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* '''Georges GERSTER ''', né le 02/08/1827 à Epfig, décédé le 07/02/1852 à l'hôpital militaire du Dey à '''Alger''', Chasseur de 2{{ème}} classe au 1{{er}} régiment de Chasseurs d'Afrique, matricule 2310, 24 ans, célibataire, fils de Georges (o ca. 1762), garde champêtre à Epfig, et de Anne Marie RIEFFEL.<br>
* '''Georges GERSTER ''', né le 02/08/1827 à Epfig, décédé le 07/02/1852 à l'hôpital militaire du Dey à '''Alger''', Chasseur de 2{{ème}} classe au 1{{er}} régiment de Chasseurs d'Afrique, matricule 2310, 24 ans, célibataire, fils de Georges (o ca. 1762), garde champêtre à Epfig, et de Anne Marie RIEFFEL.<br>


* '''Joseph MICHEL ''', né le 25/11/1831 à Epfig, décédé le 03/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, '''Grèce''', caporal de 2{{ème}} classe au 2{{ème}} régiment d'infanterie de Marine, 11{{ème}} compagnie. N° 17387. 24 ans, ''fiévreux'', entré au dit hôpital le 27/08/1856, y décédé le 03/09/1856, registre 2F2/240. Fils de François Joseph, jardinier à Epfig, et de Madelaine GUTH. Le père de Joseph, François Joseph, avait perdu lui-même son propre père, Georges, alors qu'il était très jeune, en mars 1814, alors qu'il était aussi militaire, à l'hôpital de Hambourg, Allemagne. <br>
* '''Joseph MICHEL ''', né le 25/11/1831 à Epfig, décédé le 03/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, '''Grèce''', caporal de 2{{ème}} classe au 2{{ème}} régiment d'infanterie de Marine, 11{{ème}} compagnie. N° 17387. 24 ans, ''fiévreux'', entré au dit hôpital le 27/08/1856, y décédé le 03/09/1856, registre 2F2/240. Fils de François Joseph, jardinier à Epfig, et de Madelaine GUTH. Le père de Joseph, François Joseph, avait perdu lui-même son propre père, Georges, alors qu'il était très jeune, en mars 1814, alors qu'il était aussi militaire, à l'hôpital de Hambourg, Allemagne. <br><br>
<small>Remarque (valable aussi pour REIBEL Herrenbert qui suit) : Pendant la guerre de Crimée, un hôpital français de campagne fut installé au port du Pirée, près d'Athènes. Il accueillait, semble-t-il, les militaires affectés d'une maladie curable, plutôt que des blessés. L'hôpital fonctionna encore un an après la fin de la guerre (mars 1856). La guerre de Crimée causa plus de 95.000 morts dans l'armée d'Orient, dont 10.000 de leurs blessures dans les hôpitaux et environ 75.000 par maladie et épidémies infectieuses, comme le typhus pendant l'hiver 1855-1856. Ils étaient soignés par 450 médecins militaires, dont 82 succombèrent du typhus. Comme c'était la Marine qui transportait ses troupes et le matériel, les archives de l'hôpital du Pirée sont conservées aux Archives maritimes de Toulon, 2F2/240 et 241. </small><br>
: Remarque (valable aussi pour REIBEL Herrenbert qui suit) : Pendant la guerre de Crimée, un hôpital français de campagne fut installé au port du Pirée, près d'Athènes. Il accueillait, semble-t-il, les militaires affectés d'une maladie curable, plutôt que des blessés. L'hôpital fonctionna encore un an après la fin de la guerre (mars 1856). La guerre de Crimée causa plus de 95.000 morts dans l'armée d'Orient, dont 10.000 de leurs blessures dans les hôpitaux et environ 75.000 par maladie et épidémies infectieuses, comme le typhus pendant l'hiver 1855-1856. Ils étaient soignés par 450 médecins militaires, dont 82 succombèrent du typhus. Comme c'était la Marine qui transportait ses troupes et le matériel, les archives de l'hôpital du Pirée sont conservées aux Archives maritimes de Toulon, 2F2/240 et 241. <br>


* '''Herrenbert REIBEL ''', né le 10/03/1832 à Epfig, décédé le 02/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, '''Grèce''', soldat de 2{{ème}} classe au 2{{ème}} régiment d'infanterie de Marine, 17{{ème}} compagnie. N° 19852. 23 ans, ''fiévreux'', entré au dit hôpital du 26/07/1856, y décédé le 02/09/1856, registre 2F2.240. Fils de Joseph Antoine, cultivateur à Epfig, et de Joséphine SPITZ. <small>(Même remarque que pour le précédent). </small>
* '''Herrenbert REIBEL ''', né le 10/03/1832 à Epfig, décédé le 02/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, '''Grèce''', soldat de 2{{ème}} classe au 2{{ème}} régiment d'infanterie de Marine, 17{{ème}} compagnie. N° 19852. 23 ans, ''fiévreux'', entré au dit hôpital du 26/07/1856, y décédé le 02/09/1856, registre 2F2.240. Fils de Joseph Antoine, cultivateur à Epfig, et de Joséphine SPITZ. (Voir remarque ci-dessus.).


== Émigration ==
== Émigration ==

Version du 21 décembre 2016 à 15:58

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Epfig
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 67 - Blason - Bas-Rhin.png    Bas-Rhin
Métropole
Canton

Blason Barr-67021.png   67-01   Barr (Ancien canton)

Code INSEE 67125
Code postal 67680
Population 1753 habitants (1990)
Nom des habitants Epfigeois, epfigeoises
Superficie 2190 hectares
Densité 80.05 hab./km²
Altitude Mini: 160 m
Point culminant 311 m
Coordonnées
géographiques
48.359722° / 7.463889° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
67125 - Epfig carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier


Histoire.png Histoire de la commune

2.200 hectares dont 560 de vignes = la plus grande commune viticole d'Alsace. Ecarts et lieux-dits : Ste.Marguerite, Fronholz, Finkwiller. Le nom se compose de l'un des noms celtiques du cheval : « epos », aussi fréquemment attesté dans l'anthroponymie gauloire : eppius, epponus, epillus plus le suffixe celtique -àkon, latinisé en -acum de localisation, puis de propriété. Il signifie soit « lieu des chevaux » soit « propriété d'Eppicus ».

Ce bourg remontant à la plus haute antiquité a été occupé par des populations celtes et germaniques. Sous l'empire romain, la cité était connue sous le nom d' Epiacum (dont la forme Apica est probablement une cacographie). Les troupes romaines y auraient planté, dès le début de leur présence, les premiers plants de vignes. Des immigrants alamans se mêlent peu à peu aux populations locales gallo-romaines originelles et le bas latin est remplacé par un dialecte alémanique. À partir du xiie siècle, les évêques de Strasbourg qui y possédaient un château, dont il ne reste qu'une partie d'une tour et des caves voûtées, dominent la ville. Epfig est complètement ruiné en 1439, lors des premières incursions du parti Armagnacs. Il est une deuxième fois détruit en 1632 lors de la guerre de Trente Ans. Entre le XIe et le xive siècle est érigée une chapelle romaine portant le nom de Sainte Marguerite qui possède un porche unique en Alsace et un ossuaire dont la plupart des ossements provient de la destruction du village disparu et voisin de Kollwiller. Au XVIIIe le cardinal de Rohan fait construire une résidence à côté du donjon. À cette époque le village d'Epfig possédait 60 puits et un calvaire de trois croix.

La chapelle Sainte-Marguerite
La tradition fait remonter la chapelle Sainte Marguerite à l'endroit où se trouvait au xe siècle un couvent de moniales dédiée à Sainte Berthe fille d'un leude de Clovis II. Ce couvent aurait été selon la tradition fondé en 895 par Rothrude, fille de Lothaire Ieret d'Ermengarde, abbesse d'Erstein pour les religieuses du couvent de Blangy-en-Artois qui avaient dû fuir les Normands. La chapelle cémétériale actuelle est de style roman, construite dans le premier quart du xie siècle. Son plan bâtard combine le plan centré et la forme de la croix latine. La nef unique est orientée vers l'ouest, et se termine par un chevet plat. Au début du xiie siècle on adjoignit à l'édifice un petit porche.

Ossuaire
Accolé au mur de la nef, cet ossuaire remonte peut-être au xviiie siècle. Selon la tradition cet ossuaire abrite les crânes des paysans morts à la bataille de Scherwiller en 1525. Mais dans la réalité ce genre d'ossuaire renferme en général les ossements de cimetières désaffectés ou de fosses trop pleines ou encore du village disparu de Kollwiller qui était situé à l'Est, dans la plaine à proximité de la voie rapide du Piémont des Vosges.

Hôtel de ville (1857)
L'hôtel de ville a été construit en 1749 par l'architecte Antoine Ringeisen de l'arrondissement de Sélestat. Il est notamment chargé de veiller et de diriger les travaux des bâtiments publics et culturels de la région. Ses archives, qui couvrent les périodes 1840-1889, sont précieusement conservées à la Bibliothèque humaniste de Sélestat.

  • en 1538, le pasteur de Rosheim écrit à un citoyen de Strasbourg que 25 anabaptistes ont été capturés dans les bois à Epfig, et que 300 anabaptistes se sont récemment réunis dans les bois.

Modèle:Toponymie

Blason en attente.png Héraldique

Repère géographique.png Repères géographiques

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Démographie.png Démographie

Année 1794 1800 1806 1820 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population - - - - - - - - - -
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population - - - - - - - - - -
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population - - - - - - - 1.718 1.666 1.691
Année 1982 1990 1999 2004 2006 2010 - - - -
Population 1.704 1 753 1.947 1.996 2.187 2.168 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cfr : INSEE & Cassini

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
- -  
- -  
- -  
- -  
- -  
Jean-Claude MANDRY 2008 - (2014)  
- -  

( N.D.L.R. Voir sur le site Mairesgenweb )

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
Louis KAUFFEISEN 1819 Notaire royal à Epfig.  
- -  
- -  

Les instituteurs

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les prêtres

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les autres personnalités

Joseph Antoine Charles MULLER, né le 13/03/1775 à Epfig, baptisé le lendemain, décédé le 06/05/1853 à Nancy (Meurthe-et-Moselle) à l'âge de 78 ans, fils de Barthélémy Louis (en 1775 : "magnifici domini... questoris lumentissimi principi cardinalis de ROHAN et urbis Benfeldiae magistratus prosidit" (acte de baptême de son fils Joseph Antoine Charles), et de Marie Thérèse NEBEL.
Colonel, baron d'Empire par lettres patentes de l'Empereur Napoléon 1er le 10/09/1808, officier de la Légion d'Honneur le 07/07/1807 (voir dossier),chevalier de l'ordre de Saint-Louis.
Il épouse le 11/10/1810 Marie Madeleine Louise Pierrette TAVALA, dont il eut deux enfants :

- François Xavier Charles Alphonse, baron MULLER, né le 10/06/1811, décédé en 1870,
- Romain MULLER, né vers 1823, décédé après 11/1859, journalier à Epfig.

Joseph Antoine Charles MULLER sur Wikipédia

Les médaillés

Les titulaires de la Légion d'Honneur

Médaille - Légion d'honneur.png
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Joseph Antoine Charles MULLER 13 mars 1775 Epfig 6 mai 1853 Nancy (Meurthe-et-Moselle) Officier de la Légion d'Honneur. Chevalier de St.Louis, colonel, baron d'empire par lettre patente de l'Empereur Napoléon 1er (10/09/1808). Fils de Barthélémy Louis, en 1775 "magnifici domini... questoris lumentissimi principi cardinalis de Rohan et urbis Benfeldiae magistratus prosidit" (acte de baptême de son fils), et de Marie Thérèse NEBEL. Marié le 11/10/1810 avec Marie-Madeleine Louise Pierrette TAVOLA. Ils auront deux fils : François Xavier Charles Alphonse (1811-1870) et Romain (1823-ap.11/1859).  
 

Voir les 18 notices (en renseignant simplement le lieu de naissance)

Les médaillés de Sainte-Hélène

La médaille de Sainte Hélène, créée par Napoléon III, récompense les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815.

Medaille st helene 2.jpg
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Xavier METZ 28 décembre 1793 après 1857 Réside à Chalampé (Haut-Rhin).
7e régiment de Chasseurs à cheval.
Période : 1811 à 1815.  
 

Source : Les Médaillés de Sainte-Hélène

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Militaires décédés hors métropole

  • Georges GERSTER , né le 02/08/1827 à Epfig, décédé le 07/02/1852 à l'hôpital militaire du Dey à Alger, Chasseur de 2e classe au 1er régiment de Chasseurs d'Afrique, matricule 2310, 24 ans, célibataire, fils de Georges (o ca. 1762), garde champêtre à Epfig, et de Anne Marie RIEFFEL.
  • Joseph MICHEL , né le 25/11/1831 à Epfig, décédé le 03/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, Grèce, caporal de 2e classe au 2e régiment d'infanterie de Marine, 11e compagnie. N° 17387. 24 ans, fiévreux, entré au dit hôpital le 27/08/1856, y décédé le 03/09/1856, registre 2F2/240. Fils de François Joseph, jardinier à Epfig, et de Madelaine GUTH. Le père de Joseph, François Joseph, avait perdu lui-même son propre père, Georges, alors qu'il était très jeune, en mars 1814, alors qu'il était aussi militaire, à l'hôpital de Hambourg, Allemagne.

Remarque (valable aussi pour REIBEL Herrenbert qui suit) : Pendant la guerre de Crimée, un hôpital français de campagne fut installé au port du Pirée, près d'Athènes. Il accueillait, semble-t-il, les militaires affectés d'une maladie curable, plutôt que des blessés. L'hôpital fonctionna encore un an après la fin de la guerre (mars 1856). La guerre de Crimée causa plus de 95.000 morts dans l'armée d'Orient, dont 10.000 de leurs blessures dans les hôpitaux et environ 75.000 par maladie et épidémies infectieuses, comme le typhus pendant l'hiver 1855-1856. Ils étaient soignés par 450 médecins militaires, dont 82 succombèrent du typhus. Comme c'était la Marine qui transportait ses troupes et le matériel, les archives de l'hôpital du Pirée sont conservées aux Archives maritimes de Toulon, 2F2/240 et 241.
  • Herrenbert REIBEL , né le 10/03/1832 à Epfig, décédé le 02/09/1856 à l'hôpital militaire du Pirée, Athènes, Grèce, soldat de 2e classe au 2e régiment d'infanterie de Marine, 17e compagnie. N° 19852. 23 ans, fiévreux, entré au dit hôpital du 26/07/1856, y décédé le 02/09/1856, registre 2F2.240. Fils de Joseph Antoine, cultivateur à Epfig, et de Joséphine SPITZ. (Voir remarque ci-dessus.).

Émigration

Émigration en Algérie

  • Eugène ACKERMANN , né le 15/01/1853 à Epfig, décédé après 1880, gendarme à l'Oued-Athménia (Constantine), fils de Georges (o 23/04/1817 Epfig, y + 27/03/1883), cultivateur (1848), vigneron (1849,1880) à Epfig, et de Marie Victoire HATTERER (o 28/03/1821 Epfig, y + 21/03/1878).
Il épouse à Aïn-Melouk, annexe de Chateaudun-du-Rhummel (Constantine), le 06/10/1880, Euphrasie ROBERT, née le 25/03/1863 à Constantine, + après 1880, fille de Antoine (o 1828, + ap. 10/1880), cultivateur à Aïn-Melouk, et de Christine CANTOURNET (o 1830, + ap. 10/1880).
Pas de renseignements sur une postérité éventuelle en Algérie.
  • Charles BURCKEL , né le 15/06/1862 à Epfig, décédé en Algérie après 1904, négociant, domicilié (1886) Galerie Malakoff n°18 à Alger, puis représentant de commerce, domicilié (1892) rue Doria n°6 à Alger, fils de Chrétien (o 07/05/1819 Uttenheim, Bas-Rhin, + ap. 07/1889), propriétaire à Epfig, et de Marie Joséphine SPITZ (o 1835, + ap 07/1899).
Il épouse à Alger, le 15/05/1886, Berthe Marie PIOULE, née le 16/05/1866 à Alger, décédée après 1904, fille de Louis Frédéric (+ 22/09/1879 Cururon, Vaucluse), et de Reine Magdeleine Augustine PEYRE (+ ap. 05/1886).
Mariage dissous par un jugement de divorce du tribunal civil de 1ère instance d'Alger, première chambre, en date du 02/07/1904. Le couple aura deux enfants :
- Frédéric Georges Charles, né le 05/09/1887 à Alger, y décédé le 07/09/1887 à l'âge de 2 jours.
- Eva Charlotte, née le 04/09/1888 à Alger, y décédée le 03/06/1892 à l'âge de 3 ans 1/2.
  • Joséphine BURCKEL , sœur du précédent, née le 25/12/1855 à Epfig, décédée le 10/08/1949 à Tunis (Tunisie). En juillet 1889 est est rentière à Mustapha (Alger). Elle épouse :
1° avant 1879, probablement à Ingwiller, Bas-Rhin), Alphonse GEORG, décédé le 10/04/1883 à Ingwiller, notaire en ce lieu, d'où :
- Marie Mathilde Cornélie GOERG, née le 05/02/1879 à Ingwiller, décédée le 24/12/1972 à Montpellier (Hérault), qui épouse à Ménerville (Alger), le 17/12/1896, Henri Joseph Sixte GUERIN, né le 11/08/1874 à Touvet (Isère), propriétaire à Souk-Ahras (Alger). Postérité éventuelle non établie.
- Maria Josépha GEORG, née le 22/11/1882 à Ingwiller, décédée après 1903, qui épouse à Ménerville, le 14/06/1900, Pierre AMIZET, né le 20/08/1874 à Veslun (Cher), décédé après 1900, employé au Crédit Lyonnais, se trouvant alors en Algérie, mais domicilié à cette date à Paris, rue de Grenelle n°52, d'où un fils : Lucien Pierre Joseph AMIZET, né le 26/06/1903 à Mustapha (Alger), sans autres renseignements.
2° entre 1884 et 1891, en Algérie, avec Eugène BURCKEL, né le 19/07/1854 à Uttenheim (Bas-Rhin), décédé après 1900 en Algérie, propriétaire à Souk-el-Haad (Alger), fils de Xavier (o 1813 Uttenheim, y + 05/04/1887), cultivateur en ce lieu, et de Françoise FRINDEL (o 1820 Meistratzheim, Bas-Rhin, + ap. 07/1889), d'où :
- Adrienne Marie Mathilde Josépha BURCKEL, née le 09/11/1891 à Mustapha (Alger), sans autres renseignements.
- Marcienne Marie Louise BURCKEL, née le 13/01/1894 à Ménerville (Alger), qui épouse à Béni-Amran Jules Alexandre AGUADO, sans autres renseignements.


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Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
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Commentaire :

Source : http://www.annuaire-mairie.fr (juin 2013)

Dépouillements des registres paroissiaux et d'état civil

Les registres paroissiaux et l'état civil sont consultables en ligne sur le site Adeloch des Archives départementales : Adeloch

Les recensements sont également consultables en ligne sur le site Ellenbach : Ellenbach

Archives notariales

Patronymes

Remarques

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