26220 - Nyons
Nyons | |
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Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | |
Canton | ![]()
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Code INSEE | 26220 |
Code postal | 26110 |
Population | 6742 habitants (2016) |
Nom des habitants | Nyonsais, Nyonsaises |
Superficie | 2345 hectares |
Densité | 287.51 hab./km² |
Altitude | Mini:234 m |
Point culminant | 940 m |
Coordonnées géographiques |
44.36027777° / 5.13972222° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
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Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Sommaire
Histoire de la commune
- Les premiers hommes à peupler le territoire à l'époque celtique sont les Voconces[1].
- La petite agglomération étant située sur la Voie des Alpes, voie romaine allant de Vaison-la-Romaine à Luc-en-Diois, des Romains s'installent également et laissent quelques traces de leur habitat et de leurs sépultures.
- Au VIe siècle se construit un couvent ; tandis qu'aux VIIIe et Xe siècles ont lieu quelques invasions (notamment par les Sarrazins).
- La première mention de la cité date de l'an 972, lorsque l'église est donnée à l'abbaye Saint-Césaire d'Arles.
- La seigneurie, située dans le Dauphiné de Viennois, passe de mains en mains, puis devient une puissante baronnie au XIIIe siècle.
- En 1315, le dauphin Jean II de Viennois (1280-1319) accorde des privilèges aux habitants. Mais à partir de 1349, le domaine passe aux mains du roi dauphin Philippe VI de Valois. Durant le XIVe siècle, avec la proximité des papes en Avignon, la cité devient prospère : des halles sont construites ainsi que le pont sur l'Eygues.
- Au XVIe siècle, une forte communauté protestante s'impose dans la ville. Il s'ensuit forcément de gros troubles lors des guerres de religion. En conséquence il est décidé de construire une citadelle (entre 1580 et 1585). Quant au château des Dauphins, il est peu à peu démantelé. En 1598, une fois signé l'Édit de Nantes, une partie de la population émigre.
- En 1633, sur décision du roi Louis XIII, la citadelle est démolie.
- Suite à la Révolution, Nyons devient chef-lieu de canton.
- Au XIXe siècle la population augmente ; la ville se développe et se dote de nouvelles infrastructures, y compris une ligne de chemin de fer en 1897. Mais des difficultés économiques rencontrées au siècle suivant favorisent un nouvel exode.
- Durant la seconde guerre mondiale, les habitants œuvrent activement dans la Résistance.
Héraldique
Blason d'Hozier : « D'argent au château donjonné de trois tourelles de gueules, celle du milieu plus haute, le tout ouvert, ajouré et maçonné de sable »
Blason actuel : « D'or au château donjonné de trois tourelles de gueules, celle du milieu plus haute, ouvert du champ, ajouré et maçonné de sable; à la filière de gueules»
Les armories existent depuis les années 1450.
Les tours font allusion à la puissance de la cité médiévale. Le donjon central « marque la suzeraineté de Nyons comme chef-lieu des Baronnies »[2].
Par ailleurs, la ville a pris pour devise « Turris fortitudo mea », qui se traduite par "je tiens ma force de la tour".
Toponymie
La première forme connue est celtique : Noiomagus ou Noviomagus, ayant le sens de "nouveau marché".
Les autres formes sont nombreuses, en voici quelques unes : Niomes dans la citation de 972, Niomis puis Nihons au XIVe siècle, Nionoe au XVIe.
Nyons à partir de 1891
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Drôme
- Arrondissement - 1801-2023 : Nyons
- Canton - 1801-2015 : Nyons --> 2015-2023 : Nyons et Baronnies
- Commune - 1801-2023 : Nyons
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Château Vieux
Il s'agit de l'ancien château féodal, appelé aussi château delphinal. Il fut édifié du Xe au XIIIe siècle sur le rocher du Maupas, à l'extrémité méridionale de la ville pour la défendre, protégeant notamment le monastère.
Il a été remanié au XVIIe siècle et restauré au XXe. Si le donjon est en partie démantelé, il subsiste néanmoins la façades avec ses deux tours rondes.
Le château est inscrit aux monuments historiques[3]
Tour Randonne
La Tour Randonne est édifiée sur un rocher, vers 1280, à l'initiative de la Baronne de Montauban, afin de témoigner de la puissance de la baronnie. Elle correspond alors à un donjon carré et sert de prison du château.
C'est ensuite le chanoine Francou, curé de Nyons, qui en devient le propriétaire. Il reconvertit la Tour en chapelle en y faisant ajouter une pyramide d'arcades sur trois niveaux, surmontés d'une statue de la Vierge (de 3,50 m de haut). Le résultat est l'œuvre de quatre personnes : l'architecte A. Boisson, l'entrepreneur et sculpteur M. Clément ainsi que l'abbé Abel d'Aiguebelle, et le peintre Léon Alègre.
La chapelle est baptisée Notre-Dame de Bon Secours et est bénie le 3 mai 1863 par Monseigneur Lyonnet, évêque de Valence.
À l'intérieur se trouve un tabernacle en forme de temple, datant de la fin du XVIIe siècle. Tout en bois sculpté, peint et doré, il est classé au titre des objets historiques depuis 1997[4].
D'autres objets sont simplement inscrits à ce titre.
Pont Roman
De pur style roman, ce pont avec une arche unique de 43 mètres de long s’élève à plus de 18 mètres de haut.
Construit à partir de 1340, il est achevé en 1409 et béni cette année-là par l'évêque de Vaison-la-Romaine.
Au milieu du XIXe siècle, une tour carrée se trouvait au milieu pour servir de péage. Et deux chapelles marquaient les extrémités : Saint-Sébastion sur la rive droite et Saint-Sixte sur l'autre rive.
Pendant longtemps, pour y accéder, il fallait emprunter le chemin de Mirabel qui passait en-dessous du pont ; ce qui a donné naissance au dicton « À Nyons, pour passer sur le pont, il faut d'abord passer dessous ». Le raccordement au niveau actuel ne s'est réalisé qu'en 1868.
Le pont est classé aux Monuments historiques depuis 1925[5] ; un timbre poste lui est dédié.
Quartier des Forts et Place des Arcades
- Cet ancien quartier féodal s'allonge le long d'une butte, enserrée entre la rue des Grands Forts et celle des Petits Forts, rues parallèles entre elles et reliées par des ruelles taillées dans le roc.
- La rue des Grands Forts correspond à l'ancien chemin de ronde, couvert, et en a gardé quelques ouvertures de surveillance.
- La place des Arcades est née, au XIVe siècle, du projet des Dauphins d'aérer la ville et surtout de créer un espace favorisant les échanges commerciaux avec Avignon ou encore l'Italie.
- S'y tenaient notamment des marchés aux cocons de soie, et des foires. Un de ses accès se fait par la porte Saint-Jacques, la seule subsistante des quatre entrées dans l'enceinte médiévale.
- La place porte aujourd'hui le nom de place du Docteur Bourdongle, mais continue à être appelée place des Arcades. Elle est classée aux Monuments historiques.
Église Saint-Vincent
- L'église actuelle est le quatrième édifice élevé à cet endroit. Elle a en effet été précédée par l'édifice cité en 972 dans la donation à l'abbaye arlésienne Saint-Césaire, l'église romane des XIe et XIIe siècles, puis l'édifice gothique du début du XVIe siècle détruit lors des guerres de religions.
- L'église présente est construite en 1614, tout en gardant dans un angle la base du mur de l'ancienne chapelle des moniales (XVIe siècle). Et en conservant également, en guise de clocher, l'ancienne tour de défense du XIVe qui surveillait une des portes et est devenue par la suite un beffroi. À son sommet se trouvait une pyramide de pierres, tombée lors d'un ouragan. Un campanile y a été dressé en 1785.
- En façade, une niche abrite une statue de la Vierge à la coquille, récupérée de l'ancien couvent des Récollets, et classée au titre d'objet historique en 1905[6].
- La nef à vaisseau unique comporte cinq travées, suivies d'un chœur plus étroit et d'un chevet plat. Tout autour de la nef s'ouvrent dix chapelles terminées seulement en 1705.
- Si le mobilier n'a rien d'extraordinaire, la décoration, elle, est abondante : de nombreux tableaux sont classés, notamment ceux de Guy François qui s'est inspiré du peintre Le Caravage et ceux de Guillaume Perrier.
- Au-dessus du maître-autel, une peinture représente saint Vincent, patron de l'église. Elle est insérée dans un portique-retable, daté du XVIIe siècle et est classée au titre d'objet historique depuis 1905[7].
Fontaine nyonsaise monumentale
- Fontaine construite en 1871 en pierres de taille de Chomérac.
Fontaine de la Poumo
- « Fontaine de la pomme », se trouve place du colonel Barillon.
Fontaine des Trois Roys
Cette fontaine a été installée en 2011 lors du réaménagement de la place Joseph Buffaven.
Elle met en valeur une pierre armoriée qui a été donnée à la ville par les familles Pellisier et Vérilhac. Pierre qui provient du château de Bressieux en Isère et a été ramenée au château de Meyne à Nyons.
Cette pierre présente les armoiries de diverses familles, dont celle du Marquis Louis Gabriel d'Urre-Brottin, et trois têtes de lion couronnées, d'où l'origine du nom de la fontaine.
Repères géographiques
Nyons se situe dans les Baronnies[8] à 40 kilomètres au sud-Est de Montélimar.
La vieille ville s'est nichée dans une cuvette à flanc de colline, sur la rive droite de l'Eygues, affluent du Rhône.
Cette situation lui permet de bénéficier d'un microclimat très ensoleillé et tempéré, « qui lui vaut son surnom de "Petit Nice" »[9]. Ce climat, propice à la culture des mûriers à soie par un moment, est maintenant le lieu de prédilection de la culture de l'olive noire, plus particulièrement la variété "la Tanche", qui fait la renommée de la ville.
- Carte sur ViaMichelin de : Nyons
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1820 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 700 | 2 724 | 2 744 | 3 040 | 3 397 | 3 208 | 3 251 | 3 450 | 3 590 | 3 633 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 653 | 3 611 | 3 623 | 3 579 | 3 222 | 3 534 | 3 349 | 3 611 | 3 638 | 3 514 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 507 | 3 150 | 3 157 | 3 246 | 3 500 | 3 576 | 3 637 | 4 270 | 4 982 | 5 607 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 6 061 | 6 353 | 6 723 | 7 065 | 6 791 | 6 742 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011 & 2016.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
- | - | |
Jacques TROPHE-DESPLANS | 1790 - 1791 | |
Alexandre FAUVIN | 1791 - 1795 | |
Jean François MAGNAN | 1795 - 1797 | |
Jean François VIGNE | 1797 - 1798 | |
Joseph GUILINY | 1798 - 1798 | |
Daniel VIAL | 1798 - 1799 | |
Pierre VIGNE | 1799 - 1815 | |
Louis MARCEL | 1815 - 1821 | |
Alphonse DEYDIER | 1821 - 1830 | |
Ferdinand VIGNE | 1830 - 1840 | |
François Auguste ROCHAS | 1840 - 1848 | Né le 19 avril 1787 aux Les Tonils, décédé le 25 août 1864 à Nyons, à l’âge de 77 ans Avoué, maire de Nyons [10] |
Ferdinand VIGNE | 1848 - 1860 | Ferdinand Vigne a été maire de Nyons de 1848 à 1860 [11] |
Jean Henri LONG | 1860 - 1866 | |
Charles FAURE | 1866 - 1869 | |
Camille RICHARD | 1871 - 1873 | |
Jean Henri LONG | 1873 - 1876 | |
Camille RICHARD | 1876 - 1877 | |
Jean Henri LONG | 1877 - 1877 | |
Camille RICHARD | 1877 - 1881 | Conseiller général |
Paul LAURENS | 1881 - 1901 | Sénateur de 1893 à 1901 [12] - maire de Nyons en 1881[13] Médecin, né le 27 septembre 1847 à Venterol et décédé le 17 novembre 1901 à Nyons Décoré de la Légion d'honneur, le 30 mars 1888 - Conseiller général |
Félix JOUET | 1901 - 1908 | |
Pierre VIGNE | 1905 | Source[14] |
Jules SEMAYNE | 1908 - 1909 | |
Jules BERNARD | 1909 - 1912 | |
Henri ROCHIER | 1912-1933 | Conseiller général |
Jules BERNARD | 1934-1939 | Conseiller général - Décès |
Henri DEBIEZ | 1939-1941 | |
Léopold BONFILS | 1941-1944 | |
Jean CHAIX | 1944-1947 | Conseiller général |
Henri DEBIEZ | 1947-1965 | |
Pierre JULIEN | 1965-1977 | Conseiller général |
Jean ESCOFFIER | 1977-1989 | Conseiller général |
Jean MONPEYSSEN | 1989-1995 | Né en 1920 - Conseiller général - Décédé le 11 septembre 2020 dans sa 100e année |
Michel FAURE | 1995-2001 | Conseiller général du canton de Nyons de 1992 à 2004 |
Pierre COMBES | 2001-(2026) | Conseiller général |
- |
Cf : https://m.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-nyons.html
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Article détaillé : Consulter la liste des notaires ...
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
Pierre Joseph Gustave BLANC-MONTBRUN | 1848- | Source[15] |
Jean Joseph Étienne FRANCOU | 1851- | Ex curé de Séderon[16] - Nommé archiprêtre de Nyons le 19 octobre 1851 - Il est à l'initiative de la transformation de la Tour randonne en chapelle Notre-Dame de Bon Secours (en guise de remerciement pour avoir été guéri d'une maladie) |
- | - | |
Joseph Philippe Jacques RIMET | 1884-1892 | Puis curé de Chabeuil [17] |
Joseph Augustin GRENIER | 1892- | Source[18] |
- | - |
Les titulaires de la Légion d'honneur
Article détaillé : Consulter la liste …
Ville de naissance ou de décès de
- René BARJAVEL, écrivain né ici le 24 janvier 1911, décédé à Paris le 24 novembre 1985
- Philis de la CHARCE, née à Montmarin le 5 janvier 1645, décédée ici le 4 juin 1703. Protestante, convertie au catholicisme, elle est connue pour sa bravoure et son héroïsme lors des combats locaux pour libérer le Dauphiné. Un mausolée lui est dédié dans l'église Saint-Vincent.
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Décès (1923-1932)
- Décès (1933-1942)
- Mariages (1803-1812)
- Naissances (1913-1922)
- Mariages (1902-1913)
- Recensements (1911-1911)
- Décès (1913-1922)
- Mariages (1843-1852)
- Mariages (1937-1942)
- Décès (1902-1913)
- Mariages (1793-1802)
- Mariages (1923-1932)
- Mariages (1813-1822)
- Mariages (1913-1922)
- Mariages (1823-1832)
- Naissances (1902-1913)
- Naissances (1923-1932)
- Naissances (1933-1937)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
- Mariages (1933-1937)
Documents numérisés
- mariages (1833-1842)
- mariages (1923-1932)
- naissances (1902-1913)
- mariages. Relevé disponible sur (1793-1802)
- mariages (1843-1852)
- mariages (1933-1937)
- Mariages. Voir le relevé sur Geneanet (1863-1872)
- décès (1902-1913)
- mariages (1913-1922)
- mariages (1902-1913)
- décès (1933-1942)
- mariages. Voir les relevés sur . (1873-1882)
- naissances (1933-1937)
- mariages (1803-1812)
- Mariages. Relevé disponible sur (1813-1822)
- décès (1923-1932)
- mariages (1883-1892)
- naissances (1923-1932)
- naissances (1913-1922)
- décès (1913-1922)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8 h - 12 h | 8 h - 12 h | 8 h - 12 h | 8 h - 12 h | 8 h - 12 h | - | - |
Après-midi | 13 h 30 - 16 h 30 | 13 h 30 - 16 h 30 | 13 h 30 - 16 h 30 | 13 h 30 - 16 h 30 | 13 h 30 - 16 h 30 | - | - |
Mairie |
Adresse : Place Joseph-Buffaven - BP 103 - 26110 NYONS
Tél : 04 75 26 50 00 - Fax : 04 75 26 31 79 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr (juin 2013) |
- Ouverture des archives au public les :
- Mercredi, jeudi et vendredi de 14 h à 16 h 30.
- - Les tables décennales et les BMS ne sont pas communicables car en trop mauvais état.
- - Si on veut consulter les TD ou lire les BMS, il faut se rendre aux AD de Valence.
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Nyons (Histoire de)
Guide du Nyonsais avec excursions à Vaison, Valréas et Grignan
Histoire de Nyons
Nyons
- Guide Michelin 2020, Les 100 plus beaux détours de France, Puteaux
- Divers panneaux du parcours touristique dans la ville
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ Tribus gauloises qui s'installent dans les Préalpes et sont chassées par les Romains au IIème siècle après Jésus-Christ
- ↑ Blason et devise de Nyons
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Palissy
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Base Palissy
- ↑ Base Palissy
- ↑ Un des massifs des Pré-Alpes
- ↑ Guide Michelin 2020, Les 100 plus beaux détours de France, Puteaux
- ↑ Geneanet ; arbre de Janine CORDEIL JURADO
- ↑ Bulletin de la Société d'archéologie et de statistique de la Drôme - 1918 (SER2,T1)
- ↑ Le Sénat
- ↑ Bulletin de la Société de l'histoire du protestantisme français - 1909
- ↑ Bulletin d'archéologie et de statistique de la Drôme v.39 1905
- ↑ Archives
- ↑ Archives
- ↑ Archives
- ↑ Archives
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