77138 - Courtomer

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Courtomer
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 77 - Blason - Seine-et-Marne.png    Seine-et-Marne
Métropole -
Canton Blason Nangis-77327.png   77-14   Nangis

Blason en attente.png   77-22   Mormant (Ancien canton)

Code INSEE 77138
Code postal 77390
Population 537 habitants (2018)
Nom des habitants Courtomerois, Courtomeroises
Superficie 462 hectares
Densité 116.23 hab./km²
Altitude Mini : 76 m
Point culminant 114 m
Coordonnées
géographiques
48.655° / 2.9031° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
77138 - Courtomer carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Monographie

Monographie de la commune de Courtomer trouvée aux archives départementale de Seine-et-Marne sous la côte 2 MI 236, par M. Denis HU, instituteur, le 20 novembre 1888.

Notice géographique

Cours du Palais Royal

Courtomer, village de 285 habitants d'un territoire d'une étendue de 402 hectares est situé sur le 48°39'18" de latitude nord et le 2°54'11" de longitude est. Il est bâti à l'altitude moyenne de 92 mètres, sur le flanc d'un petit coteau à l'exposition du levant et du midi. Les rues irrégulières sont bordées de maisons, la plupart de construction ancienne et dispersées sans aucun souci de l'alignement d'un côté faisant face à la rue de l'autre recherchant surtout la bonne exposition.

Les murs des habitations sont tapissés de treilles qui ont le double avantage d'égayer par leur feuillage la maison en été, et de donner de beaux raisins à l'automne. Derrière chaque maison, un jardin fournit à la fois des fruits et des légumes.

Sa population agglomérée est de 285 habitants.

Les dépendances de la commune sont 3 fermes : Paradis, L'étang, Arcy, et la dernière bien que située à un kilomètre du village dite de Courtomer.

Viennent ensuite, les Michelettes, 2 maisons et une maison isolée, les Roches et le moulin.

Au centre du village se trouve l'église, édifice du XIIIe siècle et à l'autre bout de la place publique, la mairie et l'école.

Au bas du coteau coule l'Yères qui traverse la commune dans toute sa partie sud. Cette rivière, un affluent de la Seine qui la rejoint à Villeneuve-Saint-Georges (Seine et Oise) reçoit dans l'étendue du territoire sur sa rive gauche deux petits cours d'eau, le ruisseau du bois des fosses et celui de Garmant sur sa rive droite, les fossés qui animent les eaux des coteaux se perdent dans la prairie avant d'arriver à la rivière.

L'Yères qui se dessèche quelquefois en été, est sujette à des débordements fréquents en hiver et au printemps, elle couvre alors toute la prairie et lui apporte un limon fertilisant qui, dans les années chaudes et humides, favorise la végétation. Cette rivière bordée de peupliers est poissonneuse. La perche, le brochet, la carpe, la tanche, le gardon attirent dans les beaux jours, un assez grand nombre d'oisifs ou d'amateurs de pêche des environs.

En raison de l'exiguïté de son territoire, la commune a un petit nombre de voies de communication. Sa route départementale n°11, l'ancien paré, la limite avec Aubepierre du sud-est au sud-ouest, d'un côté se dirigeant sur Rosoy de l'autre côté sur Verneuil et par une bifurcation sur Mormant, les deux stations de la ligne de Mulhouse les plus rapprochées.

Le village est traversé par une annexe du chemin de grande communication n°32.4 chemins vicinaux, construits sur un bon sol, et bien entretenus facilitent ses relations avec les villes et villages voisins : Chaumes, Vilbert, Bernay, Argentières. Quelques chemins ruraux dont l'empierrement se continu chaque année pour donner un accès facile à toutes les terres cultivées, complètent les voies de communication de la commune.

Cinquante hectares de bois dont 5 hectares de plantation récente sont dans l'étendue du territoire. Les principales essences de bois comme taillis sont, le chêne, le charme, le bouleau. Viennent ensuite dans les bosquets, le noisetier, l'orme, l'acacia, le tremble, le tilleul, le merisier. Les arbres sont presque tous des chênes, on y rencontre en quelques endroits, le bouleau et par hasard, l'orme, le grisard, le frêne et le peuplier.

Ces bois sont très giboyeux, le lapin qui y trouve un terrain sain et sableux pour son terrier, protégé d'ailleurs par des gardes nombreux, y pullule aux dépends des récoltes d'alentour et fais le désespoir des cultivateurs.

Tel terrain vendu il y a vingt ans 2500fr l'hectare ne trouvait pas acquéreur, aujourd'hui pour 1000fr, on ne peut être sur de sa récolte qu'au prix d'un couteux entourage.

Nature du sol. Principaux produits des cultures, bestiaux...

Le sol est très varié, argileux difficile à cultiver au sud-ouest, il est calcaire et brûlant sur les autres coteaux et léger dans la plaine au dessus du village.

Malgré cette diversité, toutes les récoltes réussissent partout, cependant le coteau de l'est et toute la plaine ont besoin d'être assainis. Le drainage exécuté par les grands propriétaires a bien amélioré leurs fermes. C'est fâcheux que le manque de capitaux ou plutôt le morcellement ont empêché de pratiquer cette opération sur les terres des particuliers.

Toutes les céréales, principalement le blé et l'avoine, y sont cultivés. Le rendement moyen du blé est de 22 hectolitres à l'hectare, et celui de l'avoine 40. Dans les terrains naturellement sains ou drainés, la luzerne donne de belles récoltes. Le trèfle quant à lui ne prospère que dans les années humides.

Depuis quelques années, la culture de la betterave à sucre et de la betterave fourragère a pris de l'extension aux dépens de la jachère. La vigne, jusqu'à ce jour, a été presque détruite par le mildiou et par les gelées. Si une période favorable ne vient pas d'ici quelques années, la culture de la vigne disparaîtra entièrement. Ce sont les arbres fruitiers à cidre (pommiers, poiriers) qui vont la remplacer. Bien cultivés, ces arbres y croissent vite et y prospèrent. D'ailleurs, le morcellement dans la terre à vigne qui était travaillé à bras, rend cette transformation inévitable.

La culture à la charrue est presque impossible. Dans une vingtaine d'années, ces plantations pourront faire la richesse du pays car, avant les rigoureux hivers de 1870-71 et de 1879-80, le cidre de Courtomer était renommé dans les environs.

Les bestiaux, une des sources principales de richesse de l'agriculture dans un pays, font un peu défaut chez nous, on y supplée par les engrais du commerce qui ne donne pas toujours les résultats attendus.

Les chevaux et les vaches viennent de la Normandie. Une ferme de Paradis fait l'élevage de moutons pour la boucherie. Les volailles, principalement les poules, abondent. L'éducation des abeilles est presque abandonnée.

Si dit la surface du sol nous passons à l'intérieur, nous trouvons sur les coteaux, la pierre meulière, propre à la construction et moins communément la pierre siliceuse pour l'entretien des routes, dans la plaine du côté de l'ouest des roches de grès et du sable de belle qualité, dans les terres fortes de la marne en abondance recouverte à peine de vingt centimètres de terre.

Commerces et industries.

Le commerce et l'industrie dans la commune sans être étendus satisfont aux principaux besoins de la localité. On y trouve comme commerçants épiciers, aubergistes, boulangers, charcutiers, marchands d'étoffes communes, débit de tabac, voir même deux bimbeloteries et un entrepreneur de bois.

L'industrie compte un meunier, un maréchal ferrant, un cordonnier, un maçon, un maître de pressoir, un charron, deux paveurs et un entrepreneur de battage.

Le moulin peu important est placé sur la rivière.

Histoire de l'enseignement

Depuis 1668, les registres de l'état civil constatent l'existence de maîtres d'école, souvent désignés sous le nom de "maîstres d'escole" et quelquefois. I sous celui de maîtres des petites écoles. Ils apposent leurs belles signatures à côté de celle du curé.

Cependant, ce n'est que sans un acte du 16 décembre 1696 que le signataire est indiqué avec la profession de "maîstre d'éscole" dans cette propre paroisse ce qui pourrait faire douter du séjour dans la commune même d'un maître d'école, avant cette époque.

Dans les années suivante le titulaire change, mais la mention dans cette propre paroisse n'est pas oublié.

À partir de 1730 d'ailleurs, les signataires au bas des actes sont rares, ce qui suppose que l'instruction s'est quelque peu étendue. On peut donc affirmer l'existence continuelle d'une école dans la commune depuis 1696.

Comment ces instituteurs étaient-ils nommés ? Les archives ne contiennent aucun document qui puisse nous renseigner à ce sujet. Ce que nous pouvons remarquer, c'est que le changement du maître d'école coïncide souvent avec celui du curé.

On ne connait pas non plus le local affecté à l'école.

Depuis le commencement du siècle, nous savons par les renseignements puisés auprès des anciens du pays, que c'était dans sa maison même que l'instituteur, avec 3 ou 4 tables semblables à nos anciennes d'aujourd'hui et quelques bancs, s'entassait en hiver ses nombreux et grands élèves. Ils étaient âgés de 16 à 18 ans.

À propos du nom de l'instituteur, il figure pour la première fois dans un acte du 10 janvier 1807.

Les seules matières enseignées jusqu'en 1836 étaient la lecture, l'écriture, le calcul et le catéchisme.

Le maître assis sur son bureau, occupé à tailler les plumes et à tracer des exemples d'écriture, faisait approcher à tour de rôle chaque élève près de lui pour lui donner sa leçon de lecture, pendant que les plus grands écrivaient ou faisaient quelques calculs.

Les livres n'étaient pas nombreux, le Psautier et l'évangile, plus tard les pensées chrétiennes, étaient les seuls imprimés. Venaient ensuite les manuscrits, c'étaient des vieux contrats en parchemin, tirés des archives de la famille.

Un élève de ce temps là, sans doute un mauvais élève qui n'avait rien appris si ce n'est à signer son nom, nous a raconté bien des fois pour excuser son ignorance qu'il avait lu pendant toute sa vie d'écolier, l'évangile de Saint-Jean que sa mère lui avait appris par cœur, et à chaque fois il recevait des compliments du maître pour sa lecture. Cependant il n'en était pas ainsi de tous, j'en ai connu d'autres intelligents d'ailleurs qui avaient bien profité des leçons de leur maître, et qui avaient par la lecture et observation singulièrement augmenté les petites connaissances acquises à l'école. Ayons donc de la reconnaissance pour ces hommes qui s'étaient souvent instruits eux-mêmes et qui se dévouaient pour répandre l'instruction. Car ce n'est pas l'appât du gains qui pouvait leur faire embrasser la profession d'instituteur.

Jusqu'en 1834, ils n'avaient d'autre traitement que le rétribution scolaire : 0,60 fr pour les commençants et 1 fr pour les autres ? Et encore si on les eût payés régulièrement, mais ils leurs faillait compté avec l'indifférence ou la misère. Aussi dans les beaux jours, levés avant l'aube, ils sont dans les champs et travaillent en attendant l'heure de la classe. Pendant les 2 ou 3 mois de vacances, ils redeviennent tout à fait vignerons ou cultivateurs.

Pour augmenter leurs maigres ressources, ils ont encore l'église, ils sont chantres, sonneurs, remontant l'horloge, ils ont aussi le secrétariat de mairie. Et pour toutes ces fonctions c'est à peine s'ils reçoivent 100 fr. J'oubliais le casuel et le droit de mendier un peu de cidre et de vin, ils plaçaient au pressoir deux tonneaux, que les gens charitables remplissaient.

Ce n'est qu'en 1834 qu'on voit figurer au budget : traitement de l'instituteur... 200 fr et supplément de traitement... 100 fr. D'année en année ce supplément augmente et la rétribution aussi. En 1858,à mon entrée en fonctions dans la commune, le traitement se décomposait ainsi :

- traitement fixe : 200 fr
- rétribution scolaire : 372,50 fr
- complément : 27,50 fr
- supplément : 300 fr
- Total : 900 fr

En 1868, à l'établissement de la gratuité dans la commune, il figurait au budget pour 1500 fr, à savoir :

- traitement : 200 fr
- rétribution scolaire : 800 fr
- supplément de traitement : 500 fr

Depuis 1878 il est de : 1700 fr.

Histoire locale

Avec les archives de la commune, né la tradition ne nous apporte aucun fait historique ancien se rattachant à la commune. Un château, plus ou moins fortifié, était-il bâti au sommet du coteau, comme semble l'indiquer le nom d'une rue ? La rue du vieux château ? Rien ne vient l'affirmer. De ce vieux château, personne n'a entendu dire par son grand-père qu'il en avait vu vestiges, et dans les actes de l'état civil qui remonte à 1637 ne figure, ni comte, ni baron qui aurait pu y habiter. Il n'est question que d'un seigneur de Bois-Bazin qui avait une fonction à la cour et dont le domaine se trouvait à 1500 mètres du village.

On distinguait encore dans ces dernières les fondations et l'emplacement de la ferme attenant au château.

L'abbaye de Saint-Germain-des-Prés possédait aussi des terres dans la commune, comme l'attestent des anciens titres de propriété. Dans la prairie non loin de la rivière, se trouve un menhir appelé la pierre couvée. C'est une pierre plate de forme irrégulière plantée tout debout dans le sol et orientée de l'est à l'ouest. Ses dimensions extérieures sont d'une hauteur moyenne 2 mètres, d'une largeur 2 mètres 10, d'une épaisseur uniforme 0 mètre 40. Une petite niche grossière et usée se remarque sur une de ses faces. Des fouilles pratiquées au pied il y a quelques années, malgré la légende qui disait que si on creusait le jour, le trou serait comblé la nuit, ont montré que cette pierre se trouve enfoncée à une profondeur de 1 mètre 20, dans un ban de sable de rivière, recouvert d'une couche de terre que les pluies amènent chaque année. Ce qui semble indiquer que cette pierre se trouvait placée primitivement au milieu du lit de la rivière, aujourd'hui déplacé.

Le village semble avoir été plus important qu'il n'est aujourd'hui. On retrouve aux alentours des fondations, des puits comblés. Depuis un siècle d'ailleurs, on voit une décroissance dans la population. De 413 habitants qu'elle comptait en 1851, elle est descendue à 285 au dernier recensement en 1886.

L'émigration s'est dirigée sur Paris depuis 1870, il n'y a pas de 10 familles, qui n'aient vu un ou plusieurs de leurs membres partir pour la grande ville.

Les invasions de 1814 et de 1815 ont laissé dans la commune le souvenir de la misère, de la dureté de ces temps là. Le village a aussi beaucoup souffert de celle de 1870. Le 14 septembre 1870, il fût occupé par cinq mille Bavarois, tout le sol était littéralement couvert, chaque habitant fut sommé d'apporter sans délai à la mairie, ses armes, son pain, sous peine de voir le mari fusillé et la maison incendiée. Malgré les grosses réquisitions qu'ils exigèrent, le village fut pillé. Aux plaintes qu'on leur adressait, les chefs répondaient : "c'est la guerre c'est la guerre !". Par la suite, il y eut de nouveaux passages de troupes qui continuèrent de le ruiner, sans compter les réquisitions en hommes, chevaux, voitures, bestiaux de toutes sortes, faites par les commandants de Tournan.

Ce n'est qu'en 1887 que fut payée la dernière et lourde annuité de 1200 fr destinée à rembourser l'emprunt fait par la commune pour indemniser les propriétaires légalement requis par la mairie.

Puisse la génération qui s'élève n'avoir pas à souffrir de pareilles calamités. Puissent surtout lui être épargnées les angoisses morales plus cruelles encore que nous éprouvions chaque jour à l'annonce d'un nouveau désastre. Courtomer le 20 décembre 1888.

Anecdotes sur Courtomer au début du XXe siècle

Ancienneté : c'est en 1189 qu’apparaît pour la première fois la mention écrite de Courtomer, à l'époque CORTOMERIAE, suivie en 1265 de CURIA HOMERI, puis en 1269 de CURIA OMERI.

Toponymie : Courtomer n'est que l'enclos d'un Germain nommé Omer, la cour d'Omer.

Un soupçon d'histoire.

À l'origine, il y avait deux seigneuries à Courtomer :

- l'une avec château, tour de défense et fossés, appartenant à des laïcs,
- l'autre à l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés à Paris.

La première, devenue la baronnie de Cordoux, comprenait également Courtomer, Fleury, La Fermeté et Granvillé.

Le château, depuis longtemps délabré, fut rasé au début du XVIIe siècle. C'est un peu plus tard que les bénédictins de Saint-Germain-des-Prés devinrent les seuls possesseurs de la baronnie, seigneurie sans histoire.

En 1789, Courtomer faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris, tout en suivant la coutume de Melun.

Son église, dédiée à Notre-Dame, appartenait au diocèse de Sens, doyenné de Melun.

Au début de la révolution, Courtomer fut distrait du district de Melun pour être englobé dans celui de Rozay.

Balade à Courtomer à la belle époque.

"Courtomé", comme cela se prononce dans le pays, se situe dans une plaine arrosée par l'Yerre, aux confins des cantons de Tournan et de Rozay.

Distant de 6 km de Mormant et de 24 km de Melun, le village est desservi par l'annexe de chemin de grande communication N°32 d'Aubepierre à Gretz.

Plus de 95 % de la population vit à Courtomer même, les autres se dispersent dans une demi-douzaine d'écarts, fermes, moulin ou maisons isolées.

Les services publics.

Dépendant du bureau de poste de Chaumes-en-Brie et de la perception de Mormant.

La commune est administrée par M. MALABRE, maire, et M. THOMINET, adjoint, à la tête d'un conseil municipal de huit membres.

M. BOURJOT, instituteur, est le secrétaire de mairie, tandis que M. MARION est chargé de la promulgation (locale) et de l'application des lois et règlements en tant que tambour-afficheur et garde champêtre, qui sera remplacé par M. BAZIRE, avant 1923.

L'église est desservie par l'abbé THUILLIER, curé d'Aubepierre.

L'économie locale.

Selon une habitude bien ancrée, nous commencerons notre statistique économique par les aubergistes et débitants de vins. Il sont deux M. Ernest ROUSSEAU et M. CHEMIN, ce qui fait qu'un bistrot pour 119 habitants ou pour 42 électeurs.

Mais nos deux cabaretiers ont plusieurs cordes à leur arc.

- M. ROUSSEAU s'occupe de la pratique de la tête au pieds, car il est tout à la fois : bonnetier, coiffeur, cordonnier et débitant de tabac.
- La palette proposée par M. CHEMIN n'est pas moins fournie, puisqu'il est répertorié comme charcutier, épicier et mercier.



Qu'avons nous ensuite ?

- Mme Veuve COURTAUGER : bimbelotier, tandis que son fils est charron.
- M. BELLAMY : épicier, bonnetier, mercier
- M. SANCIER : boulanger
- M. TIBY : entrepreneur de bals (forains)
- M. DENEST : entrepreneur de maçonnerie
- M. BEAUFILS : maréchal-ferrant.


Les boulangers se succédaient assez rapidement dans le village, puisque nous trouvons :

- M. CHABROT avant 1884. Maire de Courtomer, il y fit poser les bornes fontaines.
- M. MARRECHAL vers 1890
- M. SANCIER vers 1901
- M. RUELLET vers 1903
- M. BLETRY vers 1907
- M. CORTET vers 1920

M. TUFFIER a ajouté aux multiples activités de son prédécesseur, M. CHEMIN; Aubergiste, débitant de vins, charcutier, épicier, mercier, bonnetier, la vente des journaux dont "le matin" et "le petit parisien" et l'édition de cartes postales.

M. BELLAMY tient un pressoir à cidre alors que M. BONSANG est répertorié comme paveur. En réalité, Onésime BONSANG est "entrepreneur de travaux publics et de taille de grès". Il lui arrive même de tirer des pavés des roches qui se trouvent sur les terres exploitées par M. SAUSSIER à Beauvoir.

Quant au moulin de Courtomer, mû par une machine à vapeur qui pallie les fantaisies de l'Yerre, au débit par trop capricieux, il appartient à M. COMPAGNON qui l'exploite lui-même. Il cessera de moudre entre 1904 et 1912. Il est possible qu'il ait été alors transformé en scierie mécanique, puisque l'annuaire commercial de 1913, répertorie cette nouvelle activité du village tenus par M. CHADUC.

En 1913, justement, à part le commerce de bimbeloterie et la maréchalerie qui ont disparu, l'activité économique du village reste identique, même si les auberges (et leurs activités annexes), ainsi que la boulangerie, ont changé de propriétaires.

L'agriculture.

Courtomer possède une demi-douzaine d'exploitants agricoles, dont les plus importante sont : Courtomer, en 1901 : propriété RAGOT, tenue par M. NICOLAS, remplacé avant 1913 par M. PICHOTTE.

L'étang d'Arcy, en 1901 propriété de M. NICOLAS qui l'exploite; en 1913 : propriété de M. BIERDERMANN, exploitée par M. PICHOTTE.

Le Paradis, en 1901 : propriété Baillière, cultivée par Melle NEGROS : en 1913 : toujours propriété Baillière, mais cultivée par M. PION maire du village.

Cette ferme, située le long de la "grande route", comme on dit ici ; La départementale 11 de Cobeil à Rozay, suit en cet endroit le tracé d'une ancienne voie romaine, ou chemin perré.

Au dessus du portail rond qui sert d'entrée au Paradis, on peut lire cette inscription : "J'ai été fait en 1706".

Les fêtes, les coutumes et les traditions

Selon l'annuaire commercial de Seine et Marne (édition 1901), Courtomer bénéficie de deux fêtes patronales : "La Pentecôte et Sainte-Geneviève (3 janvier)".

Une fontaine de Courtomer porte effectivement le nom de Sainte-Geneviève, mais la tradition du 3 janvier est-elle toujours respectée ? Ce jour-là, les jeunes filles du village y puisaient l'eau qui, une fois bénite, servait aux office toute l'année.

Toujours à la Sainte-Geneviève, la messe était dite pour les jeunes filles qui distribuaient, ensuite des brioches aux habitants du pays. Le soir, un bal clôturait la fête patronale.

En revanche, c'est la fête communale qui se tient à la Pentecôte, la seule mentionnée d'ailleurs, dans l'annuaire de 1913, mais toujours comme fête patronale.

La même année, la République de Seine et Marne, dans son numéro du 8 mai, en fait autant puis qu'elle annonce : "Dimanche et lundi de la Pentecôte, fête patronale de Courtomer. Pendant deux jours, attractions diverses, bal sous la tente TIBY. Illuminations".

Or, il y avait jadis une autre fête : la fête de la rivière qui, de temps immémorial, se déroulait le premier dimanche de septembre, dans les prés qui bordent l'Yerre, du côté du moulin, en face de la vanne. Par la suite, elle fut déplacée et se tint sur la place du village.

Geneviève et la pierre couvée

Il s'agit d'une légende.

Sur le territoire de la commune s'élève un menhir, baptisé la Pierre-Couvée, dont la tradition explique ainsi la présence : ayant appris que Sainte-Aubierge, sa sœur, allait construire une chapelle, Sainte-Geneviève voulut participer au travail. Elle se rendit en forêt de Fontainebleau, choisit une belle pierre, la plaça sur son dos et prit la route. Mais sur le chemin du retour, un ange l'arrêta près de Courtomer et lui dit : "Cela ne vaut plus la peine, la chapelle est terminée!". Un brin découragée et quelque peu dépitée, Sainte-Geneviève planta là son inutile fardeau, devenu depuis la Pierre-Couvée.

Il ne faut pas entendre l'adjectif "couvée", comme l'œuf couvé par la poule ; cette "couvée" vient du Latin CUPA,CUPAE, la cuve. Le menhir se trouve en effet dans un creux, un val.

La Pierre-Couvée est donc la Pierre du Val.

Cette légende est identique à la légende du menhir de beautheil, dit encore le pignon de Sainte-Aubierge.

Toutefois, il aurait été fort difficile à Geneviève et à Aubierge d'être sœurs, puisque la première était née à Nanterre en 426, c'est à dire 200 ans environ avant la britannique Aubierge.

Faits divers, faits d'hier

Chien perdu.

Un fox-terrier sous-poil blanc, oreille et œil gauches tachetés, répondant au nom de Dic, a quitté la maison de Mr PROUST, à Courtomer, le 2 avril 1913 et n'a pas reparu depuis. Une bonne récompense est promise à toute personne qui pourra le faire retrouver.
C'est justement Mr PROUST qui nous avait raconté la légende de la Pierre-Couvée, histoire qu'il tient de son grand-père, né en 1815.


Mesquine vengeance.

C'est, du moins l'opinion de la république de seine et marne du 7 septembre 1913, informant ses lecteurs que : "Courtomer n'est pas le pays de la camaraderie par excellence : qu'on en juge plutôt. Il y a quelques années, est venu s'installer dans ce pays un entrepreneur de carrières qui tout de suite eut le tort de se dévoiler trop rapidement ses idées politiques, et naturellement s'est fait des ennemis. Ce bon bougre, qui possède quelques parcelles de terre, avait établi cette année une meule, avec les meules communes et pensait la faire battre avec les autres. Grande fut sa stupéfaction lorsqu'il vit l'entrepreneur de battage quitter le pays en lui laissant sa récolte indemne. Si c'est là, comme il le suppose, l'effet de mauvaises langues, c'est une vengeance bien mesquine, mais à Courtomer il faut s'attendre à tout".


Nécrologie locale

  • 15 mai 1903 : âgé de 82 ans, M. MALLABRE est décédé à Courtomer où il avait siégé 38 ans au conseil municipal dont 20 ans comme maire. Né à Arcy, commune de Chaumes, vers 1821, il avait fait le tour de France comme compagnon menuisier, puis il était venu s'établir tout près de son pays natal, à Courtomer qu'il ne devait plus quitter. Il y donna l'exemple du travail et d'une parfaite honorabilité. Frappé par le malheur en les personnes de sa femme et de tous ses enfants, il resta quand même ferme à son poste. Il mourut avec ses convictions de républicain et de libre penseur. Il a laissé une assez forte somme aux pauvres de sa commune et, dans ses dernières volontés, il demanda que la Marseillaise fût exécutée sur sa tombe. Son vœu a été exaucé et l'éloge de ce bon citoyen a été fait par M. BALANDREAU, député, et par l'adjoint au maire, M. THOMINET.
  • 19 août 1913 : ont eu lieu les obsèques purement civiles de Mme COLLET, née BARASTHOU, décédée dans sa 71ème année. Au cimetière, devant une assistance nombreuse et recueillie, le dernier adieu lui a été donné par M. Onésime BONSANG, ancien maire.
  • 25 janvier 1914 : à 2 heures, ont eu lieu, au milieu d'une assistance évaluée à environ 100 personnes, les obsèques purement civiles de M. CALLITE, décédé à la fleur de l'âge, laissant une veuve et trois enfants, dont l'aîné n'a que 9 ans. M. CALLITE était le gendre de M. Adolphe BONSANG, conseiller municipal de Courtomer, ancien cantonnier-chef à Chaumes.

Toponymie

Héraldique

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Seine-et-Marne
  • Arrondissement - 1801-2016 : Melun, 1994-2024 : Provins
  • Canton - 1801-2015 : Mormant, 2015-2024 : Nangis

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Sainte-Geneviève

L'église Sainte-Geneviève placée également sous l'invocation de la Vierge (Notre-Dame-de-l'Assomption), est inscrite aux MH[1] en 1989.

L'édifice est une construction à trois nefs du commencement du XIIIe siècle, retouchée au XVIe siècle, et surmontée d'un clocher en bâtière.

Elle est aussi large que longue, avec deux bas côtés qui s'arrêtent à l'arcade royale. Il y a un transept bien prononcé, formant une croix grecque.

Sa cloche porte la date de 1524 : elle eut pour parrain l'écuyer Nicolas CHANTEREAU, et pour marraine Louise Edmée de BAZIN.

À l'intérieur, une Vierge à l'enfant du XIVe siècle, en pierre (cette statue autrefois polychrome, est le joyau de l'église; les anciens habitants y tenaient beaucoup, puisqu'ils la cachèrent sous un autel lors des troubles révolutionnaire.) est classée au titre objet aux MH[2] en 1905.

L'église conserve une pierre tombale du XIVe siècle, une statue de sainte Geneviève en bois du début du XVIIIe siècle, classée au titre objet aux MH[3] en 1955.
Les fonts baptismaux en pierre datés de 1735 sont classés au titre objet aux MH[4] en 1967.

Repère géographique.png Repères géographiques

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 308 478 359 364 365 389 392 411 413 381
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 358 377 343 347 305 258 280 262 237 219
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 240 246 222 210 206 190 205 171 200 203
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 377 491 554 546 535 528 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
Louis CHENU An II - An V  
Nicolas CHARON An V - An VIII Agent municipal de Chaumes-en-Brie puis maire de Courtomer.  
Louis CHENU An VIII - An XIII  
Nicolas Stanilas JARDIN An XIII - 1813  
Antoine Pierre JARLET 1813 - 1815  
Louis Nicolas MEUNIER 1815 - 1821  
Nicolas BACHELIER 1821 - 1826  
Antoine Pierre JARLET 1826 - 1831  
Nicolas BACHELIER 1831 - 1845  
Alexandre BELLAMY 1845 - 1852  
Jean-Pierre PREUX 1852 - 1861  
Pierre CHABROT 1861 - 1868  
Jacques BARDEAU 1868 - 1876  
Eutrope MALABRE 1876 - 1880  
Eugène CHABROT 1881 - 1888  
Eutrope MALABRE 1888 - 1903  
Onésime BONSANG 1903 - 1912  
Alfred PION 1912 - 1941  
Léon DENEST 1942 - 1943  
Louis CLÉMENT 1944 - 1945  
Christian RAVRY 1945 - 1947  
André DOUYERE 1947 - 1958  
Paul PICARD 1958 - 1964  
Marc BAREYRE 1965 - 2007 Conseiller général du canton de Mormant (1973-1986).  
Solange DEFFONTAINE 05/2007 - 2014  
François CHEVALLIER-MAMES 2014 - 2020  
Jocelyne VANESON 05/2020 - (2026) Née le 08/12/1959.  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Les registres des archives de seine et marne sur GAIA 9 commencent le 14 mai 1637.

Prénom(s) NOM Période Observations
 
SOUBY 1637 - 1676 Déjà là en 1637 et surement avant, mais pas de registres avant 1637, les actes sont signés par le curé Souby et Hallomesse.  
DUPOIX 1677 - 1711  
TOUZET 1712 - 1753  
CATTEREAU 1753 - 1756 Curé d'Argentières et de Courtomer.  
CHAROTTIER 1756 - 1756  
CATTEREAU 1756 - 1774 Curé de Courtomer.  
Aubin ESNAULT 1774 - 1793 Curé de Courtomer, et, depuis 1792, officier public.  

Les instituteurs

Prénom(s) NOM Période Observations
Martin MARIN 10/07/1668 - 19/04/1676  
Blaise GENESQUIN 20/04/1676 - 09/11/1696  
Jean CHARTON 10/11/1696 - 18/11/1697  
Jacques BLANCHAIN 18/11/1697 - 03/10/1700  
Jean LUGNEAU 04/10/1700 - 04/01/1707  
Pierre ROZAT 05/01/1707 - 21/09/1720  
Laurent CERIER 22/09/1720 - 03/02/1757  
Antoine LEDOUX 04/02/1757 - 27/01/1771  
Nicolas LEDOUX 28/01/1771 - 20/01/1781  
Denis GOBLET 21/09/1781 - 20/02/1785  
Pierre FRERE 21/02/1785 - 18/11/1795 Fin de période : 27 brumaire an IV, soit le 18 novembre 1795.  
Louis BELLAMY 19/11/1795 - 12/1812 Entrée en fonction le 28 brumaire an IV soit le 19 novembre 1795.  
Jean MASSON 12/1812 - 07/09/1836  
Bonaventure PELION 08/09/1836 - 09/06/1849  
Alexandre MOREL 10/06/1849 - 30/09/1852  
Dieudonné CHARRON 01/10/1852 - 09/1854  
Edmé GUYARD 09/1854 - 30/09/1858  
Denis HU 01/10/1858 - ...1889... Toujours présent en 1889 quand il écrit sa monographie.  
- -  

Monument aux morts

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Louis Désiré BIERRY 24/09/1876
Courtomer (77)
10/02/1916
Tracy-le-Mont (60)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 329e RI. Matricule 476. Recrutement : Melun(77). Tué à l'ennemi.  
Henri Louis BLETRY 25/08/1884
Courtacon (77)
13/01/1915
Saint-Pol-sur-Ternoise (62)
Conflit de 1914/1918. Chasseur au 21e BPC. Matricule 136. Recrutement Fontainebleau(77). Décédé suite de blessures de guerre.  
Paul Gabriel BONSANG 13/09/1890
Courtomer (77)
06/09/1914
Laheycourt (55)
Conflit de 1914/1918. Caporal au 31e RI. Matricule 602. Recrutement : Melun (77).  
Albert Victor DESMARAIS 13/01/1892
Lumigny (77)
10/11/1914
Saint-Éloi (Belgique)
Conflit de 1914/1918. Chasseur au 2e BPC. Matricule 180. Recrutement : Melun (77). Tué à l'ennemi.  
Armand Louis DUPRE 04/10/1895
Boissy-Saint-Léger (94)
30/09/1915
Minaucourt-le-Mesnil-lès-Hurlut (51)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 156e RI. Tué à l'ennemi.  
Louis GUESDON  ?  ? Tué au conflit de 1914/1918.  
Louis LAFONT 06/12/1887
Cros-de-Monvert (15)
06/10/1918
Pont-Faverger (51)
Conflit de 1914/1918. Sergent au 142e RI. Matricule 1936. Recrutement : Aurillac (15).  
Auguste Félix LEMOINE 07/07/1896
Pontault-Combault (77)
30/09/1015
Corbeny (02)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 31e RI. Tué à l'ennemi au bois de l'enclume (02).  
Louis MALLABRE 09/11/1874
Courtomer (77)
12/07/1919
Courtomer (77)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 31e RI. Matricule 39. Recrutement : Melun (77). Décédé de tuberculose pulmonaire contractée en service.  
Laurent Édouard PETIT 28/07/1874
Villeparisis (77)
26/01/1915
Chauny (02)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 276e RI. Décédé suite blessures de guerre.  
Henri Auguste Ferdinand PICARD 08/03/1892
Courtomer (77)
01/03/1915
Vauquois (55)
Conflit de 1914/1918. Soldat au 31e RI. Matricule 213. Recrutement : Melun (77). Tué à l'ennemi.  
Simon André BONSANG 22/04/1906
Courtomer (77)
11/06/1940
Chézy en Auxois (02)
Conflit de 1939/1945, soldat au 246e régiment d'infanterie Mort pour la France.  
Jean-Claude ROBERJOT 04/08/1938 28/09/1960
Algérie
Conflit d'Algérie.  


^ Sommaire

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin - 9 h 30 - 11 h 30 - 9 h 30 - 11 h 30 - 9 h 30 - 11 h 30 -
Après-midi - - - - - - -
Commune.png

Mairie
Adresse : Place de l'Église - 77390 COURTOMER

Tél : 01 64 06 92 67 - Fax : 01 64 06 56 27

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Juillet 2021)

Nom des tombes du cimetière de Courtomer reprises par la mairie

Prénom(s) NOM Période Observations
N° et Nom du concessionnaire - Personnes inhumées  
N°165 CHERTIER Stanilas Anasthase - DEDUNE Eugène  
N° 166 SANCIER Alexandrine - BAZIRE DARCHE Marie,BAZIRE Charles,SANCIER Emile Marie  
N°167 THERON François - THERON Edouard Louis Joseph  
N°168 BAZIRE Auguste Xavier - BAZIRE Auguste Arthur  
N°169 JONCERY Félix - THERON Germaine,JONCHERY AUXERRE Clarisse adrienne,JONCHERY Félix Adrien,THERON Léon  
N°170 BASSIER Létida Veuve BRIQUET - BRIQUET Honoré Prudent  
N°171 BASSIER Létida Veuve BAQUET -  
N°172 FOSSAT Jean FOSSAT THERON Léonie Marie  
N° 172/B COLSON Louis Blanche Veuve THEVENOT - THEVENOT Diogène Louis Honoré  
N°175 MALABRE Anathasie Virginie - MALABRE Virginie  
N°176 DRIGER Etienne Alexis - DRIGER DENIS Augustine,DRIGER Etienne Alexis  
N°177 DEFER Jules Théophile - DEFER Léontine Octavie  
N°178 PETIT Jules Florentin - PETIT Léon Florentin  
N°181 JONCHERY Victor Pierre Marie - JONCHERY Adna Victoire Amanda  
N°182 CHARPENTIER LEDOUX - CHARPENTIER Jules Julien,LEDOUX louise Eulalie  
N°185 CHABOT Pierre - CHABOT LACHENY Marie Madeleine  
N°186 BARDEAU Joseph Théophile - BARDEAU Jacques François Eusèbe Paul  
N°187 MATHIAS Marie madeleine - MATHIAS louis François  
N°187/1 PIGEASTRE Alexandre - BACHELIER Nicolas  
N°187/2 CHICAUDET François Eugène - CHICAUDET Jean-Baptiste,CHICAUDET PLUMARD Henriette Victoire  
N°187/3 BELAMY Pierre - VANCY Louise Eulalie  
N°188 MOSNY Alfred Léonce Louis - BISSON Marie Charles  
N°189 SAUNOIS Jules Victor - SAUNIER Nicolas François Honoré  
N°189/B SAUNOIS JONCHERY Marie Eliane Scholastique - SAUNOIS Jules Victor  
N°190/B BASSIER THOMINET Anne Alexandrine - BASSIER Jean narcisse  
N°191 CHEMIN BRULE Célestine Marie-Louise - CHEMIN Louis Xavier,CHEMIN Louise  
N°191/B CHEMIN BRULE Célestine Marie-Louise - Chemin Victor,CHEMIN BRULE Célestine Marie-Louise  

Associations d'histoire locale

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Voir aussi.png Voir aussi (sur Geneawiki)

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Référence.png Notes et références

  1. Église Saint-Geneviève : Fiche Base Mérimée
  2. Statue Vierge à l'Enfant (église Saint-Geneviève) : Fiche Base Palissy
  3. Statue de sainte Geneviève (église Saint-Geneviève) : Fiche Base Palissy
  4. Fonts baptismaux (église Saint-Geneviève) : Fiche Base Palissy



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