61464 - Sées
Sées | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 61464 |
Code postal | 61500 |
Population | 4 193 habitants (2018) |
Nom des habitants | Sagiens, Sagiennes |
Superficie | 4 031 hectares |
Densité | 104.02 hab./km² |
Altitude | Mini: 170 m |
Point culminant | 321 m |
Coordonnées géographiques |
48.604722° / 0.171389° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Sommaire
- 1 Histoire de la commune
- 2 Patrimoine bâti
- 3 Repères géographiques
- 4 Démographie
- 5 En photos
- 6 Ville de naissance ou de décès de
- 7 Notables
- 8 Monument aux morts
- 9 Ressources généalogiques
- 10 Informations pratiques
- 11 Bibliographie
- 12 Voir aussi (sur Geneawiki)
- 13 Liens utiles (externes)
- 14 Notes et références
Histoire de la commune
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme civitas Saiorum vers 400 (« cité des Saii »)11, Sagensis ecclesiae en 541, Sagensis pagus en 854, civitas Saxonum en 990, Sagio en 991 et 996, Sagii en 1022, Saxia en 1024.
Le nom de Sées (Séez) vient des Sagii, tribu gauloise installée près des sources de l’Orne.
Le nom de Sées (et celui de Sagiens, forme savante) procède de (civitas) Sagiensis devenu Saiensis par lénition de [g] intervocalique, mot dérivé en -ensi de l'ethnonyme du peuple celte des Sagii, mentionné seulement à partir du iiie siècle. L'ethnonyme remonte vraisemblablement au celtique (gaulois) sag(i)- « qui recherche », bien attesté dans le nom tribal des Tectosages ou l'anthroponyme Sagius, Saius14, apparenté à la racine saig (flairer, suivre à la trace, chercher à atteindre), « le chercheur, le fouineur (chasseur) ? ».
Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, ce nom était orthographié Séez. Cette graphie a d'ailleurs été conservée par l'Église catholique (diocèse de Séez, évêque de Séez). L'orthographe officielle Sées remonte à l'époque de Napoléon Bonaparte, à la suite de la campagne d’Italie, afin d'éviter l'homonymie avec Séez de Savoie (alors française).
Histoire de Sées
Cité prospère dans l’Antiquité, ville religieuse centrale dans l’histoire de la région, Sées reste aujourd’hui une référence culturelle et patrimoniale : elle compte pas moins de onze édifices classés Monuments Historiques et conserve dans la pierre des traces de chaque époque architecturale. Découvrez son histoire… présentée ici en quelques lignes, et de façon plus approfondie sur les panneaux du parcours historique, répartis à travers la ville.
Une cité convoitée, à l’histoire mouvementée
D’une cité gauloise aux richesses légendaires…
Sées doit son nom au peuple gaulois des Sagii, qui ont fondé leur cité à cet emplacement idéal : aux portes de la forêt d’Ecouves, près des plaines à blé et des sources de l’Orne. A cette époque, la ville était prospère et ses habitants aisés. La légende raconte que la richesse de Sées était due à l’existence d’un coq en or, qui prenait vie chaque soir à minuit en lançant un retentissant « cocorico »…
Plus tard, la cité gauloise a été occupée par les Romains, comme l’attestent les découvertes réalisées dans différents points de la ville : pièces de monnaies romaines, chapiteaux de style corinthien et vestiges d’un temple gallo-romain détruit par les Saxons et les Huns aux IVe et Ve siècles.
… à une ville religieuse d’envergure
L’histoire de Sées, c’est aussi l’histoire de sa cathédrale et des péripéties qu’elle a endurées. Depuis l’édifice initial construit vers 440 par Saint Latuin, premier évêque sagien, cinq constructions se sont succédé sur le même emplacement, au fil des guerres et des restaurations.
D’autres édifices religieux ont vu le jour à la suite de la cathédrale : l’abbaye Saint-Martin, fondée au VIe siècle par des moines Bénédictins puis détruite et reconstruite au fil des invasions ; l’enclos des Cordeliers, créé au XIIIe siècle par des moines Franciscains… Les constructions catholiques se sont multipliées aux XVIIe et XIXe siècles, marquant le paysage urbain de Sées.
Cet héritage a profondément marqué l’identité de la ville. L’enjeu pour Sées est aujourd’hui de confirmer le passage d’une ville religieuse à une ville culturelle.
Une ville née de l’unification de trois bourgs
Au Ve siècle, Sées devient le lieu de résidence de l’évêque. Très affaiblie par les invasions scandinaves du IXe siècle, la ville renaît à la fin du Xe siècle et se structure en trois bourgs distincts :
– Bourg-L’Evêque, autour de la cathédrale, dirigé par l’évêque
– Bourg-Le-Comte, autour d’un château à motte, propriété du comte d’Alençon
– Bourg-L’Abbé, autour de l’abbaye Saint-Martin
Au XVIIIe siècle, les trois bourgs se réunissent pour ne former qu’une seule entité. La ville se transforme et se développe grâce à de nombreux aménagements : destruction des portes fortifiées à l’entrée de la ville, pavage des rues, curage de l’Orne, construction du lavoir du Vivier, création d’une promenade plantée d’arbres et d’un plan d’eau sur le Cours des Fontaines, assèchement des marais à l’ouest…
Vers l’époque contemporaine
Au XIXe siècle, les bourgs s’ouvrent, les rues s’élargissent et d’autres voies sont tracées pour relier le centre-ville à la gare. L’enclos canonial perd ses murailles et une grande partie de ses bâtiments, remplacés par l’actuel hôtel de ville. Des logements s’élèvent hors de la vieille ville, le long des principaux axes de communication. L’ouverture des faubourgs se confirme au XXe siècle et la ville continue de s’étendre au sud et au nord.
Aujourd’hui encore, Sées reste marquée par l’existence des trois bourgs médiévaux, qui forment désormais trois quartiers majeurs : le quartier de la cathédrale (ancien Bourg-L’Evêque), le quartier Saint-Pierre (ex-Bourg-Le-Comte) et le quartier de l’abbaye Saint-Martin (ex-Bourg-L’Abbé).
Téléchargez l’Analyse typo-morphologique d’une ville ancienne et de son territoire
Héraldique
D'azur à la foi d'argent en fasce, surmonté par un cœur du même et enflammé d'or : le tout surmonté d'une fleur de lis d'or en chef[1] .
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Orne
- Arrondissement - 1801-2023 : Alençon
- Canton - 1801-2023 : Sées
- Commune - 1801-2023 : Sées
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
La cathédrale actuelle de Sées a pris successivement la relève de quatre églises, qui au cours des siècles, ont été dévastées et anéanties par les malheurs des temps et les hommes.
La construction de la première cathédrale est due à l’évêque Saint Latuin. Elle débute au Vème siècle sur les ruines d’un temple gallo-romain mais est détruite par les invasions normandes de 878.
Vers le IXème siècle, une deuxième cathédrale est construite sur les ruines de la précédente, mais un siècle plus tard elle subit le même sort.
A la fin du Xème siècle, une troisième construction est entreprise par l’évêque de Sées, Azon le Vénérable (986-1010). Quelques temps après, l’édifice est incendié accidentellement par celui-ci.
En 1049, suite au Concile de Reims, le Pape Léon IX ordonne à l’évêque de Sées de rebâtir une nouvelle cathédrale. L’édifice de forme romane est très important. Mais le sort s’acharne. Elle est détruite à nouveau, suite aux incendies d’Henri II d’Angleterre (1133-1189), duc de Normandie.
C’est au début du XIIIème siècle que la dernière cathédrale est construite. Malgré ses fondations négligées, elle est consacrée en 1310, par l’évêque Philippe Le Boulenger (46ème évêque de Sées). Les trois siècles suivants sont marqués par la Guerre de Cent ans, les Guerres de Religion et la Révolution Française. L’église est incendiée, pillée et se délabre de plus en plus.
Dénouement du sort : Victor Ruprich-Robert est un disciple de Viollet-le-Duc. En 1849, il entame une restauration entière de l’Eglise à partir de ses fondations.
La cathédrale Notre Dame de Sées devient un véritable chef d’œuvre du XIIIème siècle, principalement gothique. En forme de croix latine de 106 mètres de long et 42 mètres de large, sa façade imposante est encadrée par deux magnifiques flèches de 70 mètres, restaurées en 1978.
A l’intérieur, les hautes fenêtres permettent une belle luminosité à la nef normande et au chœur français. Le transept qui date de la fin du XIIIème début XIVème traduit le commencement du style gothique Ile De France qui s’étend sur tout l’arrière chœur.
Les vitraux du XIIIème et XIVème siècles présentent au Nord, une magnifique rosace d’un bleu nuit appelée « Sceau de Salomon ». En forme d’étoile à six branches, elle offre un résumé de la foi chrétienne.
Au Sud, « la roue du soleil » est une rosace d’or et de soleil où dominent les couleurs rouges et jaunes.
La cathédrale conserve également d’autres trésors. Un puits décoré de bas-reliefs dans le style roman, un maitre-autel du XVIIIème siècle entouré des ses quatre balustres de marbre et un orgue, appelé « Parisot » -dû à son constructeur Claude Parisot- qui date de 1743.
Elégante et gracieuse, la cathédrale Notre-Dame de Sées a su conserver sa superbe et impose le respect.
Chaque année, durant la saison estivale, le spectacle « Musilumières » met en scène la cathédrale de Sées.
A travers la musique et les projections de lumière et d’images, la cathédrale nous livre son histoire et met en avant son architecture.
Une véritable féerie.
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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Population | 6 000 | 5 471 | 5 376 | 5 015 | abs. | 4 567 | 4 474 | 5 004 | 5 005 | 4 953 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 5 045 | 5 005 | 4 910 | 4 985 | 4 687 | 4 672 | 4 272 | 4 275 | 4 165 | 3 982 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 922 | 3 975 | 4 292 | 4 181 | 4 426 | 4 719 | 4 250 | 4 137 | 4 347 | 4 706 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 4 767 | 4 547 | 4 504 | 4 508 | 4 377 | 4 182 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017 & 2018.
En photos
Ville de naissance ou de décès de
- Louis FORTON, dessinateur de bandes dessinées, "père" des Pieds Nickelés et de Bibi Fricotin, né le 14 mars 1879, décédé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines) le 15 février 1934
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
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DELAUNAY | 1808 | Maire nommé par l'Empereur |
Jacques CHAGRIN de BRULLEMAIL | 1816 | député de l'Orne v 1826/ dates personnelles 1783-1839 |
- | ||
- | ||
Louis SÉNÉCHAL | 1865 | |
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Georges SÉNÉCHAL | 1890 | avocat |
Jean MONTAUZÉ | 1894-1902... | |
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HUBERT | 1925-.... | |
Joseph HOMMEY | ...-1933 | médecin/ décédé en 1933 |
Charles FORGET | 1933- 1945 | radical-socialite/ démissionnaire en 1945 |
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Louis LEGAY | ...-1974 | huissier/ conseiller général de 1970 à 1974 |
André DUBUISSON | 1974-1995 | agent d'assurances |
Jean Pierre PELLETIER | 1995 - 2008 | Inspecteur de l'Education Nationale |
Francis BOUQUEREL | 2008 - 2012 | |
Jean-Yves HOUSSEMAINE | 2012 - 2020 | |
Mostefa MAACHI | 2020 - (2026) | |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Maître BEHEURE | 1817 | |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
MARGAULT LAVALLÉE | 1808 | "Curé" (sic) du canton de Sées |
Jean-Baptiste DELAPLANCHE | 1836 | curé |
MAILLARD | 1854... | "Curé" du canton de Sées |
François DUPONT | 1862 | curé archiprêtre |
Basile AZIRE | 1865-1880 | curé archiprêtre/ précédemment curé de Macé |
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Vital DAREL | 1884-1890 | Archiprêtre de la Cathédrale et chanoine titulaire/ originaire de Trun, 1840/ décédé en 1890 |
Victor Lucien DUMAINE | 1890-1893 | curé archiprêtre de la cathédrale et chanoine titulaire/originaire de Tinchebray 1841/ précédemment vicaire à La Lande-Patry puis à ND d'Alençon où il baptisa Thérèse Martin (Ste)/ curé de Tourouvre puis de Montsort d'Alençon/ postérieurement vicaire général du diocèse/ décédé en 1926 |
Stéphane GUESDON | 1893-1911... | curé-archiprêtre/ Chanoine/originaire de Gacé 1845 |
F. CATTOIS | ?-1914 | originaire de Pervenchères 1862/ Curé archiprêtre de la Cathédrale, chanoine titulaire / précédemment curé de Villers en Ouche/ postérieurement: vicaire général du diocèse |
Basile LEPORT | 1914- 1921... | curé archiprêtre de la cathédrale; chanoine titulaire/ précédemment curé de Lonlay-l'Abbaye/ originaire d'Igé 1867 |
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Victor MONTEMBAULT | ...1926- | Curé-archiprêtre de la Cathédrale; chanoine titulaire/ originaire de Chanu (né en 1869)/ précédemment vicaire à St Germain d'Argentan, curé-doyen de Carrouges/ |
Edmond VAUCANU | 1936-... | Archiprêtre de la cathédrale chanoine titulaire/ précédemment curé-doyen de Carrouges/ dates personnelles: 1881 Gacé-- 1970 Perrou |
Pierre FULGENCE | ...1933-1940... | vicaire /Directeur du "Cercle catholique" (patronage)/ originaire de Flers 1909 |
Henri ÉNEAULT | Années 1950 | curé archiprêtre de la Cathédrale/ précédemment vicaire à Sées (1926) puis curé de Saint Martin du Vieux-Bellême en 1930, ensuite curé d'Echauffour puis curé-doyen de Passais / dates personnelles: 1897 Ceton- 1986 Passais |
Yves THURIAU | années 1950 | vicaire de Sées/ postérieurement curé d'Essai |
Daniel POTIER | années 1950-63 | vicaire de Sées/ postérieurement vicaire à Mortagne; puis curé de Chanu, de Céaucé , prêtre coopérateur à Domfront/dates personnelles: 1933 St Mars d'Égrenne - 2019 Domfront |
Paul PHILIPPE | 1963-1969 | vicaire / Directeur de la Colonie de vacances des Jeunes de Sées à Escoutoux 63/ postérieurement prêtre coopérateur ("prêtre-ouvrier" dit Paulo) à Argentan pendant plus de 40 ans / originaire d'Alençon/ dates personnelles: 1936-2013 (Argentan) |
Paul BOURDON | Années 1960-70 | curé-archiprêtre de la cathédrale; chanoine titulaire/ originaire de Ceton/précédemment vicaire à Alençon Montsort/ 1938 curé de St Evroult ND du Bois; prisonnier de guerre; curé de Condé sur Huisne (1946-1959); curé-doyen de Rémalard, 1959 |
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BARRET | 1893 | curé de ND de la Place Quartier St Martin |
GIGAND | -1947 | curé de ND de la Place quartier St Martin |
Robert GAUTHIER | 1947-1968 | Curé de Notre Dame de la Place, quartier Saint Martin et desservant de Neauphe sous Essai; chanoine honoraire/ précédemment vicaire à Tinchebray puis à Argentan, curé de la Chapelle près Sées (prisonnier au stalag VIIA en Bavière) |
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Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1793-1902)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1793-1802)
Documents numérisés
- Actes notariés cf (1651-1652)
- Actes notariés (1653-1654)
- Actes notariés (1697-1697)
- Actes notariés cf (1652-1652)
- Actes notariés (1681-1681)
- Actes notariés (1705-1705)
- Actes notariés (1700-1700)
- Actes notariés (1702-1703)
- Actes notariés (1617-1617)
- Actes notariés (1704-1706)
- Actes notariés (1673-1675)
- Actes notariés (1699-1700)
- Actes notariés (1647-1647)
- Actes notariés cf cf projet) (1648-1649)
- Actes notariés - ) (1650-1652)
- Actes notariés (1679-1680)
- Actes notariés (1649-1650)
- Actes notariés (1649-1659)
- Actes notariés (1651-1654)
- Actes notariés cf (1652-1652)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 8h30 à 12h00 | 9h00 à 12h00 | - |
Après-midi | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | 13h30 à 17h30 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place du Général-de-Gaulle - 61500 SÉES
Tél : 02 33 81 79 70 - Fax : 02 33 28 18 13 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : (Ouvert le samedi pour l'état civil) Source : Mairie & L'Annuaire Service-Public (Novembre 2021) |
Associations d'histoire locale
Patronymes
Bibliographie
Les manoirs du Perche : d'une image littéraire à la réalité archéologique
Elisabeth Desvaux-Marteville
Archéologie médiévale Année 1973
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la commune
- Généalogie Sées et environs http://genealogie-normandie.kazeo.com/