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Cette église est significative du patrimoine ecclésiastique rural.

'''L'intérieur'''

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Fichier:50247 Hocquigny nef JTT2007.JPG|<center> La nef </center>
Fichier:50247 Hocquigny fondsbaptismaux.JPG|<center> fonds baptismaux, granit, XVII{{e}}-XVIII{{e}} siècle </center>
Fichier:50247 Hocquigny chaire.JPG|<center> la chaire, premier quart du XVIII{{e}} siècle </center>
Fichier:50247 Hocquigny bancs.JPG|<center> les bancs </center>
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Lors de la disparition du prieuré au début du XXème siècle, l'église a récupéré les statues<ref>''Hocquigny'' dans Revue de l'Avranchin, 1933</ref>. Le prieuré était sous le vocable de Saint-Maur, ce dernier ayant introduit en Gaule la règle de Saint-Benoit.

La représentation de saint François d'Assise est rare mais sa notoriété est grande. Jésus a guéri les lépreux mais François d'Assise les a embrassés.

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Fichier:50247 StMaur.JPG|<center> Saint Maur </center>
Fichier:50247 StFrancoisAssise.JPG|<center> Saint François d'Assise, bois polychromé, XVII{{e}} siècle</center>
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'''L'extérieur'''

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Fichier:50247 Hocquigny cimetiere&eglise.jpg|<center> Vue sur le cimetière et l'église</center>
Fichier:50247 HocquignystatueStPierre JTT2006.jpg|<center> Statue de Saint-Pierre, pierre calcaire, XV{{e}}-XVI{{e}} s. </center>
Fichier:50247 Croixfonte.JPG|<center> Coix en fonte de la fin du XIX{{e}}, début du XX{{e}}</center>
Fichier:50247 plaqueCroixfonte.JPG|<center> plaque du début du XX{{e}}</center>
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'''Une curieuse inscription'''

[[Fichier:50247 Hocquigny eglise detail.JPG|thumbnail|left|500Px|Transept sud]]
Sur le transept sud (voir photo) on peut lire ces curieuses inscriptions : ''Loué soit à jamais le très saint sacrement'', ''Vive Jésus'', ''Vive Marie''. D. Levalet dans son article sur Le Repas (p.4) les interprète comme une réaction à la poussée du protestantisme au XVI{{e}} siècle notamment au Loreur et à Hocquigny. Cette interprétation concernant Le Loreur et Hocquigny est sujette à caution car il semble y avoir confusion entre Le Loreur et le Lorey près de Saint-Lô. Pour cela, il fait référence à Jacques Alfred Galland dans son ''essai sur l'histoire du protestantisme'' de 1898 or celui-ci ne parle pas du Loreur mais du Lorey<ref>D. LEVALET, ''Le Repas : une station routière gallo-romaine'', dans Annales de Normandie, Janvier 2006.</ref>. Ces inscriptions datent de l'érection de la confrérie du Saint Nom de Jésus par Gilles Lescolasse en 1698. Gilles Lescolasse (mort en 1707) était aussi doyen de Saint-Pair.  
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== {{Notes et références}} ==
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{{Références}}
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