68258 - Pulversheim
Pulversheim | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Haut-Rhin |
Métropole | - |
Canton | 68-17 Wittenheim
68-06 Ensisheim (Ancien canton) |
Code INSEE | 68258 |
Code postal | 68840 |
Population | 2 929 habitants (2013) |
Nom des habitants | Pulversheimois, Pulversheimoises |
Superficie | 854 hectares |
Densité | 342.97 hab./km² |
Altitude | Mini : 222 m |
Point culminant | 243 m |
Coordonnées géographiques |
47.837222° / 7.305555° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Il est question de « Volfrigesheim »[1] dès 768 dans les possessions de la célèbre abbaye de Murbach. Puis les fiefs passent aux mains de différents comtes et seigneurs, dont les Ribeaupierre de 1406 à 1645, avec parfois des querelles tranchées par la Régence d'Ensisheim.
- Puis ce sont les marquis de Rosen qui s'approprient le domaine et le gardent durant 130 années. « Ils laissent [...] entre autres traces de leur passage, le fameux "écu d'or aux trois roses de gueules (rouges)", devenu depuis 1976 les armoiries officielles de la commune »[2]. Les Ribeaupierre feront un petit retour, et le dernier seigneur avant la Révolution sera le comte de Forbach.
- En 1790, une trentaine d'habitants (sur les 150 du village) demandent au Directoire que soit créée une municipalité, et obtiennent gain de cause le 6 août.
- La commune de Pulversheim est à dominante rurale et se dépeuple au XIXe siècle siècle, certains étant attirés par le développement industriel de Mulhouse, ou même par l'étranger. La situation reste fragile jusqu'au début du XXe siècle et le conseil municipal fait des choix et des coupes franches dans son budget (priorité à l'église).
- La roue tourne avec la découverte de la potasse et le premier forage vers 1911. La main d'œuvre est nécessaire et l'on fait appel à l'émigration, notamment polonaise. Dans les années 1920, un vaste programme de logements est mis en place sous la forme de cités minières. et l'exploitation des mines du secteur aura des retombées positives sur tous les plans.
- La première guerre mondiale :
- - En août 1914, par deux fois la bataille fait rage près de Pulversheim, mais le véritable enjeu est Mulhouse.
- - Par la suite, Pulversheim devient un village d'arrière-front, avec cantonnement de troupes et aménagement d'une Kommandantur dans le chalet Sclumberger. Un ballon captif avec nacelle est également mis en place dans le secteur. Et un hôpital de campagne (Feldazarett N° 15) est installé tout près du puits Rodolphe.
- - Des chefs d'importance se déplacent : « Ainsi, le 23 septembre 1915, Pulversheim reçut-elle la visite du Kaiser lui-même, l'empereur Guillaume II »[3].
- Drame du 23 juillet 1940 :
- Ce jour-là, au fond de la mine Rodolphe, « un "coup de mur" suivi d'un dégagement de grisou entraîna la mort de 25 mineurs »[4].
- La Libération :
- - Bien que la ville de Mulhouse soit libérée en novembre 1944, Pulversheim doit attendre début 1945.
- - En effet, la commune est située à un carrefour stratégique et subit les tirs alliés visant les axes routiers. À partir du 20 janvier, les combats s'intensifient, et les habitants restent confinés dans les caves.
- - Enfin, le 3 février 1945, sous les ordres du général De Lattre de Tassigny commandant la 1ère Armée Française, les Marsouins de la 9e DIC du 23e RIC passent à l'attaque et libèrent le village vers 17h.
- - Les derniers affrontements sont à l'origine d'une citation à l'ordre de la Légion d'honneur pour le jeune lieutenant Émile GUÉNÉ, « jeune officier plein d'allant et au courage tranquille »[5].
Héraldique
- « D'or aux trois roses de gueules, pointées de sinople et boutonnées du champ. »
Histoire administrative
- Département - 1801-1871 : Haut-Rhin, 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne), 1919-2024 : Haut-Rhin
- Arrondissement - 1801-1871 : Colmar, 1871-1919 : Kreis Guebwiller, 1919-2015 : Guebwiller, 2015-2024 : Mulhouse
- Canton - 1801-2015 : Ensisheim - 2015-2024 : Wittenheim
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Modèle:Histoire Industrielle
- Pulversheim est une des douze communes situées sur le gisement potassique (20000 hectares) exploité pendant une centaine d'années par les Mines de Potasse d'Alsace (MDPA) ou la Société Kali Sainte-Thérèse.
- Le carreau Rodolphe faisait partie du quatrième groupe des Mines KST (= de Kali Sainte-Thérèse), qui comportait huit puits. La concession de ce carreau s'étalait sur trois bans communaux : Ensisheim, Pulversheim, et Ungersheim. « Les mines Alex, Rodolphe I et II, ainsi que Ungersheim I et II formèrent la division Bollwiller »[6].
- Le site des deux puits Rodolphe employait un millier de personnes, réparties sur deux sites d'extraction, Rodolphe I et Rodolphe II : bâtiments de recette des deux puits, chevalements, hangars à sel et à cristallisation, bâtiment des mélanges, et un château d'eau.
- L'activité s'est terminée en 1976. Le dernier sel a été extrait le « 25 juin 1976 »[4] et offert en flacon souvenir à chaque mineur.
- Une réhabilitation a vu le jour à partir de 1993, en commençant par la machine à extraction du puits Rodolphe I. Maintenant le site appartient à l'Écomusée d'Alsace, et l'association "Groupe Rodolphe" continue la restauration et redonne vie au site par le biais de certaines manifestations comme "Kalistoire".
Le nom des puits
Les premiers puits ont été baptisés des prénoms des pionniers Amélie Zürcher et Joseph Vogt (ou des membres de leur famille)
Pour la deuxième série, le Kaiser a tenu à leur attribuer les patronymes des premiers directeurs allemands.
Pour ceux du site Bollwiller-Pulversheim, c'est différent, ils ont été nommés Rodolphe en hommage au dernier baron de la commune[7], « qui est décédé au château de Bollwiller en 1616 »[8].
- Puits Rodolphe I :
Son fonçage dura d'avril 1911 à août 1913.
Son diamètre « était de 4,50 m »[9].
La machine d'extraction, la plus ancienne d'Alsace, date de 1912 et « était équipée d'un moteur de 404 KW »[10].
Le chevalement en métal date de la même année et sa hauteur est de 40 mètres.
Pendant la première guerre mondiale, le bâtiment a servi de dépôt de munitions, et il fut bombardé la nuit du 31 décembre 1915.
Le bâtiment de recette, attenant, a été construit une vingtaine d'années plus tard. Le groupe Rodolphe y a reconstitué une lampisterie et une salle des pendus (Voir la page sur les Métiers de la mine).
Le chevalement est inscrit à l'inventaire du patrimoine historique[11]
- Puits Rodolphe II :
Le forage du puits, d'un diamètre de 5,5 mètres, « fut entrepris le 1er juillet 1925 »[12]. Le fonçage dura plus de deux ans. « La profondeur de 745, 80 mètres fut atteinte le 1er mars 1928 »[4].
Le bâtiment de la recette (78 m de long, 37 de large et 30 de haut[10]) a été construit en 1928, ainsi que son chevalement en béton, haut de 53 m, dont le nom est inscrit en relief au sommet (ce qui est le seul cas dans le bassin potassique).
La machine d'extraction, installée également en 1928, disposait de deux moteurs SACM Belfort de 980 KW. (Elle est encore en état de marche). Le puits a démarré son activité en 1929.
En 1938, on construit un hangar pour abriter les bacs à cristallisation. « Il ne reste aucun autre exemplaire de hangar à cristallisation de ce type dans le bassin »[13].
Le chevalement en béton est inscrit à l'inventaire du patrimoine historique[14].
L'école des mines
Une école est créée en 1919, patronnée par la Société Industrielle de Mulhouse. En 1945 elle est délocalisée à Pulversheim et devient l'École Technique et Pratique des Mines de Mulhouse (ETPM) : elle forme les mineurs jusqu'au niveau de la maîtrise.
Les cités minières
L'exploitation des mines a transformé le territoire, non seulement sur le site industriel, mais aussi par la création de cités minières, avec une vision "paternaliste" à l'instar des grands patrons du textile mulhousien. Outre les petits pavillons de deux appartements, tout était conçu pour le bien-être des mineurs grâce à une infrastructure étoffée : lieux de culte, stades et gymnases, maisons d'associations et salle des fêtes, centres médicaux... Quant aux écoles, « jusqu'en 1932 [...] les Mines assuraient entièrement leur entretien et leur fonctionnement »[15].
Patrimoine bâti
L'église Saint-Étienne
- Un premier édifice religieux est cité au XIIIe siècle.
- Une petite chapelle est construite en 1827 mais devient très vite trop étroite.
- C'est en 1887 que l'on édifie l'église Saint-Étienne, au même emplacement. L'architecte Schmitt conçoit les plans sous la forme d'un vaisseau unique, en grès et moellons. Le toit à longs pans et la flèche polygonale sont couverts de tuiles plates et d'ardoises. Les quatre petits pignons sont couverts.
- Elle a subi quelques dégâts durant la seconde guerre mondiale.
- À l'intérieur se trouve une statue en bois, datant probablement de la fin du XVe siècle, qui « provient sans doute d'un calvaire (du couvent de Schœnensteinbach ?) »[16]. La sainte représentée n'est pas identifiée.
L'église Saint-Jean
Cette église d'un style contemporain, située place Georges Bourgeois, a été construite en 1968 car l'église Saint-Étienne s'avérait trop petite. Elle constitua alors un "lien" entre le village ancien et la nouvelle cité KST.
Un presbytère
Il date de 1865 et ne semble pas avoir été restauré.
La mairie-école
Jusqu'en 1812, il n'est pas question d'école dans le village. C'est sous le mandat de J.B. Sigrist que le préfet Desportes propose (à ses frais) d'installer un maître dans la commune. Puis en 1832, la construction d'un bâtiment, pour garçons, est votée par le Conseil municipal. Deux ans plus tard, il est décidé que les filles y seront aussi admises.
Un projet de nouvelle école commence à voir le jour en 1912, mais sa mise en œuvre est sans cesse reportée. Le déclencheur de sa réalisation va être la création de la cité Sainte-Thérèse pour loger 280 familles de mineurs.
Cette école est « inaugurée le 24 juillet 1932 »[17] dans le bâtiment central qui accueille aussi les locaux de la mairie.
Après la guerre et les réparations qui s'imposent sur cet édifice, il est prolongé par les deux ailes latérales, permettant ainsi de réaliser quatre autres classes et une salle des fêtes.
Les vestiges du château
Non loin de l'église, il reste quelques pans de murs de l'ancien château (carré avec quatre tours et fossés), reconstruction avant 1510 d'un premier édifice détruit à la fin du XIVe siècle.
Repères géographiques
Commune haut-rhinoise dépendant du canton de Wittenheim, Pulversheim se situe dans la plaine, à 13 km au nord-ouest de Mulhouse.
Le ban communal est agrémenté de forêts et traversé par la Thur, affluent de l'Ill.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 157 | 187 | 208 | 286 | 347 | 335 | 324 | 337 | 335 | 329 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 340 | 350 | 321 | 281 | 274 | 291 | 287 | 303 | 309 | 307 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 283 | 262 | 271 | 376 | 675 | 1 050 | 1 510 | 1 747 | 1 876 | 2 130 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 2 006 | 2 021 | 2 266 | 2 744 | 2 910 | 2 940 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2013
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Joseph STADLER | 1790 - 1798 | Premier maire de la municipalité créée le 23 août 1790 |
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Jean-Baptiste SIGRIST | 1812 | |
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HUEBER | 1834 - | |
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Xavier HIMMELSPACH | 1848 - 1871 | Né en 1814. Il remet sa démission en 1871 pour raisons politiques |
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Camille HUEBER | 1914 - 1940 | C'est lui qui accueille le nouvel instituteur Ewald HIRSINGER |
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Georges BOURGEOIS | 1945 - 1977 | Député. Président du Conseil Général du Haut-Rhin |
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Louis FEDER | 2001 - 2008 | |
Jean-Claude EICHER | 2008 - 2020 | |
Christophe TORANELLI | 2020 - (2026) | |
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Cf. : MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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ESCHBACH | 1834 - | |
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ONIMUS | 1939 - | |
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Gérard BRETA | - | Il dessert aussi Bollwiller. Il décède le 1er juillet 1998 à l'âge de 67 ans. Enterré à Sewen où il est né. |
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Les instituteurs
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Martin MULLER | avant 1828 - | Originaire du Tyrol. Il recevait ses élèves dans sa maison en hiver. L'été, il était maçon. |
François STAHL | après 1828 - | Natif de Réguisheim. Accueillait également les enfants à son domicile |
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KRAM | 1840 - | Il reçoit 2,50 F par enfant durant le semestre hivernal, puis 10 centimes par semaine pour les autres mois. |
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Ewald HIRSINGER | 1920 - 1959 | Né à Lautenbachzell le 25 décembre 1894. Il se réfugie en Ardèche en 1914 et s'engage dans la légion étrangère en 1917. Après l'Armistice, il revient en Alsace et est nommé à Pulversheim. En 1932, il devient directeur de l'école de garçons, et reprend ses fonctions après la Libération. Retraité en 1959, il continue pendant trois ans son travail de secrétaire de mairie. Ewald HIRSINGER est distingué Citoyen d'honneur de la commune le 24 septembre 1962. Se passionnant pour l'Histoire du village, il publie en 1977 La chronique de Pulversheim. Il est aussi membre fondateur de la Société d'Histoire de Pulversheim, dont il est président d'honneur. Ewald HIRSINGER décède le 25 novembre 1980[18]. |
Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Étienne ARNOLD | 12 février 1838 | Capitaine en 1er du 2e Régiment d'Artillerie-Pontonniers. Chevalier en juillet 1880. Officier en janvier 1894. Son dossier |
Monument aux morts
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1892)
Documents numérisés
- Recensement de 1836 Haut-Rhin de la commune de Pulversheim (1836-1836)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1792-1862)
- État civil (1793-1862)
- Tables décennales (1883-1892)
- État civil (1820-1875)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1820-1875)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1873-1882)
- Recensements (1866-1866)
- Tables décennales (1803-1872)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1792-1862)
- État civil (1883-1890)
- Tables décennales (1873-1882)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1891-1892)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 - 12h15 | 8h30 - 12h15 | 8h30 - 12h | 8h30 - 12h15 | 8h30 - 12h15 | - | - |
Après-midi | 13h30 - 17h30 | 13h30 - 17h30 | - | 13h30 - 17h30 | 13h30 - 16h30 | - | - |
Mairie |
Adresse : 1, place Charles de Gaulle - 68840 PULVERSHEIM
Tél : 03 89 83 69 00 - Fax : 03 89 48 04 18 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Mairie & L'annuaire Service Public (Décembre 2016) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Gabriel WACKERMANN, Le PAYS de la POTASSE, des lieux et des hommes, Obernai, Le Verger éditeur, 1989, 112 pages, n° éditeur 09, n° imprimeur 8919.
- Les cahiers de la Société d'Histoire de Pulversheim, n°2, mars 2000, 59 pages.
- KALI, images du bassin potassique d'Alsace, Guebwiller, STYX Éditions, 1980, 139 pages.
- Eugène J. Bertrand et Denis Schott, Puits et Cités des Mines de Potasse d'Alsace, 1904 - 1939, Wittelsheim, Maison du Mineur et de la Potasse, 1989, 120 pages, dépoôt légal 2e trimestre 1989.
- Chip Buchheit et Virginie Roy, Patrimoine minier d'Alsace, le bassin potassique haut-rhinois, collection "Itinéraires du patrimoine", réalisé par la DRAC d'Alsace, édition Lieux Dits, 2004, 72 pages, ISBN 2-914528-12-4.
- Gilbert Poinsot, Alain Hauss, Olivia Lind, Michèle Schneider-Bardout, Canton d'Ensisheim, Haut-Rhin, Images du patrimoine, collection "L'inventaire", Illkirch, Le Verger éditeur, 1990, 72 pages, ISBN 2-908367-19-X.
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la commune
- Page du village par le Centre de Recherches sur l'Histoire des Familles
- GenCom
- Histoire du carreau Rodolphe
- Cités minières - Kalivie
Notes et références
- ↑ Armoiries des communes du Haut-Rhin
- ↑ Page 5 dans l'article de Claude BLIND intitulé "À Pulversheim, au Moyen-Âge, les mois de janvier furent particulièrement durs pour le régime féodal", pages 4 à 6, in Les cahiers de la société d'Histoire de Pulversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ Page 28 dans l'article de Claude BLIND intitulé "La guerre 1914/18, pages 26 à 29, in Les cahiers de la société d'Histoire de Pulversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ 4,0 4,1 et 4,2 Page 20 dans l'article de Zdislaw KRYZANSKI intitulé "Forage du puits Rodolphe II", pages 18 à 21, in Les cahiers d'Histoire de Pulversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ Page 33 dans l'article de Zdislaw KRYZANSKI intitulé "La libération de Pulversheim le 3 février 1945", pages 29 à 34, in Les cahiers de la société d'Histoire de Pulversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ Page 85, in Eugène J. Bertrand et Denis Schott, Puits et Cités des Mines de Potasse d'Alsace, 1904 - 1939, Wittelsheim, Maison du Mineur et de la Potasse, 1989, 120 pages, dépoôt légal 2e trimestre 1989.
- ↑ Qui dépendait alors de l'empereur autrichien
- ↑ Page 30, in Gabriel WACKERMANN, Le PAYS de la POTASSE, des lieux et des hommes, Obernai, Le Verger éditeur, 1989, 112 pages, n° éditeur 09, n° imprimeur 8919
- ↑ Page 1 dans l'article de Zdislaw KRYZANSKI intitulé "Forage du puits Rodolphe II", pages 18 à 21, in Les cahiers de la Société d'Histoire de Pulversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ 10,0 et 10,1 Dépliant de l'association "Groupe Rodolphe"
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Page 18 dans l'article de Zdislaw KRYZANSKI intitulé "Forage du puits Rodolphe II", pages 18 à 21, in Les cahiers de la Société d'Histoire de Pluversheim, n° 2, mars 2000, 59 pages
- ↑ Page67, in Chip Buchheit et Virginie Roy, Patrimoine minier d'Alsace, le bassin potassique haut-rhinois, collection "Itinéraires du patrimoine", réalisé par la DRAC d'Alsace, édition Lieux Dits, 2004, 72 pages, ISBN 2-914528-12-4.
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Page 7 dans l'article de Philippe KOCH intitulé "Le sel de la Terre", pages 1 à 8, in KALI, images du bassin potassique d'Alsace,Guebwiller, STYX Éditions, 1980, 139 pages
- ↑ Page 57, in Gilbert Poinsot, Alain Hauss, Olivia Lind, Michèle Schneider-Bardout, Canton d'Ensisheim, Haut-Rhin, Images du patrimoine, collection "L'inventaire", Illkirch, Le Verger éditeur, 1990, 72 pages, ISBN 2-908367-19-X.
- ↑ Page 17 dans l'article d'Alfred KALUZINSKI et Véronique QUENNOUELLE intitulé "L'école à Pulversheim", pages 15 à 18, in Les cahiers de la société d'Histoire de Pulversheim, n° 2, Mars 2000, 29 pages
- ↑ Commentaires détaillés et portrait pages 54 à 58 in Les cahiers de la Société d'Histoire de Pulversheim, n°2, mars 2000, 59 pages