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Saint Just fut évêque à Lyon au IV{{e}} siècle. Lorsqu'il abandonne sa charge, il gagne, pense-t-on, l’Égypte. Son corps fut ramené à Lyon et inhumé dans une église placée sous le vocable "des Maccabées" qui prît alors le nom de Saint-Just.<br>
Saint Just fut évêque à Lyon au IV{{e}} siècle. Lorsqu'il abandonne sa charge, il gagne, pense-t-on, l’Égypte. Son corps fut ramené à Lyon et inhumé dans une église placée sous le vocable "des Maccabées" qui prît alors le nom de Saint-Just.<br>
Au XII{{e}} siècle, elle fut reconstruite et pourvue d'un cloître. En [[1562]], les huguenots du baron des Adrets détruisirent totalement, dans la nuit du 30 avril au 1{{er}} mai, le cloître et en septembre l'église.<br>
Au XII{{e}} siècle, elle fut reconstruite et pourvue d'un cloître. En [[1562]], les huguenots du baron des Adrets détruisirent totalement, dans la nuit du 30 avril au 1{{er}} mai, le cloître et en septembre, l'église.<br>
En [[1970]], des fouilles mirent à jour, rue des Maccabées, les restes de cette église carolingienne primitive et ceux d'une basilique du XII{{e}} siècle.<br>
En [[1970]], des fouilles mirent à jour, rue des Maccabées, les restes de cette église carolingienne primitive et ceux d'une basilique du XII{{e}} siècle.<br>
Au départ des protestants, les chanoines de Saint-Just décidèrent de construire une église sur un lieu différent.<br>
Au départ des protestants, les chanoines de Saint-Just décidèrent de construire une église sur un lieu différent.<br>
À partir de [[1565]], la nouvelle église se réalisa en fonction des ressources financières et ceci pendant plus de soixante-dix ans. La façade et le chevet n'étaient pas réalisés lorsque l'église fut consacrée en [[1591]] par Monseigneur d'ÉPINAC. <br>
À partir de [[1565]], la nouvelle église se réalisa en fonction des ressources financières et ceci, pendant plus de soixante-dix ans. La façade et le chevet n'étaient pas réalisés lorsque l'église fut consacrée en [[1591]] par Monseigneur d'ÉPINAC. <br>
Le chœur sera réalisé en 1662.<br>
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On trouve à l'intérieur de l'église, une fresque avec les portraits des premiers évêques de Lyon, enterrés dans l'ancienne basilique Saint-Just.
On trouve à l'intérieur de l'église, une fresque avec les portraits des premiers évêques de Lyon, enterrés dans l'ancienne basilique Saint-Just.


À noter encore, la voûte classique en anse de panier et le chœur qui s'ouvre sur un arc triomphal de l'architecte Joseph-Jean-Pascal GAY supporté par quatre pilastres et orné de sept médaillons.  
À noter encore, la voûte classique en anse de panier et le chœur qui s'ouvre sur un arc triomphal de l'architecte Joseph-Jean-Pascal GAY, supporté par quatre pilastres et orné de sept médaillons.  




'''Chapelle saint-Just (1)'''<br>
'''Chapelle saint-Just (1)'''<br>
L'autel a été dessiné par l'architecte Lyonnais C.A. BENOIT et il est daté de [[1843]].<br>
L'autel a été dessiné par l'architecte Lyonnais C.A. BENOIT et il est daté de [[1843]].<br>
Le tableau du retable est attribué au peintre Lyonnais J.L. LACURIA. Il représente Saint-Just avant son départ pour le désert de Scete en Égypte se dépouillant des insignes de l'épiscopat.<br>
Le tableau du retable est attribué au peintre Lyonnais J.L. LACURIA. Il représente Saint-Just avant son départ pour le désert de Scete en Égypte, se dépouillant des insignes de l'épiscopat.<br>
Au-dessus de la toile on peut voir les  prêtre Antiochus lire à Saint-Just la supplique des Lyonnais lui demandant de revenir.<br>
Au-dessus de la toile, on peut voir le prêtre Antiochus lire à Saint-Just la supplique des Lyonnais lui demandant de revenir.<br>
Dans cette chapelle sont visibles entre autres les vitraux du Martyr des frères Macchabées '''(2)''' et de Saint Alexandre devant ses juges '''(8)'''.
Dans cette chapelle, sont visibles, entre autres, les vitraux du Martyr des frères Macchabées '''(2)''' et de Saint Alexandre devant ses juges '''(8)'''.




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'''Le chœur''' <br>
'''Le chœur''' <br>
L'arc triomphal'''(4)''' et le maître-autel sont dus à l’architecte de la ville de Lyon, Joseph-Jean-Pascal GAY en [[1831]].<br>
L'arc triomphal'''(4)''' et le maître-autel sont dus à l’architecte de la ville de Lyon, Joseph-Jean-Pascal GAY en [[1831]].<br>
Les sept médaillons restaurés dans les années 1960 évoquent le Christ et ses témoins. Sur la partie gauche dans l'ordre en partant du Christ : Saint Jean représenté par l'aigl, Saint Luc représenté par le bœuf et Saint-Just évêque de Lyon. Dans la partie droite dans l'ordre en partant du Christ : Saint Mathieu représenté par l'homme, Saint Marc représenté par le lion et Saint Alexandre martyr lyonnais.<br>
Les sept médaillons restaurés dans les années 1960 évoquent le Christ et ses témoins. Sur la partie gauche, dans l'ordre en partant du Christ : Saint Jean représenté par l'aigle, Saint Luc représenté par le bœuf et Saint-Just évêque de Lyon. Dans la partie droite, dans l'ordre en partant du Christ : Saint Mathieu représenté par l'homme, Saint Marc représenté par le lion et Saint Alexandre martyr lyonnais.<br>
Les stalles '''(5)''' datent du XVII{{e}} ou XVIII{{e}} siècle.<br>
Les stalles '''(5)''' datent du XVII{{e}} ou XVIII{{e}} siècle.<br>
Les quatre tableaux qui ornent le chœur sont du XVIII{{e}} siècle et représentent :
Les quatre tableaux qui ornent le chœur sont du XVIII{{e}} siècle et représentent :
: L'Annonciation '''(6)''' œuvre de Hyacinthe COLLIN de VERNONT datant d'environ 1735.
: L'Annonciation '''(6)''', œuvre de Hyacinthe COLLIN de VERNONT, datant d'environ 1735.
: La nativité du Christ copie du XIX{{e}} par Frédéric LEGRIP d'un tableau de Hughes TARAVAL exposé antérieurement dans l'église.   
: La nativité du Christ, copie du XIX{{e}} par Frédéric LEGRIP d'un tableau de Hughes TARAVAL, exposé antérieurement dans l'église.   
: l'Adoration des mages '''(7)''' par Bon de BOULLONGUE datant de la fin du XVII{{e}} siècle.
: l'Adoration des mages '''(7)''' par Bon de BOULLONGUE datant de la fin du XVII{{e}} siècle.
: L'élévation de la croix par François KRAUSE datant de 1741.
: L'élévation de la croix par François KRAUSE datant de 1741.
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'''Chapelle de la Vierge'''<br>
'''Chapelle de la Vierge'''<br>
La chapelle est éclairée par divers vitraux :
La chapelle est éclairée par divers vitraux :
:"La Sainte famille" '''(12)''' ou Jésus apprenti de Georges DUFÊTRE daté de 1880.
:- "La Sainte famille" '''(12)''' ou Jésus apprenti de Georges DUFÊTRE daté de 1880.
:Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "Marie humble et douloureuse" représentée par : la crèche, la fuite en Égypte et Marie et Jean au pieds de la croix '''(13)'''.
:- Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "Marie humble et douloureuse" représentée par la crèche, la fuite en Égypte et Marie et Jean au pieds de la croix '''(13)'''.
:Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "La gloire de Marie" représentée par : le couronnement de Marie au ciel par le Christ, l'apparition de Marie à Lourdes et l'assomption de Marie après sa mort '''(14)'''.
: - Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "La gloire de Marie" représentée par le couronnement de Marie au ciel par le Christ, l'apparition de Marie à Lourdes et l'assomption de Marie après sa mort '''(14)'''.


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* '''Histoire des églises de Lyon''', de Louis Jacquemin publiée par Elie Bellier éditeur
* '''Histoire des églises de Lyon''', de Louis Jacquemin publiée par Elie Bellier éditeur
== {{Voir aussi}} ==


== {{Liens utiles}} ==
== {{Liens utiles}} ==
*[http://www.patrimoine-lyon.org/index.php?lyon=l-eglise-saint-just Lyon Patrimoine]
*[http://www.patrimoine-lyon.org/index.php?lyon=l-eglise-saint-just Lyon Patrimoine]
*[http://www.lyon-st-irenee.org/?rub=stjust Site de la paroisse]
*[http://www.lyon-st-irenee.org/?rub=stjust Site de la paroisse]
*[http://www.histoire-moi-et-prof.eu/?p=2299 Histoire, moi et Prof]
*[http://www.histoire-moi-et-prof.eu/?p=2299 Histoire, moi et Prof]
 
== {{Notes et références}} ==
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Version actuelle datée du 31 décembre 2019 à 07:16

Retour édifices religieux de Lyon

Église localisée rue des Farges, 69005 Lyon

Église Saint-Just
Photo J-P GALICHON

Histoire.pngHistorique

Saint Just fut évêque à Lyon au IVe siècle. Lorsqu'il abandonne sa charge, il gagne, pense-t-on, l’Égypte. Son corps fut ramené à Lyon et inhumé dans une église placée sous le vocable "des Maccabées" qui prît alors le nom de Saint-Just.
Au XIIe siècle, elle fut reconstruite et pourvue d'un cloître. En 1562, les huguenots du baron des Adrets détruisirent totalement, dans la nuit du 30 avril au 1er mai, le cloître et en septembre, l'église.
En 1970, des fouilles mirent à jour, rue des Maccabées, les restes de cette église carolingienne primitive et ceux d'une basilique du XIIe siècle.
Au départ des protestants, les chanoines de Saint-Just décidèrent de construire une église sur un lieu différent.
À partir de 1565, la nouvelle église se réalisa en fonction des ressources financières et ceci, pendant plus de soixante-dix ans. La façade et le chevet n'étaient pas réalisés lorsque l'église fut consacrée en 1591 par Monseigneur d'ÉPINAC.
Le chœur sera réalisé en 1662.
Un jubé disparu depuis fut, quant à lui, réalisé en 1666.
Jusqu'à la Révolution, Saint-Just avait un chapitre de chanoines.
La façade de style néoclassique est l’œuvre de l'architecte Ferdinand DELANONCE. Commencée à partir de 1704, elle s'achèvera vers 1711.
À noter sur le fronton, l'inscription latine :

Machabeis primo, deinde sancto Justo signifiant : "D'abord aux Maccabées, ensuite à saint Just".

En 1828, la façade est décorée avec les statues de saint Irénée et saint Just de Jean-François HERAL à qui on doit aussi les deux bas reliefs représentant le martyr de Saint-Irénée et la translation des reliques de Saint-Just.

L'église est classée aux Monuments historiques depuis le 18 décembre 1980.

L'église n'est pratiquement plus utilisée comme lieu de culte mais, compte tenu de son acoustique, elle accueille de nombreux concerts. La sacristie abrite "la paroisse orthodoxe francophone de la Sainte-Rencontre" de rite byzantin dépendant du patriarcat de Constantinople.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

L'église possède une collection de tableaux de peintres français du XVIIIe dans le chœur, offert en partie par le cardinal FESCH.

On trouve à l'intérieur de l'église, une fresque avec les portraits des premiers évêques de Lyon, enterrés dans l'ancienne basilique Saint-Just.

À noter encore, la voûte classique en anse de panier et le chœur qui s'ouvre sur un arc triomphal de l'architecte Joseph-Jean-Pascal GAY, supporté par quatre pilastres et orné de sept médaillons.


Chapelle saint-Just (1)
L'autel a été dessiné par l'architecte Lyonnais C.A. BENOIT et il est daté de 1843.
Le tableau du retable est attribué au peintre Lyonnais J.L. LACURIA. Il représente Saint-Just avant son départ pour le désert de Scete en Égypte, se dépouillant des insignes de l'épiscopat.
Au-dessus de la toile, on peut voir le prêtre Antiochus lire à Saint-Just la supplique des Lyonnais lui demandant de revenir.
Dans cette chapelle, sont visibles, entre autres, les vitraux du Martyr des frères Macchabées (2) et de Saint Alexandre devant ses juges (8).


Martyre des frères Macchabées (2)
Vitraux de GENTELET et GODARD datant approximativement de 1845 et représentant le roi de Syrie, Antiochus IV, voulant imposer aux Juifs les coutumes helléniques. On le voit sommer au plus jeune des frères Macchabées (dans les bras de sa mère) de consommer de la viande de porc.


Chaire à prêcher (3)
Chaire à prêcher du XVIIIe siècle surmontée d'une statue de saint Just en bois doré.


Orgue
L'orgue, situé dans le chœur, a été construit en 1921 par le facteur lyonnais Merklin et Kuhn. Il fut restauré en 1972. Il est à transmission électrique.


Le chœur
L'arc triomphal(4) et le maître-autel sont dus à l’architecte de la ville de Lyon, Joseph-Jean-Pascal GAY en 1831.
Les sept médaillons restaurés dans les années 1960 évoquent le Christ et ses témoins. Sur la partie gauche, dans l'ordre en partant du Christ : Saint Jean représenté par l'aigle, Saint Luc représenté par le bœuf et Saint-Just évêque de Lyon. Dans la partie droite, dans l'ordre en partant du Christ : Saint Mathieu représenté par l'homme, Saint Marc représenté par le lion et Saint Alexandre martyr lyonnais.
Les stalles (5) datent du XVIIe ou XVIIIe siècle.
Les quatre tableaux qui ornent le chœur sont du XVIIIe siècle et représentent :

L'Annonciation (6), œuvre de Hyacinthe COLLIN de VERNONT, datant d'environ 1735.
La nativité du Christ, copie du XIXe par Frédéric LEGRIP d'un tableau de Hughes TARAVAL, exposé antérieurement dans l'église.
l'Adoration des mages (7) par Bon de BOULLONGUE datant de la fin du XVIIe siècle.
L'élévation de la croix par François KRAUSE datant de 1741.


Chapelle des Fonts baptismaux
Huit angelots porteurs d’attributs évoquant le déroulement du baptême se situent sur le flanc de la cuve. Le serpent représentant le mal s’enfuit le long du pied de la cuve (9). La cuve est datée de 1839.
Le retable est décoré d’une reproduction d’une toile de J. Restout (1733) .
Également visible un tableau "le dialogue du Christ avec la Samaritaine" (10), oeuvre de Michel Philibert GENOD.
Bénitier daté lui aussi de 1839, il est décoré par quatre angelots évoquant les bienfaits de la bénédiction (11).


Chapelle de la Vierge
La chapelle est éclairée par divers vitraux :

- "La Sainte famille" (12) ou Jésus apprenti de Georges DUFÊTRE daté de 1880.
- Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "Marie humble et douloureuse" représentée par la crèche, la fuite en Égypte et Marie et Jean au pieds de la croix (13).
- Vitraux de BARRELON et VEYRAT de 1860 "La gloire de Marie" représentée par le couronnement de Marie au ciel par le Christ, l'apparition de Marie à Lourdes et l'assomption de Marie après sa mort (14).

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Plans

Extérieur

Intérieur

Vitraux Georges DUFÊTRE maître verrier à Grigny puis à Lyon

Vitraux de GENTELET et GODARD

Le chœur

Chapelle des fonts baptismaux

Chapelle de la Vierge

Divers

Les curés de Saint-Just

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
Julien BLAUF 8 août 1689 -  
- -  
Claude Antoine LACOUR 13 février 1750 -  
Joseph Sébastien GAUDIN 23 mai 1775 -  
Jean Baptiste LAGUET 1789 - Curé commis à la révolution[1]  
- -  
Jean BOUÉ 1828 - 1844 (1791 - ?) - Puis curé de Saint-Martin d'Ainay  
Jean Marin GONNIN 1844 -  
Pierre GUILLOT 1862 -  
Antoine Léon FRÉCON 1873 - 1887  
Pierre Marie BRUXELLES 1887 - 1895 (1834 - 1895)  
Jean Marie VIAL 1895 - 1902 (1835 - 1902) - Ex curé de Saint-Georges-en-Couzan (42)  
Joseph BÉRERD 1902 - 1911 (1844 - 1911) - Ex curé de Saint-Genis-l'Argentière  
Jean-François GREFFET 1911 - 1917 (1854 - 1917) - Ex curé de Cuinzier  
Pierre VERNET 1917 - 1934 (1856 - 1934) - Ex curé de Saint- Joseph-en-Beaujolais  
Joannès MASSON 1935 - Ex curé de Saint-Genis-les-Ollières  
- -  
- -  

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Histoire des églises de Lyon, de Louis Jacquemin publiée par Elie Bellier éditeur

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