1944-1945 : La Libération

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1944-1945 : L'insurrection nationale et la Libération

La France vit les derniers mois qui précèdent la libération dans un climat de tension extrême.

La situation économique s’est aggravée, des entreprises ferment, le chômage atteint des proportions jamais atteintes, la terreur se déchaîne, les vichyssois et les hitlériens se livrent à une extermination massive de la population.

Début 1944, les occupants pendent 50 jeunes maquisards à Nîmes.

En avril, le village d'Ascq, près duquel a eu lieu un déraillement, est victime de représailles sauvages : 86 hommes sont fusillés sur place.

Cette année 1944, le gouvernement de Vichy institue des cours martiales, qui échappent à toutes les règles de la procédure judiciaire et qui peuvent faire exécuter immédiatement les personnes appréhendées sur « les lieux du crime ».

Ni la terreur, ni la férocité ne peuvent briser la puissante vague de révolte populaire, qui chaque jour apporte de nouveaux exploits.

Le commandement allemand en France communique en février 1944 que environ tous les dix jours de 70 à 90 actes de terrorisme sont commis contre les forces de l’armée allemande, des personnalités militaires ou politiques.

Le haut commandement allemand des armées hitlériennes édicte un arrêt exigeant l’« application rigoureuse des mesures punitives, y compris le passage par armes ».

Il y avait plus de 25 camps de concentration en France.

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