49058 - Les Cerqueux
Les Cerqueux | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Maine-et-Loire |
Métropole | - |
Canton | 49-13 Cholet-2
49-12 Cholet-2 (Ancien canton) |
Code INSEE | 49058 |
Code postal | 49360 |
Population | 877 habitants (2019) |
Nom des habitants | Cerquois, Cerquoises |
Superficie | 1 386 hectares |
Densité | 63.28 hab./km² |
Altitude | Mini : 139 m |
Point culminant | 186 m (Le Puy au Brun) |
Coordonnées géographiques |
47.000833° / -0.639167° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
La paroisse des Cerqueux appartenait au XIIe siècle à l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marnes, mais elle est sans doute de création plus ancienne. C'est dans la bulle de 1179 ou Nicolas, prieur de Saint-Jouin-de-Marnes, obtient, du pape Alexandre III, la reconnaissance des possessions de l'abbaye que l'on voit apparaître pour la première fois la mention de l'église des Cerqueux de Maulévrier : « Ecclesiam de Sarcos de Malebrario ».
Cf. Wikipédia
Préhistoire
On ne trouve aux Cerqueux aucun vestige gallo-romain, à part, peut-être, le pont que l'on appelle aujourd'hui « Pont-Diane », sur la route d'Étusson, après la Grande Troche et qui marque aujourd'hui la limite entre le Maine-et-Loire et les Deux-Sèvres, sur la petite rivière de « La Pommeraye ».
Par contre, les monuments celtiques abondent – ou plutôt abondaient – aux Cerqueux, mais dans un périmètre circonscrit aux Foucheries (Petite et Grande), à la Petite et Grande Troche et à la Gannerie.
Il ne fait aucun doute que les Cerqueux ont abrité d'importantes nécropoles néolithiques. Voici ce qui était relaté dans le « Bulletin des antiquaires de l'ouest » : « Monsieur Gillot signala sur la voie romaine menant de Saintes à Angers le lieu-dit « Les Cerqueux de Maulévrier » … Cerqueux, dont les formes anciennes sont « serqueu, Serqueuil, Sarco, Sarchia », traduites ici par « Cercueil, Sépulcre, Sarcophage » … Les archéologues connaissent ces anciennes nécropoles dont l'importance d'alors n'est pas en rapport avec la population actuelle des localités … Nul doute que Les Cerqueux de Maulévrier n'aient possédé une ancienne et importante nécropole dont ils ont tiré leur nom. »
Cf. Wikipédia
Histoire féodale
Au XIIe siècle, le seigneur temporel de la paroisse était d'abord le comte de MAULÉVRIER, puis celui de la SÉVRIE. La terre formait une châtellenie avec un château fort détruit dés le milieu du XIVe siècle, et alors transférée à La Sévrie. Guillaume des CERQUEUX, né au début du XIVe siècle, était qualifié, en 1367, comme seigneur de la SÉVRIE. De son union avec Marie des CERQUEUX, il eut un fils, Macé.
Ce dernier eut une fille, Jeanne des CERQUEUX, Dame de la SÉVERIE. Celle-ci épousa, au début du XVe siècle, Jean du PUY du FOU, dont elle eut un fils, Maurice du PUY du FOU.
Jean du PUY du FOU décéda avant 1473 et fut inhumé dans l'église des Cerqueux. Sa veuve, Jeanne des CERQUEUX, Dame de la SÉVRIE, se remaria alors avec Guy de ROCHEFORT qui obtînt, en 1479, la permission du seigneur de MAULÉVRIER d'avoir son banc et ses armoiries dans l'église des Cerqueux.
Guy de ROCHEFORT décéda à son tour.
Ancien Régime
Maurice du PUY du FOU, le fils de Jean du PUY du FOU et de Jeanne des CERQUEUX, épousa N. de MAUMUSSON en 1485. Il en eut un fils, René du PUY du FOU.
René devenait donc le légitime seigneur de la SÉVRIE. Mais c'était sans compter avec sa grand-mère, Jeanne des CERQUEUX, qui, en troisièmes noces, avait épousé Jacques de DAILLON dont elle avait eu un fils, Pierre de DAILLON.
Les De DAILLON tentèrent alors de s'arroger la châtellenie des Cerqueux au détriment des PUY du FOU. S'ensuivirent procès sur procès au cours du XVIe siècle.
Survinrent alors les guerres de Religion qui touchèrent durement la paroisse.
Eusèbe Ier du PUY du FOU était alors seigneur de la SÉVRIE. Il s'engagea fortement dans les rangs de la ligue Catholique et guerroya assidûment dans la région pendant la seconde partie du XVIe siècle.
En représailles, son château de la Sévrie fut brûlé par les Huguenots en 1592.
Les guerres de Religion en sommeil, les procès débutèrent entre les seigneurs de La SÉVRIE et les seigneurs de MAULÉVRIER, toujours dans le but de s'approprier des droits sur la paroisse des Cerqueux. Le seigneur de MAULÉVRIER, Gouffier de Roanne, souhaitait "tirer les marrons du feu" à l'issue du conflit récurrent opposant le Puy du Fou aux Daillon. Ces procès durèrent pendant toute la première moitié du XVIIe siècle.
Eusèbe Ier du PUY du FOU eut deux enfants :
- - Suzanne qui épousa Philippe de La HAYE MONTBAULT
- - Eusèbe II qui épousa Louise Françoise TIRAQUEAU. Cette dernière, après le décès d'Eusèbe II et son remariage avec M. de NEUILLANT, gouverneur de Niort, fut nommée tutrice de Françoise d'AUBIGNÉ qu'elle hébergea quelques temps à la Sévrie. Dès son arrivée, Françoise d'AUBIGNÉ fit office de servante. Chaussée de sabots, elle allait garder les dindons vêtue d'un loup et d'un chapeau de paille pour protéger son teint car la mode était aux carnations de nacre. Madame de NEUILLANT décida de confier l'éducation religieuse de Françoise au prêtre de la paroisse des Cerqueux. Jeune encore, Françoise d'AUBIGNÉ épousa le poète SCARRON puis devint la maitresse et enfin l'épouse morganatique de Louis XIV sous le nom de Madame de MAINTENON.
La branche des PUY du FOU n'ayant pas produit d'héritier, vont alors succéder des descendants par les femmes, les La HAYE-MONTBAULT. En 1767, François Abel JAMERON, seigneur du COUDRAY-MONTBAULT, prend le titre de baron de La SÉVERIE.
La Révolution sonnera le glas de cette puissante demeure qui cessera alors d'être, comme on disait autrefois, « habitée noblement... ».
Les guerres de Vendée
Pendant la Révolution, la Sévrie fut vendue comme bien national. Chauvin HERSANT fut le seul à se présenter aux enchères. Il eut la Sévrie à vil prix pour en faire bénéficier son gendre, TONNET, qui habitait Niort. En 1900 la Sévrie était encore dans la famille TONNET. Le propriétaire était le Comte de BRIE qui avait épousé une fille TONNET.
Au début du XXe siècle, la Sévrie formait deux fermes, l'une de 30, l'autre de 35 hectares. L'une des deux était toujours exploitée par la famille COCHARD dont un des ancêtres était né à la Sévrie vers 1770.
C'est d'ailleurs un COCHARD, habitant le Pavillon, qui était capitaine de la paroisse des Cerqueux pendant les guerres de Vendée. Il fut tué de deux coups de fusil à la bataille de Châtillon le 5 juillet 1793.
Cf. Wikipédia
Toponymie
Au fil du temps, la paroisse puis la commune se verront nommées de bien d'autres façons jusqu'à l'appellation « Les Cerqueux » actuelle.
- 1309 : Serquex de Maulévrier
- 1448 : Sarcofaye
- 1648 : Sercueils de La Séverie
- 1652 : Serqueux de Maulévrier
- 1668 : Cercofagi de Monlevro
- 1790 : Les Cercueils de Maulévrier
- Puis : Les Cerqueux de Maulévrier
- Puis : Les Cerqueux (Journal officiel du 10 août 1996)
Mais peut-être l'étymologie du nom « Cerqueux » remonte-t-elle à des époques plus anciennes. Le mot Cerqueux pourrait être un vieux mot gallo-romain dérivé du mot latin circus, cercle, et synonyme de cromlech, mot moderne formé avec des racines celtiques (crom, courbé, circulaire et llech, pierre plate).
Cf. Wikipédia
Héraldique
- D'argent à trois macles de gueules; à la bordure partie au 1er d'azur chargée de six fleurs de lis d'or et au 2e de gueules chargée de six tours d'or, maçonnées de sable, ouvertes et ajourées de gueules.[1] [2]
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Maine-et-Loire
- Arrondissement - 1801-1857 : Beaupréau, 1857-2024 : Cholet
- Canton - 1801-1961 : Cholet, 1961-1973 : Cholet-Est, 1973-2024 : Cholet-2
- Commune - 1801-1996 : Les Cerqueux-de-Maulévrier, 1996-2024 : Les Cerqueux[3]
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Jean-Baptiste
Église Saint-Jean-Baptiste de 1831 et 1854, construite par l'architecte TESSIER.
Un croix de procession de 1615, en argent, classée au titre objet aux MH[4] en 1902.
Un haut-relief : le Bon Pasteur de 1648, en bois, classé au titre objet aux MH[5] en 1964.
Une plaque funéraire de 1647, en cuivre, concernant le recteur Pierre DEVANNES décédé à l'âge de 88 ans, classée au titre objet aux MH[6] en 1964.
Autres patrimoines
- Chapelle Notre-Dame du XIXe siècle, située à la Grande-Troche.
- Château de Daillon (manoir) du XVIe siècle, en ruine, situé au Grand-Daillon.
- Château de la Sévrie, en ruine. Anciennement situé sur la commune, il fait parti de Saint-Aubin-de-Baubigné, commune associée de Mauléon (Deux-Sèvres) depuis la Révolution.
- Demeure dite le Vieux-Logis du XVIe siècle, situé au bourg.
- Oratoire Notre-Dame du Sacré-Cœur de 1844, situé à la Bardonnière
Repères géographiques
La commune des Cerqueux fait partie du département de Maine-et-Loire et de l'arrondissement de Cholet.
Sa superficie actuelle est de 1 386 ha. Cette surface était sensiblement plus importante au XVIIIe siècle, quand le domaine de la Sévrie faisait partie de la paroisse avant d'être rattaché aux Deux-Sèvres et donc à Saint-Aubin au moment de la Révolution.
Sa longitude est de 0° 38' 26 Ouest et sa latitude de 47° 00' 01 Nord (la même que Québec).
Géologiquement rattaché aux Mauges, le sous-sol appartient au massif Armoricain, composé essentiellement de terrain métamorphique (granit) et de schiste. Ce sous-sol granitique a justifié la présence de deux carrières d'extraction sur la commune.
Comme dans l'ensemble du massif Armoricain, la masse de roches constituant l'essentiel du sous-sol a été soulevée et fragmentée durant l'ère tertiaire. Les déformations ont été accompagnées et suivies de phases d'érosion provoquant l'émergence de collines arrondies, développées en majeure partie dans les granits.
Comme en Vendée et dans le Poitou tout proche, les points culminants correspondent aux sommets de ces collines et portent, parfois orgueilleusement, le nom de « Puy » : Puy-Crapaud à Pouzauges avec 269 mètres, Puy-Louet aux Aubiers avec 173 mètres, Puy au Brun aux Cerqueux avec 186 mètres.
Les sols acides forment aujourd'hui un pays d'herbage. Le paysage des Cerqueux s'apparente à celui de la Vendée bocagère avec les arbres et les haies encore très présents, la tuile employée quasiment partout. L'utilisation du schiste et du granit dans l'habitat ancien évoque aussi la Bretagne.
Placée sur une hauteur variant du plus bas à 139 mètres jusqu'au plus haut (un peu à l'ouest du Puy au Brun) de 186 mètres, la commune bénéficie de précipitations annuelles avoisinant les 900 mm. L'automne est la saison la plus arrosée avec un maximum en novembre. Juillet est généralement le mois le plus sec.
Aucune rivière d'importance n'irrigue la commune. Seul, le ruisseau « La Pommeraye » qui prend sa source dans l'étang du Moulin, délimite plus ou moins les frontières des Cerqueux et donc du Maine et Loire avec les Deux-Sèvres tout proches, entre Boisdon et le Pont-Diane.
On ne trouve que peu de bois ou de taillis sur la commune, à part à Daillon. Ce même village de Daillon était, jusqu'à une période récente, le seul village des Cerqueux à posséder un étang digne de ce nom, si on omet l'étang du « Moulin » creusé artificiellement.
Comme dans tout le bocage, la plupart des champs sont entourés de haies vives où poussent chèvrefeuilles, églantiers, houx, aubépines et sureaux.
Le bourg, situé sur un plateau de 148 mètres d'altitude, est traversé par la route départementale 147 allant des Deux-Sèvres, et provenant de Saint-Aubin, vers Somloire et Vihiers. C'était, il y a 3 siècles, la seule voie de communication empierrée figurant sur les cartes officielles.
La route départementale 148, venant d'Yzernay, aboutit aussi dans la commune. Au XVIIIe siècle il ne s'agissait que d'un chemin épousant les mêmes contours que la route actuelle. Jusqu'à ce même XVIIIe siècle, le seul chemin menant d'Yzernay à Somloire était celui qui, venant passer à la Robardière, rejoignait Somloire en passant devant la Brosse.
Quelques chemins vicinaux partent vers Étusson et les Aubiers via les Foucheries, Somloire via la Robardière, Saint-Aubin via Boisdon.
Cf. Wikipédia
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 553 | 433 | 450 | 484 | 500 | 500 | 561 | 618 | 586 | 649 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 653 | 712 | 672 | 662 | 657 | 629 | 646 | 631 | 632 | 638 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 608 | 570 | 560 | 638 | 630 | 617 | 604 | 582 | 569 | 540 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 548 | 632 | 641 | 770 | 842 | 880 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2019.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Pierre DEVAUD | 1794 - 1805 | |
Louis BOYDRON | 1794 - 1805 | |
J. LOYAL | 1805 - | |
Pierre DEVAUD | 04/1805 - 10/01/1808 | |
Pierre BÉNETEAU | 10/01/1808 - 02/01/1810 | |
Marc RABIER | ca 1810 - | |
Louis BOYDRON | 27/01/1810 - 10/10/1815 | |
Pierre FALIGANT | 05/11/1815 - 18/01/1826 | |
Marc RABIER | 15/02/1826 - 08/05/1835 | |
Pierre LEHAY | 24/05/1835 - 14/08/1840 | |
Pierre Athanase PAPIN | 14/08/1840 - 25/03/1845 | |
Joseph BRÉBION | 25/03/1845 - 25/08/1848 | |
Pierre LEHAY | 25/08/1848 - 10/1856 | |
Jean BODY | 15/03/1857 - 27/09/1861 | |
Basile CAILLEAU | 27/09/1861 - 31/08/1865 | |
Pierre BRÉGEON | 31/08/1865 - 09/1870 | |
Basile CAILLEAU | 09/1870 - 03/1871 | |
Pierre MICHEL | 14/05/1871 - 23/01/1881 | |
Louis BODY | 23/01/1881 - 08/04/1895 | |
Pierre MICHEL | 11/08/1895 - 25/03/1900 | |
Homère PAPIN | 25/03/1900 - 01/03/1904 | |
Basile CAILLEAU | 01/03/1904 - 08/01/1907 | |
Calais VIVION | 27/01/1907 - 07/09/1913 | |
Basile CAILLEAU | 07/09/1913 - 03/09/1922 | |
Henri BERSON | 03/09/1922 - 13/03/1927 | |
Amand MICHAUD | 10/04/1927 - 23/09/1958 | |
Yves BIGNONET | 06/10/1958 - 25/03/1977 | |
Odile GIRARD | 25/03/1977 - 21/03/1983 | |
M. Claude VIVION | 22/03/1983 - 03/2008 | |
Daniel BARBIER | 03/2008 - 2020 | Né le 12/11/1954. Professeur. |
Joël POUPARD | 2020 - (2026) | Né le 09/02/1963. |
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Cf. : MairesGenWeb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean TEXIER | 1475 | |
Pierre DEVANNES | 1587 - 1647 | Décédé le 26 mars 1647 à 88 ans après 60 ans de cure. En 1615, il note l'importance des neiges qui ont duré du 2 février au 15 mars. En 1627, il signale l'assassinat d'un marchand de la paroisse qui se rendait à Angers. |
Antoine ROUDIER | 1648 - 1650 | Installé le 16 janvier 1648 alors qu'il n'était encore que diacre. |
GABARD | 1650 - 1651 | En 1651, un enfant est trouvé sur le mur du préau de la chapelle des Poizats. Il est baptisé par Mme de Laval, châtelaine de la Séverie, qui accepte de se charger de l'enfant. |
BOUDIER | 1653 - 1659 | Nommé en 1659 prieur de Saint-Paul-du-Bois. |
L. GOURICHON | 1659 - 1663 | Installé le 2 avril 1659 jusqu'en avril 1663. |
Aubin BRÉMOND | 1663 - 1684 | De juillet 1663 à son décès le 9 avril 1684 à 60 ans. |
Fr. SIRE | 1684 - 1685 | Du 19 mai 1684 à son décès le 15 février 1685. |
Pierre CHOLET | 1685 - 1690 | |
Jacques PIGEOL | 1690 - 1727 | Précédemment curé d'Yzernay. Arrive aux Cerqueux le 16 mai 1690. Il acquiert l'emplacement de la cure et le cède à la fabrique. En 1700, il signe une convention avec M. De MONTBAULT de la Séverie pour la propriété de la cure. Décédé le 6 avril 1727 à 70 ans. |
Charles-Auguste de BONNAMY de BELLEFONTAINE |
1727 - 1730 | Installé en mai 1727. Il était bachelier en Sorbonne. |
Michel PINEAU de BELLEFONTAINE |
1730 - 1731 | Arrive aux Cerqueux en juillet 1730 et décède en juillet 1731. |
Louis GAUTRONNEAU | 1731 - 1740 | Arrive en septembre 1731 et décède à 52 ans le 27 avril 1740. Inhumé le 28 avril 1740 sous la grande croix du cimetière. |
René COUDRIN | 1740 - 1749 | Installé le 18 mai 1740, décédé le 9 octobre 1749 à 45 ans. |
Mathurin BUFFARD | 1749 - 1759 | Arrive en novembre 1749 et décède le 19 mai 1759 à 51 ans. Fin 1751, il transigea avec Jeanne Baron, veuve de Philippe de la Haye-Montbault, pour la délimitation de certains biens. |
Louis METTEAUD | 1759 - 1784 | Arrive en septembre 1759, décède le 29 juillet 1784, à 70 ans. |
André-Gervais RABIER | 1784 - 1792 | Originaire de Nueil-sous-Passavant. Arrive aux Cerqueux le 8 août 1784 avec sa famille (origine des familles Rabier des Cerqueux). Il est destitué le 11 avril 1792 et déporté en Espagne le 3 octobre 1792[7]. On ignore son sort. Voir la supplique adressée au ministre de l'intérieur, le 8 novembre 1791, sous son sacerdoce, relative à la liberté du culte. |
DURET | 1791 | Curé constitutionnel. Les paroissiens des Cerqueux lui jetaient des pierres. |
CESVET | 1795 - 1801 | Refusera de signer le concordat en 1801. Malgré l'arrivée du curé AVRILLON en 1801, il reste aux Cerqueux et pose de grandes difficultés au curé AVRILLON. En 1818, la moitié de la population des Cerqueux sera encore adhérente de la "petite Église". Le curé CESVET est arrêté en mars 1806 et enfermé au fort du Ham, où il décède en 1807. |
AVRILLON | 1801 - 1810 | Curé concordataire. Il donne sa démission en janvier 1803 à cause des difficultés que lui pose le curé CESVET. Il est renommé aussitôt, en novembre 1803, par l'évêque MONDAULT. |
PAPIN | 1810 - 1814 | Auparavant curé de Trémentines. Est envoyé à Turin par Napoléon. De retour à Angers fin juin 1806, il est nommé curé des Cerqueux le 02/11/1810 puis ensuite curé d'Yzernay le 02/8/1814. |
Mathurin VAILLANT | 1814 - 1846 | Originaire du Voide, il arrive aux Cerqueux en 10/1814 et y meurt en 09/1846. |
HAMELIN | 1846 - 1850 | Vicaire du précédent, il devint curé de 11/1846 à mai 1850 puis part curé de Loiré. |
D. REVEILLÈRE | 1850 - 1874 | Il est originaire de la Tourlandry et y décède le 28 novembre 1874. La paroisse lui doit la reconstruction de l'église. |
G. CHAUVIN | 1874 - 1885 | De novembre 1874 à avril 1885. |
PRIOU | 06/1885 - 09/1892 | |
Anatole BARBAULT | 1892 - 1909 | Originaire de Cholet, il y décède à l'hôpital et y est enterré. |
Léon SAUDREAU | 1909 - 1916 | Part ensuite curé de Saint-Rémy-en-Mauges. |
Auguste MENUAU | 1916 - 1917 | Originaire du Mesnil-en-Vallée. Enterré aux Cerqueux en octobre 1917. |
Joseph BRAUD | 1917 - 1948 | Né à Vezins le 17/07/1871. Arrive le 26/11/1917. Quitte les Cerqueux en septembre 1948. Décède à Vaulandry le 23 mars 1956. Enterré aux Cerqueux. Monument posé sur sa tombe le 01/07/1962. |
Jean CHEVALLIER | 1948 - 1974 | Originaire de Montigné-sur-Moine. |
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Les vicaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Ambroise ROBIN | 1603 - 1605 | |
Victor HAY | 1624 - 1647 | |
MAGUIER | 1649 | |
René MORINEAU | 1651 | |
Gabriel HAY | 1657 | |
Jacques CHALET | 1657 | Chapelain de St-Gilles (La Chapelle des Poizats) et de St-Nicolas de la Séverie (enterré dans l'église des Cerqueux). |
Mathurin GUILLOTEAU | 1673 - 1680 | |
SIMON | 1690 | |
RENOU | 1692 | Chapelain de la Séverie. |
ROY | 1723 | |
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- | - | |
CHABIRAND | 1794 | A fait son dernier baptême le 30/10/1794. |
HAMELIN | 1846 | Devient curé de 1846 à 1850. |
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Camille GUIET | 1944 - 1948 | Né en 1901, il devient curé de Vaulandry ensuite. |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Naissances (1660-1668)
- Naissances & Mariages & Décès (1840-1850)
- Mariages & Décès (1606-1661)
- Naissances & Mariages & Décès (1797-1805)
- Mariages (1883-1892)
- Naissances & Mariages & Décès (1793-1793)
- Naissances (1881-1882)
- Naissances & Mariages & Décès (1733-1752)
- Autres (1863-1872)
- Autres (1863-1872)
- Naissances & Mariages & Décès (1713-1733)
- Naissances & Mariages & Décès (1813-1826)
- Naissances & Mariages & Décès (1671-1759)
- Autres (1883-1902)
- Autres (1802-1882)
- Autres (1863-1872)
- Mariages (1881-1882)
- Naissances & Mariages & Décès (1827-1839)
- Naissances (1624-1654)
- Naissances & Mariages & Décès (1683-1712)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 9 h - 12 h 15 | 8 h - 12 h 15 | 8 h - 12 h 15 | 8 h - 12 h 15 | 8 h - 12 h 15 | 9 h - 12 h | - |
Après-midi | - | 15 h - 17 h 30 | - | 15 h - 17 h 30 | 15 h - 17 h 30 | - | - |
Mairie |
Adresse : 2-4, rue du Vieux Logis - 49360 LES CERQUEUX
Tél : 02 41 55 90 12 - Fax : 02 41 55 97 30 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : 46.9994° / -0.6428° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public (Novembre 2021) |
Associations d'histoire locale
Dépouillements des registres paroissiaux
Les dépouillements des actes (BMS jusqu'à la Révolution, NMD depuis) ont été effectués.
Pour la commune des Cerqueux, ces dépouillements alphabétiques très complets commencent au début du XVIIe siècle pour s'achever au milieu du XIXe siècle.
Ils ont été effectués par la SLA de Cholet et sont disponibles à la mairie en consultation seulement.
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Blasonnement sur le site de la mairie : « D'argent à trois macles de gueules, à la bordure partie d'azur à six fleurs de lys d'or et de gueules à six tours d'or. » Le blason.
- ↑ Les Cerqueux : Insee-COG
- ↑ Croix de procession (église Saint-Jean-Baptiste) : Fiche Base Palissy
- ↑ Haut-relief : le Bon Pasteur (église Saint-Jean-Baptiste) : Fiche Base Palissy
- ↑ Plaque funéraire (église Saint-Jean-Baptiste) : Fiche Base Palissy
- ↑ Le dernier acte signé par le curé RABIER sous la Révolution date du 11 avril 1792, date de sa révocation. Les actes suivants sont signés par CHABIRAND, son vicaire. En mars et avril 1792, il baptise des enfants de Somloire avec la permission des officiers municipaux de cette commune. Il n'y avait sans doute plus de prêtre à Somloire à cette époque.