21154 - Châtillon-sur-Seine

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Châtillon-sur-Seine
Blason de Châtillon-sur-Seine
Informations
Pays Portail-regionalisme-FRA.png    France
Département 21 - Blason - Côte-d'Or.png    Côte-d'Or
Métropole
Canton Blason Châtillon-sur-Seine-21154.png   21-05   Châtillon-sur-Seine

Blason Châtillon-sur-Seine-21154.png   21-08   Châtillon-sur-Seine (Ancien canton)

Code INSEE 21154
Code postal 21400
Population 5 354 habitants (2018)
Nom des habitants Châtillonnais, Châtillonnaises
Superficie 3 315 hectares
Densité 161.51 hab./km²
Altitude Mini : 211 m
Point culminant 298 m
Coordonnées
géographiques
47.8583° / 4.5741° (GoogleMaps) Cassini
Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)
Localisation (avant 2015)
21154 - Châtillon-sur-Seine carte administrative.png
          Arrondissement                 Canton                 Commune      ?
Section Tableau : Modifier

Histoire.png Histoire de la commune

  • Il subsiste de nombreuses traces témoignant d'une occupation humaine lors de la Préhistoire. Les plus importantes sont celles d'un oppidum sur le mont Lassois. En effet, une « tombe princière du premier âge du fer »[1] a été découverte au pied de cet oppidum. Cette sépulture a livré un véritable trésor, dont le célébrissime vase de Vix.
La peuplade gauloise des Lingons[2] a ensuite occupé le territoire jusqu'à l'arrivée des Romains.
  • Vers le VIIIe siècle après J.C. les habitations glissent peu à peu de la butte vers son contrebas, où s'épanouit la ville actuelle. Sur la colline est construit un château-forteresse du nom de Castell, entouré de fortifications, qui deviendra une place-forte des ducs de Bourgogne.
À la fin du siècle suivant, Châtillon-sur-Seine accueille les reliques de saint Vorles[3] et devient un lieu de pèlerinage.
  • Au Xe siècle la ville se répartit en deux quartiers distincts : le Bourg sur la rive droite de la Seine, dominé par l'église Saint-Vorles qui est en train de s'élever; et Chaumont sur la rive gauche, avec le château de la famille Marmont. Le bourg connait alors un fort développement grâce à l'industrie et au commerce de draperies.
  • Dans la deuxième moitié du XIIe siècle, la cité s'entoure d'autres fortifications, ce qui n'empêche pas Philippe Auguste d'assiéger le château en 1184.
Du XIVe au XVIe siècles, la ville doit affronter successivement la Guerre de Cent ans, l'invasion et le pillage des Huguenots, et deux épidémies de peste.
  • À la fin du XVIe siècle, les deux quartiers s'unissent pour élire un maire commun. Cette réunification sera entérinée en 1638 par Louis XIII. Le château est peu à peu démantelé.
  • En 1790, Châtillon-sur-Seine devient chef-lieu de district et dix ans plus tard, chef-lieu d'arrondissement.
  • En 1814, la ville est le théâtre de négociations entre les représentants des puissances alliées et Napoléon, représenté par Caulaincourt. Mais Napoléon « rompt les négociations »[4], empêchant de ce fait d'établir une paix durable avec les pays concernés. De là découle le surnom momentané de "ville impériale".
  • Le XIXe siècle est une période d'industrialisation et de plein essor, avec notamment le développement des carrières de pierre, de la sidérurgie et l'installation d'une gare desservie par trois lignes différentes. Mais l'année 1870 est marquée par de terribles affrontements entre l'Armée des Vosges et les Prussiens, se soldant par des représailles de la part de ces derniers.
  • En 1914, le maréchal JOFFRE établit son quartier général dans la ville, plus précisément dans le Couvent des Cordeliers. Et c'est de là qu'il dirige l'offensive débutant la Bataille de la Marne, ordonnée le 5 septembre de la même année.
  • En 1940, les bombardements détruisent une grande partie de la ville.
  • Au XXe siècle, l'activité industrielle diminue peu à peu. Les efforts portent alors sur d'autres secteurs : la filière bois et la viticulture.

Héraldique

Apposé sur une stèle près du monument aux morts.
Photo B.ohland


  • De gueules au château en perspective de quatre tours d'argent, portillé du même et maçonné de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or (de France moderne). [5]
Pictos recherche.png Article détaillé : Voir la page du blason de Châtillon-sur-Seine ...


  • Les quatre tours font bien sûr référence au château des ducs de Bourgogne, érigé au Xe siècle sur la colline du Bourg.


Toponymie

Le toponyme provient du nom du château ducal : Castell ou castellum en latin, auquel a été ajouté un suffixe.

La ville s'est d'abord appelée Châtillon jusqu'à la Révolution. Elle a pris le nom de Châtillon-sur-Seine en 1801.

Histoire administrative

  • Département - 1801-2024 : Côte-d'Or
  • Arrondissement - 1801-1926 : (Châtillon) Châtillon-sur-Seine, 1926-2024 : Montbard
  • Canton - 1801-2024 : Châtillon-sur-Seine
  • Commune - 1801-2024 : Châtillon-sur-Seine

Résumé chronologique :

  • 1801-.... :

Patrimoine.png Patrimoine bâti

Vestiges du château ducal

Côté extérieur, derrière l'église Saint-Vorles
Photo B.ohland


  • Les ducs de Bourgogne ont fondé ce château au Xe siècle, et avec d'autres aménagements aux XIIe et XIVe siècles, il est devenu une véritable place-forte défiant le comte de Champagne.
À l'angle nord-est de la partie basse s'est élevée aussi au XIVe siècle, la Tour de Gissey (du nom d'une famille locale).
  • La population se plaignant des agissements des troupes militaires, Henri IV a entendu leurs doléances et fait détruire le château en 1598.
  • Les vestiges de ce château (dont un mur intérieur est visible en pénétrant dans le cimetière) sont classés aux Monuments historiques[6].


Église Saint-Vorles

Angle sud-est et chevet Photo B.ohland
Façade sud Photo B.ohland
  • Auparavant se dressait là un premier oratoire ou petite église abritant les reliques de saint Vorles.
L'évêque de Langres Brun de ROUCY[7] fait construire une nouvelle église dans l'enceinte même du castrum. Elle est achevée en 991 dans un style « préroman carolingien, avec double clocher, double transept, chapelle haute et arcatures lombardes »[8]. Elle est alors placée sous le triple patronage de Notre-Dame, saint Martin et saint Vorles.
L'édifice est modifié au XIe siècle et le clocher reconstruit au XIIe. Puis il subit d'importants travaux de restructuration au XVIIe siècle : la chapelle du Rosaire est rajoutée, et la crypte transformée en chapelle Saint-Bernard (c'est en effet dans cette chapelle basse que le futur Bernard de Clairvaux vécut le "miracle de la lactation").
L'église était destinée au culte paroissial jusqu'en 1807, puis l'église Saint-Nicolas est à son tour devenue paroissiale à partir de cette date.
Classée aux Monuments historiques en 1909[9], l'église a connu d'autres rénovations au XXe siècle.
  • On accède à cette église par le grand escalier de Saint-Vorles, construit au XVIIIe siècle pour faciliter les processions de pèlerinage entre les deux églises. Il comptait alors deux volées de marches, il ne subsiste que la volée de gauche. La majesté de l'édifice est bien mise en valeur par des abords entièrement dégagés. À l'arrière se trouve un cimetière jouxtant les ruines de l'ancien château.
La nef romane, particulièrement haute, et ses deux collatéraux, sont composés de trois travées. Le double transept présente également trois travées. Le chœur, de belle taille, ouvre sur une abside semi-circulaire accompagnée de deux chapelles.
  • Parmi le mobilier, de nombreux éléments sont de belles œuvres d'art classées au titre d'objets historiques, notamment une belle "Mise au tombeau" de style Renaissance, datant de 1530.


Église Saint-Nicolas

Angle sud-ouest Photo B.ohland
Façade sud Photo B.ohland
  • L'église a été construite au XIIe siècle dans la ville basse, et c'est devant son portail que les échevins prêtaient serment.
En 1404, le corps de Philippe le Hardi y est enterré. Jean sans Peur et Philippe le Bon y font tour à tour célébrer de grands offices. En 1597, face à l'épidémie de peste décimant la population, on fait porter en procession les reliques de saint Vorles à Marcenay (où il était curé autrefois).
Des remaniements ont lieu au XVIe siècle, avec notamment un chevet en gothique flamboyant.
L'église devient paroissiale en 1807, et l'empereur d'Autriche y assiste à la messe de Pâques en 1815.
L'édifice est classé aux Monuments historiques depuis 1942[10]
  • Cette église insérée dans le tissu urbain présente des dimensions modestes : 34,5 m sur 17,2 m. Elle se compose de deux parties différentes : la nef romane et ses bas-cotés, de quatre travées ; le chevet gothique de 1536 avec un chœur d'une travée et une abside à cinq pans. Le clocher est également d'époque romane cistercienne.
La nef a été rehaussée pour éviter les inondations. À l'origine, elle était flanquée de deux petites tours rondes, dont il ne reste que celle du nord, abritant l'horloge.
Les murs sont étayés par de solides contreforts. La façade occidentale présente une porte en plein cintre avec double voussure, surmontée d'une niche abritant une statue de saint Nicolas, ainsi que trois fenêtres en hauteur.
  • Les murs de l'abside sont décorées d'une série de tableaux, inspirée de La dispute du Saint-Sacrement de Raphaël, et réalisée en 1901.
De nombreux éléments du mobilier sont classés au titre d'objets historiques, dont la chaire à prêcher par exemple, un groupe sculpté figurant sainte Anne enseignant à Marie, et des tableaux.
Les éléments les plus remarquables sont les verrières. Parmi les huit qui sont classées, les deux très hautes situées dans les chapelles, datent du XVIe siècle et proviennent des ateliers troyens. Il s'agit de L'arbre de Jessé, dans la chapelle nord, classée en 1909[11] ; et L'histoire des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, dans la chapelle sud, classée aussi en 1909[12].


Chapelle des Carmélites

Façade Photo B.ohland

Les carmélites se sont installées dans la ville vers 1621.

Leur couvent s'est construit à partir de 1715 et a subi de profonds bouleversement au fil du temps.

Pendant la Révolution, la chapelle est devenue lieu de culte de l'Être suprême.

Et sous l'Empire, le bâtiment a fait office de tribunal civil.

Cette chapelle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1996[13].

Musée du Pays châtillonnais - trésor de Vix

Le cratère d'une contenance de 1 100 litres (Photo de JTT)


Situé en plein cœur de la ville, ce musée présente des collections intéressantes :

  • un espace consacré à l'ornithologie, avec une collection du XIXe siècle rassemblant plus de 200 espèces d'oiseaux, dont certains sont rares,
  • un espace consacré à la préhistoire,
  • un étage entier consacré à l'âge de fer et notamment au trésor de Vix, découvert fortuitement en 1953. Le clou de cette collection est bien sûr le cratère à volutes, témoin de relations commerciales avec les bronziers d'Italie, déjà à cette époque, et impressionnant par sa taille (1,64 m de haut), par son poids (208 kg), sa contenance (1 100 l), et par sa décoration.
Ce cratère est bien sûr classé au titre des objets historiques, depuis 1956[14].


Quelques éléments du patrimoine civil

  • L'auditoire royal est élevé à la fin du XVIe siècle aux frais de toutes les communautés de Châtillon. D'abord maison de ville, il devient auditoire royal (c'est à dire tribunal), puis maison d'arrêt à partir de la Révolution. Depuis 1945, il abrite la bibliothèque municipale, riche d'un fonds ancien de 30 000 volumes. L'édifice est classé aux monuments historiques depuis 1993[15].
  • Le Pont du Perthuis-au-Loup, ou Pont Michel. Aménagé lors de la création de la ville avec une simple planche, il s'appelait d'abord le Trou-au-Loup. Le maître-maçon Nicolas MICHEL le remplaça par la suite par un pont en pierre à deux arches. Ce dernier se dégradant, il fut remplacé vers 1700 par le pont actuel.
  • La poste actuelle, construite par l'architecte dijonnais Charles DANNE, est venue remplacer en 1934 une ancienne poste installée à l'époque dans la halle au blé médiévale.
  • La fontaine Marmont. Elle a été achetée à la ville de Dijon en 1878. Elle met à l'honneur le maréchal MARMONT qui a repensé l'urbanisme de cette place (du même nom( au début du XIXe siècle.
  • Quelques maisons à colombages, dont la Maison Barrodeau qui date du XIIIe siècle et a conservé fenêtres géminées et têtes sculptées.


Repère géographique.png Repères géographiques

Vue depuis l'escalier Saint-Vorles Photo B.ohland
Plan de la ville Photo B.ohland

Châtillon se situe au nord-ouest du département de la Côte-d'Or, plus exactement à environ 64 kilomètres à l'est de Chablis dans l'Yonne, et 72 kilomètres à l'ouest de Langres dans la Haute-Marne.

La ville et ses alentours constituent la porte d'entrée dans un nouveau parc national, créé en 2019, le 11e des parcs français : le parc national des Forêts, composé de cinq grandes forêts.

La cité s'est construite autour de deux cours d'eau, la Seine, encore modeste, et la Douix, dont la source émerge en plein cœur de la ville sous la forme d'une résurgence vauclusienne.

La colline du Bourg, avec les ruines du château ducal et l'église Saint-Vorles, domine le reste de la ville.

Démographie.png Démographie

Année 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
Population 3 700 3 725 3 900 3 863 4 175 4 430 4 614 4 771 5 061 4 926
Année 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
Population 4 836 4 860 4 797 4 994 5 265 5 317 5 127 4 794 4 807 4 812
Année 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
Population 4 698 4 413 4 642 4 727 4 849 4 240 4 609 5 518 6 264 7 383
Année 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
Population 7 561 6 862 6 269 5 837 5 515 5 378 - - - -

Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans.

Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2018.

Illustrations - Photos anciennes.png En photos

  • Autres vues du cratère de Vix :

Familles notables.png Notables

Les maires

Prénom(s) NOM Mandat Observations
- -  
Jean-Baptiste PERSONNE - Né en 1769 - décédé en 1825  
- -  
Eusèbe Alexandre LAPÉROUSE 1819 - Né en 1787 - Avocat et écrivain - Chevalier de la Légion d'honneur - Décédé en 1866  
- -  
Félix Alphonse MARIOTTE 1848 - 1875 Né le 26 juillet 1800 à Châtillon-sur-Seine, décédé le 12 décembre 1875 Dossier - Chevalier de la Légion d'honneur.  
- -  
Charles François COUVREUX - Né en 1808 - Maître de forges - Décédé en 1887  
- -  
François Louis Xavier TARDY - Né en 1816 - Quincailler - Décédé en 1886  
- -  
Achille Jean-Baptiste Édouard MAITRE - Né en 1818 - Maître de forges - Décédé en 1905  
- -  
François Charles BOUTEQUOY 1888 - Né en 1827 - Médecin - Décédé en 1915  
- -  
Léon Jean-Baptiste JAPIOT 1912 - 1919 Né en 1846 - Agriculteur et juge de paix - décédé en 1931  
- -  
René Eugène Camille CONVERSET - Né en 1874 - Négociant - Décédé en 1936  
- -  
- -  
Michel SORDEL 1965 - 1989 Né en 1920 - Sénateur[16] - Décédé en 1994  
Michel SEREX 1989 - 1995 Né en 1939, décédé le 31/10/2015 à l'âge de 76 ans.  
Hubert BRIGAND 1995 - (2026) Né le 28/07/1952.  

Cf. : MairesGenWeb

Les notaires

Prénom(s) NOM Période Observations
CLÉRY -  
- -  
Jean-Baptiste Didier ARBELOT 1842 - 1854 Né en 1816 - Décédé en 1873  
- -  
Robert François Eugène BERTHÉLEMOT vers 1860 - Né en 1829 - Décédé en 1569  
- -  
Émile MARANGE 1905 - Né en 1893 - Décédé en 1904  
- -  

Les curés

Prénom(s) NOM Période Observations
- -  
Chanoine Léon Roblot.jpg Léon ROBLOT - 1936 Rappelé à Dieu le 25 janvier 1936 à l'âge de 74 ans  
- -  

Liste des titulaires de la Légion d'honneur

Plus de 150 natifs de Châtillon-sur-Seine sont titulaires de la Légion d'honneur. Pour les découvrir, consulter le site suivant : Base Léonore

Ville de naissance de.jpg Ville de naissance ou de décès de

Monument dédié aux trois frères Nisard
Plaque dédiée au docteur Hutinal
  • Auguste Frédéric Louis Viesse de MARMONT, né ici le 20 juillet 1774, décédé à Venise le 2 mars 1852. Duc de Raguse, maréchal d'Empire en 1809, Pair de France en 1814. Il a dessiné les plans du réaménagement de la place qui porte désormais son nom, ornée de la fontaine éponyme.
  • (Jean Baptiste Napoléon) Désiré NISARD, né ici le 20 mars 1806, décédé à San Remo (Italie) le 25 mars 1888. Critique littéraire et écrivain, académicien et homme politique.
  • (Marie Léonard) Charles NISARD, frère du précédent, né ici le 10 janvier 1808, décédé le 16 juillet 1889. Éditeur et traducteur, historien, philologue. membre de l'Institut.
  • (Jean Marie Nicolas) Auguste NISARD, frère des deux précédents, né ici le 9 août 1809, décédé le 17 février 1892. Docteur ès Lettres et professeur de rhétorique. recteur de l'Académie de Grenoble.
  • Victor Henri HUTINEL, né ici le 15 avril 1849, décédé à Paris le 21 mars 1933. Pédiatre, directeur de l'Hôpital Necker, membre de l'Académie de Médecine et fondateur de l'Association Internationale de Pédiatrie.


Monument aux morts couleur france.png
Monument aux morts

Le monument aux morts

Morts aux guerres

Prénom(s) NOM Naissance Décès Observations
- - - -  
- - - -  
Charles Nicolas Vincent TRIDON 12/05/1894
Châtillon-sur-Seine
02/03/1915
Langres (52)
Chasseur au 3e B.C.P. - Fiche
Inhumé au carré militaire du cimetière de la Collinière de Langres (52), tombe 65
52269 - Langres - Cimetière Collinière - Carré militaire - Rang 3 - Tombe 065 TRIDON Charles - 2023.JPG  
- - - -  
- - - -  


^ Sommaire

Plaques commémoratives murales dans l'église Saint-Nicolas

Ressources généalogiques

Dépouillements d'archives

Documents numérisés

>> Voir la liste complète sur Geneanet

Cimetières


Informations pratiques

Horaires d'ouverture de la mairie

Horaires Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Matin 8 h - 12 h 8 h - 12 h 8 h - 12 h 8 h - 12 h 8 h - 12 h 9 h - 12 h -
Après-midi 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 13 h 30 - 17 h 30 - -
21154 - Châtillon-sur-Seine Mairie.JPG

Mairie
Adresse : Place de la Résistance - 21400 CHÂTILLON-SUR-SEINE

Tél : 03 80 91 50 50 - Fax : 03 80 91 50 59

Courriel : Contact

Site internet : Site officiel

GPS : ° / ° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail)

Commentaire :

Source : L'annuaire Service Public (Mai 2019)

Associations d'histoire locale

Nuvola apps bookcase.png Bibliographie

  Le pays châtillonnais

  • LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  • Panneaux d'information dans la ville

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Logo internet.png Liens utiles (externes)

Référence.png Notes et références

  1. LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  2. Les Lingons font partie des plus anciennes peuplades gauloises. Leur territoire dépassait celui de la Bourgogne-Franche-Comté actuelle car il s'étendait vers la Meuse et le Rhin. Cette zone était marquée par de nombreux échanges commerciaux.
  3. Saint Vorles, né en 531 et mort en 591, est vénéré pour son don d'ubiquité. il aurait en effet sauvé un enfant d'in incendie alors même qu'il disait la messe en un autre endroit.
  4. LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  5. L'armorial des villes et des villages de France
  6. Base Mérimée, Château des ducs de Bourgogne
  7. Né en 956, décédé en 1016. Il fut évêque de Langres de 980 à 1016.
  8. LE GUIDE VERT Bourgogne, Boulogne-Billancourt, Michelin Travel Partner, 2021, 561 pages, ISBN 978-2-06725-070-3
  9. Base Mérimée, église Saint-Vorles
  10. Base Mérimée, église Saint-Nicolas
  11. Base Palissy, verrière "L'arbre de Jessé"
  12. Base Palissy, verrière "L'histoire des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle"
  13. base Mérimée, Chapelle des carmélites
  14. Base Palissy, Cratère de Vix
  15. Base Mérimée, Auditoire royal
  16. Sénat
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