39198 - Dole

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Dole
Blason Dole-39198.png
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 39 - Blason - Jura.png    Jura
Métropole
Canton Blason Dole-39198.png   39-05   Dole-1

Blason Dole-39198.png   39-06   Dole-2


Anciens cantons :
Blason Dole-39198.png   39-13   Dole-Nord-Est
Blason Dole-39198.png   39-33   Dole-Sud-Ouest

Code INSEE 39198
Code postal 39100
Population 23 770 habitants (2018)
Nom des habitants Dolois, Doloises
Superficie 3 838 hectares
Densité 619.33 hab./km²
Altitude Mini : 196 m
Point culminant 341 m
Coordonnées
géographiques
47.092222° / 5.489722° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
39198 - Dole carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

Vestiges gallo-romains, cimetière de Goux
Photo Didiertaldu
  • La voie romaine reliant Chalons-sur-Saône à Besançon passait dans le secteur et une occupation romaine est confirmée par différents éléments mis au jour sur le territoire de Goux. Une garnison se fixe à cet endroit également. Le Ve siècle voit s'établir les Burgondes et s'élever deux chapelles, une à Saint-Ylie, l'autre à Azans.
  • Au VIe siècle, la cité est à la tête d'un "pagus" (comté). Au siècle suivant, un monastère est fondé par des Bénédictins, un archiprêtré s'installe et une église est édifiée à Saint-Ylie.
  • Dole commence à se développer à l'époque des comtes de Bourgogne, notamment sous Renaud III qui fait construire l'enceinte et un grand pont. Des moulins s'établissent, c'est le début d'activités artisanales (notamment la tannerie) et du commerce. À la mort de celui-ci, sous Frédéric Barberousse, la cité est englobée dans le Saint-Empire germanique.
  • En 1274 une charte d'affranchissement permet à la bourgade de s'auto-administrer. Au XIVe siècle, le comté est inclus dans le duché de Bourgogne, un parlement est fondé et Jean le Bon renforce l'enceinte au moyen d'une vingtaine de tours et quatre portes.
  • Le XVe siècle voit se succéder de nombreux évènements. Les chanoines tombent sous l'autorité d'un doyen et l'église devient une collégiale. Une université est construite, Dole prospère et devient une capitale judiciaire. Mais la ville attire la convoitise de Louis XI : en 1479 la population est massacrée et les constructions rasées. C'est seulement sous les Habsbourg, en 1493, que la ville commence sa reconstruction.
  • Au XVIe siècle Charles Quint devenu comte de Bourgogne modernise les fortifications, puis Dole passe aux mains de Philippe II d'Espagne. En 1571 a lieu la consécration de la nouvelle collégiale. Les halles sont créées, de même qu'un collège et l'Hôtel-Dieu. S'ensuit une nouvelle période de prospérité.
  • La ville est assiégée par les troupes françaises en 1636, puis par Louis XIV en 1668 et 1674 où elle est réunie à la France. Les fortifications sont démantelées, le parlement et l'université sont transférés à Besançon. Et Dole ne conserve pas son statut de capitale.
  • Durant l'époque révolutionnaire, la ville devient chef-lieu du Jura pendant deux ans, puis ce statut reviendra à Lons-le-Saunier.
  • Au XIXe siècle, des activités industrielles s'implantent et des faubourgs viennent agrandir le bourg. En 1871, la ville est occupée pendant neuf mois par les Prussiens.
  • Lors de la Grande guerre, Dole déplore 450 victimes. En 1940, c'est l'occupation allemande, puis en 1942 la résistance s'organise avec son lot de sabotages. La ville est libérée le 9 septembre 1944.

Héraldique

« Coupé, au premier d'azur semé de billettes d'or au lion aussi d'or couronné de même, armé et lampassé de gueules, issant de la partition, au deuxième de gueules au soleil d'or aussi ».

Remarque : ces armories datant de l'époque médiévale sont supprimées lors de la Révolution. En 1811, Napoléon en concède de nouvelles, plus ou moins similaires, qui se blasonnent ainsi : « Coupé d'azur et de gueules, l'azur semé de billettes d'or et chargé d'un lion issant du même, armé et lampassé de gueules à la montagne d'argent mouvante de la pointe : au franc quartier des villes de seconde classe ».
C'est Louis XVIII qui restaurera en 1816 les armoiries primitives.

Toponymie

Le toponyme a eu pour forme "Dola", sans que la date en soit précise.
Cette forme pourrait correspondre à la racine "dola" dans la langue celte, qui aurait évolué en "dol" dans la langue galloise et même bretonne. Cette racine "dola" signifiait soit vallon, vallée, soit champ ou prairie.
Remarques :

  • Un village du Pays de Galles, situé dans le comté de Ceredigion, porte le même toponyme.
  • Dans la langue française, le verbe "doler" (provenant du latin "dolare") signifie aplanir ou amincir, des planches mais aussi des peaux animales.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Jura
  • Arrondissement - 1801-2024 : Dole
  • Canton - 1801-1973 : (Dôle) Dole, 1973-2015 : Dole-Nord-Est et Dole-Sud-Ouest, 2015-2024 : Dole-1 et Dole-2
  • Commune - 1801-.... :

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :
  • Dole absorbe, en 1953, les anciennes communes Azans et Saint-Ylie, puis absorbe, en 1973, l'ancienne commune Goux.

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Collégiale Notre-Dame de Dole

Collégiale Notre-Dame de Dole - Photo Gildum
Le clocher - Photo J-P GALICHON

Son Histoire :

  • L'église primitive est érigée en collégiale du temps de Mahaut d'Artois, au tout début du XIVe siècle, mais rasée en même temps que la cité lors du siège de Louis XI.
  • La nouvelle collégiale va être élevée au même endroit. Les plans voient le jour en 1483, mais le financement fait défaut. La première pierre est posée en 1509. L'édifice, construit dans un style mi-gothique, mi-Renaissance, est achevé en 1586 et consacré en 1571.
  • Lors de la période révolutionnaire, la collégiale devient tout d'abord un entrepôt, puis un temple de la Raison et enfin un temple de l'Être suprême. C'est seulement en 1802 qu'elle est rendue au culte catholique.
  • En 1910, l'édifice est classé aux Monuments historiques[1]. Il prend le statut de basilique mineure en 1951, mais l'appellation de collégiale perdure.

Son architecture :

  • La collégiale adopte une allure imposante de par son clocher fortifié qui culmine à 73 mètres. Celui-ci présente un grand porche d'entrée qui a été remanié en 1577 avec des sculptures d'Hugues Le Rupt, dans de la pierre de Sampans, et terminé en 1596. Quant au dôme s'inspirant d'églises italiennes, il a aussi été retravaillé. La nef à trois vaisseaux et longue de 58 mètres est conçue dans un style gothique tardif. Les collatéraux abritent une succession de chapelles.
  • Le transept est imposant, avec un portail pour chaque bras. Le chœur à deux travées présente des boiseries et stalles. L'abside à pans coupés est éclairée d'une grande verrière réalisée en deux fois, 1870 et 1957, par deux ateliers différents.

Quelques éléments du mobilier :

  • Un jubé sculpté vers 1560 par Denys Le Rupt et destiné à séparer la nef du chœur a été déplacé au milieu du XVIIIe siècle pour servir de tribune à l'orgue.
  • Un premier orgue existait aux environs de 1570. Le facteur Karl Joseph RIEPP de Dijon en réalise un nouveau entre 1750 et 1754 avec quatre claviers manuels et un pédalier. Il est logé dans un buffet confectionné par le menuisier ATTIRET et le sculpteur DEVOSGE, buffet classé au titre d'objet historique[2].
  • Il existe deux chaires à prêcher. Celle en marbre rouge de Sampans, adossée au pilier sud, a été sculptée par Denys Le Rupt en 1556. Et les statuettes dans les niches sont l'œuvre, plus tardive, de Séraphin BESSON. Cette chaire est classée au titre d'objet historique [3]
  • Dans la chapelle Sainte-Philomène se trouve une pietà du XVe siècle, en bois polychrome, provenant de l'ancien couvent des Ursulines.


Couvent des cordeliers

Le cloître Photo Gildum
  • Ce couvent est construit à partir de 1372 à l'initiative des Franciscains et se termine vers 1429 avec son église. Il a la chance de ne pas être rasé lors du siège de 1479. Mais il n'est plus en bon ét4t et est remanié et agrandi entre 1521 et 1574. Lors du siège de 1636, les vitraux de l'église sont soufflés et provoquent la mort d'une vingtaine de frères. À partir de 1731, une restauration commence sous la houlette de Denys Le Rupt.
Lors de la Révolution les bâtiments conventuels sont vendus, puis l'édifice va connaître d'autres destinations : prison d'abord, sous-préfecture, tribunal, gendarmerie puis Palais de Justice jusqu'en 2017.
L'édifice a connu des classements successifs aux Monuments historiques, le dernier en date de 2014[5].
  • Les points fort architecturaux : un grand portail Renaissance avec un tympan imposant reposant sur quatre colonnes de pierre rouge, une église à un seul vaisseau, un cloître dont les arcades en plein cintre sont supportées par des piliers toscans, un puits daté du XVIe siècle au centre du patio.


Église d'Azans

Façade principale
Photo Didiertaldu
Chevet

La chapelle primitive est élevée au Xe siècle.
Elle est dédiée à saint Germain et reste « l'église mère de Dole »[6] jusqu'à l'élévation de l'église doloise au rang de collégiale en 1304.
L'église est reconstruite en 1755 sur le plan d'un vaisseau unique. La voûte est soutenue par des piliers doriques.
Le clocher porche est élevé en 1870. À l'intérieur de la nef se remarque un chemin de croix, en bois sculpté de façon épurée.

Pictos recherche.png Article détaillé : Pour découvrir l'intérieur de l'église...



Église Sainte-Marie-Madeleine (Saint Ylie)

Vue latérale
Photo Didiertaldu

Une chapelle est érigée dans ce hameau au IXe siècle. Des religieux poitevins y auraient déposé des reliques de leur évêque saint Hilaire. Certains historiens prétendent qu'il s'agissait de saint Yllis, quatrième évêque de Clermont. D'autres estiment que saint Hilaire et saint Yllis correspondent au même personnage, la forme orthographique variant beaucoup à cette époque.
La chapelle ou église reste « enclavée dans l'enceinte du château »[7] jusqu'au tout début du XVIe siècle, puis est reconstruite à l'endroit que nous lui connaissons actuellement.


Grande Fontaine

Vue depuis le passage souterrain
Photo B.ohland

Une source (ou plutôt résurgence) est connue à cet endroit dès le XIIIe siècle. Elle jaillissait alors sous la dernière arche du pont roman et sous l'ancienne porte fortifiée.
De par sa situation à l'intérieur de l'enceinte, elle a permis aux Dolois de résister lors des deux sièges de la ville.
Contrairement à une croyance populaire, la source n'était pas réservée à l'usage des lépreux, car ceux-ci étaient soignés dans une maladrerie extérieure à la cité.
Son utilisation en tant que lavoir a entraîné des conflits entre lavandières et forces de l'ordre qui avaient pour mission de surveiller la qualité de l'eau.
Le lieu a été remanié plusieurs fois, et le lavoir actuel date du XIXe siècle.
Marcel Aymé venait jouer dans cette caverne mystérieuse et le raconte dans son roman Le moulin de la sourdine.
Mais un effondrement de la voûte a entraîné la fermeture du site et sa couverture par une dalle de béton en 1953. Puis une restauration en 1986 l'a rendu accessible depuis la place.

Maison natale de Louis PASTEUR

Maison natale rue Pasteur

La maison est construite vers 1745 et devient une tannerie comme les voisines de ce quartier, dans la partie basse de la ville, au bord du Canal des Tanneurs. Elle est en effet conçue pour cette activité, avec des caves voûtées donnant sur le canal, atelier et magasin au rez-de-chaussée, logement à l'étage et séchoir dans les combles.
Jean-Joseph Pasteur (père de Louis) s'y installe en 1816 et y exerce aussi le métier de tanneur. Son fils Louis y nait en 1822 et la famille y demeure jusqu'en 1825. Ils s'installeront ensuite à Marnoz puis à Arbois en 1830, où Pasteur reviendra souvent et agrandira la maison paternelle avec un laboratoire.
Une plaque commémorative est apposée sur la maison natale, en 1883, ce qui donne l'occasion à Pasteur de prononcer un vibrant hommage en l'honneur de ses parents.
La demeure est achetée en 1912 par la ville et aménagée en musée. Labellisée "Maison des illustres", la maison natale est classée aux Monuments historiques lors de l'ouverture du musée en 1923[8].
En 2020, une exposition y explique l'art de la sériciculture.

Hôtel de ville

L'hôtel de ville est installé depuis 1988 dans l'ancienne maison du Bon Pasteur, construite entre 1776 et 1783, institution fondée en 1723 sous le nom de "Refuge" pour lutter contre la prostitution. Son emplacement découlait de la proximité d'une garnison.
En 1752, le "Refuge" devient maison de force pour jeunes délinquantes. Une chapelle y est adjointe, imposante mais sobre. On y transfère par la suite les maisons d'arrêt et de détentions de l'arrondissement.
La prison est désaffectée en 1927 mais à nouveau utilisée pendant la Seconde Guerre mondiale.
En 1977, c'est un collège technique qui s'y installe et le bâtiment est agrandi de deux ailes latérales. Puis un avant-corps à fronton triangulaire est rajouté pour les besoins de son affectation actuelle.

Repère géographique.png Repères géographiques

Collégiale surplombant le quartier des tanneurs Photo Gildum
Canal des tanneurs, avec, vers le fond, la maison natale de Pasteur Photo B.ohland

La ville de Dole, au nord du département du Jura, se situe à environ 45 kilomètres au sud-ouest de Besançon et également une quarantaine de kilomètres et sud-est de Dijon.
Elle est entourée et limitée d'un côté par quelques collines.
Son ban communal est traversé par le Doubs, la Clauge, mais aussi le canal du Rhône au Rhin et le canal des Tanneurs où se sont installés moulins et tanneries.
Le centre ville sur la rive droite du Doubs correspond au cœur médiéval avec la collégiale et les halles.
Des faubourgs se sont développés au XIXe siècle, complétés par des quartiers contemporains au XXe.
En 1967, un plan de sauvegarde concernant environ 100 hectares a été mis en place pour préserver le patrimoine historique.


Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 9 000 8 235 8 678 9 647 9 927 10 137 10 713 10 519 10 830 10 985
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 10 605 11 093 11 679 12 924 13 190 13 293 14 253 14 437 14 627 14 838
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 16 294 16 208 18 093 18 066 18 117 18 250 22 022 24 525 27 188 29 295
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 26 889 26 577 24 949 24 606 24 009 23 579 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

En photographies

Dans la peinture

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Claude Pierre BOUVIER 1801 - 1810 Baron - Né en 1759 - Avocat, procureur puis président honoraire à la Cour royale de Besançon - Député (1809-1814)[9] - Officier de la Légion d'honneur en 1814  
- -  
Léonard DUSILLET 1815 - 1834 Né en 1769. Décédé en 1867. Une plaque est apposée sur sa maison natale à Dole, avec la mention « Très dévoué à sa ville »  
Claude Pierre BOUVIER 1834 - 1837 Le même - Conseiller général du canton de Dampierre (1833-1843) - Décédé en 1843  
Simon Pierre Émile RIGOLLIER de PARCEY 1837 - Vicomte - Né en 1795 - Député (1839-1846)[10] - Conseiller général du canton de Chaumergy (1840-1848) - Décédé en 1861  
- -  
Pierre François POUX 1860 - 1868 Né en 1814 - Avocat - Conseiller général du canton de Chemin (1867-1872) et président du Conseil général du Jura - Chevalier de la Légion d'honneur en 1880 - Décédé en 1880  
- -  
Claude Pierre Armand POIFFAUT 1876 - 1877 Né en 1851 - Conseiller général du canton de Chemin (1872-1900) - Réinstallé comme maire en 1878 - Chevalier de la Légion d'honneur en 1881 - Décédé en 1900  
- -  
Rose Émile Stéphane RENAUD 1896 - 1904 Né en 1841 - Directeur d'une maison de tissus - Conseiller général du canton de Rochefort-sur-Nenon (1892-1906) - Chevalier de la Légion d'honneur en 1902 - Décédé en 1910  
- -  
- -  
Jacques DUHAMEL 1968 - 1976 Né en 1924 - Député (1962-1976)[11] - Ministre (1969-1973) - Ancien conseiller général du canton de Dole (1964-1973) puis conseiller général du canton de Dole Sud-Ouest (1973-1976) - Décédé en 1977  
Jean-Pierre SANTA CRUZ 1977 - 1983 Né en 1938 - Médecin - conseiller général du canton de Dole-Nord-Est (1973-1985) - Député (1981-1986 & 1988-1993)[12] - Décédé en 1995  
Gilbert BARBIER 1983 - 2008 Chirurgien, député (1978-1981, 1986-1988, 1993-1997), sénateur (2001-) - Réélu en 2001.  
Jean Claude WAMBST 2008 - 2014  
Jean Marie SERMIER 2014 - 2017 Député maire. Il fait poser en 2017 une plaque sur la "Tour de Chamblans", louée par les échevins en 1417 pour en faire la "maison de ville".  
Jean-Baptiste GAGNOUX 2017 - (2026) Professeur d'histoire-géographie - Conseiller départemental du canton Dole-1. - Réélu maire en 2020 au premier tour.  
- -  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
- -  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Abbé Henri QUATTRE - Curé de l'église d'Azans ; décédé le 16 octobre 1935 à l'âge de 50 ans.  
- -  

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Naissances :

Le général BOISDEMENETZ.
Général de division.
Louis Pasteur, photo de famille, maison et laboratoire d'Arbois
  • Simone Julienne BERTHIER, actrice née le 9 novembre 1921
  • Louis "Edouard" Maxime DANIEL de BOISDENEMETZ, né le 28 décembre 1828, décédé à Paris (8e) le 12 mars 1894, général de division.
  • Louis PASTEUR - savant, biologiste français, né le 27 décembre 1822, décédé à Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine) au domaine Villeneuve-l'Étang le 28 septembre 1895.
  • Hubert-Félix THIÉFAINE, chanteur auteur compositeur né le 21 juillet 1948


Émigration

Émigration en Algérie

Pictos recherche.png Article détaillé : Consulter la liste ...

Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
- - - -  
- - - -  
Emile Louis Marius BOURGEOIS 01/10/1880
Dampierre (52)
23/02/1916
Dieppe (55)
Fils de Célestin, coutelier, et de Françoise Amélie LEGROS - Pâtissier - Domicile à Dole dès 1907 où il s’est marié le 15/03/1909 avec Lucie Léonie DUVERNET - Frère de Marie Augustin également décédé durant la Grande Guerre
Fiche - Matricule au recrutement : 1036 Langres - Soldat au 42e R.I.
Inscrit sur le Livre d’Or et l’une des plaques commémoratives de la Collégiale Notre-Dame de Dole
Son nom figure également sur les plaques commémoratives de l’Église Saint-Pierre-Saint-Paul et du Monument aux Morts de Dampierre (52)  
- - - -  
- - - -  


^ Sommaire

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

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Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8h00 - 12h00 8h00 - 12h00 8h00 - 12h00 8h00 - 12h00 8h00 - 12h00 - -
Après-midi 13h30 - 17h30 13h30 - 17h30 13h30 - 17h30 13h30 - 17h30 13h30 - 17h30 - -
39198 - Dole Hotel Ville.JPG

Mairie
Adresse : Place de l'Europe - BP 89 - 39102 DOLE

Tél : 03 84 79 79 79 - Fax : 03 84 79 79 80

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public & Mairie (juillet 2020)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Dole (Précis statistique de l'arrondissement) - Tome II
  Le vieux Dole - Histoire pittoresque artistique et anecdotique d'une ancienne
  Dole - Tome III
  Histoire de Dole
  Dole - Tome II

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