26362 - Valence
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Histoire de la commune
Extrait du 'Dictionnaire topographique'
Chef-lieu du département.
Avant 1790, Valence était une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tête des députés du Tiers-état, dans les états généraux de cette province, et cette ville était le chef-lieu d'une élection, d'une subdélégation, d'un présidial, d'une sénéchaussée, d'une université et d'un gouvernement militaire.
Elle formait en outre deux paroisses, dites de Saint Apollinaire et de Saint Jean. L'élection comprenait 80 communautés dont 62 font actuellement partie du département de la Drôme, les 18 autres ayant été comprises dans le département de l'Isère.
La subdélégation comprenait dans son ressort les mêmes communautés que l'élection.
Le Présidial, tribunal d'appel, qui fut établi en 1636, et dont les officiers étaient les mêmes que ceux de la sénéchaussée, avait pour ressort les bailliages du Buis, de Saint Marcellin, de Die, de Saint-Paul Trois-Châteaux, et de Valence, plus les sénéchaussées de Crest et de Montélimar, et la justice royale de Romans, c'est-à-dire tout le département de la Drôme ainsi qu'une partie de l'Isère. Tandis qu'en temps que sénéchaussée, il n'avait que l'appel des juges de Chabeuil et d'Etoile et la connaissance des cas royaux dans les terres et arrière-fiefs des évêchés de Valence et de Die, plus le jugement en première instance, des causes des membres de l'université de Valence.
Le bailliage ou justice-mage de l'évêque – Judex curiae secularie Valentia 1430 (Cart. de Bourg-lès-Valence 135) connaissait en premier ressort de toutes les causes, sur les terres épiscopales et l'on appelait de ses jugements au Présidial, bien qu'aux termes du traité de pariage conclu entre l'évêque et le Dauphin, l'an 1456, ces appels dussent être portés au parlement de Dauphiné. La judicature des appellations, autre tribunal épiscopal, que l'on appelait aussi "cour des appeaux", et qui, supprimée en 1563, fut ensuite rétablie, connaissait en second ressort des causes des terres et seigneuries d'Allex, Fiancey, Montléger, Montélier, Porte et Les Robins, qui étaient des fiefs de l'évêque.
L'Evêché de Valence, qui remonte suivant la tradition, aux saints Félix, Fortunat et Achillée, disciples de Saint Irénée, qui vivaient en l'an 202, mais dont le premier évêque connu est saint Emilien, un des pères du Concile de Sardique (347), était le premier évêque suffrageant de l'archevêché de Vienne, et l'évêché de Die lui fut uni de 1275 à 1687.
Il a été tenu des conciles à Valence en 374, 529, 585, 855, 1100 et 1248. L'évêque de Valence (374) était seigneur temporel de sa ville épiscopale et des villes, bourgs ou villages d'Alan, Beaumont-lès-Valence. Châteauneuf-d'Isère, Cliousclat, Livron, Loriol, Mirmande et Montvendre.
Il s'intitulait dès 1150, comte de Valence et dans la suite Prince de Soyons. Ayant obtenu en 1157 des empereurs germaniques tous les privilèges de la souveraineté dans ses terres, il en jouit jusqu'en 1396, date à laquelle les valentinois, ayant la protection du roi-dauphin, s'engagèrent à lui payer des subsides.
Cet état de choses fut régularisé en 1456 par un traité, aux termes duquel l'évêque de Valence s'étant reconnu le vassal des Dauphins, ses possessions furent incorporées au Dauphiné, sous la réserve de certains droits. Le chapitre de Valence était seigneur temporel d'Allex et se composait d'un doyen, d'un prévôt, qui était en même temps abbé de Bourg-lès-Valence, de l'abbé de Saint Félix, d'un archidiacre et de dix chanoines, y compris le sacristain, le théologal et le précepteur.
Le chapitre de Bourg-lès-Valence, qui se composait de 6 chanoines, sous un prieur, lui fut uni en 1707. Indépendamment d'une abbaye d'hommes (voir Saint Ruf), de deux abbayes de femmes (voir l'Arsenal et Vernaison) et du prieuré de Saint Félix, il y avait encore à Valence comme établissements religieux :
- un couvent de dominicains fondé en 1234
- un de minimes, fondé en 1611 et dont les bâtiments servent d'hôpital
- un de récollets, fondé en 1620
- un de religieuses de Notre-Dame, fondé en 1607 et transféré dans le bâtiment des minimes, maintenant occupé par les visitandines.
- un d'ursulines fondé en 1640
- une commanderie de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem (voir le Polygone)
- un Hôtel-Dieu et un Hôpital général, formé en 1637 de la réunion de plusieurs autres hôpitaux
- enfin un séminaire fondé en 1639 et dont les bâtiments sont occupés maintenant par le collège communal.
L'université de Valence fut fondée en 1452 par le dauphin Louis XI. L'évêque de cette ville était le chancellier-né. Elle se composait d'une faculté de droit, avec quatre chaires, d'une faculté de théologie avec deux chaires, d'une faculté de médecine avec une chaire (une deuxième ayant été supprimée en 1756), enfin d'une faculté des arts avec deux chaires.
Le gouvernement militaire de Valence comprenait : un gouverneur et un commandant. Il y avait en outre, depuis 1777, une école d'artillerie commandée par un maréchal de camp.
Au point de vue féodal, Valence appartenait à son évêque ; mais les habitant de cette ville jouissaient dès le XIVe siècle, de franchises par l'intermédiaire de quatre syndics ou consuls, élus chaque année, le 25 avril, dont l'un était gentilhomme, le second bourgeois, le troisième marchand ou artisan et le dernier laboureur.
En 1790 Valence devint le chef-lieu du département de la Drôme, et celui d'un district comprenant les cantons de Bourg-lès-Valence, Chabeuil, Etoile, Loriol, Montélier, Rochefort-Samson, Tain et Valence ; cette ville a elle seule formant un canton. La réorganisation de l'an VIII réunit les districts de Romans et de Valence pour en faire un arrondissement de ce dernier nom, comprenant les cantons de Bourg-de-Péage, Chabeuil, Le Grand-Serre, Loriol, Romans, Saint Donat, Saint Jean-en-Royans, Saint Vallier, Tain et Valence.
Pour ce qui est du canton de Valence, il fut alors composé des communes de : Beaumont, Etoile, Fiancey, Montléger, La Vache et Valence ; la commune de Saint Marcel-lès-Valence, créée en 1850, en fait également partie. En 1474 la population de Valence se composait de 3402 familles et en 1790 de 1370. Les armoiries de la Ville sont : de gueules à la croix d'argent, chargée en cœur d'une tour d'azur.
Le diocèse de Valence (in episcopatu Valentinensis, Xe siècle, Cart. de Romans) comprenait 101 paroisses dont 35 sont comprises actuellement dans le département de l'Ardèche, les 66 autres étant dans notre département (arr. de Valence, de Die et de Montélimar). Le diocèse de Valence fut augmenté du département de l'Ardèche en 1801, mais le rétablissement de l'évêché de Viviers en 1817 a ramené ce diocèse à la circonscription de 1790.
Héraldique
- "De gueules, à la croix d'argent, chargée d'une tour ronde d'azur, ouverte, ajourée et crénelée, avec deux griffons naturels en support ayant pour devise en liston "Unguibus et rostro" (par le bec et par les ongles).
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Drôme
- Arrondissement - 1801-2024 : Valence
- Canton - 1801-1964 : Valence --> 1964-1973 : Valence-Nord et Valence-Sud --> 1973-1984 : Valence-1 ; Valence-2 et Valence-3 --> 1984-2024 : Valence-1 ; Valence-2 ; Valence-3 et Valence-4
- Commune - 1801-2024 : Valence
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
- Le Centre du Patrimoine Arménien raconte l’histoire singulière des Valentinois d’origine arménienne
La Cathédrale Saint Apollinaire
Elle a été bâtie à la fin du XIème siècle dans un style qui mêle des réminiscences antiques à l'influence des régions voisines. |
Le Champs de Mars
Située en plein centre ville, cette promenade offre au regard ses fontaines, ses grandes pelouses, ses jardins d’arbustes aromatiques, de nombreux arbres et quatre kiosques-pergola.
La Chapelle des Capucins
Les frères mineurs Capucins, principaux artisans de la Contre réforme, s’installent au nord de la ville basse de Valence, au début du XVIIe siècle et y construisent un couvent, doté d’une chapelle.
La Chapelle des Cordeliers
Les Cordeliers s’installent à Valence dès le début du XIIIème siècle et construisent leur couvent au nord de la ville. En 1567 l'établissement monastique est occupé et incendié par les protestants. Puis une nouvelle chapelle et de nouveaux bâtiment sont réédifié à proximité. En 1581 le roi décide de la construction d'une citadelle sur une partie du terrain de la communauté. Au XVII ème siècle il décide d'un nouvelle établissement monastique. La chapelle, consacrée le 6 novembre 1696 a survécu aux destructions postérieures. Au XVIIIe siècle les bâtiments en partie en ruine sont rasés. La chapelle est utilisée comme magasin à fourrage jusqu'au XIXe siècle. Après la seconde guerre mondiale elle a servie aux archives départementales. |
La chapelle est inscrite aux M.H depuis 1983 [1]
Les Châteaux d'eau
En 1963, la Ville de Valence fait appel au sculpteur grec Philolaos pour créer des réservoirs d'eau pas comme les autres...
L'église Saint-Jean
La tour-porche romane du XIIème siècle, partie la plus ancienne de l'édifice, a été remaniée au XIXème siècle.
L'église est inscrite partiellement aux M.H depuis 1978[2]
L'église Notre-Dame
En réponse à l’accroissement de la population urbaine hors les murs de la ville ancienne, la nouvelle paroisse de Notre-Dame est créée en 1858.
Les fontaines monumentales
Les fontaines, reflet urbain des préoccupations hygiénistes du XIXe siècle, contribuent tout autant à l'agrément de la ville qu’aux progrès en matière de santé publique.
La gare SNCF
La gare de Valence Ville à été construite en 1865, réalisée par l'architecte Louis Jules Bouchot
L'Hôtel de Ville
La construction de l'hôtel de ville fût terminée le 16 décembre 1894.
L'édifice de style néogothique est du à l'architecte valentinois Ernest TRACOL.
Le beffroi, clocher laïque symbolisant l’indépendance de la ville par rapport à l’Église catholique est édifié en pierre de tuf. Il fut achevé en 1903.
Le kiosque Peynet
En 1862 est érigé sur le Champ de Mars un premier kiosque à musique, qui sera remplacé en 1890 par celui que nous connaissons aujourd’hui, conçu par Eugène POITOUX.
- Une belle histoire d'amour sur papier glacé a débuté un soir de 1942.
Raymond PEYNET fait étape à Valence ; ses pas le conduisent jusqu'au Champ de Mars, où, séduit par la beauté du lieu, il immortalise le délicat pavillon de musique.
Devenu célèbre, il revint à Valence en 1966 pour baptiser le pavillon qui porte désormais son nom.
Le monument est classé aux monuments historiques en 1982[3].
Maison Dupré-Latour
- Édifiée vers 1522, cet hôtel particulier de la famille Genas est remarquable pour le décor italianisant de sa tourelle d'escalier (sur cour).
La maison Mauresque
Bâtiment situé rue Gaston Rey.
Charles FERLIN, industriel, achète un terrain le 1er juillet 1858 pour y faire construire un immeuble aux caractères très particulières.
Il fait appliquer sur la façade un trompe l’œil grâce à la technique du ciment moulé, qui permet de créer des décors (effets de niche et de décorations florales).
La maison des têtes
Bâtiment situé au 57 Grande Rue.
Construite au début du XVIème siècle vers 1530 par Antoine De DORNE, Consul de Valence et professeur de droit à l'Université, cette maison marque le passage du style gothique flamboyant à celui de la Renaissance. Elle doit son nom à la présence de nombreuses têtes sculptées qui ornent sa façade. Les sculptures en façade symbolisent les vents, la Fortune, le Temps, ou encore la théologie, le droit ou la médecine. le corridor est orné de bustes d'empereurs romains. Sous la galerie de la cour intérieure, les Pères de l'église sont figurés dans des médaillons.
A la fin du XVIIe elle appartient à Marc AURÈLE qui est appelé par Napoléon en qualité d'imprimeur en chef de l'armée d'Égypte.
La maison abrite le service municipal "Valence Ville d'Art et d'Histoire".
La maison est classée aux M.H depuis 1944 [4]
Temple Saint-Ruf
Édifice situé Rue Saint-James. Ancienne église catholique dédiée à l'origine à Saint-Jacme (forme occitane de Jacques). Devenu Saint-James, puis église abbatiale de l’abbaye Saint-Ruf de Valence. Depuis 1806 elle est affectée au culte protestant. |
Le Pendentif
Bâtiment situé place du Pendentif.
Dans le cloître de la Cathédrale fut érigé en 1548 le monument funéraire du Chanoine MISTRAL.
Le monument est réalisé en "molasse" (pierre sédimentaire).
Vendu comme bien national en 1796, la crypte est utilisés jusqu’à la fin du XVIIIe siècle comme cave et le pendentif comme échoppe de restaurant.
En 1832, il est vendu aux enchères et acquit par la ville.
Depuis 1840 il est classé aux M.H [5]
Repères géographiques
A mi-chemin entre Lyon et Avignon, Valence bénéficie d’une situation géographique exceptionnelle, véritable relais sur le grand axe rhodanien (TGV, Paris-Lyon-Marseille ; autoroute A7 ou A49 ; Nationale 7) et plaque tournante des échanges entre les Alpes et le Massif Central.
Carte sur ViaMichelin de : Valence
En photos
Cartes postales
Photos
Ville de naissance ou de décès de
- Émile AUGIER, écrivain né le 17 septembre 1820, décédé à Croissy-sur-Seine (Yvelines) le 25 octobre 1889
- Didier CAMBÉRABÉRO, rugbyman né le 9 janvier 1961
- Sébastien CHABAL, rugbyman né le 8 décembre 1977
- Delphine CHANEAC, actrice née le 14 novembre 1978
- Louis NICOLLIN, homme d'affaires et dirigeant sportif né le 29 juin 1943
- Florent PEYRE, humoriste né le 14 mai 1980
- Jacques TARDI, dessinateur de bandes dessinées né le 30 août 1946
- Marie-Louise TERRASSE, téléspeakrine des années 60 sous le nom de Catherine LANGEAIS, née le 9 août 1923, décédée à Paris le 23 avril 1998
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 6 633 | 7 532 | 8 212 | 9 805 | 10 406 | 10 967 | 13 407 | 13 901 | 16 122 | 16 875 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 18 711 | 20 142 | 20 668 | 23 220 | 24 502 | 24 761 | 25 283 | 26 212 | 26 946 | 28 112 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 28 706 | 28 654 | 30 964 | 34 275 | 36 582 | 40 020 | 41 470 | 52 532 | 62 358 | 68 604 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 66 356 | 63 437 | 64 260 | 65 263 | 63 148 | 62 477 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2013.
Notables
- La maison PIC a plus d'un siècle. Quatre personnalités fortes s'y sont succédées, deux femmes et deux hommes, une vraie famille.
- Anne-Sophie PIC, qui ne se destinait pas à la cuisine, a finalement repris les rênes de la maison familiale en 1995, succèdant à son arrière grand-mère, son grand-père et son père. Anne-Sophie est née le 12 juillet 1969.
- Raymond PEYNET : en 1942, de passage à Valence dans la Drôme, Raymond Peynet, dessine pour la première fois, près du kiosque à musique de Valence, crée par l’architecte Poitoux en 1890 pour une somme de 18 000 francs, ses deux amoureux.
- Un jour la mairie de Valence a voulu détruire le kiosque pour une quelconque opération immobilière, mais un conseiller municipal ayant lu quelque part cette histoire de kiosque, s’opposa avec force à la démolition.
Depuis, Le Kiosque des Amoureux de Peynet, c’est son nom, est devenu monument historique.
- Jean-Étienne VACHIER dit CHAMPIONNET, est né le 13 avril 1762 à Alixan et décédé en 1800 à Antibes suite au typhus contracté pendant la campagne d'Italie. Son cœur, déposé dans une urne offerte par Bonaparte, se trouve dans le Temple Saint-Ruf. Sa statue, réalisée par Victor SAPPEY, inaugurée en septembre 1848, s'élève sur le Champ de Mars. Elle fut descendue de son piédestal le 5 avril 1944 pour être enterrée dans la cour du musée jusqu'à la fin de la guerre, afin d'éviter la réquisition du métal par les occupants.
- Napoléon BONAPARTE a été en garnison au sein du régiment d'artillerie de La Fère de septembre 1785 à octobre 1786, puis de mai à octobre 1791. Une statue de Jean Paul RAVIT réalisé en 2010 et une fontaine rappellent ces séjours.
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
François Marcellin PINET de LAVOCÉ | 1803 - 1818 | |
Joseph Antoine FERLAY | 1851 - 1870 | |
Jean-François MALIZARD | 1894 - 1896 | |
Henri CHALMET | 1896 - 1919 | |
Henri PERDRIX | 1919 - 1928 | |
Jules ALGOUD | 1928 - 1934 | |
René PERCHERO | 1934 - 1944 | |
Jean BUCLON | 1944 - 1947 | |
Camille VERNET | 1947 - 1957 | |
Jean PERDRIX | 1957 - 1971 | |
Ribadeau-DUMAS | 1971 - 1977 | |
Rodolphe PESCE | 1977 - 1995 | Président du Conseil général de la Drôme de 1985 à 1992 - Conseiller général de Valence 3 de 1973 à 1994 - Officier de la Légion d’honneur[6] - Député de la Drôme de 1978 à 1988 [7] |
Patrick LABAUNE | 1995 - 2004 | |
Léna BALSAN | 2004 - 2008 | |
Alain MAURICE | 2008 - 2014 | |
Nicolas DARAGON | 2014 - (2020) | |
- | - |
Source: France Gen Web
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
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Les curés de Jean
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Joseph Narcisse RAYMOND | 1887- | Ex curé de Romans-sur-Isère[8] |
- | - | |
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Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
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Les titulaires de la Légion d'honneur
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations | |
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Charles BARON | 16 mai 1876 | - | Dossier - Député des Basses-Alpes - Ancien élève de l'École Polytechnique - Ingénieur des Poudres et Salpêtres - Chevalier de la Légion d'honneur - Officier de l'Instruction Publique - Chevalier du Mérite Agricole - Époux de Mlle Royer Deloche | |
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Émigration
Émigration en Tunisie
- Jean Louis Léonce BELLIER DU CHARMEIL :
- Il est né en cette commune le 14 mai 1886 et est décédé le 29 juin 1975.
- Il est le fils de Louis Joseph Antoine BELLIER DU CHARMEIL et de Marie Sophie Mathilde MALET.
Monument aux morts
- Article détaillé : Valence - Morts aux guerres
Mort pour le service de la Nation
- Norbert AMBROSSE
- Né le 22-09-1968 à Valence - Mort pour le service de la Nation le 24-06-2007 à Givors (Rhône)
- Lieutenant-colonel à la brigade de gendarmerie (BG)
- Mention Mort pour le service de la Nation attribuée par l'ONAC de Caen en date du 6 novembre 2013
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1902-1932)
- Autres (1773-1774)
- Mariages (1813-1872)
- Mariages (1873-1901)
- Mariages (1792-1812)
- Recensements (1911-1911)
Documents numérisés
- Archives Privées Galbert/Tinel (partiel) (1667-1722)
- Archives privées famille Serment (partiel) (1683-1687)
- Me BLACHE Henri notaire à Valence (26). Transcription disponible sur (1773-1774)
- Minutes Me GENTALAIN notaire à Valence (1549-1550) (1549-1550)
- Médaillés Drômois de l'ordre de Saint Hélène (1857) (1857-1857)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de l'Hôtel de Ville
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h00-12h00 | 8h00-12h00 | 8h00-12h00 | 8h00-12h00 | 8h00-12h00 | 8h30-12h00 | - |
Après-midi | 12h00-17h00 | 12h00-17h00 | 12h00-17h00 | 12h00-17h00 | 12h00-17h00 | - | - |
Hôtel de Ville |
Adresse : Place de la Liberté - 26000 VALENCE
Tél : 04 75 79 20 00 - Fax : 04 75 79 20 69 Courriel : Site internet : Site de la Mairie GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : Site de la Mairie (Avril 2011) |
Adresse des Mairies de quartiers
Pour Connaître les horaires, téléphoner à ces mairies
- Mairie annexe de Fontbarlettes
- 36 B rue Biberach
- Tél. 04 75 79 24 52
- Mairie annexe du Plan(actuellement fermée)
- MPT du Plan
- Tél : 04 75 43 37 48
- Mairie annexe de Valence-sud
- 28, rue Albert Thomas
- Tél. 04 75 81 14 22
Archives & Dépouillements des registres paroissiaux
Etat Civil Récent
Archives notariales
Patronymes
Remarques
De nombreux ressortissants arménien viennent se réfugier à Valence, après le génocide (1918-1921). Aujourd’hui, un Valentinois sur dix est originaire d’Arménie.
Bibliographie
- Qui êtes-vous ? - Volume 3 - C. Delagrave (Sur Google Books)
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références