Famille de Malherbe de Poillé

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La famille de Malherbe de Poillé[1], est une famille du département de la Sarthe.

Origines

Famille originaire de Normandie[2], établie à Melle-sur-Sarthe (Le Mêle-sur-Sarthe 61) à la fin du XIVe siècle, et en Touraine en 1430. Elle reconnait pour l'un de ses premiers auteurs, Malerf surnommé Malherbe (Malerfus Cognominatus Malerba) à qui Guillaume, duc de Normandie, confia la garde d'un de ses châteaux[3].

De ce Malerf, seraient issues les trois branches principales de la famille de Malherbe mais la filiation n'est toutefois pas prouvée à ce jour.

C'est de la branche des seigneurs de La Meauffe que sont issus les seigneurs de Poillé [réf. nécessaire] .

La seigneurie de Poillé, relevant de celle de Marson-sur-Loir est un des arrières-fiefs de la baronie de Saint-Christophe-en-Touraine[4]. Poilé appartenait, dès le XIIe siècle à une Maison les plus anciennes et les plus nobles de la province du Maine. Jacquine de Poillé, unique héritière de cette illustre Maison, épousa vers 1430 Jean de Malherbe, écuyer, issu d'un des cadets de la branche des Malherbe de La Meauffe.

Généalogie

Filiation prouvée

Jean de Malherbe, des seigneurs de La Meauffe, devenu par son mariage seigneur de terres, fiefs et seigneurie de Poillé, Pineau ou Epineaux, Follet et La Fosse, se fixa dans le Vau-du-Loir (Val-de-Loir actuellement), où, depuis lui, ses descendants ont toujours eu leur domicile. Plusieurs titres prouvent qu'il reçut les obeissances des vassaux et censitaires [5] des fiefs que son épouse lui avait portés en dot, et qu'il fit pour elle, le 12 mars 1469, hommage simple au seigneur de Marson (Marçon).
Du mariage de Jean de Malherbe de La Meauffe avec Jacquine de Poillé, sont issus entre autres enfants :

  1. Guillaume de Malherbe, dont l'article viendra.
  2. Jean de Malherbe.
  3. Robin de Malherbe, mort sans postérité.
  4. Louise de Malherbe, mariée le 7 juillet 1462, Michelet (dit le Jeune), seigneur de Follet, qui, par contrat de mariage, s'obligea de joindre à son nom celui de Malherbe, et d'en porter les armes [6].
  5. Marie de Malherbe[7], mariée à Thomas II de Pellevé.

Guillaume de Malherbe (1450-1521), écuyer, seigneur de Poillé et de Pineaux ou Epineaux, reçut, le 27 août 1491, l'ordre conduire les nobles et autre sujets du ban et de l'arrières ban des pays et du duché de Touraine au siège de la ville de Rennes (35). Il épousa Jeanne des Touches, fille de Pierre des Touches, écuyer, seigneurs des Hayes et de Demoiselle Perrine de Vanssay. Son contrat de mariage est en date du 7 janvier 1463. Jean de Malherbe et Jacquine de Poillé vivaient encore, lorsqu'il se maria. Il ne partagea leur succession avec Jean son frère puiné[8], que le 7 mai 1482. Robin de Malherbe, écuyer, seigneur de Launeau[9] leur frère, était mort à cette époque, et n'avait point laissé de postérité.
De Guillaume de Malherbe et de Jeanne des Touches son épouse sont nés :

  1. François de Malherbe, qui suit.
  2. Jacques de Malherbe, écuyer, mort sans postérité.

François de Malherbe (1463-1528), écuyer, seigneur de Poillé et d'Huchigny, partagea en 1521 les biens de ses père et mère avec Jacques de Malherbe son frère puiné. Il avait dès le 20 novembre 1510, été reçu à la foi et hommage de M. le comte du Vendômois pour son fief de La Pierre (41), mouvant[10] de la châtellerie de Vendôme, et se maria en 1522 avec Marguerite de Guarguesalle, fille de Messire Jean de Guarguesalle, chevalier, et de dame Anne du Breuil. De ce mariage vinrent :

  1. René de Malherbe dont l'article suit.
  2. Jacques de Malherbe, écuyer, mort sans alliance.
  3. Marguerite de Malherbe, marié à noble Gabriel de La Goubertière.
  4. Renée de Malherbe, mariée à Bonaventure de Vaux.

René de Malherbe (1525-1550), chevalier, seigneur de Poillé et d'Huchiny, gouverneur, pour le roi, des pays et duché de Vendômois, fit le 3 mai 1529, hommage de ses terres et seigneuries de La Pierre et de Villesus (41)[11], mouvantes du château de Vendôme (41), à M. Charles, duc de Vendôme, pair de France. Il épousa en 1541 demoiselle Jacquette Hurault, fille de noble-homme[12] Denis Hurault, seigneur de Saint-Denis-sur-Loire (41), et capitaine de la ville de Blois (41)et de Demoiselle Louise Boudet. De ce mariage vinrent :

  1. René II de Malherbe, dont l'article vient.
  2. Pierre de Malherbe, écuyer, mort sans alliance.

René II de Malherbe (1542-1596), chevalier, seigneur de Poillé et d'Huchigny, gentilhomme ordinaire du roi de Navarre, par lettre de retenue du 5 novembre 1579, en considération des services que son père avait rendus à la princesse aïeule, et au feu roi père de sa Majesté, fut nommé le 13 août 1562 commandant de cinquante arquebusiers à cheval, destinés à la sûreté de la ville de Vendôme (41) au mois de juin de la même année. Il fit la montre des vassaux nobles et autres du duché de Vendôme sujets à l'arrière ban, suivant la commission que lui donna, le 16 mai 1562, le roi de Navarre lieutenant général du royaume de France. Il épousa, par contrat du 27 décembre 1563, demoiselle Charlotte Gruel, fille de Messire Jean Gruel, chevalier, seigneur de la Frette [13], et de Dame Charlotte Moinet. De ce mariage vinrent :

  1. Pierre de Malherbe, dont l'article vient.
  2. Antoine de Malherbe.
  3. Anne de Malherbe, épouse de Gabriel d'Esliée, écuyer, sieur de Belleau (54).

Pierre de Malherbe (1563-1606), chevalier, seigneur de Poillé et d'Huchiny, gentilhomme ordinaire du roi de Navarre, fut lieutenant de cinquante hommes des ordonnances de sa Majesté, sous la charge du sieur de La Frette, et se distingua par sa valeur en plusieurs rencontres. Il mourut en son château de Poillé, et fut enterré dans une des chapelles de l'église de Marson (Marçon). Le monument qui lui avait été a été brisé en 1792. Il épousa en 1598 Demoiselle Madeleine de Montausier, fille de haut et puissant seigneur Messire Jean de Montausier, chevalier de l'Ordre du roi et de Dame Madeleine de Chasteignier. De ce mariage vinrent, entre autres enfants :

  1. Jacques de Malherbe, qui suit.
  2. Jacqueline de Malherbe, mariée à Jean de Chapuiset en 1632.

Jacques de Malherbe (1598-1675), écuyer, seigneur d'Huchiny et de Château-Guibert (85), servit le roi de Lorraine, dans les armées commandées par le duc d'Angoulême et par le maréchal de La Force, et dans le corps de la noblesse commande par M. de la Meilleraie, grand-maître de l'artillerie.
Il fit hommage de ses fiefs de La Pierre et de Villesus à M. César, duc de Vendôme, le 3 mars 1634, et devint seigneur de Poillé par la mort de Pierre de Malherbe (1606).
Jacques de Malherbe, seigneur de Poillé, d'Huchigny et de Château-Guibert, épousa Marie Beauxoncles, fille de Charles de Beauxoncles, écuyer, seigneur de Vieux-Vi et d'Oucques, et de demoiselle Marie de Saintré. De ce mariage vint entre autres enfants :

  1. François de Malherbe, qui suit.
  2. Marie de Malherbe, religieuse.
  3. Madeleine de Malherbe, religieuse.

François de Malherbe (1636-1679), chevalier, seigneur de Poillé et d'Huchigny, commanda la noblesse du Vendômois sous les ordres du vicomte de Turenne en 1674, et fit offre de foi et hommage à M. le duc de Vendôme pour des fief de La Pierre et Villesus. Il épousa en 1664 demoiselle Geneviève de Vanssay, dame de Bouis [14], fille de Charles de Vanssay, écuyer, seigneur de Brestel, et de demoiselle de Flottai[15]. De ce mariage vinrent :

  1. Joseph de Malherbe, dont l'article suit.
  2. N de Malerbe [16], dit capitaine de Bouis (01), tué à l'armée d'Italie, commandant sous les ordres du maréchal de Catinat, auquel il était né du côté maternel.
  3. Geneviève de Malherbe.

Joseph de Malherbe (1668-1738), chevalier, seigneur de Poillé, de Bouis et d'Huchigny, lieutenant de dragons au régiment de Senneterre[17], donna l'aveu de sa terre et seigneurie de La Pierre au Roi, à cause de ses Châteaux et Dommaine de Vendôme, le 12 août 1723. Il épousa en 1712 demoiselle Marie-Louise Peillot de La Garde, fille de François Peillot de La Garde, écuyer, capitaine de cavalerie, et gentilhomme de Monsieur, frère unique du roi Louis XIV, et de demoiselle Catherine Ferrand. De ce mariage vinrent :

  1. Adam François Bonnaventure de Malherbe, dont l'article suit.
  2. Amédé Joseph de Malherbe [18] (1718-1760), chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, capitaine de grenadiers au régiment d'Auvergne, blessé à la tête de sa compagnie à l'affaire de Clostercamp, et mort peu de temps après des suites de sa blessure, sans avoir été marié.
  3. Louise de Malherbe[19], née vers 1713, décédée à Paris, Île Saint-Louis en 1796, n'a pas été mariée.
  4. Anne Marie Louise de Malherbe[20], dont la noblesse fut certifiée au roi par le sieur d'Hozier le 20 août 1732.
  5. Marie Agathe de Malherbe [21] épouse, en 1740 à Marçon M. Renaud Gaudin, chevalier, seigneur de La Chenardière, de Fleuri et de Courvallin, lieutenant au régiment d'Auverge; dont postérité. Madame de La Chenardière est morte à Courvallin en 1797.

Adam François Bonnaventure de Malherbe (1714-1800), chevalier, seigneur de Poillé, Marson (Marçon), Huchigny, capitaine au régiment d'Auvergne et chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, mort en son château de Poillé en 1799, avait épousé demoiselle Marguerite de Sédilhac, fille de M. Alexandre de Sédilhac, ancien capitaine de cavalerie, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis. De ce mariage : 1;Joseph Charles Louis de Malherbe, dont l'article suit. 2;Marie Marguerite Dominique de Malherbe (1761-1824), épouse Louis Alexandre Marie de Musset, marquis de Cosners (Cogners 72), dont postérité. 3;Amédée Renault Laurent(1762-1763).

Joseph Charles Louis de Malherbe, chevalier, seigneur de Poillé, Marson (Marçon), etc., dit Vicomte de Malherbe-Poillé, capitaine de cavalerie, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint-Louis, a commencé ses services militaires dans le régiment de Bassigny[22] d'où il a passé à l'armée des Princes en 1792 et y est resté jusqu' 1801, a épousé en 1768 demoiselle de La Porte de Houssay[23] fille de M. Jean Bonnaventure de La Porte et de Jeanne Hérisson d'Auvours, de ce mariage : 1;Adolphe de Malherbe, sous-lieutenant au douzième régiment de cuirassiers, mort dans la retraite de Moscou au mois d'octobre 1812. 2;Armand de Malherbe, né à Poillé en 1804[24] 3;Pauline de Malherbe, née né à Poillé le 15 novembre 1790[25] décédée à Paris le 13 avril 1832, mariée en 1813[26] à Félix Daniel de Vauguyon, écuyer.


Origine de Jacquine de Poillé[27] Poillé, Poislé, Poilly, Poillé-sur-Vègre 72, Poilliacum, Paudiacum, Poilleium, Poltium ; de Paulô, peu, petit ; où plutôt, d'un vieux mot qui signifie maigre, pauvre, pouilleux. Histoire féodale : la seigneurie de paroisse était une châtellenie[28], dont le manoir parait-être devenu l'église paroissiale actuelle, après que cette seigneurie a été annexée à la terre de Varennes-l'enfant, située dans la commune d'Epineu-le-Séguin (Mayenne). Cette châtellenie appartenait, dans l'origine, à une famille du nom de Poillé qui possédait de nombreuses propriétés dans la province du Maine, et c'est éteinte dans le XVIe siècle, Elle était possédée, dans les XVIe siècle et XVIIe siècle, pala famille de La Chapelle, d'où elle entre dans celle de Beaumanoir. Elle passa ensuite dans la Maison de La Châtre, par le mariage, en 1699, de Louis II de La Châtre, avec Anne Charlotte de Beaumanoir-Poille est resté dans cette dernière maison jusqu'en 1791. On trouve un grand nombre de seigneurs du nom de Poillé, cités dans l'histoire du pays. Toutefois, la terre seigneuriale de cette paroisse ,'étant pas seul de ce nom ; il est difficile de savoir si c'est bien aux seigneurs de ce lieu, que se rapportent les différents passages qui vont être cité. On trouve une autre terre de poillé, située à Marçon, qui parait avoir appartenu à la même famille. Il y avait aussi deux paroisse appelées Poilley. L'une dans les environs de Fougères (Ille-et-Villaine), l'autre près d'Avranches (Manche), sans compter plusieurs autres, dans diverses parties de la France. 1090 : voit figurer : Odon de Poillé (Odo de Poileis), comme témoin, dans un acte par lequel Robert II de Talvas, donne l'église de Saint-Léonard, fondée et bâtie au Château de Bellême par Guillaume 1er, son bisaïeul, au monastère de Saint-Martin de Marmoutier, à cause de la vie dissolue des chanoines de cette église. 1096 : Herbert, fils de Landuc de Poillé, donateur du prieuré de Sainte-Colombe, au monastère de Saint-Aubin d'Angers. Après 1100 Geoffroi, dont la fille Basilie, 3e abbesses d'Etival-en-Charnie, mourut en 1189. 1231-1234 : Lisiard de Poillé, qui fut en discussion avec le chapitre de la cathédrale du Mans, pour la féodalité d'une métairie dépendante d'Asnière. L'évêque Geoffroi de Laval, parvint à arranger à l'amiable ce différent, qui menaçait de se terminer par un duel. 1288 ; Guillaume de Poillé, chanoine de la cathédrale du Mans, que son mérite reconnu fit députer plusieurs fois à Rome, par ses confrères, pour y défendre leurs intérets, contre les prétentions de l'évêque Jean de Talai. 1417 : Odolant Desnos, cite un sieur de Poillé qui, commandant avec Guillaume l'Arsonneau et avec Trousseauville, dans le château d'Argentan, appartenant au duc d'Alençon, fut obligé de rendre la place au roi d'Angleterre Henri V, le 4 octobre, à défaut de troupes suffisantes pour la défendre. 1545 enfin, Jean de Poillé, qui en 1545, paya au baron du Saosnois un droit de rachat pour la terre de la Juisserie, située à Lignères-la-Carelle, au nom de Jeanne de Garenne, sa femme, dame de Roullée. Entre autres seigneurs de Poillé de la Maison de La Chapelle, on trouve François de La Chapelle, chevaliers des ordres du roi et gentilhomme de la chambre, et François de la Chapelle, son fils, chevalier, qui en 1585 et 1607, sous le règne de Henri IV, rendent aveu [29] pour la baronnie de Varennes et la châtellenie de Poillé relevant de Château-du-Loir. En 1639, Catherine Lechesne, veuve de Renée de La Chapelle, vivant sieur de Poillé, taxée au rôle de ban et de l'arrière ban, dressée la dite année, 2 piqueurs et 1 mousquetaire. En 1724, Charles Louis de La Châtre, chevalier, stipulant au nom de Louis de La Châtre, marquis de la Châtre, comte de Nançais, lieutenant général, rend aveu pour les baronnies de La Roche-Simon, relevant de la Flèche (72), Varenne-l'Enfant, relevant du Mans, Poillé relevant de Château-du-Loir (72), le tout du chef de leur mère et femme Anne charlotte de Beaumanoir. Il n'est pas douteux, tout extraordinaire que cela paraisse, que cette seigneurie de Poillé relevait de Château-du-Loir, quoique on eut pu croire que celle-ci aurait seule été de ce ressort. Les autres terres nobles et fiefs situées dans la paroisse de Poillé(sur-Vègre) sont Verdelle dont les seigneurs étaient les Sénéchaux nés de la châtellenie de la Champagne de Maine ou Champagne-Hommet. Tancrède-Hommet qui reçut cette châtellenie de Guillaume-le-Conquérant, passa dans la Maison de Laval. Emma de Laval, fille de Gui VI, la porta, en 1231 à Jean de Toci, son troisième marie et tous les deux la donnèrent à Avoise, fille du second mariage d'Emme avec Matthieu II de Monmorency, en faveur de son mariage avec Jacques, seigneur de Château-Gontier, à la charge de la tenir du Comté de Laval, selon les us et coutumes du pays de Maine. Emme qui épousa Jean I de Brienne, vicomte de Beaumont. Jeanne, leur fille épousa N... de Villiers qui rendit aveu pour cette châtellenie, au comte de Laval, le 4 mai 1408. Elle passa à Hardouin de Maillé, vers 1460, parson mariage avec Anne de Villiers, fille de Guillaume de Villiers, et fut vendue par P... de Maillé, le 7 mai de l'an 1600 à P... Leclerc de Juigné, qui obtint son érection en baronnie, avec l'union de la seigneurie et établissement de trois foires par an, par lettres patentes de 1615. La juridiction de la Champagne-Hommet appelée aussi Champagne-Pouilleuse du Maine, ce qui justifierai la dernière étymologie donnée au nom de Poillé s'étendait sur les paroisses d'Avessé, Chantenay, Chevillé, Juigné et Poillé(sur-Vègre), en tout ou partie, et ressortissait, comme il a été dit, au comté de Laval. Elle fut distraite du présidial du Mans et placée dans le ressort de celui de Château-Gontier, lors de l'érection de celui-ci, en 1543. Les officiers de cette juridiction, dont le siège était Poillé(sur-Vègre) étaient : un bailly, un lieutenant, un procureur fiscal et un greffier. Cette commune parait-être le lieu de Guillaume Poillé, archidiacre de Sablé et chanoine du Mans, est peut-être le père ou l'oncle de Jacquine de Poillé, épouse de Jean III de Malherbe de La Meauffe.

Armes

  • de Malherbe de Poillé : D'or à deux jumelles de gueules posées en face l'une de l'autre - et deux lions aussi de gueules, affrontés et posés au chef de l'écu

Référence.png Notes et références

  1. Notons qu'il y a eu dans l'histoire de France différentes familles portant le patronyme Malherbe (Cf. encyclopédie Wikipedia Famille de Malherbe). Les seigneurs de La Meauffe (50) portent D'or à deux jumelles de gueules posés en face, l'une au dessus de l'autre et deux lions aussi de gueules affrontés et posés au chef de l'écu. Les seigneurs de Saint-Aignan-le-Malherbe (14) ont pour armes : D'argent semé d'hermine et roses de gueules 3, 2 et 1. Les seigneurs de Meuvaine (14) portent De gueules à six coquilles d'or 3, 2 et 1 au chef d'or, chargé d'un lion passant de gueules.
  2. Dictionnaire Universel de France, lettre M.
  3. Voir Dechesne, Histoire Normanorum, même dictionnaire.
  4. Aujourd'hui Saint-Christophe-sur-le-Nais 37.
  5. Personne qui devait payer le cens. Celui qui possédait le droit de vote ou était éligible en vertus du Cens.
  6. Généalogie de la noblesse de Touraine par Jean-Baptiste de Solers, dit Tristan l'Hermite.
  7. Jeanne de Malherbe d'après Louis Moreri dans son dictionnaire historique au mélange curieux, page 187.
  8. Qui est né après un de ses frères ou une de ses sœurs ainés.
  9. Peut-être sur la commune de Changé 72.
  10. Mouvant : au Moyen Âge, se disait d'un fief qui relevait d'un autre fief.
  11. Sur la commune de Villerable 41.
  12. Qualificatif que prenait à la fois les nobles et les bourgeois dans les actes.
  13. La Frette à Saint-Victor-de-Réno 61.
  14. Hameau de Bouis à Villebois 01.
  15. Flottey ou Flotte Geneviève 1608-1658.
  16. Louis Roger de Malherbe 1671-1696.
  17. Régiment de Senneterre (dragons), issu du régiment de Tessé en avril 1692, puis régiment de Belabre en 1705. Cf. Wikipédia.
  18. Amédé Joseph René de Malherbe, née à Marçon en février 1717.
  19. Louise Françoise Catherine, née à Saint-Célerin 72, en 1713.
  20. Anne Marie Louise de Malherbe est morte sans alliance en 1805 à Marçon 72. Voir Geneatique.
  21. Marie Agathe Marguerite de Malherbe
  22. Le premier régiment de Bassigny fut créé le 27/09/1684 et réformé le 10/02/1749, le second fut créé le 26/04/1775 et renommé le 01/01/1791. Cf. Wikipédia.
  23. Jeanne de La Porte de Houssay.
  24. Armand de Malherbe, né le 17/02/1804. Voir Geneatique.
  25. née à Marçon 72.
  26. Mariée le 19/09/1813 à Marçon 72.
  27. Résumé du travail de Julien Rémy Pesch en 1836 : Dictionnaire statistique de la Sarthe- 1836.
  28. Nom féminin de châtelain-Larousse.
  29. Rendre aveu : devoir que le vassal est tenu de rendre au seigneur.

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