68063 - Cernay

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Cernay
Cernay.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 68 - Blason - Haut-Rhin.png    Haut-Rhin
Métropole
Canton Cernay.png   68-03   Cernay

Cernay.png   68-03   Cernay (Ancien canton)

Code INSEE 68063
Code postal 68700
Population 11 617 habitants (2016)
Nom des habitants Cernéens, Cernéennes
Superficie 1804 hectares
Densité 643.96 hab./km²
Altitude Mini: 277 m
Point culminant 358 m
Coordonnées
géographiques
47.8072° / 7.1767° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
68063 - Cernay carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • C'est sur le ban communal de Cernay, plus précisément dans la plaine de l'Ochsenfeld, qu'aurait eu lieu d'après plusieurs historiens la bataille décisive entre notre gaulois Arioviste et Jules César. Quoiqu'il en soit, les Romains étaient bien présents dans le secteur comme en témoigne « une margelle de puits »[1] découverte à cet endroit et « visible à Cernay »[1].
  • La dénomination du village apparaît en 1144. L'abbaye de Lucelle y possède une cour. Un siècle plus tard, Cernay devient déjà une ville et commencent alors à s'élever des fortifications dont il reste des vestiges. À cette époque la cité fait partie du Comté de Ferrette jusqu'en 1324 où elle se rajoute aux possessions des Habsbourg. Elle constitue ensuite une seigneurie particulière. Ce n'est qu'au traité de Westphalie (en 1648) que Cernay réintègre le royaume de France.
  • Au milieu du XVIIIe siècle l'industrie cotonnière commence à se développer. La ville de Mulhouse ayant fait voter une loi en 1768 pour interdire la transformation des moulins en usines textiles sur son propre espace, certains industriels contournent la difficulté en s'installant ailleurs. C'est le cas de Jean-Jacques Zurcher qui achète le moulin "Kartemühle" à Cernay, afin de profiter d'un ancien canal d'eau qui « avait sur son tracé 12 chutes d'eau qui actionnaient 12 moulins »[2]. Avec son associé Paul Lischy, il transforme le moulin en manufacture d'indiennes. Cette industrie se diversifie au XIXe siècle (blanchiment, filatures, tissages) et s'y rajoutent la chimie et les constructions mécaniques. La fin de ce siècle industriel sera marquée par une période de crise et de grèves, puis l'économie se renouvellera et la ville se modernisera.
  • Durant la Grande guerre, la ville est presque entièrement détruite et est honorée en 1921 de la Croix de guerre 1914-1918 avec palme.
  • Le même scénario se déroule durant la Seconde guerre mondiale : une grande partie des bâtiments est détruite ou endommagée, ainsi que les ponts. Cernay (libérée le 4 février 1945) se voit attribuer la même année la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent.


Blason sur le monument aux morts

Héraldique

« De gueules à la tour couverte et maçonnée d'argent, ajourée du champ, accostée de deux bars adossés également d'argent »
Les deux poissons correspondent aux armoiries des comtes de Ferrette, « issus de la maison de Bar »[3].
Mais par erreur, la "tour" mentionnée dans le blasonnement est devenue un "puits".

Toponymie

  • La forme primitive (en 1144) est "Sennenheim", suivront Sennheim, Senene en 1191 et Seyreney en 1307.
  • Le toponyme actuel ne peut pas avoir la même formation que celui des communes homonymes. Il s'agit en effet d'une "adaptation" (de la langue germanique à la langue française) à partir de Sennheim, qui « porte sur l'ensemble du toponyme »[4] et entraîne une assimilation.


Histoire administrative

  • Département - 1801-1871 : Haut-Rhin - 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne) - 1919-2024 : Haut-Rhin
  • Arrondissement - 1801-1871 : Belfort - 1871-1919 : Kreis-Thann - 1919-2024 : Thann
  • Canton - 1801-2024 : Cernay

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Éléments subsistants des fortifications

Porte de ThannPhoto B.ohland
  • La porte de Thann :

Des trois portes de l'enceinte, il ne subsiste que la porte de Thann ci-contre, composée d'une tour et d'un avant-corps qui donnait sur le fossé.
La partie inférieure avec son arc brisé date du XIIIe siècle. Elle révèle une « belle série de marques lapidaires d'appariement sur l'intrados de l'arc »[5]. La partie haute est plus tardive (XVIe siècle), et présente des chaînages d'angle avec bossages à coussinets et un oriel.
Cette porte, classée aux Monuments historiques depuis 1920[6], est devenue un musée de l'histoire de Cernay et du patrimoine local.

Tour d'angle Photo B.ohland
  • La tour d'angle sud-est :

Des deux tours subsistantes, celle-ci appelée « Rondell » est une tour d'artillerie. Construite près du canal usinier en 1422, elle défendait l'angle sud-est des remparts. Haute de 9 mètres, la tour comporte des canonnières sur deux niveaux. La base de ses murs en grès rouge fait 3 mètres d'épaisseur. Elle est voûtée en cul-de-four.
Durant la première guerre mondiale, la tour a servi de cave, voire de brasserie.
Elle a été classée en 1937 aux Monuments historiques[7].
L'autre tour, "Esselthurm" ou tour des ânes, date du XVIe siècle. Elle se trouvait à côté du moulin seigneurial et voyait passer les ânes chargés de grain. L'emplacement de quelques ouvertures de tir a été conservé, mais le reste de la tour transformé en logement (voir photo en galerie).

Lutzelhoff ou Cour de Lucelle

Corps principal avec pignon ouest

Au XIIe siècle déjà, l'abbaye cistercienne possédait des terres à Cernay, dont elle tirait profit, et elle acquiert cette cour en 1271.

Armoiries et inscription

Le bâtiment actuel, notamment le pignon ouest, date de 1545 comme l'atteste une dalle armoriée incrustée dans le mur. Elle porte l'inscription « En 1545, sous Nicolas de Rosenberg, de Thann, abbé de Lucelle[8], fut construit cet édifice ».
Depuis, la demeure a connu des remaniements. Deux corps sont accolés l'un à l'autre, dont une partie comporte une cave enterrée. Les murs présentent des chaînages d'angle et sont accompagnés d'une tourelle d'escalier.
Vendue comme bien national à la Révolution, la Cour de Lucelle a été transformée en filature en 1812, laquelle a été victime d'un incendie en 1876.
L'édifice est inscrit à l'inventaire général du patrimoine.

Église Saint-Étienne

Vue latérale Photo B.ohland
  • L'église primitive, fortifiée en 1188, ainsi qu'une chapelle funéraire accolée, occupaient la place de l'édifice actuel et étaient entourés du cimetière. Le clocher, victime d'un incendie en 1846, est reconstruit dans les années qui suivent. L'église, trop petite et trop vétuste, est démolie en 1891.
Vue latérale Photo B.ohland
  • À la suite, l'architecte Charles Winkler construit la nouvelle église en conservant le récent clocher. Fortement détruite pendant la Grande guerre, l'église est remaniée en 1924 et le chœur entièrement refait sur de nouvelles fondations. Les maisons aux alentours sont déplacées ou rasées afin de laisser une grande place mettant l'édifice en valeur.
L'église est à nouveau touchée par des tirs lors de la Seconde guerre mondiale. Puis inscrite aux Monuments historiques en 2002[9].
  • Conçu selon un plan en croix latine, l'édifice de style néo-gothique présente une tour accolée côté sud et une façade richement travaillée. La nef comporte trois vaisseaux.

Intérieur :

Divers éléments sont dignes d'intérêt:
- Un Christ en Croix : en bois de tilleul (taillé, peint en polychromie) et surnommé "Grand Bon Dieu de Cernay", il date de 1620-1630. Commandé par une famille noble, il a été réalisé par un Allemand de Rottenburg-am-Neckar. D'abord dans l'ancienne église, il a pris place par un moment à l'Institut Saint-André. De plus de 4 mètres de haut, il a été classé au titre d'objet historique en 1987[10], restauré en 1991, puis placé définitive dans un collatéral.
- Le maître-autel : en bois, avec sculptures en bas-relief et décors en ronde-bosse, il a été réalisé par les ateliers du Colmarien Théophile Klem. Suite aux dégâts de 1914-1918, il a été restauré dans sa forme d'origine. Il est surmonté d'un retable de trois éléments.
- L'orgue : en bois et en métal, il a été réalisé à Ammerschwihr en 1928, par le réputé facteur Joseph Rinckenbach, et a pris place dans un buffet réalisé par Klem. Cet instrument est intéressant par la réalisation de sa console et des tiroirs de présélection. Une restauration a eu lieu après 1945 par les soins de Roethinger.
- Les fonts baptismaux : en grès jaune sculpté, ils datent du XVIIIe siècle et proviennent de l'ancienne église. La partie supérieure de la cuve galbée présente quatre têtes d'anges, sans que l'on connaisse l'identité du sculpteur.
- Des peintures monumentales : entre le cordon et le niveau des chapiteaux, dix peintures de René Kuder ont été exécutées en 1930. Elles mettent en scène le Credo, avec à chaque fois une scène centrale encadrée de deux personnages illustrant une citation biblique ou une notion théologique.



Par ailleurs, près d'un portail latéral, des dalles armoriées ou monuments funéraires sont incrustés dans les murs.

Pictos recherche.png Article détaillé : Pour découvrir à qui sont dédiés ces monuments...


Chapelles

Chapelle de l'hôpital
Notre-Dame du Perpétuel Secours
  • La chapelle de l'hôpital est aussi appelée chapelle Saint-Henri :

Elle est située dans l'enceinte actuelle de l'hôpital.
Sa construction en 1891 fait suite à un legs de l'abbé Martin décédé en 1889.
Le maître d'œuvre, non connu, a pris le parti d'un vaisseau unique, de trois travées, conçu dans un style néo-roman.

  • La chapelle Notre-Dame du Perpétuel Secours ou chapelle de l'Ochsenfeld :

Plus récente (1932), son projet prend forme quand le quartier se développe.
L'architecte Paul Kirchacker a opté pour un édifice octogonal, soutenu par une ossature métallique
Le chœur est rectangulaire, et la sacristie située à l'arrière. L'édifice est actuellement désaffecté.

Temple

Vue générale

Il existait un premier temple au centre-ville (à l'intérieur des anciens remparts). Il a été démoli après l'inauguration de celui-ci, en 1907.
Le nouveau temple est l'œuvre de deux architectes : Charles Schulé et Louis Seltzer, qui ont opté pour un style un peu éclectique.
Le clocher est placé hors œuvre. L'accès à l'édifice se fait par un perron et l'entrée est protégée par un auvent. Le large vaisseau est complété d'une sacristie dont l'étage forme une tribune.
Détruit lors de la Première Guerre mondiale, le temple est reconstruit à l'identique en 1925. Il est inscrit à l'inventaire général du patrimoine.

Institut Médico-Éducatif Saint-André

Avec d'autres établissements du Grand Est, l'Institut Saint-André est géré par l'Association Adèle de Glaubitz, la personne éponyme ayant fondé la Congrégation des Sœurs de la Croix en 1848.
Les religieuses fondent cet Institut pour personnes en situation de handicap mental en 1891, au lieu-dit Saint-André, c'est à dire dans la plaine de l'Ochsenfeld légèrement à l'ouest de Cernay. L'établissement profite de l'espace pour créer des ateliers d'horticulture donnant une activité à ses résidents.
À chaque guerre mondiale, les bâtiments sont sévèrement touchés, obligeant des reconstructions qui sont autant de réaménagements et d'agrandissements. Au XXIe siècle, le site regroupe sept structures ayant chacune un projet spécifique pour une prise en charge particulière.

Repère géographique.png Repères géographiques

Cernay se trouve dans la partie méridionale du département. La majeure partie de son ban communal s'étale dans la plaine, le centre historique de Cernay jouxtant les toutes premières collines sous-vosgiennes.
La ville occupe une position de carrefour entre deux grands axes : la RN 83 reliant Colmar à Belfort, et la RN 66, porte d'entrée de la vallée de Thann, d'où l'appellation "la croisière de Cernay".
Le territoire est traversé de part en part par la Thur et le Krebsbach, à l'origine du canal usinier des douze moulins.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 2 019 2 175 1 854 1 908 3 416 3 041 3 433 3 696 3 997 4 128
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 4 936 4 208 4 372 4 277 4 396 4 493 4 375 4 738 4 833 5 214
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 5 180 3 289 6 084 6 775 6 588 5 800 6 645 8 372 8 563 9 342
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 10 208 10 313 10 446 10 752 11 451 11 617 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Photos

Cartes postales anciennes

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
 
Rémy François HEUCHEL 1789 - 1790 Né en 1754 - Ancien lieutenant colonel de la Garde nationale - Magistrat - Décède en 1854  
 
Joseph HERISÉ 1791 - Chargé de faire l'inventaire des Biens de l'Église pour la vente.  
 
Joseph HOOG 1796 - 1797 Un meunier de Cernay portait la même identité.  
 
Jean-Jacques ZURCHER fils 1815 - 1830 Né en 1751 à Mulhouse - Industriel à l'origine de la transformation du moulin "Kartemühle" en 1ère manufacture d'indiennes de Cernay - Arrière grand-père d'Amélie ZURCHER, de Bollwiller, qui a découvert la potasse d'Alsace en 1904 et dont la première mine de potasse de Wittelsheim porte le nom - Conseiller général - Chevalier de la légion d'honneur en 1828 (Cote LH/2770/35) - Décédé en 1839.  
Frédéric Jacques WITZ 1830 - 1832 Né en 1787 - Manufacturier - Décédé en 1833.  
 
Georges Alphonse RISLER 1860 - 1870 Né en 1818 - D'abord adjoint  
Xavier HEUCHEL-BARBIER 1870 - 1871 Médecin  
Ferdinand Charles BAUDRY 1871 - 1883 Né en 1829 - Conseiller général en 1873, puis délégué au "Landesausschus" de Strasbourg de 1874 à 1883 - Décédé en 1883 - Inhumé à Cernay - Une rue porte son nom.  
Georges Alphonse RISLER 1883 - 1905 Le même - Conseiller d'arrondissement - Est à l'origine de nombreuses constructions dans Cernay - Décède en 1911 - Inhumé à Cernay  
Pierre-Paul BURTSCHELL 1905 - 1924 Né en 1857 - Directeur d'une entreprise fondée par son père - Chevalier de la Légion d'honneur - Décède en 1924 - Inhumé à Cernay.  
 
Roger PREISS 1939 - 1943 Né en 1882 - Décédé en 1943 - Inhumé à Cernay - Une rue porte son nom.  
 
Xavier HERRGOTT 1953 - 1973 Né en 1913 - 0 l'origine de la construction du nouveau collège - décédé en 1984 - Inhumé à Cernay.  
Pierre TRITSCH 1973 - 1995 Maire honoraire - Décédé en 2014  
Michel SORDI 1995 - (2026) Né en 1953 - Député de 2002 à 2017 - Réélu maire en 2020  
 

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
 
Joseph INGOLD 1731 - 1762 Né en 1689 - Décédé en 1766  
Dominique INGOLD 1762 - 1807 Fils de Joseph - Né en 1737 - Décédé en 1820  
Jean-Bernard Ferdinand INGOLD 1807 - 1843 Fils de Dominique - Né en 1781 - Maire intérimaire de 1832 à 1835 - Décédé en 1855  
Armand Ignace INGOLD 1843 - 1872 Fils de Jean-Bernard Ferdinand - Né en 1816 - Historien - Auteur de nombreux ouvrages - Cofondateur du musée de Cernay - Décédé en 1906  
Frédéric KAUFFMANN 1891 -  
 

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Sébastien CHAQUÉ 1803 - 1812 Auparavant curé à Masevaux - Décède en 1812  
Aloïse THALER 1812 - 1816 Auparavant curé à Soppe-le-Bas - Sera ensuite curé à Thann  
Thomas RAYBER 1816 - 1822 Auparavant curé à Feldkirch - Décède en 1822  
Thiébaut GLUCK 1822 - 1833 Auparavant curé à Hirsingue  
Michel ULMER 1833 - 1866 Né en 1805 - Auparavant curé à Willer-sur-Thur - Décède en 1867  
Joseph FUESS 1866 - 1869 Sera ensuite curé à Hirsingue  
Jean WIRTH 1869 - 1887 Auparavant curé à Fellering - Décède en 1887  
Guillaume MEYER 1888 - 1910 Auparavant curé à Oberhergheim - Décède en 1913  
Auguste HATTENBERGER 1910 - 1919 Né en 1865 - Auparavant curé à Riedisheim - Sera ensuite curé de Saint-Martin à Colmar - Décédé en 1921  
Camille TSCHIRHART 1919 - Auparavant curé à Montreux-Vieux  
 

Les titulaires de la Légion d'Honneur

Médaille - Légion d'honneur.png
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
 
 
 

Voir les 43 notices (en renseignant simplement : Cernay, Haut-Rhin dans le lieu de naissance.]

Les médaillés de Sainte-Hélène

La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.

Medaille st helene 2.jpg
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
 
 

Voir les 14 fiches (en renseignant simplement le lieu de naissance.)

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Le monument aux morts
Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste ...

Émigration

Émigration en Algérie

Pictos recherche.png Consulter la liste ...

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières

Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8h00-12h00 8h00-12h00 8h00-12h00 8h00-12h00 8h00-12h00 9h00-11h00 -
Après-midi 14h00-18h00 14h00-18h00 14h00-18h00 14h00-18h00 14h00-18h00 - -
68063 - Cernay Mairie.JPG

Mairie
Adresse : 26 rue James Barbier - BP 153 - 68704 CERNAY CEDEX

Tél : +33 (0)3 89 75 54 10 - Fax : +33 (0)3 89 75 72 16

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : Site officiel (Octobre 2012)

Archives & Dépouillements des registres paroissiaux

Archives notariales

Cimetière

  • Horaires d'ouverture
  • Janvier : 8h00-17h00
  • Février à Avril : 8h00-18h00
  • Mai à Octobre : 8h00-20h00
  • Base de recherche sur le site officiel de la mairie :

Patronymes

Remarques

Nom de la commune en langues régionales

  • en alsacien : Sanna
  • en allemand : Sennheim

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Cernay, Passé, présent

  • Gérard JAEGER, Joseph VOGT 1847-1921 Pionnier du Bassin Potassique, collection "Les Bâtisseurs de l'Industrie en Alsace", imprimé à Uffholtz en 1994, 151 pages, ISBN 2-910713-11-3
  • Nicolas MENGUS, Aux origines des Alsaciens et des Lorrains, des Médiomatriques, Triboques et Raurarques aux gallo-romains, Strasbourg, La Nuée Bleue/Éditions du Quotidien, 2017, 221 pages, ISBN 978-2-8099-1510-5
  • Jean SCHWEITZER, La toponymie alsacienne, collection "alsatiques", Éditions Jean-Paul Gisserot, 2001, 123 pages.
  • Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1

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Référence.png Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Nicolas MENGUS, Aux origines des Alsaciens et des Lorrains, des Médiomatriques, Triboques et Raurarques aux gallo-romains, Strasbourg, La Nuée Bleue/Éditions du Quotidien, 2017, 221 pages, ISBN 978-2-8099-1510-5
  2. Page 59, in Gérard JAEGER, Joseph VOGT 1847-1921 Pionnier du Bassin Potassique, collection "Les Bâtisseurs de l'Industrie en Alsace", imprimé à Uffholtz en 1994, 151 pages, ISBN 2-910713-11-3
  3. AD du Haut-Rhin, armoiries des communes
  4. Jean SCHWEITZER, La toponymie alsacienne, collection "alsatiques", Éditions Jean-Paul Gisserot, 2001, 123 pages
  5. Dominique TOURSEL-HARSTER, Jean-Pierre BECK, Guy BRONNER, Alsace, dictionnaire des monuments historiques, Strasbourg, Éditions La Nuée Bleue, 1995, 662 pages, ISBN 2-7165-0250-1
  6. Base Mérimée
  7. Base Mérimée
  8. Nicolas de Rosenberg a exercé ses fonctions à l'abbaye de Lucelle de 1542 à 1566
  9. Base Mérimée.
  10. Base Palissy


^ Sommaire

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