« Régiment suisse de Meuron » : différence entre les versions

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Le 5 mai 1813, le Régiment suisse de Meuron fort de 1100 hommes s’embarque depuis l’ile de Malte sur trois vaisseaux pour le Canada abord des vaisseaux de Sa Majesté, le Melpemone, le Regulus et le Dover, avec un major, 6 capitaines, 20 lieutenants et enseignes, 54 sergents, 22 tambours et 1 001 hommes de troupe.
Le 5 mai 1813, le Régiment suisse de Meuron fort de 1100 hommes s’embarque depuis l’ile de Malte sur trois vaisseaux pour le Canada abord des vaisseaux de Sa Majesté, le Melpemone, le Regulus et le Dover, avec un major, 6 capitaines, 20 lieutenants et enseignes, 54 sergents, 22 tambours et 1 001 hommes de troupe.


Soit
Composé alors de « 931 soldats, 51 caporaux, 53 sergents, 21 tambours et fifres, un sergent major, un sergent quartier-maître, un sergent paie-maître, un sergent d'armes, un tambour major, un sergent instructeur [et] 43 officiers »[4], il part pour le Canada.


Il est aussi intéressant de noter qu’il y avait officiellement 28 femmes (épouses) et 28 enfants enregistrés sur le rôle du régiment.
Il est aussi intéressant de noter qu’il y avait officiellement 28 femmes (épouses) et 28 enfants enregistrés sur le rôle du régiment.

Version du 25 juin 2008 à 05:46

Grâce à des protections, Charles-Daniel de Meuron est chargé en 1781 par la France de lever un régiment d’infanterie le Régiment Suisse de Meuron est constitué avec son propre conseille de guère sa propre administration judiciaire. Et de 1120 homes de plus 5 pieds, armé et protestants. Charles-Daniel de Meuron est commandant et propriétaire du régiment suisse qui porte son nom.

Le drapeau d’ordonnance

Son Drapeau : est au couleur avec des flammes jaunes, vertes et noires dan les quatre quartiers séparé par une grande croix traversante jaune portant la devise du régiment : Fidelitas et Honor, Tera et Mare

Le régiment suisse de Meuron portais l’uniforme bleu à retroussis jaune avec, comme coiffure, un casque de cuir à crinière flottante, avec plumet et plaque de laiton aux armes neuchâteloises.

Le Roi de France Louis XVI demande au duc de Choiseul de faire une négociation avec Charles-Daniel de Meuron; Le 28 mai 1781 cette entant fut signée avec le représentant de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (VOC), au 14 rue Richelieu Paris en France.

Le recrutement se fait avec l’accord des autorités Suisse dans les villes Genève Mulhouse Neuchâtel et Saint-Gall et la langue officielle est le français.

Et en mars 1782 lorsque le recrutement et la première formation terminé il fait rassemblé sur lîle d’Oléron près de la Rochelle en France.

Au service de la Compagnie des Indes orientales

Et les navires de transport son en retard; finalement les navires du roi Louis XVI arrive le Fier et le Hermionone et en septembre 1782 le Régiment Suisse de Meuron s’embarque, la traverser très longue et la négligence de l’hygiène une épidémie de scorbut et le manque de nourriture par la négligence du comandant. Le régiment suisse de Meuron les met pieds au sol du Cap de Bonne-Espérance où il tient garnison le 7 février 1783.


Laissant le commandement du régiment à son frère rentre en 1786 en Europe pour tenter de résoudre ses problèmes notamment la question des arriérés avec son employeur, la Chambre de Zélande pour être précis, mais les démarches traînent, malgré les recommandations prussiennes. La Révolution provoque une dégradation de la situation et de Meuron cherche à se rapprocher de la puissance anglaise. 25 octobre 1787, il laisse le commandement du régiment à son frère Pierre-Frédéric et retourne en Europe pour régler des problèmes financiers : il partage alors son temps entre la Hollande, Berlin, Paris, Neuchâtel et Saint-Sulpice où il créé un cabinet d'histoire naturelle qu'il donne à la ville de Neuchâtel en 1795[4] et qui sera par la suite intégré dans le musée d'ethnographie de Neuchâtel.

Suite à la révolution française à la conquête militaire des Provinces-Unies et à la faillite de la Compagnie des Indes, Meuron fait passer son régiment au service du Royaume-Uni où il prend le nom de Régiment de Meuron de Sa Majesté [5] et est envoyé sur l'île de Ceylan. Le comte de Meuron doit alors se rendre en Inde pour avaliser le transfert de ses troupes : il ne revient qu'en 1797 avec le grade de major général et séjourne alors près de deux ans à Londres.

En 1800, il est décoré à Berlin de l'ordre de l'aigle rouge par Frédéric-Guillaume IV, le roi de Prusse et est fait lieutenant général par les Anglais. Il se retire à Neuchâtel où il fait l'acquisition, en 1801, de la demeure et du parc de la Grande Rochette qu'il transforme [6]. Il meurt des suites d'une opération le 4 avril 1806.


Le régiment de Meuron au service des Britanniques

En 1795, suite à l'invasion des Provinces-Unies et à la faillite de la Compagnie hollandaise, de Meuron met son régiment, qui prend alors le nom de « His Majesties Regiment de Meuron » au service de la Grande-Bretagne. La quasi totalité des 860 hommes du régiment acceptent le protocole de transfert qui inclut le payement des arriérés de solde ainsi que le versement d'une prime de 4 000 livres à son commandant qui est promu, tout comme son frère, au rang de général de l'armée anglaise. En 1798, le régiment entre officiellement au service de l'armée, sous la forme de deux bataillons de cinq compagnies d'infanterie chacun[2].

Sous le commandement d'Arthur Wellesley, le régiment de Meuron est transféré en Inde et participe à la campagne du Mysore en 1799. Il reste stationné en Inde jusqu'en 1806, année de la mort de son fondateur qui était retourné à Neuchâtel quelques années plus tôt, avant de retourner en Angleterre via l'île de Malte où il est stationné pendant quelques mois.

Au service du Bas-Canada

Le 5 mai 1813, le Régiment suisse de Meuron fort de 1100 hommes s’embarque depuis l’ile de Malte sur trois vaisseaux pour le Canada abord des vaisseaux de Sa Majesté, le Melpemone, le Regulus et le Dover, avec un major, 6 capitaines, 20 lieutenants et enseignes, 54 sergents, 22 tambours et 1 001 hommes de troupe.

Composé alors de « 931 soldats, 51 caporaux, 53 sergents, 21 tambours et fifres, un sergent major, un sergent quartier-maître, un sergent paie-maître, un sergent d'armes, un tambour major, un sergent instructeur [et] 43 officiers »[4], il part pour le Canada.

Il est aussi intéressant de noter qu’il y avait officiellement 28 femmes (épouses) et 28 enfants enregistrés sur le rôle du régiment.

Voir aussi

http://www.men.ch/infomusee.asp/1-3-100-99-1520-99-5-4-1/

Sources

ISBN-10 : 2-922789-00-4 .