06075 - Levens
Levens | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Arrondissement | ![]() |
Métropole | Nice Côte d'Azur |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 06075 |
Code postal | 06670 |
Population | 4 738 habitants (2017) |
Nom des habitants | Les Levensois |
Superficie | 2 985 hectares |
Densité | 158.73 hab./km² |
Altitude | Mini : 121 m |
Point culminant | 1414 m |
Coordonnées géographiques |
43.861667° / 7.225278° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
- Longtemps avant l'ère contemporaine, les premiers habitants mentionnés par l'histoire sont les Lépontiens, une des nombreuses tribus ligures. Le nom de Léponti devint Leventi sous les Romains, puis Leventio au Moyen Âge, Levenzo pendant la séquence italienne, pour devenir l'actuel Levens. Avant le peuplement par les Léponti, qui occupèrent la vallée médiane du Var et la haute vallée du Paillon, et fondèrent également Lucéram, d'autres clans ont vraisemblablement vécu sur ce site : des ossements humains, des restes de foyers, des fragments de poterie de l'époque magdalénienne ont été mis au jour en 1912 dans la grotte du Rat ; des enceintes fortifiées de l'âge du fer sont visibles sur le Castellar, sur la chaîne du Férion.
- Les Romains choisissent le quartier des Prés, un des plus beaux sites de la commune, lorsqu'ils s'y établissent et fondent une importante agglomération. Ils construisent la voie muletière pavée qui va de Cimiez à Saint-Martin-Lantosque passant par Levens. La princesse Cornélie Salonine, épouse de l'empereur Galien, y aurait séjourné. Le vestige romain le plus important est une inscription sur une pierre en provenance d'un ancien monument élevé par une veuve à la mémoire de son mari et de son fils, visible au chevet de l'ancienne église Notre-Dame-des-Prés connue sous le nom de la Madone.
- Leventi souffrit beaucoup de l'invasion en 407 du comté de Nice par une armée de plus de 200 000 Vandales.
- Le village actuel a été bâti autour de l'ancien château féodal élevé par les comtes de Provence après l'effondrement de l'Empire romain.
- Les chevaliers de l'ordre du Temple établissent leur commanderie à Notre-Dame-des-Prés, après l'accord vers 1135 entre le pape et l'empereur d'Allemagne, alors suzerain de la Provence. La crypte témoigne de la prospérité de cette commanderie. Dans la cour existe encore l'auge en pierre percée d'un trou qui servait de mesure aux céréales de la dîme. Soldats et bâtisseurs, ils élèvent une chapelle près du sommet du mont Férion, sous le vocable de l'archange saint Michel, à la place d'un autel au dieu Mars.
- Le 20 janvier 1307, Charles d'Anjou fait arrêter tous les templiers du comté de Nice, en vertu d'ordres reçus du roi de France Philippe le Bel. Mais l'établissement continue de porter son nom, et le bénéfice de la commanderie de Notre-Dame-des-Prés est donné au couvent de Saint-Pons, jusqu'à la Révolution. Ce qui sera source de différends entre les abbés de Saint-Pons et les prieurs de l'église paroissiale Saint-Antonin.
- À la fin du XIVe siècle, la destinée de Levens est liée à celle de tout le comté de Nice qui, brusquement, se sépare de la Provence pour se dédier à la Savoie, sur l'initiative du puissant Jean Grimaldi, baron de Beuil et sénéchal de Provence, dont le fils aîné sera seigneur de Levens. L'acte de dédition est signé le 28 septembre 1388, devant le monastère de Saint-Pons. À cette occasion, Levens, Lucéram et Utelle, réunis en confédération, déclarèrent refuser le serment d'hommage à Amédée VIII le Rouge, comte de Savoie, si on ne leur rendait pas les libertés et privilèges concédés à prix d'argent par la reine Jeanne.
- Un événement très important pour toute la vallée de la Vésubie fut la construction, à partir de 1431, de la route muletière de Nice à Vinadio, par Levens, Utelle, Lantosque, Saint-Martin et la chaîne de montagnes qui aboutit aux vallées de Coni. Moyennant le droit de péage à son profit, Paganini Dalpozzo, riche patricien niçois, offrit d'ouvrir à ses frais cette route nouvelle pour le transport du sel, dont l'exploitation était une branche considérable du commerce niçois. La route terminée vers 1434 favorisa largement Leventio qui put entretenir des relations commerciales suivies avec les localités de la vallée de la Vésubie.
- L'épidémie de peste de 1467 ravagea une grande partie du comté, qui perdit un tiers de sa population lors de la première vague de « mort noire ».
- Le 8 janvier 1475, Louis Grimaldi, seigneur de Levens et descendant de Jean, accorde aux habitants une charte « de liberté » leur conférant le droit de nommer eux-mêmes leurs conseillers et syndics, la disparition de la taille, moyennant une redevance annuelle de 40 florins d'or à payer aux Grimaldi le jour de la Toussaint.
- Jean II Grimaldi, investi du fief de Levens le 15 mai 1543, prête serment de fidélité à Emmanuel Philibert, duc de Savoie, pour aussitôt le trahir et s'engager aux côtés des troupes franco-turques lors du siège de Nice. Convaincu de trahison, Jean II est comdamné au bannissement et à la confiscation de ses biens. Les habitants de Leventio achètent, par acte du 22 octobre 1550, directement à leur suzerain savoyard, les moulins (à farine) et deficis (moulins à huile) avec faculté d'en construire de nouveaux, moyennant la somme de 1 200 écus d'or d'Italie. Mais après 14 ans d'errance en France et son amende honorable, Jean II est restitué dans ses titres et propriétés, par acte du 8 décembre 1557, soulevant la colère des habitants et rendant, pour longtemps, les Grimaldi impopulaires.
- Annibal Grimaldi, comte de Beuil et gouverneur du comté de Nice, entretenait des relations politiques avec le voisin français et complotait, dès 1614, de donner le comté à la France. Charles-Emmanuel, duc de Savoie, retire alors à Annibal Grimaldi son commandement et lui ordonne de le suivre, avec son fils André, à la cour de Turin. Ceux-ci retournent dans leur terres, Charles-Emmanuel ne peut plus les considérer que comme rebelles. Ne pouvant compter sur l'appui du roi de France Louis XIII qui vient de marier sa sœur Christine avec Victor Amédée, le fils de Charles-Emmanuel, Annibal Grimaldi et son fils sont convaincus de lèse-majesté, de rébellion et de félonie, et condamnés par contumace à la peine capitale, à la suite d'un procès qui traine en longueur. Le comte de Beuil s'enferme alors dans son château de Tourettes-Revest, qui est aussitôt assiégé par les troupes savoyardes. Il est étranglé le 9 janvier 1621.
- À l'époque de ces péripéties entre le suzerain et son vassal, le seigneur de Levens est César Grimaldi. Les habitants avaient encore en mémoire le retour de Jean II, et la jeunesse n'oubliait pas que le comte de Beuil était l'auteur des lettres interdisant toute réjouissance publique sans l'accord du seigneur. En apprenant la fin d'Annibal, César et sa famille s'enfuient à Cabris, les Levensans se portent au château, le dévalisent, plantent le boutàu (la pierre sur laquelle on saute) et dansent la farandole en sautant dessus, en criant : « Nous sautons sur le ventre de Grimaldi ! »
- Dès le lendemain, le duc de Savoie accueille favorablement une adresse reçue des Levensans l'assurant leur dévouement à la Savoie. En retour, Charles-Emmanuel accorde une charte de liberté à Levens qui devient comtesse d'elle-même. Le 16 octobre 1622, ordre est donné de détruire les remparts qui défendaient le château.
- Dans les années sombres de la période révolutionnaire, Levens eu, comme tout le comté, à souffrir des exactions des troupes françaises d'occupation, et du mouvement barbet contre-révolutionnaire. Le 29 septembre 1792, le général d'Anselme pénètre dans la ville de Nice. Le 17 octobre 1792, les 1 150 hommes du maréchal de camp Paul de Barral s'emparent de Levens, puis marchent vers Duranus et Lantosque. Le futur maréchal Masséna, né à Nice et élevé dans ses maisons familiales de la Siga et du Serret, à Levens même, faisait partie de cette troupe d'occupation...
Héraldique
Parti : au premier de gueules à la hallebarde d’or, sur laquelle s’enroule une flamme du même portant l’inscription : Libertas -1621 de sable ; au second d’azur a la champagne cousue de sable soutenant un coq de gueules sur un rocher d'or surmonté d'un soleil du même mouvant de l'angle senestre du chef.
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Alpes-Maritimes [1814, Alpes-Maritimes (États Sardes)]
- Arrondissement - 1801-2023 : Nice [1816, prov. Nice]
- Canton - 1801-1818 : Aspremont --> 1818-1860 : mandement Levens --> 1860-2015 : Levens : --> 2015-2023 : Tourette-Levens
- Commune - 1801-2023 : Levens
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Chapelle des Pénitents noirs
Les Pénitents Noirs s’occupaient des malades, des pauvres, de la toilette des morts et des enterrements et participaient aux processions.
Chapelle de la Miséricorde ou Capela Negra.
La chapelle date probablement du 2e tiers du XVIIe siècle. La façade a été plusieurs fois restaurée. La façade de style baroque est surmontée d'une architrave et d'un fronton brisé s'ouvrant sur un oculus. Le clocheton à volutes est posé sur le rebord du toit.
L'édifice est de forme rectangulaire. La nef présente un plan Barlong, une voûte en berceau plein cintre.
Le maître autel est adossé au chevet plat. Le retable surmontant celui ci est dédié à la Vierge à l’enfant entourée de Jean-Baptiste et de Pons. Il date probablement de la première moitié du XVIIIe siècle. Tableau largement modifié en 1979 par le fresquiste Guy Ceppa .
Sous l’autel: un Christ gisant en bois polychrome du XVIIe siècle.
Le chemin de croix, qui orne les murs de la chapelle, date de la restauration sarde et devait auparavant être dans l’église paroissiale.
Source[1].
Chapelle des Pénitents blancs
La Chapelle construite en 1775 dans le style baroque accueillait la confrérie des pénitents blancs qui était une association de laïcs en charge de piété et de charité chrétienne.
La façade conserve une certaine sobriété. Le plan central est convexe tandis que les deux travées latérales sont rectilignes. Le fronton suit les lignes légèrement ondulantes de la façade. La seule ouverture pour éclairer la chapelle : un oculus bifide. La chapelle est dédiée à Notre-Dame de l’Assomption.
L'horloge a été installée en 1897.
Chapelle Sainte-Claire
Chapelle située au hameau de Sainte-Claires, chemin J.B Calviera.
Chapelle privée accolée à la maison habitation de ses propriétaires, la famille PERADOTTO. Elle faisait l'objet d'un pèlerinage vers le 12 août.
Le tableau représentant la sainte se trouve derrière l'autel.
Chapelle Sainte-Pétronille
Chapelle située au hameau du Pestrier à la limite avec Saint-Blaise.
L'agriculture est présente sur ce lieu depuis la préhistoire et au XIe l'abbaye de Saint Pons à Nice, pour relancer l'activité, fait construire une chapelle, dédiée à Santa Pirounella (Sainte Pétronille). On peut encore voir des ruines sur le site. Le lieu est déserté à nouveau puis au XVIIe une nouvelle chapelle est construite, restaurée, abandonnée, et puis laissée en ruines jusqu'à sa reconstruction entre 1996 et 2002 par les élèves du bâtiment du lycée Pierre SOLA de Nice et des élève du GRETA.
Elle fut bénite par Mgr BARSI lors de l'inauguration le 5 octobre 2002.
Une peinture murale a été peinte avec Claire, Pétronille et Pons.
Source[2]
Chapelle du cimetière
Chapelle située au nouveau cimetière, avenue des Micocouliers.
En 1887 est décidée la construction du nouveau cimetière pour remplacer celui de l’église devenu trop petit.[3]
Chapelle Saint-Joseph
Chapelle privée appartenant aux Giletta située sur la route de La Roquette au lieu dit Porte Rouge.
On peut lire la date: 12 juin 1845 sur un cadre à l'intérieur. Passeurs de mémoire indique une construction initiale en 1678.
Abbaye de la Madone-des-Prés
Photos aimablement fournies par l'office de tourisme.
Chapelle située sur le chemin de la Madone à Levens.
Le Chartrier de l’abbaye de Saint-Pons hors les murs indique que ce prieuré existait déjà en 1075 lors de la donation à l’abbaye de Saint-Pons, qui le conserve jusqu’à la Révolution.
L'église de la Madone-des-Près était la première église de Levens. Son style la rattache au premier art roman et date approximativement du 3e quart du XIe siècle.
Aujourd'hui, les restes de l'église sont englobés dans une habitation. Il reste de l'église romane le chevet et la crypte.
Les restes de l'église sont classés au titre des monuments historiques le 5 octobre 1965[4].
Église Saint-Antonin
La première mention de l'église date de 1266 dans le chartier de l'abbaye de Saint-Pons.
L'édifice actuel date de la fin de la seconde moitié du XVe ou première moitié du XVIe siècle. La facade date de 1904 lorsque à la suite du tremblement de terre de 1887 il fut décidé de rehausser le clocher et de refaire la façade en pierre de La Turbie.
L'intérieur de l'église est dans le style gothique tardif. La façade est néo romane.
Édifice inscrit au M.H le 22 décembre 1941 [5].
Église Sainte-Anne
Église située au hameau du "Plan du Var".
Église fondée en 1910 grâce à la volonté de l’abbé Henri CHATAIN qui l'a financé avec des dons et ses deniers personnels. L'église est à nef unique avec deux chapelles latérales. Un vaste presbytère complète le lieu de culte. celui ci faisait une étape pour les curés se rendant dans dans leurs paroisses de Montagne.
Le curé avait du entrevoir le développement du plan du Var.
Église Saint-Antoine-de-Padoue
Église située au hameau saint-Antoine Siga. le hameau est partagé entre Levens et saint-Blaise mais l'église est sur Levens.
Édifice et clocher à bulbe avec tuiles vernissées du XIXe siècle (la date de 1869 est celle de la fin des travaux). Elle a été reconstruit sur l'emplacement d'une ancienne chapelle.
La restauration de l'extérieur à été faite dans les années 2000.
L'inauguration de la restauration intérieure a été faite le 13 juin 2015.
Edifice à nef de deux travées flanquée de collatéraux.
Dans le clocher reconstruit en 1887, il y a trois cloches. Deux de 1856 et une de 1925.
Autres édifices religieux
- Chapelle Saint-Michel située sous le mont Férion.
- Chapelle Notre Dame des 7 Douleurs située au hameau des Traverses.
Repères géographiques
Le village, bâti sur une éminence rocheuse, culmine à 600 m d'altitude. Il est au centre de la commune qui s'étend, d'ouest en est, de la plaine du Var (écart de Plan-du-Var) à la chaîne du Férion dont le point le plus élevé, le mont Férion, est à 1 400 m d'altitude. Au sud, l'écart de Laval, au nord, la Vésubie.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1822 | 1831 | 1838 | 1841 | 1848 | 1851 | 1858 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 069 | 1 090 | 1 172 | 1 317 | - | 1 504 | - | 1 712 | - | 1 858 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 800 | 1 795 | 1 733 | 1 689 | 1 508 | 1 553 | 1 647 | 1 511 | 1 310 | 1 384 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 328 | 1 305 | 1 218 | 1 188 | 1 154 | 1 013 | 1 107 | 1 223 | 1 299 | 1 422 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 800 | 2 686 | 3 700 | 4 427 | 4 709 | 4 703 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
Notables
- Pierre GILETTA (fin XVIe siècle - début XVIIe siècle), prêtre séculier et professeur de théologie au collège de Nice, préfet de la maison ducale. Publie en 1608 à Thonon une Déclaration de foi, ouvrage contre les calvinistes rédigé en français.
- François MALAUSSÉNA (Levens, 1814 - Nice, 1882), avocat au barreau de Nice, maire de Nice, président du conseil général des Alpes-Maritimes.
- Frédéric MAURANDI (Levens, 1863 - Massoins, 1943), instituteur. Publie en 1931 Les Annales de Levens.
- Victor TIRANTY (Levens, 1750 - Nice, 1835), juriste, notaire et homme d'affaire, membre de la Société populaire. Défenseur de la France et de la Révolution, il s'est élevé contre le comportement du général d'Anselme et de ses troupes.
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Laurent GILETTA | 1796 - 1800 | |
Augustin GILETTA | 1800 - 1800 | |
Laurent GILETTA | 1800 - 1806 | |
Jean GIRAUD | 1806 - 1813 | |
Etienne LAURENS | 1813 - 1818 | |
Ludovic VEROLA | 1818 - 1821 | |
Jean RAYNAUT | 1821 - 1825 | |
Jean MASSEGLIA | 1825 - 1826 | |
Pierre MAURIN | 1827 - 1834 | |
Victor LAURENS | 1834 - 1835 | |
Jean RAYNAUT | 1835 - 1843 | |
Etienne HERAUD | 1843 - 1849 | |
Prosper BERMOND | 1849 - 1851 | |
Pierre CIPRE | 1852 - 1855 | |
Louis CIAIS | 1855 - 1860 | |
Honoré BAUDOUIN | 1860 - 1865 | |
Louis BARRIERA | 1865 - 1870 | |
Joseph FARAUT | 1870 - 1871 | Médecin cantonal. |
Victor MASSEGLIA | 1871 - 1878 | |
Louis CIAIS | 1878 - 1882 | |
Joseph FARAUT | 1882 - 1896 | |
Léon SAUVAN | 1896 - 1903 | Conseiller général |
Jean GILETTA | 1903 - 1929 | |
Joseph RAYBAUD | 1929 - 1941 | Révocation par le gouvernement de Vichy. |
- | - | |
Félix VEROLA | 08/1944 - 03/1945 | Source[6] |
Joseph RAYBAUD | 1945 - 1991 | Sénateur. |
Léon-Pierre RAYBAUD | 1991 - 1994 | |
Antoine VÉRAN | 1994 - (2026) | Réélu en 1995 & 2001 & 2008 & 2014 & 2020. |
- | - |
Source : Mairie
Cf. : Mairegenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Théodore DEGIOANNI | 1865 - | source[7] |
Louis RAYNAUT | 1870 - | Ancien curé de Villefranche -sur-Mer[8] |
Sosthènes TRUCHI | 1891- | Ex curé de Villard-sur-Var[9] |
- | - | |
- | - | |
A. COSTAMAGNA | - | Curé doyen en 1938 |
- | - |
Monument aux morts

Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1904-1940)
- Mariages (1794-1903)
- Naissances (1739-1754)
- Décès (1739-1754)
- Mariages (1739-1754)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Décès (1928-1928)
- Mariages (1893-1902)
- Mariages (1915-1929)
- Décès (1940-1940)
- Naissances (1902-1912)
- Naissances (1891-1903)
- Décès (1923-1923)
- Mariages (1920-1920)
- Naissances (1893-1902)
- Décès (1919-1919)
- Naissances (1736-1803)
- Décès (1920-1920)
- Décès (1675-1734)
- Mariages (1930-1930)
- Décès (1793-1800)
- Naissances (1861-1870)
- Mariages (1838-1841)
- Naissances (1854-1860)
- Naissances (1838-1841)
- Mariages (1793-1795)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 13h30 à 16h00 | - | de 13h30 à 16h00 | de 13h30 à 16h00 | de 13h30 à 16h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 5, place de La République - 06670 LEVENS
Tél : 04 93 91 61 16 - Fax : 04 93 91 61 17 Courriel : Site internet : GPS : 43.860833° / 7.224444° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie (10/2011) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Levens - Crounicà Dei Levensan
- Garino (Pierre-Robert), Levens, collection « les Régionales », Serre éditeur, 1995, ISBN 2-86410-226-9.
- Maurandi (Frédéric), Les Annales de Levens, Nice, 1931, réédition Alandis, 1999, ISBN 2-913637-08-6.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Traditions de Levens et du comté de Nice
- Site officiel de l’office de tourisme.
- Site officiel de Levens
- Passeurs de Mémoire
Page sur des sites de pays ou de syndicat touristique :
- Page de Levens sur le site "Villes et Villages du Comté de Nice"
- Page de Levens sur le site "Les villages perchés des Alpes-Maritimes" (photos)
Page sur sites généraux :
Notes et références
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