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Version du 13 février 2017 à 13:08
Sainte-Foy-lès-Lyon | |
---|---|
Informations | |
Pays | France |
Département | Rhône |
Métropole | 69 M Métropole de Lyon |
Canton | 69-50 Sainte-Foy-lès-Lyon (Ancien canton) |
Code INSEE | 69202 |
Code postal | 69110 |
Population | 22 208 habitants (2006) |
Nom des habitants | Les fidésiens |
Superficie | 683 hectares |
Densité | 3251.54 hab./km² |
Altitude | 170 m / 322 m |
Point culminant | 322 m |
Coordonnées géographiques |
45.734722° / 4.803333° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Bref historique
La première mention écrite de Sainte-Foy se trouve sur une charte de 1170. La présence dans le clocher de l'église de panneaux sculptés du Zodiaque, aux images archaïques de la première sculpture romane, confirme son appartenance au XIIe siècle.
Époque Romaine
Sainte Foy est sur la « Voie de Narbonnaise » reliant Lyon à Vienne, Orange et Arles et ensuite Nîmes, Narbonne et l’Espagne ou Marseille , Fréjus et l’Italie. Des traces de cette voie sont encore visibles derrière l’Odéon ».
Une autre voie traversait la commune empruntant le chemin de Chantegrillet permettant d'aller de Lugdunum en direction de Malataverne en passant par Francheville .
L’aqueduc « du Gier » reliant le massif du Pilat à Fourvière traverse la commune. L’Yzeron est franchi à Beaunant par un pont-siphon long de 269 mètres et 7 mètres de large, 17 mètres de haut. Sur les 30 arches de cet ouvrage situés sur la commune 10 sont encore visibles. Une datation archéomagnétique réalisée sur plus d'une centaine de briques du pont-siphon permet de situer la construction de l'ouvrage autour de 40 après JC avec une précision de + ou - 20 ans et fait état d'une restauration possible d'au moins une pile (effondrée ?) 30 ans après.
Cet aqueduc a laissé d'autres arches portant le canal. Ces vestiges aériens sont encore visibles chemin de Narcel et rue Georges Clemenceau. A l'occasion de travaux, le canal de l'aqueduc, qui était essentiellement souterrain, a été observé dans sa traversée du parc du Brûlet où un aménagement permet de le découvrir.
Aucune autre vestige de l’époque romaine n’est visible sur le territoire de la commune.
Le Moyen Age
Au XIIe siècle, Sainte-Foy dépend des Chanoines-comtes de Saint-Just qui possèdent les droits de justice sur leurs territoires. Les moines ont hébergé le pape Innocent IV réfugié politique à Lyon. Le pape fait don en reconnaissance des baronnies de Brignais et de Valsonne.
Vers 1187 , l’abbaye de Saint-Just cède ses droits sur Sainte-Foy au chapitre de Saint-Jean. Une église est alors bâti près de l’emplacement de l’église actuelle. De cet édifice, il ne reste que le clocher. Le troisième étage du clocher fût ajouté en 1890 pour accueillir les cloches.
En 1312 , le Lyonnais et par conséquent Sainte-Foy est rattachée à la couronne de France alors sous la tutelle de Philippe le Bel.
Vers 1356 , les Anglais sont au portes de la paroisse (Guerre de Cent Ans)
De la Renaissance à la Révolution
Durant cette période les principales pestes qui déciment la population sont datées de 1564 , 1572 , 1577 , 1582.
Durant les guerres de religion sous Henri III, la paroisse s’agrandit. Un acte daté de 1576 de Pierre d’EPINAC, archevêque de Lyon cède aux habitants de Oullins et de Sainte-Foy, la propriété qu’il possédait sur les Île Brotteaux et les Saulaies d’Oullins. Ces terres sont recouvertes par le Rhône une partie de l’année mais asséchées en été et donc sont cultivables.
D’autres épidémies sont signalées en 1628 et 1629 et entre 1637 et 1674.
Les famines de 1693 et 1709 ont entraînées une baisse de la démographie sensible chez les moins de vingt ans.
La Révolution
A cette époque Sainte-Foy est une commune rurale ou la viticulture tient une place importante , mais l’élevage permet aussi à la population de vivre. Le tissage de la soie après 1787 est en crise car les mûriers ont gelé au cour de l’hiver. La viticulture est restée importante jusqu’à l’apparition du phylloxéra en 1884. Notons que les dernières vendanges réalisées sur la commune se sont faites vers 1960. En 1793 la commune s'appela Bonnefoy et aussi Montchalier.
De la Révolution à nos jours
A partir de 1835 la commune se développe rapidement grâce à l’essor industriel .
1822 : Construction de « la tour du télégraphe » Chappe sur la ligne « Lyon – Toulon ».
1835 : Le sieur François Durand (traiteur) est autorisé à exploiter une liaison par voiture omnibus à chevaux entre Sainte Foy et Lyon. La Compagnie des Chemin de Fer achète les terrains sur Oullins et Sainte-Foy situés aux « Brotteaux » et « Les Saulaies ».
1834 : Construction d’une mairie-école.
1839 : Le conseil municipal permet la construction d’une « usine à fer ».
Un inventaire des fabriques fait en 1861 dénombre : 20 fours à plâtre, 31 tanneries, 12 fabriques de fonte, 66 fabriques d’articles en acier etc.
Les Chemins de fer et le Rhône ont contribué au « développement industriel » de la commune.
1845 : Fin de la construction du fort de Sainte-Foy, le début de la construction datant de la période révolutionnaire.
1848 : La crise économique provoque l’arrêt de certaines usines.
1885 : Naissance de la La Mulatière.
Un long désaccord entre les deux paroisses et une population du hameau de La Mulatière (1923 hab.) supérieure à celle du bourg de Sainte-Foy (1394) va entraîner une division de la commune. Le 26 juin Jules Grévy, président de la république décrète la scission de Sainte-Foy en 2 communes. (Sainte-Foy-lès-Lyon et La Mulatière).
1893 : Création de l’Hopital-hospice de la commune. Cet établissement fut fondé grâce à la générosité de deux prêtes (les abbés Châtelain et Deshay) qui léguèrent en 1864 et 1871 au conseil de fabrique de la fabrique des fonds. Ceux ci bien placés ont permis la création de l’établissement. L’ancien château de BRÜCK est acquit et aménagé et le 25 mai 1896 l’inauguration à lieu. la partie hôpital comprend quarante lits et la partie hospice douze.
1893 : le premier tramway électrique est inauguré (4 juin) entre Sainte-Foy et Lyon Saint-Just , celui ci est exploité par la SA TSF (Tramway Sainte-Foy). Le premier tramway électrique de Lyon sera mis en service en 1894 seulement.
1894 : Premier éclairage « par ampoule électrique » de la ville.
Histoire administrative
- Département - 1801-.... : Rhône
- Arrondissement - 1801-.... : Lyon
- Canton - 1801-1973 : Saint-Genis-Laval ---> 1973-1985 : Oullins ---> 1985-.... : Sainte-Foy-lès-Lyon
Résumé chronologique :
- 1801-1973 : Cton de Saint-Genis-Laval, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 1973-1985 : Cton d'Oullins, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 1985-.... : Cton de Sainte-Foy-lès-Lyon, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
Héraldique
Blason dessiné par l'abbé Boulachon en 1888, alors que les armoiries des chanoines de Saint-Just (seigneurs jusqu'à la fin du XIIe siècle) ou celles des chanoines de Saint-Jean (seigneurs du XIIe au XVIIIe siècle) auraient pu être adoptées.
- "D'azur à la foi d'argent accompagné en chef d'une couronne d'or et en pointe d'une tête de lion du même."
Repères géographiques
La commune de Sainte-Foy les Lyon est située sur la rive droite de « l’axe Saône-Rhône » et domine le confluent du Rhône et de la Saône. Le « plateau » de Sainte-Foy situé sur le prolongement sud de la colline de Fourvière est encadré par trois sillons :
La Mulatière au sud, Beaunant à l’ouest et le chemin des prés en limite du 5e arrondissement de Lyon.
La commune est traversée par l’Yseron (affluent du Rhône) dont les crues sont régulières au printemps.
Patrimoine bâti
Séminaire Saint-Irénée
En 1900, le projet d'installation d'un nouveau séminaire ce décide. La première pierre est posée le 13 mai 1901. Le séminaire fut construit en 1902-1903 par l'architecte Sainte-Marie-PERRIN co architecte de la basilique de Fourvière. Le séminaire comporte une chapelle éclairée par des vitraux du maître verrier lyonnais Lucin BÉGULE.Le séminaire est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2007.
Chapelle Sainte Marguerite
Chapelle terminée en 1675 et dédiée à Sainte Marguerite d’Antioche, patronne des femmes enceintes. La chapelle fut fermée en 1835 compte tenu de sa vétusté. Elle ne fut réouverte ensuite que de 1842 à 1843 pendant la construction de l'église paroissiale.
Définitivement désaffectée en 1971 La chapelle est actuellement une salle d’exposition.
La tour Chappe
La tour "Chappe" est la seconde station de la ligne "Lyon-Toulon" mise en service en 1822 . Elle est en "correspondance" avec la station de Lyon Saint-Just et le clocher d'Irigny.
La tour a été utilisée jusqu'au 13 mai 1852 date de l'arrivée du télégraphe électrique.
Le mécanisme actuel a été réalisé par les élèves du CNAM (Conservatoire National des Arts et Métiers) de Lyon et mis en place en 1995. L’inauguration de celui ci ayant eu lieu le 1er avril 1995.
Inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques en 1987 (22 septembre)[1].
L'église Sainte-Foy
Les premières citation d'une église remonte à 1170. Cet édifice a subit de nombreuses transformations (reconstruction partielle en 1519, effondrement de la toiture en 1790 et du cœur en 1839) jusqu'à sa démolition presque totale au début du XIXe siècle. De l'église romane , il n'a resté que le clocher jusqu'en 1888.
En ce début du XIXe siècle l'église est devenue trop petite et en 1825 le curé adresse une lettre au conseil de fabrique exprimant les difficultés d’accueil. Le curé ayant discuté de son projet avec l'Archevêque et se sentant conforté dans son projet par les autorités.
Le conseil municipal réuni le 25 octobre 1825 refuse de financer le projet par 112 voix contre 4.
En 1835, le curé DUJAST ouvre un cahier de souscription, en vue de la réalisation d'une église. Le montant des dons s'élèvent à 31000 francs et sont confiés au notaire. Le 28 juillet 1838, une nouvelle délibération à lieu sur l'opportunité de cette construction. Par 19 voix contre 13 le projet est refusé.
La fabrique persiste et en 1838 et 1839, deux projets de l'architecte Fleury GROS seront examinés par le conseil. Après le décès de l'architecte c'est l'architecte Christophe CRÉPET qui propose une nouvelle étude.
Le 30 octobre 1839, le ministre secrétaire d'état aux cultes adopte le projet de CREPET et le préfet informe le maire Félix BON de cette décision. le projet est évalué à 50671 francs et le conseil dispose de 31000 francs.
Le préfet demande au maire d'intervenir dans l'adjudication et celle intervient le 19 janvier 1840. Le préfet autorise le maire à entreprendre les travaux sans l'accord du ministre.. Ce dernier sera délivré le 6 mai 1840.
La première pierre de l'église actuelle fut posée le 9 août 1840 par l'archevêque de Lyon sans la présence du maire celui ci ayant décliné l'invitation.
A la fin de la mise en place de la toiture de la nef, dans la nuit du 14 au 15 novembre 1841 la nef s'écroule. Le chantier et stoppé et un comité d'expert est nommé. Le préfet autorise en mars 1842 le conseil de fabrique à poursuivre en justice l'architecte et les entrepreneurs. Mais le procès ne se déroulera jamais car le 5 avril ces derniers décident de prendre à leur charge les conséquences du sinistre. La construction peut reprendre et le procès verbal de réception provisoire est signé le 8 Juin 1843.
Le coût final est de 105155 francs au lieu des 50671 prévus...
Le Cardinal Louis-Jacques-Maurice de BONALD , archevêque de Lyon, bénit la nouvelle église le 11 juin 1843 soit trois jours seulement après la réception provisoire.
Mais dès 1844 les conséquences des économies faites à la construction se manifeste et l'édifice devra périodiquement subir des travaux de renforcement.
En 1888, le conseil de Fabrique décide de transformer le clocher c'est l'architecte Édouard BISSUEL qui est chargé de cette modification et l'inauguration de celui ci eu lieu en 1890.
Le financement de cette transformation est assuré par les offrandes des paroissiens. Le montant de cette restauration/transformation aura été de 32600 francs.
L'ancien clocher roman a été conservé lors de la reconstruction et concerne les deux premiers étages de l'actuel clocher. L'étage intermédiaire recevant l'horloge et le troisième étage portant deux paires de baies géminées ainsi que la flèche pyramidale constituent la partie ajoutée.
Le clocher est équipé de cinq cloches:
- "Alexandrine" 780 kg coulée par BURDIN fils de Lyon en 1853;
- "Antoinette" 464 kg coulée par BURDIN en 1845;
- "Catherine" 550 kg coulée en 1884 par BURDIN en remplacement d'une cloche plus ancienne fêlée ;
- "Caroline Marguerite" 290 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER de l'Hérault;
- "Marie-Thérèse-Joséphine" 220 kg coulée en 1936 par Joseph GRANIER.
Ces deux dernière furent baptisées par le cardinal MAURIN le 18 octobre 1936.
L'église Saint-Luc
Église située : 4 bis place St Luc
Le principe de la création d'une nouvelle paroisse par l'archevêque date du 21 janvier 1958.
Paroisse créée effectivement en janvier 1962 sur les communes de Sainte-Foy-les-Lyon et Lyon 5e dans le nouveau quartier de "Grange-Bruyères".
Un terrain fut cédé gratuitement le 4 janvier 1963 à l'association diocésaine sous réserve de l'obtention des autorisations administratives par la SCI "Les Bruyères" qui réalisait le nouveau quartier.
L'autorisation préfectorale fut délivrée le 26 août 1963 et les actes notariés furent rédigés le 24 octobre 1963
Le diocèse désigne l'architecte Lyonnais Joseph BACONNIER (auteur de Saint-Marie de la Guillotière) pour mener à bien ce projet.
Le curée en charge de cette nouvelle paroisse est Jean PLAQUET qui sera en charge de constituer une équipe pour assurer la construction d'un nouveau lieu de culte.
L'église sera construite d'octobre 1964 à Noël 1966, date où est célébré le premier office. La bénédiction de l'église ayant eu le 3 octobre 1965.
L'église ne sera achevée qu'en 1968, les cloches installées en 1977 et l'orgue en 1978.
Les curés de Saint-Luc
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean PLAQUET | 1962- 1991 | - |
Michel DESVIGNES | 1991-1993 | - |
Georges FRITSCH | 1993-1995 | (1933-2013) - Nouvelle organisation des paroisses |
L'église Sainte-Thérèse
Église située au 105, rue Commandant Charcot.
La paroisse de Sainte Thérèse la Plaine a été fondée par le Père Antoine MAGAT qui est nommé à Sainte-Foy-lès-Lyon le 10 Novembre 1935. Le 29 Mars 1936 création d'une Société Immobilière qui deviendra propriétaire en mai 21936 du terrain de 1,1 hectares situé au 105 rue Cdt Charcot .
La construction définitive débutera en Mai 1948, la couverture sera achevée en Juillet 1949. Les travaux seront arrêtés pendant trois ans. Le premier office aura lieu pour pâques en Avril 1953, puis les messes deviendront régulières à partir de Juin 1953. Peintures intérieures réalisées pendant l'été 1982.
Les curés de Sainte-Thérèse
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Antoine MAGAT | 1935 - 1970 | - |
- | - | - |
Pagode Thiên Minh
Temple bouddhiste appartenant à la communauté vietnamienne situé: 51 Rue de Cuzieu .
La construction de la Pagode Thiện Minh dura près de six ans d'avril 1984 à 1990.
Un premier terrain fut acquis le 23 décembre 1982 par l'association et la pose de la première pierre se déroula le 18 décembre 1983. la statue de Bouddha de Villeurbanne fût transférée à la nouvelle pagode de Sainte-Foy-lès-Lyon durant l'été 1984 et l'inauguration de ce transfert eu lieu le 1er novembre 1984.
En 1989, une statue en bronze de Bouddha haut de 2m20 et revêtue de feuilles d’or fut offerte par une famille thaïlandaise.
Les 4, 5 et 6 mai 1990, la Pagode Thiện Minh fut officiellement inaugurée lors d'une grande cérémonie d'ordination de jeunes moines.
Afin d’agrandir la Pagode, une parcelle de terre de 1968m2 fût acquise le 13 Mai 1992 permettant la réalisation d'un parking. Une autre acquisition de terrain de 641m2 permit d'ériger, en 1995, une statue en pierre taillée de la déesse "Avalokiteśvara". Cette statue revêtue de feuilles d'or et pesant plus de dix tonnes et mesurant 6m est l’œuvre du grand sculpteur-architecte français GOUVAIN. [2]
À l'automne 2000, le jardin Lumbini symbolisant la naissance du prince "Siddhārtha Gautama" et la statue représentant le Bouddha Çâkyamuni couché ont été inaugurés.
Enfin, durant l'été 2001, le grand portique de la Pagode, entrée officielle du lieu de culte.
Dans la nuit du samedi au dimanche 18 juin 2006, un incendie ravagea l'édifice, détruisant complètement sa toiture.
La première pierre de la reconstruction de la pagode fut posée le 29 octobre 2006 .
Les 29, 30 et 31 août 2008, les nouvelles statues furent inaugurées lors d'une cérémonie officielle. À l'été 2009, des fresques colorées illustrant la vie de Bouddha furent scellés à l'extérieur de l'édifice. Les 3, 4 et 5 juin 2011 la nouvelle pagode fut inaugurée après cinq années de travaux.
La mairie
Maison construite en 1882 par l'architecte Henri de Champ.
Aqueduc romain du Gier
Fort militaire de Sainte Foy
Le fort de Sainte-Foy fait partie du système de forts dit de la petite ceinture de Lyon. Le but de ce fort était d’assurer la défense de Lyon contre un ennemi venant de l’Ouest ou du Sud, et d’avoir des vues dominantes sur la ville depuis le confluent des fleuves jusqu’à Bellecour.
En photos
Ville de naissance ou de décès de
- Marcel Augustin Férréol ACHARD , dramaturge et écrivain français (membre de l'académie française depuis le 28 mai 1959) sous le nom de Marcel ACHARD, né le 5 juillet 1899, décédé à Paris le 4 septembre 1974
- Alexis CAREL (docteur)de son vrai nom Marie Joseph Auguste CARREL-BILLIARD, chirurgien, biologiste et neuro-physiologiste français né à Sainte-Foy-lès-Lyon le 28 juin 1873 et mort à Paris le 5 novembre 1944.
- Patrice DARD, écrivain né le 9 juillet 1944
- Isabelle PATISSIER, alpiniste née le 1er mars 1967
- Éric Emmanuel SCHMITT, écrivain réalisateur né le 28 mars 1960
Démographie
- La commune cède en 1885 une partie de son territoire qui deviendra La Mulatière.
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 044 | 2 110 | 1 697 | 2 016 | 2 312 | 2 808 | 2 737 | 3 120 | 3 127 | 4 114 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 462 | 5 042 | 4 668 | 5 118 | 5 732 | 3 105 | 2 907 | 2 914 | 3 106 | 3 147 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 358 | 3 782 | 4 505 | 5 074 | 5 335 | 6 270 | 7 290 | 9 592 | 16 583 | 21 698 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | - | - | - | - |
Population | 21 521 | 21 450 | 21 193 | 22 208 | 21 585 | - | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cfr: Cassini & Population 2006 & Population 2011.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
François DELORME | 1790 - | Premier maire |
François DEPIERRE | 1791 - 1793 | |
Simon LA COMBE | 1793 - | |
SALIGNAC | 1794 - | |
- | - | |
JAQUI | 1800 - | Maire provisoire |
? | 1801 - 1802 | |
Antoine SAGET | 1803 - 1813 | |
Charles RAMBAUD-BROSSE | 1813 - 1823 | |
Louis VALIOUD | 1823 - 1823 | Intérim |
REY-MONLÉAU | 1823 - 1830 | |
Pierre GIRERD | 1830 - 1835 | Décès |
Claude PINTUREL | 1835 - 1837 | |
Félix BON | 1837 - 1861 | |
Louis VALIOUD | 1861 - 1875 | décès[3] |
Joseph RICARD | 1876 - 1877 | |
Louis DEBOLO | 1878 - 1881 | |
Jean-Louis JAQUIER | 1881 - 1884 | |
Louis DEBOLO | 1884 - 1885 | |
Léon MICHON du MARAIS | 1885 - 1917 | Décès |
François MILLOU | 1917 - 1920 | |
Xavier RICARD | 1920 - 1938 | Décès |
Henri GIRAUD | 1938 - 1940 | |
Laurent PAUL | 1940 - 1944 | |
Adrien REPLUMAZ | 1944 - 1947 | |
Maurice JARROSSON | 1947 - 1965 | |
Raymond BARLET | 1965 - 1977 | |
Maurice MOULIN | 1977 - 1983 | |
Jean SALLES | 1983 - 1995 | |
Michel CHAPAS | 1995 - 2014 | Réélu en 2001 ; 2008 |
Véronique SARSELLI | 2014 - (2020) | |
- | - |
Cfr: Mairegenweb
Les notaires
Notaires de Sainte-Foy dont les minutes sont déposés à la Chambre des Notaires de Lyon.
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
DRIVON | 1698 - 1723 | |
FAUCHEUX | 1753 - 1775 | |
DELABAT | 1777 - 1779 |
Notaires de Sainte-Foy dont les actes sont déposés à l'étude de Maitre GIRAUD.
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Hugues PIVOT | 1737 - 1760 | |
FABRY | 1762 - 1767 | |
Louis MARTIN | 1767 - 1788 | |
Jean-Prudent MERLE | 1788 - 1820 | |
Jean-Claude PINTUREL | 1820 - 1854 | |
Jacques JANTET | 1854 - 1869 | |
Hyacinthe DEPARDON | 1869 - 1883 | |
Louis PERRIN | 1883 - 1893 | |
Henry-Marie GIRAUD | 1893 - 1928 | |
Michel GIRAUD | 1928 - 1960 | |
Paul SAINT-PIERRE | 1960 - | |
- | - |
Les curés de Sainte-Foy
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Blaize GLEIZE | ||
Pierre de LA CROIX | 17 Août 1633 | |
Joseph de ST MARTIN | 1 Juin 1675 | |
Benoît Baron (ou Barou) | - | |
Claude LEBE | 13 Mai 1701 | |
Louis BOYER | 10 Novembre 1733 | |
Pierre LARRIVÉE | 18 Mai 1762 | |
Antoine FRANCHET | 30 Mars 1787-1789 | |
André RICHARD | Février 1803 - | Auparavant missionnaire |
Benoît ALUMBERT | Juin 1810 - 1818 | Puis curé de Saint-Pierre à Lyon |
Benoit DELANDINE | Juillet 1818 - | |
Jean Louis TARPIN | 1824 - 1833 | Signale la nécessité d'une nouvelle église |
Antoine DURJAST | 1834 - 1840 | Pose de la première pierre de l'église - Ou DUJAST |
Antoine CHATELAIN | Juillet 1841 - 1858 | |
Claude PENET | Octobre 1858 - | |
Antoine CARIOT | Juin 1872 - 1882 | Savant botaniste ayant publié des ouvrages |
Alexis BOULACHON | Mars 1882 - 1889 | |
Etienne DALÉRY | Mars 1889 - 1900 | |
Alphonse SACHET | 1900 - 1906 | (1848 - 1924) - Ex supérieur du Petit-Séminaire de Montbrison |
Louis PICARD | - 1919 | Puis chanoine titulaire de la cathédrale |
François COLIN | 1919 - 1930 | Puis chapelain de Notre-Dame de Fourvière - Ex curé de Saint-Vincent de Paul |
Marius MUGUET | 1930 - | Ex curé de Duerne |
Georges FRITSCH | 1995 - 2003 | |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1792-1920)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Répertoire - Me Jantet Jacques Marie Eugène (1854-1869)
- Répertoire - Me Depardon Huacinthe (1870-1883)
- Répertoire - Me Pinturel Joseph Claude - Photos Jacques PRAS pour la SGLB (1820-1854)
- Minutes - Me Gouttenoire Gaspard (1754-1762)
- Minutes - Me Merle Jean Prudent - Photos Jacques PRAS (1791-1791)
- Minutes - Me Martin Louis (1777-1777)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1603 : Mariage (1603-1603)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1617 : Baptême (1617-1617)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1627 : Baptême (1627-1627)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1668 : Baptême-Mariage-Sépulture (1668-1668)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1673 : Baptême-Mariage-Sépulture (1673-1673)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1676 : Sépulture (1676-1676)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1682 : Baptême-Mariage-Sépulture (1682-1682)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1691 : Baptême-Mariage-Sépulture (1691-1691)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1701 : Baptême-Mariage-Sépulture (1701-1701)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1708 : Baptême-Mariage-Sépulture (1708-1708)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1737 : Baptême-Mariage-Sépulture (1737-1737)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1743 : Baptême-Mariage-Sépulture (1743-1743)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1756 : Baptême-Mariage-Sépulture (1756-1756)
- Etat civil de Sainte-foy-les-lyon, 1684 : Baptême-Mariage-Sépulture (1684-1684)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 9h à 11h50 * | - |
Après-midi | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | de 13h00 à 17h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 10, rue Deshay - 69110 Sainte Foy-lès-Lyon
Tél : 04 72 32 59 00 - Fax : 04 72 32 59 49 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.734722°° / 4.803333°° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie de la commune de Sainte-Foy-lès-Lyon est ouverte aux horaires suivants : du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h00 à 17h, samedi de 9h à 11h50 (service état-civil, uniquement). Source : Site (01/2009) |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Remarques
Bibliographie
- Sainte-Foy-lès-Lyon - Histoire - Fidésources : ISBN 2 9504022-0-8.
- Les paroisses du diocèses de Lyon par l'abbé Adolphe Vachet, Editeur : Abbaye de Lerins, Imprimeur : M. Bernard (Lérins) Edition 1889 - Bibliothèque Gallica
- Autour du clocher Association "La Fontanière" revue N°4 décembre 1996.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références