Publier sa généalogie

De Geneawiki
Aller à la navigation Aller à la recherche


Modèles de présentations

L'une des difficultés qui se présente au généalogiste est de concevoir la description graphique de l'ensemble de ses recherches.

Tenter d'exposer toutes les composantes filiatives soulève le problème de l'espace à accorder pour cette présentation. Certains chercheurs n'hésitent pas à utiliser des rouleaux de papier à dessin de plusieurs mètres de long pour développer les résultats de leurs travaux. D'autres préfèrent se contenter d'un arbre peint sur un tableau de format réduit où chaque lignée est illustrée par une branche maîtresse ou secondaire.

Il faut bien reconnaître que ces réalisations sont spectaculaires ; il est dommage qu'elles restent peu pratiquées. Sans perdre de vue que l'un des mérites de la généalogie consiste à recenser tous les descendants, ou tous les ascendants - sans exception - d'un personnage, la figuration d'un arbre généalogique doit être limitée à de justes proportions, si l'on veut que sa compréhension en soit facilitée.

La liberté créatrice et l'utilisation de toutes les combinaisons sont permises en fonction de chaque cas concret qui peut se présenter au chercheur. Néanmoins, parmi d'autres, deux conceptions s'imposent : le tableau d'ascendance et l'arbre à feuilles.


Les tableaux

II ne recense que les personnages de votre filiation directe et ne considère pas les frères et les soeurs de chacun de vos ancêtres. Il rassemble toutes les caractéristiques héréditaires de votre sang, qu'elle soient visibles ou cachées. Employé depuis le Moyen Age, vous pouvez l'inscrire dans un arbre dessiné. Le probans est alors inscrit sur le tronc, deux branches maîtresses incarnent la filiation parentale Quatre branches secondaires sont affectées aux grands parents, et ainsi de suite Ce type de tableau n'est pas un arbre généalogique à proprement parler.


Chaque personnage sera mentionné par

  • son nom (en lettres majuscules),
  • ses prénoms (le prénom usuel étant souligné),
  • ses jour, mois et année de naissance, de mariage, de décès,
  • ses lieux de naissance, de mariage, de décès,
  • ses titres et/ou professions

Nous distinguons quatre types de tableaux : le vertical, l'horizontal, le circulaire et l'écrit. Les généalogistes les utilisent indifféremment Pour eux, comme pour vous, c'est une question de goût. Vous pouvez même vous les procurer pré-imprimés dans certaines librairies comme dans certains centres ou certaines associations.

Le tableau vertical

II s'inspire de l'arbre généalogique. La différence essentielle étant que, dans un arbre, l'ancêtre le plus éloigné trouve sa place dans les racines, donc en bas du dessin, alors que dans un tableau d'ascendance vertical, ce même ancêtre est placé au sommet. II y a là un non-sens graphique évident, mais qui ne porte pas à conséquence dans la lecture et la bonne compréhension du travail présenté.


Le tableau horizontal

Utilisé dès le XVIIe siècle, il est apprécié par certains chercheurs, pour des raisons pratiques de lecture. Cela, surtout lorsqu'il s'agit d'inclure un tableau d ascendance dans un cahier, un classeur, un album ou un ouvrage relié. Chaque personnage figure dans la colonne réservée à sa génération. C'est un tableau vertical qui a pivoté d'un quart de tour à droite. Ainsi, vous ne lisez plus de bas en haut, mais de gauche à droite, l'ancêtre le plus éloigné étant situé sur votre droite. La présentation horizontale d'un tableau offre un avantage non négligeable, celui de permettre l'emploi de la machine à écrire pour remplir les espaces affectés à chacun de vos ancêtres.

Le tableau circulaire

Imaginez le tronc d'un arbre sectionné. Le nombre de cercles concentriques visibles sur la section permet d'évaluer son âge. Gardant ce principe des cercles, et chacun d'eux étant affecté à une génération, le tableau circulaire met en évidence l'ampleur des recherches effectuées. Vous vous situez au centre du cercle et les générations les plus anciennes en forment la périphérie. Vous voici donc entouré de vos ancêtres. Une règle évidente impose de diviser en deux chaque portion ancestrale de la circonférence suivante : la première moitié est réservée à la branche paternelle, la seconde à la branche maternelle. Parfois, cette méthode est utilisée pour présenter un arbre généalogique aux nombreuses ramifications. L'indéniable esthétique et la poésie qui peuvent se dégager d'un tel tableau n'excluent malheureusement pas les difficultés de lecture ou de compréhension qui lui sont propres. En effet les branches patronymiques de votre ascendance ne sont pas clairement définies et seul un graphisme parfait accompagné d'une coloration judicieuse peut remédier à cet inconvénient.

Le tableau semi-circulaire
Arbre éventail.jpg

II a été parfois préféré parce qu'il offre l'avantage d'être moins encombrant et de pouvoir se lire plus facilement.


Le tableau écrit

Moins connu, il sera surtout employé pour présenter votre filiation ancestrale dans vos dossiers. Sur des feuilles de format 21 x 29,7, il présente ligne par ligne, génération après génération, l'ensemble des informations de vos ascendants ou de vos descendants."

Les arbres

L'arbre à feuilles "C'est l'arbre généalogique traditionnel ! C'est celui que l'on préfère, car il symbolise parfaitement l'esprit d'une famille attachée à son nom, comme à son histoire. II convient donc de le représenter entièrement : son tronc, ses branches, ses feuilles, certes, mais également ses racines.

Chaque personnage trouve sa place dans chacune des parties de l'arbre en fonction de la période proche ou éloignée dans laquelle il se situe, ainsi, tout naturellement, vos enfants ou petits enfants se retrouveront au faîte de l'arbre et vos ancêtres au niveau du réseau radiculaire. Le cycle de la vie est respecté : aux Jeunes générations les Jeunes branches, qui puisent leur sève dans la richesse de la terre des générations passées. Sa lecture est d'une facilité extrême, encore faut-il veiller à ne pas dessiner trop de branches. Vous en arriveriez a ne plus pouvoir contempler qu'un buisson impénétrable.

Si, dans les tableaux d'ascendance, vous représentez l'ensemble de vos ancêtres directs, dans l'arbre à feuilles vous ne pouvez mettre en page que vos ancêtres porteurs d'un même nom, avec toutefois l'avantage de pouvoir y adjoindre les frères et sours de vos ancêtres directs.

C'est donc l'ensemble d'une famille qui est ainsi représenté. Quelques règles s'imposent :

Les époux occupent une seule et même case (ou une feuille) Chaque enfant, marié, veuf, célibataire ou mort-né occupe également une case {ou une feuille) Pour une même génération, l'aîné des enfants est placé au milieu. Le cadet, le ou les puînés, le benjamin seront placés respectivement à droite et à gauche de l'aîné, suivant l'ordre chronologique des naissances Le primat sera donc situé au ras du sol et le réseau radiculaire sera laissé libre, comme pour conserver la place à ceux de vos ancêtres qui, de la préhistoire a nos Jours, font que votre famille est vieille de plus de 400 000 ans, même si un grand nombre d'entre eux n'ont pas pu vous transmettre de traces écrites nominatives Les lignes féminines par les sours sont les seules à être représentées dans l'arbre généalogique. Dans l'espace qui leur est réservé (case, feuille, etc. ), mention est faite du nom de l'époux, des date et lieu du mariage. Leur descendance n'apparaît pas sur l'arbre du patronyme de jeune fille puisqu'elle figure sur l'arbre généalogique de l'époux"



Illustrez votre arbre

"On peut toujours tout illustrer. Un tableau d'ascendance qui, par sa rigueur, ne semble pas laisser de place a l'image, peut néanmoins donner lieu à une illustration thématique. Puisque les générations passées, présentes ou futures sont mises en évidence dans un tel tableau, pourquoi ne pas utiliser les images caractérisant chacune de ces générations pour agrémenter un support qui, au premier abord, pourrait apparaître comme rigide. Par exemple, réservez aux personnages du XXe siècle les clichés des techniques de la communication, de la conquête spatiale ou ceux, plus douloureux, de guerres subies, accordez aux générations du XIXe siècle les cartes postales anciennes décrivant des scènes de rues et villages, et donnez aux générations des XVIIe et XVIIIe siècle les reproductions des estampes, des pastels, des sanguines ou, plus simplement, d'un tableau significatif de leur environnement social, professionnel ou géographique.

Vous n'en distinguerez que mieux le rapport essentiel qui peut exister entre l'histoire de votre famille et la grande Histoire, celle des Arts, celle des Sciences, celle des Techniques, l'histoire politique, l'histoire sociale , l'histoire des hommes.

Le vertige de l'illustration peut surprendre le généalogiste s'il souhaite agrémenter ce que nous appelons l'arbre à feuilles. Pour ne citer que quelques options, mentionnons les possibilités suivantes :

Le village d'origine dessiné ou peint sur la ligne d'horizon de chaque côté du tronc (le clocher reste toujours le symbole du terroir) Les fruits et les oiseaux peuvent contribuer à faire vivre l'ensemble (ne sont-ils pas les thèmes favoris des peintres pour exprimer les joies de la nature) L'élément aérien n'est certes pas a dédaigner, mais restez prudent, si vous voulez utiliser les nuages ou les astres pour combler quelques vides inévitables Le domaine végétal vous offre des choix multiples pour placer votre famille dans un décor agreste. Restez vigilant ne choisissez pas un peuplier pour supporter des familles trop nombreuses, de même qu'un palmier superbement décoré de régimes de dattes ne conviendra pas pour illustrer une famille originaire d'Alsace. Le chêne, le hêtre, à la rigueur le bouleau gris et argenté demeurent les supports traditionnels des familles européennes. Les sapins et toutes autres sortes d'épineux sont, bien évidemment, à exclure de vos palettes. Toutes ces prouesses graphiques et picturales sont permises sur un grand nombre de supports autres que le papier. Pour mémoire, le parchemin, le tissu, le bois, le cuir, le métal vous offrent des possibilités d'exprimer votre sensibilité et vos talents. Les techniques telles que la broderie, la peinture sur soie, la tapisserie, le fer forgé, la sculpture sur bois sont également à même de satisfaire votre imagination. Une seule règle prévaut : la prudence reste l'apanage du bon goût. La richesse de votre patrimoine culturel, l'ensemble des valeurs fondamentales qui se sont transmises de père en fils dans votre famille et surtout la qualité de vos travaux méritent une réalisation simple et équilibrée c'est par elle que votre arbre généalogique obtiendra ses lettres de noblesse. "


Extrait de "Généalogie" par Léo JOUNIAUX chez Arthaud 1991


Liste d'ascendance

Comme la liste éclair, elle sert notamment au généalogiste qui recherche des cousinages.
Par exemple, le cousin Tartempion qui lira dans le bulletin que M. Duschmoll a dans son ascendance le couple : 4912 POPHILLAT Charles/ 4913 MASSON Anne x 1631 Moulon, 45 saura immédiatement que le déposant de cette liste lui est lointainement apparenté. Par la grâce des numéros sosa il pourra immédiatement s'atteler à la confection d'un tableau de cousinage, ce que la liste éclair ne permet pas, même si on peut souvent deviner où se trouve le point de jonction entre les branches.

Liste de descendance

Liste indentée

La liste-éclair

La liste-éclair permet de faire figurer de façon simple un minimum d'informations. Elle permet d'attirer l'attention des autres généalogistes qui peuevnt supposer, à sa lecture, avoir des patronymes communs, dans un même lieu et une même fourchette de dates. On l'utilisera notamment sur les listes de discussion sur Internet, dans les bulletins de cercles généalogiques ou par échange de mails privés, en guise de premier contact, et en prévision d'échanges de généalogies plus détaillées (fichiers GEDCOM en général). Les listes-éclair sont notamment utilisées sur GeneaNet et sous une forme allégée sur CousinsGenWeb.

Liste éclair.jpg

Principe

La liste-éclair contient plusieurs colonnes :
• Pays (en option, inutile à préciser si c'est évident)
• N° département/Région (en option, inutile à préciser si c'est évident)
• Patronyme (par ordre alphabétique croissant)
• Commune (par ordre alphabétique croissant)
• "N, B, U, D" pour spécifier le nombre d'actes de Naissance, Baptême, Union, Décès correspondants.
• Année début - Année fin : ce sont les dates extrêmes où les événements ont été rencontrés (ou une seule année si un seul événement). Les dates doivent correspondre à un acte qui a été vérifié. Les dates sans lieu ne sont pas intéressantes.

Ces listes sont adaptables au gré de chacun, on peut ainsi présenter la liste par ordre alphabétique des patronymes ou des communes, départements, pays, l'essentiel étant que la lecture de la liste soit claire.

Ainsi, les sites CousinsGenWeb n'utilisent que deux données : le couple "patronyme;lieu".

On peut aussi ajouter à chaque patronyme le n° Sosa de l'ancêtre le plus récent ayant porté ce nom, ce qui permet de détecter avec une quasi certitude des cousinages, et de reconstituer la généalogie entière.

Les listes-éclair sont aujourd'hui générées automatiquement par les logiciels de généalogie. On peut également, si on effectue sa généalogie sans logiciel, les créer sur un tableur type Excel. Les listes-éclair au format texte devront inclure des "séparateurs", terme informatique, représentés en général par des tabulations ou des points-virgules, de façon à ce que la personne qui reçoit votre liste-éclair puisse la copier-coller ou l'importer facilement sur son propre tableur.


Exemple du format GeneaNet :
Nom;Commentaire;DateMin;DateMax;Nbre;°;x;+;Lieu;SousRégion;Région;Pays;Type
ALAGONOTTE,LAGONOTTE;;1628;1809;7;2;6;4;Orsennes,36146;F36;CEN;FRA;L
ALAGONOTTE,LAGONOTTE;;1721;1721;1;0;1;0;Montchevrier,36126;F36;CEN;FRA;L
HENTEN;;1636;1636;1;1;0;0;Wulveringhem, 38025;;WVL;BEL;L
HENTEN;;1656;1656;1;0;1;0;Hondschoote, 59309;F59;NPC;FRA;L

Le site web

Les formats de publication

Publier sa généalogie, d'accord, mais sous quelle forme ? En effet, il existe plusieurs façons de présenter une généalogie, et il est important de bien le faire pour que tout le monde puisse comprendre votre travail sans difficultés.
Vous pouvez choisir de l'imprimer, de la graver sur CD-ROM ou de la diffuser sur Internet.

généalogie imprimée

sur CD-ROM

  • Création d'un CD-ROM


NB : Pour démarrer un CD automatiquement sous windows, il faut créer un fichier dénommé "autorun.inf" (simple fichier texte) à mettre dans la racine du CD avec comme contenu le texte ci-après :

[autorun] open=autorun/shelexec mon_repertoire\ma_page.html Icon=mon_icone.ico

Ainsi lorsque l'on met le CD, la page web ma_page.html va s'ouvrir avec le navigateur par défaut. De plus le CD aura l'icone mon_icone.ico dans l'explorateur et le poste de travail...

sur Internet

Confidentialité

La finalité d'une généalogie est d'être publiée. Pour les informations antérieures à 100 ans, cela ne pose aucun problème. Mais quelles sont les règles de communication des informations contemporaines ?

Notre recommandation est de supprimer de votre publication (imprimé, site Internet, fichier transmis à un tiers ou CD-Rom) toutes les personnes vivantes ou nées depuis moins de 100 ans. Vous vous éviterez des soucis et éviterez surtout de nuire à quiconque involontairement.

Pour en savoir plus : Charte du généalogiste amateur. Les législateurs divergent c'est pourquoi un Code de Conduite européen permettrait de savoir à quoi s'en tenir.

Sinon voici quelques détails sur ce sujet

1) Demander l'autorisation à la personne concernée, par écrit, après avoir soumis les données que l'on souhaite publier. 2) Retirer les informations concernant une personne vivante sur simple demande. 3) Attention à ce qui pourrait blesser /géner des vivants. Le mieux est de conserver les informations sensibles à part.

Directive 95/46/CE (transcription dans le droit français http://www.cnil.fr/ ) L'information que nous pouvons publier/communiquer doit être obtenue en conformité avec les lois nationales. La loyauté consiste à citer nos sources (références, auteur, intermédiaire) pour la traçabilité des informations. Devoir d'informer les personnes vivantes quand leurs données personnelles entrent dans notre fichier (art.31) et elles ont le droit de s'y opposer (art.38). C'est pourquoi chaque généalogiste qui est responsable d'un traitement de données personnelles de personnes vivantes doit déclarer son activité à son autorité nationale (CNIL en France, Commission de protection de la vie privée en Belgique, etc.). Et de toute façon aucune information sur les moeurs, les opinions ou la religion ne devra s'y trouver. Un fichier généalogique est privé si on n'en communique aucune donnée. Autant dire que ca n'arrive jamais. En cas d'échanges il y a obligation de se déclarer à la CNIL ou autres autorités nationales.


  • Belgique

la Commission de la vie privée estime que le généalogistes manipulent les vivants et les morts et qu'il n'est pas possible, dans un fichier, de distinguer les deux et de leur appliquer des législations différentes donc qu'il faut appliquer aux généalogistes la loi la plus contraignante. Ces recommandations ne font pas office de Loi. Pour la filiation les modifications du 22 juillet 1999.

En Belgique, dans les journaux nationaux tel que le Soir ou la Libre Belgique, il y a la page necrologique annonçant les deces de jour. Pour le Libre Belgique, tous les mardis, il y a la page reprenant les naissances de la semaine, les annonces de fiançailles et les dates de mariage. Alors d'autre part, il y a des livres reprenant toutes les informations tels que NOM, Prenoms, dates de naissances, de mariages et de deces des membres des divers Familles. Ce que je ne mets pas dans une genealogie, c'est le metier,(sauf avis contraire), adresses ou d'autres détails privés. Michel Roberti de Terbiest

  • France

Guide des archives par Gildas Bernard : http://perso.wanadoo.fr/jean-luc.monnet/SOMMAIRE.HTM Loi de 1979 sur les archives : http://www.legifrance.gouv.fr/html/index.html Décret de 1962 : http://www.elunet.org/textof/decret/1962/62921.htm Décret de 1997 qui modifie le précédent : http://gatinais.free.fr/BMSetatcivil/decret1997.html Loi "Informatique et libertés" : http://www.cnil.fr/textes/docs/loi78-17.pdf Projet de loi de 2002 sur la protection des personnes : http://www.cnil.fr/textes/docs/petite_loi.pdf

Les actes de plus ou moins de 100 ans ne ressortent pas des mêmes textes. La loi n'interdit rien de façon explicite sinon la diffamation. La loi N°79-18 du 03-01-1979 définit un délai de cent ans avant que les actes de l'état civil soient rendus publics. En deçà, l'accès est réglementé et nous aurions le droit de communiquer. - l'état civil complet d'une personne vivante âgée de plus de cent ans; - l'état civil complet d'une personne décédée qui aurait moins de cent ans, son acte de décès est public et contient des renseignements filiatifs ; - l'état civil sans la filiation d'une personne vivante non centenaire. Loi du 3 janvier 1979 : les archives publiques sont communicables après trente ans. Délai plus élevé pour certains documents : 1° Dossiers médicaux : cent cinquante ans à compter de la date de naissance. 2° Dossiers de personnel : cent vingt ans à compter de la date de naissance. 3° Justice : cent ans à compter de la date de l'acte ou de la clôture du dossier. 4° Notaires : cent ans pour les minutes et répertoires. 5° Etat civil : cent ans. 6° Enregistrement : cent ans 7° Recensements et enquêtes : cent ans à compter de la date du recensement ou de l'enquête. 8° Vie privée : soixante ans à compter de la date de l'acte pour les documents mettant en cause la vie privée. 9° Sûreté de l'Etat : soixante ans à compte de la date de l'acte. 10° Présidence de la République et Premier ministre : soixante ans. 11° Dommages de guerre : soixante ans.

Reste à définir : publicité / publication, donnée publique ou personnelle (où ranger la filiation ?).

Je pense qu'il qu'il ne faut pas réduire le terme de public à ce qui est "donné en pâture" à tout un chacun. Je m'explique : la législation permet d'obtenir des extraits d'actes mais l'ensemble du registre est public. Ce sont les règles de publicité qui en restreignent l'accès. La filiation ne serait pas privée contrairement aux opinions religieuses ou politiques (par exemple) ; elle ne relève pas de l'article 2 de la loi "informatique et libertés". Dans ces derniers cas on notera que la loi prévoit explicitement qui et comment collecte, stocke et traite ces données (article 15 et suivants). Dans le cas spécifique de la généalogie, reconnaître un risque d'atteinte à la vie privée dans le cas de diffusion de l'information ferait sortir cette activité du cadre de l'article 17-1 et du régime de la déclaration simplifiée auprès de la CNIL. Tout cela pour dire qu'il faut distinguer information publique et privée. En première approximation : - Privée : ce qui ne concerne que les opinions individuelles de la personne, ses préférences, inclinations... les informations protégées par la loi. En gros l'usage ou la mention de ces informations peut être sanctionné. - Publique : le reste ! Patrice Brancourt

Il est légalement interdit de donner, sans son consentement, la filiation naturelle d'une personne légalement adoptée. Tous les extraits d'actes non filiatifs peuvent être obtenus : il n'y a pas de loi des cents-ans. (Presque?) Toutes les publications (de mariage, Etat-Civil des journaux) ne sont pas filiatives. Par contre : - la célébration de mariage est publique : n'importe qui peut y assister et avoir la lecture de l'acte intégrale. - les faire-part de décès sont filiatifs et même publics lorsqu'ils sont publiés dans les journaux ou affichés à la porte d'un magasin. Personnellement, je m'en tiens à ne publier que (avec toutes les dates) : les décédes (sauf certains trop récents), mon ascendances, ceux qui me le demandent. (un script Perl, disponible sur mon site, pour nettoyer mon gedcom. CFTW exporte correctement 1 DEAT Y quand il y a ni date, ni lieu.) Publier un baptème avec la paroisse, c'est donner une opinion religieuse. Tous nos fichiers seraient illégaux. Patrick Texier

Domaine public: accessible à tout le monde, sans restriction. Page du Web est dans le domaine public car n'importe qui peut aller la lire. Domaine privé: pas accessible à tout le monde.Pour ce qui est de la filiation, en Belgique, le Code civil est clair: Toute personne peut se faire délivrer par les dépositaires [le texte parle des communes] des registres de l'état civil des extraits des actes inscrits dans ces registres. Ces extraits ne mentionnent pas la filiation des personnes que ces actes concernent. Seules les autorités publiques, la personne que l'acte concerne, son conjoint ou son conjoint survivant, son représentant légal, ses ascendants, ses descendants, ses héritiers, leur notaire et leur avocat peuvent obtenir une copie conforme d'un acte de l'état civil de moins de cent ans, ou un extrait de cet acte mentionnant la filiation des personnes que l'acte concerne (art. 45, §1er du Code Civil). c'est privé! Olivier Roufosse

La « loi des 100 ans » n'existe pas. Ce délai ne concerne que les dépositaires d'archives publiques auquels il est fait défense habituelle de communiquer certains types d'archives publiques (état civil, minutes notariales, enregistrement, etc.). Il n'a légalement aucun rapport avec la publication par une personne privée de données nominatives concernant une personne vivante. La référence légale est l'Article 27 (loi de 1978 sur l'informatique et les libertés) Les personnes auprès desquelles sont recueillies des informations nominatives doivent être informées :

  • du caractère obligatoire ou facultatif des réponses ;
  • des conséquences à leur égard d'un défaut de réponse ;
  • des personnes physiques ou morales destinataires des informations ;
  • de l'existence d'un droit d'accès et de rectification.

Lorsque de telles informations sont recueillies par voie de questionnaires, ceux-ci doivent porter mention de ces prescriptions. Cet article impose déjà, implicitement, une demande préalable de la part de la personne mettant en oeuvre le traitement automatisé. Par ailleurs, en vertu de quoi la filiation d'une personne, bien qu'elle soit énoncée publiquement lors de diverses cérémonies ou dévénements (mariages, audiences pénales) ne pourrait être considérée comme faisant partie de la sphère privée (1), et donc susceptible de faire l'objet d'une action judiciaire de la part d'une personne dont on dévoile la filiation (même légitime et parfaitement "honorable") contre son gré.(1) Les deux textes dont relève cette "sphère privée" : Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (article 8) : « Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale [...] » Code civil, article 9, 1er alinéa : « Chacun a droit au respect de sa vie privée. » Une prudence extrême s'impose dans ce domaine. Si l'on veut intégrer ses "cousins" dans un fichier généalogique, à plus forte raison si celui-ci est destiné à avoir une version publique, il y faut l'agrément complet et préalable des "cousins" en question. Sortir de ce principe risque un jour d'exposer le « contrevenant » à de cruelles surprises. Jean Roger Tixier-Toutain (alias Jerotito).



Les données d'état civil (au moins en France) telles que figurant sur les actes : -peuvent être diffusées sans restriction si les événements ont plus de cent ans, même si les personnes auxquelles ils se rapportent vivent toujours (ça c'est pas prévu par les législateurs) ; -dans le cas où elles sont plus récentes, la "censure" relève de l'appréciation personnelle mais aucun texte n'interdit de diffuser la filiation de quiconque (sauf dans le cas de filiation adoptive). En ce qui concerne la façon de recueillir les données, à mon avis il importe peu qu'on les obtienne dans le journal local (données publiques donc diffusables) et/ou qu'on recoupe les sources entre elles, ou qu'on passe par l'intermédiaire de l'officier d'état civil (les actes récents sont publics mais leur publicité est réglementée). De toute façon les données d'état civil n'appartiennent pas au domaine de la vie privée (l'article 226 du code pénal ne s'applique pas). Il faut d'ailleurs cesser de penser que les actes ne sont pas publics parce que nous ne pouvons pas les consulter librement. Il n'en est évidemment pas de même d'autres données comme la religion (et encore, j'ai vu des actes où elle figure), de la race (qui apparaît pourtant sur les cartes d'identité de certains territoires)... mais ces limitations sont limitativement énoncées dans les textes. De même les photos doivent être diffusées avec précaution en raison du droit à l'image de chacun d'entre nous ; les écoles demandent même actuellement l'autorisation écrite des parents pour réaliser des photos individuelles. Incidemment ce n'est pas le cas pour les photos de groupe. Le sujet serait à creuser.


Maintenant rest le problème du tort fait à autrui. Je n'ai toujours pas vu d'exemples concrets : on évoque le cas des personnes nées hors mariage ou originaires de pays étrangers ... mais où est le préjudice ? Dans l'opinion que se forge le consultant des données. Et alors ? Les notions de honte, de racisme,.... sont très fluctuantes et je me vois mal gérer un fichier généalogique à l'aune de mes préjugés et tabous ; cela dit si j'ai connaissance qu'une naissance est adultérine, je n'irai bien sûr pas le diffuser ni sur internet ni même dans mon quartier. Quant à prêter attention à la possibilité que des personnes seraient fragiles ou pourraient éventuellement être fragilisées psychologiquement à la consultation de données généalogiques, alors il ne faut rien mettre sur internet et même l'échange de personne à personne devient risqué.

Pour ce qui est de déclarer son site à la CNIL il faut se rapporter à la Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 telle que modifiée par la loi 2004-801 du 6 Août 2004 (Journal Officiel du 7 Aôut 2004) [cf http://anne.raffray.free.fr/reformecnil.htm] : Article 2 La présente loi s'applique aux traitements automatisés de données à caractère personnel, ainsi qu'aux traitements non automatisés de données à caractère personnel contenues ou appelées à figurer dans des fichiers, à l'exception des traitements mis en oeuvre pour l'exercice d'activités exclusivement personnelles, lorsque leur responsable remplit les conditions prévues à l'article 5. Article 5 I. - Sont soumis à la présente loi les traitements de données à caractère personnel : 1° Dont le responsable est établi sur le territoire français. Le responsable d'un traitement qui exerce une activité sur le territoire français dans le cadre d'une installation, quelle que soit sa forme juridique, y est considéré comme établi ; On constate qu'un fichier généalogique personnel n'a pas à être déclaré (activité exclusivement personnelle) pas plus qu'un site (on ne peut pas considérer que la gestion de site généalogique dans le cadre d'un loisir soit une activité du gestionnaire du site au sens où il n'est pas rétribué pour cela). Mais il convient d'éviter sur un site les données "indésirables" (voir article 8 de la loi de 78). Patrice Brancourt (octobre 2004)

1) Une donnée d'état civil dans un journal local ... est locale. Si on diffuse cette donnée sur le net, elle devient visible au monde entier. Et recoupée avec d'autres informations, il n'y a plus aucun controle sur une utilisation par une personne extérieure. Il faut adopter un principe de précaution pour la diffusion sur le net. 2) Le recoupement des informations fait que l'on peut, sans y prendre garde, devenir franchement indiscret. (or c'est justement ce recoupement que les généalogistes cherchent à faire). Renaud Anzieu

Délai de communication des actes de décès en France. Ils sont librement communicables. Décret 62-921 du 03 Août 1962 - article 9. Il faut fournir la date exacte, en principe. "Les copies d'actes de décès peuvent être délivrées à toute personne."

Quelques règles typographiques

  • Majuscules et minuscules, sigles, chiffres
  • Majuscule avec accent
  • Ponctuation

Introduction

Il est toujours agréable de lire des documents bien composés, sans fautes sémantiques ou syntaxiques, sans abréviations incompréhensibles, normalement accentués et ponctués. Les logiciels et matériels que nous utilisons actuellement permettent d'atteindre une qualité honorable.

Il est très difficile dans nos diverses activités professionnelles de respecter la totalité des règles traditionnelles telles qu'elles sont exposées dans les Règles Typographiques en usage à l'Imprimerie Nationale (ISBN 2-11-081075-0) ou dans le Dictionnaire des règles typographiques de Louis Guéry, CFPJ Editions. Cependant, on peut se plier à quelques habitudes communes en matière d'abréviations, d'emploi des majuscules, d'accentuations, d'écriture des chiffres, de présentation, de ponctuation. Voici quelques règles extraites du Manuel de typographie française élémentaire d'Yves Perrousseaux applicables à l'écriture d'articles, de comptes rendus de réunions, de projets, de messages électroniques ou de pages HTML





Majuscules et minuscules, sigles, chiffres

  • On compose avec une capitale initiale le mot qui commence une phrase ou une citation complète :
elle lui demanda : "Avez-vous trouvé ce livre ?"
  • les patronymes, les prénoms, les surnoms.
  • les noms des peuples, les habitants des régions ou des agglomérations : les Espagnols, les Alsaciens, les Grenoblois.
  • Par contre le nom des langues commence par une minuscule : l'espagnol, le français, le russe, l'arabe, etc.
On écrira donc : un agent de police, la commission des finances, l'état-major.

Organismes d'État

  • l'académie de Reims mais l'Académie de médecine
  • l'université René Descartes, l'université de Toulouse
  • la préfecture de Haute-Savoie
  • le Muséum d'histoire naturelle
  • le Collège de France
  • la Commission européenne
  • les Nations unies

Titres

le ministre de l'Éducation nationale
M. le professeur Morel

Sigles [Sigle = suite de lettres (initiales de noms) que l'on prononcent (comme EDF) alors que dans un acronyme les lettres se prononcent comme un mot (ex: Assedic)]

Les sigles ne comportent ni séparations ni points : EDF, RATP, SNCF, USA, HTML
S'ils se prononcent aisément : Assedic, Euratom, Inserm, Unesco
On met l'accent sur les capitales (si la machine qu'on utilise le permet !)

Chiffres

  • La version 48 de l'EMBL contient 700 169 610 bases, 1 046 026 séquences, 181 343 sous-séquences, 114 821 références.
  • 995,55
  • Ce village, de 1245 habitants, possède 27 km de voies communales réparties sur une surface cadastrée de 25 500 ha 450 ca.
  • 1995 : 858 inscrits, 732 votants, 729 exprimés.
  • La fête sera cette année les 5, 6 et 7 août.
  • Un colloque sur l'oeuvre de Descartes est prévu le mardi 10 décembre 1996.
  • J'ai programmé l'enregistrement à 23 h 15.
  • Un moteur de 5 ampères sous 220 volts.
  • L'étain, d'une densité 7,2, fond à 232 °C et bout vers 2 250 °C.
  • On compose en chiffres romains les divisions principales d'un ouvrage, les régimes politiques, dynasties, salons, conciles ...

[les chiffres romains majuscules doivent être du même corps que le texte (Louis XIV, an IV de la République Française), mais le corps doit être inférieur pour les siècles : XIXe siècle, "XIX" doit être en 10 points si le texte est en 12 points, en 12 points dans un texte en 14 point, ... ]

  • On compose en lettres les nombres inférieurs à 10 : ce document comprend trois parties. Il y a quatre ans et deux mois, avait lieu...
  • les nombre employés comme substantifs : entrer en sixième
  • les fractions d'heures suivant les mots midi et minuit : midi vingt, minuit dix-sept
  • certaines expressions : les années soixante, la guerre de Trente ans

Chiffres composés

dix-huit, quatre-vingt-dix-sept, vingt et un
cent vingt-deux, trois cent trente et un
mille neuf cent quatre-vingt-seize
quatre-vingts mais quatre-vingt-un
trois cents mais trois cent dix ou sept cent mille
Téléphone, fax : Téléphone 01 44 50 26 18 - Fax 01 42 96 34 97

Adresse Pour faciliter le tri postal, les adresses s'écrivent sans abréviations, sans majuscules accentuées et sans ponctuation. CEDEX' signifie Courrier d'Entreprise à Distribution EXceptionnelle.


Majuscule avec accent On lis souvent sur les listes généalogique des patronymes de ce type " DUPRé ", avec la minuscule accentuée non transformée en majuscule car la personne ne sait pas mettre l'accent. Voici la liste des codes à taper (valable pour la grande majorité des ordinateurs) pour écrire des lettres majuscules accentuées. Les chiffres doivent être tapés sur le pavé numérique de votre clavier en maintenant la touche "Alt" enfoncée.

Alt 142 => Ä Alt 181 => Á Alt 182 => Â Alt 183 => À Alt 199 => Ã Alt 146 => Æ Alt 144 => É Alt 210 => Ê Alt 211 => Ë Alt 212 => È Alt 140 => î Alt 153 => Ö Alt 226 => Ô Alt 154 => Ü Alt 234 => Û Alt 235 => Ù Alt 128 => Ç Alt 165 => Ñ Alt 225 => ß Alt 184 => © Alt 64 ou 320 => @ Alt 171 => ½ Alt 172 => ¼ Alt 174 => « Alt 175 => »



Ponctuation

  • Les phrases se terminent par un point final, un point d'exclamation, un point d'interrogation ou des points de suspension.
  • La virgule sépare les parties d'une proposition ou d'une phrase à condition qu'elles ne soient pas déjà réunies par les conjonctions et, ou, ni.
Elle sépare les énumérations.
Elle isole les mots mis en apostrophe.
On ne met pas de virgule avant une parenthèse, un tiret ou un crochet.
  • Le point virgule sépare différentes propositions de même nature.
  • Le deux-points introduit une explication, une citation, un discours, une énumération.
  • Les points de suspension sont toujours au nombre de trois.
  • Les guillemets "informatiques" sont si simplifiés qu'il est impossible de respecter les règles typographiques françaises traditionnelles.
  • Le point final se met avant ou après le guillemet fermant suivant le contexte, il n'est pas doublé.
  • Les parenthèses intercalent une précision dans la phrase. Une parenthèse ne doit pas être séparée par une espace des mots ou signes inclus, elle doit être séparée des autres mots "extérieurs" par une espace, elle suit les conventions typographiques courantes d'espacement avec les autres signes de ponctuation.
Notons une exception, il n'y a pas d'espace avant la parenthèse ouvrante quand on exprime une alternative dans le genre d'un mot : seul(e) ou accompagné(e), directeur(trice), etc.
  • Les crochets indiquent une précision à l'intérieur d'une parenthèse ou une coupure dans une citation.
  • Employé seul, le tiret signale chaque terme d'une énumération ou le changement d'interlocuteur dans un dialogue.
Employés par paires, ils s'utilisent comme les parenthèses. En fin de phrase, le second tiret est supprimé avant le point final.

Les énumérations

  • elles sont introduites par un deux-points
les énumérations de premier rang sont introduites par un tiret et se terminent par un point-virgule, sauf la dernière par un point final
les énumérations de second rang sont introduites par un tiret décalé et se terminent par une virgule.

Les titres et intertitres

  • Quand le découpage des lignes permet d'en comprendre le sens, on ne met pas de point, de virgule ou de point virgule.

Espaces en usage avant et après les signes de ponctuation

  • Point et virgule sont suivis d'un blanc.Aucun espace ne doit les séparer du mot précédent
  • Point d'interrogation, point d'exclamation, point-virgule et deux-points sont suivis d'un blanc et précédés d'une "espace fine insécable". Ce caractère, auquel les professionnels de l'édition de texte sont justement attachés, existe dans les traitements de texte, peut être remplacé par un blanc dans les simples messages et par le caractère  

en HTML.

  • Les guillemets ouvrants ou fermants sont, respectivement, précédés ou suivis d'un blanc.
  • Les parenthèses ou crochets ouvrants sont précédés d'un blanc.
  • Les parenthèses ou crochets fermants sont suivis d'un blanc.
  • Les apostrophes et traits d'union ne sont ni précédés ni suivis de blanc.
  • Le tiret est précédé et suivi d'un blanc.
  • Les points de suspension sont suivis d'un blanc.

Par Jean-Paul Cornu


Logiciels de publications

De nombreux logiciels sont disponibles sur le marché. Ils permettent tous, aujourd'hui, la création d'un fichier gedcom qui pourra être publié un peu partout, d'une liste-éclair, ou d'un site web complet.

Voyez notre guide spécial