68180 - Leimbach
Leimbach | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 68180 |
Code postal | 68800 |
Population | 740 habitants (1999) |
Nom des habitants | |
Superficie | 400 hectares |
Densité | 185 hab./km² |
Altitude | 350 m |
Point culminant | 663 m |
Coordonnées géographiques |
-° / -° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Héraldique
D'or au portail roman d'église de gueules maçonné de sable brochant sur une crosse de gueules en pal, au coucou au naturel posé sur le fut de la crosse.
Histoire administrative
- Département - 1801-.... :
- Arrondissement - 1801-.... :
- Canton - 1801-2015 : Thann - 2015-2017 : Cernay
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Ancienne Église Saint-Blaise
Église Saint-Blaise
Chapelle Notre Dame de la Heiden
Arrivé sur les hauteurs qui dominent notre village, au Nord-Est, au lieu-dit "Bei der Kapelle", le promeneur aperçoit la petite chapelle dédiée à Notre-Dame " Von der Heiden".
La présence de cet humble sanctuaire au milieu des champs est le témoin silencieux de la foi et de la reconnaissance manifestées par nos aïeux à l'égard de la bonté divine et de l'intercession de Notre-Dame.
Les origines de la construction de la chapelle nous sont inconnues. Elle remonte sans doute au XVième siècle, car l'inventaire des biens de l'Abbaye d'Oelenberg dressé en 1666 fait mention du lieu dit " Alt Kappel " et " auf der Heyde ".
Ce que nous en savons : la petite chapelle était de forme carrée. Sur le mur avant, à l'intérieur, se trouvait une statue en grès jaune représentant la Vierge Marie avec l'Enfant Jésus sur son bras gauche. Cette statue est toujours en place. Elle est polychrome, mais pendant longtemps elle avait été habillée, ne laissant apparaître que les mains et les visages. Il semble qu'il y avait aussi des ex-voto.
Sous la révolution, en 1792, suivant un décret de la République, cet édifice devait être détruit parce qu' "inutile au culte et servant à des fins fanatiques". Le président du Conseil de Fabrique et sacristain de l'époque, Louis DUMEL ( mon ancêtre ), cacha la statue de la Vierge pour la soustraire à la destruction et au sacrilège. Les habitants de Leimbach, qui aimaient bien leur petite chapelle, utilisèrent une ruse pour la sauvegarder. Le sacristain fut chargé d'aller à Thann pour proposer aux autorités de laisser le petit édifice debout et de l'affecter au garde-champêtre pour qu'il puisse se mettre à l'abri par mauvais temps, car le secteur "Heiden " et une partie de Leimbach étaient recouvert de vignes dont la qualité, disait-on, était de qualité à peine inférieure à celle du Rangen. La proposition fut acceptée et la chapelle sauvée. Mais le sacristain fut dénoncé pour avoir agi contre la loi. Il fut arrêté et mis en prison à Thann. La politique changea et Louis DUMEL put rejoindre sa famille et son village à la grande satisfaction de tous.
Sous Napoléon, la paix revenue, la chapelle a été réaménagée et la Vierge a repris sa place.
En 1840, la petite chapelle continuait d'être un lieu de pèlerinage et de promenade le dimanche après-midi, aussi bien pour les gens de Leimbach que de Thann et des environs. Avec les offrandes des fidèles, le curé BAUMANN fit agrandir la chapelle en y ajoutant une partie semi-circulaire pour y ériger un petit autel en pierre, avec pierre d'autel et habillé de bois. Devant la chapelle il fit mettre un auvent soutenu par deux poutres pour la protection contre la pluie.
Entre 1856 et 1870, le curé Joseph MONATH fit remplacer les deux poutres en bois par des piliers en fonte qui sont encore en place aujourd'hui. En juin 2011, l’entreprise Georges WUCHER de Leimbach fut chargée de réaliser un doublage des colonnes en fonte pour leur redonner l’aspect d’origine. Le curé MONATH fit aussi aménager l'auvent en y mettant une niche pour une statue.
Entre 1870 et 1876, le curé ABT fit placer dans cette niche une statue en bois de la Vierge Marie qui se trouvait initialement sur le portail de l'ancienne église. Le toit fut refait, le sol dallé et la statue restaurée, en lui adjoignant un socle.
En 1914-1918, pendant la première guerre mondiale, la chapelle servit d'observatoire aux soldats français. Elle fut donc très exposée aux tirs des allemands, car les ballons ennemis montant de l'Ochsenfeld ne tardèrent pas à découvrir ce poste. Un obus tombé à quelques mètres arracha la toiture. Mais les statues avaient déjà été transportées, d'abord dans l'église, puis dans la baraque qui servit au culte.
Entre 1920 et 1925, la chapelle fut à nouveau restaurée. Les tuiles de l'ancien presbytère détruit pendant la guerre servirent à la couvrir. En 1922, la défunte épouse de Monsieur Aimé GERRER de Thann lègue dans son testament une somme de 400 Frs à la commune de Leimbach. Le maire de l'époque, Blaise FOLTZER, transmet cette somme au conseil de fabrique pour la chapelle, vu que celle-ci avait été oubliée dans l'inventaire des dommages de guerre. Et les fidèles, malgré leurs propres difficultés, aideront aussi à la restauration. Le 28 septembre 1924, Charles PESSEUX, doyen de Thann, procède à la bénédiction de la chapelle pour pouvoir y célébrer des messes. Les témoins étaient : Alphonse BAUR, curé de Roderen, Paul KOHLER, curé de Bourbach-le-Bas, qui ont signé avec le doyen et le curé Eugène WENDLING.
En 1939-1940, nouvelle guerre, mais la chapelle sera régulièrement ouverte et fleurie grâce au dévouement de Mlle Cécile BRUCKERT qui en assurera la garde et l'entretien des années durant, jusqu'à son décès en 1980.
En 1954, une nouvelle réparation devient urgente. Le maire, Georges NEFF, envisage des travaux pour 1955, mais demande que le plus urgent, le toit, soit réparé le plus rapidement possible par des volontaires bénévoles.
En 1956, le conseil de fabrique se penche sur le sort de la statue en bois qui a été enlevée de la niche extérieure et est en instance de restauration chez le sculpteur ERNY à Colmar. Deux hypothèses opposent une partie du conseil et le curé SEGINGER aux autres membres :
1. Placer la statue originale restaurée dans l'église pour la mettre à l'abri des intempéries et du vol, et la remplacer par une copie.
2. Remettre cette statue à sa place en bouclant la niche avec une vitre fermant à clé.
Le conseil n'arrivant pas à se mettre d'accord, le cas est soumis à la commission d'art sacré du diocèse, qui opte pour la première solution. Le 8 septembre 1957, une copie est mise en place dans la niche. Quant à la statue originale, elle trouvera place dans l'église paroissiale au-dessus du baptistère, à côté de l'autel de la Vierge, la statue votive de Notre-Dame auf der Heiden, en pierre, restant à la chapelle : les deux sont classées monuments historiques en avril 1984.
En 1972, les problèmes d'entretien reviennent à l'ordre du jour. Le maire, le président et le secrétaire du conseil décident de se rendre sur place : il s'agit surtout de la toiture, du portail et de l'encadrement des fenêtres.
En 1975, les travaux de restauration commencent par la remise en état de la toiture par l'entreprise UGB Alsace, et la menuiserie, par l'entreprise René DIESEL. En 2004 la municipalité lance les travaux de réfection de la toiture et des gouttières. Les travaux sont confiés à l’entreprise Gilbert BURGUNDER de Kruth. En 2008, des voleurs de cuivre vandalisent l’édifice ; les gouttières, les descentes, et les planches de rive en cuivre sont arrachées. Elles seront remplacées en tôle laquée
En 1976, l'assainissement extérieur, rendu nécessaire par l'humidité permanente, et la peinture extérieure de la chapelle sont réalisé par les membres du conseil de fabrique, conseillés et aidés bénévolement par Monsieur ZANUTTINI, peintre à Thann.
En 1977-78, l'extérieur étant terminé, le conseil s'attaque à l'intérieur. Après avoir consulté des gens du métier, il est décidé de décaper tout le plâtre et de le remplacer par du crépi à l'ancienne permettant aux murs de respirer. Les poutres, après traitement et restauration seront laissées apparentes.
La restauration de la statue de Notre-Dame auf der Heiden, du tableau du Christ en croix et de la sainte scène est confiée à un spécialiste, Monsieur MEYER de Hartmannswiller. Il fera aussi un petit autel (avec la chaire, récupérée de l'église de Rammersmatt, et qui date de la première moitié du XVIIIième siècle, les reliefs rapportés représentent l'allégorie de la foi, l'espérance et la charité) face au peuple, en remplacement de l'ancien autel accolé au mur.
Les vitres, toujours cassées, seront remplacées par des vitraux en matière incassable, fabriqués par l'organiste Paul KUENEMANN. Ils seront remplacés en 2010 par de nouveaux vitraux, financés par une souscription publique l’ancée par la Société d’Histoire de Leimbach, et réalisés par l’entreprise JAEGY d’Elbach.
C'est ainsi que le petit sanctuaire a retrouvé sa simplicité initiale qui fait l'admiration de nombreux passants. Cela a été possible grâce aux nombreux dons des fidèles et à bon nombre de journées de travail des membres du conseil de fabrique et de quelques volontaires.
Après le décès de Mlle Cécile BRUCKERT, le fleurissement est assuré par Mr. et Mme Albert AST durant de très longues années, puis par Jean Pierre TROMMENSCHLAGER, président du conseil de fabrique jusqu'en 1995.
C'est le 1er juillet 1995 que Madame Monique EHRET-KUENEMANN, petite cousine de Cécile BRUCKERT, reprendra le fleurissement du petit sanctuaire si cher à la population leimbachoise et qui est ouvert tous les dimanches à partir de la fin avril jusqu'à novembre.
C’est en 1988, sous l’impulsion de Charles HIPPLER vigneron au Rangen, que la première messe des vignerons de Thann et environ fut célébrée en ce lieu. Mon ancêtre Louis DUMEL peut être heureux, les vignerons perpétue la tradition, la chapelle est sauvegardée
Albert Ehret
Archiviste Municipal
Le vignoble
Le vignoble fit son apparition très tôt dans notre village. Le 28 novembre 1306(1), André Pierre, maire de Roderen ( qui était également maire de Leimbach ) vend au monastère du Lieu-Croissant 12 schatz de vignes situés sur le territoire de Leimbach, pour la somme de 22 Livres de Deniers Bâlois et d'une rente perpétuelle de 100 litres de vin blanc. Le 25 octobre 1315 (2), Thierry Coillarz, couvert de dettes, abandonne à l'abbaye du Lieu-Croissant, 3 journaux et ses vignes situées à Leimbach, et les reprend en location pour une rente annuelle d'un char de vin blanc.
En 1456 (3), l'évêque Arnold von Rotberg élève Leimbach au rang de paroisse, à charge de verser au chapitre de l'Oelenberg 10 litres de vin par habitant. Cette quantité sera lourdement contestée en 1739 lors du procès dit " Betwain Protzess".(4)
En 1472 (5), le père Friedrich Roth des Augustins de l'Oelenberg relance le pèlerinage de Saint-Blaise. C'est de cette époque que date la coutume qui se pratique encore de nos jours : le jour de la fête du Saint Patron, le 3 février, les fidèles boivent le vin béni dans le crâne relique recouvert d'or.
En 1581 (6), les chargeurs de vin de Leimbach payent comme contribution à la Seigneurie, le jour de la nativité de Notre Dame, la somme d'une livre et dix Schillings. Le recensement de 1659(7) effectué après la guerre de Trente Ans (qui fut très dévastatrice pour le vignoble) nous donne l'état de la population ainsi que sa profession. Sur les 23 chefs de famille recensés, 18 étaient vignerons. Le terrier du couvent de l'Olenberg de 1662(8) mentionne les lieux-dits où les moines avaient des vignes.
Im Altenberg 67 ares-Am Ranckh-Im Grundtweg-Im Jungenstückh-Im Baumgarten-Vor dem Törlen-Beim Langen Strang-Auf der Heiden-Im Jungenberg-Am Blosen-Im Leimbacher Bann-In der Winterholden Hinter der Kappell 25 ares -Am Isenberg-Im Heichholtz-Vor dem Hoff-In dem Espen-AmAspenweg-Am Thannenberg-In der Niederen Kolchgrueben-Am Newenweg-In den Bürcken-Am Strangen hinder der Closteren 42 ares.
L'inventaire général de la Seigneurie de Thann en 1698 (9) fait état de 18 vignerons et d'un vignoble à Leimbach de 12 hectares 66. Dans un rapport d'un économe de l'Oelenberg au XVIIIè siècle(10), les meilleurs vins de Leimbach provenaient de l'Altenberg, du Jungenberg et de la Heiden et ne cédaient presqu'en rien en qualité au vin de Cernay, ville où le couvent avait ses meilleures vignes (clos de la Huben et du Weingarten).
Le vin de table des Jésuites d'Oelenberg était souvent un mélange de vin de Leimbach et de vin de Cernay (11). Les Pères Jésuites de Fribourg qui géraient le prieuré de l'Oelenberg depuis la guerre de Trente Ans, percevaient 150hl de vin sous forme de dîme en tant que collateurs de la paroisse de Saint-Blaise (12). L'évêque de Bâle percevait également 400 hl de vin de Leimbach et de Roderen.(13)
Aux environs de 1762 César François Cassini de Thury établit la grande carte de France. Sur l'extrait de notre région, le vignoble de Leimbach est très bien représenté, notamment sur la Heite et in der Bürckhen.
(1) Trouillat Tome III p.686
(2) Trouillat Tome III p.698
(3) A.D.H.R 24H Olenberg A1-10
(4) A.D.H.R. 8G Leimbach N°32
(5) A.D.H.R. 15 J 2053 (5) L’église de Leimbach et le culte de St.Blaise A. Moschenross 1947
(6) Archives du Palais de Monaco T1091
(7) Archives du Palais de Monaco T1091
(8) A.D.H.R. H.Oelenberg C12
(9) André Ganter CDHF
(10) Die Rechte und Bezitztkümer des Kloster Oelenberg im Ober-Elsass 1766 Mulhouse 1872
(11) Archives du Palais de Monaco T1090 (12) La Seigneurie de Thann Ch. Weymann
(13) Der Zehnthof A. Behra Sennheim 1934
Sous la révolution, par décret de la république, la chapelle de la Heiden devait être détruite parce que "inutile au culte et servant à des fins fanatiques".(14) C'est grâce à Louis Dumel, président du conseil de fabrique, sacristain, procureur municipal et garde champêtre que la chapelle fut sauvée. Il s'en servit comme abri par mauvais temps, dans sa fonction de garde-vignes de la Heiden, qui était couvert du plus grand vignoble de la commune, et "produisait un vin de qualité qui venait juste après celui du Rangen".(15) Le plan du ban en 1765(16), nous donne les numéros des parcelles, leurs noms et leurs surfaces.
N° 14 Birken und Eichhollzreben 36 Arpents
N° 15 der Berg 7 Arpents
N° 16 Isenbourg 5 Arpents
N° 17 Heiten und alten Reben 57 Arpents
N° 18 Gabels 23 Arpents
N° 19 Kalkgruben 15 Arpents
soit un total de 143 Arpents
Le livre foncier de 1826 (17) nous indique que 48% des revenus de la commune provenaient de la vigne. C'est en 1899 suivant Médard Barth(18) que le vignoble de Leimbach était à son apogée avec une surface de 42 ha. Entre le 6 avril et le 6 juin 1984, l'Institut National des Appellations d'Origine des Vins et Eaux de Vie mena une étude sur le vignoble de Leimbach, d'où il ressort que les parcelles suivantes sont classées Appellation d'Origine Contrôlée: Winterhalden-Kalkgrube-Obere Heiden-Ludwigsheiden-Niedere Heiden-Obere Altenberg-Straeng.
Par arrêté du ministre de l'agriculture du 3 décembre 1990, les 20 ha du vignoble de Leimbach sont classés A.O.C. , et attestés le 24 septembre 1993 par Gisèle Berbach, ingénieur Délimitation à l'I.N.A.O. de Colmar, comme étant la limite Sud du Vignoble Alsacien.
En 1990, je fus l'instigateur du renouveau de la route du vin. Le dossier fut retenu par le CIVA, et la commune de Marlenheim. La réalisation fut confiée à la région. En remerciement pour cette initiative, le 24 septembre 1994, le cortège de l'inauguration de la Route des Vins d'Alsace fait halte au carrefour Frantz.
De nos jours, il y a encore 7 vignerons récoltants dans la commune.
- François Claerr à la Kalkgrube.
- Sébastien Flumiani à la Obere Heiden.
- André Heitz à la Niedere Heiden.
- Claude Monnier à la Obere Heiden : il revend sa production à la St. Sparr de Sigolsheim, pour l'élaboration du Crémant d'Alsace.
- Eugène Peter à la Ludwigsheiden.
- Lucien Monnier à la Obere Heiden.
- Paul BUECHER (de Wettolsheim) à la Kalkgrube
Albert Ehret
(14-15) Die Kapelle auf der Heiden par J. Baumann Nouveau Rhin Français du 13/09/1967
(16) A.D.H.R. C 1167
(17) Archives municipale de Leimbach
(18) Des Rebbau des Elsass Tome 2 par Médard Bard
I.N.A.O. Institut National des Appellations d’Origine
CIVA Conseil Interprofessionnel des Vins d’Alsace
1 Schatz = 99m2 1 Arpent du roi = 51 ares 07m2
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | - | - | - | - | - | - | - | - | - | - |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | - | - | - | 827 | 833 | 877 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : [Cassini], INSEE 2006, 2011 & 2013
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
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- | - | - |
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- | - | - |
- | - | - |
René KAPPELEN | 2008 - 2020 | - |
Philippe ZIEGLER | 2020 - (2026) | - |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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- | - |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1792-1892)
Documents numérisés
- Ventes - Contrat de Mariage - Caution - Testament - Obligation Leimbach (1613-1754)
- Inventaires après décès Leimbach (1601-1729)
- Recensement de 1836 Haut-Rhin de la commune de Leimbach (1836-1836)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1820-1862)
- Recensements (1866-1866)
- Tables décennales (1792-1872)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1883-1892)
- Tables décennales (1873-1882)
- Inventaires après décès Leimbach (1771-1789)
- Tables décennales (1863-1892)
- État civil (1792-1862)
- État civil (1793-1862)
- État civil (1792-1819)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | - | - | - | - | - | - |
Après-midi | - | - | - | - | - | - | - |
Mairie |
Adresse : - 68800 LEIMBACH
Tél : - Fax : Courriel : Site internet : GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : () |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Page du village de Leimbach, par le CDHF de Guebwiller
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes