« Régiment suisse de Meuron » : différence entre les versions

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Le régiment suisse de Meuron les met pieds au sol du Cap de Bonne-Espérance où il tient garnison le 7 février 1783.  
Le régiment suisse de Meuron les met pieds au sol du Cap de Bonne-Espérance où il tient garnison le 7 février 1783.  




Laissant le commandement du régiment à son frère rentre en 1786 en Europe pour tenter de résoudre ses problèmes notamment la question des arriérés avec son employeur, la Chambre de Zélande pour être précis, mais les démarches traînent, malgré les recommandations prussiennes. La Révolution provoque une dégradation de la situation et de Meuron cherche à se rapprocher de la puissance anglaise.
 
 
25 octobre 1787, il laisse le commandement du régiment à son frère Pierre-Frédéric et retourne en Europe pour régler des problèmes financiers : il partage alors son temps entre la Hollande, Berlin, Paris, Neuchâtel et Saint-Sulpice où il créé un cabinet d'histoire naturelle qu'il donne à la ville de Neuchâtel en 1795[4] et qui sera par la suite intégré dans le musée d'ethnographie de Neuchâtel.
25 octobre 1787, il laisse le commandement du régiment à son frère Pierre-Frédéric et retourne en Europe pour régler des problèmes financiers : il partage alors son temps entre la Hollande, Berlin, Paris, Neuchâtel et Saint-Sulpice où il créé un cabinet d'histoire naturelle qu'il donne à la ville de Neuchâtel en 1795[4] et qui sera par la suite intégré dans le musée d'ethnographie de Neuchâtel.


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