37046 - Céré-la-Ronde
Céré-la-Ronde | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 37046 |
Code postal | 37460 |
Population | 448 habitants (2018) |
Nom des habitants | |
Superficie | 4 920 hectares |
Densité | 9.11 hab./km² |
Altitude | Mini: 84 m |
Point culminant | 186 m |
Coordonnées géographiques |
47.261389° / 1.190833° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Sommaire
Histoire de la commune
Aspect géographique
Céré-la-Ronde est située à 20 Km à l'est de Bléré, à 47 km à l'est de Tours et à 10 km au sud de Montrichard. Le signal de la Ronde, à 188 m d'altitude, marque le point culminant du département d'Indre-et-Loire. Il est situé sur la limite des départements d'Indre-et-Loire et de Loir-et-Cher. La majeure partie du territoire communal s'étend sur un plateau dont l'altitude dépasse fréquemment les 140 m et s'accentue au nord-est. De nombreux ruisseaux (de l'Epeigné, de Biard, de Courbat, de Céré) traversent la commune et alimentaient cinq moulins. La surface boisée de la commune est importante : plus de 2000 ha en 1985, soit plus de 40% du territoire communal. L'évolution des pratiques agricoles a conduit à la suppression des haies et à l'utilisation de machines permettant la grande culture céréalière. Cette pratique récente rompt avec la polyculture traditionnelle qui réservait une part importante à l'élevage bovin et caprin en raison de la mauvaise qualité des sols. Le château de Montpoupon et ses abords constituent un site classé.
Aspects historiques
Des traces d'occupation antérieures au Néolithique sont probables mais le potentiel archéologique de la commune reste à découvrir. Un menhir d'environ 1,60 mètre de haut se dressait au lieu-dit "le Gros Chillou" près du Chêne jusqu'en 1893, date à laquelle il fut renversé.
Céré est cité dès le VIème siècle par Grégoire de Tours (Ceratinsius vicus, Cerate vicus). On rencontre la mention "parochia de Cereio" au XIIIème siècle. La paroisse de Céré constituait un fief relevant des seigneuries du Châtellier, de Montpoupon et de Razay. La châtellenie du Châtellier, relevant du château de Montrichard, est citée dès 1480.
Le plan d'un domaine à cour fermée comprenant quatre bâtiments et un étang au nord est encore bien visible sur le cadastre napoléonien, mais ces bâtiments sont détruits de nos jours.
Au XVIIIème siècle, la carte de Cassini mentionne Ceray.
De 1790 à 1801, la commune faisait partie du canton de Luzillé, et à partir de la suppression de ce dernier en 1801, elle fut rattachée à celui de Bléré. En 1854, une colonie agricole fut fondée à la Ronde ; 18 orphelins y défrichèrent 60 hectares sous la direction du curé de Céré. La commune est devenue Céré-La-Ronde en 1936. Par décret du 27/12/1983, Céré-la-Ronde céda à Angé (Loir-et-Cher) un territoire de 52,3 ares au lieu-dit "le Préau", qui comptait quatre habitants en 1982.
On comptait 854 habitants en 1801, 940 en 1841, 1052 en 1876. En 2014, la commune totalisait 451 habitants.
Dans le bourg, le premier noyau bâti s'est implanté à proximité de l'église, aux XIème-XIIème siècles puis s'est développé en direction au sud-ouest aux XVème et XVIème siècles. Un second noyau d'habitat s'est développé vers l'ouest à partir du XVIème siècle pour former le "bas bourg" tel qu'il est encore désigné sur le premier plan cadastral.
Toponymie
- Cerate : VIème siècle
- Cerate, Cerium, Uscerate, Cerente, Viscerate : XIIIème siècle
- Ceray, Cere : XVI-XVIIIème siècle
- Céré : XIX-XXème siècle
- Céré-la-ronde - 3 décembre 1936
Héraldique
Écartelé en sautoir: au 1er d'or au chêne coupé de sinople, aux 2e et 3e de gueules à la chèvre cabrée d'argent, les deux chèvres adossées, au 4e d'or au manteau de saint Martin de gueules partagé en deux par une épée haute de sable [1].
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Indre-et-Loire
- Arrondissement - 1801-2023 : Tours
- Canton - 1801-2023 : Bléré
- Commune - 1801-1936 : Céré --> 1936-2023 : Céré-la-Ronde
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
L'église Saint-Martin
Un édifice religieux est attesté dès le VIème siècle à Céré la Ronde.
Au XIIème siècle, fut édifiée une église dédiée à Saint Vincent dont subsiste le clocher actuel.
Ce clocher se compose de trois parties de bas en haut : une tour carrée romane avec des petites fenêtres meurtrières, puis la chambre des cloches ouverte sur chaque face d'une fenêtre de plein cintre (Celle du nord est d'un dessin très archaïque ou mutilé) surplombée de la flèche gothique octogonale, à pans à surface légèrement convexe, épaulée aux quatre angles par une lucarne.
Ce clocher abrite aujourd'hui deux cloches (inscrites à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[2] en bronze de 1833 par Mutel Noël, fondeur à Breuvannes en Bassigny (Un des 3 villages de Haute Marne réputé depuis le XVIIIème pour sa tradition de fondeur de cloches). Ces artisans, les saintiers, se déplaçaient de village en village pour fondre les cloches sur place.
Au XVIème siècle fut construite une église dédiée à Saint Martin sur les fondations de la précédente.
L'entrée latérale nord est une porte du XVIème de style Renaissance, aux vantaux sculptés (Classée Monument Historique[3] ): 8 panneaux sculptés d'arabesques, 4 autres à décor de plis de serviettes.
Cette porte avec pilastres sur culs-de-lampe est surmontée d'une niche qui abritait une statue de la Vierge à l'enfant polychrome du début du XVIème (Classée Monument Historique[4]). Cette statue est désormais mise en sécurité.
L'église Saint-Martin est classée aux monuments historiques depuis 1971[5].
Le château de Razay
Le Château de Razay a été construit à la fin du XVème siècle. Cette propriété de 35 hectares est située au cœur des Châteaux de la Loire.
Le Château a appartenu à son origine à un aristocrate Italien qui vint s’établir en Touraine en 1572 et auquel Charles IX consacra ses lettres de naturalité.
Ancien fief, relevant du château de Montrichard. En 1650, il appartenait à Henri de Thienne, chevalier; en 1659, à Esme de Thienne, seigneur du Châtellier, marié à Marie-Florence des Couleurs, dont il eut Cajetan de Thienne, seigneur de Razay, du Châtellier, de Launay et de Cigogné, décédé le 11 octobre 1724 et inhumé dans la chapelle de Céré.
Ce fief passa ensuite à Louis-Cajetan de Thienne, fils du précédent, marié à Victoire des Granges, dont il eut Louis-Cajetan, seigneur de Razay et du. Châtellier, capitaine au régiment du roi, chevalier de Saint-Louis, gouverneur des villes et Maillage de Sens, marié à Adélaïde-Henriette-Élisabeth-Pauline de Vigny (1789).
La chapelle du château de Razay est mentionnée dans le Registre de visite du diocèse de Tours, en 1787.
Château de Razay : il a été reconstruit au XIXème siècle. Il est le cadre d’une affaire d’empoisonnement où cinq personnes de passage sont intoxiquées. Parmi elles figurent la comtesse douairière de Saint Chamans, cousine germaine d’Alfred de Vigny, et son petit fils Etienne de Tourette qui en meurt. L’année suivante une servante du château est reconnue coupable du crime : elle est guillotinée à Tours. Ce château fut le quartier général du maquis Lecoze en 1944.
Château de Biare-la-Chapelle
Le plan cadastral de 1826 mentionne Biard et non Biard La Chapelle ; on suppose que cette appellation a été préférée afin de ne pas confondre Biard La Chapelle avec Le Grand Biard, où se trouve également un château construit au XIXème siècle, et Le Petit Biard, qui constitue un hameau situé à l'est des deux autres. Le lieu-dit Biard est un ancien fief relevant de l'abbaye de Beaugerais, connu dès le XIIème siècle "Grangiam de Briardo cum omnibus pertinentiis suis".
En 1181, le pape Luce II confirma les biens de l'abbaye de Baugerais, dont une grange bâtie dans le bois du Biard ; cette fondation pourvue d'une chapelle donna naissance au hameau de Biard La Chapelle.
La carte de Cassini signale La Chapelle Biard. De nos jours, un château construit au cours de la seconde moitié du XIXème siècle s'élève à cet endroit. Sa date de construction ainsi que l'architecte qui en a livré les plans ne sont pas connus.
Le château, bâti en brique, comprend une aile de sept travées accolées à un pavillon en retour d'équerre large de deux travées et de plus grande hauteur. L'entrée s'effectue par la septième travée, construite en légère saillie et couverte d'un toit pyramidal qui a pour effet de donner l'impression d'un avant-corps. Tous les encadrements des baies sont harpés et taillés en tuffeau dont la blancheur se détache nettement sur la brique. Trois lucarnes éclairent le comble de l'aile ouest, couverte d'un toit à longs pans brisés. Le pavillon, élevé d'un étage carré et d'un étage en surcroît, est couvert d'un haut toit en pavillon d'où sortent de grandes souches de cheminée en brique. Les fenêtres de l'étage en surcroît sont surmontées d'un fronton cintré.
Château du Grand-Biare
Le Grand Biard est connu dès 1297 (Byart). Le lieu a constitué un fief relevant de Montrésor. Le Grand Biard figure sur la carte de Cassini (XVIIIème siècle). Le château actuel, dont la date de construction et l'architecte ne sont pas connus, a été édifié au cours du XIXème siècle à l'imitation des châteaux de la fin du Moyen âge.
Bâti selon un plan rectangulaire, le château est cantonné de deux tours rondes situées à chaque extrémité de la façade antérieure. Le gros œuvre est en moellon enduit tandis que les parties supérieures des tourelles, les lucarnes et tous les encadrements des baies sont en pierre de taille. La façade antérieure comporte cinq travées ; celle du centre, où se situe l'entrée, forme un avant-corps peu saillant et possède une corniche qui rappelle les mâchicoulis des châteaux-forts. Une tour carrée hors œuvre, couverte d'un toit en pavillon, est placée au centre de la façade opposée, qui ne compte qu'une seule travée de chaque côté de la tour. Toutes les baies sont à meneaux et croisillons. Le toit à longs pans et pignons découverts est couvert en ardoise, de même que les tourelles au toit conique.
Château de Montpoupon
Ancienne châtellenie relevant du château de Montrichard.
Le château était fortifié. Dans la première partie du XIIIème siècle, Il appartenait à Richard de Beaumont, qui figure dans une sentence relative à la chaussée de l'étang de Montpoupon (1228);
En 1450, à Antoine de Prie, seigneur de Buzançais, marié à Madeleine d'Amboise.
En 1475-1498, à Aymar de Prie, maitre des arbalétriers de France, marié, en premières noces, à Claude de Choiseul, et, en secondes, à Glaude le Baume.
Vers 1550, à Edme de Prie, lieutenant général au gouvernement de Touraine, décédé en 1576. Edme de Prie est qualifié de baron de Montpoupon dans un titre de 1575; mais aucun document ne prouve que cette terre ait été érigée en baronnie.
En 1704, à Louise de Prie, veuve de Philippe de la Motte-Houdancourt, maréchal de France.
En 1719, à Marie-Gabrielle-Angélique de la Motte-Houdancourt, veuve d’Henri-François, duc de la Ferté-Saint-Nectaire.
En 1728, à Charlotte de la Ferté, veuve du marquis de la Ferté.
En 1746, à Philippe-Louis Thibault, marquis de la Ferté-Saint-Nectaire, qui vendit ce domaine, par acte du 28 septembre 1772, à Nicolas Tristan, chevalier.
En 1784, à Nicolas-Marie Tristan (fils du précédent), lieutenant
Le château et ses dépendances : inscription par arrêté du 1{er}} mai 1930 ; Les façades et toitures du châtelet et de la tour dite Le Donjon : classement par arrêté du 28 janvier 1966 [6].
Le Presbytère
Accolé perpendiculairement au sud de l'église et construit à l’origine de manière à pouvoir communiquer directement avec celle-ci, le presbytère a été édifié dans le premier quart du XVIème siècle, en même temps que la nef de l'église a été reconstruite. Cependant, la présence d'un petit appareil en moellon en partie basse indique qu'une première construction, médiévale, a précédé l'état Renaissance visible actuellement.
Orienté nord-sud, le bâtiment est accolé à l'église au sud, au niveau des première et deuxième travée de la nef. Il comprend un étage carré, surmonté d'un haut comble dont le toit à longs pans est couvert en tuile plate. Le rez-de-chaussée est bâti en petit appareil de moellon calcaire, et le reste de l'édifice en pierre de taille de moyen appareil. Cette différence signale une reprise de la construction. Au nord, la charpente entre en pénétration dans celle de l’église ; la façade sud, à pignon découvert, est accostée à l’ouest par une tour d'escalier polygonale hors œuvre ; elle renferme un escalier en vis qui dessert les différents niveaux. La tour est coiffée d'un toit polygonal en ardoise. Du toit à longs pans en tuile plate dépassent deux hautes souches de cheminée en pierre de taille.
Repères géographiques
La commune de Céré-la-ronde est entourée des communes suivantes:
- Communes du département d'Indre-et-Loire (37) : Orbigny, Genillé, Le liège et Epeigné-les-bois.
- Communes du département de Loir-et-Cher (41) : Saint-Georges-sur-Cher, Faverolles-sur-Cher, Saint-Julien-de-Chédon, Angé, Pouillé et Mareuil-sur-Cher.
Liste des lieux-dits [7]:
- A : l'Abbée, l'Aigremont,
- B : Beauchêne, Beaumé, Beauvoir, Bel-air, la Bergerie, Biard-la-Chapelle, les Bigolières, Bonigal, la Bougonnière, la Boulaie, les Boulevries,
- C : la Caillardière, la Cave, le Châtellier, le Chêne, le Chêne-blanc, les Cherpraies, la Chevraie, la Choltière, le Collier, la cotterie, la Couarde, Crecousse,
- D : les Daubrons, la Donnellerie,
- F : les Fontennelles, le Four-au-noir,
- G : les Gerbeaux, le Gicton, le Grand-Biard, le Grand-Prévost, le Grand-Vécher, la Guicherie, la Guignardière,
- L : Laugereau, Lardille, Louvignon,
- M : la Maillarière, la Maison-brulée, la Maison-Rouge, les Marchais, la Marnière, les Marteaux, la Ménerie, Montbuisson, Mont-Céré, Montpoupon, le Moulin-Bailly, le Moulin-Brouillon, le Moulin-du-Courbat, le Moulin-Gautier, le Moulin-du-Parc, les Montpouets, Mouzé, la Mozellerie,
- N : la Nallerie, la Naudière,
- O : l'Orangerie,
- P : le Petit-Biard, le Petit-Prévost, le Petit-Vécher, le Peu, la Picaudière, les Pigeonelles, la Poitevinière, le Préau, les Priseaux, la Pyramide,
- R : Razay, Richemont, la Ronde, le Rossignoux,
- S : la Sourderie,
- T : Touchêneau,
- V : la Verdure, la Verrerie,
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 824 | 854 | 845 | 895 | 926 | 917 | 940 | 964 | 990 | 995 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 994 | 975 | 1 021 | 1 052 | 1 085 | 1 127 | 1 148 | 1 134 | 1 135 | 1 106 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 1 082 | 975 | 977 | 889 | 804 | 734 | 746 | 662 | 640 | 571 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 481 | 435 | 437 | 414 | 451 | 451 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
HAUTERIVE | 1792-1801 | - |
MOREAU | 1801-1803 | - |
JOUSSERAND Jacques | 1806-1807 | Démissionnaire |
HAUTERIVE | 1807 | - |
Jacques JOUSSERAND | 1807-1812 | - |
Gaétan DE SAINT-CHAMANS | 1816-1826 | - |
Louis DE SAINT-CHAMANS | 1827 | |
Denis Laurent THIREAU | 1828-1830 | - |
Gaétan DE SAINT-CHAMANS | 1830-1834 | - |
Denis Laurent THIREAU | 1834-1852 | - |
MOULIN | 1852-1854 | - |
ESNAULT | 1854-1866 | - |
De la Motte Emile | 1874-1880 | - |
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- | - | - |
- | - | - |
Jean TOUCHELET | - 2008 | - |
Patrice LÉCUREUIL | 2008 - 2014 | - |
Jacques DUVIVIER | 2014 - (2026) | - |
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Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
LEPEINTRE | 1668-20 octobre 1679 | |
Pierre BIDAULT | 23 décembre 1679 - novembre 1717 | |
Jean Baptiste RATTIER DES BRUERES | novembre 1717 - 19 janvier 1753 | |
Louis René RATTIER | janvier 1753 - 1792 | |
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Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Naissances (1772-1780)
- Mariages (1792-1939)
- Recensements (1911-1911)
- Décès (1792-1802)
- Naissances (1792-1802)
- Mariages (1772-1780)
- Décès (1772-1780)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Minutes - Jacques Louet, notaire royal - 3E56/17 (1656-1657)
- Répertoires - Jacques Louet, notaire royal - 3E56/330 (1673-1680)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 9h00 à 12h00 | de 9h00 à 12h00 | - | de 9h00 à 12h00 | - | de 9h00 à 12h00 | - |
Après-midi | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | de 14h00 à 17h00 | - | - | - |
Mairie |
Adresse : 5 rue Rabelais - 37460 Céré-la-Ronde
Tél : 02 47 94 23 61 - Fax : 02 47 94 23 98 Courriel : Site internet : GPS : 47.2606° / 1.19° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Lundi, Mardi & Jeudi : 09h00 à 12h00 - 14h00 à 17h00 ; Mercredi : 14h00 à 17h00 ; Samedi : 09h00 à 12h00 Source : http://www.cere-la-ronde.fr/contact (06/2010) |
Dépouillements des registres paroissiaux et des registres d'état civil
Liste des dépouillements sur Geneanet
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Base Palissy - Cloche de Saint-Martin
- ↑ Base Palissy - Porte latérale de Saint-Martin
- ↑ Base Palissy - Statue de la Vierge à l'enfant
- ↑ Fiche Mérimée - Église Saint-Martins
- ↑ Fiche Mérimée - Château de Montpoupon
- ↑ Liste des lieux-dits relevés sur le Recensement de population 1911 - Cote : 6NUM5/046/016 - Archives Départementales d'Indre-et-Loire