83119 - Saint-Tropez

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Saint-Tropez
Blason Saint-Tropez-83119.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 83 - Blason - Var.png    Var
Métropole -
Canton Blason Sainte-Maxime-83115.png   83-15   Sainte-Maxime

Blason Saint-Tropez-83119.png   83-22   Saint-Tropez (Ancien canton)

Code INSEE 83119
Code postal 83990
Population 3 600 habitants (2020)
Nom des habitants Tropéziens, Tropéziennes
Superficie 1 118 hectares
Densité 322 hab./km²
Altitude Mini : 0 m
Point culminant 115 m
Coordonnées
géographiques
43.273296° / 6.639621° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
83119 - Saint-Tropez carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Bref historique

  • 599 av. J.-C. : Les Phocéens investissent Marseille et les sites de mouillage de la côte.
  • 31 av. J.-C. : La bataille d'Actium permet l'installation des Romains. Ils construisent des villas cossues. Celle dite "des Platanes" en est l'illustration. La première dénomination du village est Héraclea-Caccaliera et l'embouchure du golfe, Les Issambres, Sinus Sambrecinalus.
  • Fin IXe siècle : La chute de l'Empire romain, les pirates, les corsaires mettent le pays à feu et à sang. Ces exactions qui durèrent près de 100 ans sont dans la mémoire collective, toutes attribuées aux Sarrasins qui se retrancheront à la Garde-Freinet. Il restera de leur passage les toits de tuiles roses dites "sarrasines" du pays de Provence.
  • 976 : Guillaume Ier comte de Provence, seigneur de Grimaud, chasse les belligérants et il fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren.
  • 1079 et 1218 : les bulles pontificales confirment l'existence d'un domaine seigneurial à Saint-Tropez.
  • À partir de 1436, le comte René Ier (le bon roi René) tente de repeupler la Provence. Il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Gabriel de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagnée d'une quarantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV. Le 14 février 1470, une charte est passée entre Jean de Cossa, baron de Grimaud, grand sénéchal de Provence et le gentilhomme génnois Gabriel de Garezzio. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du XIVe siècle, Raphaël de Garezzio fait construire des murs d'enceintes dont deux larges tours sont encore debout : l'une à l'extrémité du grand môle et l'autre à l'entrée de la "Ponche". La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1558, la création de la charge de capitaine de ville (Honorat Coste) renforce l'autonomie de la ville. Le capitaine élu tous les ans, dirige les capitaines de quartiers, un bombardier, une milice et des mercenaires. Les Tropéziens résistent aux Turcs, aux Espagnols, secourent Fréjus et Antibes, aident l'archevêque de Bordeaux à reprendre les îles de Lérins.
  • 1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane, épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren.
  • 1615 : Saint-Tropez accueille durant quelque temps l'expédition de Tsunenaga Hasekura, qui se rendait à Rome mais est obligée de s'arrêter à cause du mauvais temps. Cette visite imprévue constitue la première trace enregistrée de relations franco-japonaises.
  • 15 juin 1637 : Les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.

Héraldique

Façade de la mairie

D'azur à saint Tropez vêtu en pèlerin d'or, sa tête diadémée du même, tenant de sa main dextre, une épée d'argent, la pointe en bas[2].


Histoire industrielle

  • Établissement Alexandre GRAMMONT, entreprise créée en 1892, qui fabriquait des câbles télégraphiques pour les sous-marins.
  • Alexandre Grammont (1852-1925) était lyonnais
  • Cette entreprise avait une usine à Pont-de-Chéruy en Isère [3]

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Var
  • Arrondissement - 1801-2024 : Draguignan
  • Canton - 1801-2015 : Saint-Tropez --> 2015-2024 : Sainte-Maxime
  • Commune - 1801-2024 : Saint-Tropez

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Notre-Dame-de-l'Assomption


Un premier lieu de culte fut édifié avec l'arrivée des familles Génoises au bord du rivage, l'actuelle salle des mariages.
Cette salle fut rapidement trop petite et en 1512, par délibération des consuls et du conseil de communauté il fut décidé d'en édifier un plus vaste à l'intérieur de la ville. Lequel fut mis en chantier en 1540, sur l'emplacement actuel selon un axe Nord-Sud, le porche d'entrée étant au niveau de la sacristie actuelle.
En 1683, l'église était à nouveau devenue trop petite. Mais faute de fonds, ce projet n'arrivait pas à terme.
Devant la vétusté de l'église, le 28 octobre 1775, le conseil de communauté donnait son autorisation aux Marguilliers du Saint-Sacrement d'acheter les maisons en façe de l'église pour agrandir le lieu de culte.
La construction de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Saint-Tropez s'est déroulée de 1779 à 1784. Pendant les travaux le culte se déroulait à la chapelle de la Miséricorde.
Les plans de l'église sont de l'architecte TORTAT de Lorgues.
Édifice de style Classique, orienté Est-Ouest. Les fenêtres sont en surélévation pour tirer le regard du fidèle le plus haut possible.
Sa construction coûta 76125 livres dont le quart fut payé par les capitaines (120) des navires et le reste par les amendes correctionnelles de police, les aumônes des nouveaux mariés et les relicats des comptes des confréries à l'exception des confréries de pénitents.
Mgr de Beausset, archevêque d'Aix, a consacré l'église en 1820.

Le clocher jouxte le chevet. Il est carré dans les deux tiers de sa hauteur et hexagonal dans sa dernière partie. Il est coiffé d'une toiture en forme de calotte. Le clocher de l'ancienne église subsista bien que restauré. Conçu comme une tour fortifiée, la partie terrasse et crénelée fut détruite à la révoluion. Il fallut attendre 1834 pour que le campanile soit édifié.

La tribune et l'orgue:
Celle ci fut construite en 1810 par Louis San MARTIN destinée à recevoir les grandes orgues. Elle a été restaurée en 1989 pour recevoir l'orgue construit par Pascal QUOIRIN, facteur d'orgues à Caprentras. Les buffets ont été décorés par Pierre SIBIEUDE d' Avignon. La statue du roi DAVID et les anges musiciens décoraient l'orgue précédent. Ceux-ci , oeuvre de VIAN sculpteur à Pignans ont été restaurés par Robert BOEUF de Toulon.

À noter : la statue de Saint Tropez en centurion romain sur la façade. Il n'existe que trois églises dédiées à Saint-Tropez: ici, à Gênes et à Pise.

L'édifice est inscrit aux monuments historiques depuis 1981[4]

Source[5]




La tour Guillaume ou Tour Suffren


Probablement construite au XVIe siècle sur l'emplacement d'une tour du XIe siècle.
Inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1986[6]


Le cimetière marin

Tombe de Eddie BARCLAY


Le cimetière fut aménagé en contrebas de la citadelle à partir de 1791, sur un terrain d'un notable de la ville. Antérieurement, il y avait un cimetière place de l'Ormeau, derrière l'église. Le cimetière a été agrandi au cours du XIXe et du XXe siècle. Aujourd'hui, le cimetière est le lieu de sépulture de familles de marins , de négociants et autres personnalités locales.

Outre ces personnalités locales, le cimetière est la dernière demeure :
- de Blandine LISZT (fille du compositeur et épouse de l'homme politique et écrivain Émile OLLIVIER),
- des peintres Auguste Pégurier, André Dunoyer de SÉGONZAC, Henri MANGUIN,
et autres célébrités tels
- le réalisateur, scénariste, comédien, romancier et poète Roger VADIN,
- le chanteur et compositeur Pierre BACHELET,
- le producteur de musique Édouard RUAULT plus connu sous le nom Eddie BARCLAY.


La citadelle

Vue d'ensemble
Le donjon
Photo J-P GALICHON


Chapelle Sainte-Anne

La chapelle Sainte-Anne entourée de cyprès, de pins et de chênes
Photo J-P GALICHON



Chapelle située au 21, chemin des Bastidettes.
Chapelle érigée sur le Mont Pécoulet à partir de 1618 en action de grâces, après une épidémie de peste qui épargna la ville. Elle est dédiée à la patronne des gens de la mer.
Au XIXe siècle, les équipages des longs-courriers montaient ici avant d'appareiller pour solliciter la protection de sainte Anne (patronne des marins). À leur retour, ils y revenaient afin de la remercier avec des ex-voto. Édifice de style provençal, elle n'est ouverte au public que quelques jours par an.

Chapelle classée à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1951 [7]

Chapelle Saint-Joseph

Chapelle Saint-Joseph
Photo J-P GALICHON



Chapelle située au 45, chemin de Sainte-Anne.
Chapelle érigée en 1650, Les charpentiers et menuisiers y venaient en procession le 19 mars.

Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1986[8]


Chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde

Chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde
Photo J-P GALICHON
Vue intérieure
Photo J-P GALICHON
Porte en serpentine
Photo J-P GALICHON



Chapelle située rue Gambetta.
Chapelle de la Confrérie des Pénitents noirs édifiée vers 1635 sur un terrain acquis par la ville en 1633.
A partir de 1656 on y convoque des réunions.
En 1776, cette Chapelle servit pour les offices, l'Eglise Paroissiale menaçant ruine.
Au moment de la vente des biens de l'Eglise par l'Etat, la Chapelle fut rachetée par des particuliers qui en firent donation à la fabrique de cette paroisse pour lui rendre son usage religieux le 24 mars 1818.
Les Pénitents Noirs utilisèrent les locaux jusque vers 1854 époque de leur dissolution.
Cette chapelle longtemps fermée au culte a servi de lieu d'exposition et de concert.
Une restauration complète a été entreprise : le clocher avec un dome en tuile vernissée, la toiture et les façades en 1973. puis ce sont toutes les statues qui ont été redorées.
La Chapelle de la Miséricorde restaurée a été inaugurée le 15 décembre 1997.
L'encadrement de la porte d'entrée est en serpentine (un gisement existe au lieu-dit " La Carrade " entre les limites des communes de la Croix-Valmer et Cavalaire).
Source[9].

Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1947[10]


Chapelle Saint-Tropez-des-Platanes

Chapelle Saint-Tropez-des-Platanes
Photo J-P GALICHON



Chapelle du couvent située avenue Augustin Grangeon.
La chapelle aurait été élevée sur l'emplacement où auraient été enterrées les reliques de Saint-Tropez.

Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1954[11]


Chapelle de l'Annonciade (musée)

Chapelle de l'Annonciade
Photo J-P GALICHON



La chapelle de l'Annonciade est construite entre 1510 et 1558 par la confrérie des Pénitents Blancs. La chapelle fut vendue comme bien national à la révolution. Le clocher est rasé en 1821 et le toit transformé dans sa forme actuelle pour permettre l'utilisation de la chapelle en magasin de stockage. Elle est dépouillée de son mobilier au XIXe siècle : le maître-autel part à Sainte-Maxime, les boiseries sont utilisées pour l'église paroissiale, les ornements d'argent partent à Fréjus.
La partie supérieure fut aménagée en 1937 pour recevoir les collections du Museon Tropelen. En 1950, le bâtiment entier fut mis à la disposition de Georges GRAMMONT (riche industriel et collectionneur) qui le fait aménager à sa charge. Le musée est inauguré en juillet 1955 et en août Georges GRAMMONT fait don au musée des pièces majeures de sa collection.


La gendarmerie

La gendarmerie
Photo J-P GALICHON

Le bâtiment situé dans le quartier de la Corderie (Place BLANQUI) était une maison bourgeoise appartenant à Raymond LADOUCEUR et Antoinette BERANGUIER. À partir du 1er janvier 1879, le bâtiment sera loué à la brigade de gendarmerie de la commune.
Le 4 juin 1934 elle sera vendu à la commune qui poursuivra la location jusqu'en 2003, date à laquelle la gendarmerie déménagera.
Depuis le 25 juin 2016 la maison est occupée par le musée de la Gendarmerie et du Cinéma de Saint-Tropez.


Château de la Moutte

Vue d'ensemble
Photo J-P GALICHON
Vue d'ensemble
Photo J-P GALICHON



  • Alban MARTIN de ROQUEBRUNE fit construire en 1854 la bastide des Salins qui deviendra ensuite le château de la Moutte après le rachat en 1860 par Émile OLLIVIER et Blandien OLLIVIER. Dans le bureau d'Émile OLLIVIER on peut voir une cheminée en gypserie aux armes des MARTIN de ROQUEBRUNE. La bastide est progressivement transformée en petit château d'inspiration Italienne. A partir de 1882, "La Toscane" est construite et reliée au bâtiment principal par une galerie qui protège du vent. "La Toscane" est achevée en mars 1883. Le bâtiment principal est entouré d’un parc botanique. Ce château est aujourd’hui la propriété du Conservatoire du littoral.

Émile OLLIVIER, né le 2 juillet 1825 à Marseille et mort le 20 août 1913 à Saint-Gervais-les-Bains, est un avocat qui sera ensuite député[12] et chef de gouvernement puis académicien[13] .

Temple protestant

Temple protestant
Photo J-P GALICHON



Temple située au 7 Rue du Temple.

Le Temple réformé inauguré officiellement le 4 novembre 1928.
Lors de la Première guerre mondiale, la Citadelle de Saint-Tropez avait été transformée en lieu d’internement pour des civils allemands et austro-hongrois. Nombre de ces prisonniers, Allemands, Autrichiens et Alsaciens, de confession réformée, ont souhaité des célébrations de leur culte. Par ailleurs, quelques familles protestantes habitaient Saint-Tropez. Un pasteur a alors été dépêché par l'Église réformée évangélique de Saint-Raphaël pour célébrer un office tous les 15 jours.
Après la guerre, dans les années 1920, Monsieur IACHIA, alors propriétaire de la Renaissance et du Sporting, achète le terrain à l’arrière de ces établissements afin d’y édifier un temple à destination de la communauté protestante.
A sa mort, le terrain est légué en 1927 par sa veuve à l'association cultuelle de l'Église protestante réformée de Saint-Raphaël et le Temple y est aménagé grâce à des financements privés et notamment vosgiens et anglais.
Le Temple a été rénové en 2020.

Repère géographique.png Repères géographiques

Depuis le Mont Pécoulet
Photo J-P GALICHON
Copie du plan relief de 1716
Photo J-P GALICHON


Saint-Tropez est située à environ 104 kilomètres à l'est de Marseille, 60 kilomètres au nord-est de Toulon, 180 kilomètres au nord-ouest des côtes corses .
Commune appartenant au territoire Golfe de Saint-Tropez par le conseil général du Var.
Le territoire communal est très largement occupé par des propriétés bâties sur de vastes parcelles.
Sur ses douze kilomètres de littoral communal, la commune dispose de six plages.


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 3 629 3 156 3 319 3 360 3 736 3 637 3 538 3 647 3 595 3 640
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 3 558 3 739 3 532 3 531 3 545 3 636 3 533 3 599 3 704 3 708
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 3 704 3 842 4 324 4 589 4 102 4 161 4 925 5 668 6 130 5 427
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 6 213 5 754 5 444 5 612 4 499 4 299 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.


Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Photos

Cartes postales

En peinture

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Honoré MASSEL 1789 - 1790  
Charles François MAILLE 1790 - 1790  
Jean François CAUSSEMILLE 1790 - 1791  
François Donat ALLIE 1791 - 1795  
Joseph LIEUTAUD 1795 - 1798 Marchand drapier[14]  
Toussaint Tropez ANTIBOUL 1798 - 1800  
Jean-Baptiste MARTIN 1800 - 1808 Surnommé le Parisien.  
Jean Joseph Geoffroy d'ANTRECHAUS 1808 - 1813 Orthographié parfois D'ENTRECHAUX - Capitaine de Vaisseau [15].  
Honoré Vital CARATERY 1813 - 1816  
Jean François CAUSSEMILLE 1816 - 1826  
Hippolyte d'AUDIBERT de RAMATUELLE 1826 - 1830 (1759 - 1840) - Contre-amiral - Biographie[16]  
Bruno MAILLE 1830 - 1837 Notaire.  
Augustin GUÉRIN 1837 - 1848 (1770 - 1852) - Lieutenant de vaisseau - Titulaire de la Légion d'honneur.  
Benjamin ALLARD 1848 - 1852 Officier de cavalerie.  
Jean Baptiste MAILLE 1852 - 1858 Notaire.  
Désiré CAUVIN 1858 - 1864 Notaire.  
Alban MARTIN de ROQUEBRUNE 1864 - 1869 Conseiller général (1867-1871)[17] - Né en 1824 - Chevalier de la Légion d'honneur en 1866 et chevalier du Mérite Agricole en 1892 - Décédé à Hyères le 28 juillet 1913  
Louis RUBELIN 1869 - 1870  
Aristide Louis MICHEL 1870 - 1870 Bouchonnier.  
Xavier Augustin LAUGIER 1870 - 1871 Bouchonnier.  
Vincent GÉRARD 1871 - 1878  
Léopold Auguste MULOT 1878 - 1879 Conducteur des ponts et cbaussées.  
Barthélemy CAPURO 1879 - 1884  
Arthur Georges CHESNON de CHAMPMORIN 1884 - 1892 Capitaine d'infanterie.  
Augustin BARBIER 1892 - 1919 Fabricant de bouchons.  
Joseph BERNARD 1919 - 1929  
Gustave MARIA 1929 - 1935  
Léon VOLTERRA 1935 - 1941 (1888 - 1949) - Homme de spectacle - Inhumé au cimetière de Passy à Paris - Biographie[18].  
Jean LAVERRÉ 1941 - 1943  
René GIRARD 1943 - 1945  
Antonin SAINT ETIENNE 1945 - 1947  
Louis FABRE 1947 - 1965 Conseiller général.  
Jean LESCUDIER 1965 - 1971 Conseiller général.  
Marius ASTÉZAN 1971 - 1973  
Bernard BLUA 1973 - 1983  
Jean-Michel COUVE 1983 - 1989 Conseiller général.  
Alain SPADA 1989 - 1993 Conseiller général.  
Jean-Michel COUVE 1994 - 2008  
Jean-Pierre TUVERI 2008 - 2020  
Jean-Pierre TUVERI 2020 - 2020 il démissionne le vendredi 30 octobre de son mandat de maire  
Sylvie SIRI 2020 - (2026) (DVD)  

Cf. : MairesGenWeb & mairie

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
Jean-Baptiste Philémon TOCHOU 1834 - 1835 Puis curé à Antibes.  
Joseph Thimotée BENET 1835 - 1852 (1795-1869) - Ex curé de Grimaud[19][20]  
Antoine Toussain LIAUTARD 1852 - 1856 Puis curé d'Hyères [21]  
Antoine Joseph Romain BREMOND 1856 - (1809-1891) - Source[22]  
- -  
Auguste Marie REBUFAT 1891 - 1909 Source[23] - (1839-1910)  
Marius-Noël DAVIN 1909 - 1912 Puis curé de Draguignan[24]  
Joseph PRAT  ? - ? (1861-1933) - Source[25]  
Marius GARCIN - 1938 Puis curé de Sainte-Marie de Toulon[26]  
Jules LAURENT 1944 - 1957 Source [27]  
- -  
Lucien BAUD 1968 - 1974 Puis curé à Toulon[28]  
- -  
Georges DAHMAR 1985 - 1987  
- -  
Michel MONCAULT 1989 - 1995 Source[29]  
Gérard CORBIN 1996 - 1997 (1933-2023) - Puis curé du Luc-en-Provence[30] - Sa voiture eu un accrochage avec celle de Brigitte BARDOT  
- -  
Jean-Paul GOUARIN 2015 -  

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

  • Marcel AUBOUR, footballeur né le 17 juin 1940. Biographie
  • Laurent MALET, acteur né le 3 septembre 1955. Biographie.
  • Pierre MALET, acteur né le 3 septembre 1955, frère jumeau de Laurent. Biographie.
  • France ROCHE, journaliste écrivaine scénariste née le 2 avril 1921, décédée à Paris le 14 décembre 2013. Biographie.


Décès :

  • Marie BONAPARTE, psychanalyste née à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 2 juillet 1882, décédée le 21 septembre 1962. Biographie.
  • Louis DUREY, compositeur né à Paris le 27 mai 1888, décédé le 3 juillet 1979. Biographie.
  • Roland Paulze d'IVOY de la POYPE, pilote de chasse héros de la guerre 1939-45 et industriel né à Les Pradeaux (Puy-de-Dôme) le 28 juillet 1920, décédé le 23 octobre 2012. Biographie.
  • Max Gérard TANNENBAUM, cinéaste connu sous le nom de Gérard OURY, né à Paris le 29 avril 1919, décédé le 20 juillet 2006. Biographie.

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945

Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le monument aux morts...

Les titulaires de la Légion d'honneur

Médaille - Légion d'honneur.png
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
- - -  
Franck ALENGRY 8 septembre 1865 1946
Paris
Dossier - Recteur de l'Université de Besançon - Chevalier de la Légion d'honneur - Officier de l'Instruction Publique - Médaille d'Or de la Mutualité - Époux de Paule Debregeas  
Pierre Augustin GUERIN 28 août 1770 28 février 1852 Dossier - Lieutenant de Vaisseau - Maire de saint-Tropez  
- - -  
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Émigration

Émigration en Algérie

Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste ...


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 8 h 30 - 12 h 30 - -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h 13 h 30 - 17 h - -
83119 - Saint-Tropez Maire.jpg

Mairie
Adresse : 2, place de l'Hôtel-de-Ville - BP 161 - 83992 SAINT-TROPEZ

Tél : 04 94 55 90 00 - Fax : 04 94 55 90 10

Courriel : [mailto: [email protected]Contact]

Site internet : Site officiel

GPS : 43.273296° / 6.639621° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public (Octobre 2018)

Archives & dépouillements des registres paroissiaux

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Saint-Tropez - Histoire des gens d’ici
  Saint-Tropez d'antan

Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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