Familles Selve

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Cet article étudie l'histoire du patronyme Selve, ses variantes et ses descendances.

Patronymes

  • Selve(s), de Selve(s), de Selve de Sarran
  • de Selve de Sarran de Bity
  • de Selve de Plaçon
  • de (La) Selve de Saint-Avit, Laselve de Saint-Avit
  • Laselve, La Selve, de (La) Selve
  • Selve de Cambefort
  • Laselve du Chassaing
  • Selve du Fain, La Selve du Fain
  • de Selve de Monteruc
  • von Selve

Généalogie

  • D’après certains historiens remontant l’origine de cette famille au Xe siècle à un fondateur d’Ardres en Picardie, invoquant une alliance Canillac ; mais triste constatation à faire, on ne saisit de la part de nos Selve nulle fondation pieuse ou charitable au pays, aucun souvenir consacré à leur berceau.
  • 1.1 Jean de Selve, Chanoine de l’Eglise cathédrale de Clermont en 1467, vicaire général et official de Limoges de 1473 à 1482.
  • 1.2 Fabien de Selve, Seigneur du Breuil, alias Mespial-Haut (sur la commune de Gumond), 19320, (département de Corrèze, par achat de cette seigneurie en deux achats partiels en 1457 et 1459. Lieutenant de la compagnie des gendarmes du comte de La Marck, Gouverneur d’Auvergne, notaire royal à Laroche Saint-Maur avant 1455, testa en 1479, marié 2 fois (dont 14 enfants) : A) à Martiale de Couderc (7 enfants), puis B) à Marguerite Dunsac (ou Misac ?) de la Charlanne (7 enfants) :
  • (Certains lui attribuent pour épouses : Lucrèce de Canillac, veuve Lubersac et Élisabeth de Baudeny dont dix enfants. Il n’est pour le moment pas possible de déterminer l’ordre des 2 mariages, l’ordre de naissance des enfants et pour certains le nom de leur mère.)
  • A) Fabien de Selve et Martiale de Couderc (D’Espagnac ou de Clergoux, Corrèze ?), dont 7 enfants, 2 fils et 5 filles : Jean, Jean, Jeanne, Jeanne, Jeanne, Jeanne et x (fille)
  • 1.2 A 1 Jean de Selve, notaire royal à Laroche en 1482, † 1505 ou 1507. Marié à ?, dont 1 fils et 4 filles (Pas de descendance dans cette branche) :
  • 1.2 A 1.1 Jean de Selve, dit de la Barrière, curé de Gros-Chastang, 19320, Corrèze, testa en 1550.
  • 1.2 A 1.2 Léonarde de Selve, mariée à Guillaume Chieze, notaire.
  • 1.2 A 1.3 Jeanne de Selve
  • 1.2 A 1.4 Catherine de Selve
  • 1.2 A 1.5 Jeanne de Selve
  • 1.2.A 2 Jean de Selve, dit l’Argentacois en 1505, notaire royal et marchand à Argentat, 19400, (1497-1507), marié à ??, dont 5 enfants, 2 fils et 3 filles :
  • 1.2 A 2.1 François de Selve, Seigneur d’Enval, Pompinhac, bachelier ès-lois, testateur en 1563 ou 1565, se fixa à Brive, marié à Jeanne de Rambert, fille héritière générale de son père Jacques de Rambert. Dont :
  • 1.2 A 2.1.1 Jeanne de Selve, Dame d’Enval, mariée vers 1560 à Sébastien Juyé (son cousin germain, fils d’Antoine Juyé, seigneur de la Marque, mort en 1539, et de Jeanne de Selve 1.2 B 11, sœur de Jean de Selve 1.2 B 8, premier président du parlement de Paris), né en 1504 ou 1530 julien ?, seigneur d’Enval (Brive), de la Marque, Dampniat (ou Dampnhac ?), Thémines, gentilhomme valet de chambre ordinaire de la chambre du roi, ambassadeur en Espagne, décédé avant le 18 octobre 1582 julien (28 octobre 1582) date du contrat de mariage de sa fille unique : Jeanne de Juyé, fille unique et héritière de feu son père, mariée à Agnet de Lestang, seigneur de Cosnac, Linoire, Creïsse. Jeanne juyé testa à Brive le 14 janvier 1639 et décéda le 17 février 1642 à Brive, 19000, Corrèze. En 1614, elle possédait le domaine dit aussi La Marque dans Argentat.
  • 1.2 A 3 Jeanne de Selve, mariée en 1479 à Jean de Cheissac.
  • 1.2 A 4 Jeanne de Selve, mariée en 1471 à Jean Bodet dit Bordas ?.
  • 1.2 A 5 Jeanne de Selve, mariée en 1479 à Pierre Durand.
  • 1.2 A 6 Jeanne de Selve, mariée à Jean Borie (documents en 1486 et 1499).
  • 1.2 A 7 ?
  • B) Fabien de Selve et Marguerite Misac de la Charlanne (Hautefage ?, Lapleau ?), dont 7 enfants :
  • 1.2 B 8 Jean de Selve, (huitième enfant, 1er du second mariage de Fabien de Selve ?), né en 1465 ou le 17 avril 1475 ?, dans le Bas Limousin d’oû sa famille était originaire, Seigneur de Cromières (à Cussac, Haute Vienne, châtellenie achetée 20.000 Livres à Antoine de Pompadour en 1515 et dont il prit quittance finale en 1519), de Villiers-le-Châtel, et de Duisans, (autrefois D’Huison, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny le 28 juin 1803 (10 prairial an XII)), de Cerny, Belesbat, Vayres (Vayres-sur-Essonne) (département|Essonne)
  • Ayant de l’inclination pour les lettres, quitta la profession des armes que son père avait suivie, pour s’adonner à l’étude de la jurisprudence comme boursier à Paris.
  • D’abord Gérant de droit puis Conseiller au parlement de Languedoc, avant 1500 et avant sa trentième année, puis conseiller au Parlement de Paris, ambassadeur en Angleterre, fut chargé au commencement de 1474, avec le Duc de Longueville et Thomas Bohier, des négociations qui aboutirent le 7 avril 1474 à la signature du traité de Londres entre Louis XII de France et Henri VI d’Angleterre, à son retour le roi Louis XII le nomma Président de l’échiquier de Normandie à Rouen (Parlement de Normandie) (lors de son érection par ce prince en 1499), où il fut reçu le 1er octobre 1499. Il exerça cette charge jusqu’au 2 mars 1507, date à laquelle il fut élevé à celle de Premier Président du Parlement de Normandie, à la place de Geoffroy Hébert, Evêque de Coutances et il exerça cette fonction jusqu’en 1514, pendant lequel temps il fut chargé par le roi de diverses négociations et ambassades en Angleterre comme il appert par les registres de ce même parlement.
  • François Ier l’honora de sa confiance comme il est prouvé par les lettres de ce monarque au nombre de plus de cent cinquante. Il lui donna en 1514 les provisions de la place de Premier Président du Parlement de Bordeaux le 25 mai 1515, il eut pour successeur François de Belcier, Chevalier, seigneur de Saint-Germain.
  • Pendant ce temps, le roi ayant conquis le duché de Milan en 1515, lui confia une mission qui exigeait tout à la fois du jurisconsulte et de l’homme d’état, celle d’établir l’autorité de la France dans le Milanais avec la présidence de la cour de justice et le titre de Vice-Chancelier. Par lettres de François Ier du 28 décembre 1515, celui-ci permet à Jean de Selve de tenir et exercer l’office de Premier Président du Parlement de Bordeaux avec celui de Vice-Chancelier de Milan et à continuer de toucher les gages de cet office, même en son absence, gages se montant alors à 1450 Livres tournois par an. Enregistrées par les trésoriers le 15 janvier 1516, ordonnance par délibération de la cour du parlement de Bordeaux du 13 février 1517 pour faire payer au dit Jean de Selve les gages dûs. Lorsque cet Etat se fut soustrait à la domination de ce prince, il revint à en France où il continua ses fonctions ordinaires.
  • Lorsque François Ier eut été fait prisonnier à la bataille de Pavie en Italie, le 24 février 1525, Louise de Savoie, sa mère et régente le choisit pour aller à Madrid traiter de sa délivrance avec l’empereur Charles-Quint. Il y fut envoyé avec François de Tournon, Evêque d’Embrun, depuis Cardinal, et Philippe Chabot, Baron de Brion ; mais c’est lui qui était chargé des plus secrètes instructions.
  • Après avoir heureusement exécuté le traité de Madrid, signé le 14 janvier 1526, il fut honoré de la place de Premier Président du Parlement de Paris en 1520. Lorsque les ambassadeurs de Charles-Quint vinrent réclamer la cession de la Bourgogne, qui était une des conditions du traité, il leur répondit, à la tête de sa compagnie : Le dit seigneur roi ne peut aliéner le dit Duché ; car il est obligé d’entretenir les droits de la couronne, laquelle est à lui, et à ses peuples et à ses sujets communs.
  • Le roi lui donnait le 29 mars 1525, 20.000 Livres pour services en Italie et dans ses missions (Catalogue des actes de François Ier, tome V).
  • Et pour le remercier de sa libération, vers 1527, François Ier lui donna le château et le fief de Villiers, près de Cerny :
  • Le château de Villiers, l’un des plus anciens de Seine-et-Oise. Après avoir appartenu à Adèle ou Alix de Champagne qui le réunit à la couronne de France par son mariage avec |Louis VII le jeune (dont ce fut la troisième épouse), en 1165, il fut donné trois siècles plus tard, en 1450, à titre de fief, par Louis XI à son barbier Olivier Le Daim. On voit encore, dans le château, les prisons qu’y avait établies le célèbre confident du roi et dans ses souterrains, une porte de cachot qui a conservé son guichet et ses énormes verrous. Après la mort d’Olivier Le Daim le château fit retour à la couronne et en 1515.
    François 1er le donna, vers 1527, avec la terre de Villiers à Jean de Selve, premier président du parlement de Paris. Depuis cette époque la propriété est restée dans les mains de la famille de Selve, aujourd’hui représentée par M. Dorlodot des Essarts, neveu de M. Georges de Selve qui a été Maire de Cerny et membre du Conseil général de Seine-et-Oise pendant très longtemps. Le domaine, remanié, resta la propriété de la famille Selve jusqu'en 1925.
    Il devint par la suite la propriété de Philippe Clay.
  • Il fut nommé en 1529 par les cours souveraines pour porter de leur part la parole aux Etats du royaume assemblés à Paris ; et s’il eut survécu au Cardinal de Prat, il eut été nommé Chancelier, ainsi qu’il parait par une lettre du Maréchal de Lautrec à lui adressée.
  • C'est lui qui édite, pour la première fois, les Chroniques de Philippe de Commines, publiées en 1523 sous le titre Cronique et histoire faite et composée par messire Philippe de Comines.
  • C’était un excellent citoyen, un habile négociateur et un savant magistrat.
  • Il mourut à Paris en août ou décembre 1529 dans l’exercice de ses fonctions et fut enterré dans l’église Saint-Nicolas du Chardonnet (39 Bd Saint-Germain, 75005 Paris) où l’on voit encore son épitaphe. Ses Négociations, ses discours, ses conférences pour la délivrance de François Ier sont à la bibliothèque du roi.
  • (Note : a eu pour neveu Jean de Serre, président à l’échiquier de Rouen)
  • Epitaphe de Jean de Selve sur marbre noir (1529)
  • D.O.M. (Deo optimo maximo). Joanni Selvae parisiensis senatus amplissimi ordinis praesidi summo. Magnae probitatis Atque integritatis viro, deque republica in quamulto honoris et digitatis gradus, cum eos propter incredibilem ejus moderantiam non cupivisset, adeptus est bene merito. Apud insubres, anglos atque hispanos, cumde rebus maximis ad eos missus est, ob eximiam ejus in administrandis negotiis prudentiam, caeterasque non vulgares virtutes praecognito, valdeque laudato. Regi magno francisco a quo in sanctus atque interius consilium assumptus est, ob exploratam difficilimis atque gravissimis temporibus fidem ejus et industriam, grato atque probato. Caeciliaeque Buxiae bonae gnati caste, pudice ac liberater ab illis, dum vixerunt educati parentibus optimis atque charissimis. P.P. (Pater patriae)
  • Traduction :
  • A la mémoire de Jean de Selve, premier président de l’ordre le plus important du parlement parisien. C’était un homme d’une grande probité et d’une grande intégrité, qui a bien mérité du royaume dans lequel il est parvenu à de nombreux degrés d’honneur et de dignité bien qu’il ne les ait pas briqués, en raison de son incroyable modestie. Chez les Insubriens, les Anglais et les Hispaniens oû il fut envoyé en mission, en raison de son extraordinaire compétence à régler les problèmes et en raison aussi de ses autres qualités qui étaient hors du commun, sa renommée l’avait précédé et il fut grandement loué. Le grand François Ier l’honora de sa confiance et de son estime en l’admettant dans son conseil privé, plus réservé, plus intime, compte tenu de la loyauté et du dévouement indéfectible dont il fit preuve envers lui dans des circonstances très difficiles et très pénibles. Les enfants de l’excellente Cécile de Buxie furent élevés dans la vertu, l’honneur et la courtoisie par ces illustres parents tant qu’ils vécurent, ces illustres parents qui étaient les meilleurs et les plus aimés. P.P. (Père de la patrie)
  • On possède un portrait intitulé Jean de Selve, premier président au parlement de Paris (1465-1529), commandé par Louis-Philippe pour le musée historique de Versailles en 1838, où il est toujours exposé. Il est l'œuvre de Joseph Albrier Paris 1791- Paris 1863), peinture sur toile mesurant 26 x 21 cm. (N° d’inventaire MV 4043, INV 2280, LP 3530, Bibliographie Soulié 1880, Constans 1980, n° 173).
  • Marié le 18 janvier 1502 (contrat le 2 janvier 1502) à Cécile de Buxis (ou Buxy ou Des Buis ?), fille de Jean de Buxis (ou Antoine ?), Conseiller au parlement de Toulouse & de Béatrice de Monestier, Dame de Monstrade (ou Moustade ?), en Languedoc, dont 12 enfants, 6 fils et 6 filles (ou 7 filles ?) : Lazare, Odet, Georges, Jean Francisque, Jean Paul, Claude, Anne Marthe, Madeleine, Louise, Isabelle, Marguerite, Jeanne :
  • 1.2 B 8.1 Lazare de Selve, Seigneur de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), Villiers-le-Châtel, Cerny (Essonne) etc..., Page de François Ier, puis Gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, on le retrouve ensuite porté le 10 octobre 1568 sur l’état des gardes ordinaires de la compagnie du Duc d’Anjou, puis le Duc d’Anjou devenu roi le nomme Echanson et Ambassadeur en Suisse. Inhumé en l’église Saint-Nicolas-du Chardonnet. Marié 2 fois :
  • A) le 15 août 1534 à Catherine Pignard, fille de Guy Pignard, seigneur de Dampierre en Bassigny, conseiller du roi, maître ordinaire en la chambre des comptes & de Gillette Allegrain, issue de la maison de Dampierre en Bassigni, dont 5 enfants, 3 fils et 2 filles : Jean, Georges, Lazare, Gabrielle et Gabrielle (ou Cécile ?). Et d’une concubine
  • B) Nicole Bault, 3 fils : Pierre, Charles, Jean (Voir après la descendance de Catherine Pignard) :
  • 1.2 B 8.1 A 1 Jean de Selve, Seigneur de Rotignon, Capitaine d’une compagnie de 100 hommes d’armes des ordonnances du roi, † 1570 des blessures qu’il reçut en combattant pour le service de Charles IX, contre les Huguenots au siège de Brouage (Charente Maritime). Mort sans alliance
  • 1.2 B 8.1 A 2 Georges de Selve, Seigneur de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), de Villiers-le-Châtel, de Cerny (Essonne)..., Chevalier de l’Ordre du roi, Ecuyer du roi en sa petite écurie, marié le 16 janvier 1550 à Diane de Groslot, fille de Henri de Groslot, seigneur de Chambaudoin, conseiller du roi en son Grand-Conseil, & de Anne de Lothier, dont six enfants, 3 fils et 2 filles : Jean Baptiste, Lazare, Pierre, Anne et Jeanne :
  • 1.2.B 8.1 A 2.1 Jean Baptiste de Selve, Seigneur de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), de Villiers-le-Châtel, de Cerny (Essonne) etc., Chevalier de l’Ordre du roi, Gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, Capitaine au régiment de Picardie, marié le 18 juillet 1606 à Jacqueline Bouchault, fille de Guillaume Bouchault, seigneur de Champremault & de Marie Le Maire, dont six enfants, 4 fils et 2 filles  : Jean Baptiste, Pierre Lazare, Jacques, Antoine, Marie et Catherine :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1 Jean Baptiste de Selve, Seigneur de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), de Villiers le Châtel, de Cerny (Essonne)..., Chevalier de l’Ordre du roi, Capitaine Régiment de Picardie par commission du roi Louis XIII du 2 septembre 1640 (ou 1645 ?), marié le 22 janvier 1645 à Charlotte de Mareau, née vers 1625, décédée à l’âge de 80 ans, le 12 mars 1705 et inhumée dans le chœur de l’église de Cerny (Essonne), fille de Charles Mareau, seigneur de Nibouville, conseiller du roi, contrôleur des guerres & de Marguerite Bongars. Fut veuve de son mari Jean Baptiste de Selve, dont 3 enfants, 2 fils et 1 fille : Jean Baptiste, Pierre et Charlotte :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1 Jean Baptiste de Selve, Chevalier, Seigneur de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), de Villiers-le-Châtel, de Cerny, d’Estouches (Essonne)..., Conseiller du roi en ses Conseils, Procureur en la cour des monnaies, nommé Premier Président au parlement de Tournay, en Flandres, place qu’il ne remplit pas à cause de sa prompte mort à Paris le 30 décembre 1691, et inhumé comme plusieurs de ses ancêtres dans l’église Saint-Nicolas du Chardonnet, marié le 26 décembre 1677 à Marie Thérèse Moret de Chillois, fille de Claude Moret, Seigneur de Chillois & de Marguerite Geoffroy, dont 4 enfants, 3 fils et 1 fille : Jean, Jacques Alexandre, François Fabien, Charlotte Catherine :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.1 Jean de Selve, (1679 - 8 juillet 1751) Seigneur haut châtelain de Villiers-le-Châtel, de Cerny (Essonne), d’Estouches, de Tanqueux (Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que l’on trouve trace de la dépendance de Tanqueux de la famille de Selve. En 1717, lors du baptême d’une cloche pour le clocher de Cerny dont il est le parrain, Monsieur le Comte Jean de Selve, quatrième du nom, est désigné en ses termes : " Jean de Selve chevalier, seigneur haut châtelain de Villiers, Estouches, Tanqueux, du péage de La Ferté-Alais, … ". Il décèdera le 8 juillet 1751 et sera enterré dans le chœur de l’église de Cerny. Sur sa pierre tombale était gravé en guise d’épitaphe : " 8 juillet 1751. Jean de Selve, chevalier, seigneur haut châtelain de Villiers, Cerny, Boissy-le-Cutté, Orgemont, Tanqueux, Chaudevaux, du fief du péage de la Ferté-Alais et autres lieux, mort à l’âge de 72 ans ". Cette famille restera propriétaire de Tanqueux, en dépit de la Révolution, jusqu’en 1933. A cette date la ferme est exploitée par un fermier, Monsieur Verdier. Le dernier marquis de Selve, Monsieur Guy Marc Georges Victor Dorlodot des Essarts cédera donc en 1933 la ferme et ses terres à un marchand de fonds M. Bermein qui les revendra à la famille Damiot, très anciennement de Cerny. (http://cerny.free.fr/patrimoine/tanqueux.html)), de Boissy-le-Cutté (paroisse réunit à Cerny le 28 juin 1803 (10 prairial an XII)), de Chaudevaux, d’Orgemont, du fief de la Ferté-Aleps, Chef du nom et armes de la maison de Selve, Chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, Capitaine au Régiment de Picardie, (dont son oncle Pierre de Selve (1.2 B 8.1.2.1.1.2) était lieutenant-Colonel), né en 1679, † le 8 juillet 1751 dans son château de Villiers-le-Châtel à Cerny (Essonne), province de Hurepoix, âgé de 72 ans, inhumé dans le chœur de l’église de Cerny. Marié, à 44 ans, le 28 juin 1723 à Elisabeth Marie Thérèse Le Petit, décédée en 1752, fille de Jacques George Le Petit, conseiller, secrétaire du roi & de Marie Maréchal, dont 4 filles ? et 1 fils, dont n’a vécu que Charlotte Elisabeth de Selve :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.1.1 X de Selve, décédée le 14 mars 1727, inhumée dans le chœur de l’église de Cerny (Essonne)
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.1.2 Charlotte Elisabeth de Selve, née le 4 décembre 1736, décédée le 23 février 1759, inhumée dans le chœur de l’église de Cerny (Essonne). Mariée le 19 avril 1751 à Jean Baptiste de Selve, Comte, seigneur en partie d’Audeville (son cousin issu de germain par dispense papale) (1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.2), dont 3 enfants, 2 fils et 1 fille : Georges, Marie, Jean (voir plus bas).
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.1.3 X de Selve, décédé le 14 janvier 1752, mort peu d’instants après avoir été ondoyé. Sa mère Elisabeth Le. Il est inhumé dans le chœur de l’église de Cerny (Essonne)
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.2 Jacques Alexandre de Selve, Seigneur d’Orgemont, de Chaudevaux, Chevalier, Mousquetaire du roi dans la seconde compagnie, puis Capitaine de grenadiers dans un régiment d’infanterie, Ecuyer du feu Duc de Berry, † 1er mars 1751 sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.3 François Fabien de Selve, Seigneur d‘Estouches en Beauce, Chevalier, a servi sur mer en qualité de Garde de la marine, † à Paris en février 1736 marié à Françoise Nicole Le Lieur, dont 1 fils et 1 fille, Jean et Marie :
  • 1.2 B 8.1.2.1.1.1.3.1 Jean de Selve, Page de la chambre du roi, mort jeune sans alliance.
  • 1.2 B 8.1.2.1.1.1.3.2 Marie Françoise de Selve, mariée par contrat du 19 janvier 1741, à Louis Charles Alexandre d’Archambault, seigneur de la Baste et autres lieux, chevalier.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.4 Charlotte Catherine de Selve, † en bas âge sans postérité.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2 Jean Pierre de Selve, né en 1647, Seigneur d’Audeville en Beauce (Le château d’Audeville fut démoli en 1812), Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis en 1700 avec mille livres de pension. Il obtint une compagnie en 1672, Lieutenant-Colonel du régiment de Picardie, Brigadier des armées du roi, en 1704 il défendit Saint-Venant (62350), dont il fut fait Gouverneur de la ville et de la citadelle en 1710, ayant été fait Maréchal de camp le 15 avril 1710 et n’en sortit que le 2 octobre 1710 avec tous les honneurs de la guerre, après un long siège pour une telle place. Il défendit Bouchain en 1711, y fut fait prisonnier de guerre. Décédé le 27 mars 1721, âgé de 74 ans, inhumé à Audeville (Loiret). (Plaque funéraire de Pierre de Selve, seigneur d'Audeville à Audeville (45). Catégorie : Sculpture. Edifice de conservation : église d’Audeville. Matériaux : marbre (noir) : gravé. Dimensions : h = 72 ; la = 52. Inscription : épitaphe. Précision inscription : Porte l'épitaphe suivante : Cy gist le Cœur de haut et puissant Seigneur Pierre de Selve, Chevalier Seigneur d'Audeville Maréchal de Camps et armées du Roy ... Décédé le 27 Mars 1721. Siècle : 18e siècle. Date protection : 1932/10/25 : classé au titre objet. Statut juridique : propriété de la commune. Type d'étude : liste objets classés MH. Copyright : © Monuments historiques, 1992. Référence : PM45000015.)
  • Marié par contrat du 18 juillet 1716 (âgé de 77 ans ?) à Françoise Eléonore Arnaud Rety, née en 1704, † le 1 août 1775 âgée de 71 ans, inhumée dans le chœur de l’église de Cerny (Essonne), fille de Thomas Arnaud Rety, Chevalier de l’Ordre de Saint-Louis, lieutenant du roi de la ville de Saint-Venant (62350), Pas de Calais, et de Marie d’Estau, dont 4 enfants, 2 fils et 2 filles : Pierre, Jean Baptiste, (prénoms des filles ?). Il mourut dans son gouvernement de Saint-Venant le 21 mars 1721, (âgé de 82 ans ?), laissant 4 orphelins dont 2 mineurs. Sa veuve fit une demande de pension le 12 avril 1721 en signalant qu’elle est fort jeune et a 2 enfants au berceau.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1 Pierre de Selve, né en 1717, (sa mère 13 ans ?), baptisé le 27 mai 1717 à Saint-Venant, † 1791, Marquis d’Audeville, Chevalier, a servi dans le régiment de Picardie, Capitaine Régiment de Gramont, marié en 1751 à Perrine de Gohin, issue d’une maison noble d’Anjou, dont deux fils : Pierre François et ? :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1.1 Pierre François de Selve, né en novembre 1751 marié à Marie Angélique de la Mamye de Clairac de Mervie, née en 1747, † en 1786, dont 3 fils : Pierre François, Amable François Eléonor Louis et François Joseph :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1.1.1 Pierre François de Selve
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1.1.2 Amable François Eléonor Louis de Selve, né à Paris le 25 février 1770.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1.1.3 François Joseph de Selve, Officier supérieur de Cavalerie, ancien officier de l'armée de Condé. Décédé le 13 mai 1844. Marié deux fois :
  • A) Marié en 1788 à Elisabeth Charlotte de Jouffroy, née en 1756, † en 1856.
  • B) Marié en juin 1821 à Aloyse Vincent d’Hautecourt, baptisée à Abbeville le 20 avril 1790, décédée le mardi 13 mai 1884. Fille légitime de Gabriel-Pierre-André-Christophe Vincent d'Hautecourt, Mousquetaire de la garde du Roi Capitaine de Cavalerie et de Marie-Catherine-Élisabeth Tillette d'Offinicourt, dame de Longvillers. Elle avait été mariée un première fois à Jean Pierre Duchesne de Lamotte le mardi 29 octobre 1816.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.1.2 Second Fils
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.2 Jean Baptiste de Selve, né en 1719 ou 1721 à Souillé, 72380, Sarthe, mort en 1763, Seigneur en partie d’Audeville (Loiret), Comte, Chevalier de l’Ordre de Saint-Louis Capitaine de cavalerie au Régiment d’Harcourt.
  • Arrivons maintenant en 1789. Sur une invitation du bailli d’Etampes, les habitants de Cerny (le Tiers-Etat) se réunirent le 5 mars 1789 et nommèrent pour défendre leurs intérêts François Bardillon et Pierre Métivet tous deux cultivateurs. Le 9 mars, Cerny se trouvait représenté, pour le Tiers-Etat, par les députés sus-nommés ; pour le clergé, par « messire Devaux, curé de la paroisse de Fontaine-la-Rivière » procureur de Durand, curé de Cerny ; pour la noblesse, par les comtes et vicomtes de Selve. Après appel nominal de chacun des députés, on prit jour pour la rédaction des cahiers des plaintes et doléances du bailliage pour les États-Généraux de Versailles du 27 avril Canton de Méréville, arrondissement d'Étampes. (Nous nous sommes servis, pour résumer les cahiers, de la collection des Archives parlementaires (1787-1860), par J. Mavidal et E. Laurent, tome VI). Voici le résumé du cahier du Tiers-Etat de Cerny : « Un impôt unique établi sur les biens fonds, quels qu’ils soient, frappera tout le monde sans exception et permettra la suppression de celui qui rend le sel hors de prix. On interdira l’exportation des blés, on établira l’uniformité des poids et mesures et l’on permettra le remboursement des droits de champarts, dîmes,... ou leur conversion en une taxe en argent. On ordonnera la destruction des lapins et, en même temps, on obligera les propriétaires de volières et de colombiers à tenir leurs élèves enfermés depuis avril jusqu’à la moisson. Si l’on devra conserver les administrations provinciales, il faudra par contre réformer les ordonnances civiles et criminelles, modifier les degrés de juridiction, établir des règles fixes dans les procédures et les délais, réduire de moitié le taux du papier marqué du contrôle,… et arriver à la suppression des droits d’insinuation, sur renonciation ».
  • Le 9 Mars 1789, Cerny se trouvait représenté pour le Tiers Etat par les députés sus-nommés, pour le Clergé par Messire Devaux, curé de la paroisse de Fontaine-la-Rivière, procureur de Durand, curé de Cerny, pour la Noblesse par le Comte de Selve.
  • Pendant l'année 1794 au plus fort de la Terreur le Comité de Surveillance de Cerny provoqua quelques tentatives d'arrestations, mais nous ignorons si elles furent suivies de sanglantes exécutions. Plusieurs mois durant on rechercha le Comte de Selve d'Audeville, qui était demeuré dans son château de Villiers pendant les premières années de la Révolution. Quand il s'aperçut du danger qu'il courait, le Comte voulut émigrer, mais il était trop tard. Le Comte de Selve, bienfaiteur aimé du pays, fut par de braves fermiers soustrait au danger ; pendant plusieurs mois ils le cachèrent avec dévouement au péril de leur vie, car quiconque cachait un « suspect » était lui-même déclaré suspect et risquait sa tête.
  • Lors des perquisitions on dissimulait le Comte tantôt sous des bottes de paille, tantôt sous des fagots, tantôt dans des barriques vides. Enfin le 9 Thermidor arriva, amenant la chute du terrible Robespierre, le Comte de Selve était sauvé.
  • Après la Terreur, n'étant plus inquiété, il rentra dans son château et dans ses biens qui ne furent pas confisqués puisqu'il n'avait pas émigré. Enfin il récompensa ses dévoués sauveurs en leur faisant cadeau de quelques arpents de terre.
  • Marié le 19 avril 1751 à Charlotte Elisabeth de Selve, née le 4 décembre 1736 (sa cousine issue de germain par dispense papale) (1.2 B 8.1 A 2.1.1.1.1.2), dont 3 enfants, 2 fils et 1 fille : Georges, Marie, Jean :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.2.1 Georges de Selve, né le 13 janvier 1753, Comte, officier supérieur de Condé
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.2.2 Marie de Selve
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.2.3 Jean de Selve
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.3 Fille
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.2.4 Fille
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.1.3 Charlotte de Selve, marié en 1677 à François du Puy d’Igny, Chevalier, Seigneur de Bois Marsas, Capitaine au régiment de Lyonnais. Fut veuve de son mari.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.2 Pierre Lazare de Selve, Chevalier de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, dit Ordre de Malte en 1623 ou 1625, † (en 1622, problème sur la date) à Malte, étant page du Grand-Maître.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.3 Jacques de Selve, Seigneur d‘Estouches, en Beauce, d’Orgemont, eut de son amie N... :
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.3.1 Jeanne Elisabeth de Selve
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.4 Antoine de Selve, † enseigne au Régiment de Picardie, infanterie, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.5 Marie Scholastique, religieuse à l’Abbaye du Lys, près de Melun, 77000, Seine et Marne.
  • 1.2 B 8.1 A 2.1.6 Catherine de Selve, mariée à Jean Baptiste de Courlay (ou Courtay ?), Seigneur de Bourray, près de Rochechouart (Haute-Vienne), Maître d’hôtel ordinaire du roi. Vendirent une partie des terres de Cromières en 1656.
  • 1.2 B 8.1 A 2.2 Lazare de Selve, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 A 2.2.1  ? A voir Catherine de Selve, † 1642 sans postérité.
  • 1.2 B 8.1 A 2.3. Pierre de Selve, Seigneur de Boisrond, dont :
  • 1.2 B 8.1 A 2.3.1 Pierre de Selve, né vers 1654, décédé le 22 mai 1710 à Beauchamps, Loiret, Seigneur des Deux Brosses, demeurant à Beaune la Rolande, 45340, Loiret, paroisse de Garolles. Maintenu le 27 avril 1700 sur titres de 1534 et au-dessus. Marié 2 fois :
  • A) le 16 janvier 1680 à Beaune la Rolande, 45340, Loiret, à Madeleine de la Roche, née le 16 février 1637 à Beaune la Rolande, Loiret, décédée le 8 janvier 1702 - Beaune la Rolande, Loiret, à l'âge de 64 ans,
  • B) le 20 juillet 1702 à Beaune la Rolande, Loiret à Marie Louise Testard, née le 28 septembre 1683 à Beaune la Rolande, Loiret, décédée le 17 septembre 1759 à Beaune la Rolande, Loiret, à l'âge de 75 ans.
  • 1.2 B 8.1 A 2.4 Paul de Selve, marié à Louise Compaing, dont :
  • 1.2 B 8.1 A 2.4.1 Catherine de Selve, décédée à Paris, mariée à Paris le 17 septembre 1634 à Jean François Le Coq de Corbeville, conseiller au parlement de Paris (1625-1683) né en 1601 à Paris, décédé le 4 juin 1683 à Paris, âgé de 82 ans, dont Catherine Le Coq.
  • 1.2 B 8.1 A 2.5 Anne de Selve, morte sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 A 2.6 Jeanne de Selve, morte sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 A 3 Lazare de Selve, Seigneur d’Huison (autrefois Duisans, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny (Essonne) le 28 juin 1803 (10 prairial an XII), de Villiers-le-Châtel (Essonne), de Crosmières, à Cussac (Haute Vienne), Conseiller du roi en ses conseils d’états et privés en 1616, Président pour sa majesté dans les villes de Metz, Toul et Verdun, puis employé en diverses négociations. Ses négociations sont passées du cabinet de Brienne dans la bibliothèque du roi. Il hérita du Breuil de Jean (lequel ?). Comme Seigneur de Crosmières il fut appelé en 1559 à la rédaction de la coutume du Poitou (d’après Boucheul), vivait en 1664, marié à Catherine de Montaumer, dont :
  • 1.2 B 8.1 A 3.1 Charlotte de Selve
  • 1.2 B 8.1 A 3.2 Françoise de Selve, mariée 2 fois : A) Jean Boutillac, seigneur de ... , chevalier, B) Thomas de Bescare, seigneur de La Grillonière en 1641, chevalier.
  • 1.2 B 8.1 A 4 Gabrielle de Selve, mariée à Pierre de la Mothe, seigneur de Bagnaux, Gentilhomme en Beauce.
  • 1.2 B 8.1 A 5 Gabrielle de Selve, Religieuse à l’abbaye de Villiers-le-Châtel (Essonne), Ordre de Cîteaux.
  • 1.2 B 8.1 A 6 Cécile de Selve, morte sans alliance (peut-être la précédente : Cécile ou Gabrielle ?)
  • 1.2 B 8.1 B 1 Pierre de Selve, bâtard de Lazare de Selve et de Nicole Bault, seigneur de Boisrond, marié le 7 avril 1584 à Catherine de Chaillon, dont 1 fils :
  • 1.2 B 8.1 B 1.1 Antoine de Selve, seigneur de Boisrond, de Treille et de La Brosse, né le 27 février 1586, marié le 1er juillet 1612 à Françoise Desprez, dont 4 enfants, 2 fils et 2 filles : Baptiste François, Pierre Lazare, Catherine et Renée :
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 Baptiste François de Selve, Seigneur de La Brosse, Marié 2 fois, A) Antoinette Cordelle, mariage le 20 août 1646, dont 2 fils : François Baptiste et Jean Baptiste, et en 1651 à B) Elisabeth de Bonne, mariage le 20 février 1651, dont 1 fils et 1 fille : Pierre et Marthe.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 A 1 François Baptiste de Selve, tué en Catalogne, sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 A 2 Jean Baptiste de Selve, tué en Catalogne, sans alliance.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 1 Pierre de Selve, seigneur de La Brosse, † le 7 janvier 1702, marié le 15 janvier 1680 à Saint-Séverin avec Madeleine de La Roche, dont 4 enfants, 2 fils et 2 filles : Pierre Paul, François Jean Baptiste, Marie Catherine, Catherine Cécile :
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 1.1 Pierre Paul de Selve, né le 20 juin 1703.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 1.2 Marie Catherine de Selve, née en le 14 juillet 1704, mariée le 1er juin 1723.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 1.3 François Jean Baptiste de Selve, né en 1705.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 1.4 Catherine Cécile de Selve, née en 1706.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.1 B 2 Marthe de Selve, mariée à Louis Gaston L’Official, Seigneur de La Roche, écuyer.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.2 Pierre Lazare de Selve, seigneur de Boisrond, né le 31 décembre 1623, marié à Marie Besquin.
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.3 Catherine de Selve, mariée à Claude de Montcornet (ou Montanet ?), écuyer
  • 1.2 B 8.1 B 1.1.4 Renée de Selve.
  • 1.2 B 8.1 B 2 Charles de Selve, Seigneur de Saillies, bâtard de Lazare de Selve et de Nicole Bault, marié à Marie de Longueil, née à Paris, sans descendance. (Parents : Jean VI de Longueil, Seigneur de Maisons, Président aux Enquêtes du Parlement de Paris, décédé le 1er mai 1551, marié le 21 janvier 1521 à Marie de Dormans, décédée le 28 août 1570). Marie de Longueil a été mariée successivement à A) Nicolas Berruyer, B) à Pierre de SELVE, C) à Jacques Robert de Lignerac
  • 1.2 B 8.1 B 3 Jean de Selve, bâtard de Lazare de Selve et de Nicole Bault, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.2 Odet de Selve, Seigneur de Marignan, Chevalier, Fils de Jean de Selve, Premier président du parlement de Paris
  • Conseiller au Parlement de Paris de 1540 à 1542, Conseiller (1542) puis Président du Grand-Conseil.
  • Du 22 juin 1546 à 1549, il fut envoyé comme Ambassadeur à Londres au lendemain de la signature du traité d’Ardres dont il eu le soin de surveiller l’exécution au mieux de l’honneur de la France, atteint au moins en apparence, par les stipulations de ce traité, tout en faisant respecter les côtés avantageux : la liberté de prêter appui à l’Ecosse en guerre avec l’Angleterre.
  • L’interruption de toutes relations officielles entre les deux couronnes, en 1549, le ramena dans sa patrie. Mais il reçut presque aussitôt (16 juillet 1550) mission d’aller en tant qu’Ambassadeur à Venise essayer d’engager la sérénissime république dans l’alliance franco-turque et dans la conquête en commun du royaume de Naples. Quand ce double projet eut été réduit à néant par une défaite navale des flottes royale et ottomane combinées, il eut à défendre dans l’Italie septentrionale l’influence française qui, déjà compromise par les évènements précédents, le fut plus encore lorsque Sienne eut été étroitement investie par les forces impériales. Un différent entre l’ambassadeur et Montluc, généralissime des forces françaises, amena le déplacement du premier en mai 1554.
  • Avant qu’il ne partit pour Rome, ou il fut vice chancelier du duché de Milan et ambassadeur du roi de France Henri II à Rome, cette campagne de quatre années, rendue plus dure encore par des échecs réitérés, dont il subissait le contrecoup sans en être pour rien responsable, lui valut d’être nommé maître des requêtes de l’hôtel, Conseiller au conseil privé et Conseiller d’état ordinaire. La mort du souverain pontife près de qui il avait été accrédité suivit à bref intervalle son arrivée dans la ville éternelle le 21 avril 1555. Il obtint l'élection 23 mai 1555 de Paul IV, qui assurait un allié puissant à son maitre, fut le triomphe d’Odet de Selve et contient son testament politique. Rappelé à la suite de sa signature de la trêve de Vaucelles (février 1556), il ne joua plus aucun rôle important durant les sept ans qui lui restaient à vivre.
  • Mort Ambassadeur à Rome le 11 mars 1564, inhumé dans l’église Saint-Nicolas du Chardonnet.
  • Il figure, en compagnie de Jean de Dinteville, sur le tableau ‘’ Les ambassadeurs ‘’de Hans Holbein le jeune, peint en 1533, conservé à la Tate Galery de Londres.
  • Marié avant 1546 à Renée de Montmirail, qui lui survécut, dont il eut 8 enfants, 5 fils et 3 filles :
  • A son sujet l'on trouvera : Correspondance politique de Odet de Selve, ambassadeur de France en Angleterre (1546-1549), publiée sous les auspices de la Commission des archives diplomatiques, par Germain Lefèvre-Pontalis, In-8, XXVII-519 pages, imprimé par F. Alcan, Paris, 1888. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LG4-47 (4), notice n° : FRBNF31349988
  • 1.2 B 8.2.1 Odet de Selve, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.2.2 Pierre de Selve, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.2.3 Claude de Selve, mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.2.4 Lazare de Selve, Seigneur de Marignan, marié 2 fois,
  • A) Denise de Longueil, dont 1 fils et 1 fille : Lazare Odet et Angélique et
  • B) Marie Praillon, dont 2 filles : Catherine et N... :
  • 1.2 B 8.2.4 A 1 Lazare Odet de Selve, seigneur du Breuil et en partie de Sablonières
  • 1.2 B 8.2.4 A 2 Angélique de Selve, religieuse à Metz.
  • 1.2 B 8.2.4 B 1 Catherine de Selve, mariée à Thomas Béraud, seigneur en partie de la Grillonière, écuyer.
  • 1.2 B 8.2.4 B 2 N...de Selve (fille).
  • 1.2 B 8.2.5 Françoise de Selve, mariée à Jean de Seurre, secrétaire de la chambre du roi.
  • 1.2 B 8.2.6 Lucrèce de Selve, majeure au décès de son père en mars 1563.
  • 1.2 B 8.2.7 Cécile de Selve, mineure au décès de son père en mars 1563, mise sous tutelle de sa mère Renée de Montmirail le 10 mai 1564.
  • 1.2 B 8.2.8 François Lazare de Selve, mineur au décès de son père en mars 1563, mis sous tutelle de sa mère Renée de Montmirail le 10 mai 1564.
  • 1.2 B 8.3 Georges de Selve, Diplomate et érudit français. Fils de Jean de Selve, premier président du parlement de Paris. Né en 1506, † 12 février 1541, âgé de 35 ans, inhumé dans la cathédrale de Lavaur.
  • Évêque de Lavaur de 1526 (20 ans) à 1540 (34 ans).
  • Ambassadeur à Venise, Vienne (arrivé en avril 1540), Rome, en Angleterre, en Allemagne et en Espagne.
  • A Venise, il a été étudiant de Elia Levita (1469–1549), en 1534 et 1535.
  • Sous François Ier, il remplit avec distinction les fonctions d’Ambassadeur auprès du Pape à Rome. Il fut chargé en 1534 de représenter officiellement son souverain en tant qu’Ambassadeur auprès de la république de Venise. Il obtint en dépit des obsessions de Charles Quint, la neutralité de cette puissance dans la lutte engagée entre Charles Quint et le turc Khaïr-Eddim Barberousse que soutenait la France.
  • Dans les premiers mois de 1536, il passa à Rome et prit, de concert avec Hémard de Denonville, Evêque de Macon, une part active aux pourparlers qui devaient aboutir en 1538 à la conférence de Nice entre le roi de France et l’empereur. Ambassadeur en Allemagne et en Espagne auprès de l’empereur Charles-Quint en 1539 et 1540.
  • Il composa quelques livres de piété en français et fut chargé par François Ier de faire la traduction, demeurée manuscrite, dans cette même langue, traduction de huit des ’’Vies des hommes illustres’’, de Plutarque (Thémistocle, Camille, Périclès, Coriolan, Timoléon, Paul Émile...), en 1535, dont le style dénote un familier des lettres grecques.
  • Première publication en 1547, In-folio publié par Michel de Vascovan, Paris. Visible à la bibliothèque de l'Arsenal, Cote : FOL-H-5030, notice n° : FRBNF39345008.
  • Seconde publication en 1548 : In-16, 793 p. reliées en 2 volumes. par J. de Tournes, Lyon. Deux exemplaires conservé à la BNF Tolbiac, Département : Réserve des livres rares, Cote : RES-J-2079, notice n° : FRBNF31125321 et Cote : RES-J-2080, notice n° : FRBNF31125321.
  • A écrit également a) Instructions pastorales pour le baptême et la confirmation. b) Traité sur les moyens de se procurer son bonheur dans ce monde et dans l’autre, suivant les différents postes ou l’on peut être appelé par son souverain. c) Traité sur les moyens d’établir une paix solide entre l’empereur d’Allemagne et le roi de France. Ces trois écrits réunis en un volume in-folio publié post mortem en 1559, Œuvres de feu révérend père en Dieu George de Selve, évêque de Lavaur, contenant un sermon, quelques exhortations, oraisons, contemplations, lettres, discours, sommaires de l'Escripture Saincte, moyen de faire et entretenir paix et deux remontrances aux Alemans... In-folio, 88 ff., Publié par Galliot du Pré, Paris, 1559. Conservé à la BNF Tolbiac, Département : Réserve des livres rares, Cote : D-2447, notice n° : FRBNF31349979.
  • Pierre Bunel, son secrétaire, lui ayant représenté que la vie dissipée des Cours ne convenait point à un Evêque, il se retira dans son diocèse où il se livra tout entier aux fonctions pastorales jusqu’à sa mort le 12 avril 1542 à l’âge de 35 ans.
  • Georges de Selve figure à droite sur le tableau des Ambassadeurs de Hans Holbein le Jeune (Huile sur bois, peint en 1533, mesurant 206 x 209 cm et conservé à la National Gallery de Londres).
  • 1.2 B 8.4 Jean Francisque de Selve, Seigneur d’Huison (autrefois Duisans, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny (Essonne) le 28 juin 1803 (10 prairial an XII), Panetier ordinaire du roi, Ambassadeur à Constantinople en Turquie. Marié à Adrienne Leclerc, dont 1 fils et 1 fille : Samuel et Marie :
  • 1.2 B 8.4.1 Samuel de Selve, Seigneur d’Huison (autrefois Duisans, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny (Essonne) le 28 juin 1803 (10 prairial an XII), mort sans alliance.
  • 1.2 B 8.4.2 Marie de Selve, mariée 2 fois, A) à Adrien de Drueil et B) à Jérôme du lac.
  • 1.2 B 8.5 Jean Paul de Selve, Abbé commendataire de Saint-Vigor-les-Bayeux (devenu Saint Vigor le Grand, 14400, Calvados), Ambassadeur à Rome en de 1556 à 1558, Evêque de Saint-Flour en 1560 (ou 1566 ?), premier aumônier du Duc d’Anjou devenu Henri III, dont il avait eu l’honneur d’être précepteur et qui l’honorait de son affection, comme on peut le voir par plusieurs lettres de ce Prince que ses neveux conservent avec soin. † en 1570 à Limoges. (A laissé un Recueil de ses négociations qui était dans le cabinet de M. d’Aguesseau et des Lettres dans celui de M. de Gagnières).
  • 1.2 B 8.6 Claude de Selve, Conseiller et Maître d’hôtel de la Reine Catherine de Médicis.
  • 1.2 B 8.7 Anne Marthe de Selve, née avant 1540, mariée 3 fois :
  • A) à François Roger, Procureur Général au parlement de Rouen.
  • B) à Pierre Rémon, Seigneur de Courcelles, Premier Président au Parlement de Normandie en 1540 (successeur de François de Marcillac, mari de sa sœur Madeleine de Selve), né avant 1537 et décédé le 29 mai 1553), dont 1 fils et 1 fille : François Rémon et Anne Rémon, née vers 1540 et décédée après 1559, marié à Jean François de Selve, Seigneur d’Huison (autrefois Duisans, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny (Essonne) le 28 juin 1803 (10 prairial an XII), Pannetier du Roi en 1550, Attaché d'Ambassade.
  • C) à Jean Potier, seigneur de la Terrasse.
  • 1.2 B 8.8 Madeleine de Selve, mariée à François de Marcillac (ou Marsillac ?), Chevalier, Greffier civil et criminel, Premier Président du Parlement de Rouen, prédécesseur de Pierre Rémon, (second mari de sa sœur Anne Marthe de Selve), ambassadeur à Gênes, † en 1543.
  • 1.2 B 8.9 Louise de Selve, décédée avant 1547, mariée deux fois : A) à Jean Roger, Conseiller du Roi en sa cour au parlement de Paris, fils de Pierre Roger, Procureur-Général puis B) à Etienne de Montmirail, seigneur de Fourqueux, Conseiller au Parlement en 1521, Prévost des marchands de Paris en 1540, décédé le 20 août 1549 et inhumé à Paris. Etienne de Montmirail était le fils de Louis de Montmirail et de Jeanne de Rouilly. Il était précédemment marié à Antoinette de Badovilier, dont 4 enfants. Avec Louise de Selve, 1 fille, Cécile de Montmirail mariée 7 octobre 1552 à Antoine de la Rochefoucauld, dont 1 fils et une fille : Jacques de La Rochefoucauld et Charlotte de La Rochefoucauld..
  • 1.2 B 8.10 Isabelle de Selve, mariée vers 1550 à Jean de Bermondet, seigneur du Boucheron (Oradour-sur-Vayres, Haute Vienne), chevalier, conseiller parlement de Rouen, conseiller au parlement de Paris en 1538, ainsi qu’il appert par un acte en parchemin, en forme de transaction, passé devant Montigny et son confrère, notaires à Paris, le 3 juin 1539, fait entre les susnommés et d’autres pièces aussi pareillement authentiques. Les Bermondet ont racheté Crosmières à la famille Selve après 1640.
  • 1.2 B 8.11 Marguerite de Selve, décédée en 1590 à Pau. Fille d’honneur puis dame d’honneur de Catherine de Navarre, sœur du futur Henri IV, devient sa gouvernante le 28 janvier 1574.
  • Par lettres du 5 juin 1577, Henri, roi de Navarre, confirme une confiscation à son profit par Jeanne d’Albret, reine de Navarre, mère de ce prince, du 15 mars 1572.
  • Mariée par contrat du 12 avril 1552 à Lancelot du Monceau, seigneur de Tignonville (Loiret), dont 1 fille : Jeanne du Monceau de Tignonville (dame d’honneur de Catherine de Bourbon, duchesse de Bar, sœur d’Henri IV), mariée le 7 février 1582 à François Jean Charles de Pardaillan, Baron de Pardaillan, † 1598. Dont 6 enfants, 3 fils et 3 filles : Henri de Pardaillan 1582, Louis de Pardaillan 1583-1607, Henri de Pardaillan 1587, Henriette de Pardaillan 1590-1609, Catherine de Pardaillan, Vicomtesse de Pardaillan 1592 et Jeanne de Pardaillan 1599. Ce mariage fit chez la princesse de Navarre, à l’hôtel de Rambouillet, construit vers 1604, rue Saint-Thomas du Louvre à Paris (rue détruite en 1850 par le percement de la rue de Rivoli, elle prolongeait à l’époque la rue de Valois en direction de la Seine en partant de la façade de l’actuel Palais-Royal (à l’époque ce n’était que le Palais-Cardinal) et se dirigeait vers la Seine en s’enfonçant dans un dédale de maisons construites contre le Louvre ; elle était donc disposée approximativement à l’emplacement de notre actuelle place du Carrousel. Sur le côté vers les Tuileries, la rue était constituée principalement de deux grands hôtels particuliers : celui de Chevreuse et celui de Rambouillet. Ces deux hôtels jouxtaient l’hôpital des Quinze-Vingt et comptaient parmi les plus beaux de Paris).
  • 1.2 B 8.12 Jeanne de Selve, décédée après 1599, fille de Jean de Selve 1.2 B 8, mariée vers 1560 à xX, décdé avant 1574.
  • 1.2 B 8.13 ? Marie de Selve, marié à Guillaume de Beaumont, seigneur et chevalier du Boulay, surnommé Le grand larron du Gatinais, huguenot, chef d’une bande de pillards (voir : http://perso.orange.fr/milly91/st_simon.htm). Dont 2 filles : Guillemette de Beaumont et Cécile de Beaumont.
  • Suite des enfants de Fabien de Selve :
  • 1.2 B 9 Jean petit, (frère cadet ? de Jean de Selve, Premier Président du Parlement de Paris), Seigneur du Breuil de 1510 à 1516. Notaire royal à Laroche en 1504-1505. Né le 11 novembre 1470 julien, testa en 1539, décédé après 1539 julien. Marié à Marthe de Serre, dont 5 enfants (2 fils et 3 filles) : Béraud, Jean, Jeanne, Madeleine et Francèze :
  • 1.2 B 9.1 Béraud de Selve (parfois Bernard), Seigneur du Breuil, Licencié en droit, Fermier des rentes, avait le boriage du Breuil et celui de Lachapelle, né avant 1514 julien, décédé le 1er janvier 1554 julien, marié à Jeanne de Prohet, † après 1569 julien, fille de Jean de Prohet, Écuyer, Baron d'Ardenne, Seigneur de Grebelrou, Consul de Brive, † après 1542 julien, et de Isabeau du Repaire, dont 3 enfants 2 fils, x et Jean et 1 fille, Françoise :
  • 1.2 B 9.1.1 Fils, mort sans alliance.
  • 1.2 B 9.1.2 Jean de Selve, marié en 1591 à Marguerite Lafageardie, n’eut que des filles (combien et prénoms ?), décédé en 1506.
  • 1.2 B 9.1.3 Françoise de Selve, née avant 1556 julien, décédée après 28 février 1571 julien, mariée par contrat du 19 mars 1568 chez Conchard, réalisé le 28 février 1571 à Brive-la-Gaillarde, 19100, Corrèze à Etienne de Verlhac, Seigneur de Saint-Antoine, de Clusan. Avocat assermenté à Bordeaux, Juge d’Obazine, Malemort et Sainte-Féréole, Corrèze, fils de Pascal de Verlhac et de Marguerite de Vielban. Dont 1 fils : Zacharie Justinien de Verlhac, Seigneur de La Coste. Procureur fiscal de l'Officialité en 1580, né après 1571 julien, décédé après 1628.
  • 1.2 B 9.2 Jean de Selve, Docteur en droit, Abbé de Turpenay de 1543 à 1554, décédé avant 1557
  • 1.2 B 9.3 Jeanne de Selve, décédée avant 1539, mariée à François Deschamps
  • 1.2 B 9.4 Madeleine de Selve, mariée 2 fois : A) à Bertand Courrèze, dont elle fut veuve, B) mariée le 15 août 1542 à Aymar Cornier, licencié en droit, avocat tullois réputé
  • 1.2 B 9.5 Francèze de Selve, mariée à François de La Sudrie, dont Françoise de La Sudrie mariée le 18 août 1549 à Rigal Maliard.
  • 1.2 B 10 Jean de Selve, né le 29 août 1468, Clerc et Chorier, Evêque de Luçon, composa un traité ‘’ de Beneficiis ‘’ en 1512, enterré dans l’église Sainte-Geneviève de la Couture, Conseiller-Clerc au Parlement de Paris en 1511, mort dans l’exercice de sa charge en 1521.
  • 1.2 B 11 Jeanne de Selve (sœur de Jean de Selve 1.2 B 8 Premier président du parlement de Paris), mariée à Antoine Juyé, seigneur de la Marque, dont 1 fille et 1 fils : Louise Juyé et Sébastien Juyé, seigneur de la Marque dans Argentat), Dampnhac, Thémines, Enval (Brive), ambassadeur (marié à sa cousine germaine, Jeanne de Selve 1.2 B 8.12, fille de Jean de Selve 1.2 B 8, premier président du parlement de Paris).
  • 1.2 B 12 Jean de Selve, seigneur du Claux en 1516.
  • 1.2 B 13 Jean de Selve, surnommé Petit-Gui, Seigneur de Cromières en 1469.
  • 1.2 B 14 Antoinette, née le 6 octobre 1466
Branche La Selve aujourd’hui Selve de Sarran
  • 1 Géraud Laselve, Maître chirurgien, † peu avant 1617, marié à Jeanne Dubois, dont :
  • 1.1 Antoine La Selve, Maître apothicaire tullois, marié le 30 mars 1617 à Jeanne Vachot, dont :
  • 1.1.1 François La Selve, né vers 1640, Mercator tutelensis : marchand, en 1656, mort en décembre 1697, à 56 ans, marié à Louise Ceaux, dont 5 enfants, 2 fils et 3 filles : Jeanne, Françoise, Louise, Étienne, Jean Martin :
  • 1.1.1.1 Jeanne La Selve, mariée à Jean Teyssier, avocat tullois, 19000, juge de Gimel les Cascades, 19800, Corrèze.
  • 1.1.1.2 Françoise La Selve, mariée à Léonard Laporte, bourgeois, marchand tullois.
  • 1.1.1.3 Louise La Selve, Clarisse de Saint-François en 1697 à Tulle, 19000, Corrèze.
  • 1.1.1.4 Étienne La Selve, Conseiller au présidial tullois de 1701 à 1728, vendit en 1728 à son frère Jean Martin La Selve le moulin à papier des Bros-Bas, sur le Ceron, aliéné en 1654 à leur père par Jean Teyssier du Mazel, il donna le rameau La Selve de Bity, voir ci-après.

Rameau de Saint-Avid

  • 1.1.1.5 Jean Martin La Selve, Seigneur et Baron de Saint-Avid d’Espagnac, de la Jarrige (à Naves, Corrèze) en 1747, Conseiller du roi, trésorier de France en 1744, Receveur des décimes du diocèse de Tulle. Acheta à Juillard le 11 Août 1712 la baronnie de Saint-Avid-d’Espagnac (celle de Saint-Avid de Fayars ayant été vendue aux Geneste et Mougenc) et devint donc Seigneur et Baron de Saint-Avid. Il avait pour proche parent Jean Martial La Selve, bourgeois de Neuvic, famille alors de juges et médecins. Marié à Catherine Laporte, dont 5 enfants, 4 fils et 1 fille : Jean Martin, Jean François, François, Jean Martin, Françoise :
  • 1.1.1.5.1 Jean Martin La Selve, né le 7 janvier 1714 et baptisé le même jour à l’église Saint-Julien, Maître ès-arts en 1736, prieur de Jauron et du Toy-Viam, Grand-Vicaire de Tulle en 1744 ..., puis de Soissons en 1770, † le 22 mars 1780
  • 1.1.1.5.2 Jean François La Selve, Chevalier de l’Ordre de Saint-Louis, capitaine au régiment de Rohan en 1757, Lieutenant-Colonel de la garde citoyenne à Tulle le 2 août 1789 et qui a dû émigrer en l’an IV.
  • 1.1.1.5.3 François La Selve, Seigneur et Baron de Saint-Avid d’Espagnac, de La Jarrige (à Naves, Corrèze), (vendit la Jarrige le 3 décembre 1759 à Marie Laborie, (mère de Gabriel Puyhabilier, mari de sa fille Marguerite Françoise La Selve), veuve de Jean Léonard Puyhabilier, bourgeois tullois). Chevalier. Président Trésorier Général de Limoges. Marié à Marie Darche dont il eu au moins une fille :
  • 1.1.1.5.3.1 Marguerite Françoise La Selve, née en 1760 ou 1770, mariée en 1757 à Gabriel Puyhabilier, Seigneur de Sourries (Tulle), du Masmazel (Tulle), de La Jarrige (à Naves, Corrèze), de Moussours (à Naves, Corrèze), de Leyrat 23600 (Creuse), de Bessou, de La Serre etc. en 1765. Se porte écuyer en 1778. Conseiller-secrétaire du roi en la chancellerie, près le parlement de Bordeaux. Dont deux fils : Louis Puyhabilier, Seigneur de Leyrat, habitant Tulle en 1809 et Jean François Puyhabilier, Seigneur de La Jarrige (à Naves, Corrèze) en 1789. Elle habitait Bity, sous surveillance entre l’an V et VII.
  • 1.1.1.5.4 Jean Martin La Selve, Seigneur et Baron de Saint-Avid d’Espagnac en 1776, Armes D’azur à deux fasces ondées d’argent, payant le 27 février 1772, un fort droit de confirmation de noblesse (papiers Louis Talin), Ecuyer, Trésorier de France.
  • 1.1.1.5.5 Françoise La Selve, mariée à Dumyrat

Rameau La Selve de Bity (Sarran)

  • 1.1.1.4 Etienne La Selve, Conseiller au présidial tullois de 1701 à 1728, vendit en 1728 à son frère Jean Martin La Selve le moulin à papier des Bros-Bas (à Albussac, Corrèze), sur le Céron, aliéné en 1654 à leur père par Jean Teyssier du Mazel, dont :
  • 1.1.1.4.1 Jean Martin La Selve, Seigneur de Bity (à Sarran, en Corrèze), Ecuyer. Procureur de 1739 à 1762, le 16 mai 1749 nommé et anobli par charge de Conseiller, Secrétaire du roi près le parlement de Bordeaux, pour services entièrement satisfaisants comme conseiller procureur du roi en la prêvoté générale de la maréchaussée du Limousin, et de ceux de son père durant 60 ans. Armes : D’azur à deux fasces ondées d’argent. Né vers 1695. Inhumé le 18 décembre 1765, à l’âge de 70 ans aux Récollets à Tulle (Corrèze), marié le 30 septembre 1724 à Françoise des Plasses, fille de Jean des Plasses, seigneur du Chassaing (Chaumeil), dont :
  • 1.1.1.4.1.1 Marie La Selve, Demoiselle de Reignac (Corrèze), mariée par contrat du 30 novembre 1764 à Jean Joseph Bardoulat La Salvanie du Plazanet
  • 1.1.1.4.1.2 Jean Martin Gabriel de La Selve, né en 1730, Seigneur du Chassaing, de Bity, de Puy-à-Varges (à Sarran, Corrèze), des Brousses (Corrèze), puis de Sarran (qu’il a acheté le 2 septembre 1766 à Jean Louis de Lentilhac, marquis de Gimel). Ecuyer. Secrétaire du roi. Héritier par testament en 1739 de son aïeul maternel Jean des Plasses, seigneur du Chassaing, conseiller au présidial tullois. En 1746, Jean Martin Gabriel de La Selve fut donataire de la seigneurie de Bity par Roch Dupuy, seigneur-curé de Darazac, lui même héritier de son frère François Dupuy, seigneur de Bity. Marié en 1750 à Louise Marguerite Darche, née en 1718, incarcérés au moins six mois en 1791 à Ussel, elle âgée de 73 ans ! et confisqués, relachés le 15 brumaire an III (1794), elle mourut le 12 mai 1803 âgée de 82 ans à Bity (notes de l’abbé Chabrerie), lui est mort le 6 septembre 1806 à 76 ans, dont 3 enfants, 1 fille et 2 fils : Marie Françoise, Jean Martin Gabriel et François :
  • 1.1.1.4.1.2.1 Marie Françoise de La Selve du Chassaing, demoiselle de la Brousse (Sarran, près de Bity), mariée le 29 juin ou 1er juillet 1773 à Martin Brossard, seigneur de La Farge, des Bordes, du Jayle (Cornil) et de la Noaille. Ecuyer. Morte subitement le 20 juillet 1776 au Pavé du collège à Tulle, laissant une fille et un garçon encore mineurs en 1789.
  • 1.1.1.4.1.2.2 Jean Martin Gabriel de La Selve, Seigneur et Comte de Bity. Chevalier de l’Ordre de Saint-Louis. Ancien mousquetaire gris du roi à la 1ère compagnie en 1781, ex Colonel. Maire et propriétaire de 6 domaines et percevant une retraite de 9000 francs. Né le 31 mars 1751 à Tulle, † le 30 septembre 1838 âgé de 87 ans. Marié au château de Jeux à Saint-Julien-près-Bort, 19110, Corrèze, le 23 novembre 1773 à Louise de Cholvy, fille de Jean de Cholvy, seigneur de Chalmoux, las Eygonies et dudit Jeux, en Auvergne, dont 1 fils, Jean Paulin :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1 Louis Paulin de Selve de Sarran, Seigneur de Bity. Affable, hospitalier et très charitable. Né vers1774, marié le 12 septembre 1803 à Marie de Bosredon, † en 1820 à Bort, issue d’une considérable maison de basse-Auvergne. Il vendit Bity le 1er juin 1843 au commandeur de Malte : Pourret des Gauds qui le revendit le 1er juillet 1853 à M. Dubois. † de pleurésie au château de Jeux le 23 septembre 1837 âgé de 63 ans, dont 2 fils, Joseph Léopold et Joseph Fernand Frédéric :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1 Joseph Léopold de Selve de Sarran, fils unique, né le 21 décembre 1805 au château de la Ganne (Saint-Exupéry), maire de Sarran en 1830, † le 18 novembre 1855 à Clermont. Marié le 31 octobre 1831 à Ussel, 19200, Corrèze, à Jeanne Françoise Caroline de Fontanges de Couzan (Vebret), née le 5 février 1810, (fille de Jean Baptiste de Fontanges 1773-1852, illustre maison cantalienne, et de Antoinette de Maynard 1777-1849), † le 18 octobre 1855 (un mois avant son mari), ayant apporté en dôt la terre de Lespinasse (La Tourette) et probablement Confolens (Saint-Pardoux-Vieux) qu’eut son oncle Léopold de Fontances, † sans alliance à Jeux. Dont 1 fils et deux filles : Jeanne Hippolyte Antonine, Jeanne Aymée Léonie, Joseph Fernand Frédéric:
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.1 Jeanne Hippolyte Antoine de Selve de Sarran, née le 29 septembre 1832
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.2 Jeanne Aymée Léonie de Selve de Sarran, née le 27 septembre 1834, décédée le 10 juillet 1865 à Flaghac, à l'âge de 30 ans.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.3 Joseph Frédéric Fernand de Selve de Sarran, Marquis, Comte, Chevalier de l’Ordre de Saint-Grégoire, Chevalier de la Légion d’honneur en 1874. Ancien officier, sous-lieutenant de l'artillerie à cheval, qui, sorti depuis un mois de Saint-Cyr, va subir l'amputation du bras droit à Solférino droit (le lendemain de la bataille, le 25 juin 1859). Maire de Saint-Exupéry-les-Roches, 19200, Corrèze, Receveur particulier des finances à Céret et à Ussel (Corrèze), Banquier à Ussel en 1868. Né le 3 septembre 1836 au chateau de La Tourette, à Lespinasse, Ussel, 19200, (Corrèze). Fixé en son château de la Gane à Saint-Exupéry-les-Roches, 19200, Corrèze, encadré de bois, de prairies et d’un grand lac, l’embelli par ses restaurations très artistiques. † en juin 1910, âgé de 74 ans. Marié vers 1860 à Marie de Chazette de Bargues, née en 1836, décédée en 1908, à l'âge de 72 ans, Comtesse, fille d’une famille de Salers : M. de Bargues et de Mme Descours-Desacres, dont 2 filles et 1 fils, Geneviève, Marthe et Jean Guy :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.3.1 Geneviève de Selve de Sarran, mariée à Antoine de Royère, dont 3 enfants : Georges, Hugues (Comte) et N...
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.3.2 Marthe de Selve De Sarran, mariée à Henri de Labrouhe de Laborderie, né le 14 mai 1875, décédé en 1950, à l'âge de 75 ans, dont 1 fils : Fernand.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.1.3.3 Jean Joseph Guy de Selve de Sarran, Comte, Chevalier de la Légion d’Honneur. Né le 12 mars 1861 à Saint-Exupéry-les-Roches, Corrèze. Capitaine-Adjudant-Major, puis chef de bataillon au 78e régiment d’infanterie, 8 campagnes. Citation lors de la Guerre 14-18 : le bombardement étant très violent, le commandant, de sa propre initiative, organisa la relève des blessés et fut mortellement atteint par un obus, au moment ou il s’assurait du bon fonctionnement de cette organisation le 19 septembre 1914 à Quennevière (près de Compiègne, Oise), décédé de ses blessures le lendemain 20 septembre 1914 à Attichy, 60350 (Oise), (ou le 15 ou 22 décembre 1914, les dates sont contradictoire), mort pour la France à l’âge de 53 ans. Marié en juillet 1903 à Marguerite Lainé des Hayes, fille d’un avocat, professeur à la Faculté de Caen, dont 1 fils et 1 fille, Jean et Simone :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1 Jean de Selve de Sarran, Marquis, marié avec Bernadette de Martin-Donos, dont 3 fils, Guy, Patrick et Henri :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.1 Guy de Selve de Sarran, Marquis, né le 14 décembre 1937 à Alençon, 61000, Orne, marié le 9 juillet 1966 à Chambon-sur-Creuse, 37290, Indre et Loire, à Jeanne Marie de Tristan, née le 11 octobre 1940 à Chambon-sur-Creuse, 37290, Indre et Loire, (3ème enfant de Bernard de Tristan, Comte 1903-1975 et de Napoléone Bonaparte-Wyse), dont 1 fils et 2 filles, Jean-Fabien, Priscilla et Laétitia :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.1.1 Jean-Fabien de Selve de Sarran, né le 18 mars 1968 à Neuilly-sur-Seine, 92200, Hauts de Seine, marié le 17 juillet 1999 à Beauvezer, 04440, Alpes de Haute Provence avec Claire Degoul, née le 17 mars 1971 à Strasbourg, 67000, dont 1 fils et 1 fille, Tristan et Clémentine :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.1.1.1 Tristan de Selve de Sarran, né le 31 août 2000 à Neuilly-sur-Seine, 92200, Hauts de Seine.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.1.1.2 Clémentine de Selve de Sarran, née le 16 mars 2004 à Neuilly-sur-Seine, 92200, Hauts de Seine.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.2 Priscilia de Selve de Sarran, journaliste de la chaine de télévision i télévision, née le 29 avril 1971 à Bayonne, 64100, Pyrénées-Atlantiques, mariée le 4 août 2000 à Saint-Exupéry-les-Roches, 19200, Corrèze, avec Stéphane Grand, né le 12 juillet 1970, dont 1 fille et 1 fils, Justine et Balthazar : Justine Grand de Selve de Sarran, née le 10 octobre 2001, à Paris, 14e. Balthazar Grand de Selve de Sarran, né le 14 février 2005, à Paris, 14e.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3 Laétitia de Selve de Sarran, née le 9 janvier 1973 à Bayonne, 64100, Pyrénées-Atlantiques, mariée le 12 août 1995 à Saint-Exupéry-les-Roches, 19200, Corrèze, avec Eloi Dufour, né le 22 février 1970 à Toulouse, 31000, dont 2 fils et 1 fille : Stanislas Dufour, né le 24 août 1997 à Miami, Floride, USA, Antonin Dufour, né le 20 mai 2000 à Paris, 75015, et Valentine Dufour, née le 27 mars 2004 à Paris, 75015.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.2 Patrick de Selve de Sarran, Comte, né le 21 avril 1939 à Alençon dans l'Orne marié le 21 août 1970 à Aix-en-Provence à Gisèle Brigitte de Gasquet née le 9 juin 1946 à Marseille dont 2 enfants Isabelle née le 26 mai 1972 à Aix-en-Provence et Benoît né le 29 décembre 1973 à Aix-en-Provence. Isabelle vit aux Etats Unis dans l'état de New York, directrice de banque. Benoît vit dans les BDR commercial.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3 Henri Jean Marie de Selve de Sarran, Comte, marié à Béatrice Marie Jacqueline Georgette Roblin, dont 4 filles, Laure, Astrid, Mathilde et Diane :
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3.1 Laure Marie Bernadette de Selve de Sarran, documentaliste, née le 22 juin 1969 à Limoges (Haute Vienne, 87000), mariée le 27 septembre 1997 à Gimont, 32200, Gers, avec Jean-Baptiste de Montredon de Scoraille, Comte, né en 1963, dont : Wandrille de Montredonde Scoraille née en 1998 et Sancie de Montredon de scoraille née en 2000-
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3.2 Astrid de Selve de Sarran, mariée avec Bertrand Hudault, dont 2 enfants : Constantin Hudault et Quitterie Hudault.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3.3 Mathilde de Selve de Sarran, mariée avec Loïc Guyot.
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.1.3.4 Diane de Selve de Sarran.
  • 1.1.1.4.1.2.3 François de La Selve, émigré, † célibataire
  • 1.1.1.4.1.2.2.1.2.3.2 Simone de Selve de Sarran, Religieuse au Carmel de Tulle.

Selves, branche de Sarlat

  • 1 Jean de Selves, dont :

1.1 Jean Selves, ou Selva, bourgeois à Sarlat, marié vers 1550 à Monde de Colly, dont :

  • 1.1.1 Léonard Selves, marchand et bourgeois à Sarlat, vivant en 1580, marié à Jeanne Viveilhe, dont :
  • 1.1.1.1 Jean Selves, marchand et bourgeois à Sarlat, marié à Berthe de Moreaus, dont :
  • 1.1.1.1.1 Lagier Selves, marchand et bourgeois à Sarlat, marié le 21 janvier 1616 à Guelonne de Saint-Clar, dont 1 fils, Pierre :
  • 1.1.1.1.1 A Pierre Selves, conseiller du roi en l’élection de Sarlat, marié deux fois : A) marié à Françoise de Rupe, dont :
  • 1.1.1.1.1.1 A Jean Selves, avocat, mort à 28 ans
  • 1.1.1.1.1.2 A Peyronne Selves, marié à M. Laquilhe, élu à Sarlat
  • 1.1.1.1.1 B Pierre Selves, conseiller du roi en l’élection de Sarlat, Dordogne, marié deux fois : B) marié à Monde d’Aoustier de Plaçon, décédée le 28 juin 1660, dont 1 fils, Jean :
  • 1.1.1.1.1.B 1 Jean Selves, dit de Selve, conseiller du roi au présidial de Sarlat, marié le 30 août 1677 à Claude de Gérard-Latour, dont 4 enfants, 1 fils et 3 fille, Marc Antoine, Monde, Jeanne et Catherine ::
  • 1.1.1.1.1.B 1.1 Marc Antoine de Selve de Plaçon, marié à Catherine de Fajol, fille d’un avocat du roi, dont
  • 1.1.1.1.1.B 1.1.1 Jean-Baptiste de Selve, officier d’infanterie, premier consul de Sarlat, marié à Marie Louise de Bouillé vers 1760 à Bayonne, 64100, Pyrénées Atlantiques, dont 1 fille unique
  • 1.1.1.1.1.B 1.1.1.1 Marie de Selve, mariée le 18 février 1783 à Jean Selves, d’une autre famille qui suit :
  • 1.1.1.1.1.B 1.2 Monde de Selve, religieuse
  • 1.1.1.1.1.B 1.3 Jeanne de Selve, supérieure des Filles de la foi à Agen, Lot et Garonne.
  • 1.1.1.1.1.B 1.4 Catherine de Selve, mariée en 1693 à Marc-Antoine de Suau, vice-sénéchal.

2ème famille

  • 1 Aymar de Selves, né vers 1620, nommé conseiller au présidial de Sarlat le 14 juillet 1654 à la place d’A. Martin (A.D. Gironde 1B page 122), siégeant encore en 1691, marié le 5 février 1657 à Françoise d’Aymerique, fille d’Eymeric, lieutenant général criminel au présidial de Sarlat, dont 2 fils et 1 fille, Aymar, Jean et Marie :
  • 1.1 Aymar de Selves, conseiller au présidial de Sarlat, marié à Cécile de Surguier, dont 2 enfants, 1 fils et 1 fille, Jean et Thérèse :
  • 1.1.1 Jean de Selves, conseiller au présidial de Sarlat, marié à Claude de Béniè, dont 3 fils et 1 fille, Antoine, Pierre, Jean Jérôme et Cécile :
  • 1.1.1.1 Antoine de Selves, , conseiller pair doyen au présidial de Sarlat, né à Sarlat le 29 janvier 1717, mort à Sarlat le 14 janvier 1795. Marié à Marie Marguerite Salinié, dont au moins 4 enfants, 3 fils et 1 fille : Jean, ci-dessous (Père de 1.1.1.1.1.2), Pierre, Jean Jérôme (parrain et oncle paternel de 1.1.1.1.1.2), Cécile (marraine et tante paternelle de 1.1.1.1.1.2)
  • 1.1.1.1.1 Jean de Selves, Avocat en parlement, Commissaire du Gouvernement au tribunal de Sarlat (1801), Conseiller général de la Dordogne (1800-1806), Député de la Dordogne (mai 1815), Procureur impérial au tribunal de Sarlat (1804-18..), né le 14 janvier 1756 à Sarlat, mort le 1 novembre 1818 à Sarlat, marié à Marie de Selves le 18 février 1783, dont dix-huit enfants, entre autres les 16 qui suivent (6 fils et 10 filles), 14 vivaient encore à son décès en 1818  : Antoine Jean Jérôme Hubert, Jean Jérôme Germain, Pierre Joseph, Antoine Jean Jérôme Justin, Jérôme de Selves, Lucien Antoine, Françoise Marie, Marie Marguerite, Marguerite Henriette, Juliette, Octavie, Henriette, Marguerite Augustine, Marie Madeleine Jeanne Julie, Marguerite Françoise, Madeleine (manque 2 enfants) :
  • 1.1.1.1.1.1 1.1.1.1.1.1 Antoine Jean Jérôme Hubert de Selves, avocat, né le 15 février 1795, dont 1 fils, Ernest :
  • 1.1.1.1.1.1.1 Ernest de Selves, avocat, maire de Sarlat, conseiller général de la Dordogne, marié et mort sans postérité vers 1882
  • 1.1.1.1.1.2 Jean Jérôme Germain de Selves, né le 20 août 1789 à Sarlat (Dordogne). Entré à l’école militaire de Fontainebleau le 4 avril 1807, caporal le 30 janvier 1808, guerre d’Espagne de 1808 à 1811 qui se termina en 1814, sous-lieutenant au 50ème régiment d’infanterie de ligne le 23 juin 1808, lieutenant le 30 novembre 1810, blessé par balle à la cuisse gauche et prisonnier de guerre à la bataille d’Arapiles, province de Salamanque, le 22 juillet 1812, ou Wellington infligea une sévère défaite à Marmont, celui-ci fut blessé, perdit 14 000 hommes sur 50 000 et 20 canons sur 78.
  • Le 22 juillet 1812, capitaine le 30 janvier 1814, Grande Armée en 1814, France 1815, Chevalier de la légion d’honneur le 23 mai 1815, licenciement le 23 septembre 1815, capitaine provisoire à la légion du Tarn et Garonne, devenue 58ème régiment d’infanterie de ligne le 1 octobre 1815, Espagne 1816, capitaine confirmé le 24 juillet 1816, Chevalier de l’Ordre de Saint-Louis le 30 octobre 1827, Morée 1828-1829, Belgique 1831-1832, chef de bataillon au 30ème régiment d’infanterie de ligne le 9 juin 1832, Officier de la Légion d’Honneur le 29 septembre 1837, lieutenant-colonel au 53ème régiment d’infanterie de ligne le 9 septembre 1839, Embarqué à Marseille sur ‘’Le Phare’’ le 19 juin 1840 pour être débarqué le 22 juin 1840, Afrique de 1840 à 1842, Colonel au 19ème régiment d’infanterie de ligne le 25 mars 1842, rentré en France le 12 mai 1842. 40 ans 1 mois 27 jours de services, pension de 3000 Frs pour ancienneté de services à compter du 21 mai 1848. Domicilié à Lyon (Rhône), décédé en 1865. Marié à ? de Grézel, sans postérité. Dans son testament du 10 novembre 1859 il donne l’usufruit de leur maison à sa femme et fait sa sœur ‘’sœur Julie’’ sa légataire universelle dont le domaine du Breuil. Suite à une attaque cérébrale il perdit ses facultés intellectuelles en septembre 1864, onze mois avant son décès en octobre 1965, âgé de 76 ans. Après sa mort, un exemplaire corrigé du testament fut trouvé dans son secrétaire, et il en résultat des contestations sur la validité des modifications qui portaient sur certains legs, dont celui d’Emile Fonsale son neveu.
  • 1.1.1.1.1.3 Pierre Joseph de Selves, né le 27 janvier 1791, décédé en 1810, âgé de 18 ans.
  • 1.1.1.1.1.4 Antoine Jean Jérôme Justin de Selves, né le 12 février 1795, 14 juin 1812 élève de Saint-Cyr, 30 janvier 1813 sous-lieutenant au 153ème régiment d’infanterie de ligne, campagne de la Grande Armée, 21 août 1813 un coup de feu lui a traversé le pied droit à Luxemberg, 21 juillet 1814 sous-lieutenant au 88e régiment d’infanterie de ligne, 1 décembre 1815 sous-lieutenant à la Légion du Tarn et Garonne et porte drapeau, 5 novembre 1817 lieutenant à la légion du Tarn et Garonne, 5 janvier 1818 demande de congé auprès de son colonel pour son mariage à Catherine Elisabeth Suchet ‘’Demoiselle de très bonne vie et mœurs, irréprochable en tous points, qui recevra 24 000 Frs comptant, ce qui peut assurer au jeune Selves, peu fortuné de son côté, une existence assez heureuse’’, née le 9 juin 1801 à Toulon, rentière à Ribérac (Dordogne), fille de Jacques Thomas Suchet cadet, négociant et fournisseur des troupes, dont 3 fils : Jacques Joseph Gustave de Selves, Jean Justin Thomas de Selves, Pierre Marie Ernest de Selves. Le 24 décembre 1818, congé sans solde de trois mois pour la mort de son père qui a 14 enfants, vivants à cette date, sur les 18 nés. Démission le 15 avril 1820 au moment d’être père de Jacques Joseph Gustave de Selves, puis chef de bataillon de la garde nationale de Paris. Chevalier de la Légion d’Honneur. Antoine Jean Jérôme Justin de Selves est décédé le 4 novembre 1834 âgé de 39 ans.
  • 1.1.1.1.1.4.1 Jacques Joseph Gustave de Selves, contrôleur des tabacs, né le 25 juin 1820 à Toulon, marié à Mlle de Saulces de Freycinet, décédée le 19 septembre 1861 à Labesque, fille de Charles Louis de Saulces de Freycinet, dont deux fils, Justin Germain Casimir et Jean Charles Frédéric :
  • 1.1.1.1.1.4.1.1 Justin Germain Casimir de Selves, né à Toulouse le 19 juillet 1848, † 13 janvier 1934 au 105 quai d’Orsay, était un homme politique français. Grand-Croix de la Légion d’Honneur le 26 janvier 1906. Armes : Parti / au 1 d’azur, à une tour d’argent, maçonnée de sable ; au 2 de gueules, à deux fasces d’or.
  • A fait ses études à Montauban et à Alger (ou son père a dû être appelé par ses fonctions)
  • Lors de la guerre de 1870, il partit comme lieutenant dans le 1er Bataillon du 78e régiment de mobiles du Lot-et-Garonne. Il fut nommé capitaine après de combat de Chartres le 21 octobre 1870.
  • Il fut d'abord avocat, secrétaire de Louis Charles de Freycinet (oncle de sa mère, né à Foix le 14 novembre 1828, mort à Paris le 14 mai 1923, sénateur de la Seine 1876-1920, Président du conseil 1880, 1882, 1886, 1890, 1891, membre de l’académie française, il joua un rôle important dans la carrière de Justin Germain Casimir de Selves) de 1870 à 1871 ou il fut appelé au ministère de la guerre à Tours par son grand-oncle Louis Charles de Freycinet (qui était délégué du gouvernement de la défense nationale, et suivi à Bordeaux, puis fut chargé de la direction des sous-intendance de Toulouse, Montauban et Aurillac), avocat à Montauban de 1872 à 1880, bâtonnier du barreau de Montauban de 1878 à 1880 avant de devenir successivement préfet du Tarn-et-Garonne en 1880, de l'Oise (du 1er mai 1882 au 16 mai 1882), de Meurthe-et-Moselle (1er mai 1885), de la Gironde (1885), directeur général des Postes et Télégraphes du 21 janvier 1890 à 1896, pendant lequel il préside la conférence internationale de Paris et représente la France au congrès postal universel de Vienne. Préfet de la Seine (du 23 mai 1896 à 1911), en remplacement d'Eugène Poubelle. Membre de l’académie des Beaux-arts en 1910, durant cette période créa la commission du vieux Paris, les collections du Petit Palais. Sénateur du Tarn et Garonne de 1909 à 1927 pendant lequel il fit le rapport pour la probation de la convention de Madrid sur le Maroc en 1913.
  • Il occupa ensuite plusieurs fonction au sein du gouvernement de la République sous la présidence d'Armand Fallières : ministre des affaires étrangères dans le cabinet de Joseph Caillaux, du 27 janvier 1911 au 9 janvier 1912, lors de la crise d'Agadir (juillet 1911) pour l’établissement du protectorat du Maroc, il se montra favorable à un raidissement face à l'Allemagne mais son président du conseil, attaché au contraire à la détente des rapports franco-allemands, négocia par-dessus la tête du ministre avec le conseiller de l'ambassade d'Allemagne à Paris et confident de Guillaume II. Son gouvernement démissionna après l’affaire du chemin de fer Cameroun-Congo. Il fut encore ministre de l'intérieur dans le cabinet Raymond Poincaré, du 29 mars 1924 au 14 juin 1924. Président de la commission des affaires étrangères au sénat, il fit ratifié le traité de Versailles en 1919 ‘’affirmation d’une morale internationale nouvelle qui permettait toutes les espérances pour l’avenir, à condition de faire preuve de vigilance’’, selon les termes (Bibliothèque du sénat 18 juillet 1984). Il devint président du Sénat, sous la Troisième République, du 19 juin 1924 au 14 janvier 1927. Il fit aboutir le projet du métropolitain de Paris.
  • Par testament du 26 septembre 1927 chez Maître Yvon Ferré à Montauban, après la mort de son petit-fils, il légua son domaine de Loubéjac à Sarlat, à l’hôpital avec usufruit à son seul fils Gustave de Selves.
  • La plus petite avenue de Paris, l'Avenue de Selves dans le 8e arrondissement, porte son nom. D'une longueur de 110 mètres, l'avenue donne sur les Champs Élysées.
  • Il figure sur un portrait assis de trois-quarts, exposé au musée national du château et des Trianons à Versailles (78), huile sur toile de 120 x 126 cm, peint par Jacques Fernand Humbert en 1926, acquis par l’état en 1934, (n° d’inventaire MV 6173, bibliographie : Constans 1980, n° 2514)
  • Ecrits, publications :
  • Avant-propos à ‘’La Politique allemande’’ par le Prince Bernhard von Bülow. Traduit de l'allemand par Maurice Herbette.
  • Notice sur la vie et les travaux de M. Anatole Gruyer Paris, 1910.
  • Marié le 31 juillet 1872 à Gabrielle Félicie Camille Garrisson (décédée avant lui), fille du sénateur du Tarn et Garonne Gustave Garrisson, fille du sénateur, dont 1 seul fils : Gustave.
  • 1.1.1.1.1.4.1.1.1 Gustave de Selves, né vers 1875 à Montauban, Marquis, Lieutenant-Colonel de cavalerie, Croix de guerre 14-18, Officier de la légion d’honneur, a légué aux Selve de Sarran les papiers et portraits de famille. Dont 2 fils Gustave et René :
  • 1.1.1.1.1.4.1.1.1.1 Frédéric de Selves, s’est tué accidentellement à Sarlat avant 1927.
  • 1.1.1.1.1.4.1.1.2 René de Selves, blessé mortellement renversé par un tramway à Sarlat en 1911, décédé peu après à Paris.
  • 1.1.1.1.1.4.2 Jean Justin Thomas de Selves, né le 9 juin 1827 à Toulon, Var. Orphelin de son père à l’âge de 7 ans, mort le 31 janvier 1886 âgé de 59 ans, titulaire de la Légion d’Honneur. En 1861, à 34 ans, lieutenant au 72e régiment d’infanterie de ligne à Romainville, Seine, aujourd’hui Seine Saint-Denis, puis cette même année, capitaine d’infanterie lors de son mariage à Vénissieux (Rhône) le 12 décembre 1861, lui 34 ans, elle 29 ans, à Marie Rochon, née le 10 janvier 1832, fille de François Rochon, propriétaire, décédé le 29 juillet 1860 et de Anne Goiyaud. Son oncle Jean Jérôme Germain de Selves, colonel en retraite témoin du mariage lui donne à cette occasion 4 000 Frs en espèces et 10 000 au décès de sa tante ? de Grézel, la mariée a une espérance de 80 000 Frs. Il a été prisonnier en Allemagne pendant 11 mois et demi du 29 octobre 1870 au 18 septembre 1871. Titulaire de la Légion d’Honneur. A eu deux filles :
  • 1.1.1.1.1.4.2.1 X de Selves, née ne 1869.
  • 1.1.1.1.1.4.2.2 X de Selves, née ne 1869 (jumelles ?).
  • 1.1.1.1.1.4.3 Pierre Marie Ernest de Selves, né le 28/06/1821 à Toulon, Var. Titulaire de la légion d’Honneur. Agé de 14 ans au décès de son père le 4 novembre 1834. En 1852 avocat au barreau de Sarlat, en 1853 2e adjoint au maire, en 1856 1er adjoint, le 4 septembre 1870, à la chute de l’empire, comme républicain, est nommé maire de Sarlat-la-Canéda, il est battu aux législatives du 14 octobre 1877, qui furent une victoire pour ses amis républicains en France, conseiller général jusqu’en 1881, sous-préfet de Gourdon (Lot), le 21 février 1885 nommé sous-préfet de Sarlat jusqu’à sa mort le 14 août 1888 âgé d’environ 58 ans. A ses funérailles onze discours firent son éloge, en particulier celui du maire de Sarlat Clerjounie : ‘’ D’une famille ancienne, justement honorée dans notre région, de laquelle sont issus des magistrats élevés, des chefs de notre armée, une digne femme aux œuvres de charité encore vivaces dans notre cité, j’ai nommé la vénérée Julie de Selves, et dont un jeune représentant, administrateur distingué du plus beau département de la France, suit le convoi de cet oncle qui l’adorait (Justin Germain Casimir de Selves), Ernest de Selves se fit inscrire au barreau de Sarlat vers 1852, et pendant 25 ans, il fût l’honneur de notre ordre...Il fut sous l’empire... l’organisateur et le chef du parti républicain...’’
  • 1.1.1.1.1.4.1.2 Jean Charles Frédéric de Selves, officier de la Légion d’Honneur le 29 décembre 1923, inspecteur principal honoraire des chemins de fer du midi, marié et dont 1 fils et 1 fille :
  • 1.1.1.1.1.4.1.2.1 Henri de Selves
  • 1.1.1.1.1.4.1.2.2 Jeanne de Selves
  • 1.1.1.1.1.5 Jérôme de Selves, mort jeune.
  • 1.1.1.1.1.6 Lucien Antoine de Selves, mort le 2 décembre 1828 à Buenos Aires, Argentine, sans alliance
  • 1.1.1.1.1.7 Françoise Marie de Selves, mariée à M. Bouffanges
  • 1.1.1.1.1.8 Marie Marguerite de Selves, mariée à Bertrand de Grézel
  • 1.1.1.1.1.9 Marguerite Henriette de Selves, dite sœur Julie, sœur jumelle de Juliette de Selves qui suit, religieuse, née le 27 juin 1792 à Sarlat, entra en 1811, âgée de 20 ans au noviciat des sœurs de Sainte-Marthe, dites Saint-Alexis, qui dirigeaient l’hôpital de la ville. A 45 ans, en 1837, elle devint supérieure de la communauté et directrice de l’hôpital de Sarlat. Elle obtint son approbation par l’ordonnance royale du 10 mars 1844. Elle fonda un orphelinat approuvé par décret du 18 mars 1851. Après son décès le 10 janvier 1877, âgée de 85 ans, le discours de l’archiprêtre de Sarlat fut publié dans la ‘’Semaine religieuse du diocèse’’, et elle fut inhumée dans l’hôpital par décision du conseil municipal du 11 janvier 1877. Lors de la reconstruction de celui-ci, ses cendres et celles de madame de Gaubert, fondatrice de l’hôpital furent transférées au cimetière de la ville dans le caveau 315 des sœurs de Sainte-Marthe en 1864.
  • 1.1.1.1.1.10 Juliette de Selves, sœur jumelle de Marguerite Henriette de Selves (sœur Julie) née le 27 juin 1792 à Sarlat, entrée au noviciat en 1822, âgée 30 ans, fût supérieure de diverses communautés du Périgord religieuse et décéda le 24 juin 1862, âgé de 70 ans.
  • 1.1.1.1.1.11 Octavie de Selves, religieuse à 17 ans, décédée le 24 juin 1862.
  • 1.1.1.1.1.12 Henriette de Selves, religieuse
  • 1.1.1.1.1.13 Marguerite Augustine de Selves, 1798-1887, mariée à Barrain Bonnefond
  • 1.1.1.1.1.14 Marie Madeleine Jeanne Julie de Selves, née le 7 décembre 1786, décédée en 1832 âgée de 46 ans, mariée le 5 juillet 1813, elle âgée de 27 ans, contrat le 17 juin 1813 et 4 juillet 1813 pour réserve d’usufruit des parents de l’époux, à Jean Baptiste Fonsale, décédé en 1846, dont 5 enfants (4 fils, 1 fille) : Emile, Marguerite mariée à Jean-Baptiste Teyssieu, Jules marié à Hélène Griffon, Aimé marié à Hélène Lassale, Edmond sans postérité.
  • 1.1.1.1.1.15 Marguerite Françoise de Selves, née en 1808, mariée à M. Lacoste d’Escayrac
  • 1.1.1.1.1.16 Madeleine Laétitia de Selves, née le 6 janvier 1810, mariée à M. de Maison, dont 3 enfants , Emma, ? mariée à ? Bouffanges, Auguste.
  • 1.1.1.1.2 Pierre de Selves, 1759-1819, procureur à Sarlat.
  • 1.1.1.1.3 Jean Jérôme de Selves, (parrain et oncle paternel de Jean Jérôme de Selves 1.1.1.1.1.2), prêtre, , né en 1764, mort le 8 janvier 1807.
  • 1.1.1.1.4 Cécile de Selves, (marraine et tante paternelle de Jean Jérôme de Selves 1.1.1.1.1.2).
  • 1.1.1.1.5 Marie Joséphine de Selves, 1767-1849, tombe à Sarlat, mariée en 1845 à ? Hubert
  • 1.1.2 Thérèse de Selves, abbesse des Clarisses de Sarlat en 1715
  • 1.2 Jean de Selves, Seigneur de Plamont (Sarlat), reçu conseiller en 1690, siégeant encore en 1709, marié à Claude de Gérard.
  • (A moins qu’il n’y ait à la même époque un autre Jean de Selves également conseiller reçu le 12 mai 1702, Syndic honoraire des Pauvres de l’hôpital de Sarlat, (A.D. Dordogne, série B page 264) ) nous croirions que malgré sa résignation de 1723, ce sieur de Plamont continua à siéger, à moins que les provisions n’aient été accordées qu’en survivance. Il est probablement le Jean qu’on trouve qualifié de vice-sénéchal (titre bizarre) au présidial en 1715. (A.D. Dordogne, B1698), dont :
  • 1.2.1 Marc Antoine de Selves, seigneur de Plamont, écuyer. C’est à la résiliation de son père Jean de Selves qu’il eut la charge de conseiller le 26 février 1723 (A.D. Gironde 1B page 165). Président du présidial de la Dordogne de la Restauration jusqu’à sa mort. En 1708, deux Selves siégeaient, (A.D. Gironde C3971) ; également en 1728, spécifiés alors Selves vieux et Selves jeune, (A.D. Dordogne B1747). En 1708, serait-ce Aymar de Selves et Jean de Selves ?, en 1728 il semble que ce soient Jean de Selves et Marc Antoine de Selves. On trouve un Jean de Selves doyen des conseillers en 1759 et encore en 1774. Peut-être l’un d’eux est-il prénommé Jean. En tout cas le Selves indiqué comme en charge en 1783 dans ‘’Sigillographie du Périgord’’ (2ème édition, page 340), ne peut être le doyen de 1759 et encore moins le conseiller de 1723. Marié à Marie-Marguerite de Salinier, fille de Pierre de Salinier, conseiller du roi, et de Jeanne de Montet de la Chapelle, dont 5 fils : François, Jean François, Jean Jérôme, Jean et Pierre :
  • 1.2.1.1 François de Selves, né le 7 avril 1761, eut pour parrain François de Selves, docteur en théologie, prêtre à la chapelerie de Saint-Antoine de... ,
  • 1.2.1.2 Jean François de Selves, né le 17 février 1763, eut également pour parrain François de Selves, curé, et est décédé le 1 novembre 1819 à Sarlat, succède à son père comme conseiller doyen au présidial de Sarlat, sénéchal, Procureur, juge de paix. Il fut un peu persécuté en 1793. De 1800 à 1819 il fut commissaire du gouvernement près le tribunal de Sarlat. Marié le 28 février 1783 à Marie de Selve, fille de Jean Baptiste de Selve, officier et de Marie Louise de Bonille, fille d’officier, décédée le 17 juin 1841dont 17 enfants, 14 vivant en 1819 (descendance ?)
  • 1.2.1.3 Jean Jérôme de Selves, né le 22 novembre 1764, parrain : Jean Jérôme de Selves.
  • 1.2.1.4 Jean de Selves, né le 24 janvier 1767.
  • 1.2.1.5 Pierre de Selves, né le 13 octobre 1769.
  • 1.3 Marie de Selves, supérieure de Saint-Claire à Sarlat

Selves, branche de Genibrède

  • La famille De Selves, seigneurs de Génibrède, maintenue dans sa noblesse, à l’intendance de Montauban, le 18 octobre 1688, depuis Antoine de Selve, marié le 15 mars 1508 à Antoinette Delgreith de la Volpilière et a pour armes : ‘’Parti d’azur à la tour d’argent et de gueules à deux fasces d’or.

Selve

  • 1 Pierre Selve, marié à Guillème Guitard, dont 4 enfants (2 fils et 2 filles) :
  • 1.1 Marie Selve née le 25 octobre 1693
  • 1.2 Jean Selve, né le 1 avril 1698
  • 1.3 Antoine Selve, né le 5 février 1700 à Berbiguières, Dordogne & Marie Testut, dont 7 enfants (5 fils et 2 filles) :
  • 1.3.1 Anne Selve, née le 2 mars 1727
  • 1.3.2 Pierre Selve, né le 10 décembre 1731
  • 1.3.3 Arnaud Selve, né le 16 novembre 1734, décédé vers 1791 à Saint-Cyprien (Dordogne), âgé de 57 ans, marié le 1 septembre 1759 à Marie Tardieu, née vers 1736, décédée le 13 octobre 1808 à Saint-Cyprien (Dordogne), âgée de 72 ans, dont 3 enfants (2 fils et 1 fille) :

1.3.3.1 Marguerite Selve, née en juin 1763, décédée le 11 août 1763, à l’âge de 2 mois.

  • 1.3.3.2 A Jean Selve, né vers 1765, décédé le 13 octobre 1839, âgé de 74 ans, marié 2 fois : A) le 30 octobre 1787, lui 22ans, elle 24 ans, à Marie Carrière, née le 19 janvier 1763, décédée le 25 décembre 1801, âgée de 38 ans, dont 1 fils: Jean Selve, B) le 21 août 1803, lui 38 ans, elle 21 ans, à Jeanne Bonfils, née vers 1782 à Saint-Cernin de Biron (Dordogne), décédée le 30 janvier 1824, âgée de 42 ans.
  • 1.3.3.2.1 A Jean Selve, dit ‘’Fèvre’’, né le 7 mai 1795 à Saint-Cyprien (Dordogne), décédé le 26 décembre 1831 à l’hôpital de la marine de Rochefort (Charente Maritime), âgé de 37 ans, marié le 24 juillet 1816 à Marie Gilet, née vers 1788 à Daglan (Dordogne), décédée le 4 janvier 1868 à Saint-Cyprien (Dordogne), âgée de 80 ans, dont :
  • 1.3.3.2.1.1 A Jean Selve, né le 15 juillet 1819 à Saint-Cyprien, décédé le 2 octobre 1892 à Castels (Dordogne), âgé de 73 ans, marié le 27 août 1845 à Castels (Dordogne) à Anne Lasplasse, née le 13 février 1814 à Castels, décédée le 8 février 1880 à Castels, âgée de 65 ans, dont :
  • 1.3.3.2.1.1.1 A Raymond Selve, né le 18 octobre 1846 à Castels, décédé le 10 juillet 1900 à Castels, âgé de 53 ans, marié le 15 février 1874 à Castels (Dordogne) à Antoinette Chaumeil, née le 31 octobre 1854 à Castels, décédée le 25 avril 1896 à Castels, âgée de 41 ans, dont :
  • 1.3.3.2.1.1.1.1 A Marius Selve, né le 13 août 1893 à Castels, décédé le 17 décembre 1964 à Périgueux (Dordogne), âgé de 71 ans, marié le 1 août 1919 à Castels à Adèle Boussac, née le 16 juillet 1899, décédée le 9 mai 1932 à Périgueux, âgée de 32 ans, dont 2 enfants (1 fils et 1 fille) :
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.1 A Angèle Selve, mariée à Joseph Bosal, dont 5 fils.
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2 A Armand Selve, né le 13 août 1920 à Périgueux, décédé le 2 mai 1969 à Saintes (Charente-Maritime), âgé de 48 ans, inhumé à Chaillé les Marais (Vendée), marié le 3 juin 1950 à Grenoble (Isère) à Eliane Odette Seguinard, née le 11 avril 1931 à La Rochelle (Charente-Maritime), dont 3 enfants (2fils et 1 fille) :
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1 A Jean-Pierre Armand Jacques Selve, né le 6 mars 1951 à Grenoble (Isère), marié le 4 mai 1974 à Libreville (Gabon) à Béatrice Jeannine Derksen, née le 24 décembre 1953 à Paris (17ème), dont 5 enfants (3 fils et 2 filles) :
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1.1 A Audrey Aurélia Selve, née le 14 mars 1979 à Courbevoie (Hauts de Seine)
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1.2 A Armand Geoffroy Selve, né le 21 mai 1984 à Ris-Orangis (Essonne), décédé le 13 octobre 1984 à Kara (Togo) âgé de 4 mois, inhumé à Chaillé les Marais (Vendée).
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1.3 A Andy Alban Selve, né le 13 novembre 1985 à Paris (14ème)
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1.4 A Brian Ashley Selve, né le 4 décembre 1987 à Bordeaux (Gironde), décédé le 9 décembre 1987 à Bordeaux (Gironde), âgé de cinq jours, inhumé à Chaillé les Marais (Vendée).
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.1.5 A Marjorie Eva Selve, née le 29 octobre 1990 à Bordeaux (Gironde).
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.2 A Alain Selve, né le 30 mars 1952 à Dakar (Sénégal), décédé le 3 avril 1952 à Dakar (Sénégal), âgé de 3 jours.
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.3 A Dominique Selve, née le 8 janvier 1955 à Versailles (Yvelines), décédée le 23 décembre 1975 à Massy (Essonne), âgé de 20 ans, inhumée à Chaillé les Marais (Vendée), dont 1 fils :
  • 1.3.3.2.1.1.1.1.2.3.1 A John Jefferson Selve, né le 6 mars 1974
  • 1.3.3.2 B Jean Selve, né vers 1765, décédé le 13 octobre 1839, âgé de 74 ans, marié 2 fois : B) le 21 août 1803 à Jeanne Bonfils, née vers 1782 à Saint-Cernin de Biron (Dordogne), décédée le 30 janvier 1824, agée de 42 ans
  • 1.3.3.3 Bertrand Selve, né en 1767, décédé le 20 septembre 1772, à l’âge de 5 ans.
  • 1.3.4 Jean Selve, né le 1 avril 1737
  • 1.3.5 Barthélémy Selve, né le 26 mai 1738
  • 1.3.6 Jean Selve, né le 18 avril 1740
  • 1.3.7 Marguerite Selve, née le 28 juillet 1742
  • 1.4 Marie Selve, née le 1 octobre 1702

Personnes à relier

Selve

En France : 379 personnes portent le nom de famille Selve selon les estimations de 2006. Le nom Selve est le 27 924e nom le plus porté en France.

  • Anne Selve, dite Marie, 24 ans, domestique, fille de Jacques Selve et de Jeanne Ternat. Mariée à Antoine Battut de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892[1]
  • Bernard Selve, président de l’association des commerçants de l’avenue de la gare à Perpignan (66)[2]
  • Catherine Selve, ABT 1838 à Arches, décédé ABT 1930, épouse de x inconnu, dont un fils Pierre Selve
  • Catherine Selve, mariée à Pierre ALBESSARD, dont un fils Jacques ALBESSARD
  • Christian Selve[3]
  • Mariage : MEILHAC Géraud a épousé le 28/03/1806 PAYRAT Marie Jeanne. Le père est Antoine MEILHAC (résidant à Meilhac HAUTEFAGE). La mère est Élisabeth SELVE. En présence de Jean CHADIRAC (Propriétaire, 33 ans, résidant à ST PRIVAT) , Jean MAGNIAC (Maçon, 37 ans, résidant à ST PRIVAT) , Antoine MEILHAC (Père de l'époux, cultivateur, 55 ans, résidant à HAUTEFAGE) et François DICHAMP (Cultivateur, 60 ans, résidant à ST PRIVAT). Le père de l'épouse est Jean PAYRAT (décédé, résidant à Hautebrousse ST PRIVAT ). La mère est Marie VAUR[4]
  • Eugène Selve, né à Oran, Algérie, fils de Pierre Selve et de Rose SALES. SHAT 2ème régiment de chasseurs d'Afrique 35Yc 1156. [5]
  • François Selve a épousé le 20/03/1806 MAGNIAC Françoise. Le père est Jean SELVE (décédé, résidant à ST PRIVAT). La mère est Jeanne TAULET. En présence de Jean CISTERNE (Propriétaire, 36 ans, résidant à ST PRIVAT) , Jean MAGNIAC (Frère de l'épouse, Maçon, 37 ans, résidant à ST PRIVAT) , Joseph BERCHE (Cordonnier, 27 ans, résidant à ST PRIVAT) et Jean JENDRIE (Cabaretier, 60 ans, résidant à ST PRIVAT). Le père de l'épouse est Pierre MAGNIAC (décédé, résidant à Malaret ST PRIVAT). La mère est Marie REDOND[6]
  • François Selve, maçon, né à Alger, fils de Michel Selve et de Françoise SAURINE. SHAT 1er régiment d'infanterie légère d'Afrique 45Yc 58[7]
  • François Dominique Selve, peintre à 47,50 Francs, né le 4 août 1783 à Perpignan, pension de 222 Francs pour ancienneté de services. Décision ministérielle du 31 août 1848. T6 : pensions dites ’’Demi-soldes. (CD Les pensionnés du XIXe siècle).
  • François Étienne Joseph Selve, lieutenant, cessation d’activité le 8 novembre 1816, décédé le 7 décembre 1842, montant de la pension de retraite de 300 Francs. Date d’entrée en jouissance 7 décembre 1842. Marié le 12 mars 1805 à Béatrix Antoinette Fasolo, née le 20 février 1777 à Theolo (Royaume Lombardo-Vénitien), domiciliée à Perpignan. T9 : pensions militaires pour veuves[8]
  • Gaudérique Fernand G. Selve, né le 16 février 1926, école ESSM, date d’entrée au service de santé de l’armée de terre 15 octobre 1945, médecin lieutenant en 1950, médecin capitaine en 1956, médecin commandant le 1 septembre 1962.
  • Gustave Selve, né le 28 février 1842 à Lüdenscheid-Peddensiepen, Allemagne, † 7 novembre 1909. Fondateur d’usine de métallurgie en Allemagne, Suisse et Italie, fondateur de la société Basse & Selve, constructeur de moteurs automobiles, avions, bateaux, motos. Dont 1 fils /
    • Walther von Selve (Doctor), fonda la Selve automobilwerke AG (1919 - 1930), constructeur d’automobiles.
  • Jean Selve, sergent au 54ème régiment d’infanterie de ligne, né le 19 novembre 1810, né le 19 novembre 1810 à Le pont Saint-Esprit (Gard) domicilié à Mézières (Ardennes), durée de service 33 ans 8 mois 7 jours, pension de 483 Francs, date d’entrée en jouissance le 11 décembre 1857. T10 : pensions militaires diverses[9]
  • Jean Julien Selve, marié à Toinette BOUYEURE, dont :
    • Gabriel Selve, né le le 28 avril 1781 à Auffinange, Corrèze, décédé le 11 mai 1826 à Latronche, Corrèze, à l'âge de 45 ans, marié le 3 février 1807 à Saint-Pantaléon, Corrèze, avec Marie Since, née le 17 juillet 1792, (fille de François Since, décédé avant 1807 et de Françoise Tueaud, décédée après 1807), dont (Pourquoi le nom de famille change t-il ?) :
      • Jean Serves ?, né le 19 mai 1825 à Latronche, Corrèze, marié avec Françoise Touquet Née le 20 août 1828 à Sérandon, Corrèze, décédée le 1er avril 1863 à Sérandon, Corrèze (Fille de Louis Touquet Né le 14 février 1807 à Sérandon, Corrèze, décédé le 31 mars 1885 à Sérandon, Corrèze, à l'âge de 78 ans 1807-1885 et de Anne Laussine, décédée avant 1885, mariage le 20 février 1827 à Sérandon, Corrèze), dont 1 fils et 1 fille, Marie et François :
        • Marie Serves ?, née le 10 novembre 1856 à Sérandon, Corrèze, mariée le 1er mars 1880 à Sérandon, Corrèze avec Guillaume SUDRY, né le 8 juin 1856 à St Étienne la Genest, Corrèze, dont Marie, née le 30 juillet 1882 à Sérandon, Corrèze
        • François Serves ?, né le 17 septembre 1859 à Sérandon, Corrèze.
  • Jeanne Selve, née le 23 mars 1783 à Soursac, 19550, cultivatrice, mariée à Antoine Mouvet, dont Françoise Mouvet.
  • Jeanne Selve, 22ans, mariée à François Moreau (Maurau).[10]
  • Joanna Selve, fille de Jean Selve et de Marie Delpeuch, mariée à Leger Martin.[11]
  • Louise Selve, 19 ans, domestique, fille naturelle de Catherine Selve, mariée à Jean Meynard[12]
  • Luc Selve, photographe
  • Marcel Firmin Selve, soldat au 98ème régiment d’infanterie de ligne, classe 1914, recrutement Brive, domicilié à Chavagnac (Dordogne), né le 11 février 1894 à Chavagnac (Dordogne), évacué le 26 avril 1915, décédé de maladie le 20 janvier 1916, âgé de 20 ans, à Saint-Hilaire-Saint-Mesmin, 45160, Loiret[13]
  • Margareta Selve, mariée le 11 octobre 1862 à Kerlingen (Allemagne), avec Mathias Boeffel, né en 1834 à Büren (D), décédé le 25 novembre 1877 à Büren (D), à l'âge de 43 ans. Mariages et enfants 1834-1877[14]
  • Marie Selve, épouse de Jean-Baptiste Croute, meunier, 62 ans au mariage, le 22 avril 1885 à Arches, de leur fille Louise Croute, mariée à Jean Gire, fils de Bertrand Gire, meunier et de Jeanne Bousquet
  • Marie Julienne Selve, née le 13 avril 1888 à Soursac, 19550, Aussinage, mariée le 23 février 1929, Soursac, 19550, avec Firmin Broussole, né le 16 juillet 1888 à Soursac, 19550, la Terrade, (fils de Jean Broussole, Cultivateur, né le 17 mars 1854 à Soursac, 19550, Durfort et de Toinette Buche, née le 31 juillet 1859 - Soursac, 19550, la Terrade.
  • Marie Justine Anne Selve, veuve, née le 1er novembre 1866 à Corneilla de Conflent (Pyrénées Orientales), domiciliée à Montréjean (Haute Garonne). Pension de 261 Frs, date d’entrée en jouissance le 16 juin 1908. T2 : pensions civiles diverses[15]
  • Pierre Selve, chaudronnier, fils de Joseph Selve (voir Anne Selves) et de Françoise Battut, marié le 22 mars 1890 à Elisabeth Battut, dite Marie[16]
  • Pierre Selve, fils naturel de Catherine Selve et de x inconnu, né le 7 mai 1861 à Arches, décédé le 11 janvier 1917 à Lajarrige, 15010, Arches, marchand de parapluies, chaudronnier, marié le 22 mars 1890 à Arches à Elisabeth Battut, dite Marie, fille de Dieudonné Battut et de Marguerite Mauriac, décédée
  • 1 Simon Selve, & Louise Fraysse, Décédée le 16 novembre 1722 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze[17], dont 6 enfants :
  • 1.1 A Géraud Selve, Laboureur, né avant 1705 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, marié 2 fois, 1er mariage le 26 avril 1733 avec Hélène Mollade, décédée le 4 décembre 1746 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, dont 8 enfants :
  • 1.1.1 A Jean Selve, né le 16 mai 1734 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze
  • 1.1.2 A Louise Selve, née le 26 juin 1735 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze
  • 1.1.3 A Jeanne Selve, née le 10 janvier 1739 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, baptisée le 11 janvier 1739 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze
  • 1.1.4 A Toinette Selve, née le 9 avril 1740 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, baptisée le 10 avril 1740 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, mariée le 6 juin 1758 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, avec Antoine DELFOUR, dont 11 enfants, 6 fils et 5 filles.
  • 1.1.5 A Martin Selve, né le 1er décembre 1741 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, baptisé le 3 décembre 1741 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.1.6 A Jean Selve, né le 1er février 1744 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, Baptisé le 2 février 1744 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.1.7 A Estienne Selve, né le 2 juillet 1745 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, décédé le 1er août 1745 à Polprat, Reilhac-Xaintrie,19220, Corrèze.
  • 1.1.8 A X. Selve, né le 3 décembre 1746 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, décédé le 3 décembre 1746 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.1 B Géraud Selve, 2e mariage le 13 septembre 1747 avec Louise Chanel née à Saligoux, Tourniac, 15700, Cantal, dont 1 fille :
  • 1.1.1 B Françoise Selve, née le 15 mai 1749 à Polprat, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, baptisée le 15 mai 1749 à Reilhac-Xaintrie,19220, Corrèze.
  • 1.2 Jean Selve, né le 12 janvier 1709 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.3 Jeanne Selve, née le 28 février 1713 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.4 Antoinette Selve, née le 7 avril 1716 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, baptisée le 7 avril 1716 à Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.5 Françoise Selve, née le 25 février 1721 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, décédée le 27 février 1721 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • 1.6 Antoinette Selve, née le 27 février 1722 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze, décédée le 27 avril 1756 à Viminier, Reilhac-Xaintrie, 19220, Corrèze.
  • Rosa Selve, décédée le 12 février 1856 à Savignac, 12200, fille de Nicolas Selve et d’Antoinette Costes

de Selve

Moins de 150 personnes fin 2006.

  • A. de Selve (Comte), écrits :
    • Caton, ou la Guerre électorale. Poème. Comte A. de Selve. 1823. Besançon.
    • L’église romaine, poème lyrique adressé au Souverain pontife et aux fidèles, en faveur de l’établissement d’une église catholique à Lausanne. Comte A. de Selve. 1835.
    • Ode à S.S. Grégoire XVI sur la construction de l’église catholique à Lausanne, avec des documents historiques sur l’ancienne église épiscopale de cette ville et létablissement du protestantisme en Suisse, extraits d’ouvrages publiés par les protestants.
    • Vitellie, tragédie en cinq actes (texte imprimé)[18]
  • Claude de Selve, enseigne de Vaisseau, date de cessation d’activité 20 mars 1817, date de décès 24 janvier 1842, mort titulaire d’une pension de retraite de 300 Francs. Marié le 30 juin 1802 à Rose Elisabeth Richard, née le 30 janvier 1784 à Poiroux, Vendée, domiciliée à Nantes. T9 : pensions militaires pour veuves[19]
  • Comtesse de Selve
  • Francine de Selve, est née le 15 mars 1920 à Paris. Elle avait dix neuf ans quand l'armée allemande est entrée en France. Elle se trouvait alors en Franche- Comté et s'est immédiatement engagée comme institutrice à l'école communale d'un petit village près de Gray en Haute Saône. C'est cette expérience qui lui inspira l'histoire racontée dans "La maison du Batiou". Juste après la guerre, tout en fondant une famille de trois enfants, Francine de Selve a poursuivi son métier d'enseignante, d'abord comme institutrice, puis comme professeur de Français et d'Histoire. Elle termina sa carrière dans l'enseignement comme documentaliste au Centre pédagogique de la rue d'Ulm à Paris. Francine de Selve est décédée le 20 décembre 2002 à Paris, à l'âge de 82 ans[20]

• François Joseph de Selve, né le 01/01/1970, titulaire de la Légion d’honneur

  • François Joseph de Selve, vicomte, chef d’escadron en retraite, officier de la Légion d’Honneur le 4 avril 1850[21]
  • Georges de Selve, né le 12/07/1815, marquis, maire de Cerny, 91590 (Essonne), conseiller général de Seine et Oise, chevalier de la Légion d’honneur en 1874[22]
  • Jean de Selve, (1679- † 8 juillet 1751) chevalier, seigneur haut châtelain de Villiers-le-Châtel, de Cerny, de Boissy-le-Cutté (paroisse réunit à Cerny le 28 juin 1803 (10 prairial an XII)), d’Orgemont, de Tanqueux, de Chaudevaux, du fief du péage de La Ferté-Alais et autres lieux.
  • Jean de Selve, Seigneur de Crosmières en 1627[23], seigneur du péage de La Ferté-Aleps (La Ferté-Alais, Essonne) en 1637, Seigneur de Béreau, Villiers-le-Châtel (Essonne).
  • Jean de Selve, marié à ?, dont :
    • Jean François de Selve, Seigneur d’Huison (autrefois Duisans, le premier connu par titres, paroisse réunit à Cerny (Essonne) le 28 juin 1803 (10 prairial an XII), pannetier du roi en 1550, attaché d'ambassade marié à Anne Rémon, née vers 1540, décédée après 1559, parents : Pierre Rémon, Seigneur de Courcelles, premier président au parlement de Normandie en 1540, né avant 1537 et décédé le 29 mai 1553 et Anne Marthe de Selve, née avant 1540[24]
  • Jean-Baptiste de Selve, procureur en la Cour des monnaies, marié à Jeanne Charlotte Dupuis.
  • Lazare de Selve, poète français du XVe siècle, † en 1622. Ayant écrit entre autres : 1) Sur ces mots : Souvienne-toi, Homme, que tu es cendre. 2) Sur ces paroles : Combien de choses avons-nous... 3) Sur l'Évangile du jugement. 4) Sur l'Évangile du Navire de Saint Pierre. 5) Sur le passage du torrent de Cédron. Les œuvres spirituelles sur les évangiles des jours de caresme et sur les festes de l’année[25]
  • Louis Marie de Selve, commis de comptabilité de la marine, souscripteur de la Légion d’Honneur en 1874[26]
  • Marie de Selve : Les origines de Marie de Selve, épouse de Guillaume de Beaumont, chevalier du Boulay[27]
  • Marie Maximilienne Joséphine Georgette de SELVE D'AUDEVILLE, née le 7 mars 1813 à Giat, 63620, Puy de Dôme, Décédée le 8 avril 1884 - Bort-les-Orgues, 19110, Corrèze, à l'âge de 71 ans. Mariée le 1er septembre 1830, Beaulieu, avec Eutrope Alexandre Hyacinthe SALVAING de BOISSIEUX, né le 13 mars 1809 - Salers, 15140, Cantal, décédé le 18 janvier 1838 à l'âge de 28 ans, dont 1 fils, 2 filles :

Étienne Hipolitte Casimir SALVAING de BOISSIEUX Marie Françoise Thérèse Rosalie SALVAING de BOISSIEUX Louise SALVAING de BOISSIEUX[28]

  • N. de Selve, vice-sénéchal à Sarlat en 1717.
  • N. de Selve, beau-frère du pape Innocent VI par mariage à une sœur de ce pape, à Montyrac, petite bourgade du diocèse de Limoges, dont, entre autres :
  • Pierre de Selve, dit de Montyrac, de son lieu de naissance, neveu du pape Innocent VI, chanoine et trésorier de l’église cathédrale de Bayeux, puis évêque de Pampelune (alors Pampelonne,capitale du royaume de Navarre) par autorité du Saint Père le 4 décembre 1356, cardinal prêtre de Sainte-Anastaze et vice-chancelier de l’église romaine. Il fut un des éxécuteur testamentaire du cardinal Albornos. Il a fondé le 4 février 1382 le collège de droit civil et canon Sainte Catherine à Tholose (Toulouse ?), testa le 10 mai 1385 nommant comme exécuteurs testamentaires, entre autres cardinaux, son neveu Hugues (de Selve ?) évêque d’Agde. Mort le 31 mai 1385, il eut pour sépulture le tombeau qu’il se fit construire de son vivant dans la chapelle de l’église des pères chartreux de Villeneuve-Lès-Avignon confrérie alors appelée ‘’la vallée de bénédiction’’ dont il était le second fondateur. Sur son écu il portait, à droite, les armes de son oncle maternel Innocent VI et à gauche celles de sa famille ‘’De gueules au chevron d’argent, accompagné de deux étoiles d’or en chef et d’un rocher de même en pointe’’[29]
  • MONTERUC, Renoul de (?-1382)[30]

Birth. (No date found), Sadroc, Limousine, France. Relative of Pope Innocent VI. Nephew of Cardinal Pierre Salvete de Monteruc (1356), on his mother's side. His first name is also listed as Rainulfo, Rainolfo, Rainulfe, Raynulphe and Renou; and his last name as de Salvete Monteruc, de Selve de Montyrac, Selve de Montruc, Monteruco, de Gorza, de Gorse and de la Gorse. He was called the Cardinal of Sisteron. Education. Studied at the University of Montpellier and obtained a doctorate in canon law.

  • Early life. Canon of the cathedral chapter of Tournai.
  • Episcopate. Elected bishop of Sisteron, January 16, 1370. Consecrated (no information found).
  • Cardinalate. Created cardinal priest of S. Pudenziana in the consistory of September 18, 1378. Regent of the Apostolic Chancery toward June 1, 1381; the chancellor was his uncle, Cardinal Pierre. He brought the monks to his titular church.
  • Death. August 15, 1382, Rome. Buried next to the door of the church of S. Pudenziana, Rome (1).
  • Bibliography. Cardella, Lorenzo. Memorie storiche de' cardinali della Santa Romana Chiesa. Rome : Stamperia Pagliarini, 1793, II, 279-280; Chacón, Alfonso. Vitæ, et res gestæ Pontificvm Romanorum et S. R. E. Cardinalivm ab initio nascentis Ecclesiæ vsque ad Vrbanvm VIII. Pont. Max. 2 volumes. Romae : Typis Vaticanis, 1677, II, col. 646; "Essai de liste générale des cardinaux. VI. Les cardinaux du Grand Schisme (1378-1417)". Annuaire Pontifical Catholique 1931. Paris : Maison de la Bonne Presse, 1931, p. 131; Eubel, Conradus and Gulik, Guglielmus van. Hierarchia Catholica Medii et Recientoris Aevi. Volumen I (1198-1431). Münich : Sumptibus et Typis Librariae Regensbergianae, 1913; reprint, Padua : Il Messagero di S. Antonio, 1960, pp. 23, 46 and 454.

Links.His engraving and biography, in French; and another biography, in French.

  • (1) This is the text of his epitaph, taken from Chacón, Vitæ, et res gestæ Pontificvm Romanorum et S. R. E. Cardinalivm, II, col. 646:

HIC IACET REVEREN. PATER DOMINVS RAINVLPHVS TIT. S. PVDENTIANAE PRESB. CARD. NATIONE LEMOVICEN. DE GENERE D. INNOCEN. PP. VI. QVI IN HOC TIT. SVO MONACHOS CONSTITVIT. ..... AN. MCCCLXXXII. DIE XV. MENS. AVGVSTI[31]

  • Renoul ou Rainulfe de Selve de Monteruc (1370 - 1382). Renoul né dans le Limousin et fils d’Etienne de Montruc et peut-être de Montrol, qui avait épousé une sœur du pape Innocent VI, avait pour oncle le cardinal Pierre de Montruc, évêque de Pamplune. C’est le 28 janvier 1370 qu’il fut élevé à l’épiscopat, d’après le registre d’Urbain V, oû nous lisons que l’Eglise de Sisteron vaquait par la mort de Géraud. Est-il dès lors croyable que l’on eut laissé le siège de Sisteron sans titulaire depuis 1367 jusqu’en 1370 ? Non, il est à croire que Columbi a placé trop tôt la mort de Géraud, qui a dû vivre jusqu’à tout prêt de 1370. Le nouveau prélat, que ses bulles qualifient de chanoine de Tournay et de docteur en décrets, fit, en 1372 à Manosque la consécration solennelle de l’église Saint-Sauveur, que l’on venait de reconstruire de fond en comble. Il est nommé, en 1371, dans les actes publics de Rostaing Bonnet. Le 18 septembre 1378, le pape Urbain VI le fit cardinal du titre de Sainte-Pudentienne et le nomma régent de la chancellerie pontificale pour suppléer son oncle, Pierre de Montruc, qu’il ne voulut pas dépouiller de sa dignité, quoique celui-ci eût embrassé le parti de son compétiteur à la tiare. Urbain VI était guidé en cette circonstance par la vieille amitié qui le liait à Pierre de Selve de Montruc, avec lequel il avait étudié à Avignon, comme l’indique Baluze dans ‘’La vie des papes d’Avignon’’. Le nouveau cardinal fit alors le voyage de Rome et passa à Pise, car les partisans de Clément VII lui fermaient la voie de la mer. La chronique de cette ville le marque d’une façon toute particulière. Renoul ou Rainulfe institua des religieux dans son église cardinalice
  • Renoul mourut à Rome le 15 août 1382, et fut enseveli près de la porte de l’église de Sainte-Pudentienne, sous un tombeau de marbre avec cette inscription : Hic jacet Reveren. Pater dominus Rainulphus tit. S.Pudentianae presb. card. natione Lemovicen. de genere D. Innocen PP. VI, qui in hoc titulo suo monachos constituit... an MCCCLXXXII, die XV mensis augusti. Traduction : Ici gît Révérend Père seigneur, Renoul, cardinal-prêtre du titre de Sainte-Pudentienne, limousin de nation et de la famille su souverain Pontife Innocent VI, qui établit des moines dans cette Eglise, de son titre... 15 août 1382.
  • Jean Columbi, dans son appendice aux ‘’Nuits de Blanchlande, fait observer que Renoul est appelé ‘’Borse’’, et non pas Selve. Celà n’empêche pas que dans les archives de Sisteron il soit nommé de Montruc, et que dans son testament il ne soit appelé ‘’de Cruc’’. Nous devons dire aussi que la plupart des auteurs le nomme Renoul de la Gorze, du nom d’un hameau dépendant aujourd’hui de la commune de Château-Ponsat, arrondissement de Bellac (Haute-Vienne).
  • Renoul de Selve de Montruc portait pour armoiries : mi-parti, au 1er d’or, au chevron de gueules accompagné en chef de deux étoiles de sable, et en pointe d’une montagne à six coupeaux du même, au 2e, de gueules, à un rameau d’or.
  • Pierre François de Selve, capitaine de cavalerie, marié à Louise Hélène Devilliers, dont :
    • Joséphine de Selve, décédée le 10 mai 1803 à Audeville, Loiret, mariée le 8 juin 1791 à Audeville, 45300, Loiret, à Achille Hector de La Taille Trétinville, Sous préfet de Pithiviers, né le 10 août 1760 au château de Trétinville, 45, Loiret, Décédé le 10 décembre 1829 - Pithiviers, 45, à l'âge de 69 ans, dont 2 filles : Euphrasie de La Taille Trétinville née le 30 juin 1792 à Ecuelles, 77250, Seine et Marne, décédée le 31 janvier 1815 à Pithiviers, 45300, Loiret, à l’âge de 22 ans et Marie Joséphine de La Taille Trétinville née le 14 mai 1796 à Audeville, 45300, Loiret, Décédée le 27 septembre 1854 à- Pithiviers, 45300, Loiret à l’âge de 58 ans.
  • ? de Selve, lieutenant de vaisseau. Promu sous Louis XV, chevalier de l’Ordre de Saint-Louis le 15 janvier 1761.

de Selve de Sarran

  • Selve de Sarran (de)[32]

Deselve

  • Jean Louis Deselve, garde du génie de première classe, marié le 28 septembre 1836 à Jeanne Félicité Le Brec décédée le 8 juillet 1843, cessation d’activité par décès le 28 mai 1849, pension militaire pour orphelins (T8) de 300 Frs à compter du 28 mai 1849 en faveur des enfants : Louis Marie Deselve né le 17 septembre 1837 à Lorient (Morbihan), Joseph Auguste Deselve né le 6 mars 1840 à Lorient (Morbihan), Hyacinthe Rose Marie Désirée Deselve née le 20 avril 1843 à Lorient (Morbihan), les 3 enfants domiciliés à Le Brec (Lorient).

Selves

  • En France : 458 personnes portent le nom de famille Selves selon les estimations fin 2006. Le nom Selves est le 22 647e nom le plus porté en France.
  • Anne Selves, fille de Joseph Selves (Voir Pierre Selve) et de Françoise Battut, mariée à Baptiste Croute[33]
  • Anthoine Selves, décédé le 25 mars 1694 à Pons, (Saint-Hippolyte), 12140, Aveyron, originaire de Couesques Basses, Pons, (Saint-Hippolyte, 12140, Aveyron)
  • Antoine Jean Jérôme Selves, né le 12/02/1795 à Sarlat-la-Canéda, Dordogne, titulaire de la Légion d’honneur ; août 2007
  • Béatrix Selves, décédée le 14 décembre 1751 à Thérondels, 12600, à l’âge de à 70 ans (née vers 1671), 12600, Aveyron
  • Catherine Selves, originaire de La Varélie, Lavergne, mariée le 14 juin 1719 à Castelmary, 12800, avec Jean Delbruel, tisserand, originaire de Le Coustalou, Lavergne, fils de Pierre Delbruel, temoin Joseph Delbruel frère du marié
  • Catherine Selves, fille de Jean Selves et de Marie Favre, mariée le 10 octobre 1735 à Bor-et-Bar, 12270, avec Antoine Fronciel, vigneron, originaire de Laurelie, Bor-et-Bar, 12270, fils de Jean Franciel et de Jeanne Gayrard
  • Catherine Selves, 26 ans (née vers 1740), originaire de Rebouyrès, Lavergne, fille de Jean Selves et de Marie Jean, mariée le 27 mai 1766 à Castelmary, 12800, avec Jean Carrié, 30 ans (né vers 1736), travailleur, originaire de Favols, La Plancade, fils de Joseph Carrié et de Marie Molenier
  • Charlotte Selves, née le 2 septembre 1719 à Bordeaux, fille de Jean Selves, bourgeois, et de Jeanne Bouder. Mariée le 18 janvier 1745 à l’église Saint-Projet de Bordeaux (ou à Bourg d’Izon, près de Libourne ?) à Abraham Lawton, protestant anglais venant de Cork (Irlande) installé à Bordeaux depuis 1739 (Peut-être une régularisation d’un mariage antérieur à l’étranger car ils déclarent avoir une fille, Marie, baptisée le 15 octobre 1740) dont 1 fille : Marie, fille naturelle sur son acte de baptême du 15 octobre 1740 et 1 fils Guillaume, dont : Jean Edouard, 1791-1843, député de la Gironde, dont Daniel 1820-1879, conseiller général du Lot et Garonne. Les Lawton sont une grande famille de courtiers bordelais[34].
  • Cyprien Selves, marié le 22 septembre 1864 à Saint-Martin-la-Méanne, 19320, Corrèze, avec Catherine Murat
  • Émile Selves, caporal au 7ème régiment d’infanterie de ligne, décédé de ses blessures de guerre à l’hôpital de Sainte-Ménéhould (Marne) le 25 février 1916[35]
  • Étienne Selves, entrepreneur de construction, a notamment construit l'hôpital de Moissac (82) entre 1776 et 1782[36]
  • François Selves, ABT 1806 à Arches, marié à Catherine Lafarges, dont une fille Marie Selves
  • Françoise Selves, Originaire de Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320), mariée le 10 septembre 1686 à Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320) avec Pierre Espinasse, originaire de La Genrie, Rignac, 12390
  • Guy Selves, maire de Sainte-Radégonde (33350) depuis mars 2001.
  • H. Selves, Vendredi 24 novembre 2000, Richelieu Drouot salle 7, vente d’instrument scientifique et de marine : Parmi les pièces les plus prisées des amateurs retenons qu’il fallait pousser la mise jusqu’à 44 000 Frs pour se voir confier un globe terrestre par H. Selves, 2ème édition avec une enveloppe formant sphère céleste[37]
  • Henri Selves, écrivain, poète, cultivateur de la Brie.
  • Jean Selves, receveur des tailles, en fonction dès 1665.
  • Jean Selves, décédé le 8 juin 1669 à Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320), originaire de Saint-Paul du bourg de Salles-Comta
  • Jean Selves, né le 18 octobre 1692 à Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320), fils de François Selves et de Marguerite Fraysse, parrain Jean Bacbec, marraine Catherine Selves
  • Jean Selves, originaire de La Varélie, Lavergne, fils de Jean Selves, marié le ? avril 1733 à Castelmary, 12800, avec Marie Jean, originaire de Rebouyrès, Lavergne, fille de Antoine Jean
  • Jean Selves, menuisier, fils de François Selves et de Catherine Lafarge, marié à Marie Delpeuch. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.</ref>
  • Jean-Baptiste Selves, né à Montauban en 1757, mort à Paris le 16 juillet 1823. Jurisconsulte et magistrat. Il exerça dans sa jeunesse la profession d'avocat au parlement de Toulouse et remplit en même temps les fonctions de juge au présidial et à la cour prévôtale de Montauban. Président du tribunal criminel du Lot, député du Conseil des Cinq-Cents en 1797, nommé par Bonaparte juge au tribunal criminel de la Seine puis président du tribunal criminel de Montauban en 1801, député du Lot au XIXe siècle.
  • Ses opinions, à ce qu'il parait, ne furent point d'abord favorables aux innovations révolutionnaire, et il fut en butte aux premiers excès qui signalèrent cette époque. Il nous apprend lui-même, que les grenadiers du régiment de Touraine, excités contre lui, s'emparèrent de son domicile, brisèrent ses meubles, et qu'il n'évita d'être pendu par eux, qu'en se sauvant sur les toits de sa maison, et en allant se cacher à Toulouse. Cependant on voit qu'il s'accommoda plus tard des changements qui s'opéraient ; car il accepta plusieurs des fonctions qui furent créées.
  • Nommé président du tribunal criminel de son département (le Lot), dans un temps ou les partis, qui triomphaient et succombaient tour-à-tour, s'envoyaient aussi tour-à-tour à l'échafaud, il sut concilier ses devoir avec l'humanité, et rendit d'importants services à plusieurs proscrits, notamment au comte de Beaumont, neveu de l'archevêque de Paris, à madame de Fumel ... Il raconte qu'il empêcha la vente d'un bien d'émigré produisant trente mille Francs de revenus, et que l'émigré, à sa rentrée en France, a recouvré cette belle propriété.
  • Jean-Baptiste Selves nommé, en 1797, par son département, député au Conseil des Cinq-Cents ; mais cette élection fut annulée par les mesures arbitraires qui suivirent la révolution du 18 fructidor (4 septembre 1797).
  • Bonaparte, arrivé au pouvoir, le nomma juge au tribunal criminel de la Seine; il siégeait dans cette cour lors du procès, fait en 1804 à Jean-Charles Pichegru, George, Jean Victor Marie Moreau et à un grand nombre d'agents des Bourbons, à l'occasion qui fut faite pour renverser Bonaparte et replacer l'autorité dans la maison des Bourbons. Jean-Baptiste Selves fut l'un des cinq membres qui opinèrent contre Moreau à la peine capitale. Lecourbe, son collègue, ayant, au retour du roi, en 1814, fait connaitre, dans une brochure, les circonstances des débats qui avaient eu lieu entre les douze juges, Selves lui répondit, et s'il ne se justifia pas auprès des esprits impartiaux, sur la sévérité de son opinion, il ne laissa du moins qu'un léger doute sur le peu de fondement du reproche qui lui était fait, d'avoir été un des juges qui, étant sortis de la chambre du conseil , pendant la délibération, allèrent, dans la pièce voisine, se concerter avec Réal et Savary, et ne rougirent pas de céder aux suggestions de ces deux négociateurs, en vendant leur opinion à Bonaparte. Selves prétend qu'il ne se vendit point, et qu'il ne crut qu'être juste en étant rigoureux (Selves a développé, sur sa doctrine en matière de conspiration, des principes que nous ne saurions adopter. Ceux qui cherchent à briser un régime usurpateur et à rétablir l’ordre légitime, trouveront sans doute, lorsqu’ils échoueront, des hommes tout prêts à les condamner, mais l’arrêt sera le déshonneur des individus qui y auront pris part. La légitimité est une paternité véritable dont les droits ne peuvent être rendus problématiques par des évènements quels qu’ils soient, et l’on n’est jamais coupable dans les efforts qu’on fait pour la rappeler, parce que c’est a-la-fois devoir et justice. L’auteur de cet article tient ce langage d’après sa conscience ; il n’a pas besoin pour parler ainsi, de se souvenir qu’il était à côté des victimes de cette tentative malheureuse, et que la fuite seule l’empêcha de partager leur sort.). Quoiqu’il en soit, que Selves ait cédé au pouvoir, comme l’a prétendu Claude Jacques Lecourbe, ou qu’il l’ait servi par conviction, il garda ses... (manque la suite page 546).
  • En 1811, n’ayant pas été compris dans l’organisation de la cour d’appel de Paris, il commença dès-lors ces longs travaux de chicane qui l’ont rendu célèbre au palais. Dans une foule d’écrits il attaqua les avoués et les juges avec emportement et passion, mais souvent avec justice. De là de fréquents procès, de nombreuses persécutions, dont il a fait lui-même le récit prolixe, et qui ont duré jusqu’à sa mort, en 1823.
  • Il était un procédurier engagé dans plus de cent procès ce qui lui causa sa ruine.
  • Jean-Baptiste Selves a eu un fils : Henri Antoine Auguste Selves, né à Montauban le 2 juillet 1790, imprimeur lithographe, conseiller général et député de Seine-et-Marne de 1837 à 1839. Publications : Parmi la cinquantaine d'écrits publiés par Selves, et la plupart relatifs à des affaires personnelles, nous citerons : Corps législatif. Conseil des Cinq-Cents. Rapport par J.-B. Selves, député du Lot, au nom d'une commission composée des représentants du peuple Deschamps, Albespy et Selves, sur les doubles élections du canton de Poujol, département de l'Hérault. Séance du 2 fructidor an V. In-8[38]
  • Explication de l’origine et secret du vrai jury, etc., Paris, 1811, in-8.
  • Tableau des désordres dans l’administration de la justice, et des moyens d’y remédier, ibid. 1812, 1815, IN-8.
  • Les Droits de Louis XVIII sans nouvelle constitution. In-8[39]
  • Au roi : la vérité sur l’administration de la justice, ibid., 1814.
  • On lui attribue : Opinions et réflexions d’un vieil étudiant en législation criminelle sur la procédure du maréchal Ney, etc., décembre 1815.
  • Plan d’une nouvelle organisation judiciaire pour le criminel et le civil, ib., 1818, in-8.
  • À la cour de Paris. Avertissement sur la conspiration de 1820.
  • À la Chambre des Pairs. Comparaison très humble de mon projet de règlement avec celui qui a été présenté à la Chambre par les ministres, le 21 avril 1821. In-8, 16 pages[40]
  • Pronostic sur la loi de répression des délits de la presse en février 1822, à la chambre des pairs. (Signé : Selve... 11 février 1822). In-8, 11 pages. [41]
  • Résultat de l'expérience contre le jury français et projet succinct d'un nouvel ordre judiciaire…. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Droit, économie, politique, Cote : F-43290, notice n° : FRBNF33587225
  • La mort aux procès, ouvrage destiné à perfectionner la procédure civile, à détruire le germe des neuf-dixièmes des procès…. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Droit, économie, politique, cote : MFICHE F-40287, notice n° : FRBNF33493774
  • M. Mahul a donné la liste des ouvrages de Selves au tome IV de son Annuaire nécrologique[42]
  • Jean Léopold Selves, né le 28 janvier 1869, directeur des contributions indirectes à Limoges (Haute-Vienne), chevalier de la Légion d’honneur le 12 août 1928. Surnuméraire le 24 janvier 1889, commis le 12 septembre 1889, commis principal le 5 novembre 1895, rédacteur à la direction générale le 15 octobre 1903, rédacteur principal le 20 février 1908, inspecteur le 18 septembre 1911, sous-directeur le 17 juillet 1919, détaché en Alsace-Lorraine le 8 février 1921, directeur, maintenu détaché le 16 mars 1921, directeur à Limoges le 31 décembre 1921.
  • Jeanne Selves, fille de Georges Selves et de Catherine Lafarge, mariée à Jean Poignet, garde-champêtre[43]
  • Laurent Selves, soldat au 17e bataillon de chasseurs à pied, né le 3 septembre 1832 à Sauveterre (Aveyron), domicilié à Sauveterre (Aveyron), 9 ans 16 jours de services, pension de 413 Frs pour perte absolue de l’usage d’un membre, date d’entrée en jouissance le 16 janvier 1857. T10 : pensions militaires diverses[44]
  • Marguerite Selves, originaire de Saint-Paul (Salles-la-Source 12320), fille de Jean Selves, mariée le 26 juillet 1674 Saint-Paul (Salles-la-Source 12320), avec François Ferrand, originaire de Sensac Agen (47000)
  • Marie Selves, décédée le 1 janvier 1663 à Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320), originaire de Saint-Paul-du-Bourg
  • Marie Selves, 25 ans (née vers 1733), originaire de Rebouyrès, Lavergne, fille de Jean Selves et de Marie Jean, mariée le 31 janvier 1758 à Castelmary, 12800, avec Pierre Blanc, travailleur, 25 ans (né vers 1733), originaire de Louradou, Lespinassole, fils de Pierre Blanc et de Hélène Boudou
  • Marie Selves, 25 ans (née vers 1764), originaire de Rebouyrès, Castelmary, 12800, fille de Jean Selves et de Marie Blanc, mariée le 18 février 1789 à Castelmary, 12800, avec Jacques Vidal, 25 ans (né vers 1764), brassier, journalier, originaire de Le Batut, Cabanès, fils de Jacques Vidal et de Anne Mirabel. Témoins du mariage : Jean Selves frère de la mariée, et Joseph Feral frère maternel du marié
  • Marie Selves, née le 21 février 1792 à Rebouyres, Lavernhe-Tayrac, 12150, Aveyron, fille de Jean Selves et de Marie Alasard, mariée le 27 janvier 1809 à Tayrac, 12440, Aveyron, avec Joseph Foulquié né le 9 septembre 1785 à Le Bès, Lavernhe-Tayrac, 12150, Aveyron, cultivateur, fils de Pierre Foulquié et de Marie Sentoul
  • Marie Selves, née le 15 janvier 1842 à Arches, 15010, Cantal, fille de François Selves et de Catherine Lafarge, mariée le 6 mars 1865 à Arches avec Jacques Verdy, dont un fils François Urbain Verdy marié à 24 ans le 26 novembre 1890 à Arches à Louise Battut
  • Marie Anne Selves, fille de Pierre Selves et d’Elisabeth Raimond, mariée à Jacques Verdy, garde, 59 ans[45]
  • Pierre Selves, conseiller, siégeant en 1661 et en 1670 en Dordogne.
  • Pierre Jean Selves, né le 12 juin 1686 à Saint-Paul (Salles-la-Source, 12320), fils de François Selves et de Marguerite Fraysse, parrain Pierre Fraysse, marraine Françoise Selves
  • Pierre Jean Baptiste Selves, né le 09/02/1817 à Salles-la-source, Aveyron. Titulaire de la Légion d’honneur
  • René Auguste Selves, lieutenant du centre de mobilisation d’infanterie n° 154, chevalier de la Légion d’honneur le 28 décembre 1928[46]
  • Simone Selves, épouse de Jean Lurçat né à Bruyères le 1er juillet 1892, mort le 6 janvier 1966 à Saint-Paul de Vence. Est un rénovateur de la tapisserie contemporaine. Il fut étudiant à Épinal puis à Nancy. Il était membre des Académies de Sciences et des Beaux-Arts de France, de Belgique et du Portugal, président du cercle d'information de la tapisserie ancienne et moderne. Elle à fait une importante donation des œuvres de son mari à l'Académie des Beaux Arts en décembre 2001. Elle vit actuellement à Paris et se rend au château de Saint Laurent 4 à 6 mois par ans[47]
  • Vincent Joseph Édouard Selves, né le 21/05/1868 à Pau, Pyrénées-Atlantiques. Chef de bureau au ministère de la guerre, officier de la Légion d’honneur le 22 juin 1925[48]

de Selves

  • Moins de 150 personnes fin 2006
  • Famille de Selves, seigneurs de Selves, de La Vinzelle, du Bac, de Grandvabre. Armes : De gueules, à 3 pals d’or, à la bordure d’hermine. Le château seigneural de Selves, situé dans la paroisse de La Vinzelle, sur les hauteurs qui bordent la rive droite du Lot, près des limites du canton d’Aubin, était anciennement possédé par une famille du nom de Selves qui s’éteignit vers le commencement du XVIIème siècle. Jean de Selves, alias Seyrac, habitant de La Vinzelle, était homme d’armes du comté en 1460. Antoine de Selves eut pour enfants Jean de Selves dont on va parler et Antoinette de Selves qui épousa Georges de Cambefort en 1562. Jean de Selves se maria avec Antoinette de Cabanes, héritière de la maison d’Entraygues de Moret, laquelle, étant veuve et sans enfants, disposa de ses biens en 1652, en faveur de François de La Roque-Senezegues, seigneur haut de Moret. Il parait qu’à cette époque la terre de Selves passa dans la maison de Cambefort, car Julien de Cambefort, vivant alors, est qualifié dans quelques actes seigneur de Selves.
  • Famille de Selves, seigneurs de Selves, Condat, Genebrède, en Quercy, élection de Cahors. Nobles depuis 1508, maintenus le 18 octobre 1698 par Le Pelletier. Armes : Parti au 1, d’azur, à la tour d’argent, maçonnée de sable; au 2, de gueules, à deux fasces d’or[49].
  • Antoine de Selves, seigneur de la Martinie, marié à Anne de Corn (Laprède ?), fille de François de Corn, dont :
    • Isabeau de Selves, épouse de Guillaume de Viguier, (dont la petite fille eut une nombreuse descendance de François d’Escudié, maréchal de bataille des armées du roi), dont une fille : Suzanne de Viguier, mariée (par contrat du 23 février 1619, Cabridens, notaire à Figeac) à Pierre Laporte, docteur en droit, avocat au parlement de Toulouse, syndic de la province de Quercy, fils de Pierre Laporte.
    • Suzanne de Selves, mariée 2 fois : A) à Philippe de Murat, gouverneur de Capdenac, puis B) à Jean de Latrémolière, seigneur de Faulat. Sa descendance se continua dans les familles Falret de Lagasquie, Germain de Labarthe, de Méja, de Salgues, ...
  • Cécile de Selves, 1702-1763, fille de Jean Baptiste de Selves, seigneur du Breuil, bourgeois et marchand (qui signe Du breuil de Selves) et de Pétronille de Ville, mariée le 21 octobre 1732 à Jean Baptiste Fonsale, dont 5 enfants, 4 fils et 1 fille : Jean Baptiste Fonsale né le 7 juin 1735, Pétronille Fonsale née le 7 novembre 1736, Jean Baptiste Fonsale né le 17 mars 1741, Jean Baptiste Fonsale né le 13 juillet 1748, décédé le 27 mars 1753 (âgé de 5 ans), Jean Baptiste Fonsale né le 28 juin 1753, décédé le 15 juin 1763 (âgé de 10 ans).
  • Demoiselle de Selves de Saint-Avit, marié à Jean François Léon de Gascq, reçut chevalier de Malte en 1784, fils de Marc François de Gascq, dont que des filles.
  • Isabeau de Selves, devait bientôt se marier avec noble Jean de Maulbuisson, écuyer. L’évêque de Cahors étant au château d’Albas le 17 novembre 1590, paya à Isabeau 333 écus qui lui avaient été légués par dame Claude de Gontaud-Biron. Ce paiement fut effectué en présence de messire Pons de Thémines, baron du lieu, chevalier de l’Ordre du roi, sénéchal et gouverneur au pays de Quercy, de noble Antoine de Gimbal et de Charles de Moysen, écuyer.

• Gustave Fulcran Germain de Selves, né le 30/11/1867 à Metz, Moselle. Titulaire de la Légion d’honneur

  • Gustave Lucien Gaston de Selves, marquis, né en 1875 à Montauban, chef d’escadron au 3ème régiment de dragons, croix de guerre 14-18, officier de la Légion d’Honneur le 22 décembre 1922[50]. A laissé aux Selve de Sarran, les papiers et portraits de famille. Son fils unique est mort accidentellement à Sarlat avant 1927.
  • Jean de Selves, seigneur de Selves en Rouergue, de Genebrède en Quercy, fils d’Antoine de Selves et de Guillemette de Montvallat, marié avant 1669 à Marguerite Jeanne de Cadrieu, que son frère Jean de Cadrieu, par testament du 17 septembre 1711 (il décéda le 9 novembre 1711) laissa 15.000 Livres à chacun de ses 5 enfants et la désigna comme l’une de ses deux héritières universelles, la seconde étant sa femme.
  • Jean Jérôme de Selves, né le 20/08/1789 à Sarlat-la-Canéda, Dordogne ancien chef de bataillon au 30ème de ligne, officier de la Légion d’Honneur le 29 septembre 1837[51]
  • René de Selves, mort pour la France, Légion d’honneur (posthume), croix de guerre (Palme), sous-lieutenant au 2ème bis régiment de zouaves de marche, citation : ‘’Jeune et brillant officier, qui, pendant tous les combats en novembre 1916, avait été pour sa troupe un modèle d’audace et d’entrain, marchant toujours en tête, toujours le premier à l’attaque. Après avoir pris la meilleure part à la conquête de la côte, s’était élancé dans les tranchées ennemies pour les nettoyer à la grenade. A disparu dans une violente lutte corps à corps, avec les défenseurs de ces tranchées’’[52]

René de Selves, né vers blessé mortellement renversé par un tramway à Sarlat en 1911, décédé peu après à Paris.

  • René Auguste Joseph de Selves, capitaine d’infanterie de marine, domicilié à la maison de retraite des Récollets à Romans sur Isère 26100 (Drôme), officier de la Légion d’honneur le 9 février 1968 (J.O. du 15 février 1968 : armées, réserve)[53].

La Selve

  • Moins de 150 personnes fin 2006.
  • Albert La Selve, mort pour la France[54]
  • Antoine La Selve, médecin obstétricien, auteur français
  • Edgar La Selve (1849-1892)[55], professeur de rhétorique au Lycée National de Petion, Port au Prince, Haïti. A écrit :

- Les Amours infortunés de Léandre et d'Héron - Biographie de Charles Baillairgé, Paris 1889, avec addenda jusqu'à ce jour, par Léon Lortie, Québec, 1897 - Fleurs des tropiques, sonnets exotiques - Biographie de M. Deveau-Carlier, bienfaiteur de l'humanité - Entre les tropiques. En Barbaco, souvenirs de voyage, littérature - Romans exotiques illustrés. Le général Cocoyo, mœurs haïtiennes - Romans exotiques illustrés. Sous les palmiers d'Algérie, trois jours de quarantaine - Romans exotiques illustrés. Ana-Magna. Esquisse biographique de l'auteur, par Benoit d'Haurenne - Histoire de la littérature haïtienne, depuis ses origines jusqu'à nos jours, suivie d'une anthologie haïtienne - La république d'Haïti, ancienne partie française de Saint Domingue - Le pays des nègres, voyage à Haïti - Les terres françaises. La Guadeloupe et ses dépendances - M. le Chevallier G. des Godins de Souhesmes (biographie) - Nouvelles patriotiques : Une Lorraine - Récits patriotiques illustrés. La Laüvetto. Préface d'Elie Maine de Biran - Récits patriotiques illustrés. L'artilleur de Longwy. Préface d'Elie Maine de Biran

  • Jean La Selve : Maison, localisation : Rhône-Alpes ; Ardèche ; Viviers. Aire d'étude : Viviers. Adresse : 3e maison, rue de la République. Dénomination : maison. Parties constituantes : four à pain. Epoque de construction : 14e siècle, 15e siècle (?) ; 2e quart 17e siècle. Année : 1637. Auteur(s) : maître d'œuvre inconnu. Historique : Maison 14e ou 15e siècle, fenêtre à traverse chanfreinée conservant un vitrail fixe en verre blanc. Divisée en 2 membres dans le compoix de 1592. Au 17e siècle, un membre appartient au notaire Jean La Selve, et comprend un four de boulanger. L'autre membre appartient à Pierre de Panisse qui, en 1637, fait consolider la maison par des contreforts en pierre de taille (actes notariés) . Travaux exécutés par les maçons George Rourre, de Viviers, et Sébastien Rony, de Privas. Marques de tâcheron et de pose G, B...

Gros-œuvre : calcaire ; pierre de taille ; moellon ; enduit. Couverture (matériau) : tuile creuse. Etages : 2 étages carrés. Couvrement : voûte en berceau. Décor : sculpture ; vitrail ; ferronnerie. Couverture (type) : toit à longs pans. Escaliers : escalier intérieur ; escalier droit. Typologie : logis à l’étage, escalier intérieur ; génoise. Propriété privée. Type d'étude : inventaire fondamental. Référence : IA00047708. © Inventaire général du patrimoine culturel, Région Rhône-Alpes. Enquête : 1977. Date versement : 1987 AVANT. Dossier consultable : Service régional de l'inventaire Rhône-Alpes. Le Grenier d'Abondance - 6, Quai Saint Vincent - 69001 Lyon - 04.72.00.43.70

  • Jean-Pierre La Selve, musicologue, écrivain
  • Marie Philippe Hippolite La Selve, auteur français
  • Philippe H. M. J. La Selve, chef d’escadron, 27 ans de services et major, 12 campagnes, cité, nommé chevalier de la Légion d’honneur par décret du 20 août 1860 (armées)[56].
  • Richard La Selve, écrivain français
  • Roger La Selve, écrivain français
  • Zacharie La Selve, écrivain français
  • La Selve : Publications dans le journal Pilote en 1959 :
    • No Type Titre Co-auteurs
    • 1 Rédactionnel Des légendes qui ont la vie dure
    • 2 Rédactionnel Les animaux changèrent le cours de l’histoire
    • 3 Rédactionnel Les sens uniques ont été créés avant Jésus–Christ
    • 4 Rédactionnel Ce ne sont pas des oiseaux et pourtant ils volent

Laselve

  • Henri Augustin Laselve, né le 3 octobre 1795 à Paris, intendant militaire, durée de services 69 ans 5 mois 9 jours, pension de 8000 Frs à compter du 10 juillet en 1878<ref<CD Les pensionnés du XIXe siècle.</ref>. Officier de la Légion d’honneur le 12 avril 1850[57].
  • Auguste Achille Henri Laselve, capitaine au 36ème régiment d’infanterie, officier de la Légion d’honneur le 3 septembre 1898[58].

Laselves

  • Antoine Jean Martin Arthur Laselves, médecin principal de marine, réserviste, officier de la Légion d’honneur le 17 janvier 1919[59].

de La Selve

  • Albert de La Selve, chef d’état major de la 63ème division d’infanterie, mort le 21 janvier 1915[60]
  • Auguste de La Selve, chef de bataillon au 222ème régiment d’infanterie de ligne, Légion d’honneur, croix de guerre, mort pour la France, mortellement blessé en Lorraine le 30 août 1914, décédé le 16 septembre 1914, citation : ‘’Au combat du 30 août, a fait preuve des plus belles qualités militaires de courage et de bravoure, son bataillon étant engagé en première ligne. A été mortellement frappé à la tête de son unité qu’il portait en avant sous un feu violent et bien ajusté’’. Marié à Mlle de Montluisant[61].

Channac de La Selve

  • Albert Channac de La Selve, commandant, légion d’Honneur, marié à Marie Yvonne Ribet, mort pour la France, décédé des suites d’un accident survenu en service commandé le 9 janvier 1915[62].
  • ? Channac de La Selve, chef de bataillon H.C.E.M., mort au champ d’honneur en 1915, Saint-Cyrien, promotion de Cronstadt (1890-1892)[63].
  • Marie Jean Charles Albert Channac De La Selve, né le 30/06/1869 à Grospierres, Ardèche. Annuaires des titulaires de la Légion d’honneur

Von Selve (Suisse)

Écrits, par les Selve

  • Basse & Selve. Altena, Westphalia.
    • Wohlfahrts-Einrichtungen der Metallwerke. Langue : Allemand. Éditeur : [Altena] Lüdenscheid i.W., Druck C.v.d. Linnepe [1906]. OCLC: 24049664[65]
    • Wohnungen für lungenkranke Arbeiter der Firma Basse & Selve in Altena i.W. Langue : Allemand

Éditeur : Lüdenscheid, Druckerei C.v.d. Linnepe [190-?][66]

  • Christian Selve. Fouras, (Charente Maritime). 1998, 120 pages brochées, Imprimerie J-M Bordessoules, 17, Saint Jean d’Angély[67]. 98,00 Frs.
  • Bertrand Lassere ; (avec la collaboration) de H. Selve ; réal. par Éric Duvivier. Stress et magnesium. (Enregistrement vidéo). Bâle : F. Hoffmann-La Roche Pharma Suisse [prod.] ; Lausanne : Télécinéromandie [diff.], 1991. 1 Vvidéo cassette [VHS] (14 min.) : couleur PAL. Collection TVM ; no 9. Rediffusé le 25.4.1991 et le 26.4.1991 par TCR. Vaud : Bibliothèque universitaire de médecine [La 70]. No RERO : 1530130. Autre auteur : Télécinéromandie (Lausanne). Collection TVM : magazine de télévision médicale[68]
  • J. Selve. Manuel d'arithmétique pour les écoles primaires françaises du canton de Berne : exercices et problèmes écrits, VIIe année. 5e édition. Berne : Librairie de l'État. 1925. 2 vol. Contient [1]: Manuel de l'élève [2] : Manuel du maître. Jura, Bibl. cant. jurassienne [Po C]. N° RERO : R003624577
  • Léonard Selve. Livre de raison. (cité dans les « Chroniques du Chanoine Tarde ». page 35).
  • Norma Selve. Der Einfluss von Gelsolin aus Humanthrombozyten auf die Bildung von Aktinfilamenten - Manuscript text ; Thesis/dissertation. Ruhr-Universitat Bochum, 1986. OCLC: 52282134[69]
  • Stephane Selve. Thierry Fellmann. Étude du fonctionnement et propositions d'amélioration de la Coopérative pour la promotion de l' élevage de Mayotte (COPPREL) - Agriculture, Coopérative (Mayotte); Poultry industry (Mayotte). Éditeur : (Mamoudzou) : Direction de l'agriculture et de la forêt de Mayotte, Service productions et structure agricole, Cellule statistiques et études économiques, [1993]. OCLC: 36393471[70]
  • Valérie Selve. Rôle attributions des nomarques dans les cultes locaux de la cinquième à la douzième dynastie. - Thesis (doctoral) Université Charles de Gaulle-Lille III, 1997. Éditeur : Lille : A.N.R.T, Université de Lille III, 1997. OCLC: 52350325[71]
  • Walther Selve. Meine Reisen durch fünf Erdteile - 1943 -[72]
  • Comte A. de Selve.
    • Caton, ou la Guerre électorale. Poème. 1823. Besançon.
    • L’église romaine, poème lyrique adressé au Souverain pontife et aux fidèles, en faveur de l’établissement d’une église catholique à Lausanne. 1835.
    • Ode à S.S. Grégoire XVI sur la construction de l’église catholique à Lausanne, avec des documents historiques sur l’ancienne église épiscopale de cette ville et l’établissement du protestantisme en Suisse, extraits d’ouvrages publiés par les protestants.
    • Vitellie, tragédie en cinq actes (texte imprimé) Comte A. de Selve. Paris, Nepveu, 1810. 75 pages in-8°. Théâtre français 10 novembre 1809. 2 exemplaires à la BNF, notice FRBNF 38663396, cote 8 RF 35080 ET 8 RF 350081.
  • Francine de Selve, est née le 15 mars 1920 à Paris. Elle avait dix neuf ans quand l'armée allemande est entrée en France. Elle se trouvait alors en Franche Comté et s'est immédiatement engagée comme institutrice à l'école communale d'un petit village près de Gray en Haute Saône. C'est cette expérience qui lui inspira l'histoire racontée dans "La maison du Batiou". Juste après la guerre, tout en fondant une famille de trois enfants, Francine de Selve a poursuivi son métier d'enseignante, d'abord comme institutrice, puis comme professeur de Français et d'Histoire. Elle termina sa carrière dans l'enseignement comme documentaliste au Centre pédagogique de la rue d'Ulm à Paris. Francine de Selve est décédée le 20 décembre 2002 à Paris, à l'âge de 82 ans.
    • La nouvelle chèvre de Monsieur Seguin, [Œuvre Suisse des Lectures pour la Jeunesse, N°857], 1964, illustrations Freddy Huguenin
    • L'ami du petit Chaperon Rouge, [Œuvre Suisse des Lectures pour la Jeunesse N°862], 1968, illustration Ruth Guinard
    • La maison du Batiou, Magnard, coll. "Fantasia", 1969, illustrations de Michel Gourlier
    • Le pommier doux, Magnard, coll. "Fantasia", 1976
    • Nicos de Provins, Casterman, coll. "passé composé", 1994
  • Jean-Baptiste Selves, Parmi la cinquantaine d'écrits publiés par Selves, et la plupart relatifs à des affaires personnelles, nous citerons :
  • Corps législatif. Conseil des Cinq-Cents. Rapport par J.-B. Selves, député du Lot, au nom d'une commission composée des représentants du peuple Deschamps, Albespy et Selves, sur les doubles élections du canton de Poujol, département de l'Hérault. Séance du 2 fructidor an V. In-8. Publication : Imprimerie nationale, Paris, fructidor an V 1797. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, Cote : 8-LE43-1300, notice n° : FRBNF36355719
  • Explication de l’origine et secret du vrai jury, etc., Paris, 1811, in-8.
  • Tableau des désordres dans l’administration de la justice, et des moyens d’y remédier, ibid. 1812, 1815, IN-8.
  • Les Droits de Louis XVIII sans nouvelle constitution. In-8. Publication : Guitel, Paris, 1814. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LB45-564, notice n° : FRBNF36449349
  • Au roi : la vérité sur l’administration de la justice, ibid., 1814.
  • On lui attribue : Opinions et réflexions d’un viel étudiant en législation criminelle sur la procédure du maréchal Ney, etc., décembre 1815.
  • Plan d’une nouvelle organisation judiciaire pour le criminel et le civil, ib., 1818, in-8.
  • A la cour de Paris. Avertissement sur la conspiration de 1820.
  • À la Chambre des Pairs. Comparaison très humble de mon projet de règlement avec celui qui a été présenté à la Chambre par les ministres, le 21 avril 1821. In-8, 16 pages. Publication : (Paris,) : imprimerie de Doublet, Paris, (sans date). Conservé à la BNF Tolbiac, Département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LE56-2, notice n° : FRBNF31350004
  • Pronostic sur la loi de répression des délits de la presse en février 1822, à la chambre des pairs. (Signé : Selve... 11 février 1822). In-8, 11 pages. Publication : imprimerie de Chassaignon, Paris, (sans date). Conservé à la BNF Tolbiac, Département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LB48-3644, notice n° : FRBNF34030887
  • Résultat de l'expérience contre le jury français et projet succinct d'un nouvel ordre judiciaire…. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Droit, économie, politique, Cote : F-43290, notice n° : FRBNF33587225
  • La mort aux procès, ouvrage destiné à perfectionner la procédure civile, à détruire le germe des neuf-dixièmes des procès…. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Droit, économie, politique, cote : MFICHE F-40287, notice n° : FRBNF33493774

M. Mahul a donné la liste des ouvrages de Selves au tome IV de son Annuaire nécrologique

  • Edgar La Selve (1849-1892), Professeur de rhétorique au Lycée National de Petion, Port au Prince, Haïti. A écrit :
    • La république d'Haïti, ancienne partie française de Saint Domingue. Éditeur : Limoges : E. Ardant et cie, [1870], Éditeur : [Paris, 1879], Éditeur : Limoges : Eugène Ardant et cie, [1888][73]
    • Antiquités d'Haïti, considérations sur la volonté, conseils aux jeunes gens. Éditeur : Port-au-Prince, J.J. Audain, 1874[74]
    • Histoire de la littérature haïtienne, depuis ses origines jusqu'à nos jours, suivie d'une anthologie haïtienne. Éditeur : Versailles, Imprimerie et stéréotypie Cerf et fils, 1875[75]
    • Le pays des nègres, voyage à Haïti. Éditeur : Paris, Hachette et cie., 1881[76]
    • Romans exotiques illustrés. Le général Cocoyo, mœurs haïtiennes. Éditeur : Paris, E. Dentu & Cie, 1888[77]
    • M. Charles-P.-F. Baillairgé : maître-correspondant. Éditeur : Paris : Revue exotique illustrée, 1889[78]
    • Biographie de Charles Baillairgé, Paris 1889, avec addenda jusqu'à ce jour, par Léon Lortie, Québec, 1897[79]
  • Les amours infortunés de Léandre et d'Héron
    • Fleurs des tropiques, sonnets exotiques
    • Biographie de M. Deveau-Carlier, bienfaiteur de l'humanité
    • Entre les tropiques. En Barbaco, souvenirs de voyage, littérature
    • Romans exotiques illustrés. Sous les palmiers d'Algérie, trois jours de quarantaine
    • Romans exotiques illustrés. Ana-Magna. Esquisse biographique de l'auteur, par Benoit d'Haurenne
    • Les terres françaises. La Guadeloupe et ses dépendances
    • M. le Chevallier G. des Godins de Souhesmes (biographie)
    • Nouvelles patriotiques : Une Lorraine
    • Récits patriotiques illustrés. La Laüvetto. Préface d'Élie Maine de Biran
    • Récits patriotiques illustrés. L'artilleur de Longwy. Préface d'Élie Maine de Biran
  • Jean-Pierre La Selve. Musiques traditionnelles de la Réunion. Azalées éditions. 1995. 271 pages[80]
  • Zacharias la Selve
    • Paul-Marie Boyer. Exposition de la règle des Frères Mineurs - Éditeur : Samie, Bordeaux, 1877. OCLC : 65807956[81]
    • Paulus-Maria. Verklaring op den regel der Minderbroeders. Langue : Néerlandais Type : Livre, éditeur : Mechelen : Fransen, 1879[82]
    • Adrianus Saraceno. Conciones de praecipuis festivitatibus B.M.V. Langue : Latin. Éditeur : Augustae Taurinorum : Laurentius Romano, 1882[83]
    • Annus apostolicus, continens conciones omnibus et singulis totius anni diebus festivis praedicabiles. Langue : Latin. Éditeur : Coloniae Agrippinae : sumptibus P. Putz, 1724[84]
    • Annus apostolicus, continens conciones ... praedicabiles : stilo perspicuo elaboratas, claraque methodo concinnatas. Langue : Latin. Éditeur : Venetiis : Balleoniana, 1733-1747[85]
    • Annus Apostolicus, continens conciones omnibus et singulis totius anni diebus festivis, praedicabiles, stilo perspicuo elaboratas, claraque methodo concinnatas. Langue : Latin. Éditeur : Coloniae Agrippinae : Vid. P. Putz et Fil, 1749[86]
    • Annus Apostolicus continens conciones. Langue : Latin. Éditeur : Coloniae Agrippinae : Vid. P. Pu?tz et Fil, 1749[87]
    • Annus apostolicus, continens conciones pro omnibus et singulis totius anni diebus dominicis. Langue : Latin. Éditeur : Parisiis : E. Couterot, 1710[88]

Armorial

D'azur à deux fasces ondées d'argent

Blason famille de Selve.png SELVE Limousin, Ile-de-France

  • Illustrations to the armorial général. V. & H.V. Rolland’s. Illustrations de J.B. Rietstap. 1967. Tome V planche CCXCVII : Comtes Selve, Limousin, Ile de France. Selves, Guyenne, Gascogne.

SELVE (de), ancienne famille du Milanais, passée en Limousin

  • Armorial du bordelais, sénéchaussées de Bordeaux, Bazas et Libourne. Pierre Meller. Page 223.

SELVE (de La) Jean-Martin, Trésorier de France, écuyer, Baron de Saint Avid en 1776

  • Dictionnaire des familles nobles et notables de la Corrèze. J.B. Champeval. Tome I, 1911, pages 6, 23 à 25, 66, 95, 141, 161, 248, 320, 358 et 364. Tome II, 1913, pages 109, 125, 297, 312, 422, 453 à 456 et 484.

SELVE Jean-Baptiste, (voir Marie Thérèse MOCET)

  • Armorial de la généralité de Paris. Jacques Meurgey de Tupigny. Edité par le centre national de la recherche scientifique, Mâcon. Tome III, 1966, pages 404 : Jean-Baptiste de Selve, chevalier, conseiller du roi, procureur général à la cour des monnaies, 510 : Charlotte de Selve, veuve de François Dupuis (François du Puy d’Igny ?), Jean-Baptiste de Selve. Tome IV, 1967, page 37 : Jean-Baptiste de Selve, Seigneur de Cromières et Charlotte Mareau sa veuve.

SELVE (de) (Pierre) seigneur de la Brosse, demeurant à Baune, par de Garolles. Maintenu le 27 avril 1700 sur titres de 1534 et au-dessus. Jean de Selve fut 1er président du parlement de Paris

  • Nobiliaire de la généralité de Paris, ms 1222, bibliothèque de l’Arsenal à Paris

SELVE Limousin (JM31680)

  • Grand armorial de France. Catalogue général des armoiries des familles nobles de France. Jougla de Morenas. 1949. Tome VI pages 201 : Famille De Selve et 202 : de La Selve de Fain, De Selves.

SELVE

  • Armorial des évêques de France

SELVE Limousin, Sgr. de Cromières, de Villiers-le-Châtel (Essonne)

  • Armorial des principales maisons et familles du royaume et familles du royaume, particulièrement celles de Paris et de l’Isle de France. M. Dubuisson. 1757. Page 97 : Selve, seigneur de Cromières, de Villiers le Châtel : D’azur, à deux faces ondées d’argent.

D'azur à deux fasces ondées d'argent accolé d'argent à 3 trèfles de sinople

Blason famille de Selve 2.png SELVE Feu Jean-Baptiste de, sgr. de Cromière, suivant la déclaration de Charlotte de Mareau, sa vve. (Elect. d'Etampes)

  • Armorial de la généralité de Paris. Jacques Meurgey de Tupigny. Edité par le centre national de la recherche scientifique, Mâcon. Tome III, 1966, pages 404 : Jean-Baptiste de Selve, chevalier, conseiller du roi, procureur général à la cour des monnaies, 510 : Charlotte de Selve, veuve de François Dupuis (François du Puy d’Igny ?), Jean-Baptiste de Selve. Tome IV, 1967, page 37 : Jean-Baptiste de Selve, seigneur de Cromières et Charlotte Mareau sa veuve.

D'azur à trois fasces ondées d'argent

Blason famille de Selve3.png SELVE

  • Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges. Par l’abbé Joseph Nadaud, curé de Teyjac. Editions histoire et patrimoine. Tome 4 : Selve.

D'argent à trois pals de sable accolé d'azur à 2 fasces ondées d'argent

Blason famille de Selve4.png SELVE Charlotte de, veuve de François du Puy d’Igny

  • Armorial de la généralité de Paris. Jacques Meurgey de Tupigny. Edité par le centre national de la recherche scientifique, Mâcon. Tome III, 1966, pages 404 : Jean-Baptiste de Selve, chevalier, conseiller du roi, procureur général à la cour des monnaies, 510 : Charlotte de Selve, veuve de François du Puy d’Igny, Jean-Baptiste de Selve. Tome IV, 1967, page 37 : Jean-Baptiste de Selve, seigneur de Cromières et Charlotte Mareau sa veuve.

Parti d’azur à la tour d’argent et de gueules à deux fasces d’or

Blason famille de Selves5.png Famille de Selves

D'azur à un éperon d'or

Blason famille Channac de la Selve.png CHANNAC de La SELVE, Vivarais (JM8365) - Grand armorial de France. Catalogue général des armoiries des familles nobles de France. Jougla de Morenas. 1949. Tome VI, pages 201 : Famille de Selve et 202 : de La Selve de Fain, de Selves.

D'argent au lion de gueules

Blason famille La Selve du Fain.png LA SELVE (de) N ..., chanoine et doyen du chapitre de la cathédrale de Carcassonne.

  • Armorial général ou registres de la noblesse de France. Louis Pierre d’Hozier et A.M. d’hozier de Sérigny. 1865-1908. Registre I, pages 107 et 344 : Marguerite Jeanne de Cadrieu, femme de Jean de Selve, seigneur de Selve en Rouergue et de la Genevrède en Quercy et Denise de Longueuil, femme de noble homme Lazare de Selve, sieur de Marignan, registre III 2ème partie page 1042 : lettre de la princesse Louise de Savoie, mère de François Ier à Jean de Selve.

SELVE de FAIN (LA) Vivarais (JM31681), vicomte de Montravel.

  • Armorial du Vivarais. Florentin Benoit d’Entrevaux. Réédité par Laffite reprints. Marseille. 1973. Pages 300 et 301 : La Selve du Fain.
  • Grand armorial de France. Catalogue général des armoiries des familles nobles de France. Jougla de Morenas. 1949. Tome VI, pages 201 : Famille de Selve et 202 : de la Selve de Fain, de Selves.

Référence.png Notes et références

  1. Par Charles Bouyssi.
  2. Vu sur internet Novopress Info le 30 juin 2007.
  3. Auteur de Fouras, (Charente-Maritime), 1998, 120 pages brochées, Imprimerie J-M Bordessoules, 17, Saint Jean d’Angély, ISBN 269512710-0-X. 98,00 Frs.
  4. Acte 19237-P1240177 ; Numéro de Saisie Acte : 32. Auteur photo : Pierre Leyssene, Auteur dépouillement : Xavier Pastissier Source Gendep19 Mariages St Privat.
  5. Source : Relevés S.H.A.T Soldats européens natifs d’Algérie par C. Soulier.
  6. Acte 19237-P1240176 ; Numéro de Saisie Acte : 31. Auteur photo : Pierre Leyssene, Auteur dépouillement : Xavier Pastissier Source.
  7. Source : Soldats européens natifs d’Algérie.
  8. CD Les pensionnés du XIXe siècle.
  9. CD Les pensionnés du XIXe siècle.
  10. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  11. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  12. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  13. Historique du 98e régiment d’infanterie et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  14. Geneanet.
  15. CD Les pensionnés du XIXe siècle.
  16. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  17. Geneanet - Julien PAGÈS (page 58).
  18. Comte A. de Selve. Paris, Nepveu, 1810. 75 pages in-8°. Théâtre français 10 novembre 1809. 2 exemplaires à la BNF, notice FRBNF 38663396, cote 8 RF 35080 ET 8 RF 350081.
  19. CD Les pensionnés du XIXe siècle.
  20. La nouvelle chèvre de Monsieur Seguin, [Œuvre Suisse des Lectures pour la Jeunesse, N°857], 1964, illustrations Freddy Huguenin ; L'ami du petit Chaperon Rouge, [Œuvre Suisse des Lectures pour la Jeunesse N°862], 1968, illustration Ruth Guinard ; La maison du Batiou, Magnard, coll. "Fantasia", 1969, illustrations de Michel Gourlier ; Le pommier doux, Magnard, coll. "Fantasia", 1976 ; Nicos de Provins, Casterman, coll. "passé composé", 1994 Francine de Selve.
  21. CD répertoire de la Légion d’Honneur.
  22. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  23. Archives de la Haute Vienne D295.
  24. Geneanet.
  25. Par Lazare de Selve. Réédité par Droz. 1983. 224 pages. 11 x 8 cm. Broché. Textes littéraires français ; 316.
  26. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  27. Bulletin d’art et d’histoire de la vallée du Loing, n° 1, 1998 : Souppes-sur-Loing, par Paul Gache, page 56.
  28. Source : http://perso.orange.fr/sitedelabrousse/lucie/Fiches/D13/P31.htm#2.
  29. Histoire de tous les cardinaux français de naissance. François Duhesne. Paris. 1660. Tome 2 pages 557 à 560).
  30. Source : The Cardinals of the Holy Roman Church.
  31. La France pontificale (Gallia Christiana), histoire chronologique et biographique des archevêques et évêques de tous les diocèses de France depuis l'établissement du christianisme jusqu'à nos jours, divisée en 17 provinces ecclésiastique. Texte imprimé. Par M. Honoré Fisquet,... Publication : Paris : E. Repos, 1864-1873. Description matérielle : 22 vol. ; in-8. Notice n° : FRBNF34044240. Cote : NUMM-204181. Pages 77 et 78.
  32. Archives Napoléon > État sommaire > 400AP/80 à 400AP/214 - Archives du roi Jérôme et de ses descendants. 400AP/170 à 400AP/214 - Papiers du prince Victor (1862-1926) et de la princesse Clémentine (1872-1955).
  33. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  34. Source : Le Médoc. Pijassou. Page 502.
  35. Historique du 7ème régiment d’infanterie et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  36. Constructeur de : titre : hôpital. Localisation : Midi-Pyrénées ; Tarn-et-Garonne ; Moissac. Aire d'étude Moissac. Adresse : 16 boulevard Camille Delthil. Dénomination : hôpital. Parties constituantes chapelle ; cour. Epoque de construction : 18e siècle. Auteur : Selves Etienne (entrepreneur), Gibert (verrier). Historique : Le nouvel hôpital est construit hors les murs entre 1776, date de l' adjudication, et 1782 par l' entrepreneur de Montauban Etienne Selves. L'édifice est remanié au 19e siècle avec en particulier l’adjonction d’une galerie en façade et la réfection de la chapelle. Importants remaniements au 20e siècle. Les vitraux de la chapelle sont signés et datés " Gibert 1886 ". Gros-œuvre : brique ; enduit. Couverture (matériau), tuile creuse ; tuile mécanique. Etages : sous-sol ; 1 étage carré. Couvrement : voûte en berceau. Décor vitrail. Couverture (type) : toit à longs pans ; croupe. Propriété publique. Type d'étude inventaire topographique. Référence : IA00040064. © Inventaire général. Enquête : 1986. Date versement : 1987 AVANT. Crédits photo : Soula, Christian - © Région Midi-Pyrénées - Inventaire général, ADAGP, toutes les images. Dossier consultable : Service régional de l'inventaire Midi-Pyrénées, 37 bis, rue Roquelaire 31080 Toulouse Cedex - 05.61.62.01.45.
  37. Gazette Drouot.
  38. Publication : Imprimerie nationale, Paris, fructidor an V 1797. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, Cote : 8-LE43-1300, notice n° : FRBNF36355719.
  39. Publication : Guitel, Paris, 1814. Conservé à la BNF Tolbiac, département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LB45-564, notice n° : FRBNF36449349.
  40. Publication : (Paris,) : imprimerie de Doublet, Paris, (sans date). Conservé à la BNF Tolbiac, Département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LE56-2, notice n° : FRBNF31350004.
  41. Publication : imprimerie de Chassaignon, Paris, (sans date). Conservé à la BNF Tolbiac, Département : Philosophie, histoire, sciences de l'homme, cote : 8-LB48-3644, notice n° : FRBNF34030887.
  42. Sources : Biographie universelle ancienne et moderne. Rédigée par une société de gens de lettres et de savants, édité par L.G. Michaud. 3 place des victoires. Paris. 1825. Tome XLI. Pages 545, 546 et 547. Source : [1] ; Biographie universelle, ou Dictionnaire historique contenant la nécrologie des hommes célèbres de tous les pays..., tome cinquième, PLU-SZY / par une société de gens de lettres ; sous la dir. de M. Weiss,... -1841. Page 506
  43. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  44. CD Les pensionnés du XIXe siècle.
  45. Dépouillement systématique des tables de mariages de la commune d'Arches, 15010, Cantal, entre 1804 et 1892.
  46. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  47. Jean Lurçat.
  48. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  49. Nobiliaire de la généralité de Montauban, Lainé, A.D. du Lot F89.
  50. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  51. CD répertoire de la Légion d’honneur ; août 2007.
  52. Tableau d’honneur et CD répertoire de la Légion d’honneur.
  53. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  54. Livre d’or : La noblesse française au champ d’honneur 1914, 1915, 1916 et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  55. Récupéré de Edgar La Selve.
  56. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  57. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  58. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  59. CD répertoire de la Légion d’honneur.
  60. Revue l’Exelsior et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  61. Tableau d’honneur, revue l’Exelsior. Livre d’or : La noblesse française au champ d’honneur 1914, 1915, 1916 et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  62. Tableau d’honneur et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  63. Livre d’or des Saint-Cyrien morts au champ d’honneur et CD Les participants de la grande guerre, volume 2.
  64. Jürg Von Selve.
  65. Source : Selve.
  66. Source : Selve.
  67. ISBN 269512710-0-X
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  80. ISBN 2908127547. Source : Selve.
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