires. Et quarante ans plus tard, l'hôpital est agrandi de nouveaux pavillons et modernisé.

L'hôpital est propriétaire de onze hectares de vignes. Et, tout comme les Hospices de Beaune, il organise chaque année une vente aux enchères dont les revenus permettent l'entretien du patrimoine ou l'achat de matériel médical.


Repère géographique.png Repères géographiques

Nuits-Saint-Georges est un bourg viticole célèbre, situé sur la D 974, route des Grands Crus de Bourgogne, entre Beaune au sud-sud-ouest et Dijon au nord-nord-est.

Son territoire ainsi que les communes se trouvant plus au nord font partie de la Côte de Nuits et des Hautes-Côtes de Nuits. Tandis que les villages se trouvant au sud font partie de la Côte de Beaune et des Hautes-Côtes de Beaune.

L'ensemble de cette zone viticole, appelée désormais Les Climats de Bourgogne, est classée au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2015.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 541 2 503 2 633 2 759 3 120 3 058 3 075 3 451 3 251 3 129
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 3 318 3 643 3 578 3 596 3 727 3 641 3 654 3 625 3 646 3 706
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 3 509 3 237 3 233 3 400 3 330 3 285 3 602 3 970 4 330 5 063
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 5 459 5 569 5 573 5 320 5 557 5 543 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Nicolas Claude Joseph MAREY 1816 - Né en 1780 - Décédé en 1861  
- -  
Jacques DURET - Né en 1794 - Botaniste - Conseiller général - Chevalier de la Légion d'honneur - Décédé en 1874  
- -  
Gaspard Henri de BAHÈZRE de LANLAY 1872 - 1874 Né en 1820 - Négociant en vins - Décédé en 1898  
- -  
Paul de MAREY-MONGE avant 1881 Né en 1838 - Lieutenant-colonel - Chevalier de la Légion d'honneur - Décédé en 1881  
- -  
Louis Symphorien LÉCRIVAIN avant 1891 - Né ca 1844.  
- -  
Jean-Baptiste Guillaume ROLLET 1909 - 1919 Né en 1842 - Négociant en vins - Décédé en 1923  
- -  
Henri CHALLAND 1925 - 1933 Né en 1872 - Viticulteur négociant - Décédé en 1933  
- -  
François Marie Joseph Pierre BARBIER 1949 - 1955 Né en 1898 - Négociant en vins - Conseiller général - Décédé en 1965  
- -  
Bernard (Joseph Louis) BARBIER 1969 - 1995 Né le 30/06/1924 à Lyon, décédé le 25/02/1998 à Talant (21) - Conseiller général (1969-1992), sénateur (1979-1998)[13]  
Xavier DUFOULEUR 1995 - 2008  
Alain CARTRON 03/2008 - (2026) Né le 14/10/1944.  
- -  

Cf. : Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Jean NIQUET 1622 - 1631 Notaire royal  
Jacques NIQUET 1640 - 1666 Fils du précédent  
- -  
Jacques DEREY 1685 - 1728 Né en 1668 - Notaire royal et procureur - Décédé en 1754  
- -  
Charles François GILLOTTE avant 1813 né en 1750 - Notaire et maire ici - Décédé en 1813  
- -  
- -  
Joseph Claude Alphonse GROS 1884 - 1909 né en 1854 - Décédé en 1923  
- -  
Antoine Ignace Joseph MISSEREY 1923 - 1939 Né en 1882 - Chevalier de la Légion d'honneur - Décédé en 1973  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Louis Simon GARNIER 08/01/1848 - 10/08/1877 Né à Châteauneuf (21) le 12/09/1812 - Ordonné prêtre le 28/05/1836 - Curé de l'Église Saint-Denis - Meurt le 10/08/1877  
- -  
- -  
Abbé Millot Eugène.jpg Eugène MILLOT 1957 - 1975 Ancien curé d'Auvillars-sur-Saône, né à Dijon le 28 mars 1910, décédé le 11 mas 1975.  
- -  
- -  

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Baptiste Paul CABET : né ici le 1er février 1815. Sculpteur français qui s'est formé aux Beaux-Arts de Dijon. En désaccord avec la politique française, il s'exile en Russie en 1846 et réalise des sculptures pour Saint-Pétersbourg. Il décède à Paris le 23 octobre 1876.
  • François-Félix TISSERAND : né ici le 13 janvier 1845. Astronome, membre de l'Institut et du bureau des longitudes. Directeur de l'observatoire de Toulouse. Professeur à la Sorbonne Ses travaux de mécanique céleste sont de premier ordre et il rédige un Traité de mécanique céleste, qui devient ouvrage de référence. Il décède à Paris le 20 octobre 1896.
  • Gaspard MONGE : né à Beaune le 9 mai 1746. Inventeur de la géométrie descriptive et analytique. Fondateur de l'École polytechnique. Est vraisemblablement lié à Nuits-Saint-Georges, car une place porte son nom, avec une fontaine cubique en son honneur. Il décède à Paris le 28 juillet 1818.


Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Monument aux morts, Jardin de l'Arquebuse


Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h 8 h 30 - 12 h - -
Après-midi 13 h 30 - 18 h 30 13 h 30 - 18 h 30 13 h 30 - 18 h 30 14 h - 18 h 13 h 30 - 18 h 30 - -
21464 - Nuits-Saint-Georges Mairie.JPG

Mairie
Adresse : Place d'Argentine - BP 50109 - 21703 NUITS-SAINT-GEORGES

Tél : 03 80 62 01 20 - Fax : 03 80 61 23 98

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public (Septembre 2019)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Le canton de Nuits-Saint-Georges
  Essai historique sur la ville de Nuits-Saint-Georges
  Nuits-Saint-Georges

  • LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  • Panneaux d'informations dans la ville

Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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Référence.png Notes et références

  1. Base Mérimée, site gallo-romain
  2. Appelé aussi Odon III, ce duc capétien régna de 1192 à 1218.
  3. LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  4. L'armorial des villes et des villages de France
  5. L'armorial des villes et des villages de France
  6. Base Mérimée
  7. Base Palissy, orgue de tribune
  8. LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  9. Base Palissy, escalier en bois
  10. Base Palissy, plaque de 1435 et Base Palissy, plaque de 1484
  11. Base Palissy, poutre de gloire
  12. Base Palissy, maître-autel
  13. Sénat

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