Discussion:Généalogie protestante

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Liens

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Les participants à la page devraient se familiariser avec l'aide, notamment concernant les paragraphes et la signature (4 tildes).
MikeRIGHT (discussion) 1 septembre 2014 à 02:23 (CEST)

Longueur

  • Bonjour,
Je suis Monique, l'auteur des développements sur la généalogie luthérienne et sur la généalogie anabaptiste.
J'ai bien lu l'avertissement disant que l'article était long et qu'il serait bien de le diviser en section plus courtes.
Je veux bien le faire pour les parties que j'ai rédigées.
Cela dit : qu'entend-on par "section" ? Un sous-titre clickable ? à quel niveau ?
Une autre solution serait que la généalogie anabaptiste, qui est très longue, ait son propre article au lieu de constituer une partie de l'article sur la généalogie protestante. Mais, cela je ne sais pas faire. Modifier un article existant (c'est à dire : modifier "Généalogie protestante" pour y ajouter une partie "généalogie anabaptiste,) je sais faire". Mais créer à partir de rien un article consacré à la généalogie anabaptiste, je ne sais pas faire.
Un balaise de l'informatique pourrait-il me créer un article vide intitulé "Généalogie anabaptiste" ? Je le remplirais en vidant de sa rubrique anabaptiste (dont je suis l'auteur, je ne tripatouille donc pas le travail des autres) l'article sur la généalogie protestante.
Merci.
  • Je viens de découper la page. Cela devrait aller mieux. Bravo pour cet article en tout ca. --Jérôme GALICHON 6 août 2007 à 11:42 (CEST)
  • Merci du découpage.
Je fais terminer quelques transferts d'information, genre liens utiles.
Un petit détail : éviter de commencer une ligne par un retrait ; le système n'aime pas ; au lieu d'un retrait, il crée un bizarre encadré de pointillés ; c'est très facile à corriger : on supprime le retrait de début de ligne ; je l'ai fait sur vos corrections.
Monique

Sources

  • Bonjour je suis Denis,
Je voudrais bien que l'auteur de l'article tempère ses propos quant à l'absence de source pour la période suivant la révocation et celle des Eglises dites du désert.
En effet durant cette période on trouve dans les régistres catholiques une grande quantité de protestants convertis de force et que les prêtres baptisent et marient sans les stignatiser du moment que les concernés font officeillement leur devoir de catholiques. Ceci concerne surtout la période 1685-1745. Encore faut-il savoir repérer les vrais des "faux" catholiques. C'est possible en certains endroits quand on recoupe des familles avant et après cette période.
Pour les plus obstinés, la clandestinité a bien-sûr pour effet de ne laisser aucune trace pour les générations futures, mais cette omerta ne fut presque pas possible, car on pouvait très difficilement échapper à la surveillance du clergé (baptèmes, communion, catéchisme, eucharistie, confession, mariage, sépulture), au risque de se voir persécuter (dragonnades, amendes, condamnations diverses de la simple corvée à la pendaison en passant par la peine perpétuelle aux galères).
Dans la période 1745-1787, des pasteurs clandestins bénissent des mariages et baptisent des enfants lors des assemblées du désert. Et ils fournissent une trace précieuse de cette activité dans des registres qui ont été nombreux à passer à la postérité notamment pour les régions des Cévennes du Dauphiné et du Languedoc. J'ai ajouté à votre bibliographie un guide publié en 1987 par les archives nationales (disponible je crois dans les ouvrages "usuels" de toutes les archives départementales" et vendu à la Fnac lors de sa parution)qui recensent tous ces registres. Pour la seule période du désert dans les régions que j'ai cité cela représente des centaines de registres. Ceux qui vivaient dans ces régions ou dans les régions limitrophes faisaient parfois plusieurs jours de voyage pour se rendre à ces cérémonies.
A défaut de ces registres du désert, on trouve aussi des listes de nouveaux convertis convervées dans les anciennes intendances des province ou aux archives nationales (sous la côte TT, dite Affaires des religionnaires), des autorisations de vente de biens fonciers, des mises en régie de biens de fugitifs et même certaines archives des temples lorsque ces papiers furent recueillis lors de la révocation.
Signalons aussi le registre d'écrou des bagnes des galères de Marseille et de Toulon, que l'on peut consulter chez soi grâce à la transcription qu'en a publié Gaston Tournier dans Les Galères de France et les Galériens protestants des SVIIe et XVIIIe siècles (1943 ? et réédité depuis).
Enfin, la Bibliothèque de la Société de l'histoire du Protestantisme Français, fondée en 1854 et ses publications (Bulletins, cahiers de généalogie), ses ressources sont conséquentes.
Pour donner un tour moins mystérieux à cette religion, je dirais qu'effectuer des recherches sur des familles protestantes est un atout pour le généalogiste car il apprend à déjouer les impasses, à diversifier ses sources et à se méfier de prendre les informations qu'il trouve pour argent comptant. Pour ma part mes recherches concerne tout le terrtoire français et malgré deux handicaps (une ascendance protestante et des ancêtres ayant vécu à Paris dont les archives sont parties en fumées lors de la Commune) c'est justement dans ces sources réputées difficiles que j'ai pu trouver des renseignements fournis.
Cela demande peut-être plus de temps et de persévérance. Ma recherche a commencé voilà un peu plus de fingt ans. Cependant, aujourd'hui c'est par des ascendances protestantes du Languedoc que mon arbre se trouve hypertrophié.
--Denis Armengaud 8 août 2007 à 02:11 (CEST)

Suppression d'un passage en double

  • Re bonjour,
C'est Monique.
Je viens d'effacer un gros morceau, à savoir tout ce qui figurait sous le titre "Généalogie protestante en général" (titre que j'ai donc supprimé également, sinon, il n'aurait plus eu de contenu).
Motif :
Ce morceau était à la virgule près identique à ce qu'on pouvait déjà lire, sous "Généalogie des Réformés", depuis : "Les recherche en matière de généalogie des familles protestantes en France relèvent du sacerdoce ..." jusqu'à : "étudier une descendance tient de la gageure".
En conséquence, je pense qu'il y a eu un gros copier/coller à l'origine des passages supprimés, et rien de plus.
Si j'ai effacé quelque chose que quelqu'un aurait rédigé intentionnellement, je m'en excuse, mais je ne pense pas que ce soit le cas.
Monique

Familles catholiques d'ascendance protestante

  • Rajouté un intertitre pour mieux attirer l'attention de ces familles
  • C'est fait. Cela devrait être plus lisible. --Jérôme GALICHON 10 juillet 2010 à 19:56 (UTC)

Absence de retour à la ligne dans un cadre

  • Bonjour,
Comme les cadres empêchent l'absence de retour à la ligne automatique, il faut ajouter des <br> manuellement (ou une espace après un saut de ligne si on veut respecter rigoureusement la syntaxe) pour un écran de 800 px.
Merci de modifier le § en conséquence :
instruction ministérielle du 28 prairial an VIII (17 juin 1800), qui rétablit les cultes, loi sur l'organisation des cultes, dite concordat (18 germinal an X), 8 avril 1802) créant des consistoires à raison d'un pour 6000 âmes, décret du 26 mars 1852 créant en outre par paroisses les conseils presbytéraux, loi sur la séparation des églises et de l'État (9 décembre 1905), création en 1938 du conseil national des églises réformées de France, qui fonctionne sous l'autorité du synode national.
==> instruction ministérielle du 28 prairial an VIII (17 juin 1800), qui rétablit les cultes, loi sur l'organisation des cultes, dite concordat
(18 germinal an X), 8 avril 1802) créant des consistoires à raison d'un pour 6000 âmes, décret du 26 mars 1852 créant en outre par paroisses
les conseils presbytéraux, loi sur la séparation des églises et de l'État (9 décembre 1905), création en 1938 du conseil national
des églises réformées de France, qui fonctionne sous l'autorité du synode national.
--Sandy-Pascal ANDRIANT (discussion) 13 février 2014 à 16:21 (CET)