83119 - Saint-Tropez
Saint-Tropez | |
---|---|
Informations | |
Pays | France |
Département | Var |
Métropole | - |
Canton | 83-15 Sainte-Maxime
83-22 Saint-Tropez (Ancien canton) |
Code INSEE | 83119 |
Code postal | 83990 |
Population | 3 600 habitants (2020) |
Nom des habitants | Tropéziens, Tropéziennes |
Superficie | 1 118 hectares |
Densité | 322 hab./km² |
Altitude | Mini : 0 m |
Point culminant | 115 m |
Coordonnées géographiques |
43.273296° / 6.639621° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
- 599 av. J.-C. : Les Phocéens investissent Marseille et les sites de mouillage de la côte.
- 31 av. J.-C. : La bataille d'Actium permet l'installation des Romains. Ils construisent des villas cossues. Celle dite "des Platanes" en est l'illustration. La première dénomination du village est Héraclea-Caccaliera et l'embouchure du golfe, Les Issambres, Sinus Sambrecinalus.
- Fin IXe siècle : La chute de l'Empire romain, les pirates, les corsaires mettent le pays à feu et à sang. Ces exactions qui durèrent près de 100 ans sont dans la mémoire collective, toutes attribuées aux Sarrasins qui se retrancheront à la Garde-Freinet. Il restera de leur passage les toits de tuiles roses dites "sarrasines" du pays de Provence.
- 976 : Guillaume Ier comte de Provence, seigneur de Grimaud, chasse les belligérants et il fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren.
- 1079 et 1218 : les bulles pontificales confirment l'existence d'un domaine seigneurial à Saint-Tropez.
- À partir de 1436, le comte René Ier (le bon roi René) tente de repeupler la Provence. Il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Gabriel de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagnée d'une quarantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV. Le 14 février 1470, une charte est passée entre Jean de Cossa, baron de Grimaud, grand sénéchal de Provence et le gentilhomme génnois Gabriel de Garezzio. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du XIVe siècle, Raphaël de Garezzio fait construire des murs d'enceintes dont deux larges tours sont encore debout : l'une à l'extrémité du grand môle et l'autre à l'entrée de la "Ponche". La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1558, la création de la charge de capitaine de ville (Honorat Coste) renforce l'autonomie de la ville. Le capitaine élu tous les ans, dirige les capitaines de quartiers, un bombardier, une milice et des mercenaires. Les Tropéziens résistent aux Turcs, aux Espagnols, secourent Fréjus et Antibes, aident l'archevêque de Bordeaux à reprendre les îles de Lérins.
- 1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane, épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren.
- 1615 : Saint-Tropez accueille durant quelque temps l'expédition de Tsunenaga Hasekura, qui se rendait à Rome mais est obligée de s'arrêter à cause du mauvais temps. Cette visite imprévue constitue la première trace enregistrée de relations franco-japonaises.
- 15 juin 1637 : Les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.
- Le 14 août 1948, la croix de guerre, avec palme de bronze, est attribuée à la ville de Saint-Tropez[1].
Héraldique
D'azur à saint Tropez vêtu en pèlerin d'or, sa tête diadémée du même, tenant de sa main dextre, une épée d'argent, la pointe en bas[2].
Histoire industrielle
- Établissement Alexandre GRAMMONT, entreprise créée en 1892, qui fabriquait des câbles télégraphiques pour les sous-marins.
- Alexandre Grammont (1852-1925) était lyonnais
- Cette entreprise avait une usine à Pont-de-Chéruy en Isère [3]
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Var
- Arrondissement - 1801-2024 : Draguignan
- Canton - 1801-2015 : Saint-Tropez --> 2015-2024 : Sainte-Maxime
- Commune - 1801-2024 : Saint-Tropez
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Un premier lieu de culte fut édifié avec l'arrivée des familles Génoises au bord du rivage, l'actuelle salle des mariages.
Cette salle fut rapidement trop petite et en 1512, par délibération des consuls et du conseil de communauté il fut décidé d'en édifier un plus vaste à l'intérieur de la ville. Lequel fut mis en chantier en 1540, sur l'emplacement actuel selon un axe Nord-Sud, le porche d'entrée étant au niveau de la sacristie actuelle.
En 1683, l'église était à nouveau devenue trop petite. Mais faute de fonds, ce projet n'arrivait pas à terme.
Devant la vétusté de l'église, le 28 octobre 1775, le conseil de communauté donnait son autorisation aux Marguilliers du Saint-Sacrement d'acheter les maisons en façe de l'église pour agrandir le lieu de culte.
La construction de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Saint-Tropez s'est déroulée de 1779 à 1784. Pendant les travaux le culte se déroulait à la chapelle de la Miséricorde.
Les plans de l'église sont de l'architecte TORTAT de Lorgues.
Édifice de style Classique, orienté Est-Ouest. Les fenêtres sont en surélévation pour tirer le regard du fidèle le plus haut possible.
Sa construction coûta 76125 livres dont le quart fut payé par les capitaines (120) des navires et le reste par les amendes correctionnelles de police, les aumônes des nouveaux mariés et les relicats des comptes des confréries à l'exception des confréries de pénitents.
Mgr de Beausset, archevêque d'Aix, a consacré l'église en 1820.
Le clocher jouxte le chevet. Il est carré dans les deux tiers de sa hauteur et hexagonal dans sa dernière partie. Il est coiffé d'une toiture en forme de calotte. Le clocher de l'ancienne église subsista bien que restauré. Conçu comme une tour fortifiée, la partie terrasse et crénelée fut détruite à la révoluion. Il fallut attendre 1834 pour que le campanile soit édifié.
La tribune et l'orgue:
Celle ci fut construite en 1810 par Louis San MARTIN destinée à recevoir les grandes orgues. Elle a été restaurée en 1989 pour recevoir l'orgue construit par Pascal QUOIRIN, facteur d'orgues à Caprentras. Les buffets ont été décorés par Pierre SIBIEUDE d' Avignon. La statue du roi DAVID et les anges musiciens décoraient l'orgue précédent. Ceux-ci , oeuvre de VIAN sculpteur à Pignans ont été restaurés par Robert BOEUF de Toulon.
À noter : la statue de Saint Tropez en centurion romain sur la façade. Il n'existe que trois églises dédiées à Saint-Tropez: ici, à Gênes et à Pise.
L'édifice est inscrit aux monuments historiques depuis 1981[4]
Source[5]
La tour Guillaume ou Tour Suffren
Probablement construite au XVIe siècle sur l'emplacement d'une tour du XIe siècle.
Inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1986[6]
Le cimetière marin
Le cimetière fut aménagé en contrebas de la citadelle à partir de 1791, sur un terrain d'un notable de la ville. Antérieurement, il y avait un cimetière place de l'Ormeau, derrière l'église. Le cimetière a été agrandi au cours du XIXe et du XXe siècle. Aujourd'hui, le cimetière est le lieu de sépulture de familles de marins , de négociants et autres personnalités locales.
Outre ces personnalités locales, le cimetière est la dernière demeure :
- de Blandine LISZT (fille du compositeur et épouse de l'homme politique et écrivain Émile OLLIVIER),
- des peintres Auguste Pégurier, André Dunoyer de SÉGONZAC, Henri MANGUIN,
et autres célébrités tels
- le réalisateur, scénariste, comédien, romancier et poète Roger VADIN,
- le chanteur et compositeur Pierre BACHELET,
- le producteur de musique Édouard RUAULT plus connu sous le nom Eddie BARCLAY.
La citadelle
Chapelle Sainte-Anne
Chapelle située au 21, chemin des Bastidettes.
Chapelle érigée sur le Mont Pécoulet à partir de 1618 en action de grâces, après une épidémie de peste qui épargna la ville. Elle est dédiée à la patronne des gens de la mer.
Au XIXe siècle, les équipages des longs-courriers montaient ici avant d'appareiller pour solliciter la protection de sainte Anne (patronne des marins). À leur retour, ils y revenaient afin de la remercier avec des ex-voto.
Édifice de style provençal, elle n'est ouverte au public que quelques jours par an.
Chapelle classée à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1951 [7]
Chapelle Saint-Joseph
Chapelle située au 45, chemin de Sainte-Anne.
Chapelle érigée en 1650, Les charpentiers et menuisiers y venaient en procession le 19 mars.
Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1986[8]
Chapelle Notre-Dame-de-la-Miséricorde
Chapelle située rue Gambetta.
Chapelle de la Confrérie des Pénitents noirs édifiée vers 1635 sur un terrain acquis par la ville en 1633.
A partir de 1656 on y convoque des réunions.
En 1776, cette Chapelle servit pour les offices, l'Eglise Paroissiale menaçant ruine.
Au moment de la vente des biens de l'Eglise par l'Etat, la Chapelle fut rachetée par des particuliers qui en firent donation à la fabrique de cette paroisse pour lui rendre son usage religieux le 24 mars 1818.
Les Pénitents Noirs utilisèrent les locaux jusque vers 1854 époque de leur dissolution.
Cette chapelle longtemps fermée au culte a servi de lieu d'exposition et de concert.
Une restauration complète a été entreprise : le clocher avec un dome en tuile vernissée, la toiture et les façades en 1973. puis ce sont toutes les statues qui ont été redorées.
La Chapelle de la Miséricorde restaurée a été inaugurée le 15 décembre 1997.
L'encadrement de la porte d'entrée est en serpentine (un gisement existe au lieu-dit " La Carrade " entre les limites des communes de la Croix-Valmer et Cavalaire).
Source[9].
Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1947[10]
Chapelle Saint-Tropez-des-Platanes
Chapelle du couvent située avenue Augustin Grangeon.
La chapelle aurait été élevée sur l'emplacement où auraient été enterrées les reliques de Saint-Tropez.
Édifice inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel depuis 1954[11]
Chapelle de l'Annonciade (musée)
La chapelle de l'Annonciade est construite entre 1510 et 1558 par la confrérie des Pénitents Blancs. La chapelle fut vendue comme bien national à la révolution. Le clocher est rasé en 1821 et le toit transformé dans sa forme actuelle pour permettre l'utilisation de la chapelle en magasin de stockage. Elle est dépouillée de son mobilier au XIXe siècle : le maître-autel part à Sainte-Maxime, les boiseries sont utilisées pour l'église paroissiale, les ornements d'argent partent à Fréjus.
La partie supérieure fut aménagée en 1937 pour recevoir les collections du Museon Tropelen. En 1950, le bâtiment entier fut mis à la disposition de Georges GRAMMONT (riche industriel et collectionneur) qui le fait aménager à sa charge. Le musée est inauguré en juillet 1955 et en août Georges GRAMMONT fait don au musée des pièces majeures de sa collection.
La gendarmerie
Le bâtiment situé dans le quartier de la Corderie (Place BLANQUI) était une maison bourgeoise appartenant à Raymond LADOUCEUR et Antoinette BERANGUIER. À partir du 1er janvier 1879, le bâtiment sera loué à la brigade de gendarmerie de la commune.
Le 4 juin 1934 elle sera vendu à la commune qui poursuivra la location jusqu'en 2003, date à laquelle la gendarmerie déménagera.
Depuis le 25 juin 2016 la maison est occupée par le musée de la Gendarmerie et du Cinéma de Saint-Tropez.
Château de la Moutte
- Alban MARTIN de ROQUEBRUNE fit construire en 1854 la bastide des Salins qui deviendra ensuite le château de la Moutte après le rachat en 1860 par Émile OLLIVIER et Blandien OLLIVIER. Dans le bureau d'Émile OLLIVIER on peut voir une cheminée en gypserie aux armes des MARTIN de ROQUEBRUNE. La bastide est progressivement transformée en petit château d'inspiration Italienne. A partir de 1882, "La Toscane" est construite et reliée au bâtiment principal par une galerie qui protège du vent. "La Toscane" est achevée en mars 1883. Le bâtiment principal est entouré d’un parc botanique. Ce château est aujourd’hui la propriété du Conservatoire du littoral.
Émile OLLIVIER, né le 2 juillet 1825 à Marseille et mort le 20 août 1913 à Saint-Gervais-les-Bains, est un avocat qui sera ensuite député[12] et chef de gouvernement puis académicien[13] .
Temple protestant
Temple située au 7 Rue du Temple.
Le Temple réformé inauguré officiellement le 4 novembre 1928.
Lors de la Première guerre mondiale, la Citadelle de Saint-Tropez avait été transformée en lieu d’internement pour des civils allemands et austro-hongrois. Nombre de ces prisonniers, Allemands, Autrichiens et Alsaciens, de confession réformée, ont souhaité des célébrations de leur culte. Par ailleurs, quelques familles protestantes habitaient Saint-Tropez. Un pasteur a alors été dépêché par l'Église réformée évangélique de Saint-Raphaël pour célébrer un office tous les 15 jours.
Après la guerre, dans les années 1920, Monsieur IACHIA, alors propriétaire de la Renaissance et du Sporting, achète le terrain à l’arrière de ces établissements afin d’y édifier un temple à destination de la communauté protestante.
A sa mort, le terrain est légué en 1927 par sa veuve à l'association cultuelle de l'Église protestante réformée de Saint-Raphaël et le Temple y est aménagé grâce à des financements privés et notamment vosgiens et anglais.
Le Temple a été rénové en 2020.
Repères géographiques
Saint-Tropez est située à environ 104 kilomètres à l'est de Marseille, 60 kilomètres au nord-est de Toulon, 180 kilomètres au nord-ouest des côtes corses .
Commune appartenant au territoire Golfe de Saint-Tropez par le conseil général du Var.
Le territoire communal est très largement occupé par des propriétés bâties sur de vastes parcelles.
Sur ses douze kilomètres de littoral communal, la commune dispose de six plages.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 629 | 3 156 | 3 319 | 3 360 | 3 736 | 3 637 | 3 538 | 3 647 | 3 595 | 3 640 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 558 | 3 739 | 3 532 | 3 531 | 3 545 | 3 636 | 3 533 | 3 599 | 3 704 | 3 708 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 704 | 3 842 | 4 324 | 4 589 | 4 102 | 4 161 | 4 925 | 5 668 | 6 130 | 5 427 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 6 213 | 5 754 | 5 444 | 5 612 | 4 499 | 4 299 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
Photos
Cartes postales
En peinture
Saint-Tropez - Pierre Adolphe VALETTE Village de Saint-Tropez - Pierre Adolphe VALETTE
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Honoré MASSEL | 1789 - 1790 | |
Charles François MAILLE | 1790 - 1790 | |
Jean François CAUSSEMILLE | 1790 - 1791 | |
François Donat ALLIE | 1791 - 1795 | |
Joseph LIEUTAUD | 1795 - 1798 | Marchand drapier[14] |
Toussaint Tropez ANTIBOUL | 1798 - 1800 | |
Jean-Baptiste MARTIN | 1800 - 1808 | Surnommé le Parisien. |
Jean Joseph Geoffroy d'ANTRECHAUS | 1808 - 1813 | Orthographié parfois D'ENTRECHAUX - Capitaine de Vaisseau [15]. |
Honoré Vital CARATERY | 1813 - 1816 | |
Jean François CAUSSEMILLE | 1816 - 1826 | |
Hippolyte d'AUDIBERT de RAMATUELLE | 1826 - 1830 | (1759 - 1840) - Contre-amiral - Biographie[16] |
Bruno MAILLE | 1830 - 1837 | Notaire. |
Augustin GUÉRIN | 1837 - 1848 | (1770 - 1852) - Lieutenant de vaisseau - Titulaire de la Légion d'honneur. |
Benjamin ALLARD | 1848 - 1852 | Officier de cavalerie. |
Jean Baptiste MAILLE | 1852 - 1858 | Notaire. |
Désiré CAUVIN | 1858 - 1864 | Notaire. |
Alban MARTIN de ROQUEBRUNE | 1864 - 1869 | Conseiller général (1867-1871)[17] - Né en 1824 - Chevalier de la Légion d'honneur en 1866 et chevalier du Mérite Agricole en 1892 - Décédé à Hyères le 28 juillet 1913 |
Louis RUBELIN | 1869 - 1870 | |
Aristide Louis MICHEL | 1870 - 1870 | Bouchonnier. |
Xavier Augustin LAUGIER | 1870 - 1871 | Bouchonnier. |
Vincent GÉRARD | 1871 - 1878 | |
Léopold Auguste MULOT | 1878 - 1879 | Conducteur des ponts et cbaussées. |
Barthélemy CAPURO | 1879 - 1884 | |
Arthur Georges CHESNON de CHAMPMORIN | 1884 - 1892 | Capitaine d'infanterie. |
Augustin BARBIER | 1892 - 1919 | Fabricant de bouchons. |
Joseph BERNARD | 1919 - 1929 | |
Gustave MARIA | 1929 - 1935 | |
Léon VOLTERRA | 1935 - 1941 | (1888 - 1949) - Homme de spectacle - Inhumé au cimetière de Passy à Paris - Biographie[18]. |
Jean LAVERRÉ | 1941 - 1943 | |
René GIRARD | 1943 - 1945 | |
Antonin SAINT ETIENNE | 1945 - 1947 | |
Louis FABRE | 1947 - 1965 | Conseiller général. |
Jean LESCUDIER | 1965 - 1971 | Conseiller général. |
Marius ASTÉZAN | 1971 - 1973 | |
Bernard BLUA | 1973 - 1983 | |
Jean-Michel COUVE | 1983 - 1989 | Conseiller général. |
Alain SPADA | 1989 - 1993 | Conseiller général. |
Jean-Michel COUVE | 1994 - 2008 | |
Jean-Pierre TUVERI | 2008 - 2020 | |
Jean-Pierre TUVERI | 2020 - 2020 | il démissionne le vendredi 30 octobre de son mandat de maire |
Sylvie SIRI | 2020 - (2026) | (DVD) |
Cf. : MairesGenWeb & mairie
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Jean-Baptiste Philémon TOCHOU | 1834 - 1835 | Puis curé à Antibes. |
Joseph Thimotée BENET | 1835 - 1852 | (1795-1869) - Ex curé de Grimaud[19][20] |
Antoine Toussain LIAUTARD | 1852 - 1856 | Puis curé d'Hyères [21] |
Antoine Joseph Romain BREMOND | 1856 - | (1809-1891) - Source[22] |
- | - | |
Auguste Marie REBUFAT | 1891 - 1909 | Source[23] - (1839-1910) |
Marius-Noël DAVIN | 1909 - 1912 | Puis curé de Draguignan[24] |
Joseph PRAT | ? - ? | (1861-1933) - Source[25] |
Marius GARCIN | - 1938 | Puis curé de Sainte-Marie de Toulon[26] |
Jules LAURENT | 1944 - 1957 | Source [27] |
- | - | |
Lucien BAUD | 1968 - 1974 | Puis curé à Toulon[28] |
- | - | |
Georges DAHMAR | 1985 - 1987 | |
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Michel MONCAULT | 1989 - 1995 | Source[29] |
Gérard CORBIN | 1996 - 1997 | (1933-2023) - Puis curé du Luc-en-Provence[30] - Sa voiture eu un accrochage avec celle de Brigitte BARDOT |
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Jean-Paul GOUARIN | 2015 - |
Ville de naissance ou de décès de
Naissances :
- Marcel AUBOUR, footballeur né le 17 juin 1940. Biographie
- Laurent MALET, acteur né le 3 septembre 1955. Biographie.
- Pierre MALET, acteur né le 3 septembre 1955, frère jumeau de Laurent. Biographie.
- France ROCHE, journaliste écrivaine scénariste née le 2 avril 1921, décédée à Paris le 14 décembre 2013. Biographie.
Décès :
- Marie BONAPARTE, psychanalyste née à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine) le 2 juillet 1882, décédée le 21 septembre 1962. Biographie.
- Louis DUREY, compositeur né à Paris le 27 mai 1888, décédé le 3 juillet 1979. Biographie.
- Roland Paulze d'IVOY de la POYPE, pilote de chasse héros de la guerre 1939-45 et industriel né à Les Pradeaux (Puy-de-Dôme) le 28 juillet 1920, décédé le 23 octobre 2012. Biographie.
- Max Gérard TANNENBAUM, cinéaste connu sous le nom de Gérard OURY, né à Paris le 29 avril 1919, décédé le 20 juillet 2006. Biographie.
Monument aux morts
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le monument aux morts...
Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Franck ALENGRY | 8 septembre 1865 | 1946 Paris |
Dossier - Recteur de l'Université de Besançon - Chevalier de la Légion d'honneur - Officier de l'Instruction Publique - Médaille d'Or de la Mutualité - Époux de Paule Debregeas | |
Pierre Augustin GUERIN | 28 août 1770 | 28 février 1852 | Dossier - Lieutenant de Vaisseau - Maire de saint-Tropez | |
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Émigration
Émigration en Algérie
- Article détaillé : Consulter la liste ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Recensements (1911-1911)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1802-1912)
- Mariages (1792-1802)
- Mariages (1913-1914)
- Mariages (1551-1792)
Documents numérisés
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 1MIEC783 (1755-1758)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/34 (1854-1857)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/53 (1883-1889)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 7 E 124/4 (1780-1790)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/10 (1803-1811)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/20 (1830-1838)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/41 (1864-1868)
- Décès & Naissances. AD83 7 E 124/65 (1903-1909)
- Décès. AD83 7 E 124/68 (1903-1909)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 12 M 1/144 (1843-1852)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 1MIEC778 (1692-1696)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 7 E 124/13 (1812-1826)
- Décès. AD83 7 E 124/36 (1854-1857)
- Décès. AD83 7 E 124/60 (1890-1896)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 12 M 1/144 (1902-1913)
- Décès & Mariages. AD83 7 E 124/16 (1819-1824)
- Décès. AD83 7 E 124/29 (1845-1849)
- Décès. AD83 7 E 124/48 (1869-1875)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 1MIEC784 (1759-1761)
- Décès & Mariages & Naissances. AD83 12 M 1/144 (1833-1842)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8 h 30 - 12 h 30 | 8 h 30 - 12 h 30 | 8 h 30 - 12 h 30 | 8 h 30 - 12 h 30 | 8 h 30 - 12 h 30 | - | - |
Après-midi | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | 13 h 30 - 17 h | - | - |
Mairie |
Adresse : 2, place de l'Hôtel-de-Ville - BP 161 - 83992 SAINT-TROPEZ
Tél : 04 94 55 90 00 - Fax : 04 94 55 90 10 Courriel : [mailto: [email protected]Contact] Site internet : Site officiel GPS : 43.273296° / 6.639621° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public (Octobre 2018) |
Archives & dépouillements des registres paroissiaux
Bibliographie
Saint-Tropez - Histoire des gens d’ici
Saint-Tropez d'antan
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 - Memorial Dormans.
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Industrie en Provence - 9 décembre 2004 - MIP-Provence
- ↑ Fiche Mérimée - Église paroissiale
- ↑ Document dans l'église paroissiale
- ↑ Fiche Mérimée - Tour Suffren
- ↑ Fiche Mérimée - Chapelle Sainte-Anne
- ↑ Fiche Mérimée - Chapelle Saint-Joseph
- ↑ Journée du Patrimoine.
- ↑ Fiche Mérimée - Chapelle Pénitents Noirs
- ↑ Fiche Mérimée - Chapelle Saint-Tropez
- ↑ Assemblée Nationale - Fiche - Émile OLLIVIER
- ↑ Académie Française
- ↑ Les administrateurs du département du Var, 1790-1897: notice biographiques - Page 408
- ↑ Gallica
- ↑ Histoire de Guerre
- ↑ Les administrateurs du département du Var
- ↑ BNF
- ↑ Archives
- ↑ Le chapitre du diocèse de Fréjus
- ↑ Archives
- ↑ Archives
- ↑ Archives
- ↑ Le Chapitre du Diocèse de Fréjus
- ↑ Le chapitre du diocèse de Fréjus
- ↑ Le chapitre du diocèse de Fréjus
- ↑ Le chapitre du diocèse de Fréjus
- ↑ Le Chapitre du diocèse Fréjus
- ↑ Le chapitre du diocèse de Fréjus
- ↑ Le Chapitre du Diocèse de Fréjus