02218 - Coucy-lès-Eppes
Coucy-lès-Eppes | |
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Croix de guerre 1914-1918 | |
Informations | |
Pays | France |
Département | Aisne |
Métropole | |
Canton | 02-06 Villeneuve-sur-Aisne
Anciens cantons |
Code INSEE | 02218 |
Code postal | 02840 |
Population | 623 habitants (2016) |
Nom des habitants | Les Couçois(es) |
Superficie | 603 hectares |
Densité | 103.32 hab./km² |
Altitude | Mini: 78 m |
Point culminant | 142 m |
Coordonnées géographiques |
Longitude : 3°46'15" Latitude : 49°33'11" |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Village de l'ancien Laonnois, bâti sur une butte isolée dans une vaste plaine, à 12 km à l'est de Laon, autrefois généralité de Soissons, des bailliages, élection et diocèse de Laon, aujourd'hui du canton de Sissonne, arrondissement de Laon, diocèse de Soissons.
Le village avait une charte communale en 1280 ; il est parlé "du mayeur et des échevins de Coucy" dans une transaction Passée entre les seigneurs d'Eppes et de Marchais. Le nom de Coucy-les-Eppes ne semble pas avoir beaucoup changé : Cociacum (clairière dans les bois) Apia (apes, abeilles), Cociacus en 1178, Cociacus juxta Apiam en 1193. Les terres de Coucy étaient une agglomération d’Eppes, ce qui a donné le nom actuel. Ce domaine ne deviendra une seigneurie à part entière que vers 1451.
La commune a reçu la Croix de Guerre après la première guerre mondiale.
Source : Monographie de Constant Basset, instituteur - 1884.
Héraldique
- Écartelé en sautoir : au premier d'argent au château du lieu du même, sans toiture, posé en perspective, le corps principal ouvert et ajouré de gueules, au deuxième d'azur à l'abeille en vol d'or, au troisième d'or à deux glands de sinople feuillés d'une pièce du même et passés en sautoir, au quatrième d'argent au moulin à vent du même, essoré, ouvert et ajouré de gueules, ailé de sable. [1]
- Article détaillé : Voir la page du blason de Coucy-lès-Eppes ...
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : ....
- Arrondissement - 1801-.... : ....
- Canton - 1801-.... : ....
- Commune - 1801-.... : ....
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Germain: Paroisse succursale, bâtie au XIe siècle. Le saint patron (Saint Germain) était évêque de Paris. Elle mesure 25 m de long sur 12,50 m de large. Ses bas cotés y ont été établis vers 1864 par le marquis de Saint-Vallier, elle fut dotée en 1865 d'un chemin de croix et de riches tableaux dus à la munificence de Napoléon III et de M. De Saint-Vallier. Le style de l'église est très difficile à définir, le cœur et les vitraux seuls sont formés d'ogives plus ou moins régulières.
Le Château: Appelé « Montaigu », il offre une façade de 80 m avec deux ailes, l'une servait autrefois de chapelle et l'autre de bâtiment rural.
Source : Monographie de Constant Basset, instituteur - 1884.
Repères géographiques
Village de L'ancien Laonnois, situé sur un sol irrégulier, au nord d'une colline élevée, il est d'apparence assez modeste. Vers Eppes, le terrain est argileux avec un sous-sol calcaire. Vers la forêt de Samoussy, Marchais et la route de Laon à Sissonne, le sol est formé de sables mouvants, parsemé de grès qui étaient utilisés autrefois pour le pavage des rues. L'étendue superficielle de la commune est de 5 hectares et 28 ares, son territoire comprend 603 hectares. Il est borné par Samoussy et Marchais au nord, par Mauregny-en-Haye au sud, Par Eppes à l'ouest et par Montaigu à l'est. Un petit cours d'eau, La Haye, passe à proximité du village le long de la forêt de Samoussy. Il prends sa source au Fleurichet, dans les marais de Mauregny-en-Haye, se dirige du sud au nord, va se perdre dans les sables de la forêt de Samoussy et arrive dans les fossés du parc du château de Marchais après un certain cours souterrain. Son parcours est d'environ 10 km.
Il Comprends 3 écarts : La Tuilerie-Plongeron, la station de chemin de fer et La Rouillée.
Source : Monographie de Constant Basset, instituteur - 1884.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 359 | 365 | 373 | 440 | 467 | 520 | 496 | 521 | 510 | 485 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 520 | 435 | 485 | 472 | 489 | 479 | 434 | 500 | 516 | 506 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 431 | 401 | 405 | 437 | 433 | 417 | 458 | 557 | 555 | 515 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 642 | 581 | 612 | 577 | 587 | 623 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
cfrINSEE 2006, 2011 & 2013 & Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2015 & 2016.
En photos
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Coucy-Lès-Eppes, la grande rue
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Coucy-Lès-Eppes en 1840
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Coucy-Lès-Eppes, la mairie-école
Économie
En 1884
A cette époque, on pratiquait au village, l’assolement triennal et les terrains en jachère étaient entretenus. On utilisait le fumier et des engrais chimiques pour la culture de la betterave. Les principaux instruments aratoires étaient : la charrue, le brabant, l’extirpateur, la herse et le rouleau.
Les cultures de céréales se répartissaient ainsi :
- Froment : 15 ha
- Seigle : 115 ha
- Orge : 1 ha
- Sarazin : 2 ha
- Avoine : 120 ha
L’étendue des prairies naturelles était d’environ 50 ha et celle des prairies artificielles, 80 ha. Il n’y avait pas d’étang. Suite à l’hiver de 1879 et 1880, beaucoup d’arbres fruitiers avaient dû être abattus, cependant, il existait encore un certain nombre de pommiers, de poiriers, de pruniers et de cerisiers autour du village.
On cultivait la betterave annuellement sur une superficie de 75 ha pour une production moyenne de 25 tonnes par hectare.
Les autres plantes étaient les pommes de terre (35 ha), les navets (25 ha) et les carottes (5 ha).
Une partie des biens communaux (14 ha) se trouvaient sur le territoire de Marchais. Il s’agissait de marais qui produisaient une herbe de bien peu de valeur. L’autre partie se situait sur le terroir de Coucy, au lieu-dit « La Tourneroy » (5,5 ha). Elle comprenait des terres et des prés, partagées en 105 coupons qui étaient loués pour 9 ans et donnaient un revenu annuel de 1100 francs.
Les animaux domestiques étaient :
- Chevaux : 91
- Mulets : 11
- Ânes : 8
- Bœufs et taureaux : 2
- Vaches et génisses : 150
- Veaux : 20
- Moutons : 150
- Chèvres : 11
- Porcs : 172
La production totale de la laine en 1883 était de 400 kg.
Abeilles : le nombre de ruches était d’environ 30 pour une récolte moyenne de 5 kg de miel et 1 kg de cire.
Les animaux et oiseaux nuisibles étaient le sanglier, le renard, le putois, la fouine, le lapin, la crécerelle et l’épervier.
Il n’y avait pas de sociétés agricoles, d’agences, de comices, de foire, de marchés francs ou d’abattoirs.
Entre 1758 et 1870, une cendrière fut exploitée sur les territoires de Coucy et de Festieux, mais comme les agriculteurs préféraient désormais les engrais chimiques à la cendre, cette exploitation fut complètement abandonnée.
Voici quelques détails concernant l’extraction des cendres noires sur le village :
En 1758, la société d’agriculture de Laon pressentit de quelle importance pouvait être la découverte récemment faite, dans les environs de Coucy, de dépôts de terres pyritoligneuses plus connues sous le nom de cendres noires. Ces dépôts se trouvaient au dessus de la craie et étaient formés de débris végétaux et de sulfure de fer. On les exploitait soit à ciel ouvert, soit par des puits et galeries seulement. C’est ce dernier mode qui fut employé à Coucy.
Une galerie de 1200 m de long recoupée de galeries secondaires qui s’étendaient en tout sens sous la montagne. Pour prévenir les éboulements, il avait été établi dans chaque galerie trois rangées de pieux espacés d’environ 1,50 m et supportant des solives transversales puis on avait disposé des fascines entre ces dernières et le plafond de la galerie, puis il en avait été de même entre les parois et les pieux. La galerie s’en était trouvée divisée en 2 allées ; la première servait à l’écoulement des eaux et la seconde, dédiée à la voie de roulage. Celle-ci était pourvue de rails sur lesquels circulaient les wagons poussés par les ouvriers. Une fois la couche épuisée, les mineurs opéraient autant qu’ils le pouvaient le déboisement de la galerie. La cendre était exposée à l’air sur des talus pendant quelque temps. En cet état, elle s’échauffait, au point de prendre feu si l’on y veillait, et elle se couvrait de d’efflorescences pyriteuses. Elle était tour à tour retournée, remuée et changé de place jusqu'à ce qu’on la juge assez refroidie, puis on la jetait à la pelle au travers de claies de différentes grosseurs. Quand elle était suffisamment pulvérisée, on la livrait aux cultivateurs qui la semaient au printemps comme stimulant sur les blés levés, les menus grains, les prairies naturelles et artificielles. Son effet sur les récoltes était similaire à celui du plâtre.
Source : Monographie de Constant Basset, instituteur - 1884.
1950 à nos jours
Le village est situé sur l’axe Laon Reims desservi par la ligne SNCF et à proximité de la RD1044.
- Agriculture :
L’activité agricole et para agricole ont toujours été fortement présents ; Les exploitations agricoles étaient au nombre de 8 dans les années 60 et de 5 actuellement. Les activités liées à agriculture persistent avec les sociétés telles que la coopérative agricole ainsi que d’autres activités, implantées plus récemment ; Machinistes et réparateurs agricoles (Ets Marechalle) et les sociétés de services techniques, essais et préconisations pour l’agriculture (ITB et CETA).
Dans le domaine de la production liée à l’agriculture, une manufacture de cloisons fabriquées à partir de paille compressée (Bativit) a été présente durant les années 50 et 60, remplacée ensuite par une coopérative de fruits et légumes, aujourd’hui disparue.
- Commerce :
On comptait dans les années 60, 4 cafés, dont 2 avec restaurant, un avec hôtel et un avec épicerie, une boucherie, une boulangerie et 2 succursales alimentaires. Ne subsistent aujourd’hui qu’un café épicerie et une boulangerie.
Néanmoins, d’autres formes de commerce sont apparus : discothèque, machinisme agricole et textile.
- Artisanat :
L’artisanat a évolué, lui aussi, après l’implantation de nouvelles activités sur le village, dans des domaines divers : menuiserie, peinture, ferronnerie, pédicure bovine, plomberie chauffage, rénovations de tombes et monuments et travaux publics
- Les principales activités et leur histoire :
- Ets Marechalle :
Cette entreprise familiale, créée en 1874 à Vieux lès Asfeld (08), s’est installée en 1954 à Asfeld (08). Elle s’implante à Coucy en 1968 avec la concession des tracteurs LH (International Harvester France). En 1987, l’établissement devient concessionnaire de la marque John Deere, leader mondial du machinisme agricole. La société comprend à l’heure actuelle 3 bases de distribution : Asfeld et Junéville dans les Ardennes et Coucy.
- Champagne céréales :
Le silo a été construit près de la gare en 1950, propriété d’une famille de négociants en grains, la famille Baillier. Il est ensuite coopérative agricole de Coucy qui a, 1986, fusionné avec l’ UAA (Union Agricole Ardennaise) qui a elle-même fusionné en 1991 pour devenir Champagne céréales.
Le centre de ravitaillement des essences (CRE) :
Construit en 1953 par les travaux maritimes, il s’étale sur une superficie de 38 ha répartis sur les territoires de Coucy et Mauregny. Il permet le ravitaillement en carburant de l’armée de terre, des gendarmeries et des bases aériennes des départements de l’Aisne, de l’Oise, des Ardennes et du Nord.
- La Singerie discothèque :
Elle s’est implantée sur la commune en 1976 après la cessation d’activité du zoo. Exploitée par la société du château de Coucy, elle a toujours connue les mêmes propriétaires. Pour durer, elle a dû s’adapter, ce mode de loisirs évoluant avec les générations et la demande des consommateurs.
- La scierie :
Elle a débuté ses activités dans les années d’après guerre et a été dirigée pendant plusieurs dizaines d’années par Mr Ravéra, ancien maire de la commune. Après le décès de celui-ci, une liquidation judiciaire fut prononcée et c’est finalement en 1996, et après de nombreuses déconvenues, qu’elle a repris son activité.
Notables
Les seigneurs
1133/1138 : Hugues de Coucy
1168 : Machaire de Coucy
1170 : Louis, Chevalier de Coucy
1225 : Guy le Cat (ou le Chat) ; femme : Élisabeth
ca 1225 : Gobert de Coucy ; femme: Emeline; pas d'enfants
1541 : Jean de Hénin Liétard, dit Cuvillier, seigneur de Coucy-lès-Eppes ; femme : Claude de Condé ; enfants : Jacqueline qui porta cette terre en mariage à Claude de Marle et Jean, Chevalier de Malte
1560 : Claude de Marle
1606 : Louis de Marle, seigneur de Coucy-lès-Eppes, député aux états-généraux de 1614 ; femme : Anne Lecomte de Voisinlieu ; enfants : claude, femme d' Henri de Bézannes (seigneur de Guignicourt) et Marguerite, femme d'Antoine D'Elbarigny
1640 : Claude II de Marle ; femme: Catherine de Vassan ; enfants : Louis, Antoinette, femme de Thomas de Cauchon (seigneur de Vigneu et Aizelles)
1662 : Louis de Marle, seigneur de Coucy et Sainte-Preuve en partie ; femme : Antoinette de Favigny-Monampteuil ; enfants Pierre et Charles-François, chanoine de Laon
1698 : Pierre, Vicomte de Marle, Veslud et Sainte-Preuve ; femme : Madeleine de Charmolue ; Enfant : Antoinette, femme de Louis-Lionel de Foucault
1714 : Louis-Lionel de Foucault, chevalier, seigneur de Lugny en partie, Parfondru et Coucy, Capitaine au régiment de Picardie ; enfants : Guillaume, Charles, Eustache (mort-jeune), Pierre-Antoine (seigneur d'Orouy), jean (tué au service) et Catherine, femme de Charles-Nicolas le Carlier
1745 : Guillaume de Foucault, seigneur de Coucy ; Marie-Madeleine Vairon de Beaurepaire ; enfants: Louise-Clairmonde et Marie-Charlotte
1765 : Charles-Thomas-François-Exupert de Miremont, Baron de Montaigu, seigneur de Mauregny et Coucy ; femme : Anne-Marie d'Ausbourg de la Bove
Source : "dictionnaire historique généalogique et géographique du département de L'Aisne" par Melleville - 1857.
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
François BRUGUIOT | an V - an X | |
Simon RIGAUX | an X - 1811 | |
François Marie LONGUET | 1811 - 1816 | |
François ISTE | 1816 - 1824 | |
Florimond LEPAGE | 1824 - 1831 | |
François BERTHE | 1831 - 1845 | |
Marquis de SAINT-VALLIER | 1845 - 1884 | |
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Fernand BAILLET | - | |
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André RAVERA | ? - 1992 | Mandat non terminé pour cause de décès. |
Robert PANNIER | 1992 - 2001 | Mandat non terminé suite à démission. |
Marcel FONTAINE | 2001 - 2008 | |
Joël CABON | 2008 - ... |
Cfr [ Mairesgenweb]
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean BOUCHE | 1651 - 1667 | |
TRIGAULT | 1667 - 1670 | |
DORRE | 1670 - 1748 | |
DELASEVRE | 1748 - 1749 | |
PINSART | 1749 - 1773 | |
LEFEVRE | 1773 - 1800 | |
DUMAGE | 1800 - 1829 | |
CHALAN | 1829 - 1841 | |
MENU | 1841 - 1867 | |
BRUAUX | 1867 - 1874 | |
MULET | 1874 - 1877 | |
ROSELET | 1877 - 1884 | |
ALLIENNE | ? - 1962 | |
Jean BECKMEYER | 1962 - ... |
Les personnalités liées à Coucy-lès-Eppes
- Colette DEBLE
- Bonne Humbert DE LA CROIX DE CHEVRIERES (marquis de Saint Vallier)
- Charles Raymond DE LA CROIX DE CHEVRIERES (comte de Saint-Vallier)
- Jean HUMMEL
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1781-1901)
Documents numérisés
- État civil (1668-1742)
- État civil (1833-1852)
- Recensements (1931-1931)
- État civil (1823-1832)
- Recensements (1921-1921)
- Recensements (1936-1936)
- État civil (1813-1822)
- État civil (1873-1892)
- Recensements (1926-1926)
- État civil (1781-1812)
- État civil (1743-1780)
- État civil (1853-1872)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | Fermé | Fermé | Fermé | Fermé | Fermé | Fermé | Fermé |
Après-midi | Fermé | 14h00 à 20h00 | Fermé | fermé | 14h00 à 20h00 | Fermé | Fermé |
De quatorze heures à vingt heures le lundi et le vendredi
Adresse de la Mairie : 1, Place du Capitaine Hummel - 02840 Coucy-lès-Eppes
Tél : 03 23 23 30 43
Courriel : [mailto: ]
(Source : mairie de Coucy)
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Patronymes
Babled, Baillet, Barbiot, Berth, Bertholus, Bitot, Boilet, Carère, Carlier, Charlier, Charpentier, Coisne, Coulbeaux, Debled, Debray, Delacourt, Delahaigue, Delozanne, Devlieger, Domis, Dorlée, Duterne, Fauqueux, Gaudion, Girod, Gourdoux, Guillaume, Haren, Hist, Houssart, Huhaziak, Hubert, Hummel, Laplace, Laroche, Laurent, Lebail, Leblanc, Leclaire, Lemaire, Lepage, Leroux, Linéatte, Longuet, Mardigras, Mathieux, Mennesson, Parent, Pertholus, Pétré, Poirier, Ravaux, Retrain, Rigaux, Rousselle, Sagault, Sébastien, Sorbais, Souplet, Thiéffine, Tricotteaux, Viéville, Véron, Watier.
Remarques
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références