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La Chartreuse du Val de Bénédiction doit son origine à la volonté du Pape Innocent VI. Celui-ci après son élection en 1352, fit don à l’ordre des Chartreux<ref>Ordre monastique contemplatif, fondé en 1084 par saint Bruno, et aussi appelé ordre cartusien</ref> de ses terres et de sa livrée (hôtel particulier) qu’il possédait à Villeneuve lez Avignon du temps où il était cardinal.<br> | La Chartreuse du Val de Bénédiction doit son origine à la volonté du Pape Innocent VI. Celui-ci après son élection en 1352, fit don à l’ordre des Chartreux<ref>Ordre monastique contemplatif, fondé en 1084 par saint Bruno, et aussi appelé ordre cartusien</ref> de ses terres et de sa livrée (hôtel particulier) qu’il possédait à Villeneuve lez Avignon du temps où il était cardinal.<br> | ||
Le premier élément est une église placée sous le vocable de Jean-Baptiste, qui est achevée et dédicacée en 1358. Quatre ans plus tard, elle devient Notre-Dame-du-Val-de-Bénédiction. Le pape fondateur meurt en 1362, mais ses neveux vont poursuivre la fondation en doublant le nombre des membres et en installant une boulangerie.<br> | Le premier élément est une église placée sous le vocable de Jean-Baptiste, qui est achevée et dédicacée en 1358. Quatre ans plus tard, elle devient Notre-Dame-du-Val-de-Bénédiction. Le pape fondateur meurt en 1362, mais ses neveux vont poursuivre la fondation en doublant le nombre des membres et en installant une boulangerie.<br> | ||
Au {{XVIe siècle}} des remaniements ont lieu et le mur d'enceinte est renforcé. Au XVIIe siècle, de nombreuses constructions viennent compléter l'ensemble : église, chapelle, trois cloîtres entourés de 40 cellules, trois fermes, forment « un domaine de près de 400 hectares »<ref>Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, ''Villeneuve-lès-Avignon, le fort Saint-André et la chartreuse du Val-de-Bénédiction'', Paris, Éditions du patrimoine, 2001, 64 pages, ISBN 978-2-85822-638-2</ref>, ce qui en fait la plus grande chartreuse de France à cette époque. Et aussi une des plus prospères.<br> | Au {{XVIe siècle}} des remaniements ont lieu et le mur d'enceinte est renforcé. Au XVIIe siècle, de nombreuses constructions viennent compléter l'ensemble : église, chapelle, trois cloîtres entourés de 40 cellules, trois fermes, bugade<ref>Buanderie avec puits</ref>, hôtellerie et prison forment « un domaine de près de 400 hectares »<ref>Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, ''Villeneuve-lès-Avignon, le fort Saint-André et la chartreuse du Val-de-Bénédiction'', Paris, Éditions du patrimoine, 2001, 64 pages, ISBN 978-2-85822-638-2</ref>, ce qui en fait la plus grande chartreuse de France à cette époque. Et aussi une des plus prospères.<br> | ||
Durant ce même siècle, de nombreux éléments viennent embellir la chartreuse, décorations intérieures, fontaine, mais aussi le monumental porche d'entrée façon arc de triomphe, réalisé en 1649 par François Royer de la Valfenière.<br> | Durant ce même siècle, de nombreux éléments viennent embellir la chartreuse, décorations intérieures, fontaine, mais aussi le monumental porche d'entrée façon arc de triomphe, réalisé en 1649 par François Royer de la Valfenière.<br> | ||
Au moment de la Révolution, le site est démembré et vendu sous forme de petits lots.<br> | Au moment de la Révolution, le site est démembré et vendu sous forme de petits lots.<br> | ||
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Le petit cloître appartient à la première période de la fondation de la chartreuse, sa galerie méridionale est dite « du colloque » car les dimanches et jours fériés, les religieux pouvaient y rompre le silence pendant un court moment.<br> | |||
La galerie occidentale jouxtait le réfectoire.<br> | |||
La galerie orientale conduisait d'une part à la sacristie et au logement du sacristain, avec la rasure<ref>Lieu où se déroule le rasage et le renouvellement de la tonsure</ref>, ainsi qu'à la salle du Chapitre. Cette dernière, voûtée, abrite des fragments du tombeau de Pierre de Monteruc et des culots historiés dont celui du moine et du bouc symbolisant le diable. | |||
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'''Le cloître des morts ou grand cloître''' | '''Le cloître des morts ou grand cloître''' | ||
Au centre de ce cloître se trouve un grand espace vert qui servait, dans sa partie sud, de lieu de sépulture des moines qui étaient enterrés à même la terre ; c'est pour cela qu'en bordure de ce cimetière est construite la « chapelle des morts ». Tout autour, le long des trois galeries, se trouvent les douze cellules de la première fondation. | Au centre de ce cloître se trouve un grand espace vert qui servait, dans sa partie sud, de lieu de sépulture des moines qui étaient enterrés à même la terre ; c'est pour cela qu'en bordure de ce cimetière est construite la « chapelle des morts ». Tout autour, le long des trois galeries, se trouvent les douze cellules de la première fondation. Chaque cellule s'étendait sur deux niveaux, celui du bas avec logement et jardinet, l'étage avec atelier permettant aux Chartreux de développer des activités artisanales. À coté de la porte d'accès à la cellule, un petit guichet servait de passe-plat. | ||
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Version du 29 octobre 2020 à 14:50
Villeneuve-lès-Avignon | |
---|---|
Informations | |
Pays | France |
Département | Gard |
Métropole | |
Canton | Canton de Villeneuve-lès-Avignon (Canton 30 23)
30-40 Villeneuve-lès-Avignon (Ancien canton) |
Code INSEE | 30351 |
Code postal | 30400 |
Population | 11 698 habitants (2017) |
Nom des habitants | Les Villeneuvois (ses) |
Superficie | 1827 hectares |
Densité | 640.28 hab./km² |
Altitude | Mini: 10 m |
Point culminant | 181 m |
Coordonnées géographiques |
43.967222° / 4.796667° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Deux orthographes pour la commune : Villeneuve-lès-Avignon ou Villeneuve lez Avignon.
Bref historique
En 1290, Philippe IV le Bel échange le Maine et l'Anjou contre une part de seigneurie en Avignon, mais, pour conserver un emplacement stratégique à la frontière du royaume, il fonde Villeneuve, « la dotant de toutes sortes de franchises »[1]. Il cosigne la charte de fondation avec l'abbé de Saint-André à la suite de l'acte de pariage en 1292. Ce contrat prévoit de fortifier l'accès au pont d'Avignon, ce qu'il réalise vers 1300-1307 en rebâtissant le châtelet, appelé tour Philippe-le-Bel sur la rive ouest.
Dès 1302, le roi remet en question la propriété du fleuve et du port avignonnais.
Lorsque Avignon devient cité pontificale, les tensions perdurent et la querelle entre les deux rives se poursuivra jusqu’à la Révolution. Cette volonté royale de fortifier la rive droite du Rhône s'accompagne sans doute aussi d'une ambition de concurrencer un jour la puissante cité d'Avignon, par la création d'une ville neuve au pied du mont.
De 1305 à 1376, les dignitaires de la cour pontificale font de la rive droite, plus campagnarde, leur lieu de villégiature. Le pare Clément VI y possède une grande propriété. Au milieu du XIVème siècle, 12 cardinaux y ont leur résidence avec jardins et vergers, dont celle d'Étienne Aubert, installée sur le flanc du mont Andaon. Devenu pape sous le nom d'Innocent VI, il fonde en 1356, contre son palais, la chartreuse du Val-de-Bénédiction.
Héraldique
- Parti : au premier d'azur aux trois fleurs de lys d'or, au second de gueules au sautoir d'or.
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Gard
- Arrondissement - 1801-1926 : Uzès --> 1926, Nimes [Nîmes]
- Canton - 1801-2024 : Villeneuve-lès-Avignon
- Commune - 1801-2024 : Villeneuve-lès-Avignon
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
La Chartreuse Pontificale du Val de Bénédiction
La Chartreuse du Val de Bénédiction doit son origine à la volonté du Pape Innocent VI. Celui-ci après son élection en 1352, fit don à l’ordre des Chartreux[2] de ses terres et de sa livrée (hôtel particulier) qu’il possédait à Villeneuve lez Avignon du temps où il était cardinal.
Le premier élément est une église placée sous le vocable de Jean-Baptiste, qui est achevée et dédicacée en 1358. Quatre ans plus tard, elle devient Notre-Dame-du-Val-de-Bénédiction. Le pape fondateur meurt en 1362, mais ses neveux vont poursuivre la fondation en doublant le nombre des membres et en installant une boulangerie.
Au XVIe siècle des remaniements ont lieu et le mur d'enceinte est renforcé. Au XVIIe siècle, de nombreuses constructions viennent compléter l'ensemble : église, chapelle, trois cloîtres entourés de 40 cellules, trois fermes, bugade[3], hôtellerie et prison forment « un domaine de près de 400 hectares »[4], ce qui en fait la plus grande chartreuse de France à cette époque. Et aussi une des plus prospères.
Durant ce même siècle, de nombreux éléments viennent embellir la chartreuse, décorations intérieures, fontaine, mais aussi le monumental porche d'entrée façon arc de triomphe, réalisé en 1649 par François Royer de la Valfenière.
Au moment de la Révolution, le site est démembré et vendu sous forme de petits lots.
Au début du XXe siècle, la chartreuse est classée aux Monuments historiques[5] et l'on confie à Jules Formigé le soin de restituer à l'ensemble son allure d'origine.
L'église conventuelle
- Cette église d'abord dénommée Saint-Jean-Baptiste, puis Sainte-Marie, a été édifiée par le pape Innocent VI. À sa création (1353-1356) elle ne comportait qu'une unique nef et trois travées. Cette église sera agrandie une première fois en 1360-1361 pour abriter le tombeau de ce pape avec la construction au sud de l'église d'une nouvelle abside pentagonale et d'une travée de nef. Cette construction sera prolongée en 1363-1365 par la réalisation d'une deuxième et troisième travée. Enfin, en 1372, à l'ouest des deux nefs, sera réalisée une quatrième travée, séparée du chœur par un jubé de pierre et réservée au chœur des convers. L'ensemble présente une sobriété typique de cette époque en Avignon, ce qui n'empêche pas des sculptures historiées au niveau des culots.
- L'église a perdu au XIXe siècle son abside qui s'est effondrée.
- Dans la chapelle latérale de la Trinité se dresse le tombeau du pape Innocent VI, structure monumentale en pierre de Pernes, présentant un sarcophage avec gisant en marbre et un dais très ouvragé avec statues en albâtre. Ce tombeau était compris dans le lot de la chapelle vendue à un agriculteur à la Révolution, et abandonné dans cette famille pendant plus d'un siècle, jusqu'à ce que Prosper Mérimée le découvre en 1834 et qu'il retrouve sa place en 1959.
- Sur un mur de cette même chapelle existait une seule peinture, mais de taille impressionnante : Le couronnement de la Vierge, d'Enguerrand Quarton, maintenant visible au musée Pierre-de-Luxembourg.
- La chapelle adjacente abritait une sépulture plus modeste, le tombeau de Pierre de Monteruc, neveu du pape.
Le petit cloître
Le petit cloître appartient à la première période de la fondation de la chartreuse, sa galerie méridionale est dite « du colloque » car les dimanches et jours fériés, les religieux pouvaient y rompre le silence pendant un court moment.
La galerie occidentale jouxtait le réfectoire.
La galerie orientale conduisait d'une part à la sacristie et au logement du sacristain, avec la rasure[6], ainsi qu'à la salle du Chapitre. Cette dernière, voûtée, abrite des fragments du tombeau de Pierre de Monteruc et des culots historiés dont celui du moine et du bouc symbolisant le diable.
Le cloître des morts ou grand cloître
Au centre de ce cloître se trouve un grand espace vert qui servait, dans sa partie sud, de lieu de sépulture des moines qui étaient enterrés à même la terre ; c'est pour cela qu'en bordure de ce cimetière est construite la « chapelle des morts ». Tout autour, le long des trois galeries, se trouvent les douze cellules de la première fondation. Chaque cellule s'étendait sur deux niveaux, celui du bas avec logement et jardinet, l'étage avec atelier permettant aux Chartreux de développer des activités artisanales. À coté de la porte d'accès à la cellule, un petit guichet servait de passe-plat.
La chapelle des fresques
Cette chapelle, ainsi que le tinel avec lequel elle communique, appartient au palais que s'était fait construire Étienne Aubert après avoir été élu pape. Elle est réduite à une abside à cinq pans dont les murs ont conservé de belles fresques réalisées par Matteo Giovannetti, peintre attitré des papes Clément VI et Innocent VI.
Le cloître Saint-Jean
Le cloître Saint-Jean est situé à l'emplacement de l'ancienne cour du palais du cardinal Aubert. Le centre du cloître est occupé par une fontaine qui distribuait en eau l'ensemble de la chartreuse.
La tour Philippe-le-Bel
La tour Philippe-le-Bel est une forteresse des XIIIe siècle et XIVe siècle, construite pour contrôler l’accès au Pont d’Avignon.
Le traité de pariage entre le roi de France Philippe le Bel et l'abbé de Saint-André ordonne, en 1292, la construction d'une forteresse dont faisait partie la tour.
Tour classée aux M.H en 1862 [7].
Le Fort & l'abbaye Saint-André
Jusqu'à la fin du XVe siècle, le Rhône séparait les terres du Saint Empire Romain et du Royaume de France. Le Fort Saint-André assurait la garde de la frontière face à la rive orientale défendue par la cité d'Avignon et le Château du Roi René à Tarascon .
Dominant un pont romain sur le Rhône, le mont Andaon est un rocher idéal pour le guet. Au Xème siècle, il est occupé par le bourg et l'abbaye Saint-André, tandis que sur l'autre rive Avignon se développe grâce au pont. Mais au XIIème siècle les rois de France cherchent à étendre le royaume vers le sud et le Rhône devient une frontière. Louis VIII (1223-1226) signe un acte de pariage avec l'abbé de Saint-André et s'engage a fortifier le mont. L'abbé se dégage ainsi de la tutelle de l’évêque d'Avignon et désormais les deux rives s'opposent, française à l'ouest, provençale à l'est.
Pour concurrencer Avignon, Philippe IV le Bel (1285-1314) fonde en 1293 une ville neuve sur la rive ouest. Les fortifications du mont sont entreprises sous Jean II le Bon (1350-1364), dans le contexte d'insécurité de la guerre de Cent Ans, au moment ou les papes résident en Avignon.
Le fort perd son rôle stratégique lorsque la Provence est rattaché à la France en 1481 et plus encore quand le Rhône déplace son lit à 900 mètres du mont vers 1770.
Le fort est entretenu par l’administration militaire jusqu’en 1792.
Édifice classé aux M.H en 1903 [8].
Autres photos
Église collégiale Notre-Dame
Église collégiale Notre-Dame
J-P GALICHON
Repères géographiques
Commune Languedocienne du département du Gard (Région Languedoc-Roussillon), limitrophe du département du Vaucluse, Villeneuve-lès-Avignon est située à quatre kilomètres de la ville d'Avignon, à quarante quatre kilomètres de Nîmes, et à environ quatorze kilomètres de l'aéroport d'Avignon.
La commune de Villeneuve-lès-Avignon est traversée, à l'est de son territoire, par le Rhône.
En photos
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 3 300 | 3 297 | 3 279 | 3 232 | 3 564 | 3 633 | 3 671 | 3 723 | 3 733 | 3 252 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 162 | 3 067 | 2 730 | 2 910 | 2 630 | 2 644 | 2 622 | 2 735 | 2 922 | 2 890 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 2 709 | 2 561 | 3 035 | 3 635 | 3 740 | 4 399 | 5 157 | 6 422 | 6 977 | 8 540 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 9 282 | 10 730 | 11 791 | 12 471 | 12 266 | 11 901 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | - |
Émile RANQUET | - | (1846-1873) - Conseiller général - Avocat - Poète provencal |
- | - | - |
Émeric MERCURIN | - | Maire en 1863 |
- | - | - |
- | - | - |
Jean SAGNES | 1959-1971 | Conseiller général[9] |
- | - | - |
Paul GACHE | 1977-1989 | - |
Aimé MONTAL | 1989-1995 | Conseiller général |
Jean-Marc ROUBAUD | 1995-2020 | Député [10] |
Pascale BORIES | Mai 2020-(2026) | Sénatrice[11] |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - |
Ville de naissance ou de décès de
Décès :
- Pierre BERTIN, chanteur classique connu sous le nom de Pierre BERNAC, né à Paris le 12 janvier 1899, décédé le 17 octobre 1979
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Recensements (1926-1926)
- Archives notariales (1641-1650)
- Mariages (1793-1922)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Recensements (1906-1906)
Documents numérisés
- Recensements (1881-1881)
- Recensements (1906-1906)
- Recensements (1926-1926)
- Recensements (1921-1921)
- Recensements (1901-1901)
- Recensements (1876-1876)
- Recensements (1896-1896)
- Recensements (1936-1936)
- Recensements (1891-1891)
- Recensements (1886-1886)
- Recensements (1931-1931)
Cimetières
- Cimetière communal de Villeneuve-lès-Avignon (chemin de la Samaritaine)
- Cimetière communal de Villeneuve-lès-Avignon (Chemin des Perrières)
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | de 08h30 à 12h00 | - | - |
Après-midi | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | de 13h30 à 17h00 | - | - | - |
Mairie |
Adresse : 2 rue de la République BP 45 - 30404 VILLENEUVE LES AVIGNON
Tél : 04 90 27 49 49 - Fax : 04 90 25 88 03 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr (mars 2013) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Villeneuve-lès-Avignon - Tome II
Villeneuve-lès-Avignon - Guide du voyageur et notes historiques
Villeneuve-lès-Avignon
- Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, Villeneuve-lès-Avignon, le fort Saint-André et la chartreuse du Val-de-Bénédiction, Paris, Éditions du patrimoine, 2001, 64 pages, ISBN 978-2-85822-638-2
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
- Site de Villeneuve-lès-Avignon
- Site privé sur Villeneuve-lès-Avignon
- Une page sur Fort Saint-André à Villeneuve-lès-Avignon
- Une page sur Villeneuve-lès-Avignon
Notes et références
- ↑ Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, Villeneuve-lès-Avignon, le fort Saint-André et la chartreuse du Val-de-Bénédiction, Paris, Éditions du patrimoine, 2001, 64 pages, ISBN 978-2-85822-638-2
- ↑ Ordre monastique contemplatif, fondé en 1084 par saint Bruno, et aussi appelé ordre cartusien
- ↑ Buanderie avec puits
- ↑ Bernard Sournia, Jean-Louis Vayssettes, Villeneuve-lès-Avignon, le fort Saint-André et la chartreuse du Val-de-Bénédiction, Paris, Éditions du patrimoine, 2001, 64 pages, ISBN 978-2-85822-638-2
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Lieu où se déroule le rasage et le renouvellement de la tonsure
- ↑ Fiche Mérimée - Tour Philippe-le-Bel
- ↑ Fiche Mérimée - Fort Saint-André
- ↑ Le Maitron
- ↑ Assemblée Nationale
- ↑ Le Sénat