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A l’appui et en complément des registres paroissiaux, l’on consultera prioritairement les actes de dévolution successorale et de tutelle ( les « états de biens », « staten van goed » en néerlandais) passés devant les échevins d'Audenarde jusqu’en 1796.
A l’appui et en complément des registres paroissiaux, l’on consultera prioritairement les actes de dévolution successorale et de tutelle ( les « états de biens », « staten van goed » en néerlandais) passés devant les échevins d'Audenarde jusqu’en 1796.


Ces "états de biens" n'existent pas dans d'autres régions : il s'agit d'une source spécifique à la Flandre. Ces actes étaient établis, et sous la supervision des échevins de la ville, lors du décès d'une personne lorsque l'un des héritiers était mineur. Comme on était majeur à 25 ans, et que l'on perdait souvent fort tôt ses parents en ces périodes-là, beaucoup de successions donnèrent lieu établissement d'un "état de biens". Certes, il fallait bien qu'il y ait l'un ou l'autre bien dans la succession, mais des successions très modestes impliquaient un état de biens.
Ces "états de biens" n'existent pas dans d'autres régions : il s'agit d'une source spécifique à la Flandre. Ces actes étaient établis, et sous la supervision des échevins de la ville, lors du décès d'une personne lorsque l'un des héritiers était mineur. Comme on était majeur à 25 ans, et que l'on perdait souvent fort tôt ses parents en ces périodes-là, beaucoup de successions donnèrent lieu à l'établissement d'un "état de biens". Certes, il fallait bien qu'il y ait l'un ou l'autre bien dans la succession, mais des successions très modestes impliquaient un état de biens.
   
   
Un "état de biens" commence d'abord par des données généalogiques : qui est le défunt, qui est son conjoint ou ses conjoints successifs, de qui est-il l'enfant, quels sont ses enfants et ses descendants, qui sont les tuteurs désignés de ses enfants et de leurs descendants (généralement des grands-parents ou des oncles), etc. Lorsque le défunt n'avait pas de descendance, la succession était attribuée aux enfants des ses frères et sœurs, voire aux descendants de ses oncles et tantes. On peut donc obtenir un tableau généalogique assez inespéré en ne recherchant pas uniquement des états de biens relatifs aux ascendants directs, mais en reconstituant toute la famille élargie. Après les données généalogiques, l'acte donne les biens puis les dettes du défunt. Il est ainsi possible de voir un cliché du cadre de vie d'un ancêtre lors de son décès, en y retrouvant une description de son habitation, de ses terrains, de ses livres (parfois !), de ses bijoux, de son métier à tisser, bref de tout ce qui fit sa vie.
Un "état de biens" commence d'abord par des données généalogiques : qui est le défunt, qui est son conjoint ou ses conjoints successifs, de qui est-il l'enfant, quels sont ses enfants et ses descendants, qui sont les tuteurs désignés de ses enfants et de leurs descendants (généralement des grands-parents ou des oncles), etc. Lorsque le défunt n'avait pas de descendance, la succession était attribuée aux enfants des ses frères et sœurs, voire aux descendants de ses oncles et tantes. On peut donc obtenir un tableau généalogique assez inespéré en ne recherchant pas uniquement des états de biens relatifs aux ascendants directs, mais en reconstituant toute la famille élargie. Après les données généalogiques, l'acte donne les biens puis les dettes du défunt. Il est ainsi possible de voir un cliché du cadre de vie d'un ancêtre lors de son décès, en y retrouvant une description de son habitation, de ses terrains, de ses livres (parfois !), de ses bijoux, de son métier à tisser, bref de tout ce qui fit sa vie.

Version du 17 juin 2017 à 20:23

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Oudenaarde
(Audenarde)
Blason Audenarde.jpg
Informations
Pays Drapeau de la Belgique    Belgique
Région Flandre
Province Flandre orientale
Code postal
Population 6.369 hab. (1895)
Densité hab./km²
Nom des habitants
Superficie 222 ha 39 a
Altitude
Point culminant
Coordonnées (long/lat)
Localisation

Histoire.png Histoire de la commune

Quelques notations historiques

Les armoiries de la ville sont : Fascées de gueules et d’or, à un lion de sable lampassé de gueules brochant sur le tout, l’écu ayant pour timbre une couronne d’or sommée d’une paire de lunettes de même et pour tenants deux hommes sauvages au naturel avec leur massue.

Vue d'Audenarde.JPG

La ville d’Audenarde (ou Audenaerde, et en néerlandais : Oudenaarde), traversée par l’Escaut, avait à l’origine deux noyaux urbains, Pamele sur la rive droite de l’Escaut et Audenarde sur la rive gauche, lieux qui se sont surtout développés à partir du 12ème siècle. Mais vers l’an mil, la région était une zone de conflits. En effet, non loin de ces deux lieux, existait depuis au moins le 11ème siècle, sur la rive droite également, un lieu d’établissement et de commerce qui se développait autour d’un « castrum » établi pour la défense du Saint-Empire Romain Germanique (les deux autres lieux fortifiés établis sur la rive droite de l’Escaut étaient Anvers et Valenciennes). Ce lieu, nommé Ename, situé à trois kilomètres d’Audenarde, et qui comprenait un « portus », fut dévasté en 1033 par le comte de Flandre Baudouin IV. Le comte Baudouin V s’en empara définitivement et il y fonda l’abbaye Saint-Sauveur en 1063. Quoiqu’il en soit, Audenarde reçut dès 1190 du comte de Flandre Philippe d’Alsace, une charte de franchise. De nombreuses institutions religieuses seront fondées à Audenarde au cours des siècles suivants tels le cloître de Sion, le couvent des Frères mineurs, l’abbaye de Maagdendale – ou "abbaye du Val-des-Vierges" – un béguinage, etc.

Des rôles de bourgeoisie et des livres de bourgeoisie apparaissent déjà au 13ème siècle. La tapisserie sera fort longtemps une activité primordiale pour la ville, et l’on connaît déjà d’importants tapissiers au 14ème siècle, une époque qui vit aussi l’essor de l’industrie du drap à Audenarde. C'est dans le dernier quart du 15ème siècle qu’Arent de Keysere (Arnaud, Arnold ou Arnould de Keysere ou encore Arnoldus Caesarisa) introduisit l’imprimerie dans la ville. Le célèbre poète flamand Matthys (de) Casteleyn (1485-1549) y vécut.

En 1521, l'Empereur Charles-Quint résida quelque temps à Audenarde, alors que son armée mettait le siège devant Tournai. La légende - mais est-ce une légende ? – veut que les lunettes qui apparaissent dans les armoiries de la ville ont été mises dans celles-ci après que Charles-Quint soit arrivé en ville sans que le guetteur de la ville ne l’ait remarqué, lui et sa cour… Charles-Quint y rencontra Jeanne van der Gheynst, fille d’un modeste tapissier du village voisin de Nukerke, dont il eut une fille, nommée Marguerite d’Autriche, née à Audenarde en 1522 et que son père légitimera. Celle-ci est mieux connue sous le nom de Marguerite de Parme, suite à son mariage avec Octave Farnèse, duc de Parme. Elle sera gouvernante générale des Pays-Bas (la Belgique, les Pays-Bas et le Grand-duché de Luxembourg actuels, plus la Flandre française et l'Artois) et la mère d’Alexandre Farnèse.

Le magnifique hôtel de ville d’Audenarde sera bâti entre 1526 et 1536. Durant les troubles religieux du 16ème siècle, Audenarde souffrira de la furie iconoclaste de 1566, et en 1572, sera même gouvernée par les « Gueuxs des bois ».

En 1593, Audenarde et Pamele sont réunis juridiquement : les livres de bourgeoisie de Pamele s’arrêtent dès lors à cette date. Adriaen Brouwer, un peintre célèbre, y naquit vers 1606. Les Français prirent la ville en 1658, en 1667 et en 1684, et c'est ainsi que la ville fut rattachée quelque temps à la France.

La bataille d'Audenarde, le 11 juillet 1708, qui vit la défaite des Français face aux armées alliées (Autrichiens, Anglais et Hollandais), se déroula essentiellement sur le territoire du village d’Eine (aujourd’hui englobé dans Audenarde). Cette bataille, un épisode de la guerre de succession d’Espagne, fit s’affronter les troupes du duc de Marlborough et du prince Eugène de Savoie opposées à celles du duc de Vendôme et du petit-fils de Louis XIV, le duc de Bourgogne.

Les Français reprirent encore la ville en juillet 1745 et la rendirent après l’avoir démantelée.

La tapisserie, industrie qui fut si importante pour la ville d’Audenarde et en fit sa gloire, était telle que Louis XIII chargea des tapissiers d’Audenarde d’établir à Paris la manufacture des Gobelins et de réorganiser les ateliers de Beauvais. La décadence de la tapisserie entraîna la fermeture du dernier atelier de tapisserie en 1772.

En 1857, le chemin de fer fait son apparition à Audenarde par la ligne Audenarde-Gand.

En 1965, Audenarde absorbe les villages avoisinants de Leupegem, Bevere, Ename, Eine, Edelare, Volkegem et Nederename. En 1971, Audenarde absorbe les villages de Mater, Welden, Melden et Heurne. En 1977, Mullem est encore fusionnée avec la ville. Aujourd'hui, Audenarde est une ville d'art au dynamisme économique certain.

Saint Jacques Lacops, martyr de Gorcum

Saint Jacques Lacops.JPG

Saint Jacques Lacops, ou Jacobus Lacops, La Coupe ou de la Coupe, était né à Audenarde. Son père Anthonin "Coupe", fils de Lancelot, était originaire de Lessines, en Hainaut, et demanda la bourgeoisie d'Audenarde en 1523. Saint Jacques Lacops fut martyrisé à La Brielle (actuels Pays-Bas) par les Calvinistes, dans la nuit du 8 au 9 juillet 1572 vers une heure du matin, pendu à une poutre d'une grange des ruines de l'ancien couvent Sainte-Elisabeth ten Rugge pour avoir refusé d'abjurer sa foi catholique, avec dix-huit autres martyrs. Ces martyrs furent béatifiés en 1675 et canonisés en 1867. Une magnifique châsse, contenant les reliques des Martyrs de Gorcum se trouve dans l'église Saint-Nicolas, à Bruxelles. On se référera notamment l'étude de H.J. Allard, Nadere bijzonderheden over den H. Jacobus Lacops, een der XIX Martelaars van Gorcum, dans Bijdragen voor de Geschiedenis van het Bisdom van Haarlem, tweede deel, Haarlem, 1874, pages 211 et suivantes, qui situe très précisément à Audenarde, dans la "Broodstraat" (rue aux Pains), les deux demeures successives du père de Jacques Lacops et identifie la maison dans laquelle saint Jacques Lacops est né. Les saints Martyrs avaient été enterrés sommairement sur leur lieu d'exécution. En 1615, André de Soto, commissaire général des Frères-Mineurs, confesseur de l'Infante Isabelle, exhuma les dépouilles des Martyrs et les apporta à Bruxelles. Les reliques furent ensuite déposées dans une châsse ornée de 19 statuettes représentant les saints Martyrs, et qui est exposée aujourd'hui dans l'église Saint-Nicolas à Bruxelles, à deux pas de la Bourse et de la Grand-Place.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Recherches généalogiques.png À savoir pour vos recherches généalogiques

Le dépôt d'archives

Les archives de la ville d’Audenarde sont consultables à Audenarde, dans l’ancienne abbaye de Maagdendale : Maagdendale 13, 9700 Oudenaarde (tel. (+32) 055/30.07.06), du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 16 h 30. On y consultera notamment les registres paroissiaux, mais aussi les « états de biens » (voir infra).

Les registres paroissiaux

Les registres paroissiaux d'Audenarde débutent en :

  • Sainte Walburge : pour les baptêmes en 1582 , pour les mariages en 1621, pour les inhumations en 1624 (avec, pour les inhumations, une lacune de 1775 à 1779)
  • Notre-Dame de Pamele : pour les baptêmes en 1589, pour les mariages en 1589, pour les inhumations en 1617 (avec, pour les inhumations, une lacune de 1638 à 1682).

Ces registres ont fait l’objet d’une indexation au 19ème siècle (en écriture moderne très lisible).

Les états de biens

A l’appui et en complément des registres paroissiaux, l’on consultera prioritairement les actes de dévolution successorale et de tutelle ( les « états de biens », « staten van goed » en néerlandais) passés devant les échevins d'Audenarde jusqu’en 1796.

Ces "états de biens" n'existent pas dans d'autres régions : il s'agit d'une source spécifique à la Flandre. Ces actes étaient établis, et sous la supervision des échevins de la ville, lors du décès d'une personne lorsque l'un des héritiers était mineur. Comme on était majeur à 25 ans, et que l'on perdait souvent fort tôt ses parents en ces périodes-là, beaucoup de successions donnèrent lieu à l'établissement d'un "état de biens". Certes, il fallait bien qu'il y ait l'un ou l'autre bien dans la succession, mais des successions très modestes impliquaient un état de biens.

Un "état de biens" commence d'abord par des données généalogiques : qui est le défunt, qui est son conjoint ou ses conjoints successifs, de qui est-il l'enfant, quels sont ses enfants et ses descendants, qui sont les tuteurs désignés de ses enfants et de leurs descendants (généralement des grands-parents ou des oncles), etc. Lorsque le défunt n'avait pas de descendance, la succession était attribuée aux enfants des ses frères et sœurs, voire aux descendants de ses oncles et tantes. On peut donc obtenir un tableau généalogique assez inespéré en ne recherchant pas uniquement des états de biens relatifs aux ascendants directs, mais en reconstituant toute la famille élargie. Après les données généalogiques, l'acte donne les biens puis les dettes du défunt. Il est ainsi possible de voir un cliché du cadre de vie d'un ancêtre lors de son décès, en y retrouvant une description de son habitation, de ses terrains, de ses livres (parfois !), de ses bijoux, de son métier à tisser, bref de tout ce qui fit sa vie.

L’extraordinaire collection des états de biens de la ville et de la châtellenie d’Audenarde, conservée aux Archives de la ville d’Audenarde, couvre les années 1378 à 1796.

Pour les années 1595 à 1796, une indexation a été effectuée par Carlos Aelvoet et André Lafort. Plusieurs milliers d’actes sont repris dans leur volumineux ouvrage. Sur tous ces actes, 3207 actes concernent des habitants de la ville d’Audenarde proprement dite et 971 actes concernent des habitants de Pamele. Cet ouvrage d'indexation, publié en 2008, « Stad en Kasselrij Oudenaarde, staten van goed (1595-1796), indices » est publié par les Archives de la ville d’Audenarde (où il peut être acquis) et est consultable en libre service aux Archives de l’Etat à Renaix.

Le professeur Paul van Butsele a dépouillé et transcrit les « états de biens » d’Audenarde les plus anciens. Ces transcriptions ont été publiés par les Archives de la ville d’Audenarde de 1987 à 1995 en 35 volumes. Ces transcriptions couvrent les années 1378 à 1600. Toutes les données généalogiques ont été analysées dans un but pratique pour le généalogiste. Ces registres ne couvrent pas seulement la ville d'Audenarde au sens strict, mais également des successions ouvertes dans de nombreux villages des alentours.

Le professeur Paul Van Butsele a également dépouillé et transcrit les états de biens de Pamele de 1352 à 1593. Ces transcriptions on été publiées de 1979 à 1983 par les Archives de la ville d’Audenarde en 6 volumes.

Ces transcriptions effectuées par Paul Van Butsele pour Audenarde et Pamele sont consultables "en ligne" (en format PDF) sur le site des Archives de la ville d'Audenarde par le lien suivant : [1]

Autres sources généalogiques publiées

Le professeur Paul van Butsele a dépouillé et transcrit de nombreuses sources généalogiques de la ville d’Audenarde :

  • le grand livre de bourgeoisie d’Audenarde de 1288 à 1550 (Groot poortersboek a°1288-1550).
  • le coemannenboek (Het Coemannenbouc of het Bouc van der Coemannen Gulde van Oudenaarde, 1343 –1498 -18e eeuw) publié en 1977 (qui reprend généralement des filiations sur plusieurs générations).
  • les livres de bourgeoisie commençant en 1550, dont la transcription fut publiée en 1966 (Poorterboeken van Oudenaarde, Struucboek (begonnen in 1550).
  • le livre de bourgeoisie de Pamele de 1319 à 1590, transcrit et publié en 1972 (Poorter- & struuckboek van Pamele – Oudenaarde, 1319-1590, hernieuwd 1529).
  • un autre livre de bourgeoisie de Pamele, publié en 1993 (Poortersboek van Oudenaarde-Pamele, a° 1319-1593).
  • les bourgeois résidant à Audenarde de 1550 à 1795 (Poorters van verzitten van Oudenaarde).
  • l’analyse des contrats de mariage, de séparation, etc., pour Audenarde de 1440 à 1658 et pour Pamele de 1407 à 1588, parue en 1993 (Genealogische analyse op huwelijkskontrakten, scheidingen en defloraties).

L'intéressante liste des personnes ayant exercé des charges de magistrat (bourgmestre, échevin, etc.) à Audenarde jusqu'en 1793 a été établie et publiée en 1849 par L. van Lerberghe, Magistraets-persoonen der stad Audenaerde, tot den jare 1793, Audenaerde, 1849 sous le lien suivant : [2].

Les sceaux des bourgmestres, échevins, receveurs et membres de la chambre pupillaire d'Audenarde ont été publiés en 1977 par Henri Bockstal ("De zegels van de burgemeesters, schepenen, ontvangers en oppervoogden van de stad Oudenaarde", 193 pages).

Une liste des Audenaerdais au service de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales , la V.O.C., entre 1700 et 1794, établie par Joke Verfaille, a été publiée dans le N° 46 (novembre 2012) de l'organe périodique du "Familiekunde Vlaanderen, regio Vlaamse Ardennen". Cette liste mentionne aussi les personnes originaires des villages environnants et au service de la VOC.

Carte publiée de la région

Pour une carte de la région vers 1775 : Comte de Ferraris, « Carte de cabinet des Pays-Bas autrichiens », vers 1775, rééditée en 1965, (Carte d’ « Audenaerde »).

Adresse de l'administration communale

Stad Oudenaarde, Administratief Centrum Maagdendale, Tussenmuren 17, B-9700 Oudenaarde

N° général : 055 31 46 01, télécopieur : 055 30 13 45.

Service Population et état civil : "Dienst bevolking en burgerlijke stand"

Le Service est ouvert chaque jour ouvrable de de 8 h 30 à 12 h. Le lundi en outre de 13 h 30 à 19 h. Les mardi, mercredi et jeudi après-midi de 13 h 30 à 17 h 30. Le vendredi après-midi de 13 h 30 à 16 h.

Téléphone : 055 335 189, télécopieur : 055 33 51 20, adresse électronique : bevolking(arobase)oudenaarde.be et burgerlijke.stand(arobase)oudenaarde.be


Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

‎ Edouard-Fr. Van Cauwenberghe, "‎Lettres sur l'histoire d'Audenarde", ‎Audenarde, Imp. Van Petegem-Ronsse, 1847, 8°, 416 p. Cet intéressant ouvrage sur l'histoire d'Audenarde a été écrit par un échevin d'Audenarde [1818-1892], qu'Eugène de Seyn qualifie d'« historien consciencieux dont les écrits sur sa ville natale sont dignes d'estime ». L'ouvrage a été numérisé et est gratuitement téléchargeable en totalité par le lien suivant [3]

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