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[[image:Francois_Briot.jpg|François Briot]] est né à Damblain vers 1645. Il est le fils d'Urbain Briot et de Jeanne, et le frère de Didier Briot. Epoux d'Anne, il a trois enfants en 1576. | <!-- Catégorie de la page, ne pas modifier --> | ||
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[[image:Francois_Briot.jpg|200px|right|thumb|<center> François Briot, vers 1575 <br> <small> Cliquer pour agrandir </small> </center>]]François Briot est né à Damblain vers 1645. Il est le fils d'Urbain Briot et de Jeanne, et le frère de Didier Briot. Epoux d'Anne, il a trois enfants en 1576. | |||
Il suit les pas de Pierre Woeiriot, dont la mère est Damblinoise. Comme lui et comme son oncle Etienne, il a une formation d'orfèvre et de potier d'étain. On sait peu de chose sur sa formation, mais comme tous les orfèvres, il a dû passser par Florence, dont l'orfèvrerie y est florissante. | Il suit les pas de Pierre Woeiriot, dont la mère est Damblinoise. Comme lui et comme son oncle Etienne, il a une formation d'orfèvre et de potier d'étain. On sait peu de chose sur sa formation, mais comme tous les orfèvres, il a dû passser par Florence, dont l'orfèvrerie y est florissante. | ||
Il est passé par Lyon où il retrouve un Lorrain, Jean Jacquemard, de Clinchamps, potier d'étain comme lui. Jean Jacquemard quitte lyon en 1562 et ils sont reçus tous deux le même jour à la corporation de Saint Eloi à Montbéliard le 12 avril | Il est passé par Lyon où il retrouve un Lorrain, Jean Jacquemard, de Clinchamps, potier d'étain comme lui. Jean Jacquemard quitte lyon en 1562 et ils sont reçus tous deux le même jour à la corporation de Saint Eloi à Montbéliard le 12 avril 1580. | ||
Il est considéré, avec sa fameuse aiguière et son bassin, comme la chef de file de l'école lyonnaise de la poterie d'étain. Il a vraissemblablement quitté Lyon vers 1572 et se retrouve à Damblain, où il est signalé en 1576 et 1578. | |||
Beaucoup d'erreur sur son oeuvre sont relevées par André Gautrot, erreurs qui se répercutent encore de nos jours. | |||
:: Il est né à Damblain | |||
:: il est potier d'étain et reçu comme tel à la corporation de St Eloi à Montbéliard. | |||
:: Il est graveur et signe comme tel son auto portrait situé sous son fameux bassin. | |||
:: Il n'a pas fait son aiguière à Monbéliard mais à Damblain ou plutôt à Lyon. | |||
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Version du 14 avril 2006 à 16:30
< Retour aux familles notables de Damblain
Il suit les pas de Pierre Woeiriot, dont la mère est Damblinoise. Comme lui et comme son oncle Etienne, il a une formation d'orfèvre et de potier d'étain. On sait peu de chose sur sa formation, mais comme tous les orfèvres, il a dû passser par Florence, dont l'orfèvrerie y est florissante.
Il est passé par Lyon où il retrouve un Lorrain, Jean Jacquemard, de Clinchamps, potier d'étain comme lui. Jean Jacquemard quitte lyon en 1562 et ils sont reçus tous deux le même jour à la corporation de Saint Eloi à Montbéliard le 12 avril 1580.
Il est considéré, avec sa fameuse aiguière et son bassin, comme la chef de file de l'école lyonnaise de la poterie d'étain. Il a vraissemblablement quitté Lyon vers 1572 et se retrouve à Damblain, où il est signalé en 1576 et 1578.
Beaucoup d'erreur sur son oeuvre sont relevées par André Gautrot, erreurs qui se répercutent encore de nos jours.
- Il est né à Damblain
- il est potier d'étain et reçu comme tel à la corporation de St Eloi à Montbéliard.
- Il est graveur et signe comme tel son auto portrait situé sous son fameux bassin.
- Il n'a pas fait son aiguière à Monbéliard mais à Damblain ou plutôt à Lyon.