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===Église Saint-Pierre-ès-Liens===
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L'église de Cirey est dédiée à saint Pierre-ès-Liens et possède [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=3&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous un autel, un retable et un tabernacle], des [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=5&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous consoles], [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=4&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous une croix de procession] et un [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=2&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous tableau de ''Sainte Adélaïde fuyant les persécutions de Béranger''] peint par François-Alexandre Pernot classés aux monuments historiques.
==== Le château ====
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* [http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Cirey Le château de Cirey] sur le site Wikipédia.
* [http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Cirey Le château de Cirey] sur le site Wikipédia.


==== L'église ====
L'église de Cirey est dédiée à saint Pierre-ès-Liens et possède [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=3&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous un autel, un retable et un tabernacle], des [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=5&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous consoles], [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=4&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous une croix de procession] et un [http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_1=INSEE&VALUE_1=52129&NUMBER=2&GRP=0&REQ=((52129)%20%3aINSEE%20)&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=9&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=200&MAX3=200&DOM=Tous tableau de ''Sainte Adélaïde fuyant les persécutions de Béranger''] peint par François-Alexandre Pernot classés aux monuments historiques.


==== Le pont ====
==== Le pont ====

Version du 18 août 2018 à 06:20

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Cirey-sur-Blaise
Blason de Cirey-sur-Blaise
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département Modèle:Departement 52-3
Métropole
Canton Blason de Doulevant-le-Château   52-11   Doulevant-le-Château
Code INSEE 52129
Code postal 52110
Population 108 habitants (1999)
Nom des habitants
Superficie 1644 hectares
Densité 6.57 hab./km²
Altitude 216 m / 328 m
Point culminant 328 m
Coordonnées
géographiques
4°56'26" E / 46°19'56" N
Localisation (avant 2015)
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
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Histoire.png Histoire de la commune

Cirey-sur-Blaise - le château.jpg

Le village était nommé avant la révolution, Cirey-le-Château en raison de la présence d'un château bâti au XVIIe siècle sur les ruines de l'ancien château féodal. Il existait aussi autrefois deux anciens camps fortifiés romains : le château des Sarrasins au sud-est dans les bois et le château-Gaillard, sur un monticule, en face du tertre de l'actuel château.

Une présence romaine est attestée par une voie qui traverse le territoire en direction de Doulevant-le-Château par le bois d'Aillemont et par la présence de deux camps romains. Le premier est à l'emplacement dit du château des Sarrasins où on a retrouvé une meule en granit, des fragments de tuiles à rebords et des formes de terrassements. Il existe plusieurs retranchements ou ruines antiques portant la dénomination de sarrasins sans qu'il soit possible d'en déterminer la raison. A proximité, on a également découvert les restes d'un aqueduc. Le second est sur un promontoire appelé Château Gaillard, et où on peut voir les ruines d'une enceinte ovale avec en son centre un renfoncement circulaire qui pourrait être l'emplacement d'une tour en bois et des fossés entourant le tout.

On trouve des seigneurs du nom de Cirey, à partir de la fin du XIIe siècle. Adam Chevalier de Cirey est le premier qui soit mentionné. On le retrouve dans le Livre des vassaux du comté de Champagne et de Brie rédigé vers 1172 et dans une lettre de Manassès de Bar-su-Seine, évêque de Langres, confirmant en 1187 des donations faites aux hospitaliers de la commanderie d'Estury. Au XIVe siècle, la seigneurie était possédée par la famille de Saint-Eulien, d'où il passa par alliance au siècle suivant à la maison du Châtelet pour laquelle elle fut érigée en duché en 1777 alors qu'auparavant elle avait le titre de baronnie.

En 1201, la mouvance de Cirey était partagée en deux :

- la première partie qui se trouve sur la rive la gauche de Blaise et qui comprend le château, est mouvante du comté de Brienne, lui-même mouvant du conté de Champagne (jusqu'en 1789).
- la seconde partie passa en 1218 momentanément dans la famille de Joinville puis revint peu de temps après aux comtes de Champagnes. Après la réunion de cette province à la couronne, la mouvance passa au roi de France. En 1366, Charles V cède provisoirement la mouvance à Jean III, seigneur de Vignory. Puis elle rentra peu de temps après dans les mains du roi de France (jusqu'en 1789).

Dans la vallée de l'Étang, on trouve les vestiges d'une ancienne commanderie ayant appartenu aux Hospitaliers qui a été par la suite réunie à la commanderie d'Esnouveaux. L'étang et le bois voisin en conservent encore la dénomination : l'étang du Commandeur, le bois de la Commanderie. La commanderie d'Estury reçut en 1187 des donations de terres et de bois situés sur le finage de Bouzancourt. Longtemps après l'extinction de cette commanderie, les commandeurs d'Esnouveaux en portaient encore le titre, s'intitulant commandeurs d'Esnouveaux et d'Estury. La présence des Templiers est également attestée. Ils possédaient des bois et des droits. Barthélemi, seigneur de Cirey leur donna le droit de pâturage. Plus tard, les templiers cédèrent à Geoffroy ce qu'ils possédaient à Cirey et dans son finage en hommes et en bois en échange de près situés en dessous de Cirey.

Le village de Cirey était autrefois plus considérable et s'étendait à l'ouest jusqu'au pied de la montagne. Cirey fut pris et dévasté en 1439 par les Ecorcheurs.

Le 4 mars 1592, l'ancien château féodal qui était fortifié, fut attaqué par les ligueurs qui s'en emparèrent après quatre jours de siège et brûlèrent les trois quart des maisons du village. Le château fut abattu en partie en avril 1633 sur ordre du roi car le baron venait d'être condamné à mort pour rébellion et félonie. Il fut complètement démantelé en 1663 et a été remplacé au XVIIe siècle par l'actuel château, bâtit sur les restes d'une forteresse du XIe siècle.

Ce dernier, fut le refuge pendant quinze années du philosophe Voltaire invitée par la Marquise du Châtelet, brillant esprit du XVIIIe siècle. Le Château, situé à la limite de la Lorraine alors indépendante, est le refuge idéal pour Voltaire qui peut s'enfuir à l'étranger. Mais ce dernier séduit par les lieux entreprend la rénovation du château délabré puis son agrandissement par la construction d'une longue galerie dont la porte d'honneur exprime ses convictions philosophiques et son attachement aux arts et aux sciences. Ces travaux ont pour but de séduire la Marquise du Châtelet qui tarde dans un premier temps à le rejoindre. Puis commencera alors une des plus grandes aventures intellectuelles et amoureuses du XVIIIe siècle. Dans la correspondance de Voltaire, on trouve de multiples références au village :

... mais quand on est à Cirey on ne le quitte point pour Constantinople ...
... je n aurais pas quitté Cirey pour le trône de la Russie même. ...
... Puissiez vous jouir à Cirey de tous les agréments de la vie !
... Quand même Cirey serait à l autre bout du monde je ne renonce pas à la satisfaction de m'y rendre un jour. ...

Il y a sur Blaise des usines de fer qui remontent à une haute antiquité. Au lieu dit Le fourneau, une usine est mentionnée dès 1662. En 1772, celle-ci comprend un fourneau et une forge qui se composent de 3 ou 4 feux et 2 marteaux. En 1820 l'usine comprend un haut fourneau et une fenderie. Au lieu dit, La maison blanche, on trouve des feux d'affinerie établis sur l'emplacement d'une forge mentionnée en 1503. En 1822, l'usine comprend 3 feux d'affinerie, 1 bocard à crasse et 3 marteaux. En 1853, un haut fourneau remplace l'affinerie.

Modèle:Héraldique fr B

D'or à la bande de gueule accompagnée de trois fleurs de lis d'argent.

Histoire administrative

  • Administration ancienne (1789-1999)
  • souveraineté : 1789, royaume de France puis 1790, Haute Marne
  • département : 1793, Haute Marne puis 1801, Haute-Marne
  • district : 1793, Joinville
  • arrondissement : 1801, Wassy puis 1926, Chaumont et 1940, Wassy
  • canton : 1793, Doulevant-le-Château
  • municipalité : 1793, Cirey-le-Château
  • Administration actuelle (à partir de 1999)
  • région : Champagne-Ardenne
  • département : Haute-Marne
  • arrondissement : Saint-Dizier
  • canton : Doulevant-le-Château


^ Sommaire

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Église Saint-Pierre-ès-Liens

Photo R.Hourdry L'église de Cirey-sur-Blaise.


L'église de Cirey est dédiée à saint Pierre-ès-Liens et possède un autel, un retable et un tabernacle, des consoles, une croix de procession et un tableau de Sainte Adélaïde fuyant les persécutions de Béranger peint par François-Alexandre Pernot classés aux monuments historiques.

Le château

Louis Jules du Châtelet en 1643, construit une demeure sur les reste d'une forteresse du XIe siècle composée d'une aile droite, en brique et pierre, de style Louis XIII dominant le canal.

Lorsque Voltaire arrive à Cirey, il découvre un château très délabré. Il entreprend sa rénovation, avec l'accord du Marquis du Châtelet. Puis trouvant le château trop petit pour y recevoir, il l'agrandit et entreprend la construction d'une longue galerie surmontée d'une terrasse. La porte d'honneur en pierre de cette galerie est magnifiquement sculptée d'un décor marin composé de coquillages et de deux faces de Neptune, qui permettent à Voltaire d'affirmer les idées évolutionnistes de Maupertuis sur l'origine marine de la vie. on retrouve également sculptés de part et d'autre de la porte tous les attributs des arts et des sciences:

à gauche de la porte :

  • la mappemonde pour l'astronomie ;
  • le compas, la règle et l'équerre pour la géométrie ;
  • la plume et son étui pour la littérature ;


à droite de la porte :
  • l'astronomie à nouveau ;
  • la palette pour la peinture ;
  • la tête pour le penseur ;
  • le maillet pour la sculpture ;
  • la cornemuse pour la musique.

Au XIXe siècle, l'aile de Voltaire est complétée par une aile en retour, et une nouvelle chapelle est construite et décorée par le peintre Constant Ménissier en 1851.

Le petit théâtre de Voltaire

Voltaire aménagea vers 1735 un petit théâtre qui est sûrement une des plus anciennes scènes de France. Au XVIIIe siècle, les salles sont rares et inadaptées au spectacle.

C'est une petite salle, cachée dans les combles comprenant cinq banquettes permettent d'accueillir une quinzaine de spectateurs, et une petite loge bordée d'une balustrade en bois peint. La scène surélevée et de surface réduite, est mise en valeur par un cadre en papier marouflé peint en trompe-l'œil.

Les décors sont au nombre de trois et constitués de toiles peintes tendues sur des châssis en bois :

  • la chambre rustique, représentant un intérieur modeste mis en valeur par la technique du trompe-l'œil.
  • la forêt constitué de 6 châssis. Tous possèdent une silhouette, c'est-à-dire une découpe sur le côté qui ne fait que renforcer l'illusion.
  • le jardin exotique composé de palmiers au milieu duquel coule une fontaine.

Voltaire y joue avec la marquise du Châtelet l'Enfant Prodigue, Zaïre, La Sérénade.

Les communs

Sur le site des anciens communs du château du XVIIe siècle, on trouve une grande cave formée de plusieurs salles voûtées en anse de panier ainsi qu'une fruiterie. Distribués autour d'une cour rectangulaire, les communs se composent des écuries, du poulailler, du pigeonnier, du grenier à bois, du bâtiment du fermier, de la maison du berger, des granges et des étables. Dans le parc, on trouve la présence d'un pont métallique datant de 1880 et d'un chalet à décor de bois découpé, caractéristique du goût de la fin du XIXe siècle. On trouve également la halle du haut fourneau qui a été reconstruite reconstruite en 1855. A l'entrée, deux petits pavillons ont été construits en 1915.


Le pont

Le pont a été édifié en 1844 par l'architecte Frédéric Delaveuve. C'est un pont à tablier droit avec des arches en arc segmentaire et un parapet ajouré, décoré de dauphins sur les becs.

Hauts fourneaux

  • Au lieu dit La maison Blanche, on trouve la présence de feux d'affinerie qui ont étaient établis sur l'emplacement d'une forge mentionnée en 1503. En 1772, le comte du Châtelet possède l'usine et l'exploite. En 1795, elle produit 800 milliers de fer produits par an, en 1817 la production est de 350 000 kg de fer. En 1820, l'usine est composée de 4 feux d'affinerie, 1 bocard à crasse et 2 marteaux. En 1822, l'un des 4 foyers est remplacé par un marteau. A partir de 1834 l'affinage comtois est remplacé par la méthode champenoise (deux fours à puddler). La forge que possède toujours de Damas en 1843, est exploité par Ernest Royer. En 1853, un haut fourneau remplace l'affinerie mais celui-ci est détruit en 1886.
  • Au lieu dit, Le Fourneau, une usine est mentionnée en 1662. Le comte du Châtelet en est aussi le propriétaire en 1772. En 1795, la production de fonte est de 145 à 150 milliers par mois. En 1820, l'usine est composée d'un haut fourneau et d'une fenderie. En 1828, le haut fourneau est reconstruit tandis que la fenderie est détruite. Mais ce dernier sera démoli à son tour en 1885.


^ Sommaire

Repère géographique.png Repères géographiques

52129-Blaise-Vue générale-2.jpg
Vue générale
Photo : S. Massé
Cirey-sur-Blaise est situé dans la haute vallée de la Blaise, rivière longue de 85 km qui se jette dans la Marne.

Le long de la Blaise, il se situe en aval des villages de Bouzancourt, de Daillancourt, Guindrecourt-sur-Blaise et de Blaise, et en amont des villages d' Arnancourt et de Doulevant-le-Château.


^ Sommaire

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 652 659 664 632 719 740 723 706 745 650
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 666 595 546 534 476 446 409 369 316 300
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 291 240 244 225 234 224 234 207 171 155
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 - - - -
Population 126 100 108 110 - - - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.


^ Sommaire

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

Photos du village :

Photo : S. Massé

Cartes postales anciennes :

Cadastre napoléon :


^ Sommaire

Familles notables.png Notables

Les familles seigneuriales de Cirey jusqu'à la révolution

Famille de Cirey

  • I Adam Chevalier de Cirey

L'origine de la famille est inconnue. On retrouve le nom d'Adan dans le livre des vassaux du comté de Champagne et de Brie rédigé vers 1172 et dans une lettre de l'évêque de de Langres confirmant des donations faites aux profits des hospitaliers de la commanderie d'Estury.


  • II Barthélemy (Bartholomé) de Cirey épousa Clémentia de ?

Il était probablement le fils d'Adam. On le retrouve en 1191 dans une donation de droit de pâture dans toute la châtellenie de Cirey aux profits de l'abbaye de Clairvaux. On le retrouve à nouveau dans une lettre de confirmation donnée par Garnier de Trainel, évêque de Troyes en tant que témoin d'une donation d'un certain Martin de Sefont ainsi que dans le livre des Feoda Campaniae rédigé en 1201.

1.Geoffroy, qui suit


  • III Geoffroy de C irey, épousa Ermengarde de Clefmont

En 1218, suite à une transaction entre Blanche, Comtesse de Champagne et Simon, seigneur de Joinville, le fief passa un temps dans la mouvance de ce dernier. En 1223, il y eut une transaction entre lui et les templiers établis sur Cirey où il céda à leurs profits le tiers qui lui appartenait dans les dîmes d'Arnancourt.

1. ? de Cirey, qui suit
2. Alix


  • VI - de Cirey

Son nom ainsi que celui de son épouse sont inconnus mais son existence est avérée notamment par l'acquisition de la seigneurie de Bouzancourt au mois de septembre 1268 comme stipulé dans un mémoire postérieure à 1560 pour appuyer un droit de main-morte. Elle fut partagée entre ses deux enfants et Geoffroy de Marainville, fils d'Elisabeth donna en avril 1297, une charte d'affranchissement aux habitants.

1.Geoffroy, qui suit
2.Elisams ou Elisabeth, épousa ? de Marainville


  • V Geoffroy de Cirey, épousa Isabelle de ?

On retrouve son nom dans un acte de vente d'une grange en avril 1303.

1. Gérard, qui suit
2. Jean
3. Emengart (Emenjars, Menjart ou Mengart), épousa Guille de Marne, écuyer puis Renaus de Nonnoyant, sire de Mandres


  • VI Gérard de Cirey, épousa Agnès de Bullegnéville

En 1339, on retrouve son nom dans un acte dans laquelle Guillaume de Sainville et sa femme Iolande déclarent tenir en fief de lui ce qu'ils possèdent à Luvigny. En 1349, il établit un accord avec frère Dominique de Creynay, commandeur d'Estury, pour ses droits de lods et ventes sur certains cens dus à Bouzancourt et pour un pressoir que les hospitaliers venaient de faire établir.

1. Isabelle, qui suit
2. Marguerite
3. Mahaut, épousa Erard de Dinteville puis à Regnault de Verdelot


Famille de Saint-Eulien Cette famille est une ancienne famille noble de Champagne.

  • I Isabelle de Cirey, épousa Huot de Saint-Eulien

Ils eurent de longues difficultés avec leurs soeur et beau-frère, Mahaut et Regnault de Verdelot autour de la succession de leur père Gérard. En 1376, ils les firent assigner aux Grands jours de Troyes afin d'établir un partage définitif. Vers 1382, la partie de Cirey appartenant à sa soeur Mahaut revint à Isabelle qui posséda la seigneurie en entier mais recueillit aussi l'héritage de son autre soeur Emengard.

1.Yvain, qui suit 2.Pierre 3.Gérard

Elle épousa ensuite Pierre de Ville-sur-Illon puis Jean de Luxembourg.


  • II Yvain de Saint-Eulien, épousa Agnès de Saint-Amand.
1. Alix épousa Erard du Châtelet


Famille du Châtelet, famille issue de la famille des ducs de Lorraine.

Branche ainée

I Alix de Saint-Eulien, épousa Erard III du Châtelet vers 1415. Alix apporta en dot, la seigneurie de Cirey, de Saint-Eulien, de Saint-Amand, de Vaubercy et de Pancey. Erard III prit par une part active dans l'histoire de la Lorraine de cette époque. Erard du Châtelet, en combattant au coté de René d'Anjou pour la succession du duché de Lorraine, fut fait prisonnier par le maréchal de Bourgogne et fut libéré contre rançon. En 1437, il fut nommé maréchal gouverneur général de Lorraine et traite avec le comte de Vaudémont pour arrêter le désordre semé par les écorcheurs que le comte avait pris à sa solde et qui avaient entres autres pillés le château de Cirey. Il mourut le 18 août 1459 et fut enterré dans l'église des Cordeliers de Neufchâteau.

1. Pierre, qui suit
2. Guillaume, chef de la branche de Pierrefitte
3. Ide (Eude ou Odette), épousa Colard de Marlay puis Bertrand de Beauvau
4. Pernette (Prunette ou Pierrette)
5. Jeanne, épousa Guillaume de Choiseul
6. Agnès, épousa Jean D'Ormes
7. Isabelle, épousa Louis de Dommartin

Il épousa ensuite Marguerite de Grancey.

A sa mort, il possédait les seigneuries de Deuilly, Bullegnéville, Briaucourt, Reyneville, Provenchères, Saint-Julien, Fourchécourt, la châtellenie de Pierrefitte, la prévôté de Grémilly, deux maisons à Neufchâteau, Cirey, Saint-Eulien, Saint-Amand, Arnancourt, Pansey, Vaubercy, Changy, Mertaut, Outrepont, Bouzancourt, Bonney, Fréméville, Fontaine, Raonfroy, Martigny et le Petit-Saint-Georges. Les terres de Cirey furent partagées en deux parties. A Pierre, l'ainé, fut attribué le château et certaines terres en dépendant en vertu du droit féodal et Guillaume, la seigneurie et tous les droits en dépendant. Ils prirent tous les deux néanmoins le titre de seigneurs de Cirey.


  • IIa Pierre de Châtellet, épousa Manne d'Autel en 1449.

Il eut des difficultés avec son beau-père qui tarda à lui payer la dot de sa femme et le duc de Lorraine dut intervenir. Il acheta une partie des terres de Bouzancourt. En 1466, il donna, avec son frère Guillaume, aux habitants de Cirey un ascensement de terres essartées par eux.

1. Jean
2. Erard IV, qui suit
3. Hue (Huet), chef de la branche de Deuilly
4. Balthazard, abbé de St-Vincent de Metz
5. Agnus (Anne), chamoine de Langres
6. Pierre, sénéchal de Lorraine
7. Catherine, épousa Claude d'Haraucourt dont elle eut 22 enfants
8. Alix, épousa Pierre du Fay

Il épousa ensuite Jeanne de Toulonjon en 1469.


  • IIIa Erard IV du Châtelet, épousa Françoise d'Haraucourt

En 1501, il fait ses reprises de la moitié de la seigneurie de Bouzancourt, mouvante de celle de Cirey.

1. Christophe, qui suit
2. Jean-Baptiste, reçu chevalier de Malte, commandeur de Beauchemin
3. Marguerite


  • IVa Christophe du Châtellet, épousa Jacqueline de Béthune

Le 30 juin 1519, par acte notarié, il céda aux habitants de Cirey deux terrains contigus dans lesquels seront construits plus tard la cure et le moulin communal. Il fut tué à Pavie en 1525 lors de la bataille ou François 1er fut fait prisonnier.

1. Erard V, qui suit
2. Christophe
3. Nicole, épousa René de Malain
4. Françoise, religieuse à Remirmont
5. Pétronille, religieuse à Remirmont

Jacqueline de Béthune se remaria avec Jean du Châtelet.


  • Va Erard V du Châtelet, épousa Anne de Hangest
1. Erard VI, mourut jeune

Nicole du Châtelet, sa soeur, qui avait renoncé en faveur de son frère aux successions, hérita alors de tous ses biens.


Famille de Malain : famille originaire de Bourgogne.
  • IVa Nicole du Châtelet épousa René de Malain en 1540.

Elle eut 6 000 livres de dot, à condition qu'elle renonce à ses successions. Mais Erard V et son fils étant mort, elle hérita avec ses soeurs de toutes les seigneuries auxquelles elle avait renoncée. Mais René Malain échangea le 17 juin 1550, ce qu'ils avaient dans les terres de Cirey à Jean du Châtelet de la branche de Pierrefitte.


Branche de Pierrefitte
  • IIb Guilaume du Châtelet, épousa Iolande de Haraucourt en 1460

En tant que seigneur de Cirey, il donna en 1466 une lettre d'abolition à un forgeron qui avait tué un autre ouvrier forgeron dans une usine de fer de Cirey. En 1469, il porte le titre de conseiller-chambellan du roi Louis XI. Il combattit également à la bataille de Nancy pour le duc de Lorraine.

1. Jacques, seigneur de Saint-Amand
2. Philibert, qui suit
3. Pierre, chevalier de Rhodes, commandeur de Libdo et de Narroy

Il semble que suite à un incendie qui a détruit une partie du village, Iolande de Haraucourt donna aux habitants de Cirey, le 23 décembre 1494, une charte qui les affranchit en partie des anciennes servitudes et leur confirme certains droits dans les bois seigneuriaux.


  • IIIb Philibert de Cirey, épousa Marguerite de Ville-sur-Illon

Il servait dans l'armée du roi puis on le retrouve comme guidon de Lorraine à la suite d'Antoine du Châtelet. Il se retira dans l'abbaye de Saint-Victor à Paris en 1529.

1. Jean, qui suit
2. Claude (Claudine), épousa à Engilbert de Bessey puis François de Crux


  • IVb Jean du Châtelet, épousa Jacqueline de Béthune, veuve de Christophe de Châtelet

Suite à la charte donnée en 1494 par Iolande de Haraucourt, un procès s'éleva en 1542 entre Jean du Châtelet et les habitants de Cirey dont le jugement attribua à ces derniers les bois communaux qu'ils possédaient déjà. Le château qui appartenait à la branche ainée fut cédé dans le cadre d'un échange en 1750 par René de Malain. Il mourut au château de Cirey en 1556 et fut enterré dans l'église.

1. Philibert, qui suit

Il épousa ensuite Philippe de Ludres le 7 juin 1533.


  • VI Philibert II du Châtelet, épousa Françoise de Lennoncourt.

Il était colonel d'un corps de reître, cavaliers allemands qui vendaient leurs services, sous Charles IX. Il mourut le 14 mai 1568 et fut inhumé à l'abbaye de St-Victor à Paris. Cette branche de la famille du Châtelet semble avoir quelques dettes et sa veuve Françoise ne put empêcher en 1570 la saisie des revenus de la seigneurie plusieurs années de suite.

1. Antoine qui suit
2. Louis, dont le fils Louis-Jules hérita des terres de Cirey à la mort de son père.
3. Issac
4. Catherine, épousa Jean-Jacques de Lignéville
5. Marguerite, religieuse à Remirmont
6. Anne


  • VIII Antoine du Châtelet, épousa Judith de La Rochefoucauld.

Les difficultés financières continuèrent et les terres de Cirey furent saisies une seconde fois en 1599. Antoine et son frère Louis prirent une part active dans les guerres intestines de Champagne ce qui eut pour conséquence le siège du château de Cirey en 1592 par les ligueurs et les Lorrains. Antoine fut blessé et emmené prisonnier en Lorraine puis libérer au début de l'année suivante. Il mourut en 1620 sans enfant et c'est son neveu Louis qui lui succéda.


  • IX Louis-Jules du Châtelet, épousa Christine de Gleiseneuve le 25 février 1618

Louis XII confisqua les terres de Cirey, considérant les Châtelet comme des étrangers. Louis-Jules réussi à prouver qu'il était né et baptisé dans le duché de Bar et donc qu'il était français. Les terres de son oncle lui furent alors rendues. Louis-jules aimait le métier des armes et s'y est fait remarquer tant en France qu'en Allemagne. En 1630, il fut nommer maréchal des camps et armées du roi et gouverneur d'Aigues-Mortes. Il fut, cette même année nommé grand Chambellan par Gaston, frère du roi Louis XIII, aussi appelé Monsieur. Il suivi Gaston dans son opposition au roi qui déclara alors criminels de lèse-majesté tous ceux qui avait aider son frère. La terre de Cirey fut en conséquence confisquer. Le 31 décembre 1631, le roi fit don à Claude de Lenoncourt de la terre de Cirey. Louis-Jules suivit encore Gaston jusqu'à la bataille de Castelnaudary où il prit la fuite devant la défaite tandis que Gaston traita par la suite avec le roi. Pendant ce temps, sa femme, Christine de Gleiseneuve, réussit à faire opposition à la confiscation et à obtenir le versement d'une rente pris sur les revenus de la baronnie de Cirey. L'intendant de Champagne rendit un jugement ordonnant de raser le château qui fut exécuter en 1633. Le roi offrant son pardon à son frère, Louis-Jules en profita pour revenir. Dix ans plus tard, il commença la construction du nouveau château.

1. Godefroy, mort à 21 ans
2. Philippe, mort en bas âge
3. Françoise, mort en bas âge
4. Charles, qui suit
5. Charles-Antoine, qui suit
6. Marie
7. Antoinette
8. Nicole-Françoise, épousa Charles de Broussel le 22 septembre 1663. Elle hérita de la baronnie de Cirey à la mort de son neveu, Armant du Châtelet mais elle y renonça en faveur de Marie-Gabrielle-Charlotte du Châtelet car la baronnie était trop endettée.
9. Diane, prieure de Notre-Dame-de-la-Pitié de Joinville
10. Louise, religieuse à Saint-Pierre de Reins
11. Magdeleine, religieuse aux Annonciades de Joinville
12. Bonne-Françoise, religieuse à Bar-sur-Aube


  • Xa Charles du Châtelet, épousa Catherine de Lameth le 25 novembre 1672

Il hérita en indivision avec son frère, Charles-Antoine, des propriétés et seigneuries le 14 mai 1663. Le 16 février 1664, il abandonna par transaction le four banal aux habitants de Cirey en échange d'une redevance annuelle. En 1667, les deux frères procédèrent au partage des terres et la baronnie de Cirey fut attribuée à Charles. Vers 1672, il fit construire une forge à battre le fer. Suite à un arrangement, avec les habitants de Cirey, il leur concéda en 1676 le droit d'aller chercher du bois mort dans les bois seigneuriaux. Il mourut le 19 février 1693.

1. Louis, mort le lendemain de sa naissance
2. Armand-Jean, qui suit


  • Xb Charles-Antoine, épousa Marie de Neuville le 31 mars 1677

Il fit un carrière militaire et fut nommer lieutenant général des armées du roi. Il mourut en 1703.

1.Marie-Gabrielle-Charlotte, épousa Florant Du Châtelet


  • XI Armand-Jean du Châtelet

Il n'accepta l'héritage de son père qui était chargé de dettes qu'après inventaire. Il vendit aux enchères chevaux meubles, et autres objets. Cornette de cavalerie, il fut tué au combat en Piémont le 4 octobre 1693. Son plus proche parent étant sa tante, Nicole-Françoise, celle-ci refusa la terre de Cirey trop chargée de dettes et la céda à sa nièce Marie-Gabrielle-Charlotte.


Branche de Lomont : la terre de Lomont est située au nord de Besançon.
  • XII Florant du Châtelet, épousa Marie-Gabrielle-Charlotte le 12 mars 1692

Il fit une brillante carrière militaire : aide de camp du maréchal de Turenne, colonel du régiment royal d'infanterie, gouverneur de Semur, grand bailli d'Auxois, commandant du Havre, de Saint-Malo, de Namur, gouverneur de Dunkerque, lieutenant général des armées du roi, grand'croix de l'ordre de Saint-Louis en 1709. En 1714, la baronnie de Cirey fut saisie mais il obtint la main-levée. Il mourut en 1732.

1. Florent-Claude qui suit
2. Marie-Gabrielle-Catherine
3. Honoré-Roger
4. Florent-François
5. Gaspard
6. Marie-Madeleine-Suzane, épousa Jean-Nicolas, marquis de Sangy
7. Marie-Florence, épousa Melchior-Esprit de la Baune


  • XIII Florent-Claude du Châtelet, épousa Gabrielle-Emilie de Breteuil, le 20 juin 1725

Il embrassa aussi une carrière militaire. Il remplaça son père comme gouverneur de Semur, fit différentes campagnes en Allemagne, fut nommé maréchal de camps et servis sous différents maréchaux, reçu le commandement du régiment de Quercy, lieutenant général des armées du roi puis grand maréchal des logis du roi de Pologne, duc de Lorraine et de Bar. Il fit comme ses prédécesseurs quelques travaux à Cirey dont l'Orangerie, la porte monumentale du balcon, la halle du centre de la commune et un bâtiment qu'il ajouta au château. Il mourut le 28 novembre 1765 ce qui peina Stanislas, roi de Pologne qui le considérait comme son meilleur ami. Sa femme Emilie du Châtelet fut une femme de sciences mais qui fut surtout connue par la relation amoureuse qu'elle entretint avec Voltaire à Cirey. Ils y mènent pendant 15 ans une vie libre et consacrée à l'étude et la recherche. De 1733 à 1749, jusqu'à la mort de Mme du Châtelet, le château de Cirey fut un centre de réunions pour les savants : plusieurs philosophes y séjournèrent, les uns pour y méditer loin du bruit des villes dans la solitude, les autres pour échapper aux persécutions. C'est en leur compagnie, après de savants entretiens, que Mme du Châtelet composa ses Institutions de physiques, son analyse de la philosophie de Leibniz et traduisit les principes de Newton. Elle mourut le 10 septembre 1749 après avoir accouchée.

1. Marie-Gabrielle-Florence-Pauline, épousa Don Alfonse de Caraffa de Spina, dans son contrat de mariage, elle renonça, en faveur de son frère à la succession de ses parents
2. Florent-Louis-Marie Du Châtelet, qui suit
3. Victor-Esprit, mourut jeune
4. Stanislas-Adélaïde, mourut jeune


  • XIV Florent-Louis-Marie Du Châtelet, épousa Diane-Adélaïde de Rochechouart le 24 avril 1752 en présence du roi Louis XV et de la reine ainsi que des membres de la famille royale.

Il suivit une carrière militaire comme son père et reçut à sa mort le régiment de Quercy. Il fut également chambellan du roi de Pologne, gouverneur de Semur et de Toul, maréchal des camps des armées du roi, grand'croix de l'ordre militaire de Saint-Louis, ambassadeur auprès de l'empereur d'Allemagne, puis en Angleterre. Les seigneuries possédées étaient nombreuses. N'ayant pas d'enfants, il fit donation de la terre de Cirey à sa nièce Diane-Adélaïde de Simiane qui était veuve. Il fut emporter dans la tourmente de la révolution, inscrit sur la liste des émigrés de la haute-marne, des scellés furent posés sur son hôtel particulier parisien. Il réussit dans un premier temps à révoquer les mandats d'amener lancés contre lui. Mais il fut arrêté puis exécuté le 14 décembre 1793. Mme du Châtelet quand à elle fut emprisonnée à la Conciergerie et guillotinée le 23 avril 1994.


Sources : Cirey-le-Château de L'abbé Piot


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Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
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Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
Jean Bullet où il résigne  
Pierre Bullet 1506  
Gérard de Montrot 1528 où il résigne  
François Bertrand 1560 où il résigne  
Jean Bertin 1568 où il meurt  
Aubin Breton 1568 pris possession de la cure de Cirey à Villiers-le-Sec à cause de la peste qui régnait alors à Cirey-le-Château  
Remmy Rappart 1588  
Jean Bullet 1591  
Gabriel Mance 1663  
F. Henry 1681  
Antoine Morelot 1687 où il résigne  
Antoine Mutel 1692  
Pierre Lambelinot 1714  
Joseph Belgrand 1723 évincé  
François-Daniel Delaporte 1728  
François Voillemot 1748  
François Mondon 1756  
François Pelcerf 1764 où il meurt, assermenté sous la Révolution  
François Chaugey 1804 où il meurt  
Jean-Baptiste Lapierre 1828 où il meurt  
Xavier Brenier 1861  
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- -  

Sources jusqu'en 1861 : le tome 2 de la monographie des villages de Haute-Marne de l'abbé ROUSSEL.


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Les soldats morts pour la France

52129-Blaise-Monuments aux morts.jpg
Monument aux morts
Photo : S. Massé

Liste des soldats morts pour la France à la guerre de 1914 - 1918

52129-Blaise-Monuments aux morts-2.jpg
Monument aux morts
Photo : S. Massé
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Jacques Berlin 16/06/1882 2/10/1914] Soldat au 360e Régiment d'Infanterie  
Jules Graillot 29/12/1884 9/05/1915] Soldat au 279e Régiment d'Infanterie  
Louis Geoffrin 17/06/1887 1/06/1915] Sergent au 279e Régiment d'Infanterie  
Amédée Collot 28/02/1886 27/09/1915] Lieutenant au 7e Bataillon de Chasseurs à Pied  
Louis Perrin 20/07/1882 28/09/1915] Soldat au 69e Régiment d'Infanterie  
Paul Adroit 6/07/1882 12/10/1915] Soldat au 11e Régiment de Chasseurs  
Gaston Choppin 30/04/1896 22/05/1916] Sapeur-mineur au 7e Régiment du Génie  
Théophile Richalet 29/07/1883 3/11/1916] Soldat au 16e Bataillon de Chasseurs à Pied  
Gabriel Ramonbas 28/04/1890 20/09/1918] Cannonier au 68e Régiment d'Artillerie  
Alexandre Weber 28/03/1886 14/10/1918] Canonnier au 239e Régiment d'Artillerie de Campagne  


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Liste des morts pour la France pendant la guerre de 1939 - 1945

52129-Blaise-Monuments aux morts-3.jpg
Monument aux morts
Photo : S. Massé
Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Louis Bichot - 3/12/1939  
Pierre Aubry - 8/04/1942  
Claude D'Harcourt - 14/12/1942  
Augustin de la Croix de Castries - 22/01/1944  
Pierre Mathis - 2/02/1945  


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Liste des morts pour la France en Afrique du Nord pendant les guerres de 1952 - 1962

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
Albert Velter - 31/10/1958  


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Autres liens : Mémorial-genweb.org


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  Le Château de Cirey-sur-Blaise

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