85092 - Fontenay-le-Comte
Fontenay-le-Comte | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Vendée |
Métropole | - |
Canton | Fontenay-le-Comte (85-05)
85-07 Fontenay-le-Comte (Ancien canton) |
Code INSEE | 85092 |
Code postal | 85200 |
Population | 13 647 habitants (2013) |
Nom des habitants | Fontenaisiens, Fontenaisiennes |
Superficie | 3 405 hectares |
Densité | 400.79 hab./km² |
Altitude | Mini : 2 m |
Point culminant | 68 m |
Coordonnées géographiques |
46.466944° / -0.806388° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
L'origine de Fontenay-le-Comte est inconnue. La découverte de nombreux silex taillés ou polis permet d'affirmer que le lieu était habitué depuis la plus haute Antiquité.
Le coteau sur lequel s'est établie la ville, dernier contrefort du bocage, par sa situation dominante représente une position forte contre un agresseur éventuel. Au pied, la rivière Vendée disperse ses eaux en plusieurs bras enserrant des ilots alluvionnaires inondés à la saison des fortes crues, de part et d'autre, la plaine se déploie vers Luçon et Niort, le marais est là tout proche avec ses îles et ses terres non fixées.
Une voie allant du midi vers le nord-ouest traverse à l'endroit où les eaux sont le moins profondes. Ce gué, surmonté d'une chaussée et facilitant le passage obligé pour la circulation des marchandises et des gens, a imposé l'édification de moyens de protection. Des maisons, qui n'étaient peut-être que des huttes, sont venues jouxter ces constructions, se plaçant ainsi sous leur protection en cette période troublée. La sûreté du lieu étant établie, ce point de rencontre servait de halte et de relai et se prêtait aux échanges (la mise au jour au XIXe siècle de nombreux débris et de monnaies à Fontenay et dans les environs atteste la présence humaine).
Ce n'est qu'à partir de 841 qu'il est fait état dans la Chronique de Nantes de l'existence de Fontenay, bourg du territoire poitevin. On y relate que Renaud d'HERBAUGE et LAMBERT, comte de NANTES, y réunirent leur armée pour se porter à l'aide de CHARLES LE CHAUVE contre son frère LOTHAIRE. Au Moyen Âge, à l'instar d'autres villes, elle se dote de moyens de défense : un château fort, de solides murailles et des fossés dont il ne reste que des vestiges.
Au XIe siècle, FONTENAY est un rendez-vous de chasse. Louis IV d'OUTRE-MER y fut reçu par le comte du Poitou Guillaume TETE D'ETOUPE en 1043.
À partir du XIIe siècle, la ville est tour à tour la propriété des comtes du Poitou et des MAULEONS, puis de Geoffroy "LA GRAND'DENT", homme redoutable, célèbre par ses exactions comme le pillage et l'incendie de l'abbaye de MAILLEZAIS non loin. Il était le fils de Geoffroy de LUSIGNAN et d'Eustache CHABOT, popularisée depuis sous le nom de MELUSINE fée mi-femme, mi-poisson qui hantait la forêt de Mervent-Vouvant. La maison de LUSIGNAN est une dynastie noble poitevine originaire du Limousin, attestée depuis le Xe siècle et qui a donné des comtes de la Marche, comtes d’Angoulême, rois de Jérusalem puis de Chypre et d’Arménie. Ce Geoffroy "LA GRAND'DENT", embrassant le parti du comte de la Marche contre le roi Louis IX, obligea ce dernier à venir lui-même mettre le siège devant Fontenay qui fut pris en mai 1242.
La ville devient alors la propriété d'Alphonse de POITIERS, frère du roi. C'est depuis cette époque qu'elle se vit attribuer le surnom de Le Comte. Au décès de ce prince, le 21 août 1271, la ville retourna à la couronne, Philippe le HARDI en y prenant la possession et s'y rendant la même année.
En mars 1471, Louis XI érige la cité en commune. La charte accordée donne pour raison cette libéralité : « que la ville est assise en grands trépas et assez près de la mer, environnée de bon pays fertil, qu'elle est ancienne et grandement renommée au pays de Poitou, qu'elle a un chastel ancien, grandement fortifié le temps passé, au moyen duquel et de la scituation de la dite ville, y a très grands fréquentations du faict de marchandises et mesmement de draperie qui s'y fait et oeuvre chaque jour, ce qui fait que plusieurs étrangers et autres de la dite ville y font leur refuge et leur demeurance et mesmement un temps d'hostillité de guerre, tant en la dite ville, qui est fortifiée et grandement emparée de murailles de fossez, qu'aussi ses bourgs et faubourgs qui sont fortifiés de fossez. »
La Renaissance marque son apogée. Elle rassemble dans ses murs une élite intellectuelle dont la renommée s'étend hors des limites du royaume.
Ses foires d'antan étaient réputées. Le commerce y était important et particulièrement celui des chevaux et des mulets très prisés des Espagnols. De ces foires, celles du 2 avril et de la Saint Venant ont disparu. Seule celle de la Saint Jean a trouvé son prolongement dans l'actuelle "Foire Exposition".
L'année 1560 marque le début de la propagation du protestantisme dans la contrée et la ville est le théâtre de luttes très dures entre catholiques et huguenots. En l'espace de 25 ans, Fontenay-le-Comte fut prise et reprise huit fois, causant de nombreux dommages à la cité.
Henri III de NAVARRE, futur Henri IV, est à la tête du parti huguenot. Au début de l'année 1587, il séjourne à Marans, localité proche de vingt kilomètres. En février, Catherine de MÉDICIS, désirant le rencontrer, car à la recherche d'un apaisement à ces querelles politiques et religieuses qui ruinent le pays, est à Fontenay. Mais la méfiance règne dans les deux camps et l'entrevue ne peut avoir lieu, aucun se résigne à se rendre à l'invitation de l'autre.
Henri vient mettre le siège devant Fontenay en mai 1587 et s'empare de la ville, son fidèle SULLY l'accompagne.
Le 21 décembre 1608, RICHELIEU y est de passage, se rendant à Luçon pour y prendre possession de son évêché. Louis XIII y fait un court séjour en 1621.
La révocation de l'Édit de Nantes en 1685 porte un coup fatal à la cité. La fuite de nombreux huguenots lui fait perdre une grande partie de son commerce et particulièrement celui des draperies. Cette période est l'une des plus sombres de son histoire et marque son déclin.
Le 27 janvier 1790, l'Assemblée Nationale décide que Fontenay-le-Comte sera le chef-lieu du Département Occidental du Poitou, qu'on appellera Vendée. Cette primauté lui est retirée par décret impérial du 25 mai 1804. Le 19 août de la même année, le siège de la préfecture est transféré à Napoléon-Vendée (La Roche-sur-Yon), ville estimée mieux située au regard de l'administration.
1793 ne l'épargne pas. Placée à la limite de la Vendée militaire, elle subit toutes sortes d'exactions consécutives aux troubles révolutionnaires. Les "blancs" s'en emparent le 15 mai 1793, ils l'évacuent trois jours plus tard après avoir libéré de nombreux prisonniers. Il y eut à Fontenay-le-Comte 230 et quelques exécutions auxquelles il faut ajouter un grand nombre de prisonniers qui moururent faute de soins. C'est alors que, pour peu de temps, le 15 novembre 1794, la ville s'appellera Fontenay-le-Peuple.
Le 7 avril 1808, NAPOLEON 1er et Joséphine de BEAUHARNAIS arrivent à Fontenay venant d'Espagne pour en partir le lendemain. De cette époque, on peut retenir le nom de BELLIARD, Fontenaisien et général de l'Empire qui se distingua dans les différentes guerres, fut pair de France et ambassadeur à Bruxelles sous la Restauration où il prit une part importante aux accords qui scellèrent l'indépendance de la Belgique.
La duchesse de BERRY viendra dans la cité le 11 juillet 1828, puis en 1832 pour tenter un soulèvement contre le gouvernement de LOUIS-PHILIPPE.
Plus près de nous, le Général de GAULLE, Président de la Ve République, visitera la ville le 20 mai 1965.
Malgré la crise économique qui a ravagé l'industrie et le commerce local, la ville se prête admirablement au tourisme. Située aux confins de la plaine, du marais et du bocage, la diversité de ses paysages en fait un ensemble attachant qui retient de plus en plus l'attention.
Maintenant, Fontenay-le-Comte mène l'existence d'une petite ville de province, riche des souvenirs de son passé gravés dans les pierres de ses monuments et de ses vieilles maisons, témoins d'une époque florissante.
Héraldique
- D'azur à la fontaine jaillissante de trois pièces d'argent au bassin maçonné de sable.
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Vendée
- Arrondissement - 1801-2024 : (Fontenay) Fontenay-le-Comte
- Canton - 1801-2024 : (Fontenay) Fontenay-le-Comte
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
- Fontenay-le-Comte absorbe, en 1966, l'ancienne commune de Charzais, puis absorbe, en 1972, l'ancienne commune de Saint-Médard-des-Prés.
Patrimoine bâti
Château de Terre Neuve
- Château de Terre Neuve du XVIe siècle, construit par Nicolas Rapin, grand-prévôt de la Connétablie de France. Ce château est classé aux Monuments Historiques
Église Notre-Dame
- Église Notre-Dame des XVe-XVIe siècles, classée. Cet édifice gothique succède à une autre église romane comme en témoigne la crypte du XIème siècle.
Église Saint-Jean
- Église Saint-Jean des XVe et XVIIe siècles, classée
Fontaine des Quatre Tias
- Fontaine des Quatre Tias : succédant à une fontaine médiévale, c’est sur cette construction de 1542 qu’ Octave de Rochebrune fit graver en 1899 la célèbre devise latine du XVIe siècle reconnaissant la valeur des habitants : Fontenay, source jaillissante des Beaux-Esprits.
Logis de la Courpe (Maison Billaud)
- Logis de la Courpe dite Maison Billaud : joyau de l’architecture Renaissance, cette demeure est composée de deux logis qui se développent autour d’une cour intérieure.
Les hôtels
- Hôtel de la Pérate avec une façade ornée de manière très géométrique, utilisant le décor des monuments gréco-romains.
- Hôtel Gobin dit La Sénéchaussée (aujourd’hui Trésor Public) construit à la fin du XVIe siècle qui reproduit la forme « archaïque » d’un château à tourelles. Le décor est concentré sur la tour d’escalier. Mélusine, fée Bâtisseuse du Poitou, est sculptée dans un fronton.
Les quartiers, places ...
- Quartier des Illustres (autour de la place du Puits la Vau) au XVIIIe siècle, qui intègre des demeures aristocratiques inscrivant leurs façades de pierre moulurée. Le Palais des Évêques jouxte la fenêtre « à la Serlio » ornée de figures engainées. Dernier vestige de l’architecture gothique civile à Fontenay, l’ancien prieuré Notre-Dame montre une travée de fenêtres à meneaux, sculptées de fleurons (XVe siècle).
- Place Belliard, seul espace libre au sein de la ville du Moyen Age, on l’appelle notamment Place aux Porches en référence aux maisons à arcades du début du XVIIe siècle. En 1769, Daniel Auguste Belliard naît au n° 11. Général d’Empire, il devient le héros de l’Indépendance Belge.
- Faubourg des Loges (Rue des Loges). La maison à pan de bois au n°94 est le dernier témoin du Moyen Âge. Quelques demeures nobles sont édifiées en pierre : la Maison Millepertuis au n°85, construite au XVIe siècle est ornée de bossages vermiculés avec de nombreuses figures humaines et animales. La maison Louis XV au n° 26 est l’œuvre d’un maître ferronnier qui signe ses balcons en 1771.
- Tour Rivalland et la chapelle des Carmélites : en 1881, Gustave Rivalland construit une tour en béton armé, dont les éléments décoratifs en mosaïque évoquent les symboles de la Franc-maçonnerie ; des Carmélites belges s’y installent en 1930 et construisent leur chapelle, copie conforme de la chapelle de Lisieux du XVIIIe siècle.
- Place Viète, ancienne place Royale devenue la place d’Armes puis la place Viète en 1880. Le kiosque à musique date de 1893. En 1951, Emile Boutin édifie la Fontaine des Illustres en hommage à l’élite intellectuelle de Fontenay.
- Maison Chevolleau, édifice du XVIIIe siècle construit sur des pans de murailles médiévales. Résidence d’artistes au printemps et pôle du Parcours contemporain l’été, c’est le lieu de la création artistique à Fontenay tel que le souhaitait le peintre Jean CHEVOLLEAU (1924-1996) qui y habitait.
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 5 960 | 6 520 | 6 615 | 7 470 | 7 504 | 7 650 | 7 175 | 7 997 | 7 884 | 7 727 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 7 971 | 8 062 | 7 660 | 8 453 | 9 333 | 10 164 | 9 864 | 10 096 | 10 512 | 10 326 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 10 379 | 8 903 | 9 423 | 9 082 | 8 564 | 9 838 | 9 519 | 10 109 | 12 199 | 15 275 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | - | - | - | - |
Population | 15 295 | 14 456 | 13 792 | 14 354 | 14 204 | - | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cfr : Cassini avant 2006, INSEE 2006, 2011 & 2013.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Nicolas SAVARY de CALAIS | 1735 - 1736 | |
Jacques GANDOUARD | 1736 - 1737 | |
Nicolas SAVARY du FIEF-LAMBERT | 1737 - 1741 | |
Nicolas SAVARY de CALAIS | 1741 - 1745 | |
Nicolas SAVARY du FIEF-LAMBERT | 1745 - 1765 | |
François Gabriel PICHARD de MAUPINSSON | 1765 - 1767 | |
Charles-François de HILLERIN | 07/02/1767 - 23/06/1769 | |
Louis-Denis DUCHIRON | 23/06/1769 - 1774 | |
Louis-Jacques-Philippe-Nicolas SAVARY de CALAIS | 1774 - 1789 | |
François Jean PICHARD du PAGE | janvier 1790 - décembre 1791 | |
François-Thomas BIAILLE de GERMON | 1792 - 08/09/1793 | |
Jacques-Pierre TESTARD | 08/09/1793 - 17 avril 1794 | |
Paul BRISSON | 17/04/1794 - 1794 | |
François-Alexis BERNARD | 1800 - 1804 | |
Paul BRISSON | 1804 - 1808 | |
Pierre-Louis-Antoine LAVAL | 18/03/1808 - 1815 | |
Paul-Charles BRISSON | 1815 - 1819 | |
Jean-Mathias COUGNAUD | 31/03/1819 - 12/07/1821 | |
Madeleine-Claude-Hyacinthe de VASSE-TENDRON | 12/07/1821 - 1831 | |
M. Joseph-Armand BRISSON | 1831 - 22/09/1832 | |
Daniel-Abraham CHABOT | 22/09/1832 - 18/12/1839 | |
M. Gabriel ESPIERRE | 18/12/1839 - 02/09/1848 | |
Léon-Hygin VINET | 02/09/1848 - 07/10/1863 | |
René Marie Clément VALETTE | 1863 - 1868 | |
Octave Etienne GUILLAUME de ROCHEBRUNE | 1868 - 1870 | |
Sigisbert GANDRIAU | 1870 - 1871 | |
Léonidas Louis Marie Joseph BARON | 1871 - 1874 | |
Octave Etienne GUILLAUME de ROCHEBRUNE | 1874 - 1876 | |
Pierre Auguste Marcellin MERCIER | 1876 - 1877 | |
Octave Etienne GUILLAUME de ROCHEBRUNE | 1877 - 1878 | |
Pierre Auguste Marcellin MERCIER | 1878 - 1879 | |
Ernest ESPIERRE | 1879 - 1884 | |
Marie-Gaston GUILLEMET | 1884 - 1889 | |
Arsène CHARIER | 1889 - 1892 | |
Auguste Joseph Alfred ROUSSE | 1892 - 1896 | |
Arsène CHARIER | 1896 - 1900 | |
Théophile MOUSSEAU | 1900 - 1904 | |
Xavier Sigisbert Raoul Gaston GANDRIEAU | 1904 - 1912 | |
Pierre-Marcel ROY | 1912 - 1919 | |
Isaac Jules Armand BUJARD | 1919 - 1924 | |
Roger-Gaston GUILLEMET | 1924 - 1945 | |
Marceau BRETAUD | 1945 - 1965 | |
André FORENS | 1965 - 1981 | Conseiller général |
Francis BLOCH | 1981 - 1989 | |
André FORENS | 1989 - 1995 | |
Jean-Claude REMAUD | 1995 - 2008 | Conseiller général |
Hugues FOURAGE | 2008 - 2014 | Conseiller régional |
Jean-Michel LALERE | 2014 - (2020) |
Source : MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Henri BOUCARD | 19 décembre 1862 | - | Dossier - Vice-Président de Chambre à la Cour d'Appel de Paris - Officier de la Légion d'honneur - Chevalier de l'Instruction Publique | |
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Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- André ALBERTIN, peintre, né au XXe siècle
- Auguste BELLIARD (comte), militaire, né le 25 mai 1769, décédé en 1832 à Bruxelles (Belgique)
- Gisèle BRELET, esthéticienne, directrice des Presses Universitaires de France, née en 1919
- Barnabé BRISSON, magistrat, avocat du roi au parlement de Paris, né vers 1530, décédé (pendu) en 1591 à Paris
- Gabriel CHARLOPEAU (Louis BERNARD, dit), peintre, né 27 novembre 1889, décédé le 16 juin 1967 à Nieul-sur-Mer
- Michel CRÉPEAU, homme politique, avocat, maire de La Rochelle, conseiller général, ministre, né le 30 octobre 1930, décédé le 30 mars 1999 à Paris
- Léo DREY (Léopold DREYFUS, dit), peintre, né le 12 mars 1879, décédé 6 mars 1953 à Nice
- Nicolas GRIOMARD (comte), navigateur, lieutenant de vaisseau, né en 1743, décédé (exécuté) en 1794 à Rochefort
- Jean-Paul HUGOT, responsable politique, maire de Saumur, conseiller général et régional, député au Parlement européen, né le 2 avril 1948
- Marie-Joseph NICOLAS, ecclésiastique, dominicain, né le 31 juillet 1906
- André Charles Jean POPP, compositeur né le 19 février 1924
- Nicolas RAPIN, poète, l'un des principaux auteurs de la satise Ménippée, magistrat, militaire, né vers 1540, décédé le 17 février 1608 à Poitiers
- Octave de ROCHEBRUNE, peintre et graveur, né le 1er avril 1824 au château de Terre Neuve, décédé le 1er juillet 1900 à Fontenay-le-Comte
- Abel THOMAS, responsable politique, député, né le 18 juillet 1920
- André TIRAQUEAU, juristeconsulte, conseiller au parlement de Paris, son vaste savoir le fit surnommer le Varron de son siècle, né vers 1480, décédé en 1558 à Paris
- François VIÈTE, mathématicien, il transforme complètement l'algèbre en se servant de lettres pour représenter des quantités et en précisant les rapports de cette science avec la géométrie, avocat au parlement de Paris, né en 1540, décédé en 1603 à Paris
À savoir pour vos recherches généalogiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h - 12h | 8h - 12h | 8h - 12h | 8h - 12h | 8h - 12h | - | - |
Après-midi | 13h15 - 17h | 13h15 - 17h | 13h15 - 17h | 13h15 - 17h | 13h15 - 17h | - | - |
Mairie |
Adresse : 4, quai Victor Hugo - BP 19 - 85201 FONTENAY-LE-COMTE
Tél : 02 51 53 41 41 - Fax : 02 51 53 41 62 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public (Novembre 2016) |
Archives & dépouillements des registres paroissiaux
- État civil récent - Élections - Cimetière - Recensement
- Mairie : 4, rue Victor Hugo - Lundi au vendredi : 8h-12h et 13h15-17h
- Archives anciennes
- L'état civil est numérisé sur le site des AD 85.
Archives notariales
Les minutes antérieures à 1702 sont disponibles sur le site des Archives Départementales de la Vendée
Patronymes
Remarques
Bibliographie
Fontenay (Mémoire sur une nouvelle nomenclature des dénominations de rues)
Fontenay-le-Comte sous la Révolution. Les malentendus de la liberté.
Recherches vendéennes n° 22 - 2015-2016 : De la Résistance à la Paix
À la découverte de… Fontenay-le-Comte