Familles d'Estienne

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Cet article présente l'histoire de différentes familles de la noblesse française portant le patronyme d'Estienne mais dont l'origine commune ne fait pas l'objet d'un consensus[1][2][3].

Famille Estienne olim Cohen à Aix-en-Provence

En 1493, à Aix en Provence les trois frères néophytes[4], Claude, Honnorat et Jean Estienne, fils de Gabriel Cohen et de Joyce de Verdenia et issus de l'ancienne communauté juive d'Aix-en-Provence[5], s'appelaient respectivement Jacob, Peres et Josse Gabriel-Cohen[6].

Famille d'Estienne de Saint-Jean

Origines

Cette famille a pour auteur Peres Gabriel Cohen, marchand à Aix en Provence au XVe siècle, fils de Gabriel Cohen et de Joyce de Verdenia, qui changea son nom en Honoré Estienne après sa conversion à la religion catholique[7].

Il épousa Marguerite d’Antoine dont il eut quatre fils dont trois : Jean, Monnet et Louis furent les auteurs de trois grandes branches[1][8].

Branches

Branche de Saint-Jean de Prunières

  • Jean d’Estienne (l'aîné), seigneur de Saint-Jean de la Salle (décédé en 1584), épousa en 1527 Antoinette de Meyran d’Ubaye. Il fut élu en 1560 consul d’Aix et procureur du pays. Sa descendance se fixa en Dauphiné et forma la branche dite « d’Estienne de Saint-Jean de Prunières »[8][1].

Branche de Peissonel et de Blégier

  • Monet d’Estienne (le second), épousa Anne Fresquière. Ses deux fils André et Thomas furent les auteurs de deux rameaux dits « d’Estienne-Peissonel » et « d’Estienne-Blégier » qui semblent s’être éteints à l’époque de la Révolution[8][1].

Branche d’Orves

  • Louis d'Estienne (le troisième), aurait épousé Gabriel de Trans et serait décédé en 1563. Sa descendance forma les rameaux dits « d'Estienne de Saint-Jean », « d'Estienne de Châteauvieux » et « d'Estienne d'Orves »[1][8].

Noblesse

  • La branche de Saint-Jean de Prunières a été anoblie par charge de président à mortier au Parlement de Provence en 1572[8].
  • La branche d’Orves a été anoblie par charge de président-trésorier général de France en Provence en 1639[8].

Personnalités

Écclésiastiques

  • Étienne-André d’Estienne, décédé à Aix le 5 juin 1580, nommé par le roi Charles IX d’abord archevêque d’Aix en 1567, puis évêque de Gap en 1568 et enfin évêque de Béziers en 1572, mais il ne reçut jamais ses bulles[9].
  • François d'Estienne de Saint-Jean de Prunières, dernier évêque de Grasse (de 1752 à la Révolution)[1].
  • Antoine-Alexandre d’Estienne de Saint-Jean, comte de Prunières, camérier secret de S.S. Pie IX en 1859[10], député conservateur et conseiller général des Hautes-Alpes[1].

Militaires

  • Joseph d'Estienne, chevalier de Saint-Louis, capitaine dans le régiment de Talard[11].
  • Henri Balthazar d’Estienne de Saint-Jean, comte de Prunières, maréchal de camp, lieutenant-général de Louis XVIII lors de l’organisation royale du Midi[1].
  • Honoré d’Estienne d’Orves, officier de marine, héros de la Seconde Guerre mondiale, considéré comme le premier martyr de la Résistance, mort pour la France.

Parlementaires et politiques

  • François d’Estienne, seigneur de Saint-Jean de la Salle et de Montfuron, époux d’Honorée de Pontevès-Buoux, décédé à Aix en 1594, président aux enquêtes du parlement de Paris, puis président à mortier au parlement de Provence, « grand par ses emplois, son alliance, son éminent savoir et les qualités de son esprit ». A sa mort, « la pompe funèbre fut faite avec une magnificence extraordinaire »[12].
  • Gabriel d’Estienne de Saint-Jean, seigneur de Prunières, président à mortier au parlement de Provence[1].
  • François d’Estienne de Saint Jean de Rosset, seigneur de Vaugine, président aux enquêtes du Parlement de Grenoble[1].
  • Antoine-Alexandre d’Estienne de Saint-Jean, comte de Prunières, camérier secret de S.S. Pie IX en 1859, député conservateur et conseiller général des Hautes-Alpes[1].

Autres

  • Scipion d'Estienne de Montfuron, chevalier, gentilhomme de la Chambre de Louis XIII[1].
  • François de Montfuron, aussi chevalier, gentilhomme de la chambre de Gaston d’Orléans[10].
  • Nicolas d'Estienne d'Orves, né en 1974, écrivain et journaliste, lauréat de nombreux prix littéraires.

Alliances

Les principales alliances de la famille d'Estienne de Saint-Jean sont : d’Aymar (de Châteaurenard), de Pontevès (1575), de Castellane, de Forbin, de Moreton de Chabrillan, d'Alleman, d'Albon, de Frévol de Ribains, de Castillon, de Bougerel, de Cipriani, de La Tour du Pin Montauban (1784), de Miollis (1797), de Rostaing (1819), de Pelletier de la Garde (1834), de Tourtoulon (1860), de Beaumont d’Autichamp (1863), de Ferré de Péroux (1894), de Lorgeril (1904), etc.

Armes

  • d'Estienne de Saint-Jean, de Prunières et d'Orves : De gueules à la bande d’or, accompagnée en chef d'un gland d’or, tigé et feuillé du mesme, et en pointe d'un besan aussi d'or ; au chef cousu d'azur chargé de 3 étoiles d’or[1]

Devises : Fluere desinet unquam[13] ; Folium non defluet unquam[14]

Supports : deux sauvages (alias deux griffons) d’or[10]

Cimier : un casque à trois plumes tourné de face[10]

Timbre : couronne de marquis[14]

Famille d'Estienne du Bourguet et de Saint-Estève

Origines

Selon Danièle Iancu-Agou cette famille a pour auteur Jacob Gabriel Cohen, marchand à Aix en Provence au XVe siècle, fils de Gabriel Cohen et de Joyce de Verdenia, qui changea son nom en Claude Estienne après sa conversion à la religion catholique[7]. Gustave Chaix d'Est-Ange écrit que Barcillon croit qu'elle est une branche détachée à une époque inconnue de la famille d'Estienne de Saint-Jean[2]. D'autres sources précisent que Claude Estienne est le frère d'Honoré Estienne, auteur des branches de Saint-Jean et d'Orves[7][15][16][17].

Branches

Claude Estienne fut père de Philibert, bourgeois et marchand mercier à Aix-en-Provence, né à Aix vers 1500, mort à Aix le 31 mai 1572, qui épousa le 15 mai 1524 Beatrix Autran[18], dont :

  • Etienne, qui épousa d'abord par contrat du 8 janvier 1540 Marguerite de Saint-Jacques, puis Louise du Bourg[18] [8], fut reçu contrôleur général des finances en 1569 et acquit, le 20 mai 1583, la seigneurie de Villemus. Il fit son testament le 18 mai 1606[2]. Il est l'auteur de la branche de Villemus et de la Galinière éteinte au début du XVIIIe siècle[2]. Son fils Philibert suit :
    • Philibert d'Estienne, seigneur de Villemus (1569 - 1602), conseiller au Parlement de Provence (13 février 1593), marié à Anne de Bermond-Pennafort[19]
  • Joseph, seigneur du Bourguet (+ 1603), greffier civil en chef au Parlement de Provence (le 22 septembre 1582), marié à Honorade de Guérin, qui fait la souche de la branche du Bourguet[17].

Extinction

La famille d'Estienne du Bourguet est donnée pour éteinte par Chaix d'Est-Ange avec la mort en 1875 de Guillaume-Auguste d'Estienne de Gaufridy du Bourguet, baron de Saint-Estève[2].

Pierre-Marie Dioudonnat indique des porteurs du nom à l'époque contemporaine et écrit : « La famille d'Estienne du Bourguet qui appartenait à la noblesse provençale s'est éteinte au XXe siècle. Celle qui subsiste actuellement à Paris sous ce nom portait encore au début du XXe siècle, celui de Dubourguet. alliances : Kunz, Gunéné (1940), Trappy.»[20][21]. Maurice Léo Delcer de Puymège donne une filiation d'une descendance naturelle reconnue dans Les vieux noms de la France méridionale et centrale[17].

Descendance naturelle reconnue sous le nom Dubourguet

  • Jean-Baptiste d'Estienne du Bourguet (né le 25 février 1760 à Aix-en-Provence et mort le 25 février 1821 à Aix-en-Provence)[22], ancien officier de marine puis professeur de mathématiques. Il reconnut « par acte déposé à la mairie du 12e arrondissement de Paris en date du 14 avril mille huit cent vingt-trois » Jean-Baptiste Théodore Poulet, « fils naturel de Marie Philippine Françoise Poulet »[23], né le 7 janvier 1805 à Paris 12e[24].
    • Jean Baptiste Théodore Poulet puis Dubourguet (« le comparant n’a pris le nom de Dubourguet que depuis qu’il a été reconnu par acte déposé à la mairie du 12e arrondissement de Paris en date du 14 avril mille huit cent vingt-trois »)[23], « apprenti-horloger, âgé de 26 ans et plus. Né à Paris et que depuis qu’il est sorti du service militaire il n’a acquis de domicile ni pris de résidence nulle part, attendu qu’il n’a fait que voyager et qu'il désire prendre son domicile à Montigny où il réside depuis quelques temps »[23], marié à Montigny-La-Resle (Yonne) le 4 octobre 1831 avec Rose Marie Madeleine Darlot, fille de Louis Darlot, laboureur et de Marie Madeleine Lombard[23]. Il devint épicier à Montigny-La-Resle (Yonne)[25]. Mort le 4 août 1879 à Montigny-La-Resle (Yonne)[26]. Dont :
      • Edme Théodore Dubourguet, né le 24 septembre 1832 à Montigny-La-Resle (Yonne)[25]. "Employé, demeurant à Paris, rue Bellefond". Marié à Eugénie Merle[27]. dont:
        • Eugène Dubourguet, né le 3 mars 1860 à Montigny-La-Resle (Yonne)[27].
      • Jean-Baptiste Théodore Dubourguet, né le 22 décembre 1833 à Montigny-La-Resle (Yonne)[28], mort le 24 Janvier 1834 à Montigny-La-Resle (Yonne)[29].
      • Honorine Louise Dubourguet, née le 1er mars 1835 à Montigny-La-Resle (Yonne)[30], morte à Montigny-La-Resle le 07 mars 1835.
      • Amable Sébastien Dubourguet, né le 6 février 1836 à Montigny-La-Resle (Yonne)[31]. Marchand de faïences, domicilié 21 rue St Jacques, Paris 5e, marié le 9 Septembre 1862 à Paris 5e à Marie Elise Ciolino[32].
      • Marie Elisabeth Dubourguet, née le 19 novembre 1837 à Montigny-La-Resle (Yonne)[33].
      • Marie Séverine Dubourguet, née le 22 octobre 1840 à Montigny-La-Resle (Yonne)[34].
      • Léon Dubourguet, né le 26 mai 1845 à Montigny-La-Resle (Yonne) (jumeau du suivant)[35]. Prêtre.
      • Jules Dubourguet, né le 26 mai 1845 à Montigny-La-Resle (Yonne) (jumeau/cadet de précédent). Fabricant d'encrier puis marchand de bois, demeurant à Paris, 23 rue Michel Lecomte, marié 1) le 14 mai 1870 à Paris 6e à Nelly Eugénie Jupin[36]; 2) le 29 mai 1912 à Paris 3e avec Emma Emerance Dantin (veuve Desbiens)[37].

Noblesse

La famille d'Estienne du Bourguet et de Saint-Estève a été anoblie au XVIe siècle par l'office de contrôleur général des finances en Provence en 1569 et celui de greffier civil en chef du parlement d’Aix en 1582[38], fut maintenue en sa noblesse par arrêt des commissaires du roi du 20 février 1669 et par arrêt confirmatif du conseil d'état du roi du 5 novembre 1677, enregistrés au parlement d'Aix par ordonnance du 13 juillet 1678[39].

Personnalités

Militaires

  • Jean-Baptiste d'Estienne de Villemus, capitaine d'une compagnie de 100 hommes de guerre[40].
  • Louis d'Estienne, seigneur de Villemus, chevalier de Saint-Louis, colonel d'infanterie, marié à Marie-Thérèse de Blacas[11].
  • Jean-Baptiste d'Estienne du Bourguet (1760-1821), d'abord capitaine de vaisseau, puis professeur de mathématiques au Prytanée Français à Paris et plus tard professeur d'hydrographie à Dieppe.
  • Louis-Jules d'Estienne du Bourguet (1771-1834), ancien officier, maire d'Aix de 1815 à 1830, décédé en 1834, qui épousa en 1811 Anne Grandin de Salignac et qui en laissa une fille, Sixtia-Julia-Polixane d'Estienne du Bourguet, née en 1817 et décédée à Aix en 1891[2].
  • Guillaume-Auguste d'Estienne de Gaufridy du Bourguet, baron de Saint-Estève, né à Aix le 3 mars 1785, officier, chevalier de la Légion d’honneur, garde d’honneur du département du Var en 1813, maire d’Auriac[41].

Parlementaires et politiques

  • Étienne d'Estienne du Bourguet, conseiller au parlement de Provence en 1650, décédé en 1666[2].
  • Pierre d'Estienne, seigneur du Bourguet, fils du précédent, né à Aix le 29 juin 1653, marié à Anne de Richery, décédé en 1707, conseiller au parlement de Provence en 1682[2].
  • Jean-Pierre d'Estienne, seigneur du Bourguet (1685), fils du précédent, conseiller au Parlement de Provence, marié le 5 décembre 1731 à Trets avec Anne-Ursule de Gaufridy (1699-1774), fille de Jacques-Joseph de Gaufridy, baron de Trets, avocat-général du roi au Parlement de Provence. Le dernier Gaufridy, fils de l’avocat-général, fit héritier de ses biens son neveu d'Estienne, conseiller au parlement, à la charge de porter le nom et les armes de Gaufridy[42].
  • Pierre-Guillaume d'Estienne de Gaufridy, baron de Saint-Estève, seigneur du Bourguet, de Lagneros et d'Auriac[41][43], fils du précédent, conseiller au parlement de Provence en 1759[2].
  • Jean-Baptiste-Guillaume d’Estienne de Gaufridy (1758-1831), baron de Saint-Estève, fils du précédent, conseiller au parlement de Provence en 1778, maire de Barjols et président de l'assemblée du canton en 1813[41].

Alliances

Les principales alliances de la famille d'Estienne du Bourguet et de Saint-Estève sont : Dupérier (1584), de Chaylan de Moriés, de Vintimille du Luc, de Rabasse (1652), de Blacas d'Aulps (1674), de Gaufridy (1731), de Pontevès, de Reinaud de Fontvert, de Félix (1757), de Gaillard de Longjumeau, Grandin de Salignac (1811), d’Arcussia, d'Arlatan, d'Autrans, de Castillon, de Cordoue, d'Espagnet, de Glandevès, de Grimaldi de Beuil, de Jarente, Levêque de Vilmorin, de Montrichard, de Riquet de Caraman, de Remerville, de Reynard d’Avançon, de Rousset de Prunières, de Saint-Jacques, de Villeneuve, etc.

Armes

  • d'Estienne du Bourguet, de Villemus et de Saint-Estève : D'azur à une fasce d'or accompagnée de trois besants d'argent, deux en chef et un en pointe[2]

Devises : Fluere desinet unquam[13] ; Folium non defluet unquam[14]

Supports : deux sauvages (alias deux griffons) d’or[10]

Cimier : un casque à trois plumes tourné de face[10]

Timbre : couronne de marquis[14]

Famille d'Estienne (de Chaussegros de Léry)

La famille d'Estienne Chaussegros de Léry croyait être une branche détachée à une époque inconnue de la famille d'Estienne de Lambesc ou tout au moins de la famille de Chaussegros de Lioux qui se fondit en 1501 dans la famille d'Estienne de Lambesc.

Cette famille se serait éteinte avec la mort de Gustave, vicomte de Léry, en 1850. Elle portait : d’azur à une botte d’or, éperonnée d’argent, posée en pal et soutenue de la partie haute d’une tour crénelée de quatre pièces de même et un chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d’or[44].

Famille d'Estienne (de Lambesc, de Lioux - à l'origine d'une grande lignée d'imprimeurs)

Les généalogistes font descendre la famille d’Estienne de Lioux d’une famille d’une même nom qui appartenait au moyen âge à la noblesse de la petite ville de Lambesc. Pierre d’Estienne (Stephani), de Lambesc, auquel ils font remonter la filiation, fut créé chevalier et exempté de la taille en 1307 par lettres de Charles II, roi de Sicile et de Jérusalem, comte de Provence, attendu qu’il tirait sa noblesse d’ancêtres chevaliers. Cette famille porte : d'azur à trois bandes d'or[3].

La famille d’Estienne d’Aix-en-Provence revendique une origine commune avec cette famille d’Estienne de Lambesc. Cette communauté d’origine, acceptée par quelques auteurs anciens, est rejetée par la plupart des généalogistes, notamment Robert de Briançon, Artefeuil et Lainé. Le général marquis de Lioux, décédé en 1888, reconnaissait cependant cette famille d'Estienne comme ses parents[1].

Référence.png Notes et références

  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 et 1,13 Estienne de Saint-Jean de Prunières, de Saint-Jean d'Orves de Chateauvieux et de Saint-Jean (d').
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 2,8 et 2,9 Estienne du Bourguet et de Saint-Estève (d').
  3. 3,0 et 3,1 d'Estienne de Lambesc
  4. Béatrice Leroy, ‎Jean Pierre Barraqué, ‎Véronique Lamazou-Duplan, Minorités juives, pouvoirs, littérature politique en péninsule ibérique, France et Italie au Moyen Âge, Atlantica, 2006, page 281, titre chapitre.
  5. Béatrice Leroy, ‎Jean Pierre Barraqué, ‎Véronique Lamazou-Duplan, Minorités juives, pouvoirs, littérature politique en péninsule ibérique, France et Italie au Moyen Âge, Atlantica, 2006, page 281, titre chapitre.
  6. Béatrice Leroy, ‎Jean Pierre Barraqué, ‎Véronique Lamazou-Duplan, Minorités juives, pouvoirs, littérature politique en péninsule ibérique, France et Italie au Moyen Âge, Atlantica, 2006, page 281.
  7. 7,0 7,1 et 7,2 Danièle Iancu-Agou, L'expulsion des Juifs de Provence et de l'Europe méditerranéenne (XVe-XVIe siècles): exils et conversions, Peeters Publishers, 2005.
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 8,5 et 8,6 Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, tome 3, pages 306, 308, 309.
  9. H. Fisquet, La France pontificale, 1864, volume 1, page 141
  10. 10,0 10,1 10,2 10,3 10,4 et 10,5 Borel d’Hauterive Annuaire de la noblesse de France, 1862, volume 19, page 241
  11. 11,0 et 11,1 Marie Zéphirin Isnard, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Basses-Alpes, Archives civiles, Série B, 1908, pages 360, 427 et 697
  12. Louis Moréri, Supplément au grand dictionnaire historique et géographique, volume 2, page 716
  13. 13,0 et 13,1 J.H. Willems, H. Lamant, J.-Y. Conan Armorial français, 1973, volume 10, page 321
  14. 14,0 14,1 14,2 et 14,3 J.H. Willems, H. Lamant, J.-Y. Conan Armorial français, 1978, volume 11, page 280
  15. Lettres de Léon de Berluc-Pérussis à Paul Mariéton (1882-1902), Éditions Ophrys, 1957, page 213
  16. Scipion du Roure, Les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise,1923, T III, page 151
  17. 17,0 17,1 et 17,2 Maurice Albert Léo Delcer de Puymeges, Les vieux noms de la France méridionale et centrale, 1981, page 357.
  18. 18,0 et 18,1 Gabriel Audisio, Religion et identité: actes du colloque d'Aix-en-Provence octobre 1996, Publications de l'Université de Provence, 1998, page 101.
  19. Fleury Vindry, Les parlementaires français au XVIe siècle, H. Champion, 1910, page 45.
  20. Pierre Marie Dioudonnat, Le Simili Nobiliaire français, Editions Sedopols, 2002, page ]
  21. Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, 1994, page 274
  22. [ http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vtabe1f80daedd731bc/daogrp/0/16 Etat-civil en ligne des Bouches-du-Rhône, Aix-en-Provence, 1821, folio 16/113 acte n° 117 : acte de décès le 25 février 1821 de Jean-Baptiste d’Estienne Dubourguet.]
  23. 23,0 23,1 23,2 et 23,3 Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1831, folio 129/202 : acte de mariage le 4 octobre 1831 de Jean Baptiste Théodore Dubourguet fils naturel de Jean-Baptiste d’Estienne Dubourguet, homme de lettres, ancien capitaine de vaisseaux, chevalier de Saint-Louis, demeurant et décédé à Aix, et de Marie Philippine Françoise Poulet, demeurant et décédé à Paris avec Rose Marie Madeleine Darlot, sans profession, âgée de vingt ans, née et demeurant chez son père à Montigny, fille de Louis Darlot, laboureur et de Marie Madeleine Lombard.
  24. Archives de la Ville de Paris, Etat-civil reconstitué, V3E/N page 23/51 : naissance de Jean Baptiste Théodore Poulet le 7 janvier 1805 à Paris 12e.
  25. 25,0 et 25,1 Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1832, folio 23/202 : acte de naissance le 25 octobre 1832 d'Edme Théodore Dubourguet.
  26. en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1879, folio 250/291 : acte n° 14 : acte de décès le 4 août 1879 de Jean Baptiste Théodore Dubourguet fils naturel de Jean-Baptiste d’Estienne Dubourguet et de Marie Philippine Françoise Poulet, marié à Rose Marie Madeleine Darlot.
  27. 27,0 et 27,1 Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1860, folio 24/277 : acte de naissance le 3 mars 1860 d'Eugène Dubourguet.
  28. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1833, folio 31/202 : acte de naissance le 22 décembre 1833 de Jean-Baptiste Dubourguet.
  29. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1834, folio 184/202 : acte de décès le 24 janvier 1834 de Jean-Baptiste Théodore Dubourguet.
  30. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1835, folio 41/202 : acte de naissance le 1er mars 1835 d'Honorine Louise Dubourguet.
  31. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1836, folio 49/202 : acte de naissance le 8 février 1836 d'Amable Sébastien Dubourguet.
  32. Etat-civil en ligne de Paris : 1862, mariages Paris 5e V4E 514, folio 2/31 acte n° 688 : acte de mariage le 9 septembre 1862 d'Amable Sébastien Dubourguet avec Marie Elise Ciolino.
  33. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1837, folio 59/202 : acte de naissance le 20 novembre 1837 de Marie Elisabeth Dubourguet.
  34. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1840, folio 18/207 : acte de naissance le 22 octobre 1840 de Marie Séverine Dubourguet.
  35. Etat-civil en ligne de L'Yonne, Montigny-La-Resle, 1845, folio 45/207 : acte de naissance le 27 mai 1845 de Léon Dubourguet et Jules Dubourguet, jumeaux.
  36. [ Etat-civil en ligne de Paris : 1862, mariages Paris 6e V4E 760, folio 25/31 acte n° 302 : acte de mariage le 14 mai 1870 de Jules Dubourguet avec Nelly Eugénie Jupin.]
  37. Etat-civil en ligne de Paris : 1912, mariages Paris 3e 3M 219, folio 6/22 acte n° 521 : acte de mariage le 29 mai 1912 de Jules Dubourguet avec Emma Emerance Dantin
  38. P. Louis Lainé,Dictionnaire véridique des origines des maisons nobles ou anoblies du royaume de France, volume 1, 1818, page 417
  39. Henri Gourdon de Genouillac, Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône, 1863 page 79
  40. Scipion du Roure, Les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise,1923, T II, page 781
  41. 41,0 41,1 et 41,2 Grands notables du premier Empire, par Pierre Arches, Louis Bergeron, EHESS, Centre National de la Rechercher Scientifique, 1988, page 79
  42. Roux-Alphéran, Les rues d'Aix, 1848, T I, page 59
  43. La Provence au service du roi, 1637-1831, Frédéric d'Agay, 2011, T II, page 241
  44. d'Estienne de Chaussegros de Léry

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