05126 - Rosans

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Rosans
Informations
Pays    France
Département Blasons des Hautes-Alpes    Hautes-Alpes
Métropole -
Canton   05-13   Serres

  05-17   Rosans (Ancien canton)

Code INSEE 05126
Code postal 05150
Population 468 habitants (2018)
Nom des habitants Rosanais, Rosanaises
Superficie 3 039 hectares
Densité 15.4 hab./km²
Altitude Mini : 532 m
Point culminant 1 563 m
Coordonnées
géographiques
44.3925° / 5.4708° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire de la commune

Rosans est un village au lourd passé historique, qui a conservé son aspect moyenâgeux, avec ses rues étroites, ses vieilles maisons et tout le charme qu'il doit à la situation qu'il occupe en Haute Provence. Son site est inscrit à l'inventaire des monuments historiques.

La population de Rosans a varié, au cours des âges, dans de grandes proportions :
200 âmes vers 1400, 660 âmes en 1690, jusqu'à 874 en 1851, enfin 506 en 1990.

Quelques vestiges préhistoriques ont été trouvés au siècle dernier dans la région, mais ils n'ont été ni conservés, ni identifiés de façon précise. De façon générale il n'existe pas de sites préhistoriques très anciens à l'est du Rhône, car ce dernier a été longtemps une barrière infranchissable. Et les tous premiers venus ne semblent pas avoir franchi le gorges de l'Aygues.
Plus prés de nous, à l'époque gauloise, les habitants de la région de Rosans appartenaient à la Fédération des Voconces, qui avait deux capitales : Vaison pour les Voconces du sud, Die pour les Voconces du nord. Leur territoire s'étendait jusqu'au col de Saulce, entre Rosans et Serres. Au delà on trouvait les Tricoriens, qui occupaient la vallée du Buêch.

Le plus ancien document dans lequel le nom de Rosans semble être mentionné, est le testament d'Abbon, qui en 739 lègue à l'abbaye de Novalaise les propriétés qu'il possède à "Rodanone". Le nom de Rosans vient-il des roses trémières qu'un chef sarrasin y cultivait, d'après une légende souvent citée ? explication charmante, trop belle pour être vraie. Il est hautement probable que Rosans provient du nom d'un domaine gallo-romain terminé par le suffixe anum : vraisemblablement « Le domaine de Rosus » ; un surnom latin dérivé de rosa : la rose un terme caressant.

On estime que c'est après le passage des Lombards et des Sarrasins (apparus en 719 à Narbonne) que Rosans s'est installé dans son site actuel, édifiant un bourg fortifié sur un petit mamelon, jouissant de possibilités de surveillances et de défenses exceptionnelles.

C'est là qu'aurait été construite la première église Saint-Arey. Détruite, reconstruite, améliorée au cours des ans, elle existe toujours. Son clocher rajouté en 1714, montre et égrène les heures pour les Rosanais. Plusieurs sources indiquent que le village abritait deux tours carrées et parallèles construites à la fin des années 1100. Carrées car la technique des tours rondes n'a été connue qu'au siècle suivant, rapportée d'Angleterre par les maçons Savoyards, qui avaient accompagné Eleonore de Provence, fille de Béatrice de Savoie, auprès de son futur époux, Henri III Plantagenet :

- la tour dite "sarrasine" : tour carrée de 10 m de coté, 2,50 m d'épaisseur, 15 m de haut (réduite de 6 ou 10 m ? avant la Révolution).
- la seconde tour était le prolongement vertical du four seigneurial, qui existe toujours. On ne précise pas à quelle époque exacte sa partie supérieure a été détruite.

L'abbaye de Cluny, qui avait reçu de Richaud, en don une partie de Rosans et de Saint-André fit construire un prieuré (vers 1114) à 150 mètres environ au-dessus du château, en dehors du barri (les remparts), et à coté de ce prieuré, une nouvelle et vaste église "Notre Dame la Blanche" qui devint l'église paroissiale.

Le territoire de la paroisse a, de tous temps, été partagé entre plusieurs co-seigneuries, dont l'une des plus importantes était liée à la famille "De Rosans". Famille que l'on peut suivre depuis Gaudemar en 1027 jusqu'en 1581. Cette famille tenait sa chatellenie de Rosans des Mevouillon, importante dynastie qui contrôlait toute la région.

Si c'est en 1562, que l'on date le début des guerres de Religion, de nombreuses guerres avaient auparavant ravagé la région. Une des plus importantes avait opposé pendant de longues années le Dauphiné et la Provence. C'est ainsi qu'en 1369 les Provençaux avaient envahi les Baronnies et le Gapençais. Venant de Verclause ils sèment la terreur pendant deux ans : Le prieuré de Saint-André, beaucoup de villages furent détruits. Rosans ne fut pas épargné, mais avec sa garnison et ses remparts il résista mieux.

LESDIGUIÈRES et les D'YSE
Entre 1573 et 1575 Charles Dupuy-Montbrun, chef des protestants détruisit tous les établissements et toutes les églises catholiques de la région. On peut lui imputer la destruction de l'église Notre Dame la Blanche à Rosans. Un des rares vestiges qui en subsiste est une petite colonne sculptée d'environ 30 cm de haut : Elle a été incluse à la partie inférieure de l'œil de bœuf du petit cabanon situé sur la place de Rosans entre l'église et la poste.

Après la mort de Montbrun, pris et exécuté par le roi, à qui il avait enlevé un convoi d'argent, LESDIGUIÈRES devint le chef du parti protestant, mais beaucoup plus tolérant, il limita les exactions.

C'est en 1576 qu'il achète, à Delphine de Rosans la seigneurie de Rosans. Il fait agrandir le château , dont la partie est parait dater du XVe siècle, et vers 1590 ordonne la construction des écuries du "grand jeon", une pour les chevaux, face au château, trois pour les bœufs à la suite. Deux seulement sur les quatre sont encore dans un état satisfaisant : la première au dessous de la Poste et la quatrième, tout au bout du bloc.

C'est en 1600 que Jean-Antoine d'YSE, surnommé Capitaine Rosans achète à LESDIGUIÈRES le château de Rosans, "juridiction haute, moyenne, basse, mère, mixte et impere, &". Le vendeur fait écrire dans l'acte que "les deux grandes tours, l'une près de l'autre, avec leurs régales sont inhabitables et presque démolies ".

Les armoiries de la famille d'YSE (DYSE ou DISE) étaient « D'argent, au lion de gueules, à la bande d'azur chargée en chef d'une fleur de lis d'or, brochant sur le tout. ». Leur devise deo duce, ferro comite -Dieu pour guide, l'épée pour compagne- figure toujours sur le fronton de la porte d'entrée intérieure à la cour du château (datée du 10 août 1612).

Le cachet de la mairie de Rosans, réalisé vers 1929 reprend cette devise, mais il la réunit arbitrairement aux trois roses figurant dans les armes de la famille de Rosans. Beaucoup de ces convertis ne l'étaient que de "bouche", et en 1741, on ne comptait plus que 55 familles protestantes sur les 185 que comptait la commune.

Comme LESDIGUIÈRES, les DYSE étaient protestants, et aucun service religieux catholique ne fut célébré à Rosans, pendant quelques vingt ans, à la fin des années 1500.

En 1600, les protestants étaient plus nombreux que les catholiques, mais peu à peu, avec les persécutions, les conversions forcées, leurs rangs s'éclaircirent.
En 1685, une abjuration massive fut organisée, si bien qu'en 1710 il y avait 66 familles nouvellement converties sur un total de 185 familles recensées.

La Révolution de 1789
En 1789 la révolution fut bien accueillie, et de nombreuses fêtes patriotiques furent organisées presque partout. Le premier arbre de la liberté, un peuplier, fut planté sur la place de Rosans. Il existait encore au début des années 1930, son pied enserré dans un mur circulaire de plus d'un mètre de haut pour éviter qu'il ne s'effondre car son large tronc était creusé par les ans. D'autres arbres, toujours des peupliers, furent plantés à toutes les révolutions qui suivirent.

Le XIXe siècle

L'église étant devenue insuffisante pour recevoir tous les fidèles, l'actif et zélé abbé RICHIER, originaire de Gap, réussit à vaincre les résistances, qui n'étaient pas minces, et à obtenir la construction d'une nouvelle église. Décidée en 1845, on ne posa la première pierre (qui occupe l'angle oriental de la façade, accompagnée de 3 médailles) suivie de la bénédiction traditionnelle que le 17 mai 1848.

Enfin en 1852, l'église terminée est consacrée le 9 novembre par Mgr DEPERY. Elle avait coûté 22 500 Francs. Située au nord de la place, à quelques mètres en contre-bas de l'ancienne église Notre-Dame-la-Blanche, elle est dédiée à Saint-Jacques-le-Majeur. Sa façade principale à frontons triangulaires, est contrairement à l'usage, orientée au Midi.

Une cloche de 484 kg fut installée en 1846, en remplacement de la cloche brisée en 1838. Elle sera à son tour brisée en 1918 dans la joie de la célébration de l'Armistice. Ce n'est qu'en 1924 qu'une nouvelle cloche, appelée Marie-Antoinette sera installée dans la nouvelle église.
Dans le même temps, entre 1845 et 1847, un temple était construit au couchant du bourg. D'un coût de 18 000 Francs, il fut entièrement payé par le gouvernement de Louis-Philippe (1830-1848).

Il fut utilisé jusqu'aux environs de la guerre de 1939, le pasteur venait de Trescléoux, puis pendant quelques années par le syndicat agricole pour y stocker des produits variés : semences, engrais, ...
Enfin en 1985, il sera réhabilité pour devenir la mairie de Rosans, avec deux grandes salles aux deuxième et troisième niveaux.

Le problème des routes

Deux voies romaines reliaient La Bâtie-Montsaléon à Aouste, au bord du Rhône, en suivant la vallée de l'Aygues : la première, de seconde catégorie (Acta) empruntait le cours même de la rivière, avec toutes les difficultés que l'on peut concevoir. La seconde (Iter) était un simple chemin muletier qui serpentait à quelques mètres au-dessus de la rivière :on en trouve encore des traces fléchées dans les gorges de l'Aygues.

La nécessité d'une route ouverte au roulage s'imposait de plus en plus, mais il fallut attendre le Premier consul, qui décidera enfin de construire la route de Serres à Pont-Saint-Esprit. Sa réalisation était difficile à cause du relief tourmenté, mais surtout à cause des gorges de la Blême et de l'Aygues. En réalité, il fallut attendre une cinquantaine d'années avant qu'elle ne soit totalement ouverte.

À propos de la fontaine de la place, construite en 1806, Charles-François de LADOUCETTE, préfet des Hautes-Alpes et constructeur d'une partie de la route de Serres à L'Épine, écrivit le texte suivant :
« La reconnaissance m'oblige de dire qu'après avoir construit, par prestations en nature, une place publique, la commune y a érigé en pierres de taille, et sur un joli modèle une fontaine publique à laquelle elle a donné mon nom, afin que la gratitude fut dans mon cœur égale à l'affection ».

L'époque récente

La résistance, à Rosans, a commencé en 1942 avec un premier et unique maquis où ne vivait qu'un seul maquisard. Il deviendra plus tard un peintre connu. Ce premier maquis devint peu à peu plus important, d'autres vinrent le rejoindre : à l'Essaillon, à Chauvac.

La vallée de Montclus à Nyons a été libérée des le 6 juin 1944, la république à nouveau proclamée.

Les Allemands dans le cadre de l'attaque du Vercors furent repoussés une première fois, mais ils réussirent à franchir, en les contournant, les gorges de Monclus.
Rosans eut la grande chance de ne pas être détruit.

Héraldique

  • D'azur à trois roses d'argent, au chef d'or[1].

Histoire administrative

  • Département - 1801-2025 : Hautes-Alpes
  • Arrondissement - 1801-2025 : Gap
  • Canton - 1801-2015 : (Rozans) Rosans, 2015-2025 : Serres
  • Commune - 1801-2025 : (Rozans) Rosans

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine bâti

Église Saint-Jacques-le-Majeur

Église Saint-Jacques-le-Majeur
Photo J-P GALICHON



Église Saint-Jacques-le-Majeur du XIXe siècle.

Donjon

Un donjon dit « tour carrée » du XIIIe siècle, construit en pierre de taille de grès, situé place Raoul Montlahuc, inscrit aux MH[2] en 1932.

Autres patrimoines

  • Monument commémoratif des Résistants du maquis Morvan du XXe siècle, rappelant le décès de deux maquisards, Lucien Jean PINET (né le 16/02/1918 à Rosans (Hautes-Alpes), tué le 18/08/1944 à Rosans)[3] [4] et François Jules TORNARE (né le 03/08/1924 à Fresne-Saint-Mamès (Haute-Saône), tué le 18/08/1944 à Rosans)[5] [6], tués le 18 août 1944 à Rosans, dans un véhicule, mitraillé par un avion (canadien ou américain, selon les sources).
  • Chapelle Saint-Gabriel

Repères géographiques

Les rivières l'Aigue et la Lidane traversent la commune de Rosans.


Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 910 800 911 725 818 820 816 824 874 823
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 803 862 785 814 782 770 745 703 752 666
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 676 570 524 522 519 418 372 387 488 515
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 502 506 493 521 512 480 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

En photos

Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
François Louis MONTLAHUC 1793 - 1812 Ex-officier armée.  
Jean Pierre BONNET 1800  
Jean Baptiste GRESSE 1828 - 1829  
Joseph Vincent LAGARDE 29/08/1830 - 21/04/1864 Né vers 1800, décédé en mai 1864. Notaire. Conseiller général du canton de Rosans (1839-1864).  
François Hyppolite MONTLAHUC 14/09/1865 - 13/08/1868 Décédé à Veynes (Hautes-Alpes).  
Antoine TRUPHEMUS 01/1869 - 10/1871 Décédé le 19/10/1871.  
Hippolyte Louis MONTLAHUC 12/1871 - 12/1877 Conseiller général du canton de Rosans (1864-1869).  
Hyppolite TRUPHEMUS 01/1878 - 1896 12/01/1873 - 06/01/1917  
Septime Edgar BONFILS 1896 - 1925 Né en 1863, décédé en 1934. Instituteur. Huissier. Conseiller général du canton de Rosans (1902-1925).  
Jules ARMAND 1925 - 1930  
Louis Marie TRUPHEMUS 1930 - 1944 Né en 1883, décédé en 1962. Marchand de chevaux. Conseiller général du canton de Rosans (1925-1940).  
Raymond HUGUES 1947 - 1992 Né le 08/11/1914 à Rosans, décédé le 03/05/1998 à Gap (Hautes-Alpes)[7]. Négociant. Conseiller général du canton de Rosans (1945-1992).  
Marinette BESSIÈRE (née ANDRIEU) 1992 - 1996 Née le 14/02/1924 à Rémuzat (Drôme), décédé le 29/11/2021 à Pélissanne (Bouches-du-Rhône) à l'âge de 97 ans.  
Frédéric PINET 1996 - 2001 Né le 04/12/1958 à Gap (Hautes-Alpes). Conseiller général du canton de Rosans (1992-2004).  
Nicolas ROSIN 2001 - 2008 Né en 1957. Conseiller général du canton de Rosans (2004-2011).  
Josiane (dit Josy) OLIVIER 2008 - 2020 Née le 11/04/1949.  
Lionel TARDY 2020 - (2026) Né le 26/12/1972.  

Cf. : MairesGenWeb & Liste des maire sur le site edouard.begou.pagesperso-orange.fr

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Joseph BEGOU - En 1785  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Étienne BOMPARD - Curé en 1785  
- -  
MAFFREN  ? - 1817 Décès  
- -  
MISSONIER 1819 -  
Antoine NEVIERE 1830 - Source[8]  
Jean-François RICHIER 1843 - Source[9]  
- -  
Jacques-Joseph-Marie-Euches GAILLAUD 1862 - 1866 Source[10]  
Charles-Marie-Oscar RABASSE 1866 - Source[11]  
Joseph-Casimir JAME 1873 - Source[12]  
Victor-Auguste CAILLET 1878 - Source[13]  
- -  
Louis-Émilien JULLIEN 1893 - Source[14]  
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- -  
Pierre Antoine Louis BICAIS 1936 - 1944 Né le 28/08/1876 à Chauffayer -Aubessagne- (Hautes-Alpes), décédé le 19/08/1944 à Buis-les-Baronnies (Drôme). Prêtre, résistant[15]. - Ex curé du Glazil de 1907 à 1930 et ex curé de La Motte-en-Champsaur de 1930 à 1936.  
- -  
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Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 9 h - 12 h 9 h - 12 h - 9 h - 12 h 9 h - 12 h - -
Après-midi - - - - - - -

Mairie
Adresse : Place Raymond Hugues - 05150 ROSANS

Tél : 04 92 66 60 14 - Fax : 04 92 66 64 33

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Août 2023)

Associations d'histoire locale

Dépouillements des registres paroissiaux

Les registres s'échelonnent de 1665 à 1805. Mais les deux premiers registres, de 1665 à 1740, ne sont consultables qu'aux archives départementales des Hautes-Alpes. Il est possible de se procurer en mairie, la photographie complète de ces registres de 1665 à 1902, disponible sur deux Cédérom.

Bibliographie

    Voir aussi (sur Geneawiki)

    Liens utiles (externes)

    Notes et références

    1. L'armorial des villes et des villages de France
    2. Donjon : Fiche Base Mérimée
    3. Lucien Jean PINET : Fiche MdH
    4. Lucien Jean PINET : Fiche Le Maitron
    5. François Jules TORNARE - Fiche MdH
    6. François Jules TORNARE : Fiche Le Maitron
    7. Raymond HUGUES : Fiche Le Maitron
    8. Archives
    9. Archives
    10. Archives
    11. Archives
    12. Archives
    13. Archives
    14. Archives
    15. Pierre Antoine Louis BICAIS : Le Maitron


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