18033 - Bourges
Bourges | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
Anciens cantons : |
Code INSEE | 18033 |
Code postal | 18000 |
Population | 66 606 habitants (2019) |
Nom des habitants | Berruyers, Berruyères |
Superficie | 6 874 hectares |
Densité | 968.96 hab./km² |
Altitude | Mini : 120 m |
Point culminant | 169 m |
Coordonnées géographiques |
47.084444° / 2.396389° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Fichier:18033 - Bourges carte administrative.png | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Ancien nom : Avaricum, ancienne capitale des Bituriges
- 523 : est détruite par Chilpéric
- 1415 : soutient un siège, sous le règne de Charles VII qui amène au au traité appelé "La Paix de Bourges"
- 1562 : les protestants s'en emparent
- 1594 : Henri IV s'en empare
Les habitants d'Asnières-lès-Bourges (quartier Nord de Bourges) se nomment les Hannetons.
Héraldique
« D’azur, à trois moutons passants d’argent, à la bordure engrêlée de gueules, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lis d’or. »
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Cher
- Arrondissement - 1801-2023 : Bourges
- Canton - 1801-1973 : Bourges --> 1973-1982 : Bourges-1 / Bourges-2 / Bourges-3 / Bourges-4 --> 1982-2015 : Bourges-1 / Bourges-2 / Bourges-3 / Bourges-4 / Bourges-5 --> 2015-2023 : Bourges-1 / Bourges-2 / Bourges-3 / Bourges-4
- Commune - 1801-2023 : Bourges
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
La cathédrale Saint-Étienne
La cathédrale de Bourges est inscrite par l'UNESCO sur la liste du patrimoine mondial. Ce monument majeur de la capitale du Berry est aussi l'une des plus belles cathédrales de France avec ses voûtes et les tombeaux de sa crypte.
Sainte Solange
Sainte Solange, la patronne du Berry. Née à Saint-Martin du Crot aujourd’hui, sainte Solange morte vers 878, la légende veut que refusant les avances de Bernard de Gothie, celui-ci la décapita, mais que sa tête invoqua trois fois le nom de Jésus. Le corps la ramassa et la porta jusqu’à Villemont, son lieu de naissance où on la retrouva.
Les vitraux de corporation
Lors de la construction des cathédrales les diverses corporations faisaient des dons et pour remercier ces généreux donateurs les vitraux les représentaient dans l’exercice de leur profession. Ici les « Boulangers » qui fabriquent des pains ronds en boule, d’où leur nom.
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 15 964 | 16 330 | 17 552 | 18 910 | 19 730 | 25 324 | 22 826 | 24 799 | 25 037 | 26 799 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 28 064 | 30 119 | 31 312 | 35 785 | 40 217 | 42 829 | 45 342 | 43 587 | 46 551 | 44 133 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 45 735 | 45 942 | 44 245 | 45 067 | 49 263 | 51 040 | 53 879 | 60 632 | 70 814 | 77 300 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 76 432 | 75 609 | 72 480 | 70 828 | 66 602 | 65 555 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2019.
En photos
Photos
Cartes Postales
Notables
Alfred STANKE dit "Le Franciscain de Bourges"
Note biographique succincte.
Alfred STANKE, dit Le Franciscain de Bourges, frère tertiaire franciscain, de son vrai nom Aloïs Joseph STANKE, né le 25 octobre 1904 à Dantzig, et décédé à Metz (Moselle) le 23 septembre 1975, était un soldat allemand, qui fut aumonier à la prison de Bourges, infirmier et humaniste.
Il était le fils de Leonhard STANIOZEWSKI, serrurier, décédé en 1901, qui demeurant à Ohra, district de Dantzig (aujourd'hui Gdansk), Pologne, et de Marie PRIZIBIELSKI. Leonhard, qui souhaitait devenir conducteur de locomotives, demanda la nationalité allemande, mais fut obligé en 1905 de germaniser son nom en STANKE, car la Régie des chemins de fer prussiens refusait d'employer des cheminots portant des noms polonais.
Alfred STANKE, après la guerre, séjournait régulièrement à Sélestat (Bas-Rhin), et c'est là que se noua son destin. Au couvent des Franciscains de cette ville, il fut grièvement brûlé dans un incendie qui ravagea sa chambre dans la nuit du 18 au 19 septembre 1975, provoqué peut-être par une cigarette. Transféré d'urgence à l'hôpital de Metz, chez les grands brûlés, il y meurt le 23 des suites de ses brûlures. Ses obsèques eurent lieu dans la cathédrale de Bourges le 26 septembre, et il fut inhumé au cimetière de Saint-Doulchard près de cette ville.
Il acquit une célébrité en 1967 grâce au film de Claure Autant-Lara, Le Franciscain de Bourges, dont le rôle était tenu par l'acteur Hardy Krüger qui d'ailleurs ne demanda aucun cachet pour son interprétation.
Des cuisines du Pape Pie XI à la Gestapo
Très jeune, il entre chez les tertiaires de Saint-François et à 20 ans il est cuisinier du Pape Pie XI au Vatican. En 1940, sa vie bascule. Enrôle dans la Wehrmacht, il suit des cours d'infirmier à Paris et devient frère hospitalier. En 1942 il est caporal infirmier et muté à la prison du Bordiot de Bourges comme gardien-infirmier. Là, il s'émeut de voir les détenus des cachots qui rentraient épuisés par les tortures et les interrogatoires musclés. Durant la nuit il les réconforte et les soigne.
Il va utiliser sa position pour venir en aide aux prisonniers qui y sont incarcérés, résistants, mais aussi pilotes anglais. Il les soigne et les soulage quand ils ont été torturés, les réconforte comme il peut, leur fournit un complément de nourriture. Il leur permet de communiquer entre eux pour préparer leurs interrogatoires, il facilite leurs échanges avec l'extérieur, familles et résistants.
Il entrera en contact avec un autre soldat, alsacien, qui le fait embaucher à la Kommandantur et à la Gestapo pour pouvoir renseigner la Résistance dont il anime un groupe à la barbe de ses chefs, jouant ainsi un double jeu. Il porte son uniforme de sous-officier de la Wehrmacht comme un manteau de Saint-Martin. Grâce à lui, un grand nombre de résistants, d'israélites et de réfractaires ne partiront pas en déportation. Beaucoup de condamnés affronteront avec son aide et son réconfort le peloton d'exécution avec courage.
Plus tard, fait prisonnier par les FFI de Vesoul en 1944, il connaîtra lui aussi les prisons et les barbelés. Les résistants de Bourges voulurent l'en faire sortir en 1946, et des officiers français vinrent le voir pour lui dire : Frère Alfred, on vous naturalise et vous devenez un officier français, mais il répondit : Moi, je suis un franciscain, un infirmier, pas un soldat.
Libéré en juin 1946, il retourne en Allemagne et s'y retire avec sa sœur dans une petite localité. Il s'y occupe de la réconciliation des anciens combattants français et allemands, animant un grand nombre de maisons et de mouvements de jeunes.
Son action à Bourges
Avec l'aide des résistants locaux, il organisa le courrier clandestin de la prison du Bordiot. Ce courrier faisait communiquer avec leurs familles les prisonniers internés par la Gestapo, et fonctionna de décembre 1942 à juillet 1944. Ce courrier clandestin était souvent la seule voie permettant de faire suivre les dernières lettres des condamnés.
Des vêtements, des vivres et des médicaments étaient également transmis par ce moyen. Dans quelques cas même, des prises de contact personnelles ont pu être réalisées. En dehors des transmissions personnelles, l'existence de cette organisation était aussi la coordination de la défense lors des interrogatoires, la mise au courant des réseaux et les avis précieux quand il s'agissait d'arrestations que les allemands voulaient tenir secrètes.
Était-il un résistant ? Faisait-il partie de la Résistance ?
La meilleure réponse nous est donnée par Monseigneur André Girard dans une homélie qui lui fut consacrée en septembre 1993 à Saint-Doulchard :
[...] Ce Cher Frère n'était qu'un modeste caporal-infirmier, au milieu de nombreux soldats allemands, ses compatriotes, envoûtés ou jugulés par le nazisme que lui, Alfred, détestait de tout son cœur de chrétien et de franciscain.
Il n'arriva jamais à s'exprimer correctement en français. Mais il avait la richesse suprême, celle du cœur, la seule qui compte devant Dieu. Et cette richesse-là il la distribua courageusement, au péril de sa vie, à ceux qui souffraient autour de lui dans les geôles du Bordiot, de quelque nationalité qu'ils fussent, et cela sans entraver en rien l'amour qu'il portant à sa patrie, car il avait la liberté d'aller en ville et d'entrer dans les cellules de la prison dont il avait les clés. Pendant 17 mois, il assista le moral des prisonniers, renseigna les familles, soigna les blessés, servit les résistants, et fit échapper beaucoup de gens à la mort.
Il resta cependant jusqu'au bout un allemand fidèle à sa patrie, et ne demanda jamais que de suivre le sort de ses compatriotes à la fin de la guerre. Mais, résistant, il le fut à sa manière, dans son action, mais aussi par sa résistance spirituelle à l'idéologie. Il n'avait pour armes que sa foi chrétienne et son cœur qui l'opposaient au nazisme et qui lui inspira l'amour qu'il portait à Dieu et à tous ses frères les hommes. Le frère Albert n'a jamais combattu les armes à la main, ni avec, ni contre les Allemands, ni avec, ni contre les Français.
En bref, un homme de bien !
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
de BAUVOIR de NOINTEAU | 1779 - 1789 | |
VIVIER de BOISRAY | 1790 - 1791 | |
MICHONNET | 1791 - 1792 | |
GAY | 1792 - 1793 | |
BIENVENUAT | 1793 - 1794 | |
Gabriel DUBREUIL | 1794 - 1795 | |
BIENVENUAT | 1795 - 1797 | |
GAMBON | 1797 - 1798 | |
ROUEN | 1798 - 1798 | |
MICHONNET | 1798 - 1800 | |
CALLANDE-CLAMECY | 1801 - 1811 | |
de BONNAULT d'HOUET | 1811 - 1815 | |
DEVAUX | 1815 - 1816 | |
de BONNAULT d'HOUET | 1816 - 1818 | |
GASSOT de FUSSY | 1818 - 1824 | |
Pierre SOUMARD | 1824 - 1824 | |
Armand de BONNEVAL | 1824 - 1828 | |
Pierre SOUMARD | 1828 - 1830 | |
Philibert MAYET GENETRY | 1830 - 1848 | |
PARNAJON | 1848 - 1848 | |
Pierre PLANCHAT | 1848 - 1868 | |
CHENON | 1868 - 1870 | |
Philippe DEVOUCOUX | 1870 - 1874 | |
Edmond RAPIN | 1874 - 1878 | |
Eugène BRISSON | 1878 - 1888 | |
Théophile LAMY | 1888 - 1892 | |
Louis Henri MIRPIER | 1892 - 1894 | |
Alfred VAILLANDET | 1894 - 1894 | |
Joseph LEBRUN | 1894 - 1900 | |
Henri DUCROT | 1900 - 1902 | |
Paul COMMENGE | 1902 - 1919 | |
Henri LAUDIER | 1919 - 1943 | |
Charles COCHET | - | |
Henri SALLE | 1944 - 1948 | |
André COTHENET | 1948 - 1953 | |
Louis MALLET | 1953 - 1959 | |
Raymond BOISDE | 1959 - 1977 | |
Jacques RIMBAULT | 1977 - 1993 | |
Jean Claude SANDRIER | 1993 - 1995 | |
Serge LEPELTIER | 1995 - 2004 | |
Roland CHAMIOT | 2004 - 2005 | Conseiller général |
Serge LEPELTIER | 2005 - 2014 | |
Pascal BLANC | 2014 - 2020 | |
Yann GALUT | 2020 - (2026) | Député[1], conseiller général |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Gaston DEBIET de MAUBRANCHES | 1722 - 1732 | Chanoine de Bourges, conseiller du Roy, lieutenant général au baillage et siège présidial de Bourges |
Jacques Nicolas DECHARRANT | 1724 - | Prieur de St Sulpice et chanoine de St Etienne de Bourges |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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- | - | - |
Cf. : Voir les 656 notices (en renseignant simplement le lieu de naissance.)
Les médaillés de Sainte-Hélène
La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405 000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Cf. : Voir les 11 fiches (en renseignant simplement le lieu de naissance.)
Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- Sophie BARTAC, actrice née le 24 mars 1957
- Louis BOURDALOUE, prédicateur né le 20 août 1632, décédé à Paris le 13 mai 1704
- Jacques COEUR, argentier du roi Charles VII, né vers 1395, décédé à Chio (Grèce) le 25 novembre 1456
- Vladimir JANKELEVITCH, philosophe né le 31 août 1903, décédé à Paris le 6 juin 1985
- LOUIS XI, roi de France de 1461 à 1483, né le 3 juillet 1423, décédé à La Riche (Indre-et-Loire) le 30 août 1483
- Berthe MORISOT, peintre née le 14 janvier 1841, décédée à Paris le 2 mars 1895
- Jean-Christophe RUFIN, médecin cardiologue écrivain né le 28 juin 1952
- Geoffroy TORY, fut à la fois littérateur, graveur et typographe. Né à Bourges vers 1480, il mourut à Paris vers 1533. Après avoir professé la littérature et la philosophie, il devint correcteur chez Henri Estienne. Il fut nommé imprimeur du Roi en 1530. Il grava bon nombre de vignettes, de lettres ornées et de caractères d'imprimerie pour Robert Estienne et Simon de Colines. Outre ses éditions et ses traductions d'auteurs anciens, on lui doit un traité de calligraphie et de typographie : Le Champ fleury (1529). Dans ce remarquable ouvrage, Tory étudie la proportion des lettres et leur construction. Il était partisan de leur donner les proportions du visage et du corps humain. (De l'écriture à la typographie, Jérôme Peignot, collection Idées, Gallimard, 1967, p.222.)
- Robert TESTU, connu comme TETSU, dessinateur humoristique, né le 12 juillet 1913, décédé à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) le 2 février 2008
Décès :
- Sainte JEANNE de FRANCE (ou de VALOIS), fille de Louis XI, béatifiée en 1742, née à Nogent-le-Roi (Eure-et-Loir) le 23 avril 1464, décédée le 4 février 1505
Émigration
Émigration en Algérie
Article détaillé : Bourges - Émigration en Algérie
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1914-1914)
- Naissances (1712-1791)
- Mariages (1609-1791)
- Décès (1712-1791)
- Décès (1793-1902)
- Mariages (1905-1907)
- Mariages (1904-1904)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Naissances (1793-1902)
- Mariages (1903-1903)
- Mariages (1793-1902)
- Autres (1860-1960)
Documents numérisés
- Registres matricules, classe 1907, Bourges, n°1001-1500 (1907-1907)
- Registres matricules de la Garde nationale mobile, Cher, tome 4, classe 1865-1866. (1865-1866)
- Registres matricules de la Garde nationale mobile, subdivision de Bourges, classe 1876. (1876-1876)
- Registres matricules, classe 1907, Cosne, n°1496-1810 (1907-1907)
- Registres matricules, classe 1915, Bourges - Nevers n°1-258 , 1940-1949 (1915-1915)
- Registres matricules, classe 1887, n°501-1000.Le Châtelet (fin), Châteaumeillant, Saint-Amand-Montrond, Châteauneuf-sur-Cher, Lury-sur-Arnon, Graçay. (1887-1887)
- Registres matricules de la Garde nationale mobile, subdivision de Bourges, classe 1871. (1871-1871)
- Registres matricules, classe 1902, Bourges, n°1001-1500 (1902-1902)
- Registres matricules, classe 1899, n°1-500.Saint-Amand-Montrond, Châteauneuf-sur-Cher, Lignières, Charenton, Châteaumeillant, Le Châtelet (début). (1899-1899)
- Registres matricules, classe 1916, Bourges n°1001-1500 (1916-1916)
- Registres matricules, classe 1897, n°1501-2238.Dun-sur-Auron (suite), Charenton, Châteaumeillant, Le Châtelet, Lignières, Saulzais-le-Potier, Saint-Amand-Montrond, isolés des divers cantons. (1897-1897)
- Registres matricules de la Garde nationale mobile, subdivision de Bourges, classe 1869, 1er volume. (1869-1869)
- Registres matricules, classe 1888, n°1501-1774.Mehun-sur-Yèvre (fin), isolés des divers cantons. (1888-1888)
- Registres matricules de la Garde nationale mobile, classe 1878, 1er volume, n° 1-490.Baugy, Mehun-sur-Yèvre, Chârost, Lury-sur-Arnon, Graçay, Levet (début). (1878-1878)
- Registres matricules, classe 1893, n°501-1000.Baugy (fin), Saint-Martin-d'Auxigny, Lury-sur-Arnon, Les Aix-d'Angillon, Chârost, Levet, Vierzon (début). (1893-1893)
- Registres matricules, classe 1921, Bourges n°1-500 (1921-1921)
- Registres matricules, classe 1899, n°1501-2000.Vierzon (suite), Bourges, Dun-sur-Auron (début). (1899-1899)
- Registres matricules, classe 1902, Bourges, n°2001-2147 (1902-1902)
- Registres matricules, classe 1901, Bourges, n°1501-1750Le registre contenant les matricules 1001 à 1500 n'a jamais été versé aux Archives départementales du Cher par les autorités militaires et n'est donc pas disponible. (1901-1901)
- Registres matricules, classe 1895, n°501-1000.Saint-Amand-Montrond (fin), Châteauneuf-sur-Cher, Dun-sur-Auron, Les Aix-d'Angillon, Bannay. (1895-1895)
Cimetières
- Cimetière d'Asnières
- Cimetière des Capucins
- Cimetière Saint-Lazare
- Cimetière du Lautier
- Cathédrale Saint-Étienne de Bourges
- Cimetière de Pignoux
- Cimetière protestant de la Chaume à Asnières-les-Bourges
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30-12h | 8h30-12h | 8h30-12h | 8h30-12h | 8h30-12h | - | - |
Après-midi | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | 13h30-17h30 | - | - |
Mairie |
Adresse : 11, rue Jacques Rimbault - CS 50003 - 18020 BOURGES
Tél : 02 48 57 80 00 - Fax : 02 48 65 00 77 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Fermeture exceptionnelle à 16h30 les 24 et 31 décembre. Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Novembre 2017) |
Associations d'histoire locale
Dépouillements des registres paroissiaux
- Service d'état civil : 11 rue Jacques Rimbault - Registres jusqu'en 1883.
- Archives municipales : 8 Place des Quatre Piliers - Ouverture les mercredi et samedi de 10h à 12h et de 14h à 17h30.
- Archives départementales : Les Grands Mazières - Ouverture du lundi au vendredi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h30.
Patronymes
Bibliographie
La mémoire industrielle de Bourges
Bourges de A à Z
Bourges Mystérieux, vestiges antiques, grottes, souterrains, carrières, sources
Bourges d'antan
Bourges au XVème siècle
Les maisons en pan de bois de Bourges
Le vestiaire liturgique de la Cathédrale de Bourges
Bourges et ses écrivains
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la commune
- la Cathédrale de Bourges
- La commune sur Wikipédia
- Sur Encyclopédie de Bourges
- Émigration en Algérie