18057 - Châteaumeillant
Châteaumeillant | |
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Informations | |
Pays | France |
Département | Cher |
Métropole | |
Canton | 18-08 Châteaumeillant
18-09 Châteaumeillant (Ancien canton) |
Code INSEE | 18057 |
Code postal | 18370 |
Population | 1 740 habitants (2020) |
Nom des habitants | |
Superficie | 4 248 hectares |
Densité | 40.96 hab./km² |
Altitude | Mini: 212 m |
Point culminant | 388 m |
Coordonnées géographiques |
46.562778° / 2.201389° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Histoire de la commune
Le site de Chateaumeillant a été occupé en permanence depuis plus de 2000 ans. Les premières traces remontent à -200 avant J.C. Sur un oppidum, entre Sinaise et Goutte-Noire, une métropole gauloise et gallo-romaine, nommée Mediolanum, était occupée par les Bituriges Cubes. Grâce aux amphores découvertes ont sait que les habitants commerçaient le vin avec l'Italie. Des fouilles ont révélé l'existence d'une enceinte de type murus gallicus datant de -100 avant J.C. entourant l'oppidum sur une distance de 2.5 km. Il était fait de terre avec des poutres en bois croisées à l'intérieur. Lorsque les armées de César menacent le centre de la Gaule cinquante ans plus tard, les Gaulois de Mediolanum renforcent le mur existant avec un rempart de terre de 17 mètres de haut. Mediolanum fut sans doute brûlée, comme une vingtaine de villes Bituriges, par Vercingétorix qui pratiquait la politique de la terre brûlée. De cette époque gallo-romaine la ville possède plusieurs puits et elle était également un important nœud routier, d'après la carte de Peutinger, entre Argentomagus et Clermont-Ferrand.
Un premier château est construit en 1152 dans le bourg autour de la motte castrale, par Ebbes II de Délos, seigneur de Châteaumeillant alors vassal d'Henri Plantagenêt. Un autre bourg se crée en contrebas autour de l'église Saint-Genès, la rivière séparant les deux bourgs.
Plusieurs grandes familles se succèdent notamment les Sully en 1282, les La Trémoille en 1385, les d'Albret en 1401, les Gonzague en 1577, et les Nevers (issus des d'Albret) dont Louis de Gonzague, duc de Nevers, dernier seigneur de Châteaumeillant qui vend sa seigneurie à Georges de Garnaches en 1588. En 1644, la châtellenie est érigée en comté.
En 1644, le premier comte de Châteaumeillant, Jean Fradet de Saint-Août épouse Marie-Jeanne de Saint Gelais de Lusignan, c'est pourquoi sur certaines armoiries de Châteaumeillant on peut voir la fée Mélusine sortant de son bain, (Mélusine étant considérée comme la mère des Lusignan).
Pendant la Révolution, le château devient une carrière publique, de nombreux éléments peuvent se voir dans certaines maisons du village. Le dernier comte de Châteaumeillant, Pierre-Michel de Brosse, émigra pendant la Révolution et vendit le domaine ainsi que le château délabré à son retour en 1808.
Pendant la révolution industrielle, Châteaumeillant connut une forte démographie atteignant les 4 000 habitants. Des abattoirs sont créés en dehors de la ville au début du XXe siècle et la ville accueille de grandes foires à bestiaux. Avec le développement du chemin de fer, le commerce du vin local s'accroît pour devenir un produit d'exportation dès 1830.
La gare de Châteaumeillant ouvrira ses portes en 1834 ; elle n'existe plus aujourd'hui.
Pendant l'occupation, une quarantaine de familles juives ont été sauvées par les castelmaillantais, ce qui valu à la ville d'être admise en juin 2022 au réseau des Villes et villages des Justes de France. Deux plaques commémorent le courage et l'engagement de certains de ses habitants.
Héraldique
Écartelé : au premier d'or aux trois fers de lance de sable, au deuxième burelé d'argent et d'azur, au troisième d'azur à la croix alésée d'argent, au quatrième d'azur aux deux fasces d'argent accompagnées de six besants du même[1].
Les armoiries combinent les armoiries des familles de Fradet, Lusignan et Saint Gelais. Elles sont gravées dans une ancienne salle capitulaire [2] .
Histoire administrative
- Département - 1801-2024 : Cher
- Arrondissement - 1801-2024 : Saint-Amand [Saint-Amand-Montrond]
- Canton - 1801-2024 : Châteaumeillant
- Commune - 1801-2024 : Château-Meillant; Châteaumeillant
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Genès
On estime que la construction de cette église dédiée à l'origine à saint Étienne a débuté vers 1110 et s'est achevée en 1150. C'était un prieuré dépendant de l'abbaye de Déols. Une bulle du pape Innocent III datée de 1212 mentionne cette église dans les dépendances de l'abbaye. Elle sera mise sous le vocable de Saint-Genès au XVIIe siècle seulement. Elle est édifiée sur les modèles de Cluny II (chœur) et de Cluny III (nef).
L'église est le résultat de deux époques bien différentes : pendant les dernières années du XIe siècle et une partie du XIIe siècle qui virent s'élever l'ensemble de la construction, puis une partie importante fut réalisée pendant la première moitié du XIIIe siècle lorsque le carré du transept fut rebâti pour y élever la tour centrale.
Rapidement le clocher tour va s'effondrer entraînant une partie du transept et des voûtes. La construction sans contreforts était elle adaptée ? Ou la chute est elle la conséquence de l'incendie de la ville en 1152 ou 1155 au cours des luttes entre Louis VII et Ebbes , seigneur de Châteaumeillant, qui soutenait la cause d'Henri Plantagenêt ? Le clocher fut reconstruit en ogives , le roman étant en déclin.
En 1569, au début des guerres de religion, les Huguenots incendient les bâtiments. De nombreuses restaurations ont suivi cet incendie.
En 1866 , mise en place des vitraux.
Des travaux de restauration de l'église sont entrepris en 1889 avec probablement la destruction de la voûte de la croisée du transept.
L'autel en laiton repoussé de Pierre SABATTIER est mis en place en 1989. La voûte de la nef est refaite en chêne.
Châteaumeillant est situé au sud du département du Cher à la limite de l'Auvergne ; il est possible de retrouver dans l'église du style berrichon notamment dans le chevet et ses absidioles, tel qu'il était au XIe siècle, et du style auvergnat dans les voûtes en quart de cercle de ses bas-côtés qui épaulent la nef.
Architecture extérieure :
L'église est bâtie en pierres grises et roses de Saulzais-le-Potier. Le portail en plein cintre de la façade porte un linteau qui conserve des traces de cercles, peut-être des anciennes mosaïques. Deux colonnes se trouvent au-dessus du linteau ornées de masques de femmes. Quatre arcatures aveugles composent l'étage supérieur avec des colonnettes.
Sur les bas-côtés, les fenêtres, ornées de boudins retombant sur des colonnettes à chapiteaux divers : un oiseau, un personnage au masque grotesque, les seins nus, ou bien alors des palmettes.
Le toit du bas-côté en appentis est placé sur une corniche à modillons.
Les sept absidioles qui forment le chevet étaient toutes voûtées en cul-de-four ; elles ont été remises dans leur état historique lors de la restauration effectuée par M. DARCY (1823-1904), architecte des monuments historiques. Seule l'absidiole du midi se termine encore par un chevet plat. Les toits du chevet reposent sur des modillons du même style que ceux de la nef.
À la Révolution en 1793 le clocher fut détruit et deux cloches refondues pour faire des canons.
Après la réouverture de l'église, un beffroi en bois en coupant la pointe haute du fronton de la façade sera réalisé et une nouvelle cloche sera baptisée en 1805.
En 1857, le clocher actuel est réalisé , une cloche sera bénie en 1874 et une autre en 1887.
Architecture intérieure :
Le plan de l'église comprend une nef avec ses deux bas-côtés, un transept dont chaque croisillon renferme deux absidioles de profondeur différente, et un chœur en hémicycle avec deux collatéraux qui se terminent par un chevet arrondi. Les absidioles se reliant les unes aux autres comme les marches d'un escalier.
La nef a cinq travées dont les deux premières sont séparées par des piles à plan cruciforme.
Les chapiteaux sont ornés de motifs archaïques : des palmettes, des masques, l'un d'entre eux montre un sagittaire visant un lion à face humaine avec son arc. On compte 131 chapiteaux sculptés à l'intérieur de l'église. Les bases des piles reposent sur un socle assez élevé, et sur quelques-unes on retrouve aux angles des griffes représentant des motifs végétaux à saillie accentuée.
La nef n'a plus de voûte depuis l'incendie allumé en 1560 par le chef huguenot Wolfgang, duc des Deux-Ponts, qui anéantit la toiture.
L'église est éclairée par huit fenêtres qui prennent jour au-dessus du toit en appentis des bas-côtés, avec leur archivolte en plein cintre.
De chaque côté de la nef on trouve un collatéral séparé par des arcades en tiers-point. Le carré du transept, surélevé de trois marches, a la forme d'un trapèze. Les quatre piles d'angle remontent au XIIIe siècle, elles sont reliées par des arcs brisés qui soutenaient les murs de la tour centrale, aujourd'hui disparue.
Le croisillon sud, se termine par un mur plat percé d'une fenêtre en lancette surmontée de deux occuli. Trois chapelles, de dimensions inégales, s'ouvrent sur le mur oriental du bras du transept ; celle du milieu est la plus étroite, terminée par un chevet plat et sa voûte est renforcée par un arc perpendiculaire reposant sur deux colonnettes.
Quatre arcades séparent cette chapelle de la précédente, supportées par trois colonnes dont les chapiteaux sont ornés de palmettes. La chapelle la plus rapprochée du chœur est voûtée comme la précédente, et divisée en deux travées par un arc doubleau que supportent des colonnes engagées dans des piles carrées.
La première travée opposée au chœur est séparée de l'autre absidiole par deux arcatures qui retombent sur une colonne au centre et de chaque côté sur des colonnes engagées. Elles sont décorées de chapiteaux ornés de personnages, d'entrelacs et de palmettes.
Le chœur est divisé en trois travées avec doubleaux supportés par des colonnes sur une pile carrée. L'abside en cul de four est éclairé par trois fenêtres ornées d'un boudin et porté par des colonnettes.
Les dimensions de l'église sont assez impressionnantes : 52 mètres de long sur 13.50 mètres de large ; les grandes arcades de la nef ont une hauteur de 8.20 mètres et celle de l'arc d'entrée du chœur est à 9.30 mètres.
Source:Paroisse
Édifice Classé aux monuments historiques depuis 1862[3]
Église Notre-Dame-la-Petite
L’Eglise Notre-Dame-la-Petite est plus connue sous le nom de « Chapitre ». La plus ancienne mention de cette église figure dans une bulle papale de Pascal II comme étant une dépendance de l'abbaye de Déols en 1115. Elle a été construite comme chapelle du château au XIe et agrandie au XIIe, comme l'indique une bulle du pape Innocent III datée de 1212. Elle deviendra en 1517 l'église du Chapitre, une communauté de moines bénédictins s'installant à proximité suivie de chanoines réguliers. L'ancienne collégiale Notre Dame est composée d'une nef, d'un transept et d'un chœur terminé par une abside semi circulaire et deux absidioles. Des fresques du XIIIe illustrant le Nouveau Testament sont visibles sur la partie haute de l'abside. Dans le transept se trouve une chapelle aux voûtes nervurées construite en 1517 et portant des couronnes aux clefs de voûte, celles de la maison d'Albret et de la maison de Bourgogne.
À la Révolution, le clocher fut abattu et l’église transformée en halle, bureau et prison. Une salle de spectacles est aménagée au-dessus de la halle. L'absidiole sud est détruite à la fin du XIXe siècle.
De nos jours, l'édifice abrite la mairie et les unions civiles sont données dans la chapelle nord du transept.
Édifice classé aux monuments historiques depuis 1914 [4]
Musée Émile Chenon
Le musée est situé dans un logis médiéval du XIVe siècle, anciennement Petit Château. Une tourelle d'escalier fut ajoutée au XVIe siècle puis une aile du manoir fut allongée. Des inscriptions gothiques datant du XVe ont été retrouvées ; une des salles a conservé un plafond à solives peintes, sans doute du XVIIe. [5].
Le musée abrite une très belle collection de 350 amphores, des céramiques gauloises et gallo-romaines ainsi qu'une belle collection numismatique.
Repères géographiques
Cours d'eau
- Châteaumeillant est situé sur la rivière La Goutte Noire doublée à l'est par la rivière La Sinaise.
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 2 394 | 1 980 | 2 018 | 2 402 | 2 453 | 3 062 | 2 711 | 2 777 | 3 030 | 3 071 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 3 130 | 3 404 | 3 426 | 3 468 | 3 745 | 3 866 | 3 892 | 3 790 | 3 974 | 3 815 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 3 756 | 3 248 | 3 147 | 2 925 | 2 930 | 2 805 | 2 620 | 2 594 | 2 528 | 2 429 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 2 186 | 2 081 | 2 058 | 2 084 | 2 008 | 1 856 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2020.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Antoine BERGER | 1800 - 1812 | - |
Jean CHÉNON DE LÉCHÉ | 1817 - 1820 | - |
Antoine BERGER | 1821 - 1824 | - |
François DESFOUSSES | 1824 - 1831 | - |
Pierre PEYRET-POMMEROUX | 1831 - 1832 | - |
Charles Antoine Amédée DELESTANG | 1832 - 1837 | - |
Philippe Eugène BOUYONNET | 1837 - 1851 | - |
Désiré Napoléon CHÉNON | 1851 - 1852 | - |
Philippe Eugène BOUYONNET | 1852 - 1854 | - |
François Léonard GOUTASSON | 1855 - 1870 | - |
Gabriel Anatole TOURRATON | 1870 - 1874 | - |
Léopold André THABAUD | 1874 - 1876 | - |
Gabriel Anatole TOURRATON | 1876 - 1884 | - |
Charles Amable DESAGES | 1884 - 1888 | - |
Gabriel Anatole TOURRATON | 1888 - 1897 | - |
Jean BOURIN | 1897 - 1912 | - |
François Alexandre Antonin MASSICARD | 1912 - 1919 (?) | - |
- | - | |
- | - | |
Maurice DELAIRE | 1941-1944 | |
Armand DESTERNES | 1944- | Nommé[6] |
Maurice DELAIRE | 1947-1953 | Conseiller général |
Georges MALLET de VANDÈGRE | 1953-1982 | Conseiller général |
Georges DUMAS | 1982-1987 | Décès - Conseiller général |
Georges MAGNIN-FEYSOT | 1987-1989 | |
François PERROT | 1989-1995 | |
Georges MAGNIN-FEYSOT | 1983-2008 | Conseiller général - Vétérinaire |
Guy BERGERAULT | 2008-octobre 2019 | Démission[7] |
- | Janvier 2020-2020 | Délégation spéciale |
Frédéric DURANT | mai 2020-(2026) | |
- | - |
Cf. : Mairesgenweb
Les notaires
Sources : France Archives
Etude n° 1 - Inventaire - E/24026/24092
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
N GUILLOT | 1681 | |
- | - | |
Louis BOUCHER | 1732 - 14 juillet 1774 | |
Antoine BERGER | 3 août 1774 - an IV |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
Jean PETRONEAU[8] | 1520 | |
- | - | |
Jean CHEZEAU[9] | 1540 | |
- | - | |
Philippe RAFFINAT[10] | 1577 | |
- | - | |
Gabriel BIENVENUAT[11] | 1590/6 - < 1602[12] | † 1602 |
- | - | |
DESUGÈRE[13] | 1614 | |
- | - | |
PROPHÈTE[14] | 1623 | |
- | - | |
Guy PINET/PINS | 1645 - 1660[15], [16] | † le 18 avril 1668 |
Louis COURADIN | 1668 - 1674[17] | † le 12 décembre 1674 |
Pierre MIREBEAU | 1674 - 1694[18] | † le 17 juillet 1694 |
(vicaire de Notre-Dame-la-Petite) | 1675[19] | |
Jean MERY | 1695 - 1724 | ° ca 1660 † le 17 mars 1724 Châteaumeillant |
Jean Baptiste BLANCHARD | 1724 - 1741[20] | ° ca 1689 † le 6 décembre 1741 Châteaumeillant |
Pierre BOURGOUGNON | 1741 - 1750 | ° ca 1712 † 03.11.1766 Châteaumeillant (ancien curé) |
Pierre DAMONT | 1750 - 1752 | 1752-1791, curé de Saint-Amand. ° ca 1720 Saint-Amand-Montrond + 19 vendémiaire an 11 à Saint-Amand-Montrond, fils de Pierre et d'Anne Elisabeth LEFÈVRE |
Louis Joachim ROBINET DUTEIL | 1752 - 1777 | ° ca 1718 † 19.05.1777 Châteaumeillant |
Etienne Antoine ROUET | 1777 - 1812[21] | † 1812, octobre 1773-août 1777 curé de Chavin (36) |
Louis François DESFOUSSES | à partir de 1812[22] | |
DEMINITROUX | 1812 | |
François-Gilbert BIAS | 1855 - 1856[23] | ° ca 1789 Bellegarde (23) † 20.03.1856 Châteaumeillant, fils de Antoine Jean Germain et Marie VANGINOT |
Etienne Alexandre BAZIN | 1856 - 1859[24] | 1859-1862 Curé de Mehun-sur-Yèvre, 1862-???? Curé du Blanc, ????-1882 Curé de Saint-Génitour. ° ca 1814 Oison (18) † 06.10.1882 au Blanc |
Antoine PACTON | 1861 - 1886[25] | ° 1812 Saint-Gaultier (36) † 23.03.1886 Châteaumeillant, fils de Silvain et Marguerite HEROSSIN |
Antonin MOUSSEAUX | 1886 - 1896[26] | ° 1838 Nouzerines (23) † 18.04.1896 Châteaumeillant, fils de N et Marie BESICOT |
Étienne BEAUFILS | 1896 - 1899[27] | 1886-1896 Curé de Notre-Dame à la Guerche-sur-l'Aubois, à partir de 1899 Curé d'Ardente |
Jean-Charles MONCHAUSSE | à partir de 1899[28] | 1877-1899 Curé de Saint-Benoit-du-Sault |
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Père Pierre Marie-Laurent MOUROT | au moins 2014 - (2020 en cours) | |
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Monument aux morts
- Article détaillé : Consulter la liste des inscrits sur le Monument aux Morts ...
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Mariages (1795-1897)
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Recensements (1911-1911)
- Tables des contrats de mariages (1841-1849)
- État civil (1902-1903)
- État civil (1801-1803)
- État civil (1847-1848)
- État civil (1864-1865)
- État civil (1887-1888)
- État civil (1858-1859)
- État civil (1875-1876)
- État civil (1914-1915)
- État civil (1793-1799)
- État civil (1906-1907)
- État civil (1743-1753)
- État civil (1825-1830)
- Tables décennales (1863-1872)
- État civil (1897-1898)
- Recensements (1872-1872)
- Tables alphabétiques des successions et des absences (1959-1966)
- Recensements (1946-1946)
- Table des sépultures et décès (1807-1811)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | 8h30 à 12h | 8h30 à 12h | 8h30 à 12h | 8h30 à 12h | 8h30 à 12h | - | - |
Après-midi | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 17h | 14h à 17h | - | - |
Mairie |
Adresse : 4, place de la Mairie - 18370 CHÂTEAUMEILLANT
Tél : 02 48 61 33 17 - Fax : 02 48 61 33 73 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : -° / -° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : http://www.annuaire-mairie.fr () |
Dépouillements des registres paroissiaux
GenBerry : Relevés des baptêmes et naissances 1668-1917
GenBerry : Relevés des mariages 1668-1932
GenBerry : Relevés des sépultures et décès 1668-2022
Associations d'histoire locale
Bibliographie
Notice historique sur Châteaumeillant
Histoire de Châteaumeillant - Tome I
Canton de Châteaumeillant
Voir aussi (sur Geneawiki)
Liens utiles (externes)
Notes et références
- ↑ L'armorial des villes et des villages de France
- ↑ Base Palissy - armoiries
- ↑ Fiche Mérimée - Saint-Genès
- ↑ Fiche Mérimée - Notre Dame
- ↑ Base Mérimée
- ↑ Maitron
- ↑ Le Berry
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, XXXVIIe volume, page 56
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 183
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, XXXVIe volume, page 109, paragraphe 23
- ↑ Justice et justiciables en Bas-Berry sous l'ancien régime, Répertoire numérique détaillé sous-série 2B, page 120, cote 2B422
- ↑ Les princes de Condé: Rebelles, courtisans et mécènes dans la France du Grand Siècle, page 188, voir note 449
- ↑ Les princes de Condé: Rebelles, courtisans et mécènes dans la France du Grand Siècle, page 188, voir note 449
- ↑ Les princes de Condé: Rebelles, courtisans et mécènes dans la France du Grand Siècle, page 188, voir note 449
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 29, voir note 3
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 128
- ↑ Mémoires de la Société des antiquaires du Centre, VIIe volume, 1877, page 128
- ↑ France Archives
- ↑ France Archives
- ↑ France Archives
- ↑ France Archives
- ↑ France Archives
- ↑ France Archives