21008 - Alise-Sainte-Reine

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Alise-Sainte-Reine
Informations
Pays    France
Département    Côte-d'Or
Métropole
Canton   21-19   Montbard

  21-36   Venarey-les-Laumes (Ancien canton)

Code INSEE 21008
Code postal 21150
Population 572 habitants (2020)
Nom des habitants Alisiens, Alisiennes
Superficie 383 hectares
Densité 149.35 hab./km²
Altitude Mini : 237 m
Point culminant 407 m
Coordonnées
géographiques
47.5366° / 4.4872° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

  • Le Mont-Auxois, point culminant du domaine communal actuel, est déjà habité à la Préhistoire, plus particulièrement à la Tène : deuxième âge du fer. Les objets qui y ont été découverts lors de fouilles comportent beaucoup de céramiques faisant preuve d'une identité culturelle forte. Mais aussi des objets importés de la civilisation méditerranéenne, prouvant que la peuplade en question « s'insérait dans les réseaux commerciaux de son époque »[1].
  • Pour la communauté des historiens et archéologues professionnels, la localisation de la bataille d'Alésia ayant opposé Jules César et les tribus de la coalition gauloise sous l'autorité de Vercingétorix en 52 av. J.-C., se situe à Alise.
Les fouilles qui y ont été menées depuis deux siècles, notamment les dernières des années 1990, et leurs trouvailles ne laissent plus planer de doutes.
Dédicace de Martialis, écrite en gaulois, mise en forme à la façon romaine.MuséoParc Alésia
Photo B.ohland
  • Après la défaite, l'oppidum gaulois se romanise peu à peu. De récentes fouilles ont permis de retrouver les vestiges d'une villa gallo-romaine de grande importance. Elles est mentionnée par écrit au troisième tiers du Ier siècle après J.-C., dans une dédicace de Martialis concernant le monument d'Ucuetis, abritant la corporation des forgerons. La ville est en effet réputée pour son artisanat en bronze.
  • Au IVe siècle de notre ère, une religion chrétienne prend forme autour du culte et du pèlerinage de sainte Reine, jeune martyre qui vivait au siècle précédent[2]. Ce culte est attesté par les vestiges d'une basilique construite sur la tombe de Reine et se poursuit jusqu'en 866, année où ses reliques sont transférées à l'abbaye de Flavigny-sur-Ozerain. Cependant, Reine devient la patronne du village, et depuis cette date, elle est célébrée chaque année par une grande fête avec procession.
  • Entre-temps, les habitants ont peu à peu délaissé la villa gallo-romaine pour s'installer un peu plus bas, sur le flanc de colline exposé au Sud. Et les pèlerins ou visiteurs sont moins nombreux.
  • Une église est construite au VIIIe ou IXe siècle.
  • Au XVe siècle naît un regain d'intérêt pour Alise, notamment à cause d'une source qui jaillit à l'endroit où sainte Reine a été décapitée en l'an 252, laquelle source est vite qualifiée de miraculeuse. Un hospice ou hôpital y est construit. Au XVIIe siècle, des Cordeliers s'installent et restent jusqu'à la Révolution.
  • La renommée du village entraîne l'établissement de plusieurs hôtels, dont celui du Croissant, qui deviendra par la suite le Musée Alésia.


Héraldique

Pas de blason connu à ce jour.

Toponymie

Alise est clairement lié à Alésia. La forme la plus ancienne est Alisiia sur la dédicace ci-dessus. De nombreuses variantes se succèdent, dont « Alisiensis oppidum au VIe siècle, Alisiana locus au XIIIe et Alise au XVe »[3]. Toutes sont issues de la même racine celte qui pourrait correspondre à trois origines totalement différentes : un sommet rocheux, une source, ou un alisier (arbre).

Sainte-Reine fait référence au culte de sainte Reine (ou Reyne). Dans son ouvrage[4] , l'abbé J.B.E. fait allusion à la réunion du village d'Alise et de celui de Sainte-Reine, sans date précise.
La fiche de l'Insee mentionne "Alise" et "Petite Alise" pendant la Révolution, "Sainte-Reine" en 1793 et "Alise-Sainte-Reine" en 1801.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Côte-d'Or
  • Arrondissement - 1801-1926 : (Sémur) Semur-en-Auxois, 1926-2024 : Montbard
  • Canton - 1801-1910 : Flavigny, 1910-1961 : Venarey, 1961-2015 : Venarey-les-Laumes, 2015-2024 : Montbard
  • Commune : 1793-1801 : Sainte-Reine - 1801-2024 : Alise-Sainte-Reine

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :
  • Noms de la commune donnés pendant la période révolutionnaire : Alise, Petite Alise.

Patrimoine bâti

Vestiges de la villa gallo-romaine

Vue aérienne des vestiges
Image tirée d'un panneau d'information au MuséoParc Alésia

La villa commence à se développer au Ie siècle de notre ère et va atteindre sa plus grande envergure au IIIe siècle avec plusieurs milliers d'habitants.
Jules César cite dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules une citadelle et un rempart. Mais sont également bâtis :
- un forum, en forme de trapèze, la fameuse place publique à multiples vocations,
- un théâtre au Ier siècle, avec gradins pouvant accueillir environ « 5 000 spectateurs »[5],
- un temple, avec son aire sacrée,
- une basilique civile, au IIe siècle, destiné aux réunions de l'administration et de la justice,
- le monument d'Ucuetis, accueillant la corporation des forgerons et métallurgistes, et doté d'un sanctuaire,
- le quartier d'artisanat, comprenant de nombreux fours de bronziers, les artisans du bronze ayant largement contribué à la renommée de la villa,
- la quartier d'habitations,
Quant à l'eau, elle est captée par un vaste réseau de puits.

À partir du Ve siècle, la villa est progressivement délaissée, et les bâtiments démolis pour en réutiliser les pierres dans des construction en contrebas.

Cet ancien site gallo-romain est classé en tant que Monument historique[6].

Église Saint-Léger

Vue oblique, côté sacristie Photo B.ohland
  • L'édifice actuel, dédié à saint Léger[7], a conservé des éléments de l'église primitive du VIIIe siècle, notamment la trace d'un arc triomphal.
Le mur sud est mérovingien, le mur nord est carolingien. Au XIIe siècle, l'abside en cul-de-four est surmontée d'un clocher trapézoïdal en remplacement du sanctuaire primitif.
Le chœur est flanqué d'un "diaconicum"[8], modifié et transformé en baptistère au XVe siècle. La date de 1780 surmontant la porte correspond à une campagne de restauration.
Un deuxième clocher a été construit en 1865 au-dessus du portail avec les poutres utilisées pour dresser la statue de Vercingétorix. Comme il menaçait ruine à la fin du XXe siècle, il a été détruit.
  • La nef est couverte d'un plafond plat en bois.
Le grand crucifix provient de l'ancien couvent des cordeliers, détruit à la Révolution. La pietà polychrome date du XVe siècle.
L'intérieur a été restauré grâce à la générosité des habitants, dont le chanoine Kir. un buste en son honneur a été sculpté par Hubert YENCESSE et placé dans une niche au nord.


Chapelle et source Sainte-Reine, et couvent des cordeliers

Façade de la chapelle, donnant sur la terrasse Photo B.ohland
Source Sainte-Reine, protégée par une grille Photo B.ohland
  • En 1497, l'évêque d'Autun cède à l'archidiacre Julien CLERGET un lot de vignes, terrain sur lequel se trouvent un ancien autel dédié à sainte Reine, ainsi que la fameuse source dite miraculeuse.
L'archidiacre entreprend aussitôt de fonder une chapelle à destination des pèlerins. Leur affluence est telle que la chapelle est agrandie en 1590 et 1613.
La source est intégrée à la chapelle et protégée par une grille fermée à clé. (cette grille est inscrite en tant qu'objet historique depuis 1999[9].
  • L'arrivée de cordeliers en 1644 bouleverse l'aménagement du quartier.
Les moines construisent en effet un couvent et une autre chapelle, accolée au chœur de la précédente. Au moment de la Révolution, non seulement les moines doivent partir, mais leur couvent est démoli ainsi que la chapelle Sainte-Reine. Il ne reste que la chapelle monacale, à laquelle on va redonner le nom de Chapelle Sainte-Reine.
  • Détruite en partie lors d'un incendie, la chapelle est agrandie, réaménagée et restaurée en 1863. Du coup, la source et sa grille, qui se retrouvent à l'écart, sont intégrées dans la façade d'un bâtiment construit en 1931. Une niche y abrite une statue de sainte Reine.
La chapelle et la source sont inscrites aux Monuments historiques en 2012[10].


Hôpital Sainte-Reine

Au XVIIe siècle, le pèlerinage en l'honneur de sainte Reine est en pleine expansion. Il est alors décidé, en 1659, de fonder un hôpital pour soutenir ou soigner les pèlerins fatigués ou blessés.
Cette fondation reçoit le soutien de saint Vincent de Paul, de l'évêque d'Autun, et d'Anne d'Autriche qui lui accorde une rente annuelle et lui offre un fragment des reliques de Reine.
Le plan initial adopte un ensemble architectural en forme de H, avec chapelle centrale, mis en œuvre par le maçon Jean LESTRE. Par la suite des ailes ont été rajoutées et des remaniements effectués.
L'hôpital, qui existe toujours, est classé aux Monuments historiques en 1976[11], et un grand nombre de ses objets est également classé ou inscrit, que ce soit des meubles, des tableaux, des pots d'apothicairerie ou des chasubles par exemple.

Notre-Dame de Pitié

Sur la façade d'une maison en face de la mairie
Photo B.ohland

Cette pietà et sa niche proviennent de l'ancien couvent des cordeliers.

Il s'agit d'une sculpture en calcaire, autrefois peinte. La jambe gauche du Christ a été refaite en bois lors d'une ancienne réparation.

Sous le pied gauche de la Vierge est gravée une trace de signature et la date de 1660.

Cette pietà est inscrite en tant qu'objet historique depuis 2005[12] et a été restaurée en 2009.

Hôtel du Croissant et Musée Alésia

Façade sur rue Photo B.ohland
  • La renommée du pèlerinage de sainte Reine se traduit par l'installation de nombreux hôtels ou restaurants entre les XVIe et XVIIIe siècles.
L'hôtel du Croissant est construit en 1673, au-dessus de l'eau de la source.
La gestion du commerce est le privilège des cordeliers. Mais les propriétaires leurs intentent un procès au XVIIIe siècle car les religieux font commerce de l'eau miraculeuse avec Paris.
  • En 1909, le bâtiment est acheté par la Société des Sciences de Semur-en-Auxois, alors en pleine campagne de fouilles sur le site d'Alésia. L'hôtel est alors aménagé pour présenter au public les collections archéologiques. En 1910 est officiellement inauguré le Musée Alésia.
Tout au long du XXe siècle, les collections ne cessent de s'enrichir.
Appartenant au département de la Côte-d'Or depuis 2006, l'ancien musée sert maintenant de réserve et de lieu d'études.


Maison natale du chanoine KIR

Rue de l'hôpital, près de la Chapelle Sainte-Reine Photo B.ohland

Il s'agit d'une petite maison ne comportant qu'une pièce par étage.

C'est l'arrière grand-père du chanoine qui est venu habiter dans le village au début du XIXe siècle. Il s'appelait d'abord Sébastien CURÉ et, en 1789, adepte des idées révolutionnaires, il avait troqué son patronyme pour celui de KIR.
Après s'être engagé dans l'armée, il avait fondé une famille à Dijon puis était venu s'installer ici.

Le chanoine y est né le 22 janvier 1876. Après une vie bien remplie (voir section sous les notables), il décède le 25 avril 1968 et est inhumé dans le cimetière communal d'Alise.

Repères géographiques

Carte du ban communal. Projeté sur un mur du MuséoParc Alésia

Alise-Sainte-Reine se trouve à environ 57 kilomètres au nord-ouest de Dijon et 17 kilomètres au sud-est de Montbard.

Le village actuel est situé sur le flanc méridional du Mont-Auxois, plus bas que l'ancien oppidum d'Alésia et la villa gallo-romaine.

Le ban communal s'étire entre l'Oze au nord et l'Ozerain au sud.

Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 701 395 656 677 677 681 776 758 798 741
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 734 735 707 757 734 703 698 642 603 563
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 528 584 571 582 619 654 691 699 755 707
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 717 667 674 695 611 586 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.

En photos


Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Pierre Simon MOREAU 1847 - Né en 1791 - Propriétaire - Décédé en 1865  
- -  
François Victor PERNET - Né en 1838 - Vigneron - Décédé en 1922  
- -  
Jacques NEUGÉ -  
- -  
Jacques BAROZET 1989 - 2008  
Laurent MAILLARD 03/2008 - 2017 Né le 07/05/1961.  
Amandine MONARD 2017 - (2026) Née le 25/06/1986.  

Cf. Mairesgenweb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Philibert de BADIER vers 1630 - Notaire royal et procureur d'office - Décédé en 1642  
- -  
Louis Bénigne TIERSOT vers 1660 - Notaire royal et procureur d'office - Décédé avant 1683  
- -  
Léonard LEHUP vers 1760 - Né en 1699 - Notaire royal et procureur d'office - Décédé en 1774  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Andoche FOISSET vers 1770 - Né en 1713 - Décédé en 1788 à Arnay-le-Duc  
- -  
Étienne JOLLIARD -  
- -  
Louis JOVIGNOT 1939 -  
- -  

Liste des titulaires de la Légion d'honneur

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Pierre Henri Clément PERNET 16 mars 1865 Directeur adjoint des fouilles d'Alésia
Chevalier en 1951, Son dossier  
François BRENOT 18 avril 1825 9 février 1904 Sergent au 2e régiment du Génie
Chevalier en 1954, Son dossier  
Louis Marie Lazare SORDOILLET 22 septembre 1866 Médecin sanitaire dans la Marine, longtemps sur le paquebot "Atlantique"
Chevalier en 1926, Son dossier  
Félix Adrien KIR 22 janvier 1876 26 avril 1968 Prêtre, chanoine, maire et député
Commandeur en 1957, Son dossier  
Simon Frédéric GUYOT 14 septembre 1828 26 février 1875 Sous-lieutenant de cavalerie
Chevalier en 1869, Son dossier  
Fernand Eugène QUITTOT 11 juin 1901 9 février 1970 Chef d'escadron dans l'Artillerie
Chevalier en 1949, Son dossier  
André LEGOUT 16 février 1835 3 mai 1899 Adjoint au Génie à Alger
Chevalier en 1887, Son dossier  
Armand Nicolas Gérard Léonard LEHUP 13 septembre 1818 15 janvier 1894 Président du tribunal civil de Vendôme
Chevalier en 1864, Son dossier  
Jean-Baptiste BLANC 28 septembre 1815 27 septembre 1857 Capitaine trésorier
Chevalier en 1952, Son dossier  
Georges Albert BOURGEON 31 août 1886 14 février 1969 Capitaine de réserve dans l'Infanterie
Chevalier en 1917, Son dossier  

Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Félix KIR (Chanoine KIR) : né ici le 22 janvier 1876 et décédé le 25 avril 1968 à Dijon. Entré au séminaire en 1891 et ordonné en 1901. Curé de diverses paroisses, dont celle de Bèze de 1910 à 1924 et de Nolay de 1924 à 1928. En 1928, l'évêque de Dijon le nomme directeur des œuvres et groupements d'hommes et des œuvres de presse. Il s'installe alors à Dijon. Il y est nommé chanoine honoraire en 1931.
Durant la Première Guerre mondiale, il est mobilisé dans les services de santé. Durant la Seconde, il est un membre actif de la résistance.
Il est élu maire de Dijon et député en 1945[13]. Il est décoré commandeur de la Légion d'honneur en 1957. Il devient doyen de l'Assemblée nationale de 1958 à 1967. Réélu maire de Dijon en 1965, il décède durant son mandat en 1968.
Il est célèbre pour son humour et ses plaisanteries. Et il a donné son nom à une célèbre boisson apéritive à base de vin blanc et de crème de cassis.

Monument aux morts

Le monument aux morts (Photo de margouillat21 sur Geneanet)
Article détaillé : Consulter la liste des personnes inscrites sur le monument

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin - - - - 10 h 30 - 12 h - -
Après-midi 15 h 30 - 17 h 30 15 h 30 - 17 h 30 15 h 30 - 17 h 30 - - - -

Mairie
Adresse : 2, place de la Mairie - 21150 ALISE-SAINTE-REINE

Tél : 03 80 96 04 17 - Fax : 03 80 96 83 55

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public (Avril 2019)

Associations d'histoire locale

Bibliographie

Voir aussi (sur Geneawiki)

Liens utiles (externes)

Notes et références

  1. Diverses affiches au MuséoParc Alésia
  2. Martyrisée et décapitée par le général romain Olibrius pour avoir refusé ses avances.
  3. Alise-Sainte-Reine sur Wikipedia
  4. Alise-Sainte-Reine avant et après l'ère chrétienne
  5. Michel ROUGER, MuséoParc Alésia, Rennes, Éditions Ouest-France, 2018, 31 pages, ISBN 978-2-7373-7767-9
  6. Base Mérimée, Ancien site d'Alésia
  7. Évêque d'Autun, martyrisé en 678.
  8. Petite salle destinée aux diacres et servants de sacristie.
  9. Base Palissy, grille et tronc de la source
  10. Base Mérimée, Chapelle et fontaine Sainte-Reine
  11. Base Mérimée, Hôpital Sainte-Reine
  12. Base Palissy, Vierge de Pitié
  13. L'Assemblée nationale
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