69264 - Villefranche-sur-Saône
Villefranche-sur-Saône | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Rhône |
Métropole | - |
Canton | 69-13 Villefranche-sur-Saône 69-32 Villefranche-sur-Saône (Ancien canton) |
Code INSEE | 69264 |
Code postal | 69400 |
Population | 34 188 habitants (2006) |
Nom des habitants | Caladois(es) |
Superficie | 948 hectares |
Densité | 3606.33 hab./km² |
Altitude | Mini: 167 m |
Point culminant | 220 m |
Coordonnées géographiques |
45.990278° / 4.720278° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
Villefranche-sur-Saône fut fondée par Humbert III de Beaujeu , sans doute vers 1140 sur un terrain marécageux en bordure de Saône, de la seule volonté des Seigneurs de Beaujeu qui souhaitaient posséder une cité mieux située que Beaujeu et qui pourrait s'imposer face aux prétentions hégémoniques des Archevêques-Comtes de Lyon. ( Possession des Bourbons, puis des Orléans.).La cité fut créer avec des terres prélevées aux paroisses de Limas , Béligny , Ouilly et Gleizé. La création de Villefranche avait été aussi faite pour profiter du commerce actif dans la vallée de la Saône grâce aux marchands Italiens et provençaux qui se rendaient aux foires de Champagne. L'emplacement de la Tour de péage allait en constituer le noyau à la croisée des routes Lyon-Langres et Roanne-Saône (gué de Riottier).
Ville entièrement fortifiée, Villefranche ( ville-franche) fût très rapidement peuplée grâce aux divers avantages fiscaux que les Seigneurs consentirent aux habitants : statut d'homme libre, offre d'un terrain, impôt unique calculé en fonction de la largeur de la façade des maisons.La charte accordée par les sires de Beaujeu à Villefranche est la seule charte qui accorde des droits politiques . La ville pouvait en effet s’administrer seule. Le « consul ou plus tard échevin» choisis parmi les notables prêtait serment au seigneur , lequel promettait de respecter « la Charte ». Pour pouvoir bénéficier des libertés de la charte , il faut être propriétaire dans la ville ou habituer en ville depuis plus d’un an.Parmi les avantages accordés par la charte , il faut citer l’exemption du service militaire.La charte de Villefranche a servi d’exemple pour celle de Belleville , de Beaujeu ou de Thizy.
Une charte reprenant les divers avantages consentis aux habitants sera signée en 1260 par Guichard V.
Le 4 Février 1500 Pierre de Beaujeu devenu Pierre de Bourbon suite au décès de son frère Jean II de Bourbon en 1488 fit un don de 1200 livres qui permit de terminer la construction de la façade de l’église paroissiale.
Située sur l'axe Nord-Sud, permettant de relier l'Europe du Nord aux pays Méditerranéens, Villefranche prendra son véritable essor dès la fin du XVe siècle en sachant développer le commerce de la toile sous le regard attentif de Pierre II de Bourbon et Anne de France Dame de Beaujeu fille de Louis XI. De cette tutelle la ville doit deux gestes forts : Le financement qui permit en 1499 l'achèvement de Notre Dame des Marais et de faire en 1514 de Villefranche la capital du Beaujolais. Les bourgeois de cette cité prospère firent alors construire de très belles demeures avec cours intérieures, dont certaines d'époque Renaissance, sont toujours habitées.
A partir de 1692, Villefranche va avoir un maire qui a acheté sa charge , son office et qui a l'aval du Roi. C'est ainsi que Noël MIGNOT , seigneur de Bussy , lieutenant général du baillage de Beaujolais devint le premier maire de la ville.
Charles Antoine CHASSET avocat , membre de l’académie de Villefranche qui était échevin » et nommé comme maire en 1788 par le duc d’Orléans devint le premier maire élu de Villefranche en janvier 1790.
La ville perdra ses remparts après la Révolution, signe de l'arrivée des temps modernes.
Le premier bouleversement majeur se déroule en 1853, quand le conseil municipal décide la fusion de la ville avec les quartiers alentours, à savoir la commune de Béligny et des quartiers des communes voisines d’Ouilly, Gleizé et Limas ( loi du 23 avril 1853). Villefranche voit donc sa population presque doubler : elle passe de 7769 habitants en 1851 à 11 686 en 1856.
L'ouverture de la liaison ferroviaire Lyon-Paris en 1854 a accentué son rayonnement marchand.La gare importante pour l'époque permit de transporter le vin du Beaujolais.
La ville fut à la pointe de la révolution industrielle avec, pour industrie, les industries métallurgique et textile. Joannès SABOT (1844 - 1903), inventeur du Bleu de travail, et Victor VERMOREL, inventeur du pulvérisateur à vigne en 1884 , contribuèrent à la renommée de la ville.En 1910 le pharmacien JACQUEMAIRE fut à l'origine d'une recette d'aliments pour enfants (La blédine).
La crise de 1929 n'est sensible sur Villefranche que vers 1933.
La libération de Villefranche eu lieu le 03 Septembre 1944 par l'action de la 1ère DB du Capitaine GIRAUD ; du Bataillon FFI du Charolais et des résistants locaux.
Origine du nom Caladois
Les habitants s'appellent les "Caladois" : deux origines peuvent expliquer ce nom :
- les calades sont le nom des dalles formant le parvis de Notre-Dame-des-Marais.
- au Moyen-Age, on appelait "calade" une pente sur laquelle on exerçait les chevaux à courir ; la ville en possède deux, rue Nationale.
Le nom de Villefranche-sur-Saône sous la révolution
La ville fut nommé le plus souvent « Commune Franche » mais on trouve aussi « Ville libre sur la Saône » ou « Mont Buyzanthe » .
Histoire administrative
- Département - 1801-.... : Rhône
- Arrondissement - 1801-.... : Villefranche(-sur-Saône)
- Canton - 1801-2000 : Villefranche(-sur-Saône)
Résumé chronologique :
- 1801-.... : Cton de Villefranche(-sur-Saône), Arrt. de Villefranche(-sur-Saône), Dép. du Rhône.
Héraldique
Les Armes de Villefranche-sur-Saône
"De gueules à une porte de ville d'argent , flanquée à dextre d'une tour de même , le tout maçonné de sable , au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or brisés chacune d'un bâton alésé péri en bande de gueules."
Avant 1514 les armes de la ville se lisaient "Une tour d'argent massonnée de sable sur gueule." C'est en effet Anne de France , fille de Louis XI et Dame de Beaujeu qui en novembre 1514 fit ajouter "un Chef de Bourbon" (les 3 fleurs de lys sur fond d'azur).
Au début du XVIIe siècle le Chef de Bourbon est devenu de France. Sous l'empire , le chef de France fut remplacé par un Chef à l'aigle impérial.
En 1819 , le conseil municipal décide de reprendre les armes de 1514 .
Pendant la monarchie de Juillet , le Chef de France est remplacé par un Chef d'Azur vide.
1863 , les armes au chef de France redeviennent les armes officielles de Villefranche.
Repères géographiques
C'est la principale agglomération du Beaujolais, elle est parfois appelée Villefranche-en-Beaujolais. La ville est située à 25 km au Nord de Lyon en bordure de la Saône.
Patrimoine bâti
Ancien hôtel de Ville
L'Hotel de ville
J-P GALICHONFaçade de l'Hotel de ville
J-P GALICHON
En 1529 les échevins achètent la maison dite de "La Grenette" afin d'aménager celle ci en "hostel de ville". A cette occasion la porte à deux arcs au rez de chaussée et les fenêtres de l'étage sont aménagés.
En 1562 l'édifice fut incendié par les protestants du Baron des Adrets lorsque ces derniers se rendirent maitre de la ville.
Le bâtiment actuel a été reconstruit en 1581 après les destruction . Il est progressivement agrandi du côté de la cour en 1589 puis en 1648. Les travaux sont terminés en 1660 comme en témoigne la date portée au centre de la façade.Le bâtiment fut le siège des échevins , puis de la municipalité de Villefranche.
En 1741 une salle fut construite pour devenir la "Chambre du conseil".
Inscrit aux M.H depuis 1926[1].
Notre Dame des Marais
La collégiale Notre Dame des Marais ,inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques a été commencée au XIIe siècle, dans le style roman.Au XIIIe siècle l'église comporte le cœur , les six travées actuelles et le petit clocher. Elle a été poursuivie en gothique et achevée au début du XVIe siècle, en style gothique flamboyant (Ajout de deux collatéraux, la façade et un clocher). Le clocher ajouté fut détruit en 1566, et une restauration importante en 1862 permet de réparer les mutilations de la révolution et donne le clocher actuel. Cette collégiale possède donc deux clochers l’un roman et l’autre flamboyant, avec une flèche de 72 mètres de haut.La campagne de restauration intérieure menée en 1998 a permis de mettre en valeur la voûte et les piliers et croisées d’ogives tous différents.
L’orgue Callinet construit à Rouffach comporte 2300 tuyaux et date de 1835 , la chaire quand à elle date du XVIIe siècle et est classée.
Dans la chapelle Saint-Nicolas la verrière de la vierge allaitant l'enfant jésus et du calvaire est la plus ancienne verrière de la collégiale. Elle est datée de la seconde moitié du XIVe siècle. En partie détériorée elle a été reconstituée au XIXe siècle.
A droite la vierge assise sur un trône allaite l'enfant Jésus pendant qu'un ange la couronne.
A gauche les vestiges du calvaire de Golgotha avec les deux larrons.
La collégiale est classée aux M.H depuis 1840[2]
vitraux des fonts baptismaux
Lucien BÉGULE - 1874
Hôtel Dieu
Anciennes maisons
La maison de bois
Seul exemple de galerie en bois subsistant à Villefranche. Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle il y en avait beaucoup d'autres , mais les incendies les ont détruits.
Cette galerie de style gothique est datée du XVe siècle .
Le rez de chaussé comporte des arcs en accolade alors qu'au premier niveau il y a des arcs trilobés. Le premier niveau repose sur des piliers de chêne.
La pierre a remplacé le bois dans les constructions.
Maison de l'Italien
Hôtel particulier racheté en 1993 à un propriétaire privé par la ville de Villefranche dont la cour d'honneur donne sur la grand'Rue . A voir la tourelle polygonale coiffée d'un pièce belvédère, sa galerie à l’italienne et son escalier à vis.
Exemple du style renaissance italienne.
Bâtiment du XVIe siècle classé aux M.H en 1993 [3].
Hôtel Mignot de Bussy
Maison édifiée par un bourgeois de la renaissance elle a appartenu au XVIIe siècle à la famille Mignot de Bussy dont les membres ont exercé à plusieurs reprises les charges de lieutenant général du Baillage du Beaujolais.
François Mignot de Bussy a accueilli le 23 Novembre 1658 Louis XIV se rendant à Saint-Jean-de-Luz pour épouser Marie-Thérèse d'Autriche (1638-1683), fille de Philippe IV, roi d'Espagne .
On accède à la cour par une allée couverte de croisées d’ogive.
A voir la galerie et son escalier en colimaçon dont le sommet est couvert par une voûte d’ogives.
La cuisine est dotée d'une cheminée.
Maison Giliquin
Ancienne propriété de Claude GILIQUIN, avocat d'Anne de Beaujeu. Maison de la seconde moitié du XVIe siècle. La tourelle commande un réseau de galeries aux arcades en plein cintre. Le puits est le rappel de l'époque ou l'eau ne coulait pas sur les éviers.
Hôtel Gayand
Ancienne maison de la famille Gayand.
Profondément remaniée la cour présente plusieurs sculptures sur des culots soutenant les croisées d’ogive de la galerie ou les larmiers des fenêtres à meneaux.
Autres maisons
Vers la fin du XVe siècle et au début du XVIe siècle , Villefranche se développa après être devenu capital du Beaujolais. Les impôts dus au seigneurs était fonction de l'importance de la façade , ceci entraîna la construction de bâtiments ayant des façades étroites.
En photos
Pendant la guerre
Pensionnat de Mongré pendant la guerre
Carte d'un poilu
Autres Cartes postales
Photos
Ville de naissance ou de décès de
- Maurice BAQUET, musicien, alpiniste, acteur né le 26 mai 1911, décédé à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis) le 8 juillet 2005
- Raymond DEPARDON, photographe, journaliste, réalisateur né le 6 juillet 1942
- Dominique de LACOSTE (Les Vamps), humoriste le 23 février 1958
Démographie
- En 1853, Gleizé, cède à Villefranche-sur-Saône de vastes territoires.
- En 1853, la commune d'Ouilly est absorbée par les communes de Gleizé, Villefranche-sur-Saône et d'Arnas.
- En 1853 , la commune de Béligny est absorbée.
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 4 706 | 4 374 | 5 095 | 5 250 | 6 460 | 7 533 | 6 848 | 7 064 | 7 769 | 11 686 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 11 650 | 12 469 | 12 170 | 12 485 | 13 074 | 12 518 | 12 928 | 13 627 | 14 793 | 16 031 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 16 388 | 16 588 | 17 339 | 18 188 | 18 871 | 20 017 | 21 703 | 24 516 | 26 338 | 30 341 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | - | - | - | - |
Population | 28 881 | 29 542 | 30 647 | 34 188 | 35 640 | - | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cfr: Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2013.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Noël MIGNOT | 1692 - | Premier Maire caladois |
- | - | - |
Charles Antoine CHASSET | 1790 - | Premier Maire élu |
Claude-Antoine SAIN | 1792 - | - |
- | - | - |
Pierre Mathieu LAURENT | 1813 - 1815 | - |
Jean Gabriel DESARBIER | 1815 - 1816 | - |
Claude HUMBLOT | 1816 - 1817 | - |
Jean Gabriel DESARBIER | 1817 - 1830 | - |
Pierre Zacharie CHANRION | 1830 - 1837 | - |
DURIEU-MILLIET | 1837 - 1843 | - |
Claude GUILLOT | 1843 - 1848 | - |
Camille DENIS | 1848 - 1851 | - |
Barthélémy BOIRON | 12/1851 - 01/1864 | (1806-1866) - Chevalier de la Légion d'Honneur[4] |
Julien MOREL | 1964 - 1867 | - |
Pierre RAVIER | 1867 - 1870 | (1804-1877) - Chevalier de la Légion d'honneur[5] |
CORNIER | 27-09-1870 - 30-10-1870 | - |
JUGY | 1870 - 1871 | - |
Arsène MOGENET | 1871 - 1873 | - |
Louis DUMONT | 1873 - 1874 | - |
Camille MONIN | 1874 - 1881 | - |
Joseph RELACHON | 1881 - 1884 | - |
Joseph DUPONT | 1884 - 1887 | - |
Joseph DELILLE CLEMENT | 1887 - 1890 | - |
Antonin LASSALLE | 1896 - 1900 | (1844 - 1906) - Conseiller général - Docteur en médecine - Chevalier de la Légion d'Honneur[6] |
Etienne BERNAND | 1900 - 1906 | - |
François DUFAÎTRE | 1907 - 1908 | (1852 - 1930) - Chevalier de la Légion d'Honneur[7] |
Abel BESANCON | 1908 - 1913 | - |
Jules TROUSSIER | 1913 - 1919 | - |
Abel BESANCON | 1919 - 1925 | - |
Armand CHOUFFET | 1925 - 1941 | - |
Ernest PLANCHE | 1941 - 1944 | Nommé par la préfecture |
Jean COTTINET | 1944 - 1945 | J. COTTINET a remporté les premières élection d'après guerre |
Claude BOURRICANT | 1945 - 1947 | - |
Armand CHOUFFET | 1947 - 1958 | - |
Edouard MURY | 1958 - 1959 | - |
Charles GERMAIN | 1959 - 1977 | (1909 - 1979) - Chevalier de la Légion d'Honneur[8] |
André POUTISSOU | 1977 - 1989 | - |
Jean-Jacques PIGNARD | 1989 - 2008 | - |
Bernard PERRUT | 2008 - (2020) | - |
- | - | - |
- | - | - |
Cfr: MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Les curés de Notre Dame des Marais
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Jean Jacques LIEVRE | 9 décembre 1766 - | - |
DESVERNAY | 1783 - 1789 | - |
- | - | Période révolutionnaire |
Claude GENEVEY | 1803 - 1827 | (1744 - 1827) - Ex curé d'Écully [9]. - Puis vicaire général |
Ferdinand François Auguste DONNET | Septembre 1827 - Mai 1835 | (1795 - 1882) - Grand Croix de la Légion d’Honneur [10] - Puis Évêque de Nancy ; puis de Bordeaux - Nommé cardinal en 1852 - Né à Bourg-Argental dans une famille bourgeoise d'un père Médecin. Ordonné prêtre en 1819 - Vicaire à La Guillotière - En 1820 curé à Irigny |
Barthélémy COURBON de FAUBERT | 1835 - | (1796 - ?) |
Jean Antoine VANEL | 1845 - 1861 | (1800-1861) - Installé en janvier 1846[11]. |
Pierre TAMAIN | Mai 1861 - ? | (1811 - 1884) - Ex secrétaire particulier de l'archevêque de Lyon le Cardinal de Bonald - Chevalier de la légion d'honneur[12]. - Ex curé de Givors |
Henri André DUBOST | 1884 - 1922 | (1841 - 1922) - Archiprêtre - Chanoine honoraire |
Jean PRAT | 1922 - | Ex curé de Valsonne - Chanoine en 1925 et 1935 |
- | - | - |
Daniel BONNET | 1987 - 1999 | - |
Georges FAVRE | 1999 - 2006 | |
- |
Les curés de Saint-Pierre
Paroisse érigée en succursale le 4 avril 1868[11].
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Benoît MICOLLET | Octobre 1866 - | - |
Pierre François BROSSETTE | - 1907 | (1826 - 1907) - Déjà curé en 1898 |
Paul François Claude De OLANO | 1907 - 1921 | (1855 - 1921) - Ex curé de Riverie [13] |
Émile BROSSE | 1921 - 1931 | Puis aumônier de l'Hôtel-Dieu de Beaujeu - Ex curé du Bessat |
- | - | - |
- | - | - |
- | - | - |
Les curés de Béligny [14]
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Jean DODAT | 21 février 1614 - | |
Louis MICHON | 2 mai 1614 - | |
Georges de SURY | 12 avril 1633 - | |
Zacharie NOYEL | 26 juin 1652 - | curé de Béligny en 1652, chanoine de Notre-Dame des Marais, décédé le 5 octobre 1707 |
Jérôme CALLEMARD | 16 février 1656 - | |
François CASTIN | - | |
Louis BOYER | 29 janvier 1714 - | |
Guillaume BERTHOLD | 25 novembre 1734 - | |
Sébastien CHANUS | 8 novembre 1746 - | |
François GAILLET | 13 mars 1750 - | |
Louis GUILLARD | 6 septembre 1769 - 1789 | |
- | - | Période révolutionnaire |
- | - | |
- | - | Béligny est fusionné avec Villefranche depuis 1853 . |
Alphonse BUSSERY | 21 novembre 1940 - | Paroisse nouvelle crée par Monseigneur GERLIER [15] . Une chapelle existe depuis 1928. |
- | - | |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Décès (1843-1852)
- Mariages (1843-1872)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Décès (1913-1932)
- Mariages (1793-1842)
- Mariages (1873-1902)
- Naissances (1843-1892)
- Décès (1873-1892)
- Naissances (1793-1842)
- Mariages (1903-1922)
- Décès (1793-1842)
Documents numérisés
- Publication de mariage (1807-1807)
- Publication de mariage (1821-1821)
- Publication de mariage (1834-1834)
- Publication de mariage (1838-1838)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1837-1837)
- Publication de mariage (1815-1815)
- Publication de mariage (1841-1841)
- Publication de mariage (1907-1907)
- Publication de mariage (1833-1833)
- Publication de mariage (1847-1847)
- Publication de mariage (1912-1912)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1895-1895)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1863-1863)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1876-1876)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1888-1888)
- Publication de mariage - Contient une table annuelle (1890-1890)
- Naissance - Contient une table annuelle (1904-1904)
- Naissance - Contient une table annuelle ,Original de mauvaise qualité (1828-1828)
- Rapports, baux - Me Barnoux - Photos Jacques PRAS (1734-1778)
- Actes divers - Me Barnoux - Photos Jacques PRAS (1751-1777)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h00 à 12h30 | de 08h00 à 12h30 | de 08h00 à 12h30 | de 08h00 à 12h30 | de 08h00 à 12h30 | de 09h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 183 rue de la Paix - 69400 VILLEFRANCHE-SUR-SAÔNE
Tél : 04 74 62 60 00 - Fax : 04 74 60 68 18 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.990278° / 4.720278° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie de la commune de Villefranche-sur-Saône est ouverte aux horaires suivants : Du lundi au vendredi de 8h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00, samedi de 9h00 à 12h00. Source : http://www.villefranche.net/fiche.asp?cat=2&Id=786 (05/2010) |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Association locale
La Société généalogique du Lyonnais et du Beaujolais dispose d'une antenne à Villefranche.
Remarques
Bibliographie
Sur geneanet
La Charte de Villefranche
Trésors cachés de Villefranche sur Saône
La Révolution à Villefranche en Beaujolais
Villefranche-sur-Saône
Autres sources
- Villefranche Capitale du Beaujolais aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle Auteur Daniel ROSETTA
- Regard sur Villefranche sur Saône Auteur : Association pour la promotion de Villefranche
Liens utiles (externes)
- Site Officiel de Villefranche-sur-Saône
- Site de l'Office de Tourisme
- Villefranche sur un site de Tourisme
- Cartes postales anciennes du Rhône
Notes et références
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Mérimée
- ↑ La légion d'honneur Beaujolaise
- ↑ Base Léonore
- ↑ La légion d'honneur Beaujolaise
- ↑ La légion d'honneur Beaujolaise
- ↑ La légion d'honneur Beaujolaise
- ↑ B.N.F
- ↑ Base Léonore
- ↑ 11,0 et 11,1 Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités par l'Abbé VACHET
- ↑ Base Léonore
- ↑ La semaine religieuse du diocèse de Lyon
- ↑ Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités par l'Abbé VACHET
- ↑ La semaine religieuse du diocèse de Lyon