17218 - Marans
Marans | |
---|---|
![]() | |
Informations | |
Pays | ![]() |
Département | ![]() |
Métropole | - |
Canton | ![]()
|
Code INSEE | 17218 |
Code postal | 17230 |
Population | 4 497 habitants (2017) |
Nom des habitants | Marandais, Marandaises |
Superficie | 8 249 hectares |
Densité | 54.52 hab./km² |
Altitude | Mini : 0 m |
Point culminant | 13 m |
Coordonnées géographiques |
46.309004° / -0.993073° (GoogleMaps) Cassini Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) |
Localisation (avant 2015) | |
![]() | |
Arrondissement Canton Commune ? | |
Section Tableau : Modifier |
Sommaire
Histoire de la commune
L'origine de Marans est très ancienne ; le nom de "Marans" vient de son origine avec la mer : "Mar'an" ou "Mar'ain" (lieu de mer).
Primitivement bâtie sur une île émergeant du Golfe des Pictons, Marans s'appelait "Marentus" il y a 2 000 ans.
Une ancienne place forte fortifiée
Marans eut longtemps pour mission de défendre l'estuaire de la Sèvre. Dès les premiers siècles, les hommes tirèrent avantage du site pour un usage de défense ; promontoire rocheux entouré de vastes marécages impraticables, il formait un refuge naturel contre les envahisseurs.
Bien avant l'an 1 000, une sorte de quadrillage de canaux asséchait le territoire pour éviter les inondations.
Ces travaux furent dirigés par les moines qui s'étaient établis dans le golfe vers le VIIe siècle. Il semble que la première construction d'un château à Marans remonte au Xe siècle.
Dès le XIe siècle, le bourg de Marant (ancienne orthographe), était construit autour du château (à l'origine en bois), et de l'église Saint-Étienne dont aujourd'hui les ruines sont classées monument historique.
Ce château a dû être construit à l'époque des invasions nordiques autant pour protéger les quelques habitants qui subsistaient dans le voisinage, que pour contrôler l'embouchure de la Sèvre Niortaise. Les Normands utilisèrent en effet cette voie à plusieurs reprises pour piller le Poitou.
Le château de Marans fut reconstruit en pierre, probablement au XIIe siècle, et occupait une place considérable (dont l'emplacement actuel de l'hôtel de Ville faisait partie). En 1307, il était fortifié.
Cette forteresse était capable de donner abri en cas de danger, à 2 000 soldats et à 300 ou 400 chevaux.
À la fin du XIIe siècle, le port de Marans est capable de recevoir des bateaux d'un certain tonnage.
À partir du XIIIe siècle, sous l'impulsion des moines bénédictins des abbayes environnantes, des travaux d'assèchement furent entrepris et activés notamment par des spécialistes hollandais sous le règne d'Henri IV.
Ces travaux se poursuivent jusqu'au XVIIIe siècle et permirent de mettre en valeur des étendues considérables de marais autrefois baignées par la mer et dont la culture devint pour le pays une source de très grands revenus.
Du XIVe siècle au XVIIe siècle Marans joue un rôle très important. Quand la guerre de 100 Ans éclata alors que la succession de Charles IV s'avérait difficile, les seigneurs en profitèrent pour brigander.
Les Anglais arrivaient ; Lord DERBY échoua devant notre cité. Livrée aux anglais par le traité de Brétigny, elle fut sauvée par DU GUESCLIN lui-même, arrivé en Saintonge en 1371.
Puis vint la période des guerres de Religion :
Le château de Marans vit ses grandes heures. La Rochelle protestante a besoin de Marans et de ses vastes entrepôts de grains ; Marans est le grenier de La Rochelle et le château en est la défense.
Pris et repris, tantôt par les protestants, tantôt par les catholiques, il connaît les plus grands chefs de guerre du temps, dont Henri de NAVARRE qui deviendra Henri IV. Il s'empara des lieux après un siège de quatre jours en 1589.
Ancienne place protestante, Marans souffre beaucoup de la révocation de l'Édit de Nantes qui brise l'activité de son port.
Le siège de La Rochelle lui donnera une grande importance en 1627 et 1628. Louis XIII y séjourne en attendant la reddition de la Cité rebelle. Mais RICHELIEU fera raser le château en 1638 pour éviter qu'après le départ des troupes royales ne s'y installent les troupes réformées.
Après la destruction du château
La terre de Marans appartenait au XIIIe siècle à la famille des seigneurs de PRÉCIGNY ; elle passera successivement dans celle des Vicomtes de THOUARS, des seigneurs d'AMBOISE, de la TREMOILE, des comtes de SANCERRE, de BREUIL et de MESRIGNY.
Sous Louis XV, la terre de Marans fut adjugée le 6 avril 1740, à messire Étienne Claude d'ALIGRE (Chevalier conseiller du roi) pour la somme de 605 000 livres tournois.
Sous Louis XVI en 1777 par décision royale la dite Terre de Marans fut érigée en marquisat sous le nom de d'ALIGRE.
Marans conserva l'appellation d'ALIGRE jusqu'en 1790 (sans apostrophe au moment de la Révolution). Elle reprit ensuite le nom de Marans.
À son décès en 1847, le marquis Étienne Jean François d'ALIGRE, fit don par testament à la ville de 100 000 Francs or, à charge de construire un hôpital lequel fut inauguré le juin 1859. Très attaché à Marans il lui légua aussi le domaine du "Gros Aubier".
Héraldique
D'azur au croissant d'argent accompagné de six croisettes recroisetées au pied fiché d'or, trois rangées en chef et trois rangées en pointe.
Histoire administrative
- Département - 1801-2023 : Charente-Inférieure [1941, Charente-Maritime]
- Arrondissement - 1801-2023 : La Rochelle
- Canton - 1801-2023 : Marans
- Commune - 1801-2023 : Marans
Résumé chronologique :
- 1801-.... :
Patrimoine bâti
Église Saint-Étienne
Située dans l'enceinte du cimetière ; seules subsistent aujourd'hui les ruines.
Sa construction remonte au XIe siècle et XIIe siècle. Elle eût à subir de maints fléaux :
- - la guerre de Cent Ans,
- - les guerres de Religion,
- - puis la Révolution.
Elle fût ensuite désertée après la construction de l'église Notre-Dame inaugurée en 1902.
Laissée à l'abandon en 1904 lors de la séparation de l'Église et de l'État, la municipalité annonce la démolition de l'église Saint-Étienne en 1920.
Le clocher est classé monument historique par décret du 10 novembre 1921.
Il ne reste de l'édifice que :
- - le clocher, dont le rez-de-chaussée est couvert par une coupole sur trompes surmontée d'une tour octogonale, autrefois couverte d'une flèche et actuellement d'un toit en pavillon en tuile creuse.
- - les trompes de la coupole retombent sur des colonnes aux chapiteaux romans historiés.
- - l'escalier en vis dans-œuvre et une petite partie de l'élévation sud (un contrefort et une baie) sont conservés également.
- - le bras nord du premier édifice est encore visible, une partie du transept sud aussi (l'élévation est, pour laquelle on remarque une ancienne baie murée), ainsi que l'arcade qui menait de la nef au transept.
Le prieuré dépendait de l'abbaye de Maillezais et a probablement été construit au cours du XIe siècle. La construction se poursuit au XIIe siècle, date de la base du clocher et des chapiteaux des colonnes (2e moitié du XIIe siècle).
À la fin du XIVe siècle et au XVe siècle, l'église subit quelques transformations : construction de la tour octogonale du clocher et de la vis qui le dessert ; agrandissement d'un vaisseau, en largeur, de la nef et du chœur (chevet plat double).
Pendant les guerres de Religion, l'édifice fut pillé et endommagé (effondrement des voûtes). Le rétablissement de l'église commence dès le XVIIe siècle (1605, réfection du clocher), mais les voûtes ne sont pas reconstruites et sont remplacées par un plafond en lambris, alors que des colonnes ont été installées pour diviser la nef.
Pendant la Révolution, l'église est utilisée comme temple de la Raison.
Des réparations sont envisagées dès l'an IX et sont confiées à l'entrepreneur Pierre MEUNIER. En 1845, l'architecte BROSSARD dresse les devis de travaux d'urgence et de sauvegarde de l'édifice. Cependant, une lettre du maire au préfet, datée de 1845, signale que l'avis du conseil de fabrique et de la commune est que cette église ne doit pas être conservée car elle se trouve en dehors de la ville. Même chose en 1885, la fabrique préfère édifier une nouvelle église en centre ville.
Une délibération du conseil municipal de 1905 indique l'état de délabrement de l'édifice puisqu'il est signalé qu'une quantité importante de matériaux pourrait servir aux besoins de la ville. D'anciennes photographies présentent l'état général de l'église avant sa démolition. Après le classement du clocher en 1921, la municipalité a entrepris, dès 1925, la démolition de cet édifice tout en réservant la partie classée : les matériaux ont été récupérés et adjugés à des entrepreneurs, les fenêtres du chevet ont été vendues à une personne de Paris. La porte de la sacristie, ornée d'un bas-relief du Repentir de Saint-Pierre, a été déposée au musée de la commune.
Église Notre-Dame de l'Assomption
Construite à l’emplacement présumé de la chapelle du château, l’église Sainte-Marie date probablement du XIe siècle. Elle fût détruite en 1637.
Au XVIIe siècle, s’installe un couvent de Capucins. En 1661, on pose la première pierre de la chapelle dite Notre-Dame qui sert d’annexe à l’église Saint-Étienne. Une plaque commémorative est conservée dans l’actuelle sacristie. L’église Saint-Étienne sera, elle, détruite en 1900.
C'est à la suite d'un legs testamentaire du notaire DINOT que la municipalité décide d'édifier une nouvelle église sur la place des Capucins.
En 1902 : inauguration de l’église construite par Alcide BOUTAUD (1844-1929) qui a aussi réalisé la basilique Notre-Dame de Pitié à La Chapelle-Saint-Laurent (Deux-Sèvres), ainsi que les églises Saint-Étienne de Niort et Notre-Dame de La Roche-sur-Yon. Mais l’édifice est inachevé car le projet initial comportait trois absidioles et un clocher. L’argent a été englouti pour les fondations à cause des douves du château. Alcide BOUTAUD utilise toutes les ressources de la grammaire stylistique gothique agrémentée de grès bleus et roses.
L’église Sainte-Marie de Marans est de style néogothique byzantin. Avec un plan allongé et une seule nef de trois travées, sans collatéraux.
Les voûtes sur croisées d’ogives ont huit nervures, et sont de plan barlong. À l’ouest, on découvre un porche d’entrée avec tribune et à l’est, un chœur à pans coupés.
Le décor est fait d’une corniche sur tout le tour, avec 54 colonnes de granit noir et 12 en granit rose plus fines.
Barthélémy FABBRO, né à Marans le 28 juillet 1894 était triste de voir l'église dans laquelle il avait fait sa première communion au début du siècle, demeurer sans clocher. À 93 ans, il décide d'offrir un clocher à l'église de Marans. Monsieur FABBRO choisit la maquette qu'il souhaite voir se réaliser.
Le 2 mai 1988 : début de la construction du clocher et le 28 juillet 1988 pose de la flèche par hélicoptère.
Le clocher contemporain si particulier est composé d’éléments métalliques fabriqués et assemblés par une usine locale : l’entreprise MARÉCHAL, spécialisée dans la fabrication des mâts de navire de course. Cette entreprise est située dans la zone industrielle du port de Marans. Le clocher est très original.
Des visites sont possibles. De la salle panoramique du clocher, quatre tables d'informations touristiques font découvrir Marans et le marais Poitevin qui l'entoure.
Tableau : le repas de Jésus chez Marthe et Marie (1701)
Peintre : DUBUISSON G. (G. DUBUISSON Pinxit fecit 1701)
Classé aux monuments historiques le 29 janvier 1990.
Christ en croix (XVIIe siècle)
Les photographies anciennes montrent que le Christ est un objet de l'ancienne église Saint-Étienne de Marans ; il était fixé sur une arche de fer forgé située au milieu du banc de communion, suivant une disposition ancienne.
Classé au titre objet aux monuments historiques[1] le 23 octobre 1991.
Musée Cappon
Le musée présente des pièces archéologiques d'époque gallo-romaine et des collections consacrées à l'histoire locale.
- - Des objets gallo-romains.
- - Des souvenirs de l'ancienne église Saint-Étienne.
- - Des souvenirs de l'ancien château fort.
- - Une collection de coiffes marandaises et de poupées en costumes traditionnels.
- - La partie la plus originale des collections concerne la faïence du XVIIe au XIXe siècle, époque où Marans fut un grand centre producteur.
Musée Cappon
Office du Tourisme
Hôtel de ville et son jardin
L'emplacement des bâtiments de l'hôtel de ville (ancienne maison bourgeoise) est celui du logement seigneurial de l'ancien château fort démantelé par ordre de RICHELIEU en 1638.
La ville a acquis cet immeuble en 1900.
À visiter le magnifique jardin des plantes.
Moulin de Beauregard
Ce moulin a été construit au XVIIe siècle ; la famille ANCELIN l'a exploité de 1834 à 1935.
Racheté par la commune de Marans en 1994, sa restauration a été effectuée à l'identique en 1999. Il est le symbole des 12 moulins qui existaient autrefois à Marans.
L'association des "Amis du Moulin de Beauregard" se charge de le faire revivre et de produire sa farine.
Visites : renseignements à l'office de tourisme.
Repères géographiques
Démographie
Année | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population | 4 400 | 3 902 | 3 764 | 3 997 | 4 041 | 4 557 | 4 713 | 4 860 | 4 645 | 4 586 |
Année | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 | 1906 |
Population | 4 510 | 4 534 | 4 284 | 4 527 | 4 736 | 4 927 | 4 609 | 4 515 | 4 387 | 4 459 |
Année | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
Population | 4 427 | 3 828 | 3 707 | 3 575 | 3 584 | 3 377 | 3 711 | 3 680 | 3 833 | 3 987 |
Année | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 | 2021 | - | - | - |
Population | 4 289 | 4 170 | 4 375 | 4 654 | 4 622 | 4 517 | - | - | - | - |
Sources : Cassini/EHESS : de 1962 à 1999, population sans doubles comptes, Insee : depuis 2006, population municipale référencée tous les 5 ans. |
Cf. : EHESS - Fiche Cassini, INSEE 2006, 2011, 2016 & 2017.
En photos
Notables
Les maires
Prénom(s) NOM | Mandat | Observations |
Pierre GEAY | 1625 - | |
Jehan MACAUD | 1625 - | |
Philippe FRANCHARD | 1627 - | |
Martin CHAVIGNAUD | 1627 - | |
Pierre BERTAUD | 1630 - | |
François LHERMITE | 1637 - | |
Jacques POCHON | 1638 - | |
François ROY | 1639 - | |
Jehan GRIPPEAU | 1641 - | |
Louis MORISSET | 1643 - | |
André CHEUREUX | 1655 - | |
TRETON | 1657 - | |
René LAINE | 1660 - | |
Nicolas BERNYER | 1661 - | |
Louis GENDREAU | 1664 - | |
Jehan BERAULT | 1667 - | |
Pierre MICHEAUT | 1670 - | |
Jacques CHEUREUX | 1673 - | |
Denis CHABIRAND | 1684 - | |
Simon DUBOIS | 1686 - | |
Pierre AVRARD | 1689 - | |
Jean HAY | 1690 - | |
François LEZEAU | 1692 - | |
GON | 1692 - | |
Jean HAY | 1703 - | |
GON | 1708 - | |
TORAILLE | 1708 - | |
François MAUBERT | 1711 - | |
Jean REMOND | 1718 - | |
Jean FILLON | 1719 - | |
Paul BRUNET | 1720 - | |
Pierre RODIER | 1721 - | |
Claude LUCAS | 1722 - | |
François MAUBERT | 1724 - | |
Paul André MALLET | 1725 - | |
Jacques LOISEAU | 1730 - | |
François MAUBERT | 1733 - | |
René BUTTON | 1735 - | |
Georges PIERRE | 1737 - | |
Pierre RODIER | 1738 - | |
Charles VILLENEUVE | 1739 - | |
André GRIGNON | 1740 - | |
Pierre ROUSSENCQ | 1741 - | |
François RUNEL | 1742 - | |
Thomas BERNARD | 1743 - | |
Nicolas GRIGNON | 1745 - | |
Julien TRUEN | 1747 - | |
Nicolas TEXIER | 1748 - | |
Fournier DUBREUIL | 1749 - | |
Nicolas RAMBAUD | 1751 - | |
Antoine DESPARPAILLAT | 1752 - | |
Nicolas de BOULARD | 1753 - | |
Jean GUYOT | 1754 - | |
Etienne BONNENFANT | 1755 - | |
BERNYER | 1756 - | |
Jacques CHASLON | 1757 - | |
BERNYER | 1759 - | |
Michel GIBAUD | 1760 - | |
Vincent GOURDIEN | 1761 - | |
BERNYER | 1779 - | |
Vincent GOURDIEN | 1780 - | |
BERNYER | 1781 - | |
INGRAND | 1785 - | |
BAUGA | 1789 - | |
Victor JONON | 1790 - | |
BAUGA | 1791 - | |
Pierre AYMON | 1792 - | |
GUILLET | 1793 - | |
BAUGA | 1796 - | |
J.P. ROLLAND | 1798 - | |
Michel GAROS | 1800 - | |
ROLLAND | 1802 - | |
J.P. ROLLAND | 1808 - | |
VALADON | 1815 - | |
J.P. ROLLAND | 1816 - | |
FRESNAIS de LEVIN | 1826 - | |
Alexandre RODIER | 1830 - | |
DINOT | 1852 - | |
GAUDINEAU | 1857 - | |
DINOT | 1860 - | |
PINET | 1860 - | |
BOUCHET | 1866 - | |
Jean LUZET | 1866 - | |
Alexandre RODIER | 1867 - | |
VIGNAUD-GALLIOT | 1867 - | |
BUSSAC | 1868 - | |
Charles MULOT | 1868 - | |
AUDOUIT | 1868 - | |
Ernest BONNEAU | 1870 - | |
BOUCHET | 1871 - | |
SEGUIN | 1874 - | |
Ernest BONNEAU | 1878 - | |
Jules AIME | 1888 - | |
G. RAOULT | 1896 - | |
Jules AIME | 1900 - | |
Paul FLEURY | 1909 - | |
ROBINEAU | 1912 - | |
BIZIERE | 1919 - | |
ROBINEAU | 1920 - | |
BONNET | 1929 - | |
Camille PETIT | 1935 - | |
L. VEDRUNES | 1944 - | |
CHARRIAU | 1945 - | |
CALMEL | 1963 - | |
L. DELAVAUD | 1971 - | |
Bernard BOUCHEREAU | 1989 - 2008 | Né en 1943. Conseiller général du canton de Marans (1985-2004). |
Bernard FERRIER | 2008 - (2014) | Conseiller général du canton de Marans (2004-2011). |
Thierry BELHADJ | 2014 - 2020 | Né le 03/06/1962. Tapissier-décorateur. |
Jean-marie BODIN | 2020 - (2026) | |
- | - |
Cf. : MairesGenweb
Les notaires
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - |
Les curés
Prénom(s) NOM | Période | Observations |
- | - | |
- | - | |
- | - |
Émigration
Émigration en Algérie
Article détaillé : Consulter la liste ...
Monument aux morts

Morts des guerres 1914-1918 / 1939-1945
- Monument aux morts, Marans: page du site ww2museums.com
- Monument aux morts, Marans: page du site www.memorial-genweb.org
Prénom(s) NOM | Naissance | Décès | Observations |
- | - | - | |
- | - | - |
Ressources généalogiques
Dépouillements d'archives
- Livres d'or 14/18 (1914-1918)
Documents numérisés
- Mariages. AD17 2 E 229/89* (1819-1831)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/22* (1689-1689)
- Naissances. AD17 2 E 229/74* (1793-1796)
- Décès. AD17 2 E 229/92* (1827-1835)
- Naissances. AD17 GG 3 (1630-1638)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/16* (1683-1683)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/66* (1771-1778)
- Naissances. AD17 2 E 229/104* (1864-1874)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/71* (1790-1790)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/68* (1787-1787)
- Mariages. AD17 2 E 229/78* (1796-1807)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 2 E 229/56* (1730-1731)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 GG 15 (1682-1685)
- Mariages. AD17 2 E 229/79 (1798-1800)
- Mariages. AD17 GG 6 (1661-1668)
- Naissances. AD17 2 E 229/28* (1632-1632)
- Décès. AD17 2 E 229/107* (1864-1873)
- Mariages. AD17 2 E 229/94* (1834-1849)
- Naissances & Mariages & Décès. AD17 GG 14 (1679-1681)
- Naissances. AD17 2 E 229/91* (1827-1835)
Cimetières
Informations pratiques
Horaires d'ouverture de la mairie
Horaires | Lundi | Mardi | Mercredi | Jeudi | Vendredi | Samedi | Dimanche |
Matin | - | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | 9 h - 12 h | - | - | - |
Après-midi | 14 h - 17 h | 15 h - 18 h 30 | 14 h - 17 h | 14 h - 17 h | 14 h - 16 h | - | - |
Mairie |
Adresse : Place Ernest Cognacq - 17230 MARANS
Tél : 05 46 01 10 29 - Fax : 05 46 01 01 72 Courriel : Contact Site internet : Site officiel GPS : 46.309004° / -0.993073° (GoogleMaps) ou Cassini / Satellite / IGN / Cadastre (Géoportail) Commentaire : Source : L'annuaire Service Public & Mairie (Février 2019) |
Associations d'histoire locale
Bibliographie
- Marans et ses rues à travers les siècles, par Vivianne BACHELIER, Les Amis du Vieux Marans - Collège d'Histoire locale.
- Série de cahiers sur l'histoire de Marans au travers des ses rues. En vente à l'Office de tourisme.
- - cahier n° 1 : Quartier du Port, Les Halles, La Maréchaussée,
- - cahier n° 2 : Le château, Les Capucins.
- - cahier n° 3 : Les mairies, Les rues autours du château.
- - cahier double n° 4 et 5 : Les quartiers de l'est de la ville.
- - cahier double n° 6 et 7 : Le cimetière et l'église Saint-Étienne.
- - cahier double n° 8 et 9 : Le trafic maritime du port de Marans.
- D'Aligre-Marans 1789-1790, Paul FLEURY, La Rochelle, N. TEXIER et fils, 1908.
- Un séjour de Henri IV à Marans : 17 juin 1586. Illustrations de G. Balande. Henri Portal - ed. J. Foucher - 1946.
- La Faïencerie de Marans, Philippe CAPPON, 1927.
- Faïenceries de Marans et de La Rochelle, Francis MORIN - Éditions Rupella - 1990.
- Le loup de Marans, Fabrice HURLIN, Paris France-Empire, 2007, 416 p. - Roman Historique sur la vie de "Régnault de Pressigny, seigneur de Marans près de La Rochelle", basé sur le procès de Regnault de PRESSIGNY, l'an 1353 (Archives nationales, sous la cote X2a6 - f° 129-137).
- Chroniques de Ville-Marie, tome 1 : Et vogue la galère... 1659-1663, 2002 ; tome 2 : À la guerre comme à la guerre 1665-1667, 2014 - Josée Mongeau, Éditions du Septentrion. - Roman québécois historique sur les émigrés Marandais partis à Montréal au Canada en 1659, et leurs vies. Basé sur les archives disponibles en France et au Canada.
- Histoire de la ville de la Rochelle et du pays d'Aulnis Volume 1, Volume 2, Louis-Étienne ARCÈRE, 1757.
- Fastes historiques, archéologiques, biographiques, ..., du département de la Charente-Inférieure - René Primevère LESSON - 1842.
- Contrats de mariage et niveaux de fortunes dans les campagnes d'Aunis, de 1750 à 1789 - Raymond Jousmet - Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, Volume 101, 1994.
- Un siècle de chantiers d’églises en Charente-Maritime - Yves Blomme - 2008
- « Marans 1940-1945 », film documentaire de 16 minutes de 2020, produit par le Caméra Club Rochelais, avec des témoignages de l'occupation à Marans entre 1940 et 1945.
- « Gravé dans la mémoire - souvenirs de guerre dans le Marais autour de La Rochelle », film documentaire de 32 minutes, produit par le Parc Inter régional du Marais Poitevin (2007-2008), l'occupation en Aunis pendant la guerre 1939-1945.
Voir aussi (sur Geneawiki)
- Cahier de Doléances de Marans pour les états généraux de 1789
- Précis d'histoire sur Marans, article de 1857.
- La couche de cendre de Marans, article de Philippe CAPPON, 1886.
- Les assemblées de paroisses à Marans avant 1789, article de Philippe CAPPON, 1886.
- Inscription Maçonnique à Marans, article de 1895.
- Histoire de Regnault de Pressigny, seigneur de Marans, article de 1902.
- Les ports francs - Marans et Le Brault, article de Georges MUSSET, 1903.
- Quelques épisodes de l'histoire de la Réforme à Marans, article de Paul FLEURY, 1904.
- Le couvent des Capucins de marans, article de Paul FLEURY, 1904-1905.
Liens utiles (externes)
- Site officiel de la commune
- Communauté de Communes du Pays Marandais
- Marandaises et Marandais, partis aux XVIIe et XVIIIe siècles, vers l'Amérique du Nord
- L'INVENTAIRE DE LA VALLÉE DE LA SÈVRE NIORTAISE DANS LE MARAIS POITEVIN : Marans, une ville en bord de Sèvre.
- Page Web sur la gare ferroviaire de Marans
Notes et références
![]() |