69238 - Saint-Symphorien-sur-Coise
Saint-Symphorien-sur-Coise | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | - |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 69238 |
Code postal | 69590 |
Population | 3 687 habitants (2018) |
Nom des habitants | Les Pelauds |
Superficie | 407 hectares |
Densité | 905.9 hab./km² |
Altitude | Mini: 480 m |
Point culminant | 629 m |
Coordonnées géographiques |
45.633056° / 4.457778° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Anciens noms : Saint-Symphorien-le-Château, Saint-Symphorien-le-Châtel, Chausse-Armée (Révolution)
Par décret du 29 frimaire An II "Saint Symphorien le Château" sera débaptisé et répondra alors du nom de « Chausse-Armée » car de tous temps cette commune de tanneurs et de cordonniers a fourni une quantité considérable de souliers aux armées.
Au temps de l’occupation romaine, c’est dans cette cité que se croisent l’Iter Viennensis (le grand chemin de Vienne à Roanne) et la première voie d’Aquitaine partant de Fourvière pour rejoindre l’Auvergne puis Bordeaux. La création plus au nord d’une nouvelle voie("Cardo maximus") reliant Lugdunum à Feurs et passant par Saint-Laurent-de-Chamousset marquera ensuite la fin de son essor.
Au milieu du VIIIe siècle, à Saint-André-des-Arcs (ancien nom de la ville), une nouvelle église fut construite . Lors de cette édification, la localité fut confiée à Saint-Symphorien, martyr gaulois. Ce changement de vocable de Saint-André à Saint-Symphorien est la conséquence directe du passage des reliques du Saint dans le village et de la légende qui lui est attachée. On raconte que le cortège fut arrêté à l’entrée du village par le mulet chargé des reliques qui refusa d’avancer. Les cloches de l’église Saint-André se mirent alors à sonner d’elles-mêmes. Intrigués, les habitants sortirent voir le cortège et prier devant ce signe divin. Le mulet accepta alors de conduire son précieux fardeau jusqu’à l’église pour que les habitants puissent se recueillir. Suite à cet épisode le village pris le nom de Saint-Symphorien-le-Castel.
Source : SIMOLY
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Rhône
- Arrondissement - 1801-2014 : Lyon --> 2015-2017 : Villefranche-sur-Saône --> 2017-2023 : Lyon
- Canton - 1801-2015 : Saint-Symphorien-sur-Coise --> 2015-2023 : Vaugneray
- Commune - 1801-2023 : Saint-Symphorien-sur-Coise
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Résumé chronologique :
- 1801-.... : Canton de Saint-Symphorien-sur-Coise, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 01/02/2017 : Saint-Symphorien-sur-Coise passe de l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692) à l'arrondissement de Lyon (691).
- 01/01/2015 : Saint-Symphorien-sur-Coise passe de l'arrondissement de Lyon (691) à l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692).
Héraldique
- D'azur au château de trois tours d'or, celle du milieu plus haute, coulissé et maçonné de sable, accompagné de trois fleurs de lys aussi d'or.
Source : Armorial des communes du Département du Rhône, 1963-Dessin de Robert Louis.
Une visite de la ville vous permet de trouver sur les plaques de rue différentes version du blason communal.
Le fichier PDF édité par le Groupe Patrimoine de Saint-Symphorien résume les différentes versions de celui-ci : Fichier pdf
Repères géographiques
Saint-Symphorien-sur-Coise est implantée sur un promontoire granitique qui surplombe au Nord et à l’Ouest la vallée de l’Orzon[1], s’étale en pente douce vers l’Est, et se creuse assez fortement au midi pour atteindre la vallée de la Coise.
Patrimoine bâti
Église Saint-Symphorien

Église collégiale du XVe siècle, édifiée sur un piton rocheux, elle remplaça en 1407 une chapelle romane dédiée à Saint-Symphorien. Elle fut édifiée par la volonté du Cardinal GIRARD qui fut un proche du pape Clément VII.
Compte tenu de l'exiguïté du terrain, la réalisation d'un transept sur cet édifice gothique n'a pas été possible. L'édifice de base s'est transformé au cours des siècles.
La base du clocher est celle de l'église romane, l'église est une église forteresse , une meutrière subsiste à droite du porche.
Sur la face nord, au niveau de l'abside, des modillons qui devaient appartenir à l'église romane primitive ont été réemployés.
Sur les murs de la collégiale, de nombreux blasons sculptés portent les armoiries du Cardinal Girard : "d'Azur à la bande d'argent, à la bordure d'or chargée de quatorze besans de gueule". On retrouve ces armoiries sur les clés de voûte des nefs.
Nef centrale
Elle composait, avec le choeur, l'église d'origine. Les piliers, ainsi que les parois de l'édifice portent de nombreuses signatures des tailleurs de pierre.
Sur le premier pilier de droite, un visage sculté marque l'ancien emplacement de la chaire.
Les clés de voûte de la nef reprennent les armoiries du cardinal GIRARD.
La chaire à prêcher de 1734 est l'oeuvre de Sigismont KERNE, ébéniste à Pont-de-Vaux. Elle est classée aux monuments historiques depuis 1914[2].
Le grand bénitier à droite à été offert au début du XVe siècle par un prêtre originaire de la commune. Celui-ci est classé aux monuments historiques depuis 1908[3]
Abside et Choeur
L'orgue reconstruit en 1934 par la société Rohe-Guironnet, a reçu en 2003 une traction électro-informatique. Dans l'abside le tableau représente le cardinal Girard de LUCIEN BESSON. Il ne sagit pas de tableau original mais d'une copie.
La clé de voûte de l'abside représente Saint-Michel terrassant le dragon.
Autel en marbre polychrome a été installé en 1735.
Sur le pilier gauche, visage moqueur.
Les fresques
Fresque de la fin du XIVe siècle ou début du XVe, restaurée en 1975/76 . A droite, Saint Christophe portant l'enfant Jésus traverse une rivière. A côté, une dame agenouillée prie (Donatrice ?). A gauche, l'archange Saint Michel transperce un démon de sa lance et porte la balance qui pèse les âmes. Au bas esquisses du peintre.
Fresque classée aux monuments historiques [4]
Jusqu'en 1956, ces fresques étaient inconnues car recouvertes d'un enduit de mortier de chaux. C'est le curé Joannès BOBICHON qui incidemment à découvert la fresque détériorée par la construction d'un voûtement gothique qui cache la partie supérieur et par une fenêtre.
Les chapelles
Les chapelles latérales ont été ajoutées à l'église d'origine à partir de 1550. Les familles nobles ou influantes finançaient une chapelle pour accueillir leur sépulture.
Chapelle Sainte Anne
Au dessus de l'entrée, Christ de gloire du début du XVIIIe siècle.
Vitrail de Sainte Catherine et Sainte Cécile signé Félix GAUDIN Clermont-Ferrand.
Chapelle Saint Antoine
Tableau descente de croix de Jules GUICHARD d'après Andréa SARTO - 1843.
Culs de lampe du XVe.
Vitrail de Saint Antoine de Lucien BÉGULE de 1896 offert par la famille d' Antoine PINAY.
Chapelle Saint Symphorien
Chapelle de la famille de Saconay
Statue en pierre de Saint-Symphorien.
Clé de voûte aux armes de la famille de Saconay.
Culs de lampes historiés.
Chapelle Notre Dame de Pitié
Chapelle édifiée au milieu du XIVe siècle par le curé POLIER et les membres de sa famille pour y enterrer leurs morts. Chapelle restaurée en 1964.
Pieté en bois gothique.
Inscription de fondation de la chapelle sur plaque de pierre.
Vitrail de saint Dominique signé DUFÊTRE - Grigny - 1881 dans la baie centrale
Les deux autres vitraux datent de 1977. Celui de Gauche porte les armoiries de la famille de Saint-Symphorien à gauche et des comtes de Lyon à droite.
Chapelle du Sacré Coeur
Chapelle des familles BAIS et TRUNEL.
Clé de voûte armoriée.
Vitrail de Mireille JUTEAU 1998.
Chapelle Saint Jospeh
Fenêtre flanboyante au vitrail de félix GAUDIN - 1890.
Chapelle Sainte-Jeanne d'Arc
Chapelle de la famille Le COURT puis de NOBLET.
Monument aux victimes de la guerre de 1914/1918.
Fonts baptismaux du XIXe siècle.
Classée aux monuments historiques le 20 octobre 1920 [5].
Source[6]
Photos de l'intérieur de la collégiale
Chapelle de l’Hôtel-Dieu
Chapelle située: Avenue de la Libération.
Chapelle édifiée fin du XVIIe siècle ou début du XVIIIe dans le cadre du regroupement de la Maladrerie de Saint-Symphorien-le-Châtel à l’Hôtel-Dieu suite à l’édit du roi Louis XIV de 1662, qui ordonnait de créer un hospice général dans toutes les villes de France.
La chapelle a été resraurée vers 1886 après le leg de 350 000 francs-or plus des terres et bâtiments suite au décès d'Étienne BLANCHON, puis un leg de 100 000 francs par son frère Jean-Marie.
Un restauration fut réalisée vers 1930, lors de l'ouverture de la maternité.
Ce bâtiment faisait partie de l’ensemble constituant le centre hospitalier public de Saint-Symphorien-sur-Coise. L’édifice ne bénéficiant pas d’un entretien suffisant se détériora au fil des ans. En 2010, il fut repris par la municipalité pour un euro symbolique auprès de l'état. La commune fit refaire la toiture pour éviter la ruine. En 2012, une association de sauvegarde se crée. Cette dernière avec l'aide de la Fondation Patrimoine lance une souscription pour la réparation de l'intérieur de l'édifice. Une campagne de restauration a été faite avec l'aide de bénévoles et avec l'abandon des honoraires des architectes pendant les années 2013, 2014 et 2015. L'inauguration officielle eut lieu le 5 mars 2016.
La restauration a mis à jour un plafond entièrement décoré, mais seule la partie centrale a pu être récupérée. La chapelle était placée sous le vocable de la Vierge : le "Salve Régina" y est décliné.
Source[7]
Croix des Pénitents
Les Pénitents Blancs, confrérie fondée en 1627, avaient érigé une chapelle qui fut démolie en 1945 pour cause de vétusté et d’abandon.
Son lieu d’implantation, devenu l’actuelle Place des Pénitents, est indiqué par la croix qui surmontait le portail ogival de cette chapelle.
Les Pénitents Blancs étaient des laïcs recrutés dans les meilleures familles du pays. Ils devaient pratiquer la charité chrétienne sous toutes ses formes, mener une vie digne et pieuse, apporter secours et soins aux malades, assistance aux mourants, présence aux enterrements, etc… .
Source [8].
Fontaine Gouvard
Pendant des siècles, elle fut la seule source d’eau potable et publique du village.
Dans le passé, elle se trouvait hors des murs de la cité et les habitants devaient passer par les ponts-levis des Portes Gouvard et de Chadut pour aller s’y approvisionner. Les attentes devant la source étaient l’occasion pour tous de bavarder longuement.
Source [8].
Couvent des Ursulines
Il a été construit par les Sœurs Ursulines au 18e siècle pour permettre aux religieuses d’assurer l’éducation des fillettes et jeunes filles de la région.
Aujourd’hui, les bâtiments accueillent la Maison des Associations.
Source [8].
Maison curiale
Cette maison fut achetée par la commune au cours du 18e siècle pour y installer la cure.
Les façades ont été remaniées à plusieurs reprises. Elles comportent des éléments d’architecture remarquables. Des traces d’ouvertures en arc en plein cintre et d’anciennes fenêtres à meneaux sont visibles sur la façade donnant sur rue.
Au cours du Moyen-âge, les fenêtres augmentent de taille jusqu’à devenir larges et ouvragées à la Renaissance.
Puis, une contribution portant sur les ouvertures des façades est mise en place. Le nombre des ouvertures devenant un signe extérieur de richesse, certaines fenêtres furent murées au cours du 19e siècle. Beaucoup de façades gardent les traces d’anciennes ouvertures. Cet impôt direct fut supprimé en 1627.
Quant à l’avant toit, largement débordant, il caractérise les maisons urbaines de Saint-Symphorien-sur-Coise du Moyen-Age jusqu’au 19e siècle.
Source [8].
Maison natale de Marie GAVAULT
Dans cette maison est née le 18 août 1737, Marie GAVAULT, grand-mère et marraine d’Alphonse de LAMARTINE. Elle fut l’épouse de Jean-François des ROYS.
Lorsque son époux fut appelé à devenir l’intendant général du duc d’Orléans, Marie le suivit à Paris.
Faisant également son entrée au Palais Royal, elle fut nommée préceptrice du jeune « Louis-Philippe ». Ce dernier est devenu en 1830 le dernier « Roi des Français ».
Source [8].
Maison style Art Nouveau
Située: 12 Boulevard Etienne Blanchon.
Cette maison du XIXe siècle est un exemple de l’architecture style Art Nouveau. Elle fut construite par un dénommé Monsieur Rivoire, riche famille de Saint-Symphorien-sur-Coise qui en avait fait un hôtel-restaurant. Celui-ci fut vendu après la Seconde Guerre Mondiale à la Maison Olida (fabrique de salaison qui y installa son foyer social). Acheté ensuite par la commune, le bâtiment fut finalement vendu à l’institution Champagnat qui y installa un collège.
L'originalité de cette maison réside dans le mariage des matériaux .
Source [8].
Place Antoine PINAY
Elle a été créé en 1989 suite à la démolition d’un atelier des chapelleries « Les Fils de Pinay-Ainé ».
Au fond de cette place, l’immeuble industriel a été construit en 1858, par Antoine PINAY (grand-père de l’illustre homme politique). Première chapellerie installée à Saint-Symphorien-sur-Coise, on y fabriquait des chapeaux de paille.
La stèle au centre de la place a été érigée en hommage à Antoine PINAY, homme politique célèbre, né à Saint-Symphorien-sur-Coise le 30 décembre 1891 et inhumé au cimetière de la commune après son décès survenu le 13 décembre 1994 à Saint-Chamond (Loire).
Ce monument a été créé par Joël VERGNE (Atelier d’Art Urbain - 06 Carros). Il a été inauguré le 4 octobre 2008.
Il rappelle l’homme au travers de son œuvre, à savoir la création du « nouveau franc » le 27 décembre 1958 et sa mise en circulation le 1er janvier 1960 .
Source [8].
Chapelles détruites
- Chapelle des Pénitents Blancs: Située place des pénitents. La chapelle a été vendue comme bien national le 21 juillet 1796 à un prête nom pour le compte d'Antoinette SÉON, ce qui a permit de reprendre ses activités en 1805 et jusqu'en 1853. La commune est devenue propriétaire et y a installé la mairie en 1875 jusqu'en 1936. La chapelle abandonnée est démolie vers 1947. La croix du portail qui avait été déposée a été remise au centre de la place en 2000.
- Chapelle Saint-Antoine probablement montée Ferrachat
- Chapelle de l'enfant Jésus porte Gouvard. probablement disparue en 1822 lors de la démolition de la porte Gouvard.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 780 | 1 574 | 1 752 | 1 853 | 1 790 | 1 936 | 1 675 | 1 704 | 1 849 | 1 920 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 920 | 2 001 | 1 882 | 1 936 | 2 065 | 2 125 | 2 307 | 2 459 | 2 592 | 2 729 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 2 853 | 2 277 | 2 300 | 2 388 | 2 411 | 2 369 | 2 740 | 2 960 | 3 063 | 3 311 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 3 225 | 3 211 | 3 069 | 3 382 | 3 493 | 3 654 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Photographies
Vue générale de Saint-Symphorien-sur-Coise J-P GALICHON
Façade de l'église C. PIEMINOT
Cartes postales
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Henri PETIT | 1815 - 1821 | Une rue porte son nom dans le village |
- | - | - |
- | - | - |
- | - | - |
André MARGOT | 1925 - 1935 | Docteur - (1885-1969) - Une rue porte son nom dans le village |
- | - | - |
Jacques MARTEL | 1945 - 1953 | Notaire |
André LOSTE | 1953 - 1971 | (1901-1972) |
Pierre GRANGE | 1971 - 1989 | - |
Louis VERICEL | 1989 - 2001 | Conseiller Général - (1936-?) |
Roger PEILLON | 2001 - 2014 | Réélu en 2008 - (1947-2018) |
Thomas GASSILLOUD | 2014 - Juillet 2017 | Démission[9] - Député[10] |
Jérôme BANINO | Juillet 2017 - (2026) | Source[11] |
- | - | - |
Cf. : MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Hugues de LAPALUD | - | En 1530[12] |
Martin BAZOU | - | En 1599[12] |
Antoine MARTIN | 20 décembre 1652 - | Nommé Aymé sur le cahier de visite de 1658[12] |
Antoine TOUSSAINT | 1 février 1689 - | Source[12] |
Étienne de FENOYL | 11 mars 1690 - | Source[12] |
Louis de FERRUS | 17 novembre 1696 - | Source[12] |
Claude PAYRE | 28 novembre 1709 - | Source[12] |
Julien PAYRE | 13 juillet 1737 - | Source[12] |
Jean SAUTEMOUCHE | 1758 - 1789 | Peut être avant 1758[12] |
- | - | Période révolutionnaire |
Gabriel Mathieu ROCH | Janvier 1803 - | Source[13] |
Jean Claude Barthélemy PAYET | Avril 1827 - | Curé commis en décembre 1825[13] |
Jean GOURE | Novembre 1857 - | [13] |
Pascal NICOLAS | 1863 - | - |
Antoine Marie RÉGNIER | 1873 - 1907 | (1834 - 1928) |
Jean Marie GRANIER | 20 novembre 1907 - avril 1916 | Chanoine[14] |
Benoit Marie PAVAILLER | 1916 - 1947 | Ex curé de Châtillon - Chanoine - (1867-1947) - Une rue porte son nom |
BAYARD | - | - |
- | - | - |
Joannès BOBICHON | 1952 - 1969 | Curé |
- | - | - |
- | - | - |
- | - | - |
Les titulaires de la Légion d'honneur nés à Belmont-de-la-Loire
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
André Aristide LOSTE | 01/05/1901 | 15/04/1972 | - | |
Benoît Jean Claude LOSTE | 04/10/1832 | 18/10/1900 | - | |
Auguste Marie PERRET | 13/10/1844 | 22/10/1888 | - | |
Paul Eugène Laurent BESSON | 15/11/1935 | 26/12/1959 | Mort pour la France - | |
Jean Marie PINAY | 05/03/1862 | 17/01/1954 | - | |
Pierre François GRANGE | 12/05/1895 | 07/06/1953 | - | |
Antoine Marie ALLIGIER | 17/02/1895 | - | - | |
Pierre BOUILLET | 19/05/1865 | - | - | |
Claude MORETTON | 21/03/1841 | 19/08/1914 | - | |
Jules Louis Ernest PASSAQUAY | 25/07/1858 | - | - | |
Antoine GUICHERAT | 20/06/1794 | 25/01/1880 | - | |
Louis Eugène CEZARD | 27/04/1924 | 16/06/1944 | - | |
Jean Marie CHASSAING | 27/10/1891 | 16/06/1960 | - | |
Antoine Benoît VERICEL | 02/04/1886 | 30/09/1965 | - |
Source: Base Leonore
Monument aux morts

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Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur les Monuments aux Morts ...
Ville de naissance ou de décès de
- Pierre GIRARD, né à Saint-Symphorien-sur-Coise en 1330 et mort le 9 novembre 1415 à Avignon (Vaucluse), pseudo-cardinal français créé par l'antipape d'Avignon Clément VII.
- Antoine PINAY, homme politique, né le 30 décembre 1891, décédé à Saint-Chamond (Loire) le 13 décembre 1994
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1620-1792)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- TEYSSOT Jean Baptiste père cont. de mariage, don., testament. Réalisé par Drutel André. (1755-1755)
- TEYSSOT Jean Baptiste père cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André. (1769-1769)
- PEYRACHON Michel cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1773-1773)
- TEYSSOT Jean Baptiste père cont. de mariage, don., testament. Réalisé par Drutel André. (1750-1750)
- TEYSSOT Jean Bapiste père cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André. (1762-1762)
- PAYRE Benoit cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1713-1713)
- SELION cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1699-1699)
- MARTOURET cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1711-1711)
- REYNAUD Jean Charles cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1724-1724)
- TRUTINIEU Jean cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1667-1667)
- PAYRE Benoit cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1715-1715)
- PAYRE Benoit cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1730-1730)
- Répertoire - Me Delanglade Thomas Joseph (1778-1779)
- MARTOURET cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1713-1713)
- PEYRACHON Michel cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1771-1771)
- FLECHET Jacques cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1736-1736)
- MARTOURET cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1724-1724)
- DELANGLADE Michel Joseph cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1735-1735)
- TRUTINIEU Jean cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1703-1703)
- TRUTINIEU Jean cont. de mariage, don., testament Réalisé par Drutel André (1686-1686)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 9h00 à 12h00 | - ? |
Après-midi | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | - ? | - ? |
Mairie |
Adresse : Place du Marché - 69590 SAINT-SYMPHORIEN-SUR-COISE
Tél : 04 78 44 37 57 - Fax : 04 78 44 37 58 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.633056° / 4.457778° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Site (01/2013) |
Associations d'histoire locale
Consultation des registres en ligne
- L'association Les Genealogistes de la Vallee du Gier ou Geneagier a numérisé les registres et les publie (1590-1895) sur son site Internet [1]
Dépouillements des registres
- L'association Les Genealogistes de la Vallee du Gier ou Geneagier a effectué les relevés et les publie sur son site Internet [2]
Remarques
Bibliographie
Saint-Symphorien-sur-Coise et ses environs
- Chapelles des communes du Rhône - Préinventaire des Monuments et richesses Artistiques 2007 -
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- « Paroisse Sainte Thérèse de l'enfant Jésus des Hauts du Lyonnais » (regroupant les clochers de Aveize, Coise, Duerne, Grézieu le marché, La Chapelle sur Coise, Larajasse, L'Aubépin (Larajasse), Lamure (Larajasse), Meys, Pomeys, Saint André la Côte, Saint-Martin-en-Haut, Saint-Symphorien-sur-Coise et Yzeron)
Notes et références
- ↑ Sandre eau
- ↑ Base Palissy - Chaire à prêcher
- ↑ Base Palissy - Bénitier
- ↑ Base Palissy - Fresque
- ↑ Fiche Mérimée - Saint-Symphorien
- ↑ Fiches patrimoine dans la collégial.
- ↑ Circuit du patrimoine & Patrimoine et histoire de Chazelles-sur-Lyon
- ↑ 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 8,5 et 8,6 Panneau informatif
- ↑ Le Progrès
- ↑ Assemblée Nationale
- ↑ Le Progrès
- ↑ 12,0 12,1 12,2 12,3 12,4 12,5 12,6 12,7 et 12,8 Les paroisses du diocèse de Lyon par l'abbé VACHET - Page 446
- ↑ 13,0 13,1 et 13,2 Les paroisses du diocèse de Lyon par l'abbé VACHET - Page 713
- ↑ Le Coq Pellaud de S T - S Y M - N° 101 - Décembre 2013 - Page 3