Naissance de l'imprimerie à caractères mobiles

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Instantané d'une projection sur les murs de la nouvelle bibliothèque des Dominicains de Colmar.
À gauche et à droite, un typographe ; au premier plan, le margeur ou presseur.
Photo B.ohland

Appelée aussi typographie, l'imprimerie à caractères mobiles se classe au rang des grandes inventions.
Elle a en effet complètement révolutionné le monde de l'écrit et a permis la diffusion du savoir à grande échelle.
À tel point que certains historiens adoptent cette date-là et non pas la découverte de l'Amérique pour délimiter les périodes du Moyen Âge et de la Renaissance.

Bien plus tard, au début du XXIe siècle, c'est le numérique qui opèrera une autre révolution de la communication écrite.

Avant l'imprimerie

Planche à motif floral, pour xylographie sur tissu
Musée de l'Impression Sur Étoffes de Mulhouse
Photo B.ohland

L'envie de communiquer autrement que par l'oral, ou l'envie de laisser une trace à la postérité, est vieille comme le Monde. L'écriture y a largement contribué ; mais comment reproduire un exemplaire unique pour le diffuser ? Jusqu'à la fin du Moyen Âge, en Europe en tout cas, la seule solution pour reproduire un texte était de le recopier : grande spécialité des moines copistes, ce travail restait néanmoins fastidieux et très long, donc très coûteux.

Peu à peu, les hommes ont cherché des procédés mécaniques de reproduction. La plus vieille technique est celle du pochoir, qui permettait de représenter un motif ou une lettre directement sur son support en déposant de la matière dans une forme évidée.

Vint ensuite la xylographie, en Chine, dès le IIe siècle avant l'ère chrétienne. Un bloc de bois était gravé pour laisser le motif en relief. Une fois recouvert de matière colorante ce relief était "imprimé" sur du papier, de la peau ou du tissu par exemple. (Cette technique s'est répandue en Europe et perfectionnée notamment au XIXe siècle dans les manufactures d'impression sur étoffes). Les blocs de bois pouvaient aussi être gravés de signes, de lettres, ou de très courtes phrases : ce fut le cas des images pieuses au début du XVe siècle et des cartes à jouer. Mais il fallait à chaque fois graver un nouveau bloc pour créer un nouveau texte. Cela n'empêcha pas l'impression d'ouvrages appelés tabellaires comme la « Biblia Pauperum ("Bible des pauvres") »[1], à la même époque.

Mais il restait à inventer une technique d'imprimerie avec des caractères indépendants afin d'élargir les possibilités de reproduction à l'infini. Ce sera l'imprimerie à caractères mobiles ou typographie.
En Chine, elle fait son apparition au XIe siècle, grâce à des caractères en bois, en terre cuite ou « porcelaine »[2]. En Corée, des caractères en métal voient le jour à partir du XIIIe siècle.
En Europe, quelques imprimeurs[3] font des essais. C'est finalement Johannes GUTENBERG qui finit par mettre au point, vers 1450, un procédé mécanique, fiable et pérenne, qui va complètement révolutionner le monde de l'écrit en permettant l'émergence et la vulgarisation des livres.

Un contexte favorable

Nous nous trouvons à cette époque charnière que les historiens peinent à délimiter avec exactitude : le passage de la fin du Moyen Âge au début de la Renaissance, là où commence à s'épanouir l'humanisme. Les épidémies du XIVe siècle sont en effet terminées, une reprise économique et financière s'amorce, l'intérêt pour les innovations techniques bat son plein, soutenu par des financeurs tout comme les mécènes soutiennent les artistes. C'est particulièrement le cas dans « la société du couloir rhénan »[4] où Johannes GUTENBERG vit et effectue ses recherches.

Parallèlement, le peuple a soif de connaissances ou d'informations, l'éducation se développe, l'activité intellectuelle et spirituelle s'intensifie. L'élaboration et la production de papier progressant, le livre trouve sa place et est de plus en plus demandé.
La mise au point de l'imprimerie s'inscrit donc naturellement dans cette mouvance dynamique. Et selon Léonard EVERETT FISHER, « la vision qu'eut Johannes GUTENBERG mit un terme au Moyen Âge et façonna notre ère moderne »[5]. Et l'imprimerie, en permettant la diffusion de l'écrit et le développement de l'industrie du livre, va exercer « une influence majeure sur la propagation des idées des humanistes »[6].

Invention et procédé

Un inventeur mystérieux

Gravure d'A. Thévet, 1584[7]
Photo B.ohland

La vie de GUTENBERG comporte quelques zones d'ombre.

Si sa ville de naissance est connue : Mayence, ainsi que ses parents et leur profession, sa date de naissance en revanche manque de précision : autour de 1400. De même, le lieu de ses études est connu  : université d'Erfurt, mais sans information exacte sur la discipline étudiée.
Notre futur imprimeur est dans la capitale alsacienne à partir de 1434, où il s'installe comme orfèvre. En même temps il effectue de nombreuses recherches, plus ou moins secrètes, pour mettre son projet au point. En 1439, une presse en bois est réalisée à sa demande ; il en est donc au stade des essais d'impression.
À partir de 1444, GUTENBERG n'est plus à Strasbourg. Nul ne sait où il est jusqu'en 1448 où sa présence est attestée à Mayence. Là son parcours laisse des traces, car il imprime la fameuse Bible à 42 lignes en 1454 et 1455, et continue à perfectionner sa technique. Il est encore question de lui pendant quelques années (avec quelques impressions et un procès), mais la fin de sa vie reste floue : certains auteurs parlent d'errance et de misère. Il décède en 1468.

Pictos recherche.png Article détaillé : Pour découvrir sa biographie en détail...


Un procédé ingénieux

Presse de Gutenberg [8]
Photo B.ohland

Même si d'autres inventeurs ont réussi à créer des caractères mobiles avant lui, GUTENBERG est le premier à mettre au point la technique dans son intégralité de manière à ce qu'elle soit efficiente et permette aussitôt le développement puis l'essor de l'imprimerie partout en Europe. Cette technique va d'ailleurs rester « inchangée jusqu'au début de la révolution industrielle »[9].

Le génie de notre imprimeur réside en effet dans l'articulation de trois techniques indissociables, qui lui ont d'ailleurs demandé des années de recherches et d'essais, et se sont avérées très coûteuses :

  • Il fallait graver en relief des lettres métalliques mobiles, très petites, correspondant à la graphie de l'époque, et toutes de la même taille pour pouvoir les aligner. Outre la précision nécessaire, véritable art d'orfèvrerie, il fallait aussi déterminer la nature du métal le plus adéquat : ce fut finalement un de ses associés qui eut l'idée de rajouter de l'antimoine au mélange de plomb et d'étain. Enfin, il fallait que ces caractères mobiles puissent être facilement fabriqués en grand nombre.
  • GUTENBERG a aussi effectué de nombreux essais pour trouver une qualité d'encre performante, ni trop grasse (pour ne pas tacher le papier), ni trop fluide (pour pouvoir s'accrocher aux caractères), ainsi que la façon de l'étaler sur les caractères.
  • Enfin, il a créé de toutes pièces les outils et accessoires nécessaires pour organiser le travail de façon rationnelle, et a mis au point une presse à imprimer en bois avec grosse vis (un peu à l'image des pressoirs de vignerons ou des presses à pantalon). Grâce à une mention dans le procès de 1439, nous savons que la première presse a été réalisée à Strasbourg par le tourneur sur bois Conrad SASPACH.


Un atelier d'imprimerie

La technique

  • Plusieurs étapes sont nécessaires pour réaliser les caractères ou types. Dans un premier temps, la forme de la lettre est gravée à l'envers dans une feuille de métal dur, on obtient le poinçon. Celui-ci est martelé dans un métal plus mou, laissant une empreinte appelée matrice. Le métal est alors fondu dans cette matrice afin d'obtenir des caractères identiques les uns aux autres. Enfin, se rajoutent des finitions : « romperie, frotterie, façon au coupoir, apprêt »[10], le tout suivi d'une vérification attentive pour éliminer tout défaut.
  • Les caractères sont rangés dans des boîtes compartimentées appelées casses (ou casiers d'imprimeur). Chaque casse est constituée de deux casseaux, celui du bas pour les lettres minuscules courantes et les chiffres, celui du haut pour les majuscules. Le rangement ne se fait pas par ordre alphabétique, mais selon la fréquence à laquelle les lettres reviennent dans un texte, la lettre "e" étant la plus fréquente.
  • Les caractères sélectionnés par l'ouvrier typographe sont disposés dans le bon ordre sur un petit plateau appelé composteur, permettant de réaliser huit à dix lignes. Celles-ci sont calibrées en comblant les éventuels espaces.
  • Le contenu du composteur est ensuite déposé sur une galée, plateau plus grand avec rebord, correspondant à la taille de la page.
  • Si nécessaire, cette page est insérée dans un châssis rassemblant plusieurs pages et appelé forme : « Cette opération est appelée l'imposition »[11].
  • La forme est encrée par un autre ouvrier à l'aide de balles de chiffons.
  • Une feuille de papier vierge, humidifiée, est posée sur la forme encrée, avec délicatesse et précision.
  • La forme recouverte de la feuille est avancée sous la platine et la vis de la presse est actionnée. Il est à noter que la presse à bras ou presse à plat a été utilisée jusqu'à la fin du XVIIIe siècle avant d'être remplacée par des presses mécaniques.
  • Enfin les feuilles imprimées sont mises à sécher avant relecture.


Les métiers

Gravure : un fondeur de caractères.
Extrait d'un panneau à la nouvelle bibliothèque des Dominicains de Colmar. Photo B.ohland
  • Au préalable, les fondeurs de caractères créent et multiplient les types. Pendant les deux premiers siècles, chaque fondeur de caractères avait son propre style, appliqué à l'ensemble de l'alphabet, ce que l'on appelle maintenant "police" de caractère : gothique, bâtarde, italique, etc. Aux XVIIIe et XIXe siècle furent établies des standardisations. Puis des machines à fondre les caractères furent inventées, venant remplacer le travail manuel de l'artisan.
  • Les ouvriers typographes qui effectuent le travail le plus noble sont les compositeurs, puisqu'ils composent le texte à partir des casses jusqu'à la forme. Il fallait être précis, ne pas se tromper de lettre ou de sens. Être adroit aussi lors du transfert du composteur à la galée : si l'ouvrier laissait tomber ses caractères, il faisait un « pâté »[12]. Le compositeur est également chargé, après l'impression, de remettre les caractères dans leur "cassetin" approprié.
  • Au moment d'imprimer, deux ouvriers complémentaires s'activent : le margeur étale l'encre de manière régulière et pose la feuille de papier ; et le pressier actionne la vis de la presse.
  • L'imprimeur est le patron et supervise le tout. Tournant sans cesse autour de la presse comme un animal tournant autour de sa proie, il était surnommé l'ours, tandis que les typographes aux multiples gestes étaient surnommés les singes.
Un de ces mots d'argot est encore utilisé dans le monde de l'imprimerie, puisque "l'ours" désigne de nos jours le "colophon", c'est à dire, dans un ouvrage imprimé, l'emplacement ou encadré où figurent toutes les mentions d'identification de l'ouvrage et le nom de l'imprimeur.
  • Enfin interviennent les correcteurs d'épreuves, et en dernier lieu, le prote, chef d'atelier vérifiant si les corrections ont bien été réalisées (orthographe mais aussi éventuels défauts d'impression) et donnant son accord par un « bon à tirer ».


Métiers associés à l'imprimerie

En amont, les indispensables

  • Les papetiers :

Le papier n'est pas nouveau puisqu'il est déjà fabriqué en Chine avant l'ère chrétienne, en utilisant du chanvre et du lin. En France le papier vient remplacer le parchemin[13] à partir du XIIIe siècle. Il est alors fabriqué à partir de petits morceaux de chiffons, d'abord à la main, puis à l'aide de moulins à papier pour répondre à la demande croissante. Cette production évoluera fortement au XIXe siècle avec l'introduction de la pâte à bois puis la papeterie mécanique, mettant un terme à l'activité des moulins à papier.

  • Les fabricants d'encre :

L'encre est également fabriquée depuis des siècles, à partir de charbon de bois ou de noir de fumée. Peu à peu divers adjuvants sont essayés : décoctions de plantes, substances collantes issues d'animaux, résines, huiles, poudres de métaux (association d'antimoine, d'étain et de plomb du temps de GUTENBERG). Au XIXe siècle, ce sera « vitriol vert ou sulfate de protoxyde de fer dans une décoction de noix de galle »[14].

Simultanément

Très vite, les illustrateurs commencent à se faire une place à côté des fondeurs de caractères.
Si les anciens enlumineurs disparaissent en même temps que les manuscrits, les graveurs sur bois (ou sur métal) prennent le relai afin d'orner certaines pages. C'est notamment le cas des livres d'Heures, où des planches de bois rectangulaires, de la même hauteur que les caractères et très finement gravées, pouvaient être juxtaposées de différentes manières pour créer de riches bordures.


En aval, la présentation

  • Les relieurs :

Leur rôle est indispensable pour la réalisation des livres, alors que l'on peut s'en passer pour les quelques feuillets d'un journal. Ils ont plusieurs tâches successives à effectuer. La plaçure consiste à superposer les feuilles ou cahiers dans le bon ordre, à les battre au marteau et à les mettre sous presse. Le grecquage correspond à l'action de percer le pli des cahiers à certains endroits avec une scie à grecquer. La cousure ou couture est manuelle et requiert dextérité : le relieur passe des fils dans le dos des feuillets grâce aux fentes du grecquage, puis passe les extrémités dans les trous ménagés dans la couverture. Le travail du corps, ou endossage, donne au livre sa forme définitive, permettant de le rogner au format exact. Enfin la couvrure est l'étape de finition répondant à un double but : solidifier le livre pour protéger ses pages, et l'embellir (avec un certain goût du luxe au début).

  • Les marbreurs et doreurs :

Pour donner un certain style à la couverture, autrement qu'avec du cuir, les marbreurs produisaient un papier imitant le marbre. Pour ce faire, ils posaient une feuille vierge à la surface d'un bac rempli de gomme à laquelle étaient ajoutés des pigments que l'on faisait tournoyer.
Enfin, la dernière touche était confiée aux doreurs, soit pour la tranche du livre, soit pour les inscriptions. C'était un travail délicat, la mince feuille d'or étant appliquée sur le support concerné par des fers à dorer chauffés jusqu'à 100° voire davantage.


Répercussions de l'invention

Alternance d'enthousiasme et de craintes

Du côté du clergé, cette invention fut fort bien accueillie au départ, car ils y virent le moyen de renforcer l'éducation religieuse en diffusant leurs ouvrages. Mais ils furent beaucoup moins enthousiastes quand l'imprimerie permit de diffuser les idées de la Réforme. Ils mirent au point "l'imprimatur", accord de publier donné par l'évêque, puis la censure.
Sur le plan général, il y eut d'abord des réticences de la part de ceux qui n'aimaient pas le changement et faisaient davantage confiance aux manuscrits, et des détracteurs. Puis l'encouragement des notables, des souverains et du pape lui-même qui parlait d'un « don de Dieu »[17] se transforma en enthousiasme général.

Un pilier de la culture

La typographie, parfois appelée "art d'écrire artificiellement", constitua une véritable révolution. Vecteur de diffusion à grande échelle, elle mit en effet les connaissances à portée de tous : ouvrages religieux, idées humanistes et philosophie, ouvrages d'astronomie et de géographie permettant la découverte du monde, traités de médecine, ouvrages scientifiques et techniques, encyclopédies, puis littérature de divertissement...
Elle donna du travail, fut à l'origine de la "chaîne du livre" et de l'essor des bibliothèques, et indirectement consolida les enseignements dans les universités naissantes.
Si bien qu'après les prémices de la Renaissance en Italie, l'Alsace est à son tour touchée « par ce grand tremblement de terre intellectuel »[18].


Citation

  • « L'invention de l'imprimerie est le plus grand évènement de l'Histoire. C'est la révolution mère. C'est le mode d'expression de l'humanité qui se renouvelle totalement ». Victor HUGO, Notre-Dame de Paris.

Photos de matériels anciens

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Léonard EVERETT FISHER, album documentaire de la collection "Aux couleurs du monde", GUTENBERG, USA, Circonflexe pour l'édition en langue française, 1993, ISBN 2-87833-105-2.
  • Sébastien AFONSO, collection "Grandes Inventions", Gutenberg et l'imprimerie à caractères mobiles, Namur, Lemaître Publishing, 2015, 28 pages, ISBN 978-2-8062-5676-8.
  • Collectif d'auteurs, Revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 32, Métiers du livre, Revigny.
  • Collectif d'auteurs, Revue "Les saisons d'Alsace", n°79, La Renaissance, une révolution culturelle, Strasbourg, SA Editions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 2019, 112 pages.
  • Visite de la Bibliothèque des Dominicains à Colmar.
  • Visite du Musée historique de la ville de Strasbourg.

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Référence.png Notes et références

  1. Collectif d'auteurs, Revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 32, Métiers du livre, Revigny
  2. Léonard EVERETT FISHER, album documentaire de la collection "Aux couleurs du monde", GUTENBERG, USA, Circonflexe pour l'édition en langue française, 1993, ISBN 2-87833-105-2
  3. Procope Waldfoghel et Laurent Coster
  4. Sébastien AFONSO, collection "Grandes Inventions", Gutenberg et l'imprimerie à caractères mobiles, Namur, Lemaître Publishing, 2015, 28 pages, ISBN 978-2-8062-5676-8
  5. Album documentaire de la collection "Aux couleurs du monde", GUTENBERG, USA, Circonflexe pour l'édition en langue française, 1993, ISBN 2-87833-105-2
  6. Collectif d'auteurs, Revue "Les saisons d'Alsace", n°79, La Renaissance, une révolution culturelle, Strasbourg, SA Editions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 2019, 112 pages
  7. Portrait extrait d'un poster d'information à la nouvelle Bibliothèque des Dominicains, Colmar
  8. Copie d'une presse du XVe siècle, Cloître des Dominicains, Colmar
  9. Sébastien AFONSO, collection "Grandes Inventions", Gutenberg et l'imprimerie à caractères mobiles, Namur, Lemaître Publishing, 2015, 28 pages, ISBN 978-2-8062-5676-8
  10. Article : "Autour de l'imprimerie", in Collectif d'auteurs, Revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 32, Métiers du livre, Revigny
  11. Sébastien AFONSO, collection "Grandes Inventions", Gutenberg et l'imprimerie à caractères mobiles, Namur, Lemaître Publishing, 2015, 28 pages, ISBN 978-2-8062-5676-8
  12. "Les métiers de l'imprimerie", in Collectif d'auteurs, Revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 32, Métiers du livre, Revigny
  13. Réalisé à partir de peau animale
  14. "Autour de l'imprimerie", in Collectif d'auteurs, Revue "Nos ancêtres, vie & métiers" n° 32, Métiers du livre, Revigny
  15. Ouverture de l'atelier d'enluminure de la bibliothèque de Dominicains à Colmar lors des journées du patrimoine 2022
  16. Ouverture de l'atelier d'enluminure de la bibliothèque de Dominicains à Colmar lors des journées du patrimoine 2022
  17. Collectif d'auteurs, Revue "Les saisons d'Alsace", n°79, La Renaissance, une révolution culturelle, Strasbourg, SA Editions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 2019, 112 pages
  18. Article de Suzanne BRAUN, intitulé "Des artistes rhénans et renaissants", in Collectif d'auteurs, Revue "Les saisons d'Alsace", n°79, La Renaissance, une révolution culturelle, Strasbourg, SA Editions des Dernières Nouvelles d'Alsace, 2019, 112 pages



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