Jardin des Plantes

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Jardin des Plantes, vu du quai
Photo : C.Angsthelm


Histoire.pngHistoire

  • L'idée du Jardin des Plantes est née à la suite des grands travaux des botanistes du XVIe siècle. Henri VI et Sully formèrent le projet de créer un jardin semblable à celui créé à Montpellier en 1596.
Le jardin des Plantes, faubourg St Victor (Musée Carnavalet)
Professeur Guy de La Brosse (1584-1641)
  • La réalisation eut lieu en {{1626]], Louis XIII demande à ses médecins, Jean Héroard et Guy de La Brosse, la création d' un jardin royal de plantes médicinales en prenant modèle sur les jardins de l'université de Padoue (1546) et de Bologne (1568). Le terrain choisi est une décharge jouxtant l'abbaye Saint Victor d'une surface de 6 ha environ, destiné à cultiver un échantillon de toutes le plantes connues et assurer un enseignement. Il englobait un verger, une cerisaie, un bois et une prairie pour les plantes des pays chauds.
  • Grâce au soutien de Gaston d'Orléans puis de Colbert, des chaires de botanique, chimie et histoire naturelle furent créées. Colbert, en devient le surintendant à partir de 1671, le spécialise en jardin d'études. Une science botanique à part entière se développe.
Perspective horizontale du jardin des plantes médicinales par Guy de La Brosse (Musée Carnavalet)
  • Après une période de déclin, Colbert confie l'administration du jardin au petit neveu de Guy de la Brosse, Guy Crescent Fagon (1638-1718), médecin du roi qui s'entoure de savants . le botaniste Joseph Pitton de Tournefort (1656-1708) qu'il nomme en 1683 et qu'il envoie en Asie, en Egypte et en Grèce parce que c'était l'homme qu'il lui fallait pour porter la botanique et le jardin des plantes à leur plus haut degré de splendeur ; ainsi que les botanistes Antoine (1656-1758) et Bernard (1699-1777) de Jussieu.
Affiche récapitulant les fonctions du médecin et botaniste Antoine de Jussieu (Musée Carnavalet)
  • Antoine de Jussieu, diplômé de la faculté de médecine de Montpellier, devient professeur de botanique à 24 ans. Grâce à ses voyages en France et à l'étranger, il collecte, introduit, acclimate toutes sortes de plantes, contribuant à l'herbier national, aujourd'hui le plus riche du monde. Il étudie aussi les roches et fossiles, et, jusqu'à sa mort, pratique et enseigne la médecine.
  • Des serres chaudes sont construites en 1717, alimentées d'un réseau souterrain d'air chaud. Un nouvel amphithéâtre est également construit.
Georges Louis Leclerc, comte de Buffon par Pierre Michel Alix 1793 (Musée Carnavalet)
  • En 1739, Georges-Louis LECLERC, comte de Buffon (1707-1788), célèbre savant français, est nommé intendant du roi Louis XV. Pendant 50 ans il enrichit, agrandit et donne une renommée universelle au jardin. Il développe les collections du cabinet d'histoire naturelle du roi en acceptant les dons des voyageurs tels que Bougainville en 1766 et du capitaine Cook entre 1768 et 1779. On retrouve dans son livre Histoire naturelle (en 36 volumes) écrit entre 1749 à 1788, la classification scientifique qu'il établit. Le Jardin du roi joua un rôle éminent au XVIIIe siècle, où les sciences, l'histoire naturelle en particulier, furent tellement en faveur.
  • Buffon eut Louis-Marie D'Aubenton, dit Daubenton (1716-1799), médecin et naturaliste, comme garde et démonstrateur du cabinet du roi, dont il est l'intendant. Il va transformer le cabinet de curiosités qui n'abrite qu'une collection de coquillages ayant servi de jouets au roi, en véritable musée d'histoire naturelle. Il sera également amené à disséquer des mammifères qui n'avaient jamais été étudiés ; ses descriptions ont une indéniable valeur scientifique et en font l'un des grands anatomistes de son époque.
  • Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), écrivain et botaniste, fut son successeur. On lui doit, en 1793, l'organisation du Muséum d'Histoire naturelle, qui s'étendit aux fossiles, aux minéraux et aux squelettes d'animaux. On lui doit également la ménagerie, en 1791, peuplée d'animaux provenant de l'ancienne ménagerie royale de Versailles, ainsi que d'animaux enlevés à des forains.


Le Jardin des Plantes est inscrit aux Monuments Historiques depuis le 25 février 1974, et l'ensemble du site avec tous les bâtiments du Museum d'Histoire naturelle depuis le 24 mars 1993 ; [1].


Le Jardin

Vue d'ensemble du Jardin
  • En entrant dans le jardin du côté des quais de la Seine, on voit la statue du botaniste Lamarck et professeur de zoologie. Il considérait que les espèces animales dérivaient les unes des autres par une évolution due au milieu. Théories critiquées par Cuvier, mais reprises par Darwin en 1869.
  • Derrière la statue, une vaste perspective de 480 mètres (2 ha 5), aboutissant à la Galerie de Zoologie, entre une double rangée de platanes, des plates-bandes avec des carreaux de culture. Cette promenade colorée et changeante grâce à deux plantations annuelles : les plantes bisannuelles et les bulbes plantés en novembre de l'année précédente puis les plantations de mai avec plus de 700 variétés de plantes qui se relaient pour maintenir l'éclat des floraisons de juin à octobre ; véritable catalogue vivant réalisé avec des botanistes, horticulteurs, producteurs, tous unis pour promouvoir la connaissance ornementale des jardins.
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  • Le jardin des plantes ressources donne de nombreux exemples de plantes médicinales utilisées dans un grand nombre de médicaments de nos jours. Celles aux vertus antiseptiques, antioxydantes ou purifiantes ; des plantes tinctoriales dont on extrait les pigments pour fabriquer des teintures ; des plantes aromatiques, potagères ; des plantes utilisées par l'industrie du parfum (iris, rose...) ; des plantes dépolluantes.
  • L' École de botanique, sans mur et à ciel ouvert, présente au public et aux étudiants la diversité de toutes les régions tempérées du globe ; une sélection au sein de chaque famille et de chaque genre a été effectuée afin de présenter les espèces dans leur diversité morphologique ainsi que dans leur diversité évolutive. L'arbre de l'évolution des plantes présentée sur une table d'orientation met en évidence le lien entre l'histoire évolutive des plantes et la classification qui en découle.
  • Le Jardin écologique, créé en 1932 par Pierre Allorge, professeur de botanique au Museum et Camille Guinet, ingénieur horticole au Jardin des Plantes. Il est l'un des plus anciens points d'appui des recherches en écologie végétale avec la reconstitution d'associations végétales dans les sols d'Île de France et les sols méditerranéens. L'enclos abrite une faune diverse et variée, sédentaire ou de passage, l'intervention des jardiniers dans ce sanctuaire étant la plus légère possible, et non accessible au public.
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  • Le jardin alpin présente 2000 espèces végétales dans leur contexte naturel ; on peut y voir des plantes de Corse, des Alpes, du Maroc côtoyer des plantes du Caucase, de l'Himalaya... La difficulté principale étant de faire cohabiter des plantes en reconstituant artificiellement les conditions environnementales favorables en créant des microclimats dans la localisation du jardin : un vallon de verdure protégé des vents desséchants, des grandes chaleurs ou du froid intense.
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  • Le Jardin des roses et des roches ; une promenade parmi 390 espèces sauvages et de variétés de roses anciennes et contemporaines : à fleurs simples ou doubles, grimpantes, hybrides de thé, anglaises, en bouquets, parfumées ou inodores.... La roseraie a été dessinée en 1990 avec pour fil conducteur l'histoire des rosiers cultivés depuis l'antiquité.
  • Des roches s'intercalent entre les rosiers, elles sont l'écho extérieur des collections conservées dans le pavillon mitoyen de la roseraie.


Le Jardin des iris

  • Ce jardin, situé entre la galerie de Paléontologie et celle de Botanique, a été créé en 1964 avec une ancienne collection d'iris. Situé à l'écart des lieux de passage, cet espace de 1500 m² offre plus de 450 espèces de plantes vivaces. Au centre, une centaine de variétés d'iris sont plantés dans des carrés bordés de briques.
  • Le genre iris compte plus de 120 espèces, toutes étant issues de la sélection de l'hybridation d'iris européens ou nord-africains. En mai, lors de la floraison, leurs couleurs vont du bleu au jaune, en passant par des nuances de fauve, rose, et carmin.

Le Labyrinthe

Gloriette de Buffon
  • La butte du labyrinthe est l'un des premiers terrains acquis pour la fondation du Jardin Royal des plantes médicinales. Ce monticule a été constitué au cours du XIVe siècle avec l'accumulation de détritus et de gravats calcaires. En 1788, Edmé Verniquet coiffe la butte d'un kiosque en l'honneur de Buffon ; cette gloriette de Buffon est l'un des plus anciens édifices métalliques au monde, précédant de 60 ans les œuvres de Baltard, et de plus d'un siècle les réalisations de Gustave Eiffel.
  • Le naturaliste Daubenton, premier directeur en 1793, s'est fait inhumer au pied de la gloriette.



Les serres

Serre des forets tropicales et humides par René Berger 1932
Serre des déserts et milieux arides 2010
  • C'est Antoine de Jussieu qui fait construire en 1714 la première serre chauffée afin de multiplier le plant d'un caféier Coffea arabica offert par le bourgmestre d'Amsterdam à Louis XIV lors de la paix d'Utrecht. Une fois bien développés, les plants sont exportés en 1721 en Martinique, puis aux Antilles et en Guyane.
  • Deux autres serres chaudes sont construites par le botaniste Sébastien Vaillant en 1714 et 1717. Buffon en fera construire une autre en 1788.
  • Celles que nous connaissons aujourd'hui sont l'œuvre de l'architecte Charles Rohault de Fleury qui, entre 1834 et 1836, remplace les anciennes serres par des structures métalliques en tirant parti de la fonte, matériau qui permet de multiplier les surfaces vitrées et d'alléger les points d'appui. Les pavillons de 20 mètres sur 12 étaient chauffés à la vapeur, ce qui permettait aux plantes de prospérer à l'intérieur.
  • Pendant le siège de Paris en 1870 et pendant les deux guerres mondiales, faute de carburant, l'arrêt du chauffage a provoqué de nombreuses pertes de spécimens rares.
  • En 1889, l'architecte Jules André construit une nouvelle serre, un jardin d'hiver dans laquelle les plantes sont mises directement dans le sol et non en pot comme dans les autres serres.
  • Cette serre est démolie en 1932 pour laisser place à une nouvelle structure de 750 m² dessinée par l'architecte René Berger, dans un style Art Déco avec une entrée monumentale et ses piliers cylindriques lumineux en fer et verre. À l'intérieur se trouve un rocher artificiel de 15 mètres de haut avec une cascade qui se prolonge par un ruisseau.
  • Les serres coloniales construites dans les années 1930, très endommagées par la tempête de décembre 1999, ont été remplacées par de nouvelles serres inaugurées en 2010. L'une des deux présente les espèces caractéristiques de milieux arides des Etats-Unis, du Mexique, et d'autres contrées du monde.
  • La serre mexicaine est devenue la serre de Nouvelle Calédonie qui dévoile les enjeux de la biodiversité ; 75 % des espèces végétales de l'archipel sont endémiques.
  • La serre de l'histoire des plantes a remplacé la serre australienne qui présente le développement de la flore depuis l'apparition des premières plantes il y a 430 millions d'années, il est possible de comparer les plantes fossiles avec les spécimens actuels appartenant aux mêmes ordres.



Les beaux arbres

  • 5 arbres ont reçu en 2017 le label arbre remarquable, il s'agit : d'un pistachier, d'un cèdre du Liban, d'un Sophora du Japon, d'un platane d'orient et du cerisier du Japon


La statuaire


Museum d'Histoire naturelle

Galerie de Paléontologie

Galerie de Paléontologie
Stégosaure
  • La galerie se trouve dans un bâtiment construit en brique, métal et verre par l'architecte Ferdinand Dutert en 1898 pour l'Exposition Universelle de 1900. La façade est due au sculpteur ornementaliste Allar.
  • Dès l'entrée, un troupeau impressionnant de squelettes d'animaux sauvages carnivores et herbivores vous accueille, les mammifères marins fermant la marche. On peut y voir le squelette du rhinocéros ayant appartenu à Louis XV.
  • Dans la galerie de paléontologie on traverse les étapes de l'histoire de la vie, des périodes les plus anciennes aux plus récentes, avec les fossiles de l'ère paléozoïque (-540 à -240 millions d'années), puis les nombreux invertébrés qui ont peuplé la planète depuis 3.5 milliards d'années.
  • Une sélection de fossiles de plantes illustre les grands groupes de végétaux apparus au cours du temps et détaille les principaux caractères qu'ils ont pu acquérir.


Galerie de Botanique

Galerie de Botanique
  • Ce bâtiment des années 30 était réservé à la communauté scientifique. Après une fermeture de quatre ans, la nouvelle Galerie ouvre ses portes au public après une complète rénovation de la collection de botanique et des collections documentaires pour en savoir plus sur la botanique, les herbiers et leur utilité, la récolte des plantes.
  • Dans le nouvel espace d'exposition : des planches d'herbiers, des spécimens de plantes, ainsi qu'une branche de séquoia de 2.70 m de diamètre, parmi tant d'autres.
  • La Galerie abrite également :
- L'Herbier national, contenant environ 8 millions de spécimens rangés dans des mobiliers,
- Des laboratoires de recherche pour les scientifiques,
- Des collections documentaires présentées dans une bibliothèque dédiée.


Galerie de Minéralogie

Galerie de Minéralogie
Cristal de quartz noir, Bahia
  • À la création du Jardin Royal des plantes médicinales, le droguier du roi Louis XIII possédait des minéraux auxquels on prêtait des vertus. Au XVIIIe ces minéraux sont devenus des objets de recherche et de collecte, Buffon et Daubenton les exposèrent dans le Cabinet d'Histoire naturelle dès 1745.
  • La galerie a été construite en 1833, pour devenir le musée. En 1987, la salle des cristaux géants est ouverte, une vingtaine de cristaux géants spectaculaires sont exposés, et des espaces thématiques illustrent la beauté des formes et des couleurs.
  • Aujourd'hui encore, les minéraux de la Galerie éclairent les chercheurs sur la formation de la Terre ainsi que celle du système solaire, grâce aux météorites.


Galerie de zoologie - Grande Galerie de l'Évolution

Musée de Zoologie et
Grande Galerie de l'Evolution
75105 - Jardin des Plantes Galerie de Zoologie Porte côté jardin.JPG
  • Avec l'augmentation des spécimens, et l'ouverture au public, le problème devenant de plus en plus crucial, le Cabinet d'Histoire naturelle du XVIIIe ne pouvait plus accueillir les collections de zoologie.
  • Un nouvel édifice est construit par Jules André en 1877. Sur la façade côté jardin des portraits des premiers professeurs du Museum, la statue centrale représente L'Histoire naturelle par Guillaume. Au-dessus des portes monumentales de chaque côté du bâtiment, l'écusson du Museum symbolise le règne animal, végétal et minéral , autour d'une ruche, symbole de la franc maçonnerie très présente dans les milieux scientifiques du XVIIIe.
  • La galerie a été fermée en 1965 pour cause de délabrement de la verrière. Les scientifiques et muséologues décidèrent de consacrer la galerie à des expositions centrées sur le thème de l'évolution. Restaurée par Paul Chemetov et Borja Huidobro, la Grande Galerie de l'Évolution fut inaugurée en 1994.


Hôtel de Magny

Hôtel de Magny, Maison de Buffon
75105 - Jardin des Plantes Hôtel de Magny Côté cour d'honneur.JPG
  • L'hôtel porte le nom d'une famille qui y vécut au XVIIIe. Buffon l'achète en 1772 et y réside jusqu'à sa mort en 1788. La façade Ancien Régime contraste avec l'intérieur très fonctionnel. Une cloche rappelle l'ancienne chapelle (1631).
  • Le rez-de-chaussée du bâtiment est devenu le Cabinet d'Histoire, ouvert en 2008, afin de retracer l'évolution topographique architecturale, et historique du Jardin des Plantes au fil du temps.


Amphithéâtre Verniquet

Amphithéâtre
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  • L'édifice a été commencé par Edmé Verniquet (1727-1824) et terminé par Legrand et Jacques Molinos en 1794. C'est un dernier témoin d'un amphithéâtre de l'époque révolutionnaire.
  • Le bâtiment est de style néoclassique avec ses colonnes doriques surmontées d'un groupe sculpté. Les deux pavillons semi-circulaires accueillent des laboratoires.
Plaque commémorative guerres de 14-18 et 39-45


  • L'amphithéâtre a connu plus d'un siècle d'enseignements prestigieux, de découvertes très importantes ainsi que l'âge d'or de la chimie. Il a vu passer : Antoine de Jussieu, Étienne Geoffroy Saint Hilaire, Georges Cuvier, Louis-Joseph Gay-Lussac, Claude Bernard, Henri Becquerel .....
  • De nos jours, l'amphithéâtre accueille des conférences, des colloques et autres réunions..........


Maison de Cuvier

Maison de Cuvier
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  • Georges Cuvier mourut dans cette maison en 1832.
  • La Société des Amis du Museum siège au rez-de-chaussée du bâtiment.



La ménagerie

  • Dès 1793, un arrêté municipal interdit l'exhibition des animaux sauvages dans la capitale. Les animaux sont accueillis dans le Jardin des Plantes et leurs propriétaires deviennent des soigneurs. Puis en 1794 les animaux survivants de la ménagerie du château de Versailles ainsi que ceux du duc d'Orléans sont transférés dans le Jardin des Plantes, ce qui donne 58 animaux.
  • La collection des 146 espèces animales (dont 40 % sont menacées d'extinction) est un livre vivant de la diversité animale, destinée à faire connaître les espèces menacées et sensibiliser les jeunes à la sauvegarde de la biodiversité. Les rencontres avec les soigneurs permettent de mieux connaître et comprendre les comportements des animaux. On y apprend ce qui menace ces animaux mais également les gestes à faire pour essayer de leur garantir un espace vivable.
  • Une fosse aux ours est créée en 1808,
  • La galerie des reptiles, créée en 1870, présente des alligators, crocodiles et tortues terrestres, ainsi que dans des cages, des serpents, iguanes et varans ; dans une autre salle les serpents venimeux, des lézards et des tortues aquatiques,
  • La grande volière, unique au monde, créée en 1888, présente des oiseaux aquatiques
  • La singerie est construite en 1927,
  • Le vivarium créé en 1928, présente les insectes et les petits animaux dans un milieu naturel reconstitué,
  • La fauverie, construite en 1937 dans un style Art Deco par l'architecte Berger, présente tigre du Bengale, panthère des neiges, dans des cages communicantes à l'intérieur et à l'extérieur,
  • Tous les ans au printemps, de nombreux animaux voient le jour, les espèces menacées de disparition naissent en captivité et permettent les échanges et prêts entre zoos du monde entier.
  • Le zoo de Vincennes est rattaché au Museum d'Histoire Naturelle.



Illustrations - Photos anciennes.png En photos



Référence.png Notes et références



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