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== Ressources généalogiques == | == Ressources généalogiques == |
Version du 13 septembre 2019 à 12:47
Andolsheim | |
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Fichier:Andolsheim.png | |
Informations | |
Pays | France |
Département | Haut-Rhin |
Métropole | |
Canton | 68-05 Colmar-2 68-02 Andolsheim (Ancien canton) |
Code INSEE | 68007 |
Code postal | 68280 |
Population | 2180 habitants (2016) |
Nom des habitants | Andolsheimois, Andolsheimoises |
Superficie | 1160 hectares |
Densité | 187.93 hab./km² |
Altitude | Mini: 185 m |
Point culminant | 192 m |
Coordonnées géographiques |
48.0630555° / 7.417778° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
- Le hameau primitif aurait été fondé à la fin du VIIe siècle ou au début du VIIIe, mais la première mention écrite date de 768 quand il tombe sous la dépendance du prieuré de Lièpvre. La dénomination d'Andolsheim serait liée au nom de l'abbé Ansoal, d'abord abbé de Munster, puis évêque de Strasbourg.
- En 870, c'est le roi Louis le Germanique qui a des droits sur ce village. Au XIIe siècle, les seigneurs d'Horbourg en prennent possession, puis toute la seigneurie passe sous la coupe des comtes de Wurtemberg à partir de 1324. À la fin du XVe siècle, les comtes, devenus ducs de Wurtemberg, mettent en place la Réforme.
- En 1648, une partie des terres est appropriée par Louis XIV et il vient les visiter en 1673 ; ses intendants décident alors d'instaurer le simultanéum. Andolsheim est définitivement rattachée au royaume de France en 1680.
- À la Révolution, la commune devient chef-lieu de canton.
- Il y avait deux huileries à Andolsheim en 1826, produisant 3 300 litres d'huile par an. Une est encore mentionnée en 1851. Par ailleurs, l'activité principale de la population était l'agriculture, mais peu prometteuse dans un secteur où le sol caillouteux de la Hardt est ingrat. Pour éviter l'exode rural, les habitants se sont tournés vers des activités artisanales, notamment le tissage. Dès 1826, des industriels mulhousiens « ont fait installer des métiers à tisser le chanvre chez dix particuliers à Andolsheim »[1]. Cette activité a pris de l'ampleur, car en 1851, ce sont 17 tisserands qui œuvrent dans le village. Et le nombre d'artisans, tous métiers confondus, s'élève à 53 sur 241 ménages, soit presque un quart de la population.
- Ceux qui continuent à travailler dans l'agriculture se mettent à innover. En effet , la culture du tabac se limitant auparavant à cinq départements dont le Bas-Rhin, est autorisée en 1856. Cinq cultivateurs andolsheimois se lancent pour une surface d'1,11 ha. L'année suivante, encouragées par des remises de prix, toutes les communes du canton s'y mettent. On dénombre pour Andolsheim « 100 déclarations pour 194 parcelles qui totalisent 34,01 ha »[2].
- La seconde guerre mondiale éprouve fortement le village qui n'est libéré que le 1er février 1945 par les 3e et 75e divisions d'infanterie américaine sous le commandement de la 1ère Armée française durant les combats de la Poche de Colmar.
Héraldique
« D'argent à la ramure de cerf de sable chevillé à senestre de quatre pièces, posé en pal, soutenue en pointe d'une étoile à cinq rais de même ».
Ces armoiries sont apparues au XVIIe siècle. La ramure correspond aux armoiries de la maison des Wurtemberg. L'étoile fait référence aux armoiries des sires de Horbourg, mais leur étoile comportait six à huit rais, alors qu'il n'y en a que cinq ici.
Jusqu'au XIXe siècle, Andolsheim portait aussi pour emblème une feuille de trèfle.
Toponymie
Le village apparaît en 768 sous la dénomination de "Ansulfisheim"[3].
On rencontre ensuite des formes assez proches les unes des autres : Anholzheim, Ansolsheim (au XVIIIe siècle).
Histoire administrative
- Département - 1801-1871 : Haut-Rhin - 1871-1919 : Haut-Rhin (Allemagne) - 1919-2024 : Haut-Rhin
- Arrondissement - 1801-1871 : Colmar - 1871-1919 : Kreis Colmar - 1919-2024 : Colmar
- Canton - 1793-1801 : Horbourg - 1801-2014 : Andolsheim - 2014-2024 : Colmar-2
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église luthérienne
Il y avait au début du IXe siècle deux églises dans la cité, une pour "le haut" (Oberkirche), une pour le bas (Niederkirche). Le village n'étant pas pentu, cela correspond au sens d'écoulement du Rhin, comme pour d'autres communes en Ober- et Nieder-, et comme pour les départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. L'église Niederkirche a disparu au XVIe siècle.
L'église actuelle correspond à l'Oberkirche. Elle était liée à l'abbaye Saint-Denis, et était peut-être dédiée au même patron. En ce qui concerne l'époque de la Réforme, son vocable n'est pas connu. À partir du simultaneum, elle est dédiée à saint Georges, jusqu'à la construction de l'église catholique en 1883.
La tour-clocher, avec son chaînage d'angle harpé en grès de deux couleurs, date du XIIIe siècle, de même que la baie à l'est.
Un agrandissement est effectué au XVe siècle côté sacristie.
La nef, reconstruite au milieu du XVIIe siècle présente une corniche en boudins.
Le portail occidental est daté de 1737 et toute la façade est remaniée cent ans plus tard.
Les baies ont été agrandies au XIXe siècle et l'intérieur rénové à la fin du XXe siècle.
L'église, inscrite à l'inventaire général du patrimoine [4], est rattachée à la paroisse de Sundhoffen.
Église Saint-Georges
L'église a été construite de 1882 à 1883 lorsqu'il a été décidé de mettre fin au simultaneum. Elle reprend le vocable qu'avait porté par un moment l'église luthérienne.
Composée d'une nef à trois travées, d'une abside à pans coupés et d'un campanile faisant saillie sur la façade, elle a été consacrée le 23 avril 1883 par Monseigneur STUMPF, évêque coadjuteur de Strasbourg.
L'édifice a été restauré à la fin du XXe siècle. Il est inclus dans la paroisse d'Horbourg-Wihr.
L'intérieur, terminé quelques années plus tard, bénéficie d'une belle clarté grâce aux verrières disposées dans des baies cintrées : sept, dont l'oculus, sont des grisailles de la fin du XIXe siècle, centrées dans un cadre néo-renaissance, les trois vitraux de l'abside sont d'une facture différente, et un vitrail est de style contemporain.
Une piéta en bois peint polychrome et doré date du XVIIIe siècle. Elle est inscrite au titre d'objet historique[5].
Repères géographiques
Le village d'Andolsheim s'épanouit dans la plaine, à l'est du département, tout près du Rhin.
Située entre Colmar et Neuf-Brisach, la commune jouxte à l'ouest celle d'Horbourg-Wihr.
Aucun cours d'eau ne traverse le ban communal : il est longé du côté ouest par l'Ill et au nord par la Bind.
À côté de la mairie se trouvent deux anciennes bornes routières : en grès, dates de 1754, elles portent des armoiries usées par le temps, peut-être celles des Wurtemberg. L'une d'entre elles, qui a été déplacée, correspond au croisement des routes 36 et 21.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 660 | 724 | 811 | 970 | 1 046 | 1 089 | 1 092 | 1 084 | 1 126 | 1 064 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 1 039 | 1 016 | 970 | 937 | 935 | 886 | 838 | 754 | 747 | 734 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 730 | 692 | 698 | 718 | 717 | 645 | 680 | 751 | 871 | 1 088 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 1 262 | 1 565 | 1 985 | 2 238 | 2 232 | 2 180 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Jean-Michel KLINGER | 1799-1799 | Né le 17 janvier 1773. Cultivateur. |
Jean-Georges REBERT | 1799-1813 | Né le 20 septembre 1757. Cultivateur. Décédé le 11 juin 1832. |
Sigismond KLINGER | 1813-1815 | Né le 2 juin 1769. Cultivateur. Décédé le 17 mai 1820. |
Jean BOLLENBACH | 1815-1816 | - |
Joseph HIRTZ | 1816-1819 | Né le 15 janvier 1766. |
Jean-Michel KLINGER | 1819-1831 | Le même que ci-dessus. Décédé en 1831. |
Jean-Georges REBERT (fils) | 1831-1836 | Né le 14 septembre 1781. Cultivateur. Auparavant conseiller municipal. Décédé le 8 mai 1836. |
Mathias le jeune BOLLENBACH | 1836-1837 | Né le 27 novembre 1772. Cultivateur. Foyer fortuné[6]. |
Mathias WOELFLIN | 1837-1848 | Né le 17 avril 1794. Cultivateur. Foyer fortuné[6]. |
Mathias RITZENTHALER | 1848-1871 | - |
Sigismond KLINGER | 1871-1877 | Peut-être le fils du précédent. Né le 6 janvier 1795. Cultivateur. Foyer fortuné[6]. |
Michaël (MERIUS) BOLLENBACH | 1877-1891 | - |
Michaël HAEMMELIN-ITTEL | 1891-1909 | - |
Michaël MERIUS (HAEMMELIN) | 1909-1919 | - |
Michel OBRECHT | 1919-1926 | - |
Georges SCHAECHTELIN | 1926-1940 | - |
Fritz KOEGLER | 1940-1945 | - |
René BOLLENBACH | 1945-1947 | - |
Frédéric KOEGLER | 1947-1971 | - |
Eugène HAEMMERLIN | 1971-1977 | - |
Constant GOERG | 1977-2001 | Maître ramoneur. Conseiller général du canton de 1992 à 2004. Président du Conseil général de 1998 à 2004. |
Christian REBERT | 2001-(2020) | - [ Photo] |
- | - | - |
Cf. : Mairesgenweb
Autre source : Liste des maires des communes du Haut-Rhin
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Joseph SIFFERT | - 1718 ? | Fils de André Siffert, né le 15/12/1653 à Logelheim et de Madeleine Stoffel. Joseph, ordonné prêtre, meurt à Andolsheim le 7 juin 1718. |
- | - | |
- | - | |
GROELL | 1803-1805 | |
François Joseph MEYER | 1805-1809 | |
Henri Théodore COUDRE | 1809-1812 | Religieux de Colmar. Auparavant à Rixheim. Ira ensuite à Illfurth, Hunawihr et Le Bonhomme et se retire momentanément. Sera ensuite curé de Ramersmatt, Réchésy et Valdoie. |
Jacques BRESSLER | 1812-1815 | Auparavant à Ribeauvillé. Sera ensuite curé de Thannenkirch. |
Jean-Baptiste FALKNER | 1815-1822 | Auparavant à Éguisheim. Sera ensuite curé de Moernach. |
François Xavier MANGOLD | 1822-1823 | Né le 31 décembre 1795 à Colmar. Auparavant à Éguisheim. Sera ensuite curé à Widensolen jusqu'en 1827, puis à Fréland où il décède le 26 août 1847. |
Jean-Baptiste PETER | 1823-1829 | Auparavant à Widensolen. Sera ensuite curé à Houssen. |
Mathias SCHOEFFER | 1829-1833 | Auparavant à Mittelbergheim. Sera ensuite curé à Ingersheim. |
Richard DURR | 1833-1856 | Auparavant à Brinckheim. Sera ensuite curé à Artzenheim. |
Théodore GSELL | 1856-1860 | Auparavant à Mulhouse. Sera ensuite curé à Mommenheim. |
Louis JOSS | 1860-1867 | Auparavant à Oberbruck. Sera ensuite curé à Grussenheim. |
Adolphe BUCHER | 1867-1872 | Né le 27 octobre 1827. Auparavant à Walheim. Sera ensuite curé à Réguisheim jusqu'en 1882, puis à Fellering où il décède le 11 novembre 1884. |
Léonce BERTRAND | 1872-1879 | Auparavant à Belfort. Sera ensuite curé à Wolfgantzen. |
Antoine LOTZ | 1879-1887 | Auparavant à la cathédrale de Strasbourg. Sera ensuite curé à Niederhergheim jusqu'en 1892, puis supérieur des Sœurs de Ribeauvillé. |
Joseph GUTHMANN | 1887-1894 | Auparavant à Saint-Martin de Colmar. Sera ensuite curé à Holtzwihr. |
Auguste (François Antoine) MERTZ | 1894-1903 | Né le 13 septembre 1858. Auparavant au Bonhomme. Décède ici en 1903. |
Louis KUPFERER | 1903- | Auparavant curé à Saint-Joseph de Colmar. |
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- | - |
Titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
Léon Frédéric HAEMMERLIN | 22 mars 1812 | 16 septembre 1881 | Capitaine au 74e de ligne. Chevalier le 14 septembre 1855. Officier le 25 juin 1859. Son dossier | |
Jacques Henri LOESCHER | 16 mars 1880 | 27 décembre 1951 Fontenay-aux-Bois |
Caporal d'infanterie du recrutement de Colmar. Chevalier le 2 février 1940. Son dossier | |
Jean OBRECHT | 15 août 1838 | 4 octobre 1910 | Garde de 2e classe d'artillerie aux Forges du Midi. Chevalier le 5 juillet 1893. Son dossier | |
Georges REBERT | 10 juillet 1839 | 15 avril 1892 | Lieutenant au 89e Régiment d'Infanterie. Chevalier le 29 décembre 1882. Son dossier | |
Paul Émile UMDENSTOCK | 12 mars 1859 | 3 octobre 1943 | Chef d'escadron au parc d'artillerie Place de Lyon. Chevalier le 30 décembre 1902. Officier le 24 janvier 1917. Son dossier |
Monument aux morts
Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
- Article détaillé : Consulter la liste des victimes inscrites sur le monument...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1803-1892)
Documents numérisés
- État civil (1807-1862)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1776-1792)
- État civil (1793-1806)
- Recensement de 1836 Haut-Rhin de la commune d'Andolsheim (1836-1836)
- Recensements (1866-1866)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1863-1872)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1793-1862)
- Tables décennales (1803-1872)
- État civil (1873-1882)
- Tables décennales (1883-1892)
- État civil (1793-1862)
- Tables décennales (1873-1882)
- État civil (1873-1882)
- État civil (1883-1892)
- État civil (1775-1788)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | 8h00 - 12h00 | - | - |
Après-midi | 13h30 - 20h00 | - | - | - | 13h30 - 18h00 | - | - |
Mairie |
Adresse : 2, Grand'rue - 68280 ANDOLSHEIM
Tél : 03 89 71 40 08 - Fax : 03 89 71 52 67 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : () |
Dépouillements des registres paroissiaux
Archives notariales
Remarques
Bibliographie
- Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 10, 1997, 154 pages, ISSN 0990-6894
- Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 28, 2016, 196 pages, ISSN 0990-6894
- Daniel Delattre, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Mairie d'Andolsheim
- Page du village d'Andolsheim sur le CDHF de Guebwiller
- GenCom Le site des communes pour et par les généalogistes
- Communes les plus proches d'Andolsheim
Notes et références
- ↑ Article d'Olivier Conrad, intitulé "La petite industrie dans les cantons de Neuf-Brisach et d'Andolsheim au milieu du dix-neuvième siècle", pages 85 à 109, in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 10, 1997, 154 pages, ISSN 0990-6894
- ↑ Article d'Olivier Conrad, intitulé "La culture du tabac en Alsace, la Hardt s'y est mise (1855-1870)", pages 77 à 88, in Annuaire de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried, n° 28, 2016, 196 pages, ISSN 0990-6894
- ↑ Daniel Delattre, Le Haut-Rhin, les 377 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, 2015, 240 pages, ISBN 978-2-36464-078-8
- ↑ Fiche Mérimée
- ↑ Base Palissy
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 Selon l'article d'Olivier Conrad intitulé "Les grandes fortunes des cantons d'Andolsheim et de Neuf-Brisach... dans les années 1840", dans l'annuaire n° 13 de la Société d'Histoire de la Hardt et du Ried. À partir des listes électorales de la Monarchie de juillet, l'auteur a recensé les contribuables payant plus de 200 francs d'impôt, condition nécessaire pour élire conseillers généraux, conseillers départementaux et députés.