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Définitivement désaffectée en 1971 La chapelle est actuellement une salle d’exposition. {{clr}}
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===Chapelle Sainte-Jeanne-d'Arc===
En 1938, une paroissiènne cède à l'association des familles de Beaunant un terrain pour y construire une chapelle ''pour l'amélioration morale de ce quartier un peu difficile des aqueducs'';. L''ancien commerce qui s'y trouvait fut converti provisoirement en chapelle. En 1963, le diocèse se pose la question de la réalisation d'une véritable église dans ce quartier, des plans sont réalisés par J.G. MORTAMET et Ph VIDAL et à partir de 1968 un permis de construire est déposé. Mais dans les années 1970, la pratique religieuse est en baisse et le diocèse renonce a son projet. La chapelle est désacralisée en 2003.


=== La tour Chappe ===
=== La tour Chappe ===

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Sainte-Foy-lès-Lyon
69202 - Blason - Sainte-Foy-lès-Lyon.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 69 - Blason - Rhône.png    Rhône
Métropole Blason Lyon-69123.png   69 M   Métropole de Lyon
Canton 69202 - Blason - Sainte-Foy-lès-Lyon.png   69-50   Sainte-Foy-lès-Lyon (Ancien canton)
Code INSEE 69202
Code postal 69110
Population 21 995 habitants (2016)
Nom des habitants Les fidésiens
Superficie 683 hectares
Densité 3220.35 hab./km²
Altitude Mini: 170 m
Point culminant 322 m
Coordonnées
géographiques
45.733889° / 4.477778° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
69202 - Sainte-Foy-lès-Lyon carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire.png Histoire de la commune

Bref historique

La première mention écrite de Sainte-Foy se trouve sur une charte de 1170. La présence dans le clocher de l'église de panneaux sculptés du Zodiaque, aux images archaïques de la première sculpture romane, confirme son appartenance au XIIe siècle.

Époque Romaine

Sainte Foy est sur la « Voie de Narbonnaise » reliant Lyon à Vienne, Orange et Arles et ensuite Nîmes, Narbonne et l’Espagne ou Marseille , Fréjus et l’Italie. Des traces de cette voie sont encore visibles derrière l’Odéon ».

Une autre voie traversait la commune empruntant le chemin de Chantegrillet permettant d'aller de Lugdunum en direction de Malataverne en passant par Francheville .

L’aqueduc « du Gier » reliant le massif du Pilat à Fourvière traverse la commune. L’Yzeron est franchi à Beaunant par un pont-siphon long de 269 mètres et 7 mètres de large, 17 mètres de haut. Sur les 30 arches de cet ouvrage situés sur la commune 10 sont encore visibles. Une datation archéomagnétique réalisée sur plus d'une centaine de briques du pont-siphon permet de situer la construction de l'ouvrage autour de 40 après JC avec une précision de + ou - 20 ans et fait état d'une restauration possible d'au moins une pile (effondrée ?) 30 ans après.

Cet aqueduc a laissé d'autres arches portant le canal. Ces vestiges aériens sont encore visibles chemin de Narcel et rue Georges Clemenceau. A l'occasion de travaux, le canal de l'aqueduc, qui était essentiellement souterrain, a été observé dans sa traversée du parc du Brûlet où un aménagement permet de le découvrir.

Aucune autre vestige de l’époque romaine n’est visible sur le territoire de la commune.

Le Moyen Age

Au XIIe siècle, Sainte-Foy dépend des Chanoines-comtes de Saint-Just qui possèdent les droits de justice sur leurs territoires. Les moines ont hébergé le pape Innocent IV réfugié politique à Lyon. Le pape fait don en reconnaissance des baronnies de Brignais et de Valsonne.

Vers 1187 , l’abbaye de Saint-Just cède ses droits sur Sainte-Foy au chapitre de Saint-Jean. Une église est alors bâti près de l’emplacement de l’église actuelle. De cet édifice, il ne reste que le clocher. Le troisième étage du clocher fût ajouté en 1890 pour accueillir les cloches.

En 1312 , le Lyonnais et par conséquent Sainte-Foy est rattachée à la couronne de France alors sous la tutelle de Philippe le Bel.

Vers 1356 , les Anglais sont au portes de la paroisse (Guerre de Cent Ans)

De la Renaissance à la Révolution

Durant cette période les principales pestes qui déciment la population sont datées de 1564 , 1572 , 1577 , 1582.

Durant les guerres de religion sous Henri III, la paroisse s’agrandit. Un acte daté de 1576 de Pierre d’EPINAC, archevêque de Lyon cède aux habitants de Oullins et de Sainte-Foy, la propriété qu’il possédait sur les Île Brotteaux et les Saulaies d’Oullins. Ces terres sont recouvertes par le Rhône une partie de l’année mais asséchées en été et donc sont cultivables.

D’autres épidémies sont signalées en 1628 et 1629 et entre 1637 et 1674.

Les famines de 1693 et 1709 ont entraînées une baisse de la démographie sensible chez les moins de vingt ans.

La Révolution

A cette époque Sainte-Foy est une commune rurale ou la viticulture tient une place importante , mais l’élevage permet aussi à la population de vivre. Le tissage de la soie après 1787 est en crise car les mûriers ont gelé au cour de l’hiver. La viticulture est restée importante jusqu’à l’apparition du phylloxéra en 1884. Notons que les dernières vendanges réalisées sur la commune se sont faites vers 1960. En 1793 la commune s'appela Bonnefoy et aussi Montchalier.

De la Révolution à nos jours

A partir de 1835 la commune se développe rapidement grâce à l’essor industriel .

1822 : Construction de « la tour du télégraphe » Chappe sur la ligne « LyonToulon ».

1835 : Le sieur François Durand (traiteur) est autorisé à exploiter une liaison par voiture omnibus à chevaux entre Sainte Foy et Lyon. La Compagnie des Chemin de Fer achète les terrains sur Oullins et Sainte-Foy situés aux « Brotteaux » et « Les Saulaies ».

1834 : Construction d’une mairie-école.

1839 : Le conseil municipal permet la construction d’une « usine à fer ».

Un inventaire des fabriques fait en 1861 dénombre : 20 fours à plâtre, 31 tanneries, 12 fabriques de fonte, 66 fabriques d’articles en acier etc.

Les Chemins de fer et le Rhône ont contribué au « développement industriel » de la commune.

1845 : Fin de la construction du fort de Sainte-Foy, le début de la construction datant de la période révolutionnaire.

1848 : La crise économique provoque l’arrêt de certaines usines.

1885 : Naissance de la La Mulatière.

Un long désaccord entre les deux paroisses et une population du hameau de La Mulatière (1923 hab.) supérieure à celle du bourg de Sainte-Foy (1394) va entraîner une division de la commune. Le 26 juin Jules Grévy, président de la république décrète la scission de Sainte-Foy en 2 communes. (Sainte-Foy-lès-Lyon et La Mulatière).

1893 : Création de l’Hopital-hospice de la commune. Cet établissement fut fondé grâce à la générosité de deux prêtes (les abbés Châtelain et Deshay) qui léguèrent en 1864 et 1871 au conseil de fabrique de la fabrique des fonds. Ceux ci bien placés ont permis la création de l’établissement. L’ancien château de BRÜCK est acquit et aménagé et le 25 mai 1896 l’inauguration à lieu. la partie hôpital comprend quarante lits et la partie hospice douze.

1893 : le premier tramway électrique est inauguré (4 juin) entre Sainte-Foy et Lyon Saint-Just , celui ci est exploité par la SA TSF (Tramway Sainte-Foy). Le premier tramway électrique de Lyon sera mis en service en 1894 seulement.

1894 : Premier éclairage « par ampoule électrique » de la ville.


Histoire administrative

Résumé chronologique :

  • 1801-1973 : Cton de Saint-Genis-Laval, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
  • 1973-1985 : Cton d'Oullins, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
  • 1985-.... : Cton de Sainte-Foy-lès-Lyon, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône

Blason en attente.png Héraldique

Blason de Sainte-Foy-lès-Lyon

Blason dessiné par l'abbé Boulachon en 1888, alors que les armoiries des chanoines de Saint-Just (seigneurs jusqu'à la fin du XIIe siècle) ou celles des chanoines de Saint-Jean (seigneurs du XIIe au XVIIIe siècle) auraient pu être adoptées.

  • "D'azur à la foi d'argent accompagné en chef d'une couronne d'or et en pointe d'une tête de lion du même."


Repère géographique.png Repères géographiques

La commune de Sainte-Foy les Lyon est située sur la rive droite de « l’axe Saône-Rhône » et domine le confluent du Rhône et de la Saône. Le « plateau » de Sainte-Foy situé sur le prolongement sud de la colline de Fourvière est encadré par trois sillons :

La Mulatière au sud, Beaunant à l’ouest et le chemin des prés en limite du 5e arrondissement de Lyon.

La commune est traversée par l’Yseron (affluent du Rhône) dont les crues sont régulières au printemps.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Séminaire Saint-Irénée

En 1900, le projet d'installation d'un nouveau séminaire ce décide. La première pierre est posée le 13 mai 1901. Le séminaire fut construit en 1902-1903 par l'architecte Louis Jean Sainte-Marie-PERRIN co architecte de la basilique de Fourvière. Le séminaire comporte une chapelle éclairée par des vitraux du maître verrier lyonnais Lucin BÉGULE.Le séminaire est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2007.

Chapelle Sainte Marguerite

Chapelle terminée en 1675 et dédiée à Sainte Marguerite d’Antioche, patronne des femmes enceintes. La chapelle fut fermée en 1835 compte tenu de sa vétusté. Elle ne fut réouverte ensuite que de 1842 à 1843 pendant la construction de l'église paroissiale.

Définitivement désaffectée en 1971 La chapelle est actuellement une salle d’exposition.

Chapelle Sainte-Jeanne-d'Arc

En 1938, une paroissiènne cède à l'association des familles de Beaunant un terrain pour y construire une chapelle pour l'amélioration morale de ce quartier un peu difficile des aqueducs;. Lancien commerce qui s'y trouvait fut converti provisoirement en chapelle. En 1963, le diocèse se pose la question de la réalisation d'une véritable église dans ce quartier, des plans sont réalisés par J.G. MORTAMET et Ph VIDAL et à partir de 1968 un permis de construire est déposé. Mais dans les années 1970, la pratique religieuse est en baisse et le diocèse renonce a son projet. La chapelle est désacralisée en 2003.

La tour Chappe

La tour "Chappe" est la seconde station de la ligne "Lyon-Toulon" mise en service en 1822 . Elle est en "correspondance" avec la station de Lyon Saint-Just et le clocher d'Irigny.

La tour a été utilisée jusqu'au 13 mai 1852 date de l'arrivée du télégraphe électrique.

Le mécanisme actuel a été réalisé par les élèves du CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) de Lyon et mis en place en 1995. L’inauguration de celui ci ayant eu lieu le 1er avril 1995.

Inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1987 (22 septembre)[1].


L'église Sainte-Foy

Ancienne église

Les premières citation d'une église remonte à 1170. Cet édifice a subit de nombreuses transformations (reconstruction partielle en 1519, effondrement de la toiture en 1790 et du cœur en 1839) jusqu'à sa démolition presque totale au début du XIXe siècle. De l'église romane , il n'a resté que le clocher jusqu'en 1888.

En ce début du XIXe siècle l'église est devenue trop petite et en 1825 le curé adresse une lettre au conseil de fabrique exprimant les difficultés d’accueil. Le curé ayant discuté de son projet avec l'Archevêque et se sentant conforté dans son projet par les autorités.
Le conseil municipal réuni le 25 octobre 1825 refuse de financer le projet par 112 voix contre 4.
En 1835, le curé DUJAST ouvre un cahier de souscription, en vue de la réalisation d'une église. Le montant des dons s'élèvent à 31000 francs et sont confiés au notaire. Le 28 juillet 1838, une nouvelle délibération à lieu sur l'opportunité de cette construction. Par 19 voix contre 13 le projet est refusé.
La fabrique persiste et en 1838 et 1839, deux projets de l'architecte Fleury GROS seront examinés par le conseil. Après le décès de l'architecte c'est l'architecte Christophe CRÉPET qui propose une nouvelle étude.
Le 30 octobre 1839, le ministre secrétaire d'état aux cultes adopte le projet de CREPET et le préfet informe le maire Félix BON de cette décision. le projet est évalué à 50671 francs et le conseil dispose de 31000 francs.
Le préfet demande au maire d'intervenir dans l'adjudication et celle intervient le 19 janvier 1840. Le préfet autorise le maire à entreprendre les travaux sans l'accord du ministre.. Ce dernier sera délivré le 6 mai 1840.
La première pierre de l'église actuelle fut posée le 9 août 1840 par l'archevêque de Lyon sans la présence du maire celui ci ayant décliné l'invitation.
A la fin de la mise en place de la toiture de la nef, dans la nuit du 14 au 15 novembre 1841 la nef s'écroule. Le chantier et stoppé et un comité d'expert est nommé. Le préfet autorise en mars 1842 le conseil de fabrique à poursuivre en justice l'architecte et les entrepreneurs. Mais le procès ne se déroulera jamais car le 5 avril ces derniers décident de prendre à leur charge les conséquences du sinistre. La construction peut reprendre et le procès verbal de réception provisoire est signé le 8 Juin 1843.
Le coût final est de 105155 francs au lieu des 50671 prévus...
Le Cardinal Louis-Jacques-Maurice de BONALD , archevêque de Lyon, bénit la nouvelle église le 11 juin 1843 soit trois jours seulement après la réception provisoire.
Mais dès 1844 les conséquences des économies faites à la construction se manifeste et l'édifice devra périodiquement subir des travaux de renforcement.

En 1888, le conseil de Fabrique décide de transformer le clocher c'est l'architecte Édouard BISSUEL qui est chargé de cette modification et l'inauguration de celui ci eu lieu en 1890. Le financement de cette transformation est assuré par les offrandes des paroissiens. Le montant de cette restauration/transformation aura été de 32600 francs.
L'ancien clocher roman a été conservé lors de la reconstruction et concerne les deux premiers étages de l'actuel clocher. L'étage intermédiaire recevant l'horloge et le troisième étage portant deux paires de baies géminées ainsi que la flèche pyramidale constituent la partie ajoutée.
Le clocher est équipé de cinq cloches:

"Alexandrine" 780 kg coulée par BURDIN fils de Lyon en 1853;
"Antoinette" 464 kg coulée par BURDIN en 1845;
"Catherine" 550 kg coulée en 1884 par BURDIN en remplacement d'une cloche plus ancienne fêlée ;
"Caroline Marguerite" 290 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER de l'Hérault;
"Marie-Thérèse-Joséphine" 220 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER.

Ces deux dernière furent baptisées par le cardinal MAURIN le 18 octobre 1936.

L'église est suivant un plan basilical avec trois nefs de cinq travées. Les nefs sont voûtées en berceau au centre, en arête sur les bas-côtés. Le transept est "non débordant", il est suivi d'une travée de chœur et d'une abside centrale, flanquée de deux absidiales, toutes trois en cul de four. Les nefs reposent sur des colonnes toscanes maçonnées, peintes en faux-marbre. Une coupole sur pendentifs surmonte la croisée du transept, elle repose sur quatre piliers cruciformes.

L'orgue est des ateliers de MERKLIN et KUHN, il date de 1922 et il fut relevé et adapté en 1975.

Les vitraux des bas-côtés sont à motifs floraux. Les trois grands vitraux de l'abside, placés en 1948, sont dus à Jean COQUET, maître-verrier fidésien. Ils représentent, de part et d'autre d'une Crucifixion centrale, Sainte Marguerite de Hongrie à gauche, Sainte Foy à droite. Le vitrail de la chapelle de la Vierge, dû à BRUN-BASTENAIRE, date de 1844. Il représente la généalogie du Christ. Il est inscrit à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques Base Palissy depuis 1986.


L'église Saint-Luc

Église située : 4 bis place St Luc
Le principe de la création d'une nouvelle paroisse par l'archevêque date du 21 janvier 1958. Paroisse créée effectivement en janvier 1962 sur les communes de Sainte-Foy-les-Lyon et Lyon 5e dans le nouveau quartier de "Grange-Bruyères".
Un terrain fut cédé gratuitement le 4 janvier 1963 à l'association diocésaine sous réserve de l'obtention des autorisations administratives par la SCI "Les Bruyères" qui réalisait le nouveau quartier.
L'autorisation préfectorale fut délivrée le 26 août 1963 et les actes notariés furent rédigés le 24 octobre 1963 Le diocèse désigne l'architecte Lyonnais Joseph BACONNIER (auteur de Saint-Marie de la Guillotière) pour mener à bien ce projet.
Le curée en charge de cette nouvelle paroisse est Jean PLAQUET qui sera en charge de constituer une équipe pour assurer la construction d'un nouveau lieu de culte.
L'église sera construite d'octobre 1964 à Noël 1966, date où est célébré le premier office. La bénédiction de l'église ayant eu le 3 octobre 1965.
L'église ne sera achevée qu'en 1968, les cloches installées en 1977 et l'orgue en 1978.

Les curés de Saint-Luc

Prénom(s) NOM Période Observations
Jean PLAQUET 1962- 1991 -  
Michel DESVIGNES 1991-1993 -  
Georges FRITSCH 1993-1995 (1933-2013) - Nouvelle organisation des paroisses  

L'église Sainte-Thérèse


Église située au 105, rue Commandant Charcot.
La paroisse de Sainte Thérèse la Plaine a été fondée par le Père Antoine MAGAT qui est nommé à Sainte-Foy-lès-Lyon le 10 Novembre 1935. Le 29 Mars 1936 création d'une Société Immobilière qui deviendra propriétaire en mai 1936 du terrain de 1,1 hectares situé au 105 rue Cdt Charcot .

La construction définitive débutera en Mai 1948, la couverture sera achevée en Juillet 1949. Les travaux seront arrêtés pendant trois ans. Le premier office aura lieu pour pâques en Avril 1953, puis les messes deviendront régulières à partir de Juin 1953. Peintures intérieures réalisées pendant l'été 1982.
Architecte : Charles VIAL.

Les curés de Sainte-Thérèse

Prénom(s) NOM Période Observations
Antoine MAGAT 1935 - 1970 -  
- - -  

Pagode Thiên Minh

Portail -
Photo J-P GALICHON

Temple bouddhiste appartenant à la communauté vietnamienne situé: 51 Rue de Cuzieu .

La construction de la Pagode Thiện Minh dura près de six ans d'avril 1984 à 1990.
Un premier terrain fut acquis le 23 décembre 1982 par l'association et la pose de la première pierre se déroula le 18 décembre 1983. la statue de Bouddha de Villeurbanne fût transférée à la nouvelle pagode de Sainte-Foy-lès-Lyon durant l'été 1984 et l'inauguration de ce transfert eu lieu le 1er novembre 1984.
En 1989, une statue en bronze de Bouddha haut de 2m20 et revêtue de feuilles d’or fut offerte par une famille thaïlandaise.
Les 4, 5 et 6 mai 1990, la Pagode Thiện Minh fut officiellement inaugurée lors d'une grande cérémonie d'ordination de jeunes moines.
Afin d’agrandir la Pagode, une parcelle de terre de 1968m2 fût acquise le 13 Mai 1992 permettant la réalisation d'un parking. Une autre acquisition de terrain de 641m2 permit d'ériger, en 1995, une statue en pierre taillée de la déesse "Avalokiteśvara". Cette statue revêtue de feuilles d'or et pesant plus de dix tonnes et mesurant 6m est l’œuvre du grand sculpteur-architecte français GOUVAIN. [2]
À l'automne 2000, le jardin Lumbini symbolisant la naissance du prince "Siddhārtha Gautama" et la statue représentant le Bouddha Çâkyamuni couché ont été inaugurés.
Enfin, durant l'été 2001, le grand portique de la Pagode, entrée officielle du lieu de culte.
Dans la nuit du samedi au dimanche 18 juin 2006, un incendie ravagea l'édifice, détruisant complètement sa toiture.
La première pierre de la reconstruction de la pagode fut posée le 29 octobre 2006 .
Les 29, 30 et 31 août 2008, les nouvelles statues furent inaugurées lors d'une cérémonie officielle. À l'été 2009, des fresques colorées illustrant la vie de Bouddha furent scellés à l'extérieur de l'édifice. Les 3, 4 et 5 juin 2011 la nouvelle pagode fut inaugurée après cinq années de travaux.

La mairie

Maison construite en 1882 par l'architecte Henri de Champ.

Aqueduc romain du Gier

L'aqueduc du Gier traverse toute la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon du sud-ouest au lieu-dit Beaunant, au nord-est dans le quartier du Petit Sainte-Foy, sur une longueur de 4 170 m, et franchi la vallée de l'Yzeron par 72 arches dont certaines sont conservées.

Fort militaire de Sainte Foy

Le fort de Sainte-Foy fait partie du système de forts dit de la petite ceinture de Lyon. Le but de ce fort était d’assurer la défense de Lyon contre un ennemi venant de l’Ouest ou du Sud, et d’avoir des vues dominantes sur la ville depuis le confluent des fleuves jusqu’à Bellecour.

Autres chapelles

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Cartes postales

Photos

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

  • Marcel Augustin Férréol ACHARD , dramaturge et écrivain français (membre de l'académie française depuis le 28 mai 1959) sous le nom de Marcel ACHARD, né le 5 juillet 1899, décédé à Paris le 4 septembre 1974
  • Alexis CAREL (docteur)de son vrai nom Marie Joseph Auguste CARREL-BILLIARD, chirurgien, biologiste et neuro-physiologiste français né à Sainte-Foy-lès-Lyon le 28 juin 1873 et mort à Paris le 5 novembre 1944.
  • Patrice DARD, écrivain né le 9 juillet 1944
  • Isabelle PATISSIER, alpiniste née le 1er mars 1967
  • Éric Emmanuel SCHMITT, écrivain réalisateur né le 28 mars 1960

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 044 2 110 1 697 2 016 2 312 2 808 2 737 3 120 3 127 4 114
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 4 462 5 042 4 668 5 118 5 732 3 105 2 907 2 914 3 106 3 147
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 3 358 3 782 4 505 5 074 5 335 6 270 7 290 9 592 16 583 21 698
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 21 521 21 450 21 193 22 208 21 585 21 995 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
François DELORME 1790 - Premier maire  
François DEPIERRE 1791 - 1793  
Simon LA COMBE 1793 -  
SALIGNAC 1794 -  
- -  
JAQUI 1800 - Maire provisoire  
 ? 1801 - 1802  
Antoine SAGET 1803 - 1813  
Charles RAMBAUD-BROSSE 1813 - 1823  
Louis VALIOUD 1823 - 1823 Intérim  
REY-MONLÉAU 1823 - 1830  
Pierre GIRERD 1830 - 1835 Décès  
Claude PINTUREL 1835 - 1837  
Félix BON 1837 - 1861  
Louis VALIOUD 1861 - 1875 décès[3]  
Joseph RICARD 1876 - 1877  
Louis DEBOLO 1878 - 1881  
Jean-Louis JAQUIER 1881 - 1884  
Louis DEBOLO 1884 - 1885  
Léon MICHON du MARAIS 1885 - 1917 Décès  
François MILLOU 1917 - 1920  
Xavier RICARD 1920 - 1938 Décès  
Henri GIRAUD 1938 - 1940  
Laurent PAUL 1940 - 1944  
Adrien REPLUMAZ 1944 - 1947  
Maurice JARROSSON 1947 - 1965  
Raymond BARLET 1965 - 1977  
Maurice MOULIN 1977 - 1983  
Jean SALLES 1983 - 1995  
Michel CHAPAS 1995 - 2014 Réélu en 2001 ; 2008  
Véronique SARSELLI 2014 - (2020)  
- -  

Cfr: Mairegenweb

Les notaires

Notaires de Sainte-Foy dont les minutes sont déposés à la Chambre des Notaires de Lyon.

Prénom(s) NOM Période Observations
DRIVON 1698 - 1723  
FAUCHEUX 1753 - 1775  
DELABAT 1777 - 1779  

Notaires de Sainte-Foy dont les actes sont déposés à l'étude de Maitre GIRAUD.

Prénom(s) NOM Période Observations
Hugues PIVOT 1737 - 1760  
FABRY 1762 - 1767  
Louis MARTIN 1767 - 1788  
Jean-Prudent MERLE 1788 - 1820  
Jean-Claude PINTUREL 1820 - 1854  
Jacques JANTET 1854 - 1869  
Hyacinthe DEPARDON 1869 - 1883  
Louis PERRIN 1883 - 1893  
Henry-Marie GIRAUD 1893 - 1928  
Michel GIRAUD 1928 - 1960  
Paul SAINT-PIERRE 1960 -  
- -  


Les curés de Sainte-Foy

Prénom(s) NOM Période Observations
 
Blaize GLEIZE  
Pierre de LA CROIX 17 Août 1633  
Joseph de ST MARTIN 1 Juin 1675  
Benoît Baron (ou Barou) -  
Claude LEBE 13 Mai 1701  
Louis BOYER 10 Novembre 1733  
Pierre LARRIVÉE 18 Mai 1762  
Antoine FRANCHET 30 Mars 1787-1789  
André RICHARD Février 1803 - Auparavant missionnaire  
Benoît ALUMBERT Juin 1810 - 1818 Puis curé de Saint-Pierre à Lyon  
Benoit DELANDINE Juillet 1818 -  
Jean Louis TARPIN 1824 - 1833 Signale la nécessité d'une nouvelle église  
Antoine DURJAST 1834 - 1840 Pose de la première pierre de l'église - Ou DUJAST  
Antoine CHATELAIN Juillet 1841 - 1858  
Claude PENET Octobre 1858 -  
Antoine CARIOT Juin 1872 - 1882 Savant botaniste ayant publié des ouvrages  
Alexis BOULACHON Mars 1882 - 1889  
Etienne DALÉRY Mars 1889 - 1900  
Alphonse SACHET 1900 - 1906 (1848 - 1924) - Ex supérieur du Petit-Séminaire de Montbrison  
Louis PICARD - 1919 Puis chanoine titulaire de la cathédrale  
François COLIN 1919 - 1930 Puis chapelain de Notre-Dame de Fourvière - Ex curé de Saint-Vincent de Paul  
Marius MUGUET 1930 - Ex curé de Duerne  
 
 
Georges FRITSCH 1995 - 2003  
 


Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin de 08h30 à 12h00 de 08h30 à 12h00 de 08h30 à 12h00 de 08h30 à 12h00 de 08h30 à 12h00 de 9h à 11h50 * -
Après-midi de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 - -
69202 - Sainte-Foy-lès-Lyon Mairie jardin.jpg

Mairie
Adresse : 10, rue Deshay - 69110 Sainte Foy-lès-Lyon

Tél : 04 72 32 59 00 - Fax : 04 72 32 59 49

Courriel : Contact

Site internet :

GPS : 45.734722°° / 4.803333°° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire : La mairie de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon est ouverte aux horaires suivants : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h00 à 17h, samedi de 9h à 11h50 (service état-civil, uniquement).

Source : Site (01/2009)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Sainte-Foy-lès-Lyon - Histoire - Fidésources : ISBN 2 9504022-0-8.
  • Les paroisses du diocèses de Lyon par l'abbé Adolphe Vachet, Editeur : Abbaye de Lerins, Imprimeur : M. Bernard (Lérins) Edition 1889 - Bibliothèque Gallica
  • Autour du clocher Association "La Fontanière" revue N°4 décembre 1996.

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