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Version du 17 mars 2017 à 17:54
Saint-Maximin-la-Sainte-Baume | |
---|---|
Informations | |
Pays | France |
Département | Var |
Métropole | |
Canton | 83-21 Saint-Maximin-la-Sainte-Baume (Ancien canton) |
Code INSEE | 83116 |
Code postal | 83470 |
Population | 12402 habitants (1999) |
Nom des habitants | Les Saint-Maximinois |
Superficie | 6413 hectares |
Densité | 193.39 hab./km² |
Altitude | Mini: 261 m |
Point culminant | 778 m |
Coordonnées géographiques |
43.450001° / 5.86667° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Ancien nom : Saint-Maximin jusqu'en 1920
Généralités
Saint-Maximin est un des soixante-douze disciples du Christ; il devint d'après la tradition, le premier évêque d'Aix-en-Provence. Ce fut un des premiers martyrs de la Gaule, et il fut enterré dans la crypte gallo-romaine de ce qui n'était pas encore Saint-Maximin, en 72, après sa décollation sous le règne de l'empereur Dioclétien.
Saint-Maximin est aussi connu pour les catholiques pour abriter les reliques de Sainte-Marie-Madeleine.
Il n'est donc pas étonnant que Saint-Maximin fut choisi pour la construction du plus bel ouvrage gothique de Provence, la Basilique Sainte-Marie-Madeleine.
Héraldique
D'or à quatre pals de gueules, une fleur de lis d'argent brochant sur le tout au point d'honneur.
Patrimoine bâti
La Basilique Sainte-Marie-Madeleine
Chassée de Jérusalem par la persécution avec son frère Lazare, sa sœur Marthe et ses compagnons, Marie Madeleine participa à l'évangélisation de la Provence et se retira dans une grotte, dans le massif actuel de la Sainte-Baume.
Elle mourut dans les bras de Saint-Maximin, évêque d'Aix, dont le village prit le nom.
Les reliques de Sainte-Marie-Madeleine furent conservées dans un sarcophage, puis enfouies en 710 pour échapper aux pillages des Sarrasins. Ses reliques furent perdues...
En 1279, Charles II d'Anjou, comte de Provence, futur roi de Sicile, les redécouvrit. La pape Boniface VIII et Charles II décidèrent la construction d'une basilique digne d'être un reliquaire pour Sainte-Marie-Madeleine. La construction commença en 1295 ainsi que celle du couvent qui jouxte la basilique; la garde de ces reliques fut alors confiée aux frères Prêcheurs, les Dominicains, qui s'installèrent dans le couvent jusqu'en 1957.
La basilique est classée aux M.H[1] depuis 1840.
Grand Orgue
La construction du grand orgue par le facteur d'orgue Jean-Esprit ISNARD aidé de son neveu Joseph, débuta en 1772 et s'acheva en 1774[2].
En 1793 l'organiste FOURCADE sauva l'orgue de la destruction en y jouant "la Marseillaise" en présence des conventionnels Paul BARRAS et Louis FÉRON[3].
La transmission mécanique ainsi que la soufflerie ont été refaites à neuf par François MADER en 1888. Les travaux conduits sur l'instrument en 1924-1925 et 1926-1927, n’ayant jamais donné le résultat espéré, furent stoppés.
En 1953 le R.P. ARBUS, provinciale dominicain décide de faire restaurer l'instrument.En 1954 Norbert DUFOURQ, rapporteur de la Commission des monuments historiques, élabore un important projet de modernisation. Devant les critiques de spécialistes et organistes le projet est annulé.
En 1962 sous l’impulsion de Pierre COCHEREAU et de Pierre ROCHAS, la première Académie d'orgue classique français est née assurant à l'instrument une renommée internationale.
L'orgue a finalement été restauré par Yves CABOURDIN et la manufacture d'Orgue Provençale entre 1986 et 1991.
Chaire à prêcher
Chaire en noyer sculpté par le frère dominicain Louis GUDET. Elle a été terminée en 1756 est classée Monument Historique[4]. C'est un chef d'oeuvre visité par des générations de Compagnons du Devoir. Sur le parement de la rampe et sur les parois de la cuve, sept panneaux sculptés retracent l'histoire de Marie-Madeleine représentée en costume du temps de Louis XV.
La cuve en encorbellement est portée par des têtes symbolisant les quatre évangélistes. l'ange pour Matthieu; le lion pour Marc; le taureau pour Luc et l'aigle pour Jean.
Au-dessus de l'abat-voix Marie-Madeleine est emportée par des anges vers la gloire divine; sous l'abat-voix est sculptée une colombe en bois doré représentant le saint Esprit.
Chapelle du Corpus Domini
Le Retable du Crucifix qui orne la chapelle du Corpus Domini est l'oeuvre principale de la basilique. Peinture sur bois retraçant en seize médaillons regroupés autour du tableau central les scènes de la passion du Christ.
Cette oeuvre est attribuée Antoine RONZEN artiste vénitien d'origine flamande qui travailla sur le retable de fin 1517 à mai 1520. Il fut aidé par Antoine BRÉA qui participa au tableau de la mise au tombeau se trouvant devant l'autel.
Le tabernacle se trouvant au dessus de l'autel et qui masque en partie le retable provient de l'église des Capucins détruite à la révolution.
Abside et Maître Autel
L'abside de la basilique est à sept pans dont cinq sont percés d'un double rang d'ouvertures séparées par un meneau horizontal.
Trois grands tableaux du peintre d'Aix-en-Provence André BOISSON, représentant des épisodes de la vie de Marie-Madeleine sont insérés dans le décor du fond de l'abside. Le tableau central de forme octogonale représente Marie-Madeleine à la Sainte-Baume. Les deux autres tableaux de forme ovoïde représentent également la sainte qui à gauche se penche au-dessus du tombeau vide de Jésus et à droite se dépouille de ses bijoux.
Le maître-autel en marbre jaspé du pays est décoré de deux médaillons en bronze doré réalisés par Joseph LIEUTAUD représentant à gauche l'apparition de Jésus aux deux pèlerins d'Emmaüs et à droite la mort de Joseph.
Boiseries du chœur
Les boiseries du chœur ont été réalisée de 1681 à 1692. De part et d'autre du chœur se développent sur deux rangs quatre-vingt-quatorze stalles en noyer sculpté s'appuyant contre une sorte de chancel où sont sculptés vingt-deux médaillons, dix de chaque coté placés immédiatement au-dessus des stalles représentant les saints et saintes de l'ordre dominicain , les deux autres au-dessus du chancel représentant Jésus Christ à droite et les apôtres Pierre et Paul à gauche . Les stalles occupent 52 mètres.
Les sculptures ont été réalisées par et sous la direction du frère dominicain Vincent FUNEL.
Le Jubé est orné du blason de France à trois fleurs de lys d’or.
La Vierge Marie et Marie Madeleine sont représentées en prière sur 2 médaillons de toile. Les saints dominicains figurent sur les 20 médaillons de noyer sculptés.
Le sculpteur ainsi que le ferronnier sont provençaux.
Chapelle Sainte Marie Madeleine
Cette chapelle comme la chapelle Saint Dominique qui lui fait face dans la travée sud est plus grande que les autres chapelles pour localiser rapidement la chapelle la travée de la crypte.
Le retable en noyer comme la chaire est une réalisation du frère Louis GUDET au XVIIIe siècle.
Au centre du retable un tableau de l'école Française copie de la toile de Le BRUN se trouvant au Louvre. Copie du XVIIIe siècle de "Sainte Marie Madeleine repentante renonce a toutes les vanités de la vie" .
Sur la paroi de gauche et de droite (porte ouverte et fermée) de grandes armoires datées du XVIIe destinées à recevoir les nombreux reliquaires que possédait la basilique. Ceux ci on disparu à la révolution.
Au dessus de l'armoire droite une plaque relate la translation du chef de Sainte Marie Madeleine dans le nouveau reliquaire en 1860.
Chapelle du Rosaire
Le retable en bois doré est l'oeuvre de Balthasar MAUNIER il a été réalisé entre 1667-1671. Il est classé[5] depuis 1840. Au dessus du tabernacle la statue de Notre Dame du Rosaire grandeur nature. Elle est entourée de deux tableaux du XVIIe siècle représentant: celui de gauche: la sainte vierge donnant le rosaire à saint Dominique; celui de droite saint Joseph assistant un agonisant.
Sur le devant de l'Autel un bas relief en bois doré sculpté par Jean BEGUIN en 1536 et peint par son beau-frère Sébastien LECOUVREUR.
Les "quatre tableaux" sur le bas relief représentent:
- Marie-Madeleine écoute la prédication de Jésus.
- Marie-Madeleine lave les pieds de Jésus.
- Marie-Madeleine reconnait Jésus après sa résurrection.
- Marie-Madeleine s'embarque pour la Provence.
Ce bas relief ornait autrefois le maître autel de la basilique.
La crypte
La crypte, caveau funéraire des premiers siècles chrétiens, abrite le reliquaire du chef de la sainte patronne et quatre sarcophages : de sainte Marie Madeleine, de saint Maximin, des saintes Marcelle et Suzanne et de saint Sidoine. C'est le chœur et le lieu saint de la basilique.
L'oratoire primitif se situait à côté de l'église primitive et du baptistère édifié au VIe siècle sur le flanc sud de la basilique.
En 1404 le maréchal De BOUCICAUT fit remettre à neuf la crypte et édifier au dessus la sixième travée de la nef nord. L'entrée actuelle date du XVIIe siècle.
Autres photos
Le couvent royal
C'est dès le Ve siècle que les Cassianites de Saint-Victor fondent dans la vallée marécageuse de Saint-Maximin un premier monastère sous la protection du "Castrum Rhodani".
Les bénédictins les remplacèrent, mais il furent expulsés pour laisser la place aux Dominicains lors de l'invention des reliques de Marie-Madeleine. C'est alors que le couvent que l'on voit aujourd'hui fut construit, en même temps que la basilique. Il était prévu pour accueillir jusqu'à cent moines, ce qui explique la taille des locaux.
Les différents bâtiments monastiques sont agencés autour d'un vaste cloître de quarante et un mètres de coté. Deux étages de dortoirs surmontaient les bâtiments du culte: à l'est, sacristie, salle capitulaire, salle commune, cachot, au nord, réfectoire.
Les religieux quittèrent le couvent en 1791. Monsieur Ricard acheta, lors de la vente des biens nationaux, l'aile nord dont il fit un chai, et détruisit l'aile ouest pour faire du cloître un jardin public. En 1859, le père Lacordaire racheta le couvent et le restaura; il reconstruisit l'aile ouest qui porte aujourd'hui son nom. Le couvent se repeupla, mais après plusieurs interruptions, les moines le quittèrent définitivement pour Toulouse en 1957.
Le couvent abrite aujourd'hui un restaurant, une hôtellerie, des salles d'expositions, un hôtel des vins, et la mairie (sur la place de la Basilique).
Les bâtiments conventuels sont classés M.H[6] depuis 1969.
L'Hôtel de ville
L'hôtel de ville occupe l'ancienne hôtellerie du couvent; la façade est percée de vingt-six fenêtres, décorées de pilastres et de refends, et surmontées d'un fronton triangulaire. Il a été reconstruit entre 1750 et 1785 par J.B. Franque.
L’hôtel-Dieu
L'hôtel Dieu actuel à été édifié en 1681 à l'emplacement d'un immeuble.
A partir du XVIIIe siècle il porte le nom d’hôpital Saint-Jacques et il est géré par des recteurs élus. On y accueillait des malades mais aussi des orphelins.
Repères géographiques
- Saint-Maximin est situé dans le fond d'une vaste plaine agricole, ancien étang asséché de la fin du crétacé, près des sources de l'Argent.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 300 | 3 717 | 2 980 | 3 723 | 3 637 | 3 637 | 3 685 | 3 673 | 3 644 | 3 460 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 562 | 3 435 | 3 337 | 3 387 | 3 085 | 2 751 | 2 582 | 2 419 | 2 489 | 2 595 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 2 514 | 2 212 | 2 328 | 2 399 | 2 411 | 2 371 | 2 509 | 2 755 | 3 180 | 4 013 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | - | - | - | - |
Population | 5 511 | 9 594 | 12 402 | 14 183 | 14 587 | - | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cfr: Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2013
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Joseph Pierre MARC | 1789 - 1790 | Propriétaire[7] |
François Philippe MALHERBE | 1790 - 1791 | Notaire[7] |
François FABRE | 1791 - 1792 | Source[7] |
Marc Pierre AUDIFFREN | 1792 - 1793 | Source[7] |
Jean Louis ABBE | 1793 - 1794 | Source[7] |
André Mélanie Hilarion RICARD | 1794 - 1794 | Capitaine de cavalerie[7] |
Jean Baptiste Joachim MARTIN | 1794 - 1794 | Notaire |
Honoré ROSTAN | 1794 - 1795 | |
Maximin GERBE | 1795 - 1795 | |
Jean François LAUGIER | 1795 - 1795 | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
Joseph Vital FABRE | 1878 - 1882 | |
- | - | |
- | - | |
- | - | |
Paul BARLES | - 1977 | Conseiller général - Maire en 1953 - Ne se représentait pas |
Émile OLIVIER | 1977 - 1989 | |
Lucien GINOT | 1989 - 1993 | |
Émile OLIVIER | 1993 - 1995 | Conseiller général |
Horace LANFRANCHI | 1995 - 2002 | Conseiller général |
Gabriel RINAUDO | 2002 - 2008 | |
Alain PENAL | 2008 - 2014 | |
Christine LANFRANCHI-DORGAL | 2014 - (2020) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Eugène Louis Joseph VIAN | 1855 - 1862 | Puis curé de La Seyne |
Jean Baptiste DOSE | 1862 - | Ex curé du Beausset |
Louis Stanislas COUDOUAN | 1874 - | |
- | - | |
Louis Césaire Victorin AUNE | 1900 - 1903 | Puis Curé d'Ollioulès |
Marie Louis Hippolyte Charles ROUDIER | 1903 - | |
- | - |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1792-1802)
- Recensements (1911-1911)
- Mariages (1802-1922)
Documents numérisés
- Liasse notariale (1424-1425)
- Liasse, M°FABRY (1491-1498)
- Extensoire (1472-1476)
- Minutes notariales de GUICHARD de Saint Maximin 1670-1673 (1670-1673)
- Minutes notariales de GUICHARD Henri de Saint Maximin 1651-1652 (1651-1652)
- Minutes notariales de GASQUET Jean Joseph de Saint Maximin 1684-1686 (1684-1686)
- Minutes notariales de ARBAUD Louis de Saint Maximin 1657-1658 (1657-1658)
- Minutes notariales de GUICHARD Henri de Saint Maximin 1645-1646 (1645-1646)
- Minutes notariales de GUICHARD Henri de Saint Maximin 1647-1648 (1647-1648)
- Minutes notariales de VUILLERMIER de Saint Maximin 1649-1650 (1649-1650)
- Minutes notariales de ARBAUD Louis de Saint Maximin 1651-1652 (1651-1652)
- Liasse notariale, M°ROSTAN (1430-1434)
- Liasse notariale, M°ROSTAN (1422-1424)
- Minutes notariales de GASQUET Jean Joseph de Saint Maximin 1680-1683 (1680-1683)
- Minutes notariales de GUICHARD Henri de Saint Maximin 1640-1641 (1640-1641)
- Minutes notariales de ARBAUD Louis de Saint Maximin 1661-1662 (1661-1662)
- Minutes notariales de ARBAUD Louis de Saint Maximin 1655-1656 (1655-1656)
- Liasse notariale, M°ROSTAN (1430-1436)
- Liasse notariale, M°ROSTAN (1430-1435)
- Liasse, M°ARBAUD (1471-1471)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place de l'hôtel de Ville - 83470 Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Tél : 04 94 72 93 00 - Fax : 04 94 78 09 40 Courriel : Contact Site internet : GPS : 43.450001° / 5.86667° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Ouverture au public de la mairie de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume: du lundi au vendredi de 9 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 17 h 00 ; Le samedi de 9 h 00 à 12 h 00. Source : http://www.st-maximin.fr/pages/pratic.php (12/2010) |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Remarques
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
- Page du village sur le site "Pays de la Provence verte"
- Page du village sur le site "ProvenceWeb"
Notes et références
Sources principales (Comme Wikipédia) : Les panneaux dans la basilique