68082 - Ensisheim

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Ensisheim
Blason Ensisheim-68082.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 68 - Blason - Haut-Rhin.png    Haut-Rhin
Métropole -
Canton Blason Ensisheim-68082.png   68-06   Ensisheim

Blason Ensisheim-68082.png   68-06   Ensisheim (Ancien canton)

Code INSEE 68082
Code postal 68190
Population 7 395 habitants (2013)
Nom des habitants Ensisheimois, Ensisheimoises
Superficie 3 659 hectares
Densité 202.1 hab./km²
Altitude Mini : 213 m
Point culminant 231 m
Coordonnées
géographiques
47.865555° / 7.3525° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
68082 - Ensisheim carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire.png Histoire de la commune

Contenu Histoire sur mon brouillon pour le moment, en attente de relecture et d'avis)

Héraldique

Blason de la ville
Blason du Landgraviat

« De gueules à la fasce d'argent ».

Ce blason correspond aux armoiries de l'Autriche, concédées par l'empereur Ferdinand Ier en 1558, « mais sans heaume ni cimier »[1].

Le blason de la ville ainsi que celui du Landgraviat de Haute-Alsace est représenté sur le monument Rodolphe, sculpté en 1900.

Toponymie

Les deux premières formes qui apparaissent au VIIIe siècle sont très proches : Enguisehaim en 765 et Engehisehaim en 768.
Au siècle suivant la dénomination est Ensigesheim, et en 1052 Ensichesheim.
Le radical "Ensi" correspondrait selon les historiens au mot "glaive" et le suffixe germanique "heim" signifie "habitation ou hameau". La composition pourrait donc correspondre à "ville de justice".

Histoire administrative

  • Département - 1801-1871 : Haut-Rhin, 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne), 1919-2024 : Haut-Rhin
  • Arrondissement - 1801-1871 : Colmar, 1871-1919 : Kreis Guebwiller, 1919-2015 : Guebwiller, 2015-2024 : Thann-Guebwiller
  • Canton - 1801-2024 : Ensisheim

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Patrimoine civil

Palais de la Régence

Palais, côté place de l'église Photo B.ohland
Palais, côté rue de la 1ère armée Photo B.ohland
  • Le Palais de la Régence, classé aux Monuments historiques en 1898[2], a connu diverses affectations au cours de son histoire.
Construit de 1535 à 1547, il est destiné à abriter le siège administratif et juridictionnel de la Régence et un présidial de la noblesse. Durant la guerre de Trente ans, il sert de caserne. De 1658 à 1674, le Conseil souverain s'y installe, puis le Conseil provincial. En 1701, Il est cédé à la ville par Louis XIV et devient l'hôtel de ville jusqu'en 1961, avec une parenthèse en 1916 où il accueille l'État-Major de la Division d'Infanterie engagée dans les combats du Hartmannswillerkopf.
Actuellement, le rez-de-chaussée du palais abrite le musée de la ville (sections archéologie, Histoire de la ville, histoire des mines et météorite) tandis que la grande salle sert encore pour les expositions, réceptions ou mariages.
  • De style "Renaissance rhénane", le palais est l'œuvre de Stéphane Gadinner et Heinrich Hermann, qui se sont inspirés de l'hôtel de ville de Bâle. Son plan est en équerre, avec une grande aile reposant sur la halle ouverte constituée d'un portique à arcades brisées. Une tour d'escalier octogonale agrémente la jonction des deux ailes. La façade donnant sur la rue principale « adopte un schéma typiquement italien »[3] et comporte un balcon de forme peu courante, lieu de proclamation des diverses décisions émises par le Conseil.
  • La grande salle d'apparat, de 6 mètres de haut, est richement décorée de boiseries aux murs et au plafond ainsi que de colonnes Renaissance. On y remarque aussi un poêle de chauffage en terre cuite, de 3,27 m de haut, répertorié à l'inventaire général du patrimoine[4].


Monument Rodolphe

Monument Rodolphe,
sur la place de l'église

Il s'agit en fait d'une fontaine monumentale, en grès gris, dont le bassin présente une forme octogonale. La borne centrale est entourée de trois vasques arrondies reposant sur des pilastres.
La fontaine a été commandée et offerte par Émile Sautier, un industriel d'importance dans la cité puisqu'il gérait une fonderie renommée. Sa volonté était d'élever un monument à la gloire de Rodolphe Ier de Habsbourg, qui règna de 1273 à 1291 et changea le destin d'Ensisheim.
La réalisation du monument, en 1900, est l'œuvre du sculpteur Bisch, qui a cherché à symboliser à la fois les fonctions guerrières et publiques des Habsbourg. La face antérieure comporte l'effigie de Rodolphe Ier et ses armes : un lion. Deux autres faces présentent des armoiries, de la ville et du Landgraviat de Haute-Alsace. Les angles sont ornés de heaumes de chevalier, et le tout est coiffé de la couronne impériale.

La fontaine est inscrite à l'inventaire général du patrimoine[5].

Hôtel de la Couronne et autres demeures

Hôtel côté rue de la 1ère Armée
Photo B.ohland

Hôtel de la Couronne :
Cet hôtel particulier a été construit en 1610 pour y loger les officiers de la Maison d'Autriche. Sa cour arrière comportait aussi une grange aux dîmes, bâtie en 1770. Quand la ville a perdu son rang de capitale, l'édifice est devenu une hostellerie. Mais tout au long des siècles passés, sa dénomination est restée la même. Et de nombreuses personnes célèbres y ont séjourné.
De style architectural "Renaissance tardive", l'hôtel se décompose en deux bâtiments accolés en façade. Si les deux pignons aux allures baroques sont identiques et donnent une unité à l'ensemble, les deux façades, elles, diffèrent par leur traitement : celle de gauche, toute simple, laisse la vedette à celle de droite présentant un oriel en surplomb sur trois niveaux, supporté par une colonne. La décoration y est très riche, entremêlant le gothique flamboyant et le style Renaissance, et l'oriel « porte l'emblème de la couronne impériale à deux reprises »[6]. Une aile latérale a été rajoutée au XVIIIe siècle et comporte une tourelle d'escalier.
L'hôtel est inscrit aux Monuments historiques depuis 1935[7]. Racheté par un particulier en 1975, il a été restauré dans les règles de l'art.

Autres demeures historiques:
- La résidence ducale : c'est la plus ancienne demeure de la ville (fin du XVe ou tout début du XVIe siècle). La restauration de 1869 a préservé des moulures et frises d'origine. La maison a abrité la commanderie de Saint-Jean puis les comtes de Ribeaupierre et ceux d'Andlau. Elle est inscrite aux Monuments historiques[8].
- Une maison bourgeoise : avec son oriel à deux étages typique de la Renaissance, elle date du début du XVIIe siècle. Elle a appartenu à un bailli de Louis XIV et est inscrite aux Monuments historiques[9].
- L'ancien arsenal : il était très vaste car il n'y en avait que deux dans le Landgraviat. Construit en 1601, comme en témoigne la clef de baie centrale, il a été diminué d'un étage en 1816 et est devenu l'école de garçons de la ville.
- La maison des cadets : des XVIIe et XVIIIe siècles, elle faisait partie d'une grande propriété près du château. Elle a abrité les élèves officiers et a accueilli à l'occasion la suite des princes de passage dans la ville.
- L'ancienne tour des sorcières : elle correspond à un des vestiges de la première enceinte. C'est là que sorciers et sorcières guettaient les alentours et attendaient leur jugement (88 procès de sorciers ou sorcières entre 1551 et 1622).


Maison centrale

Entrée rue de la 1ère Armée

La maison centrale a fait suite à des bâtiments ayant connu évolutions et affectations successives : maladrerie avec chapelle au XVe siècle, école latine fondée en 1551 et transformée en séminaire, collège de Jésuites de 1614 à 1764, dépôt de mendicité, hôpital militaire, puis « prison pour suspects lors de la Terreur »[10].
Par un décret impérial de 1811 est créée une maison centrale de force et de détention, qui ouvre ses portes en 1817. En 1828, elle accueille déjà « 860 détenus »[11]. Au fil des ans, de nombreux pavillons sont rajoutés. Par ailleurs une cité pénitentiaire est créée en 1886 pour loger le personnel.
La façade avec porte principale est construite en 1909 et ornée de bas-reliefs. En 1959, la chapelle catholique détruite pendant la guerre est reconstruite et l'ancienne église des Jésuites transformée en temple protestant.
Suite à une mutinerie en 1988, un incendie ravage certains locaux et entraîne la destruction d'une partie du temple.

La maison centrale est inscrite aux Monuments historiques depuis 1987[12].

Mines et puits de potasse

Salle des machines, mine Ensisheim I
Stèle en hommage aux mineurs
(Sculpteur André Seiler)

Il y a eu trois mines et trois puits sur le ban communal. De tout le bassin potassique, ces trois puits étaient les plus profonds et les plus chauds.
- le puits Ensisheim I, ou puits Thérèse (du prénom de l'épouse de Joseph Vogt), a été foncé en 1912 et exploité de 1920 à 1961. Son chevalement a été détruit par les Allemands et reconstruit.
- le puits Ensisheim II, profond de « 1057 mètres »[13]a été opérationnel de 1922 à 1961. Il servait d'aérage.
- le puits Ensisheim III a été foré un peu plus tard, en 1932, et également exploité jusqu'en 1961.
Durant son histoire, le puits Ensisheim I a connu une violente explosion en 1934, faisant neuf victimes.
Les puits ont été remblayés, les chevalements mis à terre, un terril dissous. Il ne reste de ces infrastructures qu'un terril végétalisé et la salle des machines de la mine I.
Ces vestiges sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine[14].

Patrimoine religieux

Église Saint-Martin

Vue depuis la granbde salle de la Régence Photo B.ohland
  • Une première église est citée en 1297 puis en 1435. Elle comportait cinq travées et une seule chapelle. Son clocher carré était agrémenté de nombreuses statues et surmonté d'une toiture en forme de cloche (Voir l'ancienne aquarelle dans la section "En photos"). Mais son clocher s'effondre en 1854, détériorant nef et chœur.
Transept et chevet Photo B.ohland
  • Prennent forme alors divers projets de reconstruction : celui de l'architecte cantonal LAUBSER n'est pas retenu, car trop travaillé ou trop cher. Le choix se porte sur le projet d'A. POISAT de Belfort dans un style néo gothique fin XIIIe / début XIVe siècle. La construction s'élève à l'emplacement de l'ancien édifice, mais le clocher est érigé du côté de la façade principale. La ville contracte un emprunt et les paroissiens participent également. Les travaux sont interrompus en 1858 à cause de malfaçons. Ils reprennent sous la houlette d'un autre maître d'œuvre et se terminent en 1861. L'église est consacrée en 1863 par Monseigneur André RAESS.
  • Les combats de la Libération endommagent fortement le clocher ainsi que tous les vitraux et les autels. Les réfections nécessaires ont lieu progressivement et l'édifice est inscrit à l'inventaire du patrimoine culturel[15]. Depuis, l'église a connu quelques restaurations et l'agrandissement de son chœur en 1985.
  • L'église est longue de 54 mètres et ses arcs-boutants sont cachés par la toiture. Le clocher en pierres de taille abrite un beffroi en chêne avec quatre cloches. La nef de 16 mètres de haut comprend trois niveaux. Elle est entièrement voûtée d'ogives ; elle comporte cinq travées et des bas-côtés doubles, le tout rythmé par des piliers fascicules à 16 colonnettes. Le chœur polygonal est composé de cinq pans.


Quelques éléments intérieurs :
- les autels : tous les trois conçus par l'architecte POISAT et sculptés par MEIGNET, ils sont en pierre reconstituée avec des décors en stuc vieilli. L'entablement du maître-autel abrite un gisant du Christ.
- la chaire à prêcher : de style gothique flamboyant, elle est aussi l'œuvre de POISAT et MEIGNET en 1862. Adossée à un pilier, elle est composée d'une armature en bois recouverte d'un décor en pierre calcaire très claire, la cuve présentant des décors polychromes soulignés par de fines dorures.
- l'orgue : celui d'origine (de 1485) avait une forme de nid d'hirondelle. Il est remplacé en 1742 par une œuvre de SILLBERMANN, mais est victime de l'effondrement de 1854. Un troisième instrument est conçu par A. LOUVAT en 1885 et exécuté par l'ébéniste KLEM de Colmar. Il est installé en 1897 avec un positif à 30 registres, signé des célèbres Martin et Joseph RINCKENBACH d'Ammerschwihr.
- les vitraux : ils sont signés Jacques Le CHEVALLIER et le "bleu de Chartres" qui y prédomine donne une coloration bleutée à tout le chœur. Les vitraux du collatéral nord racontent l'histoire de la Vierge, ceux du collatéral sud, l'histoire d'Ensisheim.
- la Piéta : ce groupe en bois, sculpté par un Bâlois, date de 1510. Les attitudes de la Vierge et du Christ étaient fréquemment représentées de la sorte à cette période. La Piéta a souvent changé de lieu. Rénovée en 1954, elle a été classée au titre d'objet historique en 1989[16].


Chapelle Saint-Erhard

Chapelle Sainte-Thérèse

Chapelle du cimetière Saint-Martin

Chapelle Saint-Jean-Baptiste

Repère géographique.png Repères géographiques


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 1 714 1 809 1 968 1 956 2 568 2 734 3 747 3 655 3 936 4 106
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 3 989 3 847 3 136 3 041 3 206 2 910 2 709 2 609 2 555 2 534
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 2 500 2 617 3 080 4 936 3 593 3 674 4 045 4 498 5 191 5 685
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 5 780 6 164 6 640 6 933 7 292 7 466 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Documents anciens

Photos

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
- -  
Jacques Frédéric TITOT 1835 - Conseiller Général du canton d'Ensisheim de 1836 à 1842  
- -  
Jean Baptiste DANGEL - Source : Acte de décès Joseph MANGEL - Archives départementales du Bas-Rhin.  
- -  
Guy PARIS 1988 - 1989  
Vincent BIRR 1989 - 1995 Conseiller général (1988-1992)  
Michel HABIG 1995 - (2014) Conseiller général (1992-), député (1993-1997)  
- -  

Cf. MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
ROGNIER 1673 - Notaire royal. A signé à Blodelsheim en 1673 un acte de vente d'une propriété avec tuilerie au bénéfice du collège de Jésuites de ce lieu.  
- -  
Laurent HALM 1822 - Signe un acte de vente aux enchères à Blodelsheim le 12 mai de cette année-là.  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Martin STOEHLE - 1813 Vicaire jusqu'en 1813. Ensuite curé à Lautenbach.  
- -  
- -  

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

  • Inscription sur le panneau gauche :
« Le 3 janvier 1675 à Ensisheim le maréchal de Turenne ordonne la manœuvre qui par la victoire de Turckheim le 5 janvier 1675 donne l'Alsace à la France.
Il ne doit pas y avoir d'Homme de guerre au repos en France tant qu'il restera un ennemi en deçà du Rhin en Alsace. »
(La ville d'Ensisheim, 1675-1975)
  • Inscription sur le panneau droit :
« Le 6 février 1945 Ensisheim libéré par le 21e R.I.C., le maréchal De Lattre mène les troupes américaines et françaises à la victoire qui le 9 rend l'Alsace à la France.
Les forces alliées de la 1ère armée française bordent le fleuve sur toute l'étendue de leur secteur, elles ont tenu la parole de Turenne. »
("Rhin et Danube", 1945-1975)

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h 8h - 12h30 - -
Après-midi 14h - 17h30 14h - 17h30 14h - 17h30 14h - 19h - - -
Commune.png

Mairie
Adresse : 6, place de l'Église - BP 50053 - 68190 ENSISHEIM

Tél : 03 89 83 32 10 - Fax : 03 89 26 44 22

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Novembre 2016)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  • Daniel DELATTRE, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
  • Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1
  • Gilbert POINSOT, Alain HAUSS, Olivia LIND, Michèle SCHNEIDER-BARDOUT, Canton d'Ensisheim, Haut Rhin, images du patrimoine, collection "L'Inventaire", Illkirch, Le Verger éditeur, 1990, 72 pages, ISBN 2-908367-19-X
  • Collectif d'auteurs, Ensisheim, un voyage dans le temps, Strasbourg, Éditions Carré Blanc, 2016, 248 pages, ISBN 2-84488-183-1
  • Confrérie Saint-Georges des gardiens de la météorite et Société d'Histoire, Ensisheim, son Histoire à travers les pierres, 300 exemplaires, imprimerie Mack, 1993, 134 pages.
  • Albert HURSTEL, 1904-2004, 100 ans de potasse à Ensisheim, Uffholtz, 2008, 143 pages, ISBN 978-2-9532147-0-3
  • Jean BÉRENGER, Histoire de l'Empire des Habsbourg, 1273-1918, Paris, Éditions Fayard, 1999, 809 pages, ISBN 2-7028-3268-7
  • Revue La maison d'Alsace n° 19, Société alsacienne de publication, 1979, 49 pages.

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Référence.png Notes et références

  1. Archives Départementales du Haut-Rhin
  2. Fiche Mérimée
  3. Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1
  4. Base Palissy
  5. Base Palissy
  6. Article "L'hôtel de la Couronne redore son blason", in Revue La maison d'Alsace n° 19, Société alsacienne de publication, 1979, 49 pages
  7. Fiche Mérimée
  8. Fiche Mérimée
  9. Fiche Mérimée
  10. Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1
  11. Chapitre "Maison centrale, historique du Dépôt", in Confrérie Saint-Georges des gardiens de la météorite et Société d'Histoire, Ensisheim, son Histoire à travers les pierres, 300 exemplaires, imprimerie Mack, 1993, 134 pages.
  12. Fiche Mérimée
  13. "Les puits d'Ensisheim", in Albert HURSTEL, 1904-2004, 100 ans de potasse à Ensisheim, Uffholtz, 2008, 143 pages, ISBN 978-2-9532147-0-3
  14. Fiche Mérimée
  15. Fiche Mérimée
  16. Base Palissy