« 69119 - Longes » : différence entre les versions
m (→{{Repères géographiques}} : ajout de hameaux et écarts avec le hameau de DIZIMIEUX (très orphelin sur Internet)) |
|||
(39 versions intermédiaires par 3 utilisateurs non affichées) | |||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
{{Tableau commune fr|nomcommune= Longes | {{Tableau commune fr|nomcommune= Longes | ||
|blason= | |blason= | ||
|Departement= {{Departement 69}} | |Departement= {{Departement 69}} | ||
|Métropole= | |Métropole= | ||
Ligne 12 : | Ligne 11 : | ||
---- | ---- | ||
{{Canton 69-07}} (Ancien canton) | {{Canton 69-07}} (Ancien canton) | ||
|Population= | |Population=977 | ||
|DatePopulation= | |DatePopulation=2017 | ||
|Codeinsee=69119 | |Codeinsee=69119 | ||
|Codepostal=69420 | |Codepostal=69420 | ||
|nomHabitants=Longeards, Longeardes | |nomHabitants=Longeards, Longeardes | ||
|Superficie=2406 | |Superficie=2406 | ||
|Pointculminant=785 m (Mont Monnet) | |||
|Pointculminant=785 m | |||
|Altitude=Mini: 210 m | |Altitude=Mini: 210 m | ||
|Coordonnées= {{GPScommune | |Coordonnées= {{GPScommune | ||
Ligne 33 : | Ligne 31 : | ||
Jules César croyait avoir dompté la Gaule par la série de brillantes victoires qui suivirent celle de Jassans (58 avant J.C.)lorsque tout à coup dans l’hiver 53 à 52 avant J.C., elle se souleva tout entière. Les Arvernes avaient mis à leur tête Vercingétorix et toutes les cités gauloises, impatientes du joug romain, avaient reconnu l’autorité de leur chef. Celui-ci occupa le pays des Bituriges (Berry) afin de couper la retraite aux dix légions romaines qui étaient établies à Sens, à Langres, etc. Mais César veillait. Il accourut de Rome au moment le plus rude de l’hiver, amenant quelques recrues d’Italie. Il prend avec lui, au passage, une partie des troupes de la Province (Provence et Bas-Dauphiné) et ordonne à l’autre de se rendre à vienne et de l’y attendre. Avec ces hommes robustes, habitués aux montagnes et aux neiges des Alpes, il traverse le Rhône à peu près à la hauteur de Valence, escalade les Cévennes malgré les six pieds de neige avec un travail acharné et attire le chef gaulois dans le pays des Arvernes. Puis tout à coup, il change de direction, prend avec lui une vaillante garde du corps composée d’une simple compagnie, les braves entre les braves, les plus beaux hommes, les plus rudes cavaliers et les plus terribles soldats de cette troupe, déjà choisie, d’alpins et provençaux. Il parait sur les bords de la Loire et du Gier, entre Châteauneuf et Trèves, tourne à droite comme un ouragan et rencontre sur le plateau du Fautre une petite armée de paysans atheux (on appelait ainsi tous les habitants des versants nord et nord ouest du massif du Pilat) ; il en fait un véritable carnage. Il gagne Vienne par les hauteurs du Pilon ou Pilong (Py de Longus) et le col de la Croix-Régis, y prend les corps de cavalerie qu’il avait convoqués, avec eux, marchent jour et nuit par la route, qui, plus tard, développée et entretenue, s’appellera la voie Narbonnaise ; il passe Givors et rejoint ses légions au cœur de la Gaule révoltée. On connaîtra l’issue de cette lutte. Vercingétorix fut définitivement vaincu à Alésia. Mais ce que l’on connaît moins c’est que, suivant l’usage romain, les territoires conquis étaient divisés en lots de colonisation et attribués en récompense aux plus vaillants capitaines, suivant le rôle qu’ils avaient joué dans la victoire. Chacun de ces lots appelés Villa, correspondait à 4, 5 et jusqu’à 10 de nos communes actuelles. Le chef colon s’y installait avec quelques centaines de ses anciens soldats, leurs familles et leur domesticité, toute la domus romaine. Nous savons quelques-unes des titulaires des Villas établies sur nos territoires. Elles prenaient d’ailleurs le nom du chef avec la terminaison acum, qui s’est le plus souvent transformée en ay ou en y, tandis que les subdivisions faites par le chef lui-même à ses subordonnés, gardaient leur ancien nom celtique. Brennus eut une partie de la rive gauche du Rhône (St Romain-en-Gal, Loire, Givors, Grigny), ce fut la villa Brenniaca, par Grigny. Rivirius eut un lot correspondant à sept communes au-dessus et à côté de Rive-de-Gier. Ambronius eut le Rive-de-Gier qui porta son nom jusqu’au XII° siècle. En fin, Longus, le terrible géant, chef de l’escorte de César à la bataille du Fautre, eut un triangle allant de Givors à Rive-de-Gier, comme base, et col du Pilon comme sommet ; ce fut la villa longa, dont la tradition a retenu le nom. Elle comprenait Châteauneuf, Trèves, Echalas, Saint romain en Gier, les hauteurs de Givors et Longes. Des romains, non des romains italiens, mais des romains de Provence et Dauphiné, ont donc habité nombreux à Longes, ils ont fusionné avec les Atheux - par une assimilation qui fut assez rapide - cette race gallo-romaine, que Nizier du Puitspelu, appelle race superbe et qui a fourni tant de beaux hommes, dépassant souvent plus de cent ans, dans nos montagnes de la vieille Villa Longa. | Jules César croyait avoir dompté la Gaule par la série de brillantes victoires qui suivirent celle de Jassans (58 avant J.C.)lorsque tout à coup dans l’hiver 53 à 52 avant J.C., elle se souleva tout entière. Les Arvernes avaient mis à leur tête Vercingétorix et toutes les cités gauloises, impatientes du joug romain, avaient reconnu l’autorité de leur chef. Celui-ci occupa le pays des Bituriges (Berry) afin de couper la retraite aux dix légions romaines qui étaient établies à Sens, à Langres, etc. Mais César veillait. Il accourut de Rome au moment le plus rude de l’hiver, amenant quelques recrues d’Italie. Il prend avec lui, au passage, une partie des troupes de la Province (Provence et Bas-Dauphiné) et ordonne à l’autre de se rendre à vienne et de l’y attendre. Avec ces hommes robustes, habitués aux montagnes et aux neiges des Alpes, il traverse le Rhône à peu près à la hauteur de Valence, escalade les Cévennes malgré les six pieds de neige avec un travail acharné et attire le chef gaulois dans le pays des Arvernes. Puis tout à coup, il change de direction, prend avec lui une vaillante garde du corps composée d’une simple compagnie, les braves entre les braves, les plus beaux hommes, les plus rudes cavaliers et les plus terribles soldats de cette troupe, déjà choisie, d’alpins et provençaux. Il parait sur les bords de la Loire et du Gier, entre Châteauneuf et Trèves, tourne à droite comme un ouragan et rencontre sur le plateau du Fautre une petite armée de paysans atheux (on appelait ainsi tous les habitants des versants nord et nord ouest du massif du Pilat) ; il en fait un véritable carnage. Il gagne Vienne par les hauteurs du Pilon ou Pilong (Py de Longus) et le col de la Croix-Régis, y prend les corps de cavalerie qu’il avait convoqués, avec eux, marchent jour et nuit par la route, qui, plus tard, développée et entretenue, s’appellera la voie Narbonnaise ; il passe Givors et rejoint ses légions au cœur de la Gaule révoltée. On connaîtra l’issue de cette lutte. Vercingétorix fut définitivement vaincu à Alésia. Mais ce que l’on connaît moins c’est que, suivant l’usage romain, les territoires conquis étaient divisés en lots de colonisation et attribués en récompense aux plus vaillants capitaines, suivant le rôle qu’ils avaient joué dans la victoire. Chacun de ces lots appelés Villa, correspondait à 4, 5 et jusqu’à 10 de nos communes actuelles. Le chef colon s’y installait avec quelques centaines de ses anciens soldats, leurs familles et leur domesticité, toute la domus romaine. Nous savons quelques-unes des titulaires des Villas établies sur nos territoires. Elles prenaient d’ailleurs le nom du chef avec la terminaison acum, qui s’est le plus souvent transformée en ay ou en y, tandis que les subdivisions faites par le chef lui-même à ses subordonnés, gardaient leur ancien nom celtique. Brennus eut une partie de la rive gauche du Rhône (St Romain-en-Gal, Loire, Givors, Grigny), ce fut la villa Brenniaca, par Grigny. Rivirius eut un lot correspondant à sept communes au-dessus et à côté de Rive-de-Gier. Ambronius eut le Rive-de-Gier qui porta son nom jusqu’au XII° siècle. En fin, Longus, le terrible géant, chef de l’escorte de César à la bataille du Fautre, eut un triangle allant de Givors à Rive-de-Gier, comme base, et col du Pilon comme sommet ; ce fut la villa longa, dont la tradition a retenu le nom. Elle comprenait Châteauneuf, Trèves, Echalas, Saint romain en Gier, les hauteurs de Givors et Longes. Des romains, non des romains italiens, mais des romains de Provence et Dauphiné, ont donc habité nombreux à Longes, ils ont fusionné avec les Atheux - par une assimilation qui fut assez rapide - cette race gallo-romaine, que Nizier du Puitspelu, appelle race superbe et qui a fourni tant de beaux hommes, dépassant souvent plus de cent ans, dans nos montagnes de la vieille Villa Longa. | ||
'''Autres pages d'histoire''' <br> | |||
Avant la Révolution, [[69252 - Trèves|Trèves]] était une annexe de la Paroisse de Longes. A la création des communes (décret du 12.11.1793), elle fut rattachée à [[69119 - Longes|Longes]] et créa la commune de Longes et Trèves. | Avant la Révolution, [[69252 - Trèves|Trèves]] était une annexe de la Paroisse de Longes. A la création des communes (décret du 12.11.1793), elle fut rattachée à [[69119 - Longes|Longes]] et créa la commune de Longes et Trèves. | ||
* 01/01/2015 : Longes passe de l'arrondissement de Lyon (691) à l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692). | |||
* 01/02/2017 : Longes passe de l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692) à l'arrondissement de Lyon (691). | |||
=== Histoire administrative === | === Histoire administrative === | ||
* Département - 1801- | * Département - 1801-{{CURRENTYEAR}} : Rhône | ||
* Arrondissement - 1801- | * Arrondissement - 1801-2015 : Lyon --> 2015-2017: Villefranche-sur-Saône --> 2017-{{CURRENTYEAR}} : Lyon | ||
* Canton - 1801- | * Canton - 1801-2015 : Sainte-Colombe [renommé en 1833, C. de Condrieu] --> 2015-{{CURRENTYEAR}} : Mornant | ||
* Commune - 1801-{{CURRENTYEAR}} : Longes | |||
'''Résumé chronologique :'''<br> | '''Résumé chronologique :'''<br> | ||
Ligne 47 : | Ligne 50 : | ||
== {{Patrimoine}} == | == {{Patrimoine}} == | ||
=== Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul=== | |||
[[Fichier:69119 - Longes-église.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | [[Fichier:69119 - Longes-église.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | ||
Église agrandie en 1820. | Église agrandie en 1820. | ||
{{Clr}} | {{Clr}} | ||
=== Chapelle Saint-Jean-Baptiste === | |||
[[Fichier:69119 - Longes-chapelle Dizimieux.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | [[Fichier:69119 - Longes-chapelle Dizimieux.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | ||
Chapelle située au hameau de Dizimieux. <br> | Chapelle située au hameau de Dizimieux construite en [[1873]]. <br> | ||
C'est madame veuve CHAMBEYRON qui fit construire la chapelle pour répondre au vœu de son mari, sur un terrain appartenant à la famille. Jusqu'au début des années 1960, les habitants ont supporté le financement des travaux d'entretien de la chapelle.<br> | |||
L'édifice a été bénit le 13 septembre 1916. <br> | |||
En 1963, la toiture s'effondre et les concitoyens de Dizimieux, formés en association, décident d'en faire don à la commune. Elle a été restaurée en 2003/2004 par la commune.<br> | |||
Chapelle orientée sud de style roman. Le toit à deux pans est recouvert par des tuiles mécaniques. Les murs sont en maçonnerie de pierres. <br> | |||
La nef est à trois travées, épaulées de contrefort. Clocher de plan carré au dessus de la première travée. | |||
{{Clr}} | {{Clr}} | ||
=== Chapelle de Nuzières === | |||
[[Fichier:69119 - Longes-chapelle Nuzières.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] [[Fichier:69119 - Longes-chapelle Nuzières_Nef.jpg|thumb|right|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | [[Fichier:69119 - Longes-chapelle Nuzières.jpg|thumb|left|320px|{{Photo JPG}}]] [[Fichier:69119 - Longes-chapelle Nuzières_Nef.jpg|thumb|right|320px|{{Photo JPG}}]] <br> | ||
Chapelle située au hameau de Nuzières. <br> | Chapelle située au hameau de Nuzières. <br> | ||
La chapelle a été édifiée l'initiative du vicaire ROUX | Chapelle placée sous le vocable du Sacré-Cœur. <br> | ||
La chapelle a été édifiée à l'initiative du vicaire ROUX. Elle date de [[1857]].<br> | |||
Depuis sa création, les habitants de Nuzières et des hameaux environnants ont toujours supporté le financement des travaux d'entretien de l'édifice.<br> | Depuis sa création, les habitants de Nuzières et des hameaux environnants ont toujours supporté le financement des travaux d'entretien de l'édifice.<br> | ||
Bien communal actuellement, elle a été restaurée par la commune en 1996.<br> | |||
{{Clr}} | |||
===Chapelle de la Vierge=== | |||
[[Fichier:69119 - Longes-Chapelle-Monnet.jpg|left|thumb|280px]] [[Fichier:69119 - Longes-chapelle de la Vierge.jpg|thumb|right|320px|{{Photo JPG}}]] <br><br> | |||
* Chapelle construite en [[1872]] à l'instigation du curé Jean-Baptiste Fond, curé de [[42051 - La Chapelle-Villars|La Chapelle-Villars]], comme lieu de prières pour demander la protection de la paroisse de La Chapelle contre les intempéries. <br> | |||
* Chapelle de la Vierge dite chapelle Notre-Dame-des-Grandes-Roches située au Mont Monnet à la limite de la commune de Villard.<br> | |||
* Édifice de plan rectangulaire, à chevet plat. Le toit est recouvert de tuiles rondes, les ouvertures sont cintrées. <br> | |||
* La porte d'entrée est surmontée d'une niche abritant une statue de la Vierge.<br> | |||
* L'autel est en marbre. Il date des années 1840. <br> | |||
* La chapelle abrite une vierge à l'enfant et un saint-Roch. | |||
{{Clr}} | {{Clr}} | ||
== {{Repères géographiques}} == | == {{Repères géographiques}} == | ||
Longes est situé au pieds des monts du Pilat. | |||
{{clr}} | |||
=== Hameaux et Écarts === | |||
* Hameau de Dizimieux | |||
== {{Démographie}} == | == {{Démographie}} == | ||
Ligne 105 : | Ligne 133 : | ||
|An34=2006 |Hab34=824 | |An34=2006 |Hab34=824 | ||
|An35=2011 |Hab35=889 | |An35=2011 |Hab35=889 | ||
|An36=2016 |Hab36= | |An36=2016 |Hab36=961 | ||
|An37= | |An37=2021 |Hab37=- | ||
|An38=- |Hab38=- | |An38=- |Hab38=- | ||
|An39=- |Hab39=- | |An39=- |Hab39=- | ||
Ligne 112 : | Ligne 140 : | ||
}} | }} | ||
Cf. : {{Démographie - EHESS - Cassini|19923}}, INSEE [https://www.insee.fr/fr/statistiques/3681328?geo=COM-69119 2006, 2011, 2016] & [https://www.insee.fr/fr/statistiques/4269674?geo=COM-69119 2017]. | |||
== {{Illustrations, photos anciennes}} == | == {{Illustrations, photos anciennes}} == | ||
Ligne 136 : | Ligne 164 : | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Jean-Marie BOIRON |Dates=1870 - 1879 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Jean-Marie BOIRON |Dates=1870 - 1879 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Jacques CHAMPIN |Dates=1879 - 1892 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Jacques CHAMPIN |Dates=1879 - 1892 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Jean Antoine PEYRET |Dates=1892 - 1908 |Commentaire=Maire en 1894 }} | {{Elu-Donnees|Nom=Jean Antoine PEYRET |Dates=1892 - 1908 |Commentaire=Maire en 1894 lors de l'inauguration d'une fontaine}} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Bonaventure FATTON |Dates=1908 - 1921 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Bonaventure FATTON |Dates=1908 - 1921 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Jean Antoine BRET |Dates=1921 - 1929 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Jean Antoine BRET |Dates=1921 - 1929 |Commentaire=- }} | ||
Ligne 142 : | Ligne 170 : | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Antoine FOREST |Dates=1945 - 1953 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Antoine FOREST |Dates=1945 - 1953 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Antoine BROSSON |Dates=1953 - 1959 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Antoine BROSSON |Dates=1953 - 1959 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Joseph VOYANT |Dates=1959 - 1982 |Commentaire=Sénateur du Rhône }} | {{Elu-Donnees|Nom=Joseph VOYANT |Dates=1959 - 1982 |Commentaire=(1910-1997)<ref>[https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=6383082&rubrique=monuments Geneanet]</ref> - Sénateur du Rhône }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Gabriel ESCOFFIER |Dates=1982 - 2000|Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Gabriel ESCOFFIER |Dates=1982 - 2000|Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Marie-Claire BROSSON |Dates=2000 - 2008 |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=Marie-Claire BROSSON |Dates=2000 - 2008 |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=Lucien BRUYAS |Dates=2008 - ( | {{Elu-Donnees|Nom=Lucien BRUYAS |Dates=2008 - (2026) |Commentaire=- [ Photo] }} | ||
{{Elu-Donnees|Nom=- |Dates=- |Commentaire=- }} | {{Elu-Donnees|Nom=- |Dates=- |Commentaire=- }} | ||
{{Elu-Fin}} | {{Elu-Fin}} | ||
Ligne 179 : | Ligne 207 : | ||
{{Notable-Donnees|Nom=Henri MOREL |Dates=Avril 1882 - |Commentaire=- }} | {{Notable-Donnees|Nom=Henri MOREL |Dates=Avril 1882 - |Commentaire=- }} | ||
{{Notable-Donnees|Nom= Jérôme MAYERY |Dates=1887 - |Commentaire= (1840 - 1917)}} | {{Notable-Donnees|Nom= Jérôme MAYERY |Dates=1887 - |Commentaire= (1840 - 1917)}} | ||
{{Notable-Donnees|Nom=François SEIGNOL |Dates=1916 - 1928|Commentaire=(1868 - 1931) - Ex curé de [[69090 - Frontenas|Frontenas]] - Puis curé de [[ | {{Notable-Donnees|Nom=François SEIGNOL |Dates=1916 - 1928|Commentaire=(1868 - 1931) - Ex curé de [[69090 - Frontenas|Frontenas]] - Puis curé de [[69 - Pontcharra-sur-Turdine|Pontcharra-sur-Turdine]]}} | ||
{{Notable-Donnees|Nom= Jean BRUNON |Dates = 1928 - 1933 |Commentaire= Puis curé de Saint-Paul-en-Jarez}} | {{Notable-Donnees|Nom= Jean BRUNON |Dates = 1928 - 1933 |Commentaire= Puis curé de Saint-Paul-en-Jarez}} | ||
{{Notable-Donnees|Nom= Paul LEVIS |Dates= 1933 - 1941|Commentaire= Ex curé de Vaux-en-Beaujolais<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6316219v/f12.image.r=LEVIS?rk=128756;0 Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1933]</ref> - Puis curé de [[69133 - Millery|Millery]]<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63075121/f174.image.r=LEVIS?rk=321890;0 Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1941 ]</ref> }} | {{Notable-Donnees|Nom= Paul LEVIS |Dates= 1933 - 1941|Commentaire= Ex curé de Vaux-en-Beaujolais<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6316219v/f12.image.r=LEVIS?rk=128756;0 Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1933]</ref> - Puis curé de [[69133 - Millery|Millery]]<ref>[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63075121/f174.image.r=LEVIS?rk=321890;0 Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1941 ]</ref> }} |
Version du 25 mars 2021 à 23:46
Longes | |
---|---|
Informations | |
Pays | France |
Département | Rhône |
Métropole | |
Canton | 69-08 Mornant 69-07 Condrieu (Ancien canton) |
Code INSEE | 69119 |
Code postal | 69420 |
Population | 977 habitants (2017) |
Nom des habitants | Longeards, Longeardes |
Superficie | 2406 hectares |
Densité | 40.61 hab./km² |
Altitude | Mini: 210 m |
Point culminant | 785 m (Mont Monnet) |
Coordonnées géographiques |
45.50472222° / 4.68861111° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
L'origine
Jules César croyait avoir dompté la Gaule par la série de brillantes victoires qui suivirent celle de Jassans (58 avant J.C.)lorsque tout à coup dans l’hiver 53 à 52 avant J.C., elle se souleva tout entière. Les Arvernes avaient mis à leur tête Vercingétorix et toutes les cités gauloises, impatientes du joug romain, avaient reconnu l’autorité de leur chef. Celui-ci occupa le pays des Bituriges (Berry) afin de couper la retraite aux dix légions romaines qui étaient établies à Sens, à Langres, etc. Mais César veillait. Il accourut de Rome au moment le plus rude de l’hiver, amenant quelques recrues d’Italie. Il prend avec lui, au passage, une partie des troupes de la Province (Provence et Bas-Dauphiné) et ordonne à l’autre de se rendre à vienne et de l’y attendre. Avec ces hommes robustes, habitués aux montagnes et aux neiges des Alpes, il traverse le Rhône à peu près à la hauteur de Valence, escalade les Cévennes malgré les six pieds de neige avec un travail acharné et attire le chef gaulois dans le pays des Arvernes. Puis tout à coup, il change de direction, prend avec lui une vaillante garde du corps composée d’une simple compagnie, les braves entre les braves, les plus beaux hommes, les plus rudes cavaliers et les plus terribles soldats de cette troupe, déjà choisie, d’alpins et provençaux. Il parait sur les bords de la Loire et du Gier, entre Châteauneuf et Trèves, tourne à droite comme un ouragan et rencontre sur le plateau du Fautre une petite armée de paysans atheux (on appelait ainsi tous les habitants des versants nord et nord ouest du massif du Pilat) ; il en fait un véritable carnage. Il gagne Vienne par les hauteurs du Pilon ou Pilong (Py de Longus) et le col de la Croix-Régis, y prend les corps de cavalerie qu’il avait convoqués, avec eux, marchent jour et nuit par la route, qui, plus tard, développée et entretenue, s’appellera la voie Narbonnaise ; il passe Givors et rejoint ses légions au cœur de la Gaule révoltée. On connaîtra l’issue de cette lutte. Vercingétorix fut définitivement vaincu à Alésia. Mais ce que l’on connaît moins c’est que, suivant l’usage romain, les territoires conquis étaient divisés en lots de colonisation et attribués en récompense aux plus vaillants capitaines, suivant le rôle qu’ils avaient joué dans la victoire. Chacun de ces lots appelés Villa, correspondait à 4, 5 et jusqu’à 10 de nos communes actuelles. Le chef colon s’y installait avec quelques centaines de ses anciens soldats, leurs familles et leur domesticité, toute la domus romaine. Nous savons quelques-unes des titulaires des Villas établies sur nos territoires. Elles prenaient d’ailleurs le nom du chef avec la terminaison acum, qui s’est le plus souvent transformée en ay ou en y, tandis que les subdivisions faites par le chef lui-même à ses subordonnés, gardaient leur ancien nom celtique. Brennus eut une partie de la rive gauche du Rhône (St Romain-en-Gal, Loire, Givors, Grigny), ce fut la villa Brenniaca, par Grigny. Rivirius eut un lot correspondant à sept communes au-dessus et à côté de Rive-de-Gier. Ambronius eut le Rive-de-Gier qui porta son nom jusqu’au XII° siècle. En fin, Longus, le terrible géant, chef de l’escorte de César à la bataille du Fautre, eut un triangle allant de Givors à Rive-de-Gier, comme base, et col du Pilon comme sommet ; ce fut la villa longa, dont la tradition a retenu le nom. Elle comprenait Châteauneuf, Trèves, Echalas, Saint romain en Gier, les hauteurs de Givors et Longes. Des romains, non des romains italiens, mais des romains de Provence et Dauphiné, ont donc habité nombreux à Longes, ils ont fusionné avec les Atheux - par une assimilation qui fut assez rapide - cette race gallo-romaine, que Nizier du Puitspelu, appelle race superbe et qui a fourni tant de beaux hommes, dépassant souvent plus de cent ans, dans nos montagnes de la vieille Villa Longa.
Autres pages d'histoire
Avant la Révolution, Trèves était une annexe de la Paroisse de Longes. A la création des communes (décret du 12.11.1793), elle fut rattachée à Longes et créa la commune de Longes et Trèves.
- 01/01/2015 : Longes passe de l'arrondissement de Lyon (691) à l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692).
- 01/02/2017 : Longes passe de l'arrondissement de Villefranche-sur-Saône (692) à l'arrondissement de Lyon (691).
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Rhône
- Arrondissement - 1801-2015 : Lyon --> 2015-2017: Villefranche-sur-Saône --> 2017-2024 : Lyon
- Canton - 1801-2015 : Sainte-Colombe [renommé en 1833, C. de Condrieu] --> 2015-2024 : Mornant
- Commune - 1801-2024 : Longes
Résumé chronologique :
- 1801-1833 : Canton de Sainte-Colombe, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
- 1833-.... : Canton de Condrieu, Arrt. de Lyon, Dép. du Rhône
Patrimoine bâti
Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul
Église agrandie en 1820.
Chapelle Saint-Jean-Baptiste
Chapelle située au hameau de Dizimieux construite en 1873.
C'est madame veuve CHAMBEYRON qui fit construire la chapelle pour répondre au vœu de son mari, sur un terrain appartenant à la famille. Jusqu'au début des années 1960, les habitants ont supporté le financement des travaux d'entretien de la chapelle.
L'édifice a été bénit le 13 septembre 1916.
En 1963, la toiture s'effondre et les concitoyens de Dizimieux, formés en association, décident d'en faire don à la commune. Elle a été restaurée en 2003/2004 par la commune.
Chapelle orientée sud de style roman. Le toit à deux pans est recouvert par des tuiles mécaniques. Les murs sont en maçonnerie de pierres.
La nef est à trois travées, épaulées de contrefort. Clocher de plan carré au dessus de la première travée.
Chapelle de Nuzières
Chapelle située au hameau de Nuzières.
Chapelle placée sous le vocable du Sacré-Cœur.
La chapelle a été édifiée à l'initiative du vicaire ROUX. Elle date de 1857.
Depuis sa création, les habitants de Nuzières et des hameaux environnants ont toujours supporté le financement des travaux d'entretien de l'édifice.
Bien communal actuellement, elle a été restaurée par la commune en 1996.
Chapelle de la Vierge
- Chapelle construite en 1872 à l'instigation du curé Jean-Baptiste Fond, curé de La Chapelle-Villars, comme lieu de prières pour demander la protection de la paroisse de La Chapelle contre les intempéries.
- Chapelle de la Vierge dite chapelle Notre-Dame-des-Grandes-Roches située au Mont Monnet à la limite de la commune de Villard.
- Édifice de plan rectangulaire, à chevet plat. Le toit est recouvert de tuiles rondes, les ouvertures sont cintrées.
- La porte d'entrée est surmontée d'une niche abritant une statue de la Vierge.
- L'autel est en marbre. Il date des années 1840.
- La chapelle abrite une vierge à l'enfant et un saint-Roch.
Repères géographiques
Longes est situé au pieds des monts du Pilat.
Hameaux et Écarts
- Hameau de Dizimieux
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 1 081 | 1 274 | 1 492 | 1 408 | 1 433 | 1 405 | 1 426 | 1 461 | 1 015 | 980 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 938 | 898 | 861 | 862 | 792 | 834 | 768 | 776 | 760 | 691 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 651 | 614 | 618 | 589 | 576 | 538 | 520 | 476 | 471 | 457 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 610 | 654 | 763 | 824 | 889 | 961 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
Jean-Marie CHAMBEYRON | 1800 - 1815 | - |
Antoine FONT | 1815 - 1821 | - |
Fleury BRET | 1821 - 1830 | - |
Pierre COLOMBET | 1830 - 1838 | - |
Jean Antoine BRUYAS | 1838 - 1851 | Maire en 1849 |
Benoît BODARD | 1851 - 1860 | - |
Jean Baptiste CHAMBEYRON | 1860 - 1870 | - |
Jean-Marie BOIRON | 1870 - 1879 | - |
Jacques CHAMPIN | 1879 - 1892 | - |
Jean Antoine PEYRET | 1892 - 1908 | Maire en 1894 lors de l'inauguration d'une fontaine |
Bonaventure FATTON | 1908 - 1921 | - |
Jean Antoine BRET | 1921 - 1929 | - |
Claude Antoine PEILLON | 1929 - 1945 | - |
Antoine FOREST | 1945 - 1953 | - |
Antoine BROSSON | 1953 - 1959 | - |
Joseph VOYANT | 1959 - 1982 | (1910-1997)[1] - Sénateur du Rhône |
Gabriel ESCOFFIER | 1982 - 2000 | - |
Marie-Claire BROSSON | 2000 - 2008 | - |
Lucien BRUYAS | 2008 - (2026) | - [ Photo] |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | - |
- | - | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
André De BOZE | 1458 - | - |
- | - | - |
Clément MAYOSSON | 1574 - | - |
Pierre PINET | 12 novembre 1596 - | - |
Laurent BAJARD | 1653 - | - |
Georges SUCHET | 13 septembre 1684 - | - |
François NEYRAND | - | - |
Eustache NEYRAND | 21 avril 1722 - | Neveu du précédent |
Fleury GRANGIER | 17 avril 1744 - | - |
Charles GUINARD ou GUICHARD | 19 janvier 1774 - | - |
- | - | - |
Jean OLLAGNIER | Février 1803 - 1829 | Décès |
Jean Pierre PERRAUD-MAINANT | Décembre 1829 - | - |
Jean Nicolas ROLLAND | Mars 1831 - | - |
Jean PLANCHE | 22 Mai 1844 - 1867 | Né à Champoly le 21 septembre 1805, décédé le 3 mai 1867 |
Pierre Aristide MOLLIN | Mai 1867 - 1882 | Décédé le 14 mars 1882 à l'age de 69 ans - Inhumé au cimetière de Longes |
Henri MOREL | Avril 1882 - | - |
Jérôme MAYERY | 1887 - | (1840 - 1917) |
François SEIGNOL | 1916 - 1928 | (1868 - 1931) - Ex curé de Frontenas - Puis curé de Pontcharra-sur-Turdine |
Jean BRUNON | 1928 - 1933 | Puis curé de Saint-Paul-en-Jarez |
Paul LEVIS | 1933 - 1941 | Ex curé de Vaux-en-Beaujolais[2] - Puis curé de Millery[3] |
Robert SERRE de PAZANAN | 1941 - 1952 | Puis curé de Sainte-Marie de la Guillotière |
- | - | - |
Monument aux morts
| |
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monuments aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1793-1922)
- Naissances (1574-1591)
- Mariages (1578-1589)
Documents numérisés
- Naissance - Contient une table annuelle (1916-1916)
- Recensements (1901-1901)
- Recensements (1876-1876)
- Recensements (1866-1866)
- Recensements (1841-1841)
- Etat civil de Longes, 1761 : Baptême-Mariage-Sépulture (1761-1761)
- Etat civil de Longes, 1588-1591 : Baptême (1588-1591)
- Etat civil de Longes, 1614 : Baptême (1614-1614)
- Etat civil de Longes, 1636 : Baptême (1636-1636)
- Etat civil de Longes, 1645 : Baptême (1645-1645)
- Etat civil de Longes, 1672-1673 : Sépulture (1672-1673)
- Etat civil de Longes, 1678 : Baptême (1678-1678)
- Etat civil de Longes, 1712 : Baptême-Mariage-Sépulture (1712-1712)
- Etat civil de Longes, 1746 : Baptême-Mariage-Sépulture (1746-1746)
- Etat civil de Longes, 1762 : Baptême-Mariage-Sépulture (1762-1762)
- Etat civil de Longes, 1768 : Baptême-Mariage-Sépulture (1768-1768)
- Etat civil de Longes, 1774 : Baptême-Mariage-Sépulture (1774-1774)
- Etat civil de Longes, 1780 : Baptême-Mariage-Sépulture (1780-1780)
- Etat civil de Longes, 1786 : Baptême-Mariage-Sépulture (1786-1786)
- Etat civil de Longes, 1792 : Baptême-Mariage-Sépulture (1792-1792)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | de 09h00 à 12h00 | - | - |
Après-midi | - | - | de 14h00 à 18h00 | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : Grande Rue - 69420 LONGES
Tél : 04 72 49 26 60 - Fax : 04 72 49 26 61 Courriel : Contact Site internet : GPS : 45.50472222° / 4.68861111° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : La mairie de la commune de Longes est ouverte aux horaires suivants : Du lundi au vendredi de 9h à 12h, mercredi de 14h à 18h, 2ème et 4ème samedi de 9h à 12h . Source : Source (04/2011) |
Consultation des registres en ligne
- L'association Les Genealogistes de la Vallee du Gier ou Geneagier a numérisé les registres et les publie (1578-1895) sur son site Internet [1]
Dépouillements des registres
- L'association Les Genealogistes de la Vallee du Gier ou Geneagier a effectué les relevés et les publie sur son site Internet [2]
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Une page sur Longes sur le site de la communauté des communes
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
- http://perso.wanadoo.fr/christian.palluy/longe.htm
- Cartes postales anciennes du Rhône
Notes et références
- ↑ Geneanet
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1933
- ↑ Semaine religieuse du diocèse de Lyon - Année 1941
- ↑ Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités / par l'abbé Ad. VACHET - page 656
- ↑ Les paroisses du diocèse de Lyon : archives et antiquités / par l'abbé Ad. VACHET - page 204