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Cet article présente l'histoire d'une seule et même famille normande portant le patronyme '''du Buc/Dubuc,''' scindée en plusieurs branches depuis 1657 par une fuite occasionnée de l'auteur de cette branche à la Martinique. Cette famille par sa réussite sociale a fait l'objet de nombreuses études en tous genres plus ou moins farfelues. Son origine commune fut même remise en question par quelques historiens, écrivains, dont les informations manquaient de toute évidence,<ref name="Ch">Gustave Chaix d'Est-Ange, ''Dictionnaire des familles françaises anciennes et notables à la fin du {{s-|XIX|e}}'', tome septième BRE-BUR, imprimerie Charles Hérissey et fils, 1903, pages 338 à 340 [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112000z/f342.image.r= Buc de Marcussy (du) et à la suite Buc-Richard (du)].</ref>tel que Gustave Chaix d'Est, dans son recueil de 1903 qui demeure toutefois pour l'époque de grande qualité. Il ne faut retenir en réalité qu'une seule et unique version officialisée par lettres patentes;  Les preuves écrites apportées par la famille du Buc de Martinique au cours du XVIIe siècle et même après "1769, 1777, 1781, 1782, 1786, 1787 et 1789", permirent différentes études complexes, des interrogations, des rétractations puis des autorisations des généalogistes du roi, Charles d'Hozier (1769, 1777), Chérin (père) (1782), Edmé Bertier (1786) et enfin Louis Nicolas Chérin (fils) (1789) qui concluent à une reconnaissance formelle de parenté "ferme et définitive" contresignée par le roi Louis XVI et enregistrée le 2 avril 1789 au cabinet des titres à Versailles. Il est impensable de penser les du Buc martiniquais si puissants au point de contrôler le roi et sa cour pour obtenir toutes les autorisations auxquels ils souhaitaient prétendre. La cour de France fut bien trop protectrice de ses valeurs pour octroyer ce genre de privilège.
Cet article présente l'histoire d'une seule et même famille normande portant le patronyme '''du Buc/Dubuc,''' scindée en plusieurs branches depuis 1657 par une fuite occasionnée de l'auteur de cette branche à la Martinique. Cette famille par sa réussite sociale a fait l'objet de nombreuses études en tous genres plus ou moins farfelues. Son origine commune fut même remise en question par quelques historiens, écrivains, dont les informations les plus probantes manquaient de toute évidence,<ref name="Ch">Gustave Chaix d'Est-Ange, ''Dictionnaire des familles françaises anciennes et notables à la fin du {{s-|XIX|e}}'', tome septième BRE-BUR, imprimerie Charles Hérissey et fils, 1903, pages 338 à 340 [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112000z/f342.image.r= Buc de Marcussy (du) et à la suite Buc-Richard (du)].</ref>tel que Gustave Chaix d'Est, dans son recueil de 1903 qui demeure toutefois pour l'époque de grande qualité. Il ne faut retenir en réalité qu'une seule et unique version officialisée par lettres patentes;  Les preuves écrites apportées par la famille du Buc de Martinique au cours du XVIIe siècle et même après "1769, 1777, 1781, 1782, 1786, 1787 et 1789", permirent différentes études complexes, des interrogations, des rétractations puis des autorisations des généalogistes du roi, Charles d'Hozier (1769, 1777), Chérin (père) (1782), Edmé Bertier (1786) et enfin Louis Nicolas Chérin (fils) (1789) qui concluent à une reconnaissance formelle de parenté "ferme et définitive" contresignée par le roi Louis XVI et enregistrée le 2 avril 1789 au cabinet des titres à Versailles. Il est impensable de penser les du Buc martiniquais si puissants au point de contrôler le roi et sa cour pour obtenir toutes les autorisations auxquels ils souhaitaient prétendre. La cour de France fut bien trop protectrice de ses valeurs pour octroyer ce genre de privilège.


== Histoire ==
== Histoire ==


La famille du Buc-Richard est mentionnée en Normandie dès 1190 et attestée (''sans aucune hésitation)'' avec le chevalier Gaultier du Buc, les départements de l'Eure, l'Orne et la Seine -Maritime où elle gérait ses fiefs.(''Charpillon page 893, vol, I, 2e partie, dictionnaire des communes du département de l'Eure, 1879, par Louis Etienne Charpillon, juge de paix, avec la collaboration de l'abbé Anatole Caresme (1815-1876, curé de Pinteville, Louviers, Eure).''  
La famille du Buc-Richard est attestée en Normandie dès 1190 avec le chevalier Gaultier du Buc (''sans aucune hésitation possible)'' dans les départements de l'Eure, l'Orne et la Seine -Maritime où elle gérait ses fiefs.(''Charpillon page 893, vol, I, 2e partie, dictionnaire des communes du département de l'Eure, 1879, par Louis Etienne Charpillon, juge de paix, avec la collaboration de l'abbé Anatole Caresme (1815-1876, curé de Pinteville, Louviers, Eure).''  


Un personnage de cette famille nommé Pierre Dubuc (alias Pierre III du Buc), dont le père était de Guiville au diocèse d'Évreux, sera anobli en 1701 en Martinique, il sera le fondateur de la famille du Buc de Marcussy qui comptera parmi ses membres des planteurs en Martinique, plusieurs colonels et officiers du roi, des chevaliers de Saint-Louis, des intendants des colonies, des députés et président du conseil souverain, président de l'assemblée colonial, écrivains, etc.
Un des personnages de cette famille; Pierre Dubuc (alias Pierre III du Buc), dont le père possédait le fief de Guiville, situé à Trouville-la-Haule, au diocèse d'Évreux, sera anobli en 1701 en Martinique, il sera le fondateur de la famille du Buc de Marcussy et des branches du Buc de Bellefonds, de Rivéry, des Marinières, du Galion, de Saint-Prix, de Saint-Olympe, de L'Etang, d'Enneville etc.. qui compteront parmi ses membres des planteurs en Martinique, des généraux et colonels, des mousquetaires du roi, des chevaliers de Saint-Louis, des intendants des colonies, des députés et président du conseil souverain, président de l'assemblée colonial, de nombreux industriels, écrivains, etc.


Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que les lettres d'anoblissement obtenues en 1701 ont été révoquées en 1715, toutefois les archives sont formelles;  les membres de cette famille se firent accorder en 1769 de nouvelles lettres patentes stipulant la révocation de 1715 des du Buc de Martinique comme nulle (''Dossier du Buc, Caran Anom côte E143)''. MM. du Buc de la Martinique cherchèrent à se rattacher à la famille du Buc-Richard qui était anciennement connue en Normandie et au comté de Montfort-l'Amaury<ref name="Ch" />. Le chef de la famille du Buc-Richard les reconnut comme parents en 1781 par plusieurs courriers entre 1778 et 1781 devant notaire. Ce vieillard de 85 ans, doué d'une fabuleuse mémoire, certifia qu'il connaissait depuis toujours le récit de ses pères, du sort d'un de ses parents "''qui avait prit la fuite dans les Îles d'Amérique, suite à un duel et dont il s'était ignoré de sa famille de Normandie, et qu'il n'était revenu aucunes nouvelles de lui depuis".''  Cependant, Chérin (fils) écrivit au roi que ce rattachement n'était pas prouvé par titres donc qu'il déconseillait au roi de donner à MM. du Buc de la Martinique le droit de reprendre les armes des du Buc-Richard<ref name="Ch" />. Malgré ce rapport défavorable de Chérin le roi Louis XVI accéda à la demande de MM. du Buc de la Martinique<ref name="Ch" />. Chérin reconnu toutefois en 1789 son erreur par manque de clairvoyance ainsi que par l'apport de dossiers et preuves supplémentaires des du Buc de Martinique. Il donne son accord le 2 mars 1789 après un avis favorable suite au travail de Me Dupenty, avocat, et l'accord d'Edmé Bertier, juge d'armes de France et généalogiste des ordres du roi (''BNF côte E143, dossier du Buc''). Il est indiqué le 2 mars 1789 " ''Rapport favorable de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin (fils) , à la requête des du Buc de reconnaissance de parenté, que la décision de Louis XVI sous forme de lettres patentes signées le 31 mai 1782 suffisait à leur nouvelle demande et qu'il n'avait pas lieu de dresser d'autres lettres patentes pour confirmer à nouveau que les du Buc de Martinique étaient bien issus des du Buc de Normandie, le roi ayant dit "...et afin que cela soit ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel...". (BNF côte E143, dossier du Buc, Paris).''
Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que les lettres d'anoblissement obtenues en 1701 ont été révoquées en 1715, toutefois les archives indiques formellement que les membres de cette famille se firent accorder en 1769 de nouvelles lettres patentes de Louis XV, stipulant la révocation de 1715 pour les du Buc de Martinique comme nulle suite aux nombreux services rendus pour le roi (''Dossier du Buc, Caran Anom côte E143)''. MM. du Buc de la Martinique, après de nombreux procès de leurs ainés avec les du Buc-Richard pour des questions d'héritage, cherchèrent à se rapprocher de la famille du Buc-Richard qui était anciennement connue en Normandie et au comté de Montfort-l'Amaury<ref name="Ch" />. Le testament laissé en 1708 par Pierre du Buc (Pierre Dubuc) devait permettre le rapprochement des deux branches. Le chef de la famille du Buc-Richard, le chevalier Jean François Robert du Buc, seigneur de Lommoye et autres lieux les reconnut comme parents en 1781 comme l'indiquent plusieurs courriers répertoriés aux archives entre 1778 et 1781 passés devant notaire. Ce vieillard de 85 ans, doué d'une fabuleuse mémoire, certifia qu'il connaissait depuis toujours le récit de ses pères et, du sort d'un de ses parents "''qui avait prit la fuite dans les Îles d'Amérique, suite à un duel avec un gentilhomme et dont il s'était éloigné de sa famille de Normandie, et qu'il n'était depuis revenu aucunes nouvelles de lui ".''  Cependant, Bernard Chérin (père) écrivit au roi que ce rattachement " ''n'était pas dénué de tout fondement car il existait en effet dans cette province de Normandie une famille de ce nom qui possédait depuis plus de 300 ans les terres de Saint-''G''ermain de Fresnay"''  n'était pas prouvé par titres donc qu'il déconseillait au roi de donner à MM. du Buc de la Martinique le droit de reprendre les armes des du Buc-Richard<ref name="Ch" /> à moins d'apporter des preuves supplémentaires . Malgré ce rapport défavorable de Chérin, ce dernier se rétracta devant les preuves supplémentaires apportées par les du Buc de Martinique, notamment grâce aux documents et titres que la branche cadette du Buc-Richard délivrèrent à leur parents martiniquais. Le 31 mai  1782 le roi Louis XVIsuivant les ordres de son généalogiste accéda à la demande de MM. du Buc de la Martinique<ref name="Ch" /> du port d'armoirie ainsi qu'à la reconnaissance de parenté des deux familles. Une seconde demande est faites par les du Buc de Martinique en 1786 pour que le roi réaffirme par lettres patentes l'appartenance définitive de parenté entre les 2 branches. Louis Nicolas Chérin (fils) fut agacé de cette demande des du Buc de Martinique, considérant que les lettres de 1782 devait leur suffirent. Néanmoins l'accord et les lettres de 1782 ne concernaient que les du Buc de Martinique et la branche cadette de Normandie. Pour que cela fut définitive Louis Nicolas Chérin expliqua au roi qu'il fallait maintenant l'accord de la branche ainée du Buc-Richard, seigneur de Flexanville. Ces derniers acceptèrent sans hésitation à fournir les preuves supplémentaires à leur cadets. Chérin se rend à l'évidence et donne son accord à une reconnaissance totale le 2 mars 1789 dans un courrier au roi.  Après avis favorable suite au travail de Me Dupenty, avocat, et l'accord d'Edmé Bertier, juge d'armes de France et généalogiste des ordres du roi (''BNF côte E143, dossier du Buc''). Il est indiqué sur la lettre : " ''Rapport favorable de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin (fils) , à la requête des du Buc de reconnaissance de parenté, que la décision de Louis XVI sous forme de lettres patentes signées le 31 mai 1782 suffisait à leur nouvelle demande et qu'il n'avait pas lieu de dresser d'autres lettres patentes pour confirmer à nouveau que les du Buc de Martinique étaient bien issus des du Buc de Normandie, le roi ayant dit "...et afin que cela soit ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel...". (BNF côte E143, dossier du Buc, Paris).''


Le 2 avril 1789 à Versailles au cabinet des titres Louis XVI avec le consentement définitif de Chérin (fils) et du ministre des colonies, rsignade nouvelles lettres patentes
Le 2 avril 1789 à Versailles au cabinet des titres Louis XVI avec le consentement définitif de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin (fils) et du ministre des colonies, d'accorder de nouvelles lettres patentes en faveurs des du Buc de Martinique et les reconnaissant définitivement comme issus de la branche cadette des du Buc de Normandie, d'ancienne noblesse d'extraction, avec reprise des anciens titres de chevaliers ainsi que le port d'armoirie''s''. Les autres titres et seigneuries étant réservés par droit d'ainesse au du Buc-Richard banche ainée.
 
en faveurs des du Buc de Martinique, les reconnaissant définitivement comme issus de la branche cadette des du Buc de Normandie, d'ancienne noblesse d'extraction, avec reprise des anciens titres de chevaliers ainsi que le port d'armoirie''s''.  


== Généalogie de la famille du Buc-Richard (Normandie) (branche ainée éteinte) ==
== Généalogie de la famille du Buc-Richard (Normandie) (branche ainée éteinte) ==

Version du 13 mars 2018 à 17:00

Cet article présente l'histoire d'une seule et même famille normande portant le patronyme du Buc/Dubuc, scindée en plusieurs branches depuis 1657 par une fuite occasionnée de l'auteur de cette branche à la Martinique. Cette famille par sa réussite sociale a fait l'objet de nombreuses études en tous genres plus ou moins farfelues. Son origine commune fut même remise en question par quelques historiens, écrivains, dont les informations les plus probantes manquaient de toute évidence,[1]tel que Gustave Chaix d'Est, dans son recueil de 1903 qui demeure toutefois pour l'époque de grande qualité. Il ne faut retenir en réalité qu'une seule et unique version officialisée par lettres patentes; Les preuves écrites apportées par la famille du Buc de Martinique au cours du XVIIe siècle et même après "1769, 1777, 1781, 1782, 1786, 1787 et 1789", permirent différentes études complexes, des interrogations, des rétractations puis des autorisations des généalogistes du roi, Charles d'Hozier (1769, 1777), Chérin (père) (1782), Edmé Bertier (1786) et enfin Louis Nicolas Chérin (fils) (1789) qui concluent à une reconnaissance formelle de parenté "ferme et définitive" contresignée par le roi Louis XVI et enregistrée le 2 avril 1789 au cabinet des titres à Versailles. Il est impensable de penser les du Buc martiniquais si puissants au point de contrôler le roi et sa cour pour obtenir toutes les autorisations auxquels ils souhaitaient prétendre. La cour de France fut bien trop protectrice de ses valeurs pour octroyer ce genre de privilège.

Histoire

La famille du Buc-Richard est attestée en Normandie dès 1190 avec le chevalier Gaultier du Buc (sans aucune hésitation possible) dans les départements de l'Eure, l'Orne et la Seine -Maritime où elle gérait ses fiefs.(Charpillon page 893, vol, I, 2e partie, dictionnaire des communes du département de l'Eure, 1879, par Louis Etienne Charpillon, juge de paix, avec la collaboration de l'abbé Anatole Caresme (1815-1876, curé de Pinteville, Louviers, Eure).

Un des personnages de cette famille; Pierre Dubuc (alias Pierre III du Buc), dont le père possédait le fief de Guiville, situé à Trouville-la-Haule, au diocèse d'Évreux, sera anobli en 1701 en Martinique, il sera le fondateur de la famille du Buc de Marcussy et des branches du Buc de Bellefonds, de Rivéry, des Marinières, du Galion, de Saint-Prix, de Saint-Olympe, de L'Etang, d'Enneville etc.. qui compteront parmi ses membres des planteurs en Martinique, des généraux et colonels, des mousquetaires du roi, des chevaliers de Saint-Louis, des intendants des colonies, des députés et président du conseil souverain, président de l'assemblée colonial, de nombreux industriels, écrivains, etc.

Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que les lettres d'anoblissement obtenues en 1701 ont été révoquées en 1715, toutefois les archives indiques formellement que les membres de cette famille se firent accorder en 1769 de nouvelles lettres patentes de Louis XV, stipulant la révocation de 1715 pour les du Buc de Martinique comme nulle suite aux nombreux services rendus pour le roi (Dossier du Buc, Caran Anom côte E143). MM. du Buc de la Martinique, après de nombreux procès de leurs ainés avec les du Buc-Richard pour des questions d'héritage, cherchèrent à se rapprocher de la famille du Buc-Richard qui était anciennement connue en Normandie et au comté de Montfort-l'Amaury[1]. Le testament laissé en 1708 par Pierre du Buc (Pierre Dubuc) devait permettre le rapprochement des deux branches. Le chef de la famille du Buc-Richard, le chevalier Jean François Robert du Buc, seigneur de Lommoye et autres lieux les reconnut comme parents en 1781 comme l'indiquent plusieurs courriers répertoriés aux archives entre 1778 et 1781 passés devant notaire. Ce vieillard de 85 ans, doué d'une fabuleuse mémoire, certifia qu'il connaissait depuis toujours le récit de ses pères et, du sort d'un de ses parents "qui avait prit la fuite dans les Îles d'Amérique, suite à un duel avec un gentilhomme et dont il s'était éloigné de sa famille de Normandie, et qu'il n'était depuis revenu aucunes nouvelles de lui ". Cependant, Bernard Chérin (père) écrivit au roi que ce rattachement " n'était pas dénué de tout fondement car il existait en effet dans cette province de Normandie une famille de ce nom qui possédait depuis plus de 300 ans les terres de Saint-Germain de Fresnay" n'était pas prouvé par titres donc qu'il déconseillait au roi de donner à MM. du Buc de la Martinique le droit de reprendre les armes des du Buc-Richard[1] à moins d'apporter des preuves supplémentaires . Malgré ce rapport défavorable de Chérin, ce dernier se rétracta devant les preuves supplémentaires apportées par les du Buc de Martinique, notamment grâce aux documents et titres que la branche cadette du Buc-Richard délivrèrent à leur parents martiniquais. Le 31 mai 1782 le roi Louis XVIsuivant les ordres de son généalogiste accéda à la demande de MM. du Buc de la Martinique[1] du port d'armoirie ainsi qu'à la reconnaissance de parenté des deux familles. Une seconde demande est faites par les du Buc de Martinique en 1786 pour que le roi réaffirme par lettres patentes l'appartenance définitive de parenté entre les 2 branches. Louis Nicolas Chérin (fils) fut agacé de cette demande des du Buc de Martinique, considérant que les lettres de 1782 devait leur suffirent. Néanmoins l'accord et les lettres de 1782 ne concernaient que les du Buc de Martinique et la branche cadette de Normandie. Pour que cela fut définitive Louis Nicolas Chérin expliqua au roi qu'il fallait maintenant l'accord de la branche ainée du Buc-Richard, seigneur de Flexanville. Ces derniers acceptèrent sans hésitation à fournir les preuves supplémentaires à leur cadets. Chérin se rend à l'évidence et donne son accord à une reconnaissance totale le 2 mars 1789 dans un courrier au roi. Après avis favorable suite au travail de Me Dupenty, avocat, et l'accord d'Edmé Bertier, juge d'armes de France et généalogiste des ordres du roi (BNF côte E143, dossier du Buc). Il est indiqué sur la lettre : " Rapport favorable de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin (fils) , à la requête des du Buc de reconnaissance de parenté, que la décision de Louis XVI sous forme de lettres patentes signées le 31 mai 1782 suffisait à leur nouvelle demande et qu'il n'avait pas lieu de dresser d'autres lettres patentes pour confirmer à nouveau que les du Buc de Martinique étaient bien issus des du Buc de Normandie, le roi ayant dit "...et afin que cela soit ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel...". (BNF côte E143, dossier du Buc, Paris).

Le 2 avril 1789 à Versailles au cabinet des titres Louis XVI avec le consentement définitif de Louis Nicolas Hyacinthe Chérin (fils) et du ministre des colonies, d'accorder de nouvelles lettres patentes en faveurs des du Buc de Martinique et les reconnaissant définitivement comme issus de la branche cadette des du Buc de Normandie, d'ancienne noblesse d'extraction, avec reprise des anciens titres de chevaliers ainsi que le port d'armoiries. Les autres titres et seigneuries étant réservés par droit d'ainesse au du Buc-Richard banche ainée.

Généalogie de la famille du Buc-Richard (Normandie) (branche ainée éteinte)

Pierre Ier du Buc-Richard, écuyer, seigneur et patron de plein fief de Tournedos, du Fontenil (Orne) en partie, cité en 1422. Fondateur de la branche du Buc du Fontenil, d'après les lettres patentes du roi François 1er du 11 août 1530 qui reconnaît la famille du Buc d'ancienne race et que la dite famille du Buc n'a pas à payer la taille malgré une erreur administrative en 1529. Il épouse Jeanne de Beauvoir, d'où ;

A.1. Pierre II du Buc-Richard, écuyer, seigneur et patron de Tournedos, du Fontenil, cité en 1432. Il épouse Marie de Graveron, qui est citée le 13.2.1444 dans un mandement des gens des comptes à Marie de Graveron 17 livres d'arrérages dus à cause de la garde noble de Jehan du Buc, escuyer mineur de la vicomté d'Orbec. D'où ;

A.2. Jehan (Jean ) III du Buc-Richard, chevalier, seigneur du Fontenil (Orne),de Graveron, de Tournedos, de Semerville, de St Germain de Fresney (Eure), il épouse le 11.2.1488 à l'Aigle (Orne) Marie de Vipart, fille de Guillaume de Vipart, chevalier, seigneur de Flacourt et de Drumare et de Jacqueline de Morainvilliers, morte le 30.9.1522. d'où 4 enfants dont ;

A.3. Guillaume II du Buc-Richard, écuyer, seigneur du Fontenil, cité en 1507, 1522. Il rend aveu de la baronnie de l'Aigle le 9.6.1509, d'où 4 fil,s dont ;

A.4. Jehan IV du Buc-Richard, chevalier, seigneur du Fontenil, de Graveron et de Semerville cité en 1528. Il construit le château du Fontenil en 1544 et hérite des fiefs de son frères Charles du Buc, seigneur de Graveron et de Semerville. Il épouse le 7.11.1528 à l'Aigle (Orne) Antoinette de Bouquetot, fille de Jean de Bouquetot, seigneur du Breuil-sur-Touques (en Auge), de Rabu (près de Lisieux) et d'Anne de Mornay, dame de Vaux-sur-Eure, Caillouet, Boncourt, La Chapelle-la-Reine. D'où ;

A.5. Jean V du Buc-Richard, branche ainée, fondateur des du Buc de Bretagnolles portant "d'or à la bande d'azur" qui suit plus bas.

B.5. François Ier du Buc-Richard, branche cadette, fondateur de la branche du Buc, seigneurs de Flexanville (Seine-Maritime) et de Lommoye (Yvelines), portant "d'or à la bande d'azur, au lambel de gueules brochant sur le tout". Il épouse Renée d'Acon, fille de Gilles d'Acon, seigneur de Chalette.

C.5. Adrien du Buc-Richard, branche cadette, fondateur de la branche du Buc de la Mare (actuelle branche québécoise existante) , portant "d'argent à la bande de gueules".

D.5. Françoise du Buc-Richard, Branche féminine du Buc héritière en partie du Fontenil (Orne). Elle épouse en 1ere noces Charles Le Héricy, chevalier, seigneur de Fierville, de Creullet, de Enthehan, maintenu noble d'ancienne extraction le 20.12.1540, et de Jacqueline Fauvel, Dame de Marcellet, et en 2ndes noces Charles de Taillebois.

E.5. Marguerite du Buc-Richard, elle épouse N de du Bois, baron de Blangy.

A.5. Jean V du Buc-Richard, (fils de A.4. Jehan IV du Buc-Richard), écuyer, seigneur du Fontenil, Baron de Bretagnolles (Eure) et héritier de la vavassorie de Bretagnolles,seigneur de St Gerùmain de Fresney,,de Graveron ,de Semerville. Lieutenant particulier au baillage de Dieppe. Il obtient en 1569le fief de la Bourdaine près du Tréport (Seine-Maritime). Il épouse Marie Claude Le Monnier. La garde noble des biens de Jean V Dubuc est donnée le 6.2.1574 par Christophe d'Alègre,baron de St André del'Eure à son épouse Marie Claude Le Monnier. d'où ;

A.5.1. Siméon du Buc-Richard, chevalier, seigneur du Fontenil, seigneur du Pacquerel, de Graveron ,de Semerville, Tournedos, de Flexanville (St Georges, Seine-Martime) décédé en 1642. Il épouse en 1eres noces Jeanne Marguerite d'Angennes, fille de François d'Angennes, marquis de Montlouet et de Madeleine du Broullat. Et en 2ndes noces Hélène Thézart des Essarts, fille de René Thézart, sieur des Essarts, d'Eucourt, de La motte Saint-Quentin et d'Hélène d'Hélenvilliers, Dame des Planches.

A.5.2. Paul du Buc-Richard, écuyer, seigneur de Valmont et de Lauroy. conseiller et échevin de Dieppe.

A.5.3. Jean VI François du Buc-Richard (V.1595-1666), chevalier, baron de Bretagnolles, de St Germain-de-Fresney, de Flexanville, seigneur du Pacquerel, de Coussé (Orne), du Fontenil, de Graveron, de Semerville,de Tournedos. Héritier de Siméon et Gédéon du Buc (société historique et archéologique de Rambouillet et des Yvelines, 1981, page 142). Gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, lieutenant des gardes du corps du duc d'Elbeuf, sergent royal de la marine puis capitaine armateur, Gouverneur de l'île de Grenade en 1658en lieu et place de Monsieur de Cacqueray de Valmenier. Perd sa noblesse pour dérogeance et est réanobli par Louis XIII le 5.9.1623 enregistré à la cour des aides de Rouen le 5.2.1625. Propriétaire du château de Guéville (Eure), d'1/3 du château du Fontenil (Orne), du manoir de Bretagnolles,du château de Graveron et de la seigneurie du Pacquerel.Il épouse Jeanne Lhuillier-Regnard (°1613) , fille de Jean Lhuillier-Regnard et de jeanne Lustre. La famille Lhuillier étant depetite noblesse d'Iville (Eure) d'où 6 enfants (dont Pierre III du Buc, alias Pierre Dubuc (1640-1708) qui fuit la Normandie en 1657;

A.5.3.1. Jean VII du-Buc-Richard (1632 au château de Guéville à Trouville-la-Haule, Eure-1693), héritier des titres de la famille du Buc. chevalier, baron de Bretagnolles, sgr de Flexanville, Graveron, Semerville, du Pacquerel. Garde du corps du roi en 1660 (3e brigade 185 hommes). Il épouse Marie Elisabeth de Sailly (+ en 1705 à Flexanville) d'où descendance actuelle branche normande famille du Buc, Brunet de Mannetot.

A.5.3.2. Jeanne du Buc-Richard (°1636 au château de Guéville à Trouville-la-Haule, Eure)

A.5.3.3. Guillaume du Buc-Richard ( 1639 au château de Guéville à Trouville-la-Haule, Eure - 1682 à Iville (Eure), écuyer, Huissier aux tailles en l'élection de Conches, capitaine de cavalerie cité en 1669 "BNF cabinet des titres"), il épouse Elisabeth Girard.

A.5.3.4. Paul du Buc-Richard (1641 au château de Guéville à Trouville-la-Haule, Eure - mort en bas âge)

A.5.3.5. Marie Madeleine du Buc-Richard ( née au château de Guéville à Trouville-la-Haule, Eure), Dame de Bretagnolles. Elle épouse Pierre Antoine Le Ber, écuyer, sieur de Trouville, huissier, conseiller en la cour des aides de Rouen, héritier de son frère Charles Le Ber.

Généalogie de la famille du Buc de Marcussy (alias Dubuc) (branche cadette) (Martinique) (subsistante)

Jean VI François du Buc-Richard,(voir généalogie plus haut), chevalier , sieur du Pacquerel, du Fontenil et autres lieux, réanobli en 1623 par Louis XIII ( il est rattaché à Pierre du Buc par Charles d'Hozier et une généalogie demandée par Louis XIV, dossier n°74, MF 29497, cabinet des titres Paris). il réside au château de Guiville au diocèse d'Évreux ou naissent ses enfants, il épouse dans la première moitié du XVIIe siècle [1] Jeanne Lhuilier-Regnard (°1613 à Iville-sur- Le Neubourg, Eure), fille de Jean Lhuillier et Jeanne Luttre, ils ont plusieurs enfants dont :

Pierre III du Buc alias Pierre Dubuc (°13.6.1640 au château de Guéville à Trouville-la-Haulle, Eure, "acte de baptême retrouvé par l'abbé Duplaix (1846-1918) curé de Clémont-sur-Sauldre en 1898 sur Trouville-la-Haulle" - décédé en 1708 à Trinité, Martinique), chevalier puis écuyer, sieur de Pacquerel (déformé en Cacrel à la Martinique que ses descendants reprendront en nom de branche) sieur de la Caravelle, capitaine de milice puis colonel, chevalier de St Louis en 1706, flibustier, planteur, conseiller au conseil souverain de la Martinique. Cadet au régiment du grand maître de Malte (Paul de Lascaris) en 1654 il en ressort lieutenant en 1657. Fiancé à sa cousine Elisabeth de Nollent, son cousin Jean de Biencourt, Sgr de Chauvincourt profitant de l'absence de Pierre du Buc durant 3 ans se fiance avec la delle de Nollent. Pierre du Buc provoque un duel avec Antoine de Biencourt (frère de jean qui, plus expérimenté dans les armes décide d'affronter du Buc). Nous sommes en 1657 et le duel à lieu au manoir de Criquebeuf-la-Campagne (Eure) fief des du Buc et propriété des de Nollent par mariage avec les du Buc. Pierre III du Buc tue Antoine de Biencourt, les duels étant interdits par le roi, Pierre du Buc se rend chez son grand-père Jean V du Buc au château du Fontenil (Orne), il est reçu par son oncle Jean Le Héricy qui le cache et fait envoyer un métayer prévenir son père. Jean François du Buc décide d'aller voir son frère Gédéon du Buc de Valmont, procureurde Dieppe qui par ses connaissances l'envoie vers un capitaine de navire en partance pour les Antilles. Recherché par les mousquetaires du roi et condamné à mort, il subit la dérogeance royale en 1658 en perdant ses titres de noblesses. Son père lui laisse une lettre amicale à remettre à son ami Jacques Dyel du Parquet, gouverneur de la Martinique afin que celui-ci le protège. Ce qui sera fait jusqu'à la mort de ce dernier en 1658. Pierre Dubuc doit alors s'enfuit comme simple engagé sur l'île de St Christophe chez un maître particulièrement cruel. Le forçant à signer sa liberté, Pierre Dubuc s'engage dans l'armée et se forge une solide réputation, d'homme de combat. Il gravit les échelons et est récompensé par le roi en obtenant des terres sur l'île de la Martinique en la commune de Trinité. Il se crée une importante fortune grâce à la canne à sucre, au cacao et café. Toujours sous couvert d'anonymat suite à son duel, il finance en 1701 des lettres de noblesses que le roi Louis XIV attribut et se voit être anobli le 21 juillet 1701. Avant de mourir en 1708, il laisse à ses enfants un testament secret où il explique les circonstances de sa venue dans les îles suite à la rigueur des duels et la mort de son cousin le chevalier Antoine de Biencourt. Pierre III du Buc eut 2 mariages avec en 1ere noces Renée Blondeau du Clos, puis en seconde noces Françoise Thérèse Gombault (descendance suivent en D,E et F).

de Renée Blondeau du Clos il eut en (B) et (C);

B. Jean IX du Buc l'Etang (1672-1739), écuyer, sieur de l'étang, lieutenant-colonel, écrivain du roi, planteur, chevalier de Saint-Louis en 1706, capitaine des grenadiers, maître des habitations Talmon et l'étang (Martinique).Il épouse en 1er noces Elisabeth Jarday des Marinières, fille de François Jarday, sieur des Marinières, capitaine de milice et de Suzanne Beaudoin d'où enfants qui suivent en B.4.

B.4. Jean Pierre du Buc du Ferret (1692-1742), écuyer, capitaine d'une compagnie franche, Il épouse Madeleine Marie Anne Courtois (1692-1754), fille d'André Courtois et d'Aimée Le Roux, originaire de Dieppe, d'où ;

B.4.1. Jean Baptiste 1er du Buc de Ramville (1717-1795) "dit le grand du Buc", chevalier, avocat, industriel, planteur, économiste, créateur de la société de raffinage "du Buc-Boucherie" et de la raffinerie "Galion Grands Fonds", chef du bureau des colonies, intendant des colonies, président de la chambre de commerce et d'agriculture de la Martinique, président des colons électeurs de la Martinique, syndic de la compagnie des Indes Françaises, propriétaire du château de Chissay-en-Touraine" , ami du ministre de Choiseul, Diderot, Voltaire. il épouse Marie Anne de Fébvrier, fille de François Lambert de Fébvrier et de Jeanne Lopès du Rocher, d'où ;

B.4.1.1. Marie Anne du Buc (1747-1815), elle épouse Pierre Joseph du Chamge d'Elbecq, baron d'Elbecq (1733, Lille- 1793, St Jean-de-Luz).

B.4.1.2. Jean Baptiste III du Buc (1752-1787), chevalier, major des armées, il épouse Aimée du Buc de Bellefonds, sa cousine.

B.4.1.3. Marie Françoise du Buc (°1753), elle épouse Claude Philibert Thiroux d'Ouarville, écuyer.

B.4.1.4. Marie Elisabeth du Buc, elle épouse Jean Louis Rémy de Turicque (1737-1823), écuyer, général, maréchal de camps, chevalier de St Louis, maire de Croisy-sur-Eure (Eure), propriétaire du château de Croisy, fils de Jean François Rémy de Turicque, chevalier, seigneur de Turicque, ancien capitaine au régiment des gardes du duc de Lorraine et de Bar, et de Jeanne Ursule Poulletier, d'où ;

B.4.1.4.1. Marie Jeanne du Buc de Turicque, autorisée par le roi Louis XVIII à reprendre le nom de sa mère. Sous gouvernante des enfants de France sous Louis XVIII, Monseigneur le duc de Bordeaux. Elle épouse Jean Eléonor Romain de Gain de Montaignac, comte, premier gentilhomme du comte d'Artois, gouverneur du château royal de Pau.

B.4.1.4.2. Léopold du Buc de Turicque, écuyer, chanoine de l'église primatiale de Nancy.

B.4.1.4.3. Edmé Chrétien du Buc de Turicque, chevalier

B.4.1.5. Louis François du Buc, chevalier, comte, titré Comte du Buc le 22 octobre 1823 par le roi Louis XVIII par brevet royal de dignité et confirmé au château des Tuileries à Paris en 1823 avec transmission du titre de comte à sa descendance. chevalier de St Louis en 1814, chevalier de la légion d'Honneur, lieutenant au régiment de Bouillon, maître d'habitations à La Caravelle (Trinité, Martinique, Le Galion, député de la Martinique, président de l'Assemblée coloniale , Intendant de la Martinique (1814-1818). il épouse Alexandrine Anne Françoise Le Vacher de Boisville (1779-1830), fille de Vincent exépuri Le Vacher de Boisville, et de Gabrielle Marthe de Bourke, d'où ;

B.4.1.5.1. Rose Antoinette Denise du Buc (°1792), elle épouse Jean Baptiste Collignon, administrateur

B.4.1.5.2. Jean Baptiste Désiré Adolphe du Buc (°1796), chevalier (Extinction de la branche ainée du Buc)

B.4.1.5.3. Louise Désirée Julie du Buc (1799-1865), Inhumée au père Lachèse, 21e division (Paris 8e). Elle épouse Pierre Bernard Milius (1773-1829), baron, Contre Amiral, chevalier de St Louis, chevalier de l'ordre du bain d'Angleterre, grand commandeur de l'ordre de la légion d'Honneur, chevalier de l'ordre de St Vladimir de Russie, gouverneur de la Guyane, gouverneur de la Réunion, capitaine de vaisseau, maître des requêtes au conseil d'Etat, fils d'Henri Milius, armateur, et de Thérèse Monnerot.

B.4.1.5.4. Geneviève Désirée Elisabeth du Buc (1803-1879), inhumée au père Lachèse (Paris 8e), "mariée avec l'accord du ministre de la marine" avec Aimé Benjamin de Fleuriau, écuyer, chevalier de St Louis, chevalier du mérite militaire, grand officier de la légion d'honneur, capitaine de vaisseau, directeur au ministère de la marine, directeur des colonies, directeur du personnel et des opérations maritimes, secrétaire au conseil de l'amirauté, commandant et administrateur du Sénégal, fils d'Aimé Paul de Fleuriau, seigneur de Touchelonge, conseiller secrétaire du roi, receveur général à Moulins et de Julie Catherine Laval.

B.4.2. Pierre Daniel du Buc de Sainte-Preuve (1718-1788), écuyer puis chevalier, professeur de mathématiques, Membre de la chambre mi-partite de commerce et d'agriculture de Martinique. Propriétaire à moitié de Grand Fonds au Galion. , économiste, député de la Martinique. Il épouse Marie Rose de Fébvrier (1732-1787), fille de François Lambert de Fébvrier et de Jeanne Lopès du Rocher, d'où ;

B.4.2.1. Marie Anne Judith du Buc de Sainte-Preuve (1758-1830), elle épouse en 1ere noces Germain Pierre de Laurencin (+1795) , écuyer, sous-maire de Nantes, fils de Germain de Laurencin (1702-1767), écuyer, seigneur de La Bergerie Verte et du Rocher, consul des marchands de Nantes, et de Geneviève de Fébvrier. Et en 2nde noces André 1er du Buc du Ferret (1762-1852), chevalier, commissaire commandant de la paroisse de Trinité (Martinique), fils de Julien Antoine du Buc du Ferret, écuyer, député, et de Marie Françoise de Fébvrier.

B.4.2.2. André du Buc du Ferret (1760-1784), écuyer, Capitaine au régiment des volontaires libres (1784).

B.4.2.3. Louise du Buc de Sainte-Preuve (1762-1832), Elle épouse son cousin Jacques Balthazar du Buc-Beaudoin de Ramville (1758-1818), chevalier, Lieutenant commissaire (1803), chef en second du bataillon de La Trinité (1807), fils de Louis Abraham du Buc, écuyer, chevalier de St Louis, capitaine commandant La Tartane et de Marie Marthe des Vaux de La Martinière.

B.4.2.4. Marie Rose Aimée du Buc de Sainte-Preuve (1765-1834), Elle épouse François Marie du Buc du Ferret d'Esturet (1764-1834), chevalier, chevalier de St Louis (1820), Capitaine de frégate retraité (1820), fit la guerre d'Amérique, fils de Julien du Buc du Ferret, écuyer et de Marie Françoise de Fébvrier.d'où ;

B.4.2.4.1. Antoinette Juliette Antonie du Buc du Ferret (1801-1883), elle épouse Gabriel Edouard du Bois de Saint-Etienne (1789-1863), comte de St Etienne, officier de cavalerie, fils de Gaspard Romain du Bois de Saint-Etienne, comte, chevalier de St Louis, lieutenant-colonel de cavalerie et d'Anne de Bosredon.

B.4.2.4.2. Marie Caroline du Buc du Ferret de Sainte-Preuve (1804-1887), elle épouse Louis Paul Yriex de Malet de La Jorie (1798-1884), comte de La Jorie, garde du corps dans la compagnie de Noailles, capitaine de régiment d'infanterie, fils de Jean Baptiste de Malet de La Jorie, comte, et de Catherine de Rossignol du Combier, (dont descendances actuelles familles de Malet de La Jorie, Martin du Theil).

B.4.2.4.3. André II du Buc du Ferret d'Esturet (1805-1850), chevalier. Parrain: Joseph Hippolyte, comte de Santo Domingo

B.4.2.4.4. Marie Laure du Buc du Ferret d'Esturet (1808-1900), elle épouse Aimé Alexis Honoré Jean Sirey , avocat, fils de Jean Baptiste Sirey, Avocat au Conseil du roi et à la Cour de cassation, fondateur des "Recueils Sirey", et d'Annette de Lasteyrie de Saillant.

B.4.2.5. Pierre Daniel du Buc de Sainte-Preuve (1769-1791), chevalier.

B.5. Elisabeth du Buc L'Etang (1693-1781)

B.6. Isaac du Buc L'Etang (1695-1730), écuyer, Il épouse Perrine d'Arbousset, d'où ;

B.6.1. Luce Rose Claire du Buc de L'Etang (1724-1774), elle épouse Jean François Hardy du Bocage, fils de François Hardy du Bocage et de Marie Françoise Le Roy.

B.6.2. Françoise Louise du Buc de L'Etang, épouse de Charles François Château.

B.7. Louis Abraham du Buc- Beaudoin (1698-1763), écuyer, il reprend le nom de sa grand-mère Suzanne Beaudoin, maitre d'habitations, capitaine de milice à la Tartane. Il épouse en 1ere noces Marie Marthe des Vaux de La Martinière, fille de François et de Marie Marthe Le Boucher. puis en 2nde noces Marie Madeleine Raffin, fille de Jean Raffin, capitaine de milice et de Rose du Buc de Bellefonds. De son union avec Marie Madeleine Raffin il à les enfants suivants ;

B.7.1. Jean Baptiste du Buc de Saint- Olympe, chevalier, comte du Buc, Il relève le titre de comte en 1827 après la mort de son cousin Louis François du Buc, intendant des colonies alors sans descendance. chevalier de St Louis, chevalier de la légion d'Honneur en 1825, capitaine d'artillerie, avocat, propriétaire-planteur à Saint- Domingue, juge et lieutenant de l'amirauté de la Grenade, sénéchal et lieutenant général de l'amirauté de la Guadeloupe, député d'Haïti, notaire impérial au Lamentin (Martinique), intendant de l'administration civil de la Martinique. Il épouse en 1ere noces Louis Marie Marguerite Bonne Le Roy, d'où ;

B.7.2.1.1. Antoinette Julienne dit "Antonia" du Buc de Saint- Olympe (°1789), elle épouse Louis Charles Marie Armand Saint-Germain de Galon de Barsay (1788-1832), comte, fils de Louis Vincent Jacob de Galon des Carreaux, comte, et de Marie Françoise Désirée de Bosredon.

en 2nde noces Marie Françoise Bertille de Bovis, fille de Joseph Bertille de Bovis, écuyer, sieur de Bovis, conseiller à la cour d'appel de Guadeloupe, substitut au procureur du roi, et de Marie Catherine Rannoué. et en 3eme noces Marie Jeanne Houdan, fille de Jacques Houdan, écuyer, conseiller secrétaire du roi à la Guadeloupe et de Charlotte Julienne Lemasson.

B.8. Alexis Pierre du Buc des Marinières (1709-1777), écuyer, chevalier de St Louis en 1736, commandant de la paroisse de Trinité. Il épouse Marie Rose des Vaux de La Martinière, d'où ;

B.8.1. Pierre Benjamin du Buc des Marinières (1745-1803), écuyer

B.8.2. Jean Philippe Marc du Buc des Marinières (1747-1803), chevalier, il assiste le 16 mars 1789 à La Rochelle à l'Assemblée de la Noblesse du Périgord. Il épouse Marie Anne Le Vassor de La Touche- Tréville, fille de Louis Charles François Augustin Le Vassor de La Touche- Tréville (1707-1762) écuyer, et de Marie Anne du Buc du Ferret.

B.8.3. Alexis Frédéric du Buc de Vaubuc (1751-1782), écuyer

B.8.4. Jean Baptiste III du Buc des Marinières, écuyer

B.8.5. Marc du Buc de Martelly, écuyer

B.8.6. Marie Céleste du Buc des Marinières (+1798), elle épouse Antoine Henry Gauthier de Saint-Julien, fils de Michel Gauthier de Saint-Julien, avocat en la sénéchaussée d'Avignon, et de Louise Carré.

B.9. Jean François du Buc de Cacrel (ou Cacquerel ou Pacquerel) (1712-1766) , écuyer, sieur de Cacrel, ancien mousquetaire du roi. Il épouse Louise Félicité de Lascaris de Jauna, d'où ;

B.9.1. Jacques Louis Charles Gabriel du Buc de Cacrel (1750-1769), écuyer

B.9.2. Louis Balthazar Maximin du Buc de Cacrel (1751-1771), écuyer

B.9.3. Adélaïde Praxède du Buc de Cacrel (17°1752), elle épouse Jean Louis de Jaunon

B.9.4. Pierre Emmanuel du Buc de Cacrel (1753-1795), écuyer, sieur de Cacrel, Capitaine aide-major dans les volontaires libres de la Martinique (1783),.Il épouse Marie Barbe Fonfrède, fille de Jean Baptiste Fonfrède, négociant à Sainte-Lucie et de Marie Marguerite Varin-Bellisle.

B.9.5. Alexis Abraham du Buc de Cacrel (°1754), écuyer

B.9.6. Elisabeth Modeste du Buc de Cacrel (1756-1810), elle épouse Henri Lombard du Chazeau.

B.9.7. Alexis du Buc de Cacrel, écuyer

B. Jean IX du Buc l'Etang (1672-1739), écuyer, sieur de l'étang, lieutenant-colonel, écrivain du roi, planteur, chevalier de Saint-Louis en 1706, capitaine des greadiers, maître des habitations Talmon et l'étang (Martinique).Il épouse en 2nde noces Marie Marthe Le Boucher de Rivéry ,fille de François Le Boucher, capitaine de cavalerie, riche planteur, cousin du sieur de cacqueray de Valménier et de Marie de Rivéry. d'où enfants en 2nde noces qui suivent ;

B.1. Pierre Alexis du Buc des Marinières, écuyer, sieur des Marinières

B.2. Henri Jacob du Buc de Marcussy (°1720), écuyer, mort guillotiné durant la révolution française. Il épouse Anne Henriette Raffin, fille de Jean Raffin,capitaine de milice et de Dame Marie Rose du Buc de Bellefonds.d'ou ;

B.2.1. Henriette du Buc de Marcussy (1747-1831), épouse de Claude Philibert Thiroux d'Ouarville, comte, major général à la Martinique.

B.2.2. Jean Baptiste du Buc de Marcussy (1755-1786), chevalier, capitaine lors de la guerre d'indépendance Américaine, sous lieutenant au régiment de la Martinique.

B.2.3. Abraham du Buc de Marentille (1761-1825), chevalier, colonel à la Guadeloupe, Officier durant la guerre d'indépendance Américaine de 1776 à 1783, cadet gentilhomme au régiment d'Agénois, lieutenant en 1779 à la bataille de Yorktown avec Le marquis de Lafayette pour soutenir Washington et Rochambeau, membre de l'assemblée coloniale de la Guadeloupe et de Saint-Domingue, conseiller à la cour de Guadeloupe. Il épouse Marie Françoise de Querruy d'Arnouville (1758-1826), fille d'Isaac théodore Guillaume de Querruy d'Arnouville et d'Anne Françoise de Saint-Riquier.

B.2.4. Julie du Buc de Marcussy (1750-1799), décédée au USA à Elisabeth Town dans New-Jersey. Inhumée auprès de la tombe d'Anne Renée des Vergers de Maupertuis de Sannois, veuve du gouverneur de la Guadeloupe, le baron de Clugny.

B.2.5. Jacob 1er du Buc de Marcussy (1749-1814), chevalier, chevalier de St Louis (1792), lieutenant-colonel, chef de bataillon. Il épouse Marie Jeanne Sophie Dunois.

B.2.6. Sophie du Buc de Marcussy (1753-1820), elle épouse Jean Baptiste Simon Montval, fils de Jacques Simon Montval et d'Anne Elise Saint-Aroman.

B.2.7. Jean Joseph du Buc de Marcussy (1764-1842), chevalier, sieur de Marcussy, fit ses preuves de noblesse devant Antoine Marie d'Hozier de Sérigny le 21 septembre 1777 pour etre admis aux écoles royales militaires, élève de l'école royale militaire de Tiron, reçu cadet gentilhomme à l'école royale et militaire le 2 mars 1778, capitaine en 1791 (sources: les cadets gentilhommes de l'ERM de Louis XVI (1778-1787) par Gaëtan d'Aviau de Ternay, Edit Patrice du Puy, 2009). Propriétaire du château de Montigny-Le-Gannelon, puis du château de Montaigne (Dordogne). Il épouse en 1ere noces Adélaïde de La Croix, fille de Nicolas René de La Croix et de Marie Nicole Colson. Et en 2nde noces Marie Jeanne Augustine Ranchin de Montarant (1778-1833), fille d'Augustin Ranchin de Montarant et de Stéphanie Marsanné, d'où enfants en 2nde noces ;

B.2.7.6. Marie Amélie du Buc de Marcussy (°1794), héritière du château de Montaigne, elle épouse Frédéric Dominique de Beauroyre.

B.2.7.7. Marie Camille du Buc de Marcussy (1796-1868), elle épouse en 1ere noces Raymond Joseph de Mirandol, et en 2nde noces Charles de Beauroyre.

B.2.7. Jean Joseph du Buc de Marcussy (1764-1842) et Adélaïde de La Croix, d'où enfants en 1ere noces ;

B.2.7.1. Charles Henri Joseph du Buc de Marcussy (1802-1868), chevalier, propriétaire du château de Michel de Montaigne. Il épouse Marie Jeanne Elise Front de Montozon de Laborde (1801-1878), fille de Jean Baptiste Front de Montozon de Saint-Cyr, comte de Montozon et de Marie Thérèse de Chancel d'Eyliac, d'où ;

B.2.7.1.1. Joseph Alfred du Buc de Marcussy (1833-1855), mort à 22 ans.

B.2.7.1.2. Marie Félicité du Buc de Marcussy (1837-1889), elle épouse Charles Marie Chapiteau de Rémondias, chatelain du Breuil (Charente), dont postérité subsistante.

B.2.7.2. Hyppolite du Buc de Marcussy

B.2.7.3. Julie Angélique Augustine Fanny du Buc de Marcussy (°1804), elle épouse en 1ère noces Marcelin Francine et en 2nde noces Nicolas Sébastien Tresse (1813-1878), avocat.

B.2.7.4. Elise Hortense du Buc de Marcussy (1806-1839), elle épouse François Lagorce, Médecin.

B.2.7.5. Anne Marie Albertine du Buc de Marcussy (1810-1845), épouse de Nicolas Sébastien Tresse, avocat.

B.3. François Henri du Buc de Rivery (1718 à Trinité, Martinique - 1763), écuyer, sieur de Rivery, maître de l'habitation Pointe-Royale (Le Robert, Martinique), capitaine de milice, il épouse Marie Rose Victoire Menant (+1761), fille d'Isaac Menant (1697-1771) conseiller au conseil supérieur de la Martinique, avocat au parlement de Paris, capitaine de milice, et de Marie Anne Birot de La Pommeraye. D'où :

B.3.2. Marie Anne Victoire du Buc de Rivery (1748-1828), célibataire.

B.3.3. Isaac du Buc de Rivery, écuyer puis chevalier, maître de l'habitation sucrerie le Galion à Trinité. Il épouse Françoise d'Arbousset- Beaufond.

B.3.4. Marie Marthe Aimée du Buc de Rivery (1755-1781), elle épouse à Paris Jean Antoine Trézin de Cangey, écuyer, sieur de Cangey. (descendance famille Rézard de Wouves à la Martinique)

B.3.5. Jean Marie 1er Louis du Buc de Rivery d'Arzer (1757-1783), écuyer puis chevalier, sieur d'Arzer, sous-lieutenant au régiment du Vexin (Normandie)

B.3.6. Pierre Médéric du Buc de Rivery de Mercy (1755-1777), écuyer puis chevalier. mort sans alliance.

B.3.7. Marie Henriette du Buc de Rivery (1755-1763)

B.3.1. Henri Jacob du Buc de Rivery, (1748-1808), écuyer puis chevalier, propriétaire des habitations sucreries "Pointe-royale" et "Pointe-La Rose" au robert, Martinique, membre du conseil du directoire du conseil colonial en 1790, intendant des habitations du Buc de Bellefonds sur La Caravelle, Trinité, Martinique, capitaine commandant de milice au Robert, il épouse Marie Anne d'Arbousset- Beaufond (1739-1811), fille de Jean François d'Arbousset, capitaine de milice et de Marie Rose Marcé. d'où ;

B.3.1.1. Marie Anne Rose du Buc de Rivery (1774-1775)

B.3.1.2. Rose Henriette Germaine du Buc de Rivery (1778-1785)

B.3.1.3. Pierre IV Ange François Henry du Buc de Rivery (1782-1812), chevalier, mort sans descendance.

B.3.1.4. Aimée Augustine Marie Joseph du Buc de Rivery (1776-1817) alias "La sultane Validé". Cousine éloignée de l'impératrice Joséphine de Beauharnais, née de Tascher de La Pagerie, Aimée de Buc fut élève chez les sœurs de la visitation à Nantes durant la révolution de 1789. Ces dernières afin qu'elle ne subisse pas le sort des aristocrates, la renvoya chez ses parents en Martinique. Malheureusement le navire sur lequel elle voyagea fut prit d'assaut par les barbares et Aimée du Buc de Rivery fut captive et officiellement portée disparue. D'une grande beauté, elle fut vendue au Sultan de Turquie Abdul Hamid 1er et devint sa favorite rebaptisée "Nakchidil"qui signifie reine mère empreinte du coeur. Elle devint pour les turques la fameuse sultane validée. Elle n'eut pas d'enfant mais éleva le fils du Sultan Mahmoud II, qui la considéra comme sa mère. Elle reçut (chose rare) les derniers sacrements du père Chrysostome, privilège que lui accorda Mahmoud II et ou l'attendait une délégation de diplomate français .

B.3.1.5. Alexandrine Marie Louise Victoire du Buc de Rivery (1780-1734) alias " la veuve Marlet". Unique héritière des de Rivery, elle succède à son père à la tête de la plantation et sucrerie "Pointe-Royale" rebaptisée "Pointe-Marlet" dans la commune du Robert (Martinique) suite à son mariage. Propriété de 325 hectares comprenant 180 esclaves. Mais la mauvaise gestion de Victoire du Buc- Marlet et les châtiments qu'elle fait endurer à ses travailleurs, la font condamner à ne plus intervenir dans ses propres affaires.A la mort de son époux, ses trois fils revendront la propriété. Rlle épouse en 1806 au Robert, Martinique ; Charles Henri Guillaume Marc Marlet (°1778) directeur de la sucrerie Pointe-Royale, fils de Louis Guillaume Marlet, bourgeois de Dijon, commissionnaire, planteur, assesseur au tribunal de New-York (USA), membre du directoire du conseil colonial, ami de Moreau de Jones et de Prince de Talleyrand, et de son épouse Marie Elisabeth Fourniols. d'où 3 fils ;

B.3.1.5.1. Henry Guillaume Elisabeth Marlet (°1806), élève de l'école de Sorrèze (Tarn), Polytechnicien, lieutenant d'infanterie de ligne en France, maire de la commune du Robert (Martinique) en 1848, rédacteur en chef du journal "la liberté" , il épouse Jeanne Antoinette Rousseau, avec laquelle il a 3 enfants dont descendance subsistante.

B.3.1.5.2. Marie Claude Eugène Marlet (1808-1844), élève de Sorrèze, lieutenant d'infanterie, Polytechnicien, auteur de livres de géopolitique. alliance non connue.

B.3.1.5.3. Louise Alexandrine Aimée Marlet (1812-1816)

B.3.1.5.4. Claude Marie Alexandre Marlet (1814-1854), commerçant à Saint-Pierre de la Martinique, propriétaire d'1/3 de l'habitation "Pointe-Royale" au Robert. Il épouse Virginia Yonga d'où 7 enfants (descendance directe subsistante en Martinique et France avec les familles Marlet et Renard).

C. Balthazard du Buc de Bellefonds (°1675), écuyer, sieur de Bellefonds, maître de l'habitation Spoutourne (Trinité, Martinique), membre du conseil souverain de la Martinique. Il épouse Marie Anne Monnel- Maucroix, fille de François Monnel- Maucroix, propriétaire de 4 sucreries, conseiller au conseil souverain de la Martinique et de Catherine Rive, d'où ;

C.1. Jeanne Dorothée du Buc de Bellefonds, elle épouse en 1767 à Trinité (Martinique) Jean Blot

C.2. Louis III du Buc du Galion (1695-1765), écuyer, maître des habitations sucreries "La Caravelle" "Spoutourne" "Le Galion" , capitaine des grenadiers de milice, fondateur du château du Buc à La Caravelle. il épouse Marie Menant (1701-1772), fille de René Menant et de Marguerite Croisé, d'où ;

C.2.1. Louis (dit Louisy) du Buc du Galion ( °1726 au château du Buc à la Caravelle), écuyer, maître des habitations Spoutourne, La Caravelle, La Tartane, Le Galion, directeur sucrerie du Galion à Trinité. Il épouse Anne Charlotte de Saillans d'Esclans, infirmière, fille de Jean François de Saillans d'Esclans et de Charlotte Antoinette Barbier.

C.2.2. Pierre Balthazar du Buc de Bellefonds (1730-1786), écuyer, maître des habitations Le Galion, La Caravelle et Spoutourne et de l'Îlet Chancel. Il épouse Marie Elisabeth de Febvrier (1730-1792), fille François Lambert de Febvrier et de Jeanne Lopès du Rocher d'où ;

C.2.2.1. Charles Marie du Buc de Bellefonds (1760-1783) écuyer, cadet gentilhomme au régiment de Noailles.

C.2.2.2. Désirée Claire du Buc de Bellefonds, épouse d'Henri de Ravel, comte de Ravel, chef d'escadron.

C.2.2.3. Jean Louis du Buc de Bellefonds (1751-1771), écuyer

C.2.2.4. Jean Pierre Balthazard du Buc de Saint- Prix (1753-1802), écuyer, lieutenant des vaisseaux du roi, commissaire commandant de Trinité, propriétaire des habitations La Caravelle et Spoutourne. Il épouse Hélène Désirée Baillardel de La Reinty- Tholozan (1754-1847) d'où ;

C.2.2.4.1. Pierre Balthazard du Buc de Bellefonds (1777-1828), écuyer, épouse Anne Louise Félicité Dorient d'où ;

C.2.2.4.1.1. Louise Hélène du Buc de Bellefonds (1800-1829), épouse de Georges Marie Charles Yves de Quemper de Lanascol (1795-1852), vicomte de Lanascol, officier au régiment de cuirassier de la garde royale, fils de Joseph Jacques Yves marie de Quemper, marquis de Lanascol et de Julie de La Boissière-Lennuic.

C.2.2.4.1.2. Désirée Claire du Buc de Bellefonds (1801-1835), épouse de Xavier Casimir Henri de Ravel, vicomte, chef d'escadron, fils de Jean Baptiste de Ravel et de Perette de Persan.

C.2.2.4.1.3. Louis Eugène du Buc de Bellefonds (1805-1836), écuyer, officier du roi.

C.2.2.4.2. Anne Désirée du Buc de Saint- Prix (1790-1808), épouse Marie Joseph Gaigneron Jollimont de Marolles (1781-1850), fils de Charles Gaigneron de Marolles et de Louise Elisabeth des Vergers de Maupertuis.

C.2.2.4.3. Dorothée Hélène Marie Cécile (dite Dolly) du Buc de Saint- Prix (1797-1883), épouse de Barthélémy Nicolas Max de L'Horme, avocat, fils de Barthélémy de L'Horme et de Marie Joséphine de L'Horme.

C.2.2.5. Elisabeth du Buc de Bellefonds (1754-1803), épouse Louis Marie de Cillart de Villeneuve (1729-1805), écuyer, gentilhomme du roi, fils d'Etienne de Cillart de villeneuve, sgr de Villeneuve et de Françoise Guillemot.

C.2.2.6. Marie Anne du Buc de Bellefonds (1757-1826), épouse en 1ere noces Pierre Joseph de Montraboeuf- Razat, comte, tous deux propriétaires du château des Piquets à Juillac (Corrèze). En 2nde noces François Lambert de Laurencin, chevalier, fils de Germain de Laurencin et de Geneviève Jeanne de Febvrier.

C.2.2.7. Rose Aimée du Buc de Bellefonds du Galion, épouse de son cousin Félix André du Buc d'Enneville, écuyer, seigneur d'Enneville. D'où ;

C.2.2.7.1. Marie Anne Rose Aimée du Buc d'Enneville (+ 1802 à Paris), épouse en 1ere noces Henry de Rochemore, directeur général des fortifications des îles françaises d'Amérique, fils d'Henry de Rochemore et de Marie Joseph Claro. En 2nde noces, Maximilien Claude Joseph de Choiseul- Meuze, comte puis marquis de Meuze, fils de Maximilien Jean de Choiseul- Meuze et d'Anne Emilie Justine Paris de La Montagne. En 3eme noces, Claude Julien Aubin de Blanpré, fils de Julien Aubin et de Marie Anne de Laguarigue de Survilliers.

C.2.2.8. Aimée du Buc de Bellefonds (1756-1840), épouse en 1ere noces Jean Baptiste du Buc (1752- 1787), écuyer. En 2nde noces Gabriel Badon, assassiné en 1795, fils de François Badon et d'Angélique Drier.et en 3eme noces Benjamin Ducros.

C.3. Jacques 1er du Buc de Mondésir, écuyer , maître d'habitations sucrières, il épouse Marie Ursule Aubin de Blanpré, fille de François Aubin et de Marie Ursule Monnel. d'où ;

C.3.1. Rose Catherine du Buc de Mondésir

C.3.2. Jacques II du Buc de Mondésir (1750-1778), écuyer

C.3.3. Pierre V du Buc de Mondésir, écuyer

C.4. Anne du Buc, épouse en 1ere noces Jacques Gallet de Saint-Aurin, capitaine du port de Trinité (Martinique), propriétaire de l'habitation sucrerie Beauséjour, en 2nde noces Jacques Emmanuel des Vaux de La Martinière, chevalier de St Louis, commandant le bataillon du Fort-Royal.

C.5. Rose du Buc de Bellefonds, épouse de Jean Raffin, capitaine de milice à la Martinique.

Armes et devises

Famille du Buc (Normandie): D'or à la bande d'azur.

Famille en Berry, Martinique, Guadeloupe, Saint-Domingue, Haïti, Canada : D'argent à la bande d'azur.

Famille du Buc de Marcussy en Martinique (en 1701 réanoblissement de Pierre III du Buc) : d'azur à un sauvage d'or; au chef cousu de gueules chargé de trois dards d'argent psés en fasces.

Branche (réanoblissement en 1623 de Jean VI François du Buc-Richard du Paquerel) : D'azur à l'épée posée en pal à la poignée et garde d'or, enlacée d'une palme en laurier aussi d'or.

- Descriptifs armoiries : avec lambrequins de nobles gentilhomme, supports deux lévrettes, casque de gentilhomme anciennement chevalier, couronne de comte.

- Devise : "Per fas et nefas gloria obedience regalis in saeccula saeculorum pro mansia du Buc".

" Par toutes les voies royales, gloire et obéissance pour la maison du Buc"

- Cri d'armes : " Ab avis et armis"

Titres

La famille du Buc-Richard était titrée baron, marquis (titres de courtoisies) et comte du Buc (titre transmissible accordé par Louis XVIII le 22.10.1823 à la branche martiniquaise qui passe à la branche normande du Fontenil en 1868 par héritage primogéniture en conformité de l'acte de recognition familiale examiné par Chérin le 31.5.1782).

Baron de Bretagnolles (Eure) (titre de courtoisie) depuis 1543.

Comte (ordonnance du titre de comte le 22 octobre 1823 par le roi Louis XVIII, pour Louis François du Buc, intendant de la Martinique) titre transmissible par brevet royal et dignité. Confirmé le 8 octobre 1840 par ordonnance du roi Louis Philippe. Héritier le comte Jean baptiste César du Buc de Saint-Olympe (député de Saint-Domingue natif de l'île de la Martinique) et cousin du comte Louis François du Buc, puis dernier représentant de la Martinique, le comte Charles Henri Joseph du Buc de Marcussy en 1840. Ordonnance du 8 octobre 1840 à versailles, signé par le roi Louis Philippe d'Orléans ; "Louis Philippe, roi des français. A tous présents et à venir, salut. Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit: Après l'extinction de la branche martiniquaise des du Buc de Marcussy, Antoine du Buc né le 14 octobre 1785 à Lucy en Normandie et ses descendants seront reconnus comme héritiers pour relever le titre de comte du Buc par substitution à ce titre porté par Louis François du Buc, jean Baptiste César du Buc de Saint-Olympe, et actuellement porté par Charles Henri Joseph du Buc de Marcussy (*) selon requête de ce dernier adressé au roi et transmise par monsieur le duc Descazes le 2 de ce mois. Monsieur Antoine Du Buc acquiesçant."

(*) le fils héritier joseph Alfred du Buc de Marcussy souffrant d'une maladie dégénérative. renvoi approuvé.

Contresigné : Le Garde des sceaux, ministre et secrétaire d'état au département de la justice et des cultes

Marquis, porté par Messire Claude du Buc de Lauroy dans un acte du 3 janvier 1724 était irrégulier.

Possessions

Les châteaux : Criquebeuf-la-Campagne (manoir, Eure), Le Fontenil (Orne), de La Roche (Ollainville), de Lauroy (Clémont-sur-Sauldre), de Lommoye, de Flexanville, de Trouville-la-Haule (manoir, Eure), château de chissay, de Saint-Michel-de-Montaigne (Périgord), de Croisy-sur-Eure, de Hercès (Berchères-sur-Vesgres), Bretagnolles (manoir), La Haranguère (manoir), Graveron-Semerville (château de Crascouville), Montigny-le-Gannelon (château), Primard (château de Garenne-sur-Eure), Guainville (château), Habitation Grand Galion (Trinité, Martinique), La Caravelle (château habitation Trinité, Martinique), Pointe-Royale (Habitation Marlet, Le Robert, Martinique).

Personnalités

  • Pierre III du Buc (1640-1708), chevalier, sieur de La Caravelle (Trinité, Martinique), (exilé en 1657 pour avoir tué son cousin Antoine de Biencourt en duel), colonel de milice, chevalier de Saint-Louis (1706), planteur, anobli en 1701 par Louis XIV titres enregistrés en 1702 au conseil souverain de la Martinique, conseiller au conseil souverain.
  • Jean IX du Buc (1672-1739), Lieutenant colonel, chevalier de Saint-Louis (1706), planteur, chef des insurgés (Gaoulé 1717).
  • Louis François du Buc (1759), comte, chevalier, député de la Martinique, président de l'assemblée coloniale, président du conseil souverain de la Martinique, député de Paris.
  • Aimée du Buc de Rivéry (1776-1818), connue pour être la fameuse Sultane Validé de Turquie, fille de Henri Jacob du Buc de Rivéry, chevalier, et d'Anne Marie d'Arbousset-Beaufond.
  • Jean Baptiste du Buc de Ramville "dit le grand Du Buc" (1717-1795), chevalier, intendant des colonies, économiste, avocat, président de la chambre de commerce et d'agriculture de la Martinique, chef du bureau des colonies, industriel propriétaire des sociétés de raffinage" du Buc-Boucherie" et de grand fond Gallion (Trinité, Martinique).
  • Jean VI François du Buc-Richard (1600-1666), chevalier, Baron de Bretagnolles, seigneur du Fontenil, Flexanville, Coussé, du Paquerel etc, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, lieutenant des gardes du corps du duc d'Elbeuf, armateur, capitaine d'expédition. Epoux de Jeanne Lhuillier- Regnard.
  • Jean Baptiste César du Buc (1756-1834), Comte De Saint-Olympe, capitaine de milice, chevalier de Saint-Louis, avocat, procureur du roi, député de Saint-Domingue, intendant et administrateur de la Martinique et de la Guadeloupe.
  • Jacques Balthazard du Buc de Ramville (1758-1818), Chevalier, commandant de milice, député de la Martinique, chevalier de Saint-Louis, planteur sucrier.
  • Julien Antoine du Buc du Ferret (1719-1806), chevalier, député de la Martinique, industriel, exploitant concessions d'Oyapopck en Guyane pour la production de tabac en masse, propriétaire du château de La Roche à Ollainville (91).
  • André du Buc du Ferret (1762-1852), chevalier, lieutenant de vaisseau, capitaine de frégate, chevalier de Saint-Louis, industriel, député de la Martinique).
  • Pierre Daniel du Buc de Sainte-Preuve (1718-1788) , chevalier, député de la Martinique, industriel.
  • Jean François Robert du Buc-Richard (+1788) chevalier, seigneur de Lommoye, Flexanville et autre lieux. propriétaire du château de Lommoye.
  • Alexis du Buc (1638-1709) , religieux théatin, supérieur de la maison de Paris.

Pierre du Buc.jpg

Pierre III du Buc-Richard alias Pierre Dubuc (1640-1708)

chevalier, sieur de La Caravelle

Alliances famille du Buc (Normandie)

de Nollent (baron), de Guerros, Martel de Chambines, de Bréteval, de Vipart, de Bouquetot, Le Héricy de Creulet, Le Monnier, Du Croc de Villemoyen, Lhuillier-Regnard, de Cacqueray de Vadancourt, de Cacqueray de Brémont, de Sailly, de Biencourt (baron), de la Grouë de Huideville,de Sillans de Creullet, d'Erard de Ray (baron, marquis), Dupleix de Bacquencourt, de Baylens de Poyanne (marquis), Labbey d'Héroussart, de Taillebois, Brunet de Mannetot, Beuvin, Garbacz-Rzepecka, de La Brasserie de Livry, de Foulques, de Boiscuvier, Le Ber de Trouville, Des Mazis (Marquis)

Alliances famille du Buc de Marcussy (Martinique)

Blondeau du Clos, Jarday des Marinières, Le Boucher de Rivery, Monnel-Maucroix, Menant, Aubin de Blanpré, Des Vaux de La Martinière, Gallet de Saint-Aurin, de Saillant d'Esclan, de Febvrier, Baillardel de La Reintrie (baron), de Cillart de Villeneuve, de Montraboeuf de Razat, de Laurencin, Marcé, de L'Horme (baron), Quemper de Lanascol (vicomte), de Cambfort (baron), Birot de La Pommeraye, Raffin, du Querruy d'Arnouville, de La Croix, Front de Montozon de La Borde (comte), Chapiteau de Rémondias, d'Arbousset-Beaufond, Trézin de Cangey, Marlet, Le Vassor de La Touche-Tréville (comte), Deville, de Malet de La Glane (comte), de Malet de La Jorie (comte), Milius (baron), Le Vacher de Boisville, de Fleuriau, Bonne-Le Roy, Domergue, de Gaalon de Barzay (comte), de Choiseul-Meuze (comte, marquis), Houdan, du Change, de Faubournet de Montferrand, martin du Theil, Sirey Du Buc du Ferret, du Bois de Saint-Etienne, de Ravel, Thiroux d'Ouarville, Ranchin de Montarant, de Beauroyre, Papin de Lépine, de Bertille de Bovis, de Chancel de La Grange, Soudon, Rémy de Turique, de Gain de Montaignac (comte), du Chamge d'Elbeq (baron), Baudouin, Le Sueur de Mitry, de Ramaceul des Landes, David de Conflans, Langlois de Ramentières, de Gaudart d'Allaines, Lancelot du Lac de Montisambert

Référence.png Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes et notables à la fin du XIXe siècle, tome septième BRE-BUR, imprimerie Charles Hérissey et fils, 1903, pages 338 à 340 Buc de Marcussy (du) et à la suite Buc-Richard (du).

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes et notables à la fin du XIXe siècle, tome septième BRE-BUR, imprimerie Charles Hérissey et fils, 1903, pages 338 à 340 Buc de Marcussy (du) et à la suite Buc-Richard (du)
  • Oruno Denis Lara et Inez Fisher-Blanchet, , Éditions L'Harmattan, , 530 p. (ISBN 978-2-296-56123-6, lire en ligne [archive]), p. 74 et 75
  • Michel de Grèce, La nuit du Sérail, 1982
  • Yvan Brunet du Buc de Mannetot, Si la Martinique m'était contée à travers l'histoire des chevaliers du Buc de la Normandie à la Martinique... en passant par la Turquie, Paris, Éditions du Buc, Paris
  • Yvan Brunet du Buc de Mannetot avec la collaboration de Fabrice Renard-Marlet, la Saga des du Buc, Éditions du Buc, Paris, 2013
  • Cabinet des titres BNF, Paris, côte fr.32087 MF 21115 dossier 53 "du Buc de Marcussy, Isle Martinique, Normandie 177 T-preuve 53".
  • Archives nationales de France CARAN ANOM cote E143 n°42, Famille Du Buc.
  • Cabinet des titres cote E143 dossier personnel 241-148 A/FR CAOM06 COLE 241148A, Lettres patentes de Louis XVI le 31 mai 1782, port de blason et reconnaissance de parenté du Buc de Martinique et Normandie.
  • Cote A.N de F.CARAN Paris X1A 8790, f°232, lettres de confirmation de noblesse pour les descendants de Pierre III du Buc.
  • Famille du Buc, Nouveau d'Hozier, dossier n°74 MF 29497 cabinet des titres Paris.
  • AD Seine-Maritime, cote 3 B 24, f°138 v°, pages 138,139,140. anoblissement Jean VI François du Buc du Paquerel.
  • Armorial Général de France, registre de la noblesse, pages 761 à 782, cote BNF 929.609 44 HOZI à 1.2
  • Ouvrage du juge Charpillon, commune de Criquebeuf-la-Campagne (Eure) pages 892 et 893 volume I, 2eme partie, famille Du Buc-Richard.
  • Bulletin de la société historique et archéologique de l'Orne SHAO PER US 1/16 tome XVI pages 448 à 457.
  • "Guillaume d'Orange et les origines des Antilles Françaises" par le vicomte Du Motey
  • "Testament secret de Pierre III du Buc, rédigé en 1708" conservé aux archives privées de la famille du Buc (Normandie) sur histoire de son expatriation dû à son duel et le rapprochement de ses enfant avec leur famille Du Buc-Richard.
  • "Histoire générale des Antilles" par Adrien Dessalles, 1847.
  • "Voyage aux îles de l'Amérique" par le père Jean baptiste Labat ,1722
  • "Maintenue de noblesse pour la branche cadette famille du Buc représentée par Robert Du Buc de Lommoye" par M.Clairambault, procureur du roi, F°121 verso.M.s.1222 BHVP.
  • " La Croix de Saint-Louis pour Pierre III du Buc" lettre du 10.11.1706 (archives nationale F°134-135 C8A16) du sieur Mithon Jérôme Phélypeaux, comte de Pontchartrain, secrétaire d'état à la marine et ses colonies.
  • " Croix de Saint-Louis à Julien Antoine du Buc du Ferret" aux Archives nationales réédition 2001, registre de l'ordre de Saint-Louis de 1814 à 1830, f°73 archives de la marine.
  • "Le château du Fontenil" Editions du Buc, paris 2017 par Y.Brunet du Buc de Mannetot et Philippe Lherminier.
  • "Dictionnaire topographique de Seine-Maritime du XIXe" aux AD de Rouen par Charles de Beaurepaire, sur la seigneurie du Paquerel (Saint-Georges dur Fontaine).
  • "Nobiliaire universel de France, recueil général des généalogies" par Nicolas Viton de Saint-Allais (1773-1842) qui authentifie les alliances entres les familles de petite noblesse d'iville (Eure) , Lhuillier / Regnard.
  • Cabinet des titres, BNF site Richelieu Paris, Titres et preuves de noblesse pour "Pierre III du Buc et ses descendants", Nouveau d'Hozier dossier n°74, sous-dossiers 1393 et 1395.MF29497.