Les ports maritimes Français

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Les ports maritimes en France au Moyen Âge

Les infrastructures portuaires [1]

Déjà dotés d'installations primitives avant le XIIIe siècle, c'est au cours du XVe siècle que la plupart des ports français bénéficièrent de véritables travaux d'aménagement. Leurs infrastructures devaient leur permettre d'assumer, dans les meilleures conditions, les fonctions auxquelles ils étaient destinés.

Ils pouvaient bénéficier de dispositifs de sécurité. Un matériel debalisage des écueils et des hauts fonds, avec parfois une tour surmontée d'un fanal comme à La Rochelle ou à Marseille, des pilotes mis à la disposition des maîtres de navire ainsi que la délimitation de zones de délestage pour limiter l'obstruction des chenaux, assuraient leur accès. Et lorsque les conditions topographiques le permettaient, l'espace portuaire était partiellement, voire totalement fortifié.

Par ailleurs les ports disposaient d'infrastructures d'accotement et d'atterrissage. Il faut bien admettre que ces aménagements restèrent très longtemps rudimentaires, quelle que fut la puissance du havre. Il ne pouvait s'agir que d'une simple plage, comme à Toulon ou pour nombre de petits ports bretons. On se contenta longtemps de stabiliser tant bien que mal la pente des rives pour former des cales (Bordeaux, Nantes, La Rochelle) sur lesquelles les navires étaient tirés à sec, ou de les contenir à l'aide de palplanches pour édifier des quais. À Toulon toujours, en 1310, on fit bâtir deux pontons en bois pour faciliter le débarquement des marchandises. La pierre ne fut employée que très tardivement, et d'abord dans les havres de dimension internationale. Quimper dut attendre les années 1494-1495 pour voir son quai de la Rive établi en pierre de taille.

Parfois étaient aussi réalisées des jetées, qui protégeaient l'entrée du chenal, facilitaient le halage des navires et autorisaient leur accotement.

On en relève deux en bois à Dunkerque en 1236, une en bois à Dieppe, XIVe refaite siècle. entre Il 1458 fallait et de 1464, surcroît, deux surtout à Honfleur lorsque et deux le port à Calais était au menacé début par du ses atterrissements, construire des écluses pour le maintenir à flot et augmenter l'effet de chasse nécessaire à l'évacuation des sables et des vases (Honfleur, Harfleur, Montpellier ).

Les ports militaires

Brest

Le Port de Guerre de Brest.

En 1631, le Cardinal de Richelieu crée la Marine du Ponant et le Port en Penfeld. C'est la naissance de l’arsenal et le début du développement portuaire et militaire de Brest, qui conduira à la fortification du site. En 1683, Vauban dresse un plan des fortifications à entreprendre.

Cet arsenal employait, fin XVIIe, 700 ouvriers qui travaillaient de 7h à 18h en hiver et de 5h à 20h en été. Les grands aménagements de l'arsenal sont l'oeuvre de l'ingénieur en chef Choquet de Lindu au XVIIIe. C'est l'âge d'or de la marine à voile française et du port de Brest, qui emploie alors plus de 10 000 ouvriers. Deux cents bateaux sont construits en moins de 80 ans. Il faut alors 2 000 chênes centenaires pour un vaisseau de 74 canons.

La République montrant « peu d'intérêt pour la Marine », l'arsenal décline. Une partie de la flotte est décimée et Brest ne construit que 46 unités en 40 ans. Pendant cette période, le bagne héberge 3 000 forçats. Le port militaire constitue ainsi avec le port civil de Brest, le premier bassin d’activités portuaires de Bretagne. La construction et la réparation navale emploie environ 15 000 personnes au sein de la base navale de Brest, dont plus de la moitié proviennent du secteur privé.

Port d’entretien et d’escale pour les bâtiments militaires français à propulsion nucléaire tels que les sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (SNLE), sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) et le porte-avions. Brest accueille également en relâche les forces navales de l’OTAN et autres bâtiments étrangers dont des sous-marins nucléaires anglais et américains.

Cherbourg

En 1783, Louis XVI décide la création d'un port militaire à Cherbourg.

Une digue et trois forts (l'Ile Pelée, le Homet et Querqueville) sont construits pour protéger et défendre la rade. Les travaux sont suspendus pendant la révolution. Ils reprennent en 1802 par décision de Bonaparte.

Sous l'impulsion de l'ingénieur Joseph Cachin , à la tête des travaux en 1803; la rade, le nouvel arsenal et l'avant-port se développent en grande vitesse. Dix ans plus tard, le 25 août 1813, Marie-Louise inaugure l'avant-port de Cherbourg, ultime étape d'un projet de création d'un grand port militaire.

Garnison de la ville puis bagnards du Havre sont bientôt nécessaires pour accomplir la tâche ; ils sont rejoints à partir de 1809 par les prisonniers de guerre espagnols (ils seront au nombre de 2 000 en 1814).

Après 1814, le port militaire de Cherbourg verra le second bassin de son arsenal être mis en eau en 1829. Celle de l'arrière-bassin, ultime étape de construction du nouvel édifice ne sera faite qu'en 1858... en présence de Napoléon III et de la reine Victoria.

La digue du large est terminée en 1853. Cherbourg possède alors la plus grande rade artificielle du monde (1500 hectares).

C'est à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle qu'auront lieu les derniers aménagements. Le 25 août 1813, l'impératrice Marie-Louise inaugure l'avant-port.

La digue du large est terminée en 1853. Cherbourg possède alors la plus grande rade artificielle du monde (1500 hectares).

C'est à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle qu'auront lieu les derniers aménagements.

Lorient

Port-Louis sera désignée en 1618 ville royale pour la Marine et Richelieu y fera agrandir la citadelle érigée par les Espagnols.

Lorient est née en 1666, lorsque la Compagnie des Indes créée par Colbert s'installe à Port-Louis puis au fond de la rade sur un emplacement qu'on va nommer L'Orient.

En 1710, la Compagnie des Indes est moribonde, la marine de guerre est en pleine décadence. Lorient qui a vécu de leur double activité s'inquiète de l'avenir.

Mais, en 1719, événement considérable, la nouvelle Compagnie des Indes fondée par Law choisit Lorient pour base de ses opérations; elle s'y installe dès l'automne, et, brusquement, la vie trépidante succède à la vie ralentie.

Jusqu'en 1732, son port est redevenu, mais sur une plus grande échelle, ce qu'il était vers 1685 : l'arsenal, l'entrepôt, la base d'armement et de désarmement de la Compagnie des Indes.

En 1735, l'ingénieur Dumains en dressa le plan d'embellissement et dessina l'intramuros actuel aux places géométriques et aux rues tirées au cordeau.

En 1770, le roi achète le port et en fait un arsenal royal.

A partir de 1941, les nazis construisent la Base de sous-marins qui sera à l’origine de la destruction des villes de Lorient et de Lanester par l’aviation alliée en 1943.

Rochefort

Le Roi Soleil, sa majesté le roi Louis XIV, confia à Colbert, ministre, l’édification « du plus beau et du plus grand Arsenal du Ponant », sur ce territoire vierge et marécageux.

Installé sur les bords de la Charente, il a construit, armé et entretenu de nombreux vaisseaux de la marine royale. Durant trois siècles, 550 navires sont sortis de ses chantiers. On peut notamment y admirer la plus ancienne forme de radoub maçonnée au monde et l'immense Corderie royale.

Les chantiers navals lanceront ou répareront plusieurs centaines de navires au total.
Citons parmi les plus fameux :

  • le trois ponts Louis-le-Grand,
  • les frégates
  • L'Hermione (qui emporte La Fayette vers les Amériques en 1780)
  • La Méduse (elle fera naufrage au large des côtes mauritaniennes et inspirera au peintre Géricault son fameux tableau Le radeau de la Méduse),
  • Le Sphinx (en 1829. Premier vaisseau à vapeur de la marine de guerre française)
  • Le Plongeur (1863. Premier sous-marin français).

Les chantiers n'arrêteront leur activité qu'en 1926.

Toulon

L'histoire militaire du port de Toulon ne débute qu'à l'orée du XVIème siècle, avec la construction, sous Louis XII, d'un port de guerre et de la Tour Royale (ou "Grosse Tour").

Henri IV fait creuser la première darse et édifier un Arsenal. Richelieu, Colbert et Vauban font de Toulon un port à la taille des ambitions maritimes des Rois.

En 1748, les galères quittent Marseille pour Toulon où l'on crée le bagne qui fonctionnera jusqu'en 1873 et dont Vidocq et Jean Valjean seront les figures de légende.

La seconde guerre mondiale va profondément meurtrir Toulon avec le sabordage de la Flotte le 27 novembre 1942 et les bombardements de novembre 1943 et août 1944, la ville est enfin totalement libérée par les troupes du Général de Lattre de Tassigny.

Toulon est le premier port militaire français. Il est le port d'attache de 6 sous-marins nucléaires d'attaque, de 37 bâtiments de surface, dont le porte-avions Charles De Gaulle.

Il y a trois arsenaux militaires dans le port de Toulon : l'arsenal maritime principal, l'arsenal de Castigneau et l'arsenal du Mourillon.

On y dénombre quatre bassins, appelés darses : la darse de Castigneau, la darse Vauban, la darse vieille et la darse Nord du Mourillon.

Les ports commerciaux

Les ports autonomes maritimes, qui relèvent de la compétence de l'État, sont au nombre de huit : Marseille, Bordeaux, La Rochelle, Nantes-Saint-Nazaire, Rouen, Le Havre, Dunkerque et la Guadeloupe
Soulignons que le port de Calais, malgré l'importance de son trafic transmanche, est désormais placé sous l'autorité de la région Nord-Pas-de-Calais.

  • Sur la façade Manche-Mer du Nord, Le Havre ouvre la porte de « l’axe Seine » avec Rouen et Paris, grâce au GIE HAROPA Ports de Paris Seine-Normandie et fait partie avec Calais et Dunkerque des premiers grands ports Nord-européens rencontrés à l'import.
  • Sur la façade Atlantique, les grands ports maritimes de Nantes-Saint-Nazaire, La Rochelle et Bordeaux constituent des portes d'entrée pour les grands flux internationaux. Ils sont désormais organisés en une coopération interportuaire Atlantique. Brest tient également ce rôle de port généraliste tout en étant le 1er site français de réparation navale civile.
  • Sur la mer Méditerranée, Marseille-Fos, premier port de France et de Méditerranée, est situé à un important carrefour commercial et joue avec Medlink le rôle de « gateway » méditerranéenne.
  • Les ports français d'outre-mer dans l'océan Indien, en Polynésie, en Nouvelle-Calédonie, aux Caraïbes et en Amérique du Sud constituent des portes d'entrée de l’UE aidés en cela par les clusters ultramarins qui s’y développent : quatre d’entre eux, ceux de Martinique, de Guadeloupe, de Guyane et de La Réunion ont été transformés en 2013 en grands ports maritimes.
Navires de commerce au mouillage dans le port en attente de déchargement ou rechargement

Organisation des ports français [2]

Le système portuaire français est composé de :

Ports d’État

En métropole
- Sept grands ports maritimes :

  • Dunkerque
  • Le Havre
  • Rouen
  • Nantes St-Nazaire
  • La Rochelle
  • Bordeaux
  • Marseille

Les grands ports maritimes sont des établissements publics de l’Etat, installés sur de vastes sites portuaires. Ils ont vocation à exercer leurs activités à l’intérieur d’un périmètre géographique propre. Ils traitent plus de 80 % du trafic maritime de marchandises.
- le port de Port-Cros relevant, pour son aménagement, son entretien et sa gestion du parc national de Port-Cros.

- Deux ports autonomes fluviaux :

  • Paris
  • Strasbourg

Dans les départements d’outre-mer
- Quatre grands ports maritimes :

  • Degrad des Cannes (971)
  • Fort-de-France (972)
  • Guadeloupe (973)
  • Port-Réunion (974)

- un port relevant de l’Etat :

  • St-Pierre et Miquelon (975)

Ports relevant des collectivités territoriales ou de leurs groupements

On en dénombre plus de 500. Il s’agit majoritairement de ports de plaisance mais également pour certains d’entre eux d’importants ports de pêche ou de commerce.

Les principaux ports de pêche

PORTS Tonnage
LORIENT 26 651 000
BOULOGNE 34 135 000
LE GUILVINEC 18 045 000
LES SABLES D'OLONNE 8 249 000
ERQUY 12 516 000
SAINT JEAN DE LUZ 10 876 000
LA COTINIERE 5 091 000
SAINT QUAY PORTRIEUX 10 500 000
LA TURBALLE 9 826 000
CONCARNEAU 5 589 000
ROSCOFF 5 601 000
PORT EN BESSIN 7 904 000
SAINT GUENOLE 9 750 000
GRANVILLE 8 692 000
CHERBOURG 5 740 000
ARCACHON 2 041 000
NOIRMOUTIER 1 865 000
LE CROISIC 1 761 000
LA ROCHELLE 2 625 000
SETE 2 840 000
LOCTUDY 2 875 000
DIEPPE 3 179 000
FECAMP 3 242 000
ROYAN 985 000
BREST 1 474 000
AUDIERNE 1 152 000
ILE D'YEU 973 000
DUNKERQUE 1 153 000
SAINT GILLES 3 377 000
PORT LA NOUVELLE (blanc) 1 536 000
GRANDCAMP 2 666 000
AGDE 1 541 000
DOUARNENEZ 4 667 000
QUIBERON 1 061 000
SAINT MALO CANCALE 1 358 000
PORT LA NOUVELLE (bleu) 1 611 000
Bateau de pêche
Différents types de pêche :
Pêche artisanale
La pêche artisanale, ou pêche à petite échelle, correspond à l'activité de pêche la plus représentée à travers le monde. Sa définition ne peut être figée mais doit être considérée en relation étroite avec le territoire concerné.
Grande pêche
Elle se pratique sur de grands chalutiers de pêche ou des thoniers de 70 à 80 mètres. La grande pêche concerne les navires de plus de 1 000 TJB et dure plus de 20 jours.
Pêche au large
Elle est pratiquée par des chalutiers hauturiers (plus de 25 mètres) et par des navires artisans hauturiers (de 16 à 25 mètres). La durée de leurs sorties en mer est supérieure à 96 heures.
Pêche côtière
Elle se pratique sur des navires de moins de 16 mètres et s'applique pour les sorties dont la durée est supérieure à 24 heures mais inférieure à 96 heures.
Petite pêche
Elle est pratiquée par des navires de pêche inférieurs à 16 mètres, s'entend pour les sorties dont la durée est inférieure à 24 heures.


La flotte
Au 1er janvier 2014, la flotte de pêche française comptait 7  163 navires (totalisant une puissance de 1029000 kilowatts) dont 4 536 navires en métropole et 2 627 navires dans les départements d’outre-mer (DOM)
La flotte de pêche métropolitaine se compose de :
  • 104 navires de pêche industrielle et semi industrielle (plus de 25 mètres) ;
  • 809 navires de pêche artisanale et hauturière (de 12 à 25 mètres) ;
  • 3 623 navires de petite pêche côtière (moins de 12 mètres).


Les emplois
En 2013, le secteur des pêches maritimes emploie 16 777 marins (hors conchyliculture petite pêche) dont 604 non originaires de l’Union européenne. Entre 2012 et 2013, le nombre de ces emplois baisse de 1,6 %.


La production
En 2013, 533 000 tonnes de poissons, crustacés, coquillages et autres produits de la mer ont été pêchées et débarquées par les navires métropolitains (incluant la flotte des thoniers senneurs tropicaux) pour une valeur totale de 1,1 milliard d’euros.
En quantité, les principales espèces pêchées sont le thon, la sardine, la coquille Saint-Jacques, le hareng, la baudroie, et le lieu noir.

Ports et mouillages de plaisance [3]

Il existe en France deux types d'accueil pour les navires de plaisance :

  • Les ports qui sont soit principalement de plaisance, soit des installations de plaisance situées dans des ports à vocation autre (commerce ou pêche).
Les ports peuvent être à flot ou à sec. Ils sont placés sous la responsabilité des collectivités territoriales (principalement la commune pour les ports de plaisance).
  • Les mouillages hors port qui constituent une alternative aux infrastructures portuaires.
Ils peuvent être soit organisés (gérés en général par les collectivités territoriales) ou soit individuels (AOT- autorisation d’occupation temporaire délivrée par les services de l’État).

Quelques beaux ports de France [4]

Le port d'Ajaccio Le port d'Ajaccio est un port mixte. Si la partie occupée par les ferrys n'est pas très charmante,
les petites embarcations qui bordent le front de mer et ses allées de palmiers offrent
un paysage très agréable.
Le port de Cassis Le port de Cassis est un des plus beaux de France. Niché entre le massif des Calanques
et le Cap Canaille, ce port offre une architecture typiquement provençale. Les anciennes
maisons de pêcheurs aux façades colorées sont superbes.
Le port d'Honfleur Immortalisé par Monet, le port d'Honfleur a inspiré de nombreux artistes. Pour les passionnés
de bateaux, le port accueille régulièrement de vieux gréements et se transforme alors
en véritable musée de la marine.
Le Vieux-Port de La Rochelle Le Vieux-Port de La Rochelle séduit par ses deux tours médiévales qui gardent l'entrée.
Le port a eu un rôle capital durant la Guerre de Cent Ans et a été un des plus importants
points de passage du trafic colonial.
Le port de Paimpol Le port dePaimpol a été, au début du XXe siècle, un des grands ports de pêche à la morue.
Port Grimaud Egalement surnommé la Venise provençale, Port Grimaud est une citée, traversée de canaux,
implantée dans le golfe de Saint-Tropez. Le port, à taille humaine, séduit par les couleurs
des bâtiments qui l'entourent.
Le port de Saint-Jean-de-Luz Le port de Saint-Jean-de-Luz a connu ses heures de gloire avec la pêche à la morue avant
de se spécialiser dans la pêche à l'anchois et au merlu. Le port compte deux bateaux
de pêche classés monument historique, l'Aïrosa et la Patchiku.
Le port de Saint-Tropez Le port de Saint-Tropez vaut le détour aussi bien pour son emplacement idéal et son cadre
de petit village provençal que pour les yachts qui y stationnent et la faune qui déambule en été.
Le port de Sète Les petites maisons colorées qui bordent les quais du port de Sète font tout le charme de
cet endroit. Les barques de pêche côtoient les petits voiliers.
Ne manquez pas la promenade jusqu'à la Pointe-Courte.

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Savoir.jpg À savoir

Référence.png Notes et références

  1. Tranchant Mathias. Les ports maritimes en France au Moyen Âge. In: Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 35ᵉ congrès, La Rochelle, 2004. Ports maritimes et ports fluviaux au Moyen Age. pp. 21-31.doi : 10.3406/shmes.2004.1869http://www.persee.fr/doc/shmes_1261-9078_2005_act_35_1_1869
  2. Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer,chargé des relations internationales sur le climat
  3. Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer, chargé des relations internationales sur le climat
  4. Classement extrait d'une enquête de l'Express


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